Le Grand Jeu

Bac à sable => One Shot => Discussion démarrée par: Cassandre Harmington le vendredi 11 mai 2018, 13:26:22

Titre: L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le vendredi 11 mai 2018, 13:26:22
Dijon, 26 novembre.

Lucie Martin ne s’appelle pas vraiment ainsi. Peut-être qu’elle devrait s’appeler Claire Baris, ou Yvonne Le Pelletier. Peut-être même Sylvia Grosjean. Mais elle n’avait jamais eu l’occasion de savoir comment ses parents auraient voulu l’appeler en vrai... Ce nom, Lucie Martin, et bien... C’est un nom qu’on lui a donné très jeune, à l’orphelinat. En effet, la jeune demoiselle n’a jamais connu ses parents. Abandonnée à sa naissance, elle n’apprit l’existence de ses parents qu’à ses 12 ans, quand elle appris qu’elle avait pour trois ans un logement, une carte bancaire avec pas mal d’argent, et de quoi vivre. Bref, trois ans de tranquillité, mais pour Lucie, cela avait été surtout trois ans de questionnement. Qui était ses parents ? Pourquoi avait-elle été abandonnée ? Tant de questions qui trottaient dans la tête de la jeune fille.

Elle était pas mal intelligente, belle, franchement, elle n’était pas à plaindre, c’est ce qu’elle disait. Elle commençait le Lycée, et pour le moment, elle avait un beau 18 de moyenne. Franchement, tout allait bien, comme quoi... Avec de l’acharnement, on pouvait réussir... Bref, elle vivait une vie normale, agréable, sans vraiment de quoi se plaindre. Elle vivait sa vie. C’était un peu difficile, mais heureusement, elle était suivit par un conseiller de son orphelinat, qui lui expliquait que c’était juste trois ans, et qu’après ses quinze ans, elle aurait une autre solution plus simple pour vivre. Elle continuait à travailler, et à se faire à manger, etc... Bref, elle vivait tranquillement, au jour le jour, pensant plus à son boulot, ses contrôles, ses DM etc...

Aujourd’hui était un jour spécial. Très tôt, elle avait été tirée du lit par plusieurs de ses amies, et avait passé la journée en ville. « Pourquoi » avait-elle dit ? Et bien, « c’est ton anniversaire » avait répondu sa meilleure amie, une rousse caractériel. … Anniversaire... ? Elle ne savait même pas. Elle ne savait pas quand elle était née. A l’orphelinat, on disait que le 26 novembre, c’était le jour où elle était arrivée à l’orphelinat, c’est tout. Dans les faits, on ne connaissait pas son anniversaire, quand elle était née. Donc, concrètement, cela voulait dire que personne ne savait véritablement quand elle avait trouvée la vie. C’était... Triste. Donc... Elle n’aimait pas les anniversaires, et l’avait clairement dit à son interlocutrice.

« QUE NENNI » avait-elle répondue. Ainsi, Lucie avait quand même fêtée son anniversaire dans le centre ville de Dijon. Elle vivait dans une chouette ville. Et puis, il y avait de quoi faire dans cette ville des anciens ducs de Bourgogne ! Oui, elle expliqua cela à ses amies, l’histoire des Ducs de Bourgogne, mais celles-ci soupirèrent en disant qu’elle était trop intelligente, et parfois un peu chiante... C’était embêtant ! Donc, Lucie se tut, et continua de profiter de sa journée. Car encore une fois, si au départ, elle n’avait pas été trop pour... Et bien, au moins, elle s’amusait bien ! C’était quand même une chouette journée d’anniversaire. Et grâce à ses amis, c’était la toute première journée d’anniversaire vraiment plaisante de sa vie ! Bref, Lucie était quand même bien contente....

Mais toutes les bonnes choses ont une fin, comme on dit. En effet, le groupe se sépara finalement après avoir mangée dans une pizzaria. Une bonne pizza, et notre chère Lucie avait tout payée, pour ses amis qui n’avaient pas encore de cartes bleu. Elle abandonna alors ses amies dans l’une des artères principales de la ville. Elle aimait bien ses camarades de classes, mais le fait que « tu es trop intelligente », pff... C’était rageant. Comme si c’était secondaire d’être intelligente. Bref, elle remonta sa rue, et monta son escalier. Elle salua son voisin, et puis, glissa la clef dans sa serrure, et ouvrit la porte. Elle était enfin chez elle, après cette journée. Maintenant, elle allait pouvoir se reposer, et fêter seule cette « anniversaire. »

« Pfiou... C’était crevant. »

Sans regarder s’il y avait quoique ce soit, ou qui que ce soit dans son petit appartement, elle jeta son sac sur le canapé, et s’y installa. L’appartement était dans la semi obscurité, et elle s’affalait sur le canapé. Elle regarda sa bibliothèque... Mmh... Avant de préparer à manger, elle pourrait lire un petit traité théorique sur un sujet au choix. Après tout, cela pourrait continuer à exercer son intelligence ! Car le plus important pour elle, c’était quand même développer son cerveau. Elle avait un joli corps, mais c’était totalement secondaire par rapport à son cerveau. Elle regarda rapidement sa tenue. C’était un cadeau d’anniversaire, une belle robe qui mettait en valeur sa poitrine, assez gênant ça, et qui était d’une blancheur immaculée... Elle comptait bien la retirer pour mettre plus confortable après...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 13 mai 2018, 20:53:55
La « Lactos Company » est à ce jour l’une des plus puissantes keiretsu du Japon. Jadis, la Lactos avait été une zaibatsu, une puissante compagnie qui avait entretenu d’étroits liens avec l’Empire japonais, en développant des drogues et des stimulants destinés à renforcer les capacités militaires des soldats japonais. La compagnie avait développé grâce à cela un important trésor de guerre, qui n’avait cessé de s’accroître à travers les années. Elle avait bénéficié à merveille du miracle économique japonais, de l’essor de la mondialisation. La Lactos était une structure tentaculaire, un conglomérat d’entreprises, de holdings, de filiales, de marques commerciales et d’enseignes. Elle disposait d’une banque, et s’était notamment considérablement développée à l’international, en développant des aides au déménagement, aidant les Japonais à s’émigrer en leur prêtant de l’argent à des taux d’intérêts très raisonnables. La Lactos disposait ainsi d’un budget très opaque, rendant compliqué par sa multitude de sociétés, et ses liens indéniables avec de multiples grandes organisations criminelles.

En France, la Lactos disposait ainsi d’une holding abritant divers sociétés variées. Il y avait également des associations. La Lactos gérait ainsi à distance une association pour la sauvegarde et la protection de l’enfance à Dijon, l’ASPED. En partenariat avec le Tribunal de Grande Instance de Dijon et divers instances administratives, l’ASPED recueillait les enfants orphelins, et assurait leur autonomie, leur indépendance, en louant des studios et des appartements. Une activité tout à fait légale, sous la surveillance de la justice. L’ASPED disposait sur les enfants de l’autorité parentale jusqu’à leur majorité, et s’occupait de toutes les démarches administratives et judiciaires. Il aurait fallu faire d’importantes investigations dans le monde obscur de la finance internationale pour réaliser que l’ASPED était en réalité une officine de la Lactos Company, tant le maillage juridique était épais et compact.
 
La Lactos, au demeurant, tirait sa principale fortune de son lait très spécial, le M.M., ou « 2M », acronyme de « Mummy’s Milk ». Des spots publicitaires défilaient régulièrement pour vanter les mérites du M.M, dont le but était de permettre aux femmes d’allaiter leurs enfants. C’était un lait très particulier, car il venait des glandes mammaires de la femme. Un lait maternel. La Lactos conservait bien évidemment les secrets de fabrication de ce lait unique au monde, qui avait permis à la société, dès ses fondations, de se hisser dans l’échelle sociale. La drogue développée jadis par la zaibatsu, à usage militaire, était d’ailleurs un dérivé du M.M. Il existait certes des études scientifiques et des expertises développées par des agences indépendantes pour souligner le caractère fortement addictif du M.M., mais la Lactos disposait, elle, d’une batterie d’analyses et d’expertises pour commercialiser sans problème ce produit. Plusieurs scandales avaient néanmoins entaché il y a quelques années en Europe la réputation du 2M. La Commission Européenne avait diligenté des expertises, et, en France, des procès avaient eu lieu. Toutefois, la Lactos avait toujours réussi à s’en sortir.
 
Aujourd’hui, Marcus Leblanc (http://img110.xooimage.com/files/6/5/6/300px-rude_ac2-54752e9.jpg) attendait patiemment dans le studio du Sujet n°2003-FR-187, autrement dit le 187ème sujet français sur l’année 2003. Rien de difficile pour Monsieur Leblanc, qui était l’un des Grands Coordinateurs, et avait donc les clefs du logement. Il était venu avec un dossier sur lequel était écrit au feutre noir « Sujet n°2003-FR-187 ». Le nom choisi était « Lucie Martin ». Il avait consulté les données contenues dans le dossier, assis sur le fauteuil. La jeune fille avait, comme tous les autres cobayes, subi les injections du traitement « M.M. 12XB05318 » pendant son enfance, et les résultats avaient été très positifs. Résultat : en pleine puberté, sa poitrine avait gonflé. Il observa les clichés, satisfait.
 
*Un excellent produit…*
 
Légalement, Lucie Martin était une pupille de l’État, au sens de l’article L224-4 du Code de l’action sociale et des familles (https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006796825&dateTexte=&categorieLien=cid). Plus précisément, elle rentrait dans le cas de la première option de cet article : « Les enfants dont la filiation n'est pas établie ou est inconnue, qui ont été recueillis par le service de l'aide sociale à l'enfance depuis plus de deux mois ». À ce titre, le dossier de Lucie comprenait le procès-verbal d’admission par l’ASE, ainsi que le jugement du JAF plaçant Lucie Martin dans les services de l’ASPED. Toute la procédure avait été minutieusement respectée, et personne n’y trouverait à redire…
 
Marcus avait observé les lieux, et sortit de l’appartement, puis attendit dans le hall d’entrée, fumant distraitement tout en consultant son téléphone portable. La première rencontre était toujours la plus délicate, mais il était habitué, à force. Il avait eu le temps de repérer les lieux, et de s’assurer que la cible était seule. Parfois, le sujet avait des relations, des petits-amis, ce qui compliquait toujours les choses. Des contretemps fâcheux que Leblanc arrivait, non sans peine, à gérer.
 
Le sujet finit par revenir, seule, et il lui laissa quelques instants avant de la rejoindre, et toqua à la porte de l’appartement. Autant dire que Marcus était plutôt intimidant, avec son crâne rasé, son corps osseux, son costume-cravate avec un long trenchcoat sombre.
 
« Mlle Martin ? » demanda-t-il.
 
Il enchaîna rapidement :
 
« Je suis Marcus Leblanc, de l’ASPED. Pourrais-je entrer et m’entretenir quelques instants avec vous ? Nous venons d’avoir des informations centrales sur l’identité de vos parents, et… Je voulais vous en parler en personne, plutôt qu’au téléphone ou par mail. »
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mardi 15 mai 2018, 21:59:08
Pff... Elle prit un des livres, un ouvrage de mathématique, et commença à le feuilleter... Enfaite, elle pensait pas que cela allait être très utile. Elle était crevée, bel et bien crevée, et franchement... Et bien, elle sentait qu’elle n’aurait pas le courage de se manger des équations trop compliqués. Même si c’était pour la bonne cause, elle sentait que cela allait être trop pour elle... Après tout, après une journée fatigante, à faire les boutiques, à se promener dans Dijon... Peut-être que cela serait un peu plus simple d’aller se reposer ! De toute façon, demain, elle allait retourner au lycée ! Bref, quoiqu’il en soit, la fameuse Lucie pensait qu’elle allait commencer à se préparer pour aller se coucher. Elle avait mangée, et elle n’avait pas le courage d’écouter la télé et entendre de la politique, de la guerre, et des attentats. Quand soudainement, un bruit la surprit, on frappait à la porte...

« Mlle Martin ? »

« Bon... Bonjour... ? »


Si elle n’avait pas été inquiète quand elle avait entendu toquer, et bien, elle l’était un peu plus quand elle ouvrit la porte. L’homme était un immense bonhomme, qui était chauve et qui était habillée comme un agent gouvernemental... Il ressemblait pas du tout à un homme comme ça, qui venait lui vendre des tickets de tombola. Que voulait-il ? En tout cas, il connaissait son nom. Donc, c’était sans doute quelqu’un qui ne lui voulait pas de mal... Ou en tout cas pas trop de mal. Ou du moins, c’est ce qu’elle espérait du fond du cœur... Elle hésitait sur quoi faire. Fermer la porte le plus rapidement possible ? Non, ça ne serait pas intelligent du tout... Non, elle devait écouter ce qu’il avait à dire... Oui, c’était ça qui semblait à ce stade le plus intelligent...

« Je suis Marcus Leblanc, de l’ASPED. Pourrais-je entrer et m’entretenir quelques instants avec vous ? Nous venons d’avoir des informations centrales sur l’identité de vos parents, et… Je voulais vous en parler en personne, plutôt qu’au téléphone ou par mail. »

« ... »


Elle resta un moment interdite, elle dut bien l’avouer. Alors, si elle ne connaissait pas le nom « Marcus Leblanc » (qu’elle aurait de toute façon confondu avec Maurice Leblanc, l’auteur du Gentleman Cambrioleur) elle connaissait néanmoins bien l’ASPED : l’Association pour la Sauvegarde et la Protection de l’Enfance de Dijon. Bref, une association qui l’avait fortement aidée, et à qui elle devait beaucoup. Connaître cela la rassura immédiatement, étant donné qu’elle savait que l’ASPED était donc une association qui la connaissait... D’où le fait que c’était logique qu’il utilise son nom de famille... Mais tout ça, on parle, on parle, mais c’est que du détail par rapport au plus important de ce qui avait été dit... Le... Le fait qu’ils avaient des informations centrales sur l’identité de ses parents, et donc... Donc...

« OUI ! Je veux dire, oui, entrez ! Entrez ! Oh mon dieu... »

Sa réaction arriva donc une trentaine de seconde après ses déclarations. Oui ! Comme quoi... Les miracles d’anniversaires arrivaient bien... Là, cet homme venait de lui apporter le plus beau miracle de son anniversaire, cela ne faisait aucun doute. Petite, elle s’était posée un milliard de question sur qui étaient ses parents, pourquoi ils l’avaient abandonnés, etc... Mais elle s’était fait une raison, ils ne reviendraient pas, et elle était toute seule maintenant. Donc... Donc, le fait que cet homme arrive avec des informations, ne serait-ce que des informations, et bien... C’était un miracle de la plus haute importance pour elle. Elle s’écarta de suite, et l’invita donc pour entrer le plus rapidement possible. Plus le temps passait plus... Il fallait absolument qu’elle connaisse alors la réalité, ce qui s’était passé. Elle déclara alors confuse :

« Oh mon dieu c’est si beau. Excusez mon émerveillement... C’est juste que... »

Elle n’arrivait même pas à finir ses phrases tellement... L’excitation, l’envie, tout se mélangeait dans sa tête. Qu’allait-il dire ? Qu’allait-il faire ? Elle tremblait de tout son corps, et cela se voyait à sa poitrine, qui gigotait en même temps que son corps. Poitrine qui effectivement avait vraiment toujours plu à ses camarades. Comparée à beaucoup d’autres filles de son âge, elle n’avait pas à se plaindre, franchement, elle était... Bref, ce n’était pas le sujet. Enfin, si, mais pour le moment, la fameuse Lucie n’en n’avait aucune idée, étant donné qu’elle ne savait rien des noirs desseins qui voguaient au dessus de sa tête... Bref, quoiqu’il en soit, la fameuse jeune demoiselle aux cheveux d’or, commença à déclarer au fameux Marcus Leblanc :

« Où sont-ils ? Ils viennent me chercher ? Ils m’ont retrouvés ? Je... Je savais que je ne pouvais pas être laissée comme ça, en m’abonnant ! Vous... Voulez un café ? Un thé ? Je... Je vous écoute !. »

Là, elle commença à vraiment aller très loin. Très très loin. Mais que voulez-vous... L’espoir fait vivre. C’est important pour elle. Elle imaginait que ce fameux Marcus Leblanc allait l’amener à ses parents. Bien entendu, cela ne manquait pas d’avoir la politesse élémentaire ! Quand même ! Quand quelqu’un entre chez toi, tu lui proposes du thé ou un café. Elle avait de quoi faire, bien qu’elle ne savait pas faire du café. D’ailleurs, elle serait bien embêté s’il lui demandait du café, car elle ne saurait pas le préparer, bien qu’elle avait un bocal de café instantané. Bref, de toute façon, on s’en ficha, pensait-elle. Elle ne l’avait dit que pour la politesse, franchement. Ce qui l’intéressait, le plus important, et bien... Et bien, c’était le fait qu’elle allait en savoir plus sur ses parents. Et peut-être même les retrouver. C’était un espoir fou... Mais qui sait...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 21 mai 2018, 02:22:17
Un tel bonheur aurait sans doute pu l’émouvoir. Leblanc savait que la compagnie aimait la compartimentation des données. Une cellule ne devait pas savoir ce qu’une autre faisait. C’était la base du terrorisme, ou de tout bon système d’espionnage. Mais Marcus était un aiguilleur, un contrôleur. Son rôle, c’était justement de relier les différentes cellules entre elles. L’ASPED n’était que l’une des cellules de la très puissante Lactos Company, dont le concept orwellien aurait sans doute pu nourrir les aspirations révolutionnaires de bien des mouvements politiques en France. Il était temps pour la jeune femme de renoncer à cette fausse vie qu’elle se menait, et, en tout cas, de lui dire la vérité... Elle était impatiente, et il sourit doucement.

« Oui, je comprends votre impatience, Mlle Martin. Tout est là-dedans. »

Il désigna du regard le dossier, et entra dans le studio. Marcus prit la liberté de s’asseoir sur une chaise, et ouvrit le dossier.

« Vos parents, bien... Hm... C’est... Vous connaissez la gestation pour autrui, Mlle Martin ? Votre mère biologique. Hmm... C’est... Vous devriez vous asseoir, je ne suis pas sûr que... Que vous apprécierez ce que je vais vous dire. »

Son ton était grave. Si Julie s’attendait à une histoire de fées, elle était loin de se douter de la réalité, de l’amère réalité. Jusqu’à quel point la Lactos Company était-elle liée là-dedans ? Marcus avait beau être un contrôleur, il ne suivait pas non plus toutes les cellules et n’avait pas accès à toutes les branches de la compagnie. La compartimentation, tout simplement. Il se racla la gorge, et parla donc, montrant plusieurs documents : des relevés médicaux, des examens...

« Votre mère était... Une prostituée. Une prostituée très particulière qui... Qui offrait son corps aux couples désirant avoir des enfants, et incapables de procréer pour eux-mêmes. Les informations que la police a récupéré, et que nous avons pu nous procurer en consultant le dossier au tribunal, montrent qu’elle était à son compte. Une sorte de profession indépendante qui payait ses cotisations, tout en offrant des prestations très particulières. Beaucoup de couples ne pouvant pas se déplacer aux États-Unis faisaient appel à elle. »

Il se tut pendant quelques secondes, et enchaîna, avec ce ton posé et professionnel :

« De la gestation pour autrui, Mlle Martin. Voilà ce que votre mère faisait. Les individus qui l’ont payé pour vous porter ont été ses derniers clients. La police enquêtait déjà. Comme vous le savez sûrement, la GPA est rigoureusement interdite en France. De plus, cette femme avait l’assistance de plusieurs médecins, qui faisaient office de rabatteur. C’est par l’un de ces médecins que vos... Hum... Je ne sais pas trop comment les appeler... Bref, c’est comme ça qu’ils ont été mis en contact avec votre mère biologique. Je vous épargne les détails de l’enquête. »

Le dossier comprenait plusieurs photocopies des procès-verbaux. Des documents confidentiels, qui ne pouvaient pas quitter  l’enceinte du palais de justice, mais la Lactos avait ses accès. Le docteur en question avait déjà été repéré par la police, et était mis sur écoute.

« Quand les clients de votre mère ont appris que la police était là, ils ont renoncé à la transaction, et ont fui à l’étranger. Nous avons perdu leur trace en Belgique. »

Il présenta à la jeune fille le jugement du Tribunal correctionnel condamnant sa « mère ».

« Après sa peine d’emprisonnement, votre mère biologique n’a jamais pu se réinsérer socialement. Elle a fait une profonde dépression, et a fini par... Hm... »

Il présenta un autre document, qui était l’acte de décès de sa mère.

« Je suis profondément navré, Mlle Martin. Je... Nous avons obtenu ce dossier il y a plusieurs semaines, et... Nous savons combien vous aviez envie de découvrir votre passé, de... De savoir qui vous étiez, et je... Votre mère a fait une overdose de médicaments dans un studio miteux en banlieue parisienne, entre deux foyers et des passes dans la rue. Je... Mes condoléances. »

Difficile de dire ce que la jeune adolescente avait dû imaginer, quel scénario magnifique son jeune esprit avait pu concevoir sur ses origines... Le pire était que Marcus ne mentait pas. Cette fille avait été abandonnée par ses parents, mais il conservait encore la dernière attaque, la dernière saillie.

« Désolé, mais je dois vous le dire... Votre... Votre mère biologique, elle... Elle n’a pas accouché de vous à l’hôpital. Elle... Elle vous a abandonné dans une poubelle. Elle commençait déjà à être sous l’usage de psychotropes et d’hallucinogènes, et avait dû se convaincre que... Que vous étiez une sorte de... Enfin... C’est la police qui vous a retrouvé, et vous avez été soignée dans un hôpital, avant de finir dans les services de l’ASE. »

Voilà.

Il venait probablement de briser tous les rêves de la jeune femme.

Pourtant, et aussi incroyable que ce puisse être, le pire était encore à venir...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le lundi 21 mai 2018, 13:15:48
Après l’espoir, le désespoir. Voilà comment on pourrait nommer cette réponse. Après tout, là, elle avait imaginée une fin bisounours, où elle retrouvait ses parents comme ça, sans aucune difficulté… Sans se rendre compte à quel point le principe était stupide. Cela sous-entendait donc que ses parents avaient disparus pendant 15 ans, c’est très long 15 ans, et qu’ils n’avaient rien fait pour la retrouver ? Encore une fois, au XIXe siècle, on veut bien croire… Mais en 2018 ? Là où internet et les autorités nous surveillent ? Franchement, c’était de la naïveté touchée d’une petite pointe de stupidité de croire que cela pouvait être possible. Malheureusement, les pupilles de la nations n’étaient pas du genre à retrouver aisément leur parents. Oh non. Au contraire, ils devaient bien souvent attendre longuement avant d’avoir des nouvelles… Et en général, des nouvelles de ce calibre, qui approchait.

Le dossier était devant ses yeux. Elle était intelligente, mais ne comprenez pas tout, il faut dire, l’Entreprise et l’ASPED ne se moquait pas d’elle. Ils faisaient du vrai boulot. Le dossier avait l’air très précis, très travaillée, et surtout, d’une qualité exceptionnelle. Sur ce point, il n’y avait rien à dire, tout semblait montrer qu’on avait affaire à de la bonne came. Franchement, GG à l’ASPED pour cette enquête de qualité, qui montrait avec brio, et un brin d’inquiétude les capacités de l’entreprise pour avoir accès à des documents. Alors, la plupart était quand même des documents qui étaient tout à fait autorisée à l’accès, donc, on pouvait dire que ce n’était pas si inquiétant qu’ils aient tout… Mais quand même ! Il fallait quand même mentionner que cela avait du être un travail de longue halaine...

Mais bon… C’est bien beau de dire ça, mais ils disaient quoi ses fameux documents ? Et bien, la triste vérité. Le père de Lucie était un anonyme qui avait disparu une fois passé la frontière Belge. Sa mère ? Une droguée qui avait vendu son corps, quelques peu différemment qu’une prostituée, et qui était finalement morte, incapable de réinsérer socialement parlant. Une femme qui aurait sans doute vécu bien mieux si la Loi avait été différente, et si la société avait été plus ouverte. Malheureusement, la loi est la loi. On ne peux rien faire contre elle, et il faut bien accepter comment elle marche… Même si c’était dur. Bref, tout les espoirs de Lucie venaient d’être briser. Il fallait bien dire la montagne russe émotionnelle était puissante, violente, et inattendue. Devant tout cela, elle déclara, d’une voix très faible :

« Je… Je vois. Merci de me l’avoir dit. Te… Tenez, voilà du thé. »

Elle tremblait, cela se sentait à… Tout enfaite, il n’y avait même pas besoin pour tout dire de le sentir, cela se voyait. Cela s’entendait à sa voix, qui begayait légèrement et qui tremblait beaucoup. Cela se voyait à ses mains, et ses jambes, prisent de tremblement. Bref, cela se voyait à tout son corps, qui servait le thé. D’ailleurs, en servant le thé, elle en versa quelques peu à côté, sans faire véritablement exprès, juste par incident car elle tremblait trop… Mais bon, au moins, au bout d’un moment, les deux tasses de thés furent remplies, et ainsi, les deux protagonistes pouvaient s’installer pour boire le thé… Enfin, s’ils avaient envie. Peut-être que Marcus Leblanc n’avait pas spécialement envie de boire du thé, et voulait surtout faire sa mission… D’ailleurs, visiblement, même notre protagoniste avait des soucis avec cela, car elle déclara :

« Vous… Vous permettez ? J’ai oublié de fermer le gaz... »

C’était un mensonge, et Marcus Leblanc, en temps que « membre » de l’ASPED devait le savoir. En effet, comment savoir que c’était un mensonge ? Pas de gaz dans l’appartement de notre chère Lucie Martin. Ses plaques étaient des plaques électriques. Donc… pas de gaz à éteindre ou fermer. Alors vous allez me dire avec curiosité… Fallait-il la surveiller ? Non, aucun risque. Déjà, ils étaient au troisième étage. Difficile de sortir par la fenêtre… Et le risque de suicide ? Et bien, Lucie ne pourrait pas passer par la fenêtre de l’étage, elle était trop étroite. Ouf alors ! On pouvait dire que les risques étaient bien amenuie. Après, rien du tout n’empêchait Marcus Leblanc de quand même s’assurer qu’il n’y aurait pas de soucis… Mais là, Lucie avait besoin d’un petit moment seule… Car…

Car elle s’était isolée pour une bonne raison. Elle s’était isolée, car elle pleurait, elle pleurait véritablement, en apprenant ça… Sa mère l’avait prise pour… Pour… Elle n’osait même pas imaginée. Sa propre mère, la considérant comme un… Un déchet ? Non, c’était juste… C’était juste… C’était juste la vérité, et elle ne pouvait rien y faire. Elle devait accepter. C’était difficile, et cela ne lui donnait qu’une envie, c’était de pleurer toutes les larmes de son corps… Mais c’était la triste réalité qu’elle devait bien accepter. Elle passa un petit moment à pleurer, avant de se ressaisir. Elle ne pouvait pas laisser le pauvre monsieur Leblanc comme ça, sans rien, à juste attendre. Bref, ainsi…

« Voilà, excusez moi. »

Elle venait de revenir. Elle s’essuyait ses yeux, elle avait pleurée et tout le monde pouvait le voir, mais c’était fini. Maintenant, elle savait la vérité, et elle était libérée d’un poids. Encore une fois… Au fond, elle s’était attendue à une histoire du genre. Elle n’était pas si stupide. Elle avait eu l’espoir que cela se passe autrement, mais malheureusement, ce genre d’histoire finit rarement bien… Donc, quoiqu’il en soit, maintenant… C’était fini. Elle savait la véritée, et elle pouvait passer à autres choses. Et cela, c’était grâce à son interlocuteur, monsieur Leblanc. Grâce à lui, elle savait la vérité, et elle pouvait passer à autres choses. Se concentrer sur ses études, trouver l’amour, et après, fonder une vraie famille, qui cette fois, ne se finira pas comme la sienne a fini… Heureusement. Mon dieu, si tu savais la vérité…

« Encore merci de m’avoir expliqué. Au moins… J’arrêterai de tenter de savoir maintenant. Je sais la vérité, je suis libre maintenant. »

Très mauvais choix de vocabulaire. Car elle était tout sauf libre, il fallait bien le dire. Mais ça, elle ne savait pas encore. Elle ne savait pas encore qu’il y avait aussi au dessus d’elle de noirs desseins qui approchaient, et qui franchement, risquait gros pour elle… Mais cela, elle ne le savait pas. Elle s’était de nouveau réinstallée sur un fauteuil, devant cette tasse de thé. Elle laissait son interlocuteur boire tranquillement sa tasse de thé, puis elle allait le raccompagner. Bien oui, évidemment. Il n’allait pas rester. Déjà, car elle n’avait plus rien à dire maintenant. Elle connaissait la triste vérité… et voilà, c’est tout. Malheureusement, elle n’avait plus rien à faire. Encore une fois, elle était « libre » maintenant, libre de ne plus se soucier de ce qu’étaient ses parents. C’était très dur à encaisser, mais au moins, c’était fait. C’était fini. Au contraire, pourtant… Tout ne faisait que commencer…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 21 mai 2018, 14:23:43
Quel remords y avait-il à avoir ? Cette fille n’était rien, elle ne représentait rien. C’était dur, c’était cruel, mais c’était ainsi. La société occidentale avait commis une grave erreur il y a des années, en érigeant l’individu en Roi totalitaire et égoïste, en essayant de faire croire que chaque individu avait sa propre appartenance, que la société, la collectivité, devait se mettre au service de l’individu. C’était une erreur, une utopie folle qui négligeait les réalités économiques et sociales. Cette fille n’avait aucune vie, elle n’existait que parce que l’ASPED était là, que parce qu’elle avait été conditionnée, depuis le tout début, pour rejoindre le programme Lactos. C’était un programme d’investissement sur longue durée, qui consistait à sélectionner les profils parmi de multiples dossiers. Des enfants comme Lucie, il y en avait à foison, mais il fallait choisir les bons, selon quantité de critères. Là encore, Marcus ne savait pas trop comment la sélection fonctionnait, car il faisait partie d’une cellule différente, mais ils avait que la Lactos faisait divers tests. Il fallait un profil très particulier, celui d’une fille qui ne manquerait à personne. Lucie n’avait aucune famille, aucune existence. Elle n’était qu’une ligne sur les registres sociaux. De fait, il ne serait guère difficile d’effacer toute trace de sa présence. Elle avait certes un compte Facebook, et quelques amis, mais rien d’insurmontable. Un simple message pour annoncer un déménagement précipité, et tout serait légal. Leblanc se chargerait de contacter le fournisseur d’accès pour rendre le numéro indisponible, et pour effacer ensuite toute trace de Lucie Martin.

Lucie proposa du thé, et Marcus accepta, en rajoutant une condition :

« Je ne prends jamais de thé seul. Laissez, je vais m’en occuper. »

Il comprenait tout à fait que la jeune fille avait besoin de s’isoler. Elle avait sans doute dû s’imaginer un scénario incroyable, comme des parents espions, ou une riche veuve qui chercherait désespérément le fruit d’une relation adultérine. La vérité était terrible, la vérité était injuste, immonde, insoutenable, et était leur meilleur allié. Face à l’insupportable réalité, n’était-il pas mieux de s’enfermer dans un rêve, de disparaître dans un monde meilleur ? Tandis que la jeune fille s’isolait, il prépara le thé, et sortit de la poché intérieure de sa veste un petit sachet blanc. On aurait pu croire à une dosette de sucre, mais ça n’avait rien à voir, et il le répandit dans la tasse de la jeune femme, puis revint ensuite au salon du studio, tout en l’observant rapidement.

Forcément, il allait falloir être très professionnel. Beaucoup de vêtements et d’affaires personnelles à récupérer. Pour le reste, la Compagnie préférait toujours refaire ensuite les appartements à neuf. Autant tout changer afin de tout oublier, et ne laisser plus aucune trace. La jeune femme finit par revenir, visiblement émue, et Marcus lui sourit doucement, avant de prendre une rasade de thé.

« Oui... Oui, en effet. Libre d’accepter votre destinée, Mlle Martin. Je suppose que tout cela doit être dur à encaisser. Que vous vous étiez imaginée beaucoup de choses. Vous n’êtes pas la première, vous savez. La réalité... Elle est souvent vache, hein ? »

Il but encore de son thé, et laissa la femme en boire à son tour. La drogue devrait faire effet assez rapidement.

« La vôtre, j’ai bien peur de l’admettre... Elle est nulle. Vous n’avez aucune attache, aucune famille. Vous êtes née dans une poubelle. La société entière se détourne de vous, ne veut pas savoir quoi que ce soit de vous. C’est la Compagnie qui vous a sauvé, la Compagnie qui vous a placé, qui vous a éduqué, et à veiller sur vous. Et vous avez été un élève très prometteur, Mlle Martin... »

Marcus se releva alors, pendant que la tête de la jeune femme devait commencer à lui tourner. Il se glissa dans son dos, et posa ses mains sur ses épaules, les caressant doucement, appuyant toutefois assez fermement, comme pour l’empêcher de partir.

« Le développement de vos seins, une perfection... Il est temps pour vous de renoncer à vos rêves, Mlle Martin. La Compagnie ne vous a pas donné ce corps pour que vous vous morfondiez dans ce studio vide... »

Il s’écarta ensuite, et la laissa lutter en vain contre la torpeur qui engourdissait ses membres. Ses paupières devaient commencer à devenir lourdes, les sensations de son corps à devenir plus diffuses. Elle posa une main tremblante sur la table, et renversa la tasse de thé en tombant au sol. Le somnifère avait fait son effet. Marcus l’observa silencieusement, puis, placide, sortit son téléphone portable, et appela l’équipe de nettoyage. Et, tandis que la jeune femme s’endormait, l’homme caressa sa nuque, et écarta ses cheveux, avant d’utiliser une lampe spéciale, qu’il sortit de sa veste. Une lueur bleue éclaira le cou de la femme, et fit apparaître un chiffre tatoué dessus, qui ne se révélait qu’à l’aide de luminol.

« F-187 » s’affichait dessus, et l’homme sourit.

« Bon retour à la maison, Sujet-187... » susurra-t-il, presque affectueusement.



Plus tard, la jeune femme se réveillerait dans un environnement très particulier... Une cellule capitonnée, comme dans ces vieux films sur des psychopathes internés de force dans un asile. Elle portait également une camisole de force blanche, et une lumière blafarde l’éclairait...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le lundi 21 mai 2018, 16:12:22
C’était dur à encaisser. Très dur, elle devait l’avouer, mais… Mais il fallait se remettre ! Elle n’était pas rien, elle avait des amis, une classe, des études qui étaient plutôt prometteuse… Bref, il fallait bien le dire, elle n’était pas rien ! Elle pouvait s’en sortir sans trop de difficulté elle pensait. Après tout, elle était sûre qu’il y avait plein d’orphelins qui étaient devenus des très grands hommes ! Des scientifiques, des artistes ! Elle avait des projets, c’était ça le plus important, et tant qu’elle aurait des projets, cela lui permettrait de s’en sortir ! C’était ça le plus important. Maintenant, elle devait vraiment remercier le fameux Marcus Leblanc. Sans lui… Sans doute qu’elle aurait continué pendant longtemps, très longtemps, à chercher ses origines. Maintenant… Et bien, elle savait ce qu’elle devait savoir…

« Oui... Oui, en effet. Libre d’accepter votre destinée, Mlle Martin. Je suppose que tout cela doit être dur à encaisser. Que vous vous étiez imaginée beaucoup de choses. Vous n’êtes pas la première, vous savez. La réalité... Elle est souvent vache, hein ? »

Elle n’aurait pas dit mieux ! La réalité est vache, faut bien le dire. Elle aurait enfaite bien d’autres mots, mais ils étaient particulièrement vulgaire… Et ce sont des mots qui ne se disent pas, qu’on soit clair ! Donc, la mademoiselle Martin offrit un sourire, sans répondre vraiment, puis porta d’abord le thé à ses lèvres. Mmh… Il savait bien faire le thé, elle devait bien l’avouer. Peut-être un peu fort, possiblement, elle n’était pas non plus une grande amatrice de thé, capable de reconnaître un thé et toutes ses nuances d’un simple goût. Bref, quoiqu’il en soit, la fameuse jeune demoiselle restait bien sur son canapé, et remarque que le fameux Marcus avait toujours des choses à dire visiblement, et comme elle était une jeune demoiselle polie, et bien, elle écouta ce qu’il avait dire, c’est ce qu’il faut faire.

« La vôtre, j’ai bien peur de l’admettre... Elle est nulle. Vous n’avez aucune attache, aucune famille. Vous êtes née dans une poubelle. La société entière se détourne de vous, ne veut pas savoir quoi que ce soit de vous. C’est la Compagnie qui vous a sauvé, la Compagnie qui vous a placé, qui vous a éduqué, et à veiller sur vous. Et vous avez été un élève très prometteur, Mlle Martin... »

« Euh… Oui… C’est… C’est vrai mais... »


Elle avait du mal à saisir ce qu’il disait. Entre le fait qu’elle avait la tête qui tournait, et les déclarations qui étaient un peu cryptique… Oui, c’est vrai qu’elle avait aucune attache, et aucune famille. Et c’est vrai qu’elle avait parfois l’impression d’être… Oubliée véritablement par tout le monde… Mais pourquoi disait-il tout ça ? Il venait de se lever, visiblement, et s’installait derrière elle. Il commençait même à la toucher. D’habitude, assez pudique, elle aurait tout fait pour empêcher qu’on la touche… Cela ne se faisait pas… Mais le seul mouvement qu’elle fut, fut un faible mouvement de bras, plus pathétique qu’autre chose, on va bien l’avouer…Ainsi, l’homme la caressait doucement. Ce n’était pas désagréable, mais quand même, et puis… Il s’appuyait sur elle, elle ne pouvait pas bouger...

« Le développement de vos seins, une perfection... Il est temps pour vous de renoncer à vos rêves, Mlle Martin. La Compagnie ne vous a pas donné ce corps pour que vous vous morfondiez dans ce studio vide... »

« Mes… Mes rêves... »


Elle ne comprit rien de ce que disait l’homme… Ses seins ? Une perfection ? Renoncer ses rêves ? Ohlalala… Tout se mélangeait dans sa tête, elle ne savait plus ce qui se passait, et ce qui était vraiment d’arriver… Elle devait se lever. Oui, elle devait se lever, et aller prendre un bol d’air… La pizza devait pas passer ou un truc du genre… C’était sans doute ça… Elle posa sa main sur la table… tenta de se lever… Mais ce fut trop tard. Elle fut enveloppée dans les bras de Morphée, et ne put résister plus longtemps. Elle fit tomber sa tasse de thé, en s’écroulant sur elle-même. Et voilà ! Elle ne pouvait rien faire, elle dormait profondémment, vu la puissance du somnifère, cela allait sans doute durer un moment ! Maintenant, qu’allait-il se passer ? Elle ne pouvait pas le savoir, mais elle avait encore beaucoup à faire. Enfaite, c’était sa vie qui allait vraiment commencer, enfin… Mais elle ne pouvait pas le savoir. Lucie devait laisser sa place à F-187, et plus vite que cela si vous le voulez bien !

***

Quand elle se réveilla, elle avait l’impression d’avoir la gueule de bois… Sacrée exploit, il faut bien le dire, quand tu n’as jamais bu d’alcool ! Et ouais, elle n’avait que quinze ans, et malgré ce qu’avait toujours dis ses amis, et bien, elle n’avait jamais goutté à la moindre goutte d’alcool ! Et c’est très bien… Mais quoiqu’il en soit, elle avait tout les symptomes de la gueule de bois, dont le réveil très difficile, où tu n’arrivais pas du tout à savoir ce qui se passait autour de toi pendant un petit moment. Qu’est-ce qui se passait ? Où elle était ? Qui ? Que ? Quoi ? Dont ? Où ? Ornicar ? Bref, quoiqu’il en soit, Lucie devait absolument se secouer la tête, ce qu’elle pu faire… Et elle déclara, d’une voix complètement pataude :

« Où… où suis-je… ? »

Elle reprenait peu à peu conscience de son environnement. C’était long, mais il faut comprendre que c’est comme ça que ça marche les somnifères, les gens reprennent rapidement immédiatement leur force, et se réveille comme un sommeil normal ! Le corps luttait pour retrouver toutes ses fonctions et être sûre que tout se passait bien. Bref, pour Lucie, il fallait une véritable lutte dans son corps pour être sure qu’elle se réveillait bien. Maintenant qu’elle reprenait bien conscience de son entourage, ses yeux s’habituant à la lumière particulière. Elle devait bouger, s’étirer, pour être bien sûr que ses muscles fonctionnaient bien… Mais malheureusement, tout n’allait pas se passer comme prévu, étant donné que…

« Que... »

Que, c’est bien le bon mot… Elle tenta de bouger son bras… Mais il était retenu par quelques choses. Elle se regarda, et compris alors très vite ce qui se passait. Elle n’était pas dans une position normale, dans une situation normale… Elle était… Littéralement emmitouflée dans une… Une camisole de force ! Oui, comme dans les films, genre la Ligne Verte, le film qui l’a fait pleurer ! À un moment, le connard, il est dans ce genre de tenue ! Mais… Mais pourquoi elle était dans ce genre de tenue ?! Elle n’était pas un connard comme le mec du film ! Elle était une fille gentille et normale ! A l’aide ! Quelqu’un ! Il fallait qu’elle appelle quelqu’un ! Oui, quelqu’un qui vienne l’aider ! Elle secoua de nouveau sa tête, éloignant quelques mèches blondes de son regard, et déclara alors d’une voix un peu affolée :

« Quelqu’un… ? Monsieur Leblanc ? Je… Quelqu’un ? »

Ne… Ne pas paniquer… Ne pas paniquer… Elle avait des sensations, elle savait donc qu’elle n’était pas entrain de faire un mauvais cauchemar. Et puis, elle ne devait surtout pas paniquer. C’était toujours quand on commençait à paniquer que les choses commençaient vraiment à s’agraver. Bref, elle devait rester parfaitement calme sinon, cela allait encore devenir pire ! Sans doute qu’il y avait une confusion, quelques choses qui se passait pas normalement ! Ou peut-être qu’on devait juste lui faire des tests ! Oui, c’est ça, c’était juste des tests, et tout cela, c’était juste une mesure de pure précaution, au cas où il se passerait quelques choses de problématiques… Rester calme… Rester calme… C’était difficile, mais elle pouvait le faire. Elle en était sûre… Sûre… Enfin, elle espérait… Pitié quelqu’un…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 21 mai 2018, 18:56:13
(http://img110.xooimage.com/files/9/a/b/ravenborn_mini-548316d.jpg) (http://img95.xooimage.com/files/b/7/1/lodge-3fdc369.jpg)
Institut Ravenborn

L’Institut Ravenborn, situé dans les Alpes, avait jadis été le manoir d’une riche famille bavaroise. Des propriétaires terriens qui tiraient leur fortune de multiples chalets et appartements de tourisme qu’ils louaient l’hiver et l’été. Suite à un incendie d’origine mystérieuse, le manoir avait été abandonné. Pendant des années, il avait été laissé à l’abandon, tandis que les héritiers de cette riche famille se disputaient. Un procès particulièrement long, car une branche de la famille se trouvait en France, et la seconde branche de l’autre côté du Rhin. Un conflit de droit international, mais aussi une longue enquête policière afin de déterminer les circonstances de l’incendie. Certains des héritiers avaient accusé les autres de l’incendie, afin de pouvoir récupérer un héritage confortable, les héritiers accusés ayant en effet produit des testaments leur octroyant toute la quotité disponible de l’héritage. Le procès avait traîné d’expertises en expertises, et l’affaire judiciaire était devenu un véritable feuilleton. Il y avait eu des recours, et de multiples procès dans tous les sens.

Au bout de nombreuses années, le manoir familial, tombé à l’abandon, avait finalement fait l’objet d’une adjudication. Il avait été racheté par une famille allemande, et avait été reconstruit, rénové, transformé en une maison médicale pour patients mentalement dangereux. Un asile privé, géré par des fonds privés, mais en lien avec les pouvoirs publics français. À ce titre, Ravenborn recevait régulièrement des patients aux pathologies extrêmement lourdes, de sorte que l’Institut était très opaque. Les villages locaux ne cherchaient rien à savoir de Ravenborn, au vu des histoires horribles qui y circulaient sur les patients. De plus, la maison avait la réputation d’être hantée depuis le drame familial qui y avait eu lieu. L’incendie avait en effet tué bien des personnes, y compris des enfants et des bébés. Depuis lors, l’endroit était hanté, et Ravenborn recueillait des sujets extrêmement lourds, des cas psychiatriques désespérés, contre lesquels il n’existait, en l’état actuel des choses, aucun traitement possible. Des gens dont personne ne voulait entendre. L’ARS (Agence Régionale de la Santé) d’Auvergne-Rhône-Alpes ne cherchait guère à savoir ce qui se passait à Ravenborn. L’Institut recueillait des patients dont les hôpitaux psychiatriques ne voulaient plus. Des cannibales, des nécrophiles, des toxicomanes qui étaient tellement défoncés que leur esprit était fracassé, des schizophrènes... Des gens aux pathologies très lourdes, qui n’avaient plus de familles. Soit leurs parents étaient morts, soit ils ne voulaient plus entendre parler de leurs enfants. La seule véritable directive de Ravenborn, c’était d’empêcher les fuites.

De temps en temps, l’ARS examinait les liens, mais les inspecteurs ne menaient qu’une fouille très superficielle, juste de quoi s’assurer que l’Institut tournait bien. Officiellement, Ravenborn était donc un institut tout à fait respectable, qui développait des méthodes thérapeutiques variées, allant du traitement classique par l’injection de médicaments à des méthodes plus alternatives, comme l’utilisation de l’art. Aux inspecteurs de l’ARS, on montrait les patients en train de peindre dans la salle commune, avec une terrasse donnant vue sur les Alpes. Un endroit apaisant et relaxant.

C’est dans ce contexte qu’évoluait le Docteur Albert Lombier (https://i.pinimg.com/originals/05/20/f1/0520f1be9cb50af79cb48d15df0c385b.jpg). Un jeune homme très talentueux, qui avait brillamment réussi ses études, et qui avait rejoint la Compagnie. Il y a quelques jours, l’Institut avait reçu une nouvelle patiente, de la part de Marcus Leblanc. De lui, le Docteur Lombier ne connaissait pas grand-chose, si ce n’est qu’il appartenait à une cellule différente de la Compagnie. Tout comme l’ASPED, Ravenborn n’était qu’une autre des cellules de la tentaculaire Compagnie, à laquelle Lombier appartenait. Mais Ravenborn était une cellule importante. Il y en avait très peu en Europe. Ici, dans cet institut, on formait les futurs patients. Il existait un programme révolutionnaire, qu’on appliquait à tous les patients sans distinction. Évidemment, les programmes ne fonctionnaient pas systématiquement. Lombier avait examiné avec attention le Patient F-187, et avait été ravi de voir que les premiers examens visuels de Leblanc avaient été confirmés.

*Elle est vierge...*

Conscient d’avoir dégotter la perle rare, le Docteur Lombier avait appelé Leona Morimoto (http://img110.xooimage.com/files/6/4/f/leona-morimoto-5483212.png) pour lui dire qu’il avait décroché le gros lot.

« Oui, je pense qu’elle sera parfaite pour l’anniversaire de Morimoto-sama...
 -  ...
 -  Oui, oui, nous sommes dans les délais. Elle s’est réveillée pour de bon, là.
 -  ...
 -  Environ une heure...
 -  ...
 -  Bien sûr ! Je vais commencer de suite... »

Lombier raccrocha son téléphone, et observa, sur son écran, la caméra de sécurité de la chambre du Patient F-187. Il soupira alors, et baissa les yeux. Sous le bureau, la braguette de son pantalon était ouverte, et une femme était occupée à sucer sa queue depuis le début de sa conversation téléphonique. Elle était une femme qui avait connu une grave dépression. Elle avait pris des drogues pour lutter, de l’alcool, développant un comportement schizophrénique, qui avait abouti à ce qu’elle tue son enfant. Son ancienne identité avait disparu définitivement le jour où elle avait rejoint Ravenborn. Avec son esprit fracassé, il avait été aisé de la remodeler. Depuis lors, le Patient F-032 (http://img110.xooimage.com/files/2/d/3/sample_e42f1e2851...7c6654ff-5483237.jpg) était très efficace, et pompait la queue de son Maître, jusqu’à ce qu’il ne finisse par jouir. Il se releva ensuite, et commença à se préparer, avant de voir le Patient F-032 se mettre en position, sur ses pattes arrière.

Souriant lentement, le Docteur Lombier approcha son sexe trempé, le fourra dans la bouche de la femme, et pissa joyeusement en elle, venant remplir son gosier. Il ordonna ensuite aux infirmiers de venir chercher le Patient F-187.



Le Patient F-187 attendait maintenant depuis une bonne heure quand la lumière rouge située au-dessus de la porte passa au vert. Celle-ci s’ouvrit alors dans un claquement, et deux hommes entrèrent. Ils étaient physiquement très similaires, très bien musclés, chauves, avec un numéro tatoué sur leur front. « M-032 » et « M-452 ». Surtout, ils étaient quasiment nus, et amenaient avec eux une table médicale.

Le seul vêtement qu’ils portaient était une grosse culotte noire en latex qui moulait leurs impressionnants chibres.

S’approchant rapidement, ils saisirent avec leurs puissants mains la femme, et la posèrent sur la table, puis entreprirent ensuite de l’attacher à la table. Sa camisole lui fut retirée. Sans cette dernière, elle était toute nue, et ils la transportèrent ensuite. Impossible pour elle de comprendre ce qui pouvait bien se passer, tandis que le chariot se déplaça, roulant sur le sol. Ils longèrent une série de portes fermées, mais une, sur la droite, était entrouverte. Des cris et des couinements se faisaient entendre, et, si la femme tournait la tête, elle aurait droit à un singulier spectacle, celui d’une femme à quatre pattes (http://img110.xooimage.com/files/7/f/4/7f4d175ecb69ae12...cfa167d-5483264.jpeg), portant un bandeau sur les yeux, avec un homme ventripotent derrière, la tenant par une laisse, et qui la pénétra en ricanant.

Ensuite, le chariot continua à se déplacer, et elle se retrouva dans des couloirs plus élégants, où ils la détachèrent finalement du chariot, et la mirent dans un bureau, sur un fauteuil, où on attacha ses poignets et ses chevilles. Les deux infirmiers restèrent ensuite derrière elle, tandis qu’un homme lui sourit.

C’était le Docteur Lombier, et il venait d’attacher au mur le Patient F-032, déclenchant les vibromasseurs de sa combinaison, puis se retourna vers la femme.

« Ah, enfin réveillée ? Tu as bien dormi, F-187 ? » demanda-t-il, sur un ton se voulant extrêmement chaleureux.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le lundi 21 mai 2018, 21:14:34
Cela... Cela faisait combien de temps qu’elle attendait ? Elle n’en savait rien. Sans montre, sans horloge sur le mur, comment pouvait-elle savoir le temps qui passait ? Elle n’avait aucun moyen de savoir si cela faisait dix minutes, une heure, ou deux. Elle pensait quand même qu’elle devait s’être réveillée il y a à peu près 30 minutes, elle dirait. C’était à vue de nez, bien entendu. Elle ne pouvait pas être sûre, à moins qu’une horloge décide de miraculeusement apparaître. Et encore ! Elle ne savait pas quand elle s’était réveillé ! Donc, si on lui disait qu’il était 16h34, ou 09h12, et bien... Cela ne changerait rien de rien ! Bref, elle n’avait aucune idée du temps qui passait, et cela était de plus en plus inquiétant ! Très très inquiétant pour la jeune demoiselle qui commençait vraiment à s’inquiéter...

Non, elle devait absolument rester calme. Rester le plus calme possible. Mais c’était de plus en plus difficile, car tout lui donnait envie de paniquer le plus possible. Elle guettait le moindre bruit, la moindre chose qui montrait qu’elle n’était pas oubliée. Elle tentait de bouger un peu, mais elle ressemblait plus à une chenille oubliée, abandonnée, et qui ne savait même pas ramper... C’est... C’était pas drôle.  Son anniversaire commençait vraiment à être horrible, à vraiment TRES mal se passer, et on pouvait la comprendre. C’est vrai que ce n’était guère le genre d’anniversaire que tu aimes et que tu souhaites passer. Non, c’était plutôt l’enfer à l’état pur... Elle voulait que quelqu’un vienne ! Vienne la sauver !

Et bien, tes requetes sont exaucée, jeune demoiselle ! Enfin... Non, pas tout à fait. Mais au moins, quelqu’un approchait ! C’était déjà ça au moins, on pouvait dire ! Deux hommes. Leur carrure était absolument incroyable, leur muscles étaient saillant, ils montraient plus que tout le fait qu’ils étaient des hommes, virils et musclées. D’ailleurs, elle n’avait même pas besoin d’imaginer... Car ils étaient quasiment nus ! Et oui, ils ne portaient comme vêtement uniquement une sorte de... Culotte ? Sous-vêtement ? Bref, juste quelques choses qui cachait leur sexe... Enfin, qui le recouvrait plutôt, car on devinait parfaitement le sexe sous la matière qui semblait être du latex. De suite, elle eut à rougir. Elle n’avait pas l’habitude de voir ce genre de chose, et elle n’avait que quinze ans. Le sexe, ce n’était pas encore quelques choses qui forcément l’intéressait ! Donc...

Malheureusement, les hommes vinrent jusqu’à elle. Elle tenta de communiquer avec eux... Mais ce fut complètement inutile. Ils ne répondirent pas. Ils se contentèrent de la prendre, la prendre comme un vulgaire sac à patate, et l’installer dessus. Que... Que voulaient-ils ? Elle fut attachée, solidement pour pas qu’elle puisse s’enfuir visiblement. Lucie avait vu quelques films d’horreur au cours de sa vie, et franchement... tout ressemblait à un film d’horreur. Mais le pire était encore à venir... Car on lui retira alors sa camisole de force. Elle tenta de crier non, mais ce fut inutile... Elle se retrouva donc toujours autant immobilisée, elle pouvait aucunement bouger... Mais elle n’avait même plus de vêtement ! Elle était entièrement nue, on pouvait voir tout, aussi bien son intimité, que ses deux beaux seins, sans doute la plus belle partie de la jeune demoiselle.

Elle était déplacée, elle ne pouvait pas bouger, et le tout roulait. C’était interminable, et la jeune fille voyait des tas et tas de portes... Que se passait-il ? Qu’est-ce qu’on lui faisait ? Bon sang, quelqu’un n’importe qui... A l’aide ! Que quelqu’un vienne l’aider ! Mais il y avait personne ! Personne de chez personne, à part les hommes qui poussaient son chariot... Heureusement, une lueur d’espoir s’alluma, quand elle vit une porte, un peu plus loin, entrouverte. De suite, dès qu’elle approcha, elle lança un regard, et tenta de parler, mais ce qu’elle vit la fit taire immédiatement. Une femme à quatre pattes, entièrement nue, si ce n’est un bandeau sur les yeux, et derrière elle, un homme qui avait une laisse, et qui était placée ainsi... Bon sang, elle n’était pas une experte, mais elle... C’était une scène de sexe !

Finalement, elle arriva à destination. Elle fut détachée du chariot, mais ce fut inutile pour elle d’espérer fuir : elle fut immédiatement réattacher à une chaise, aussi bien les poignées que les chevilles. Elle était entièrement attachée et les deux hommes musculeux et quasi nu s’installèrent derrière elle. Mais le reste du décor était tout aussi inquiétant. Un homme de dos, qui attachait ce qui semblait être une femme dans une combinaison intégrale, contre un mur. Elle avala sa salive avec difficultée... Qu’est-ce qui se passait ? Pourquoi était-elle ainsi dans cette antichambre des enfers... Elle n’osait même pas parler, elle était juste terrifiée, et ouvrait des grands yeux. D’ailleurs, quand l’homme se tourna finalement vers elle, plutôt bel homme d’ailleurs, elle mit plusieurs secondes avant de répondre à sa question :

« Ah, enfin réveillée ? Tu as bien dormi, F-187 ? » 

« … Je... Que... Que se passe-t-il ? »


Ce n’était pas très poli ça Lucie ! Quand on pose une question, on y répond ! Sauf que bien entendue, les réponses là n’étaient pas intéressante... Et elle n’avait pas la force d’y répondre, ni le courage, et encore moins l’envie. Franchement... Oui, elle était réveillée, et elle avait bien dormi... Mais on s’en fichait... Là ce qui était important, et bien... C’était le réveil, et ce qu’elle voyait maintenant qu’elle était réveillée... Et cela n’était pas jolie à voir, du tout même. Bref, elle voulait juste savoir ce qui se passait... Elle voulait juste savoir ce qu’on voulait d’elle... Même si franchement, vu la situation, vu ce qu’elle avait vu... Elle pensait savoir ce qu’on voulait d’elle... Et elle n’avait pas envie, pas envie du tout que cela arrive... D’ailleurs, elle déclara !

« Qui êtes vous... Où suis-je... Pitié, je n’ai rien fais de mal... Je... Je ne veux pas être violée... »

Oui... Elle n’avait jamais fais de sexe, mais elle n’était pas stupide... Elle devinait qu’on allait la violer, très certainement. Elle tentait d’apitoyer son interlocuteur... Il semblait pas si méchant en apparence, sans doute qu’il allait prendre pitié ! Mais ouais, elle pensait vraiment qu’elle allait être violée. En même temps, des hommes quasi-nus, et des femmes qui avaient été violées devant ses yeux, même si cela avait été très bref. Bref, vous comprenez un peu la situation... Elle était suffisamment intelligente pour comprendre qu’il y avait un soucis, et que sérieusement, elle allait sans doute y passer... Mais elle ne voulait pas... Elle ne comprenait même pas ce qui se passait, et elle ne comprenait même pas comment c’était arrivé... Elle était dans sa chambre, elle parlait avec un mec de l

« Je suis innocente... Par pitié... Des gens s’inquiètent pour moi.... Jeanne par exemple ! Pitié ! »

Elle avait l’impression qu’elle avait fait quelques choses de mal, qu’on la punissait... C’était sans doute ça... Elle avait connu maintenant son origine, et on voulait qu’elle finisse comme sa mère ? Non par pitié... Elle était très intelligente, et elle avait des amis qui s’inquiétaient sans doute pour elle ! Il fallait les appeler, les faire venir ! Sans doute qu’elle voudrait la sauver ! Elle se souvenait de Jeanne (https://image.noelshack.com/fichiers/2018/21/1/1526929798-lol.jpg), par exemple, sa meilleure amie ! Elle s’inquiétant sans doute pour elle ! Elle qui était une fille forte et courageuse, contrairement à elle ! Elle n’avait jamais pleurée à la mort de ses parents, contrairement à Lucie qui pleurait tout le temps car elle était sans parents... Bref, elle s’inquiétait sans doute pour elle ! Elle n’avait même plus la robe qu’on lui avait offert... Il... Il fallait que l’homme devant elle, comprenne, et ait un peu de pitié... Juste un peu...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 22 mai 2018, 07:33:04
Le Docteur Lombier rehaussa ses lunettes sur son nez. Ce discours, il l’avait entendu tant de fois. Mais il y avait quand même des variantes. Colère, panique, incompréhension, curiosité... Tout cela s’exprimait chez les patients avec une dominance particulière. Chez le Sujet F-187, il sentit surtout l’incompréhension et la peur, ce qui le fit doucement sourire.

« Je comprends que tu te poses plein de questions, F-187. On pourrait discuter longuement des choix de la Compagnie, mais sache que tout ce qui t’arrive n’est que le résultat logique de toute ton existence. La consécration de ce à quoi tu étais destinée. Tu vois, je n’ai même pas eu besoin de connaître ton passé pour savoir que la vie que tu menais était factice, sans espoir, sans futur intéressant. »

Les sujets choisis avaient tous ce même profil. Il ignorait qui était cette Jeanne, mais il faisait confiance à la Compagnie, et ouvrit d’ailleurs le dossier qu’il avait sur son bureau. Il y avait divers documents à l’intérieur, comme la carte nationale d’identité du Sujet F-187, son identité factice, et tout ce genre de choses.

« Lucie Martin. C’est l’identité que la Compagnie t’a doté. Elle t’a mis en placement extérieur pendant quelques années le temps d’observer si le traitement fonctionnait bien... Et, vu la taille de tes seins, je comprends que la Compagnie t’ait rappelé. Tu dois oublier Lucie Martin, F-187, elle n’était qu’un mensonge, qu’une illusion, tout comme tu dois oublier tes amies... Pour elles, tu es morte. »

Il en fit la démonstration en sortant du dossier quelques documents. Le premier était un acte de décès, tamponné par la mairie de Dijon, certifiant que Lucie Martin était décédée il y a quelques semaines. Comment la Compagnie avait-elle fait ? Le Docteur Lombier n’en savait rien, et n’avait guère envie de savoir. Il imaginait mal les pouvoirs de la Compagnie aller jusqu’à la corruption du service de l’état civil de la commune de Dijon, mais il savait que la Compagnie était douée pour modifier la réalité à sa guise. Lucie Martin était morte. Il ne restait plus rien d’elle, et son corps avait été incinéré. Pas de tombes, pas de cimetière. Une existence factice, que personne ne pleurerait. Juste une ligne sur le registre.

Le Docteur Lombier se racla encore la gorge, et se rapprocha de la femme, puis caressa d’une main l’un de ses seins.

« Oui, oui, ils sont parfaits, F-187. Tes résultats sont vraiment exceptionnels, et vierge, en plus... »

Il se doutait que la jeune femme ne devait rien y comprendre, mais c’était aussi une partie du traitement. L’homme pinça le téton, et sourit légèrement, tout excité. De fait, il avait d’ailleurs une érection, en songeant à tout ce que ce produit allait lui apporter.

« La grande patronne de la Compagnie fête son anniversaire d’ici quelques mois. Je compte t’offrir en cadeau à elle. Un délicieux sujet comme toi, vierge... C’est elle qui te prendra ta virginité. Bien sûr, ça ne signifie pas que tu ne seras pas prise ailleurs, le sexe fait partie intégrante de la thérapie... Mais ton hymen sera conservé, bien sûr. La fille de la patronne viendra en personne superviser ta formation, tu as bien de la chance. »

L’homme se permit même de lui sourire, et remonta sa main, caressant le doux visage de la femme.

« Tu ne comprends pas, hein ? On a pourtant dû t’expliquer que tu n’étais rien. C’est la Compagnie qui t’a recueilli, qui a permis de faire de toi la belle poupée que tu es aujourd’hui. Nous allons juste te donner un rôle dans la vie... Un rôle merveilleux et magnifique. Quand tu étais petite, nos scientifiques t’ont injecté des substances très particulières, connues de la seule Compagnie. Ces substances se sont magnifiquement développées chez toi, et concernent principalement tes seins. »

Il lui parlait beaucoup. Le Docteur Lombier en profitait, car, après, F-187 n’aurait plus souvent l’occasion d’entendre les autres.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mardi 22 mai 2018, 09:53:38
Elle était inquiète, terrifiée, elle avait extrêmement peur... Et il y avait de quoi. La corporation n’avait absolument rien fait pour tenter de minimiser l’inquiétude de ses patientes. Sans doute d’ailleurs, ses patients subissaient la même chose, sans aucune hésitation. Bref, Lucie ne savait pas ce qui se passait, mais son imagination faisait un peu le remplacement... Ce qui n’était pas mieux. Enfaite, c’était même pire... Au moins, quand on avait des faits, et bien, on se contentait des faits... C’est comme ça que ça marche... Sauf que là, elle avait son imagination qui imaginait peut-être même pire que ce qu’allait subir... Enfin, cela c’était des suppositions, car on voyait ce qu’elle allait subir... Et bien...

« Je comprends que tu te poses plein de questions, F-187. On pourrait discuter longuement des choix de la Compagnie, mais sache que tout ce qui t’arrive n’est que le résultat logique de toute ton existence. La consécration de ce à quoi tu étais destinée. Tu vois, je n’ai même pas eu besoin de connaître ton passé pour savoir que la vie que tu menais était factice, sans espoir, sans futur intéressant. »

Destinée ? Passée ? Mais elle ne comprenait pas ! Ce n’était pas eux qui avaient décidés de la mettre à Dijon, c’était là où elle était née ! Enfin, elle pensait... Pareil, elle avait été au collège du Parc, puis là, maintenant, elle était au Lycée Carnot, qui était le meilleur Lycée public de Dijon ! Bref, elle avait pas été entièrement contrôlée ! Elle... Cela ne pouvait pas être eux qui avaient décidés cela ! Et franchement, elle... Elle ne devait pas du tout croire ce que disait ce mec ! C’était à fou, la Police allait arriver d’un moment à l’autre, pour la sauver, et arrêter ce fou furieux. Elle était persuadée... Cette histoire allait bien finir pour elle, et pas pour les méchants. C’était forcé ! Forcé de chez forcé !

« Lucie Martin. C’est l’identité que la Compagnie t’a doté. Elle t’a mis en placement extérieur pendant quelques années le temps d’observer si le traitement fonctionnait bien... Et, vu la taille de tes seins, je comprends que la Compagnie t’ait rappelé. Tu dois oublier Lucie Martin, F-187, elle n’était qu’un mensonge, qu’une illusion, tout comme tu dois oublier tes amies... Pour elles, tu es morte. »

« … Quoi. »


Sa réponse fut courte. Choquée... Elle regarda avec des grands yeux horrifiée le document qui était juste devant elle... Oui... C’était un acte de décès. Rien de plus, rien de moins. Elle n’eut même pas le courage de voir comment ils avaient imaginés son décès... Mais cela voulait dire ce que cela voulait dire. Elle était officiellement morte. Cela pourrait être pour plein de raison. Renversée par une voiture, morte dans un incendie, ou même juste glisser sur le carrelage mouillée de sa salle de bain... Tant de possibilités. Et son « corps », ou plutôt un caveau vide avait brûlée. Ses cendres peut-être jeté au dessus d’une décharge municipale... Bref, l’horreur à l’état pure, et elle n’osait même pas imaginée cela... Elle était sous le choc...

« Oui, oui, ils sont parfaits, F-187. Tes résultats sont vraiment exceptionnels, et vierge, en plus... »

Cela fit qu’elle n’eut presque aucune réaction, quand la main de l’homme commença à caresser son sein. Elle eut un frisson, oui, mais elle était trop sous le choc pour tenter d’arrêter. C’était... Quoi... Elle ne comprenait pas... Pourquoi faire ça ? Quel cruauté pouvait amener à faire quelques choses du genre ? Elle était une fille, pas un animal... Elle était une être humaine... Là, ce n’était pas se comporter comme avec un être vivant mais comme avec un animal... Et elle n’était pas un animal. Elle était une fille, une jeune demoiselle. Elle ne pouvait pas imaginer que cela était réel... Mais elle savait qu’elle ne dormait pas... Donc, à moins d’une hallucination extrêmement poussée, elle ne voyait pas comment elle pourrait nier cela... Mais attention ! Ce n’était même pas finie ! Elle avait encore à apprendre...

« La grande patronne de la Compagnie fête son anniversaire d’ici quelques mois. Je compte t’offrir en cadeau à elle. Un délicieux sujet comme toi, vierge... C’est elle qui te prendra ta virginité. Bien sûr, ça ne signifie pas que tu ne seras pas prise ailleurs, le sexe fait partie intégrante de la thérapie... Mais ton hymen sera conservé, bien sûr. La fille de la patronne viendra en personne superviser ta formation, tu as bien de la chance.  Tu ne comprends pas, hein ? On a pourtant dû t’expliquer que tu n’étais rien. C’est la Compagnie qui t’a recueilli, qui a permis de faire de toi la belle poupée que tu es aujourd’hui. Nous allons juste te donner un rôle dans la vie... Un rôle merveilleux et magnifique. Quand tu étais petite, nos scientifiques t’ont injecté des substances très particulières, connues de la seule Compagnie. Ces substances se sont magnifiquement développées chez toi, et concernent principalement tes seins. »

« Vous... Non... »


Elle... Elle n’était qu’un cadeau ? Un cadeau de sexe ? C’était... C’était...  Elle allait avoir une « thérapie » ? La fille du patron allait venir comme ça « superviser » cela ? La compagnie avait tout fait pour elle ? Mais non ! Ce n’était pas eux ! C’était l’ASPED ! C’était eux qui l’avaient sauvé... A moins que... Oui... Elle avait disparue et était « morte » le jour où « Marcus Leblanc » était venue. Alors soit cet homme n’avait pas de chance, et avait disparu en même temps qu’elle, peut-être transformée en colosse comme ses deux mecs derrière elle... Soit il était dans le complot. Et franchement, elle ne croyait pas trop au hasard... Elle était quoiqu’il en soit attachée, perdue... Elle devait tenter le tout pour le tout, car c’était son unique chance... Elle déclara alors :

« Vous ne comprenez rien... Je ne suis pas rien... J’ai, enfin, j’avais des amis, des bons résultats en classe, de la réussite... J’avais 18 de moyenne ! Je suis intelligente, je suis douée, je peux faire plein de choses... Je ne veux pas être violée ! »

Comment pouvaient-ils dire ça, comme ça ?! Elle... elle n’était pas rien. Elle avait encore des amis qui pleuraient sa mort. Elle avait des professeurs qui disaient qu’elle était intelligente, brillante, et qu’elle allait avoir un grand avenir... Des gens n’étaient pas du tout d’accord avec elle ! Elle était très intelligente. Devant elle, elle pensait avoir affaire à un docteur, donc, quelqu’un qui était aussi connu pour avoir eu des très bonnes notes, sans doute quelqu’un de très intelligent. Il allait être d’accord avec elle non ? Ils étaient entre personnes intelligentes ? Bon dieu, elle devait absolument dire quelques choses, le convaincre que ce qu’il faisait, c’était mal, mais qu’il pouvait toujours faire quelques choses pour arrêter ça, pour arrêter cette folie...

« D’accord, vous m’avez fait belle, et je vous en remercie, mais en quoi ça ferait de moi... Rien ? Pitié, ayez de l’humanité... »

En effet, elle devait les « remercier » pour cela. C’est vrai qu’elle était belle. Dès le collège, elle avait fait tourner la tête de plusieurs camarades, et au Lycée, cela n’avait qu’augmenter. Beaucoup attendaient patiemment dans les lycéens sont anniversaires, pour pouvoir officiellement et sans crainte de pédophilie la séduire, et tenter de sortir avec elle. Donc, oui, c’est vrai qu’elle était belle. Et si cette homme disait la vérité, visiblement, il avait fait en sorte de la rendre encore plus belle que ce qu’elle aurait pu être... Mais au fond, elle s’en fichait. Elle était bien plus fière d’être intelligente que d’être belle. Elle était brillante, et cela, on ne pouvait pas lui retirer. On pouvait pas la rendre stupide ou débile... Enfin, elle croyait. Elle croyait vraiment, mais... On ne sait jamais ce qui peux arriver...

« Il n’est pas trop tard pour arrêter ? Vous... Vous pouvez être un héros, et me libérez, me ramenez à mes amies... Elles doivent être très triste de ma prétendue mort... »

En effet... Elle parlait directement à l’homme. Elle ne pensait pas qu’elle avait affaire à un monstre. Sans doute que ce n’était qu’un homme perdu, qui faisait ce qu’on lui disait de faire, car il pensiat que c’était la chose à faire... Mais non ! Mais non, il y a toujours autres choses à faire ! Il y a toujours un espoir ! Franchement... Il devait l’écouter, et lui faire confiance... S’il intervenait, là, maintenant... Peut-être qu’ils pourraient être sauvée tout les deux. Elle le regardait alors avec ses grands yeux dorées. Il devait écouter son coeur. Son précieux coeur... Ainsi, peut-être qu’il comprendrait ce qu’elle voulait dire... Eheh. Elle se mettait le doigt dans l’oeil jusqu’à l’omoplate, c’était le cas de le dire. Mais bon, au moins, elle tentait... C’était presque... Mignon, vous ne trouvez pas ?
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 23 mai 2018, 00:46:04
Le Docteur Lambier ne put que sourire, interloqué devant la naïveté de cette jeune femme. Touchante, si touchante... Mais il ne mangeait pas de ce pain-là. D’excellents résultats en cours ? Ah ! Il sourit doucement, et ne put s’empêcher de lui ébouriffer les cheveux.

« Tu crois quoi, F-187 ? Qu’avoir un 18 à un examen de mathématiques fait de toi un génie ? Il est temps de te réveiller, F-187. Depuis la naissance, nous sommes formatés, de simples produits de consommation entre les mains d’individus puissants. Tu crois que la Compagnie est la seule ? Cela fait des siècles que ce mouvement a lieu, F-187... Ils ont pignon sur rue, maintenant. Les GAFA... Mais il y a bien au-dessus de ça. »

Les GAFA... Un acronyme désignant les quatre superpuissances économiques sur Internet : Google, Amazon, Facebook, et Apple. Un acronyme plus juste serait toutefois GAFAM, afin d’y ajouter Microsoft. Ces cinq puissances dominaient littéralement le monde. Qu’on relise donc 1984. Big Brother n’était qu’un petit joueur par rapport à ces grandes firmes se prenant pour Dieu, allant jusqu’à vouloir affronter la mort, niant tout droit à la vie privée, et ayant compris la leçon essentielle : le consommateur est une donnée économique. Que sont les grands idéaux et les grandes valeurs républicaines face à la puissance d’un tweet, face au plaisir égoïste et narcissique de mettre en avant sa vie privée sur son wall ? Le capitalisme n’était que l’expression moderne d’une forme de domination qui existait depuis des siècles, et la Compagnie en était l’illustration. Quand le Docteur Lambier avait rejoint la Compagnie, il avait eu longuement l’occasion de le comprendre.

Il poursuivit brusquement, sur son envolée :

« Tu ne comprends pas, ma belle, tu es bien trop jeune. L’Histoire est ce qu’on en fait. Les États ne sont plus que des pantins, tu saisis ? Que peuvent-ils faire face à de tels gens ? Nous, nous ne sommes rien. Un héros... Ah ! Désolé, ma chérie, mais, à la fin du bouquin, Winston Smith échoue. Toi, tu auras au moins la chance de ne pas mener une vie factice, à courir après un bonheur qui n’existe pas, et à n’exister que pour le plaisir d’un petit nombre d’individus qui dominent le reste du monde. Toi, au moins, tu vas voir la Vérité ! Alors... Réjouis-toi ! Tu es bien plus chanceuse, car, quand nous en aurons fini avec toi, tu ne connaîtras plus que le bonheur ! »

Était-il un médecin, ou un illuminé ? Réalisant tout à coup qu’il s’était légèrement emporté, il se racla la gorge.

« Désolé. Bon... Au moins, tu es encore consciente de ce qui t’entoure. Nous avons plusieurs mois pour ton traitement, ce qui est somme toute plutôt court. Nous allons donc commencer en douceur. »

Le Docteur Lombier récupéra un étonnant casque de réalité virtuelle, une sorte de gros casque argenté avec des lunettes et des écouteurs. L’un des infirmiers le récupéra, et le posa sur la tête de la femme, écartant ses cheveux pour bien poser les écouteurs. La lunette était pour le moment relevée. Le traitement avait plusieurs phases, et il y avait toujours une étape de brainwashing. Le concept était plutôt simple, et, rapidement, la lunette se posa sur le nez de la femme, puis le Docteur Lombier enclencha un programme particulier, lançant toute une série de vidéos, pendant que le Patient F-187 était déplacé hier.

Devant elle, elle verrait des images sexuelles assez intenses, des films pornographiques où des femmes se faisaient sodomiser. Elles étaient fouettées, battues, humiliées... Des films intenses, tandis que les écouteurs diffusaient le son.

« Salope ! Salope ! Pute ! Chienne ! Salope ! Salope !! TU ES UNE PUTE !! TU ES UNE SALOPE !! TU ES UNE CHIENNE !! ABOIE !!
 -  WWOUFF !! WOUF !! WOUFF !! »


Le traitement commençait, et, tandis que les images se diffusaient, la jeune femme fut attachée sur une sorte de table médicale, dans une grande pièce sombre. On attacha ses poignets et ses chevilles avec des sangles, et les infirmiers la laissèrent là, veillant toutefois à mettre sur son corps une culotte noire en latex, avec une fermeture Éclair à l’arrière.

Elle allait rester comme ça pendant plusieurs heures, à entendre des femmes se faire copieusement insulter, battre, humilier, violer... Les hommes leur pissaient dessus, les giflaient, les fouettaient, sans relâche...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 23 mai 2018, 08:52:07
L’espoir fait vivre ! Elle avait vraiment confiance en la possibilité que tout s’arrange. La naïveté de quand on a quinze ans, comme on dit. On pense que les gens sont gentils, et qu’au fond, tout peux toujours s’arranger. C’est pas beau comme une situation ? Et après, les bisounours se sont des câlins et s’enculent dans le bonheur absolu ! Sauf que évidemment, la vraie vie, c’était pas comme ça. Cela ne marchait pas ainsi, et la fameuse jeune demoiselle aux cheveux blond allait sans doute s’en mordre les doigts... Déjà, elle s’accrochait au fait qu’elle était « Lucie Martin », et pas un simple numéro. Elle ne savait même pas ce que cela voulait dire F-187 ! Elle ne savait même pas pourquoi on l’appelait ainsi !

« Tu crois quoi, F-187 ? Qu’avoir un 18 à un examen de mathématiques fait de toi un génie ? Il est temps de te réveiller, F-187. Depuis la naissance, nous sommes formatés, de simples produits de consommation entre les mains d’individus puissants. Tu crois que la Compagnie est la seule ? Cela fait des siècles que ce mouvement a lieu, F-187... Ils ont pignon sur rue, maintenant. Les GAFA... Mais il y a bien au-dessus de ça. »

Peut-être, oui,  mais ça ne justifiait pas l’esclavage ! Aussi puissante étaient les GAFA, et bien, cela restait des entreprises ! Et si Facebook ou Amazon capturait des gens pour en faire des esclaves ça... ça se saurait pensait-elle ! Elle n’avait visiblement pas lu certains articles sur les conditions de travail chez amazon, pour dire ça. Si elle les lisait, elle pourrait découvrir que si, totalement, ses GAFA aussi engagent des esclaves. À la différence sans doute des autres, la Corporation le cachait mieux, car elle était à la fois plus subtil et moins subtil. Bref, quoiqu’il en soit, Lucie connaissait mal ce monde, et il faut bien l’avouer... Cela ne servait à rien qu’elle commence à tenter de le comprendre maintenant... Elle avait d’autres... Objectifs disons, comme l’expliqua alors très bien le scientifique :

« Tu ne comprends pas, ma belle, tu es bien trop jeune. L’Histoire est ce qu’on en fait. Les États ne sont plus que des pantins, tu saisis ? Que peuvent-ils faire face à de tels gens ? Nous, nous ne sommes rien. Un héros... Ah ! Désolé, ma chérie, mais, à la fin du bouquin, Winston Smith échoue. Toi, tu auras au moins la chance de ne pas mener une vie factice, à courir après un bonheur qui n’existe pas, et à n’exister que pour le plaisir d’un petit nombre d’individus qui dominent le reste du monde. Toi, au moins, tu vas voir la Vérité ! Alors... Réjouis-toi ! Tu es bien plus chanceuse, car, quand nous en aurons fini avec toi, tu ne connaîtras plus que le bonheur ! »

Qu’est-ce... Qu’est-ce qu’il racontait ? C’était n’importe quoi ? Déjà, Winston Smith elle connaissait pas -ouais, elle n’avait jamais lu 1984 d’Orwell... Elle avait plutôt lu Maupassant et Zola au collège puis au Lycée-... Et... La « Vérité » ? Le « Bonheur » ? Mais elle connaissait déjà ça ! Elle était heureuse, triste de pas connaître ses parents, mais elle était heureuse ?! Pourquoi ils voulaient faire ça d’elle ? Qu’est-ce qu’ils voulaient faire d’elle ? Une vie factice ? Quand ils en auront fini avec elle ? Il parlait de façon cryptique, et rien n’était véritablement clair... Ce qui rendait le tout encore plus inquiétant, car elle n’avait aucune idée au fond de ce qu’il voulait vraiment faire... Quoiqu’il en soit, elle avait compris quelques choses... Il ne la libérerait pas... Inutile d’espérer...

« Désolé. Bon... Au moins, tu es encore consciente de ce qui t’entoure. Nous avons plusieurs mois pour ton traitement, ce qui est somme toute plutôt court. Nous allons donc commencer en douceur. »

« Vous... Vous êtes fou ! »


Elle sortit ça comme ça, cela sortit du fond du cœur ! Néanmoins, cela ne servait à rien de résister... L’homme approcha alors avec un casque de réalité virtuel ! La fameuse jeune demoiselle savait ce qu’était les casques de réalités virtuels, mais elle n’avait jamais pu en utiliser. À ce qu’elle disait, Jeanne en avait un... Enfin, elle ne le saura jamais, vu que Jeanne continuait tranquillement ses études à Dijon, et elle, elle était là, dans un endroit qu’elle ne connaissait pas... On lui installa alors le casque de réalité virtuel sur la tête... Qu’allait-il se passer ? On voulait la faire jouer à un jeu ? On voulait lui faire faire quelques choses ? Elle ne savait pas, mais son imagination comme toujours allait à toute vitesse, rendant le stresse encore plus fort, elle stressait énormément, presque autant qu’un lycéen à Parcoursup.

C’est alors que tout commença. Elle avait le son et l’image... Et quel son ! Quel image ! Le son et l’image étaient en lien, vu qu’elle voyait des femmes, encore et toujours se faire violer. Mais c’est là, la spécificité du casque de réalité virtuel ! Elle avait l’impression d’y être, d’être en plein dans ce spectacle, de vivre avec les autres le fait de se faire violer. C’était... Absolument... Atroce. Et dans ses oreilles raisonnaient ses poétiques mots disant qu’elle était une chienne, une salope, une pute... Et qu’elle devait aboyer... Bien sur que non ! Quoiqu’il en soit, les femmes se faisaient sodomisée, fouettée, battue, leur seins étaient maltraitées, leur fesses, c’était insoutenable, et le pire... C’est qu’elle était au milieu de tout ça. Elle vivait l’action, et franchement, cela rendait le spectacle encore plus cauchemardesque.

Sauf que dans les faits, elle ne « vivait » pas cela... Elle vivait bien quelques choses, mais elle l’ignorait vu ce qu’elle avait l’impression de vivre ! Enfaite, son corps, lui, était toujours manipulée. On avait manipulée sa tête, pour tout simplement mettre le casque sans être gênée par les cheveux, mais voilà qu’elle quittait la chaise, pour retourner sur une table dans une grande pièce sombre. Important, ainsi, elle n’avait aucune lumière salvatrice. Impossible pour elle de tenter de retirer le casque, car elle avait les mains solidement attachées, tout comme les pieds. Enfin, elle n’était plus entièrement nue. Comme les hommes, elle avait une culotte noir en latex, faisant que côté érotique, seul ses très beaux seins étaient visibles...

Combien de temps s’était déroulé ? Impossible de savoir... Elle se perdait complètement dans ses images... Encore une fois, contrairement à de simple vidéo où on pouvait avoir encore notion du temps, là, elle n’avait auucne notion. Les hommes de la réalité virtuel continuait à utiliser ses fameux sous l’oeil horrifiée de Lucie. Au début, elle avait hurlée, elle avait criée et s’était égosillée à demander que cela s’arrête... Mais au bout d’une petite heure, elle avait finalement arrêtée de parler, et elle regardait, encore, encore et encore, ses hommes qui fouettaient des femmes, leurs pissaient dessus, les enculaient... C’était un spectacle qui mentalement, lui faisait de plus en plus de mal, et on pouvait juste parfois entendre un petit « pitié » plaintif. Elle ferait tout, tout ce que voudrait le scientifique, juste pour que ça s’arrête...

En tout cas, on voyait bien l’effet sur son corps... Elle était en sueur, et haletait. C’était crevant, ce qu’elle subissait, cela l’épuisait physiquement même. Donc, qu’est-ce qu’on pouvait voir ? Et bien après plusieurs heures, son corps était entièrement en sueur, de la tête au pied, et elle haletait, elle respirait rapidement et bruyamment, tandis qu’un léger filet de bave coulait de sa bouche... Mais il y avait deux autres points bien plus important, bien plus intéressant. D’abord, on pouvait remarquer que ses tétons pointaient. Ses deux tétons étaient bien dur, ses beaux seins étaient donc encore plus intéressant... Mais surtout... Et bien, elle n’avait pas pu se retenir. Après autant d’heures, elle avait fini par s’uriner dessus. Cela donnait à Lucie Martin un air générale assez pathétique, il faut bien le dire... Et ce n’était que le commencement. Le début de sa nouvelle vie.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 23 mai 2018, 22:39:52
Électrocutions, pincements sur les seins, griffures, urines, scènes crades et répugnantes, révoltantes et dégradantes... Des films qui venaient en boucle, avec des voix fortes, entrecoupées de musiques tonitruantes... Des techniques finalement très similaires à ce que les agents de la CIA ou du KGB avaient utilisé pendant la Guerre Froide, ou plus récemment dans certains États du Golfe... Le lavage de cerveaux, ou brainwashing, une technique redoutable, mais contre laquelle on ne pouvait pas lutter. Il y avait cette amusante croyance populaire qui voulait que l’esprit puisse survivre à tout, qu’il puisse être reconstitué, qu’il y avait toujours, finalement, au fond, une sorte de couche de survie, de noyau dur de rationalité. Une étrange conception, utopique. Pour se convaincre du caractère fantasmagorique de cette vision, il suffisait de se rendre dans les ailes de haute sécurité des asiles psychiatriques. Là, on prenait conscience que l’esprit n’était pas invincible, qu’il pouvait se briser, et qu’il n’était pas possible de le réparer.

F-187 n’en était évidemment pas encore là, et, tandis qu’elle se tortillait sur place, la salle se remplit petit à petit. Des talons qui claquaient sur le sol, sans que le sujet ne puisse entendre quoi que ce soit. Sur un écran géant, les images qu’elle voyait étaient toutefois retransmises, permettant ainsi de voir où elle en était. Parfois, F-187 murmurait un faible « pitié ». Elle avait beaucoup hurlé, au début, avant de comprendre l’inutilité de la chose. Mais, surtout, la femme qui dirigeait tout ça apprit qu’elle avait uriné sur elle-même. La culotte en latex qu’elle portait disposait de micro-capteurs très sensibles, et, quand elle se fit dessus, ce fut le signal.

Des bruits supplémentaires... Puis la vision cessa brusquement. F-187 put alors sentir des doigts le long de ses oreilles, et, enfin, les lunettes en réalité virtuelle se retirèrent. La première chose que la jeune fille put voir fut une silhouette noire, sombrer, au-dessus de son visage... Puis, au fur et à mesure que ses yeux se réadaptaient, elle vit cette masse se dessiner, entendit un gloussement... Puis une culotte en latex s’abattit sur la partie basse de son visage. Ses yeux clignotèrent entre les cuisses agréables d’une femme ayant une belle poitrine, et qui l’observa en baissant la tête, assise sur elle.

Une posture très sensuelle (http://img110.xooimage.com/files/7/5/9/leona_sitting-548686c.jpg), et ce d’autant que le public était composé presque exclusivement de femmes dans des tenues aguichantes, des combinaisons en latex, ou de simples corsets moulants... Mais, bien évidemment, il n’y avait de regard que pour la magnifique blonde en tenue rouge moulante, portant un sling bikini avec des collants et des gants, qui observa en souriant F-187.

« Bonjour, toi... Ma petite chienne... »

Leona Morimoto remua de gauche à droite, frottant sa culotte sur les lèvres de la femme. Confuse, la jeune femme ne devait probablement pas comprendre grand-chose à ce qui lui arrivait, si ce n’est qu’une superbe blonde venait de s’asseoir sur elle.

« Tu dois sans doute te sentir très honorée de me voir, je suis Leona Morimoto, la fille unique de la PDG de la Compagnie... Destinée à la remplacer, comme il en a toujours été au sein des Morimoto ! »

La femme se redressa alors lentement, et gloussa légèrement, avant de rajouter, moqueuse :

« Et ma petite chienne s’est pissée dessus... »
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le jeudi 24 mai 2018, 10:17:28
Les vidéos tournaient encore et toujours, elle ne pouvait rien faire. De la bave coulait de ses lèvres, tandis que le spectacle continuait à tourner, encore et encore... Elle voulait juste une seule et unique chose... Que cela s’arrête... Pitié, c’était atroce... Elle n’arrivait même pas à savoir ce qui se passait, qui avait fait ça, mais le plus important... Pourquoi on lui faisait ça ? Pourquoi on lui infligeait ça ? Pourquoi elle devait voir ses femmes se faire électrocuter ? Se faire uriner dessus, griffer, blessée ? C’était juste horrible ! Si le but était de faire comprendre à la jeune demoiselle aux cheveux d’or que l’humanité était pourrie... Et bien, ouais, là, ça marchait. En effet, elle avait bien conscience maintenant que l’humanité était absolument pourrie, et elle avait honte d’y faire partie... Mais elle voulait qu’une chose : que la vérité s’arrête... Car c’était ça la Vérité ? Elle ne voulait plus la voir !!!

Heureusement, comme si on avait entendu ses prières, une fois qu’elle s’urina dessus... Ce fut fini. Elle ne pouvait pas savoir si cela avait un rapport de cause à effet, mais quoiqu’il en soit, la torture était finie... Heureusement, car elle n’aurait pas pu tenir encore des heures et des heures... Son cerveau, malheureusement, continuait à avoir en tête toutes ses images, encore et encore... Cela allait mettre des mois, des années, pour s’effacer de son esprit... Et encore, franchement, si cela s’effaçait un jour, qu’on soit clair... Elle n’était pas sûre de s’en remettre, et franchement, on pouvait voir des larmes couler de ses yeux... L’enfer était sans doute plus doux que cette réalité humaine... Que lui voulait la corporation en lui faisant ça ? Elle ne s’en remettrait jamais...

Mais il était inutile de parler du futur, et concentrons-nous sur le présent, vous le voulez bien ? C’est quand même plus intéressant ! Alors qu’elle avait été mise dans une salle vide, maintenant, elle était bien remplie... De plusieurs femmes. Lucie ne savait pas depuis combien de temps elles étaient là... Une énorme foule, même on pouvait le dire, des femmes qui étaient toutes dans des tenues qu’elle... Qu’elle n’aurait jamais osée voir, ni porter... Après, c’était toujours mieux que sa tenue, tenue qui franchement montrait tout, sauf son bassin, qui, elle venait de le remarquer, était humide... Mon dieu, elle avait pas pu se retenir. Totalement horrifiée par ce qu’elle avait vu... Et bien, elle n’avait pas remarquée ce qu’elle avait fait... Mais il y avait quelques choses de plus important à remarquer, si vous regardez bien...

« Bonjour, toi... Ma petite chienne... »

Et oui ! L’une des femmes en tenue... Bref voilà, n’était pas que... A côté d’elle. Elle était sur elle. Bien sur, la contre-plongée était frappante. La femme était belle, très belle, et cela... Faisait presque plaisir de voir en bonne condition après ce qu’elle avait vécu. Elle était contente de voir une femme qui n’était pas blessée, meurtrie, humiliée. Même si la tenue était... Ce qu’elle était, et bien, elle au moins, elle allait bien. C’était une très belle femme, sans doute, avec des beaux cheveux blond, un peu moins pétant que les siens, et des très beaux seins, plus beau que les siens pour le moment... Mais bref, ce n’était pas ça qui souciait la jeune femme... C’était plus la posiition, enfonçant presque sa culotte dans le nez et la bouche de Lucie... Elle écouta alors la suite des déclarations, destinée à elle, « la petite chienne », comme on l’appelait...

« Tu dois sans doute te sentir très honorée de me voir, je suis Leona Morimoto, la fille unique de la PDG de la Compagnie... Destinée à la remplacer, comme il en a toujours été au sein des Morimoto !  Et ma petite chienne s’est pissée dessus... »

« Pitié... »


Le pitié était totalement cassée, comme sa voix. Cela s’entendait très bien, on sentait qu’elle avait ne serait-ce que du mal à parler... Il faut dire, vu ce qu’il venait de lui arriver, franchement, est-ce cela étonnait quelqu’un ? Non, pas du tout... Elle avait eu quelques heures difficiles, et franchement, cela serait difficile de s’en sortir aussi aisément... Et en plus, elle avait hurlé dans un premier temps, donc sa voix avait prit très cher. Bref, vous avez compris, elle regardait la femme qui était véritablement en contreplongée sur elle... Elle était entièrement dominée par cette Leona, qui avait donc une pleine puissance sur la fameuse Lucie... Aussi bien une puissance physique, vu qu’on la voyait ainsi, qu’une puissance mentale sur la pauvre jeune demoiselle... Mais aussi mentale, comme le montrait sa petite moquerie qui fit de suite mouche, amenant la jeune demoiselle à se défendre du mieux qu’elle pouvait.

« Ce n’est pas ma faute... C’était horrible... Je vous en prie... »

Elle sentait en effet qu’elle s’était urinée dessus... Mais elle avait pas pu faire autrement, le tout avait été si horrible qu’elle n’avait rien pu faire. Il était intéressant, très intéressant même sans doute pour la fameuse Leona de voir à quel point d esuite... Elle cherchait des excuses, elle cherchait à se faire pardonner. Sans doute que des personnes plus fortes accuseraient la fameuse Corporation d’être les responsables de tout ça, et au fond, c’était ce que sous-entendait la fameuse Lucie... Mais là, elle cherchait surtout à ne pas se faire punir, à ne pas se faire tenir comme responsable du fait qu’elle s’était urinée dessus... Bref, elle était fragilisée. Pas brisée, elle avait encore possession de son corps et de son esprit, elle était toujours aussi intelligente et avait conscience de ce qu’elle était... Mais elle était fragilisée. Ainsi, elle déclara, très inquiète...

« Vous... Que voulez-vous me faire... ? Pitié, libérez-moi... Madame Morimoto... Je vous promets, je serais sage... »

Ouah ! Elle ne voulait même pas tenter de s’enfuir, ou quelques choses du genre ! Enfin, il fallait bien se dire qu’au bout d’un moment, sans doute que l’envie de fuir reprendrait... Mais pour le moment, elle était trop... Trop... Trop abimée. Là, elle voulait juste s’éloigner, tenter de se remettre... Elle ne savait pas ce que voulait cette femme qui était installée sur elle... Elle devinait que sans doute que celle-ci n’allait pas être gentille avec elle, mais elle pouvait pas savoir... Qu’allait-il se passer ? Qu’allait-elle lui faire souffrir maintenant ? Alors que son bassin était souillée, elle espérait qu’on allait faire quelques choses, la nettoyer, l’aider à se relever... Ses poignets et ses chevilles lui faisaient souffrir maintenant après avoir tiré comme une folle, elle était en sueur... Seuls ses tétons semblaient montrer une certaine vitalité, comme on pouvait le voir sans soucis...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 28 mai 2018, 20:21:18
Leona Morimoto appartenait à l’élite mondiale. Elle était bien au-delà de tout ce que F-187 pouvait espérer être. Les médias, les journaux comme Forbes, parlaient souvent de ces individus à la fortune colossale. Des individus disposant de dizaines de milliards de dollars... Eh bien, c’était le cas du clan Morimoto. Leona était venue au monde avec une cuiller en argent dans la bouche sertie de plusieurs diamants parfaitement taillés le long de la manche. Elle avait bénéficié d’une éducation exceptionnelle, et, même avant ça, sa mère avait eu recours à une thérapie génique pour s’assurer d’avoir une fille exceptionnelle, unique au monde. L’homme choisi pour l’engrosser avait également été sélectionné sur la base de multiples critères, afin de s’assurer que Leona ne naisse pas au monde avec des tares génétiques. Avec sa fortune, Leona avait suivi une éducation privée dans l’immense manoir familial. Elle était aussi belle que cultivée, et, comme F-187 pouvait le voir, elle portait une délicieuse poitrine, et une assurance incroyable.

Confuse, la femme devant elle venait à peine d’entamer son traitement. Leona, elle, aimait profondément sa mère, et avait été très heureuse d’apprendre qu’elle avait enfin trouvé le parfait cadeau d’anniversaire. Toujours assise sur le visage de F-187, elle se décida à lui parler un peu, profitant du fait que la femme avait encore l’esprit qui continuait à fonctionner :

« Évidemment que tu seras sage, mais je n’aime pas me répéter. Ai-je parlé de te libérer ? Tu es ma chienne, et je ne libère pas mes chiens. »

Il était bon de noter que F-187 n’était même pas dans l’agressivité, mais dans une passivité exceptionnelle. Elle ne cherchait pas à se battre, ni à contester sa situation. Leona en gloussa légèrement, et retourna poser sa culotte sur son visage, remuant un peu de gauche à droite, étouffant à moitié la belle femme. F-187 devrait probablement commencer à ressentir les odeurs corporelles de Leona, qui étaient délicieuses, très agréables. La femme prenait un soin méticuleux et très important de son corps, entretenant sa beauté, sa perfection, tant physique que spirituelle.

« Ma mère m’a appris dès que j’avais huit ans à dresser des chiens... J’ai toujours été très douée là-dedans, avec une nette préférence pour les femmes. Tu les vois autour de toi... Ce sont pour la plupart des filles de salariés de la Compagnie, que nous avons pris, élevé, et cultivé. Il y a aussi des inconnues, des femmes kidnappées. La première que j’ai dressé avait été kidnappée, par exemple. Crois-tu donc vraiment que ton sort sera différent ? Je croyais pourtant que les Français étaient bien éduqués. Tu vis au 21ème siècle, un monde gouverné par des sociétés utopistes qui visent à contrôler le monde. »

C’était le discours du Docteur Lombier. Leona appuya encore davantage sur le visage de la femme, et reprit encore :

« Tu crois que Facebook ne vise qu’à développer un réseau social ? L’objectif de cette compagnie est de contrôler l’information, de décider ce qui relève ou pas de la vie privée... C’est-à-dire rien. Amazon développe un monopole en matière de vente, et cherche à contrôler le savoir, à être le seul organisme qui pourra distribuer et vendre des livres. Notre compagnie n’est pas bien différente. À nos yeux, F-187, tu n’es pas un être humain, tu es juste un produit de consommation. »

L’esclavage post-moderne, un esclavage insidieux, sournois, où l’humain n’était plus vu comme un être digne et égal aux autres, mais comme un simple bien de consommation, qui était là pour suivre le mouvement, et accueillir les produits de multinationales corrompues aux visions grandiloquentes et orwelliennes. Google n’était pas bien différente, et le disait même publiquement : la vie privée n’avait pas d’importance, et ne devait pas en avoir.

Leona se redressa doucement, et posa sa main sur la fermeture Éclair de sa culotte. Elle souleva cette dernière, révélant son intimité, très propre, très épilée.

« Et, en l’occurrence, tu es mon produit. Alors, commençons officiellement les choses, ma petite ondiniste... »

Leona se concentra alors... Et un jet doré jaillit de ses cuisses, tombant sur le visage de la femme. Pendant plusieurs secondes, Leona lui pissa dessus.

« Te voilà marquée bien comme il faut. Maintenant, ma chérie, je vais t’enculer bien fort... Puis toutes les personnes ici présentes vont ensuite te passer dessus ! »

Pour F-187, les choses ne faisaient clairement que commencer !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 30 mai 2018, 23:24:10
La terreur était sensible en la pauvre Lucie... Il faut dire... Ce n’était pas le genre de situation « traditionnelle ». Elle était captive, prisonnière, et qu’on soit clair... Là, et elle le savait bien... Elle n’avait aucune chance de s’en sortir, et encore moins seule. Elle était captive de la corporation, et elle n’était qu’une adolescente. Comment trouver la capacité de s’en sortir toute seule, quand tu es juste une lycéenne ? Elle n’avait aucune compétence en fuite, crochetage... Elle était assez intelligente pour savoir que cela était inutile, complètement inutile... Mais... Mais elle gardait une lueur d’espoir... Peut-être qu’il y avait un moyen qu’elle soit sauvée ? Peut-être que la police allait intervenir pour la libérer de cette histoire de fou ? Malheureusement, même elle avait des doutes sur une happy end...

« Évidemment que tu seras sage, mais je n’aime pas me répéter. Ai-je parlé de te libérer ? Tu es ma chienne, et je ne libère pas mes chiens. »

Une... Chienne ? Elle connaissait l’insulte, et comprenait bien ce que cela voulait dire, pensa-t-elle en avalant sa salive avec difficulté... Elle ne rigolait absolument pas, et elle doutait très fort d’avoir la bonne surprise que cela soit un nom affectif, juste pour rigoler... Elle était... Une chienne ? Elle n’arrivait pas à croire qu’elle pensait cela... Elle était une humaine, elles étaient toutes des humaines dans cette salle... Comment pouvait-on commencer à voir si peu de considérations dans les hommes, pour considérer les autres êtres humains comme des... Chiens ? C’était... C’était terrible comme comportement ! Elle ne connaissait pas cette dame, enfin, elle ne connaissait que son nom, donc, elle ne pouvait pas savoir ce qu’elle comptait faire... Mais elle n’avait pas du tout l’air de rigoler... Heureusement -ou pas-

« Ma mère m’a appris dès que j’avais huit ans à dresser des chiens... J’ai toujours été très douée là-dedans, avec une nette préférence pour les femmes. Tu les vois autour de toi... Ce sont pour la plupart des filles de salariés de la Compagnie, que nous avons pris, élevé, et cultivé. Il y a aussi des inconnues, des femmes kidnappées. La première que j’ai dressé avait été kidnappée, par exemple. Crois-tu donc vraiment que ton sort sera différent ? Je croyais pourtant que les Français étaient bien éduqués. Tu vis au 21ème siècle, un monde gouverné par des sociétés utopistes qui visent à contrôler le monde. Tu crois que Facebook ne vise qu’à développer un réseau social ? L’objectif de cette compagnie est de contrôler l’information, de décider ce qui relève ou pas de la vie privée... C’est-à-dire rien. Amazon développe un monopole en matière de vente, et cherche à contrôler le savoir, à être le seul organisme qui pourra distribuer et vendre des livres. Notre compagnie n’est pas bien différente. À nos yeux, F-187, tu n’es pas un être humain, tu es juste un produit de consommation. »

Encore ce discours... Elle commençait à comprendre où voulez en venir la fameuse femme... C’était un cas classique de « Oui mais tout le monde le fait donc on peux le faire »... Peut-être que tout le monde faisait ça, en effet... Mais cela ne justifiait pas ! Non ! Oui, d’accord, le monde était peut-être contrôler par des multinationales qui vendait les données privaient ! Mais pourquoi cela lui priverait d’être un être humain ? Juste car elle n’était pas née dans la même famille que cette femme ? Est-ce qu’elle accepterait ce qu’elle disait, si la situation était inversée ? Là vous pouviez voir un cas typique de « Je pense des choses très rebelle », mais « je suis bien trop terrifiée pour dire quoique ce soit. » Et ouais... C’était bien beau de penser tout ça, sauf que dans les faits, elle était bien trop terrifiée à ce qui risquait de lui arriver...

« Et, en l’occurrence, tu es mon produit. Alors, commençons officiellement les choses, ma petite ondiniste... »

« Je... »


.Elle ne connaissait pas le sens de « l’ondinisme ». Elle ne connaissait pas Aloysius Bertrand, elle n’avait jamais lu les Gaspard de la Nuit, et pourtant elle était française !  Mais heureusement... Et bien, elle n’avait pas à s’en faire ! Pourquoi cela ? Et bien tout simplement car son interlocutrice... Etait une femme très gentille, et allait lui faire comprendre ! Elle commença alors à lui uriner dessus ! Alors, tout d’abord, il fallait bien comprendre que la jeune française... N’avait pas été très gênée par les « odeurs », la femme prenait très soin de son corps, cela se sentait... Au deux sens du termes d’ailleurs ! Mais malheureusement... Une fois qu’elle commença à lui uriner dessus, de suite, ce fut bien moins agréable. Elle détesta... Mais vraiment... Mais qu’importe ! Elle était là pour apprendre à aimer ça !

« Te voilà marquée bien comme il faut. Maintenant, ma chérie, je vais t’enculer bien fort... Puis toutes les personnes ici présentes vont ensuite te passer dessus ! »

« Attendez, c’est... Je ne suis pas... »

Elle ne savait pas quoi dire, elle ne savait absolument pas quoi dire. Bien entendu, elle voulait dire « non », dire quelques choses qui la sauve... Sauf qu’elle n’était pas (encore) stupide ! Elle savait bine que cela ne servait strictement à rien, elle pouvait pas dire « non » et bam, son interlocutrice allait décider de la libérer, et, je ne sais pas moi, de lui donner des cookies et tout un tas de trucs du genre ! Bref, non, vous avez compris, ça ne se passe pas comme ça ! Bref, elle ne savait pas quoi dire qui lui permettrait de ce sortir de cette situation... Car tout simplement, il n’y avait pas de façon pour elle, là, dans cette situation de s’en sortir ! Non, soyons intelligent deux minutes -tant qu’elle le pouvait encore-, et regardons la situation. Un tas de fille lobotomisée, prête à obéir aux moindre ordre, et une cheffe qui avait une seule et unique volonté là maintenant... Bref, ainsi, elle déclara finalement, après avoir bafouillée.

« Ne... Ne me faites pas de mal s’il vous plait... je... Je n’ai jamais rien fais de telle... C’est... C’est ma première fois »

Si elle ne pouvait empêcher cela... Peut-être pouvait-elle faire en sorte que cela ne soit pas trop... Violent ? Et oui, elle avait peur, faut bien l’avouer ! Et donc, elle espérait que peut-être que si elle arrivait à convaincre de ne pas être trop violente... Elle serait douce... Elle ne voulait pas souffrir, elle avait peur d’avoir mal, il faut bien l’avouer ! Faut dire... Se faire enculer, c’était quand même fort comme première façon de découvrir la vie sexuelle ! Mais bon, il faut bien commencer par quelques choses... De toute façon, là, elle ne pouvait faire qu’une seule et unique chose... Espérer. Sauf que même elle sentait que son espoir était vain. Abandonnait-elle tout espoir ? Et bien... C’est difficile d’avoir de l’espoir dans ce genre de situation, faut bien l’avouer... Il fallait voir ce qui allait se passer, mais cela sentait mal... Très mal pour elle... Surtout vu le nombre de personnes prête à l’enculer visiblement...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 04 juin 2018, 01:04:19
« Sois une petite chienne obéissante si tu ne veux pas que je te punisse. »

F-187 était confuse. Était-ce si surprenant ? À vrai dire, pour Leona, un peu... Après tout, les humains avaient conscience qu’ils n’étaient que de la piétaille, des outils de consommation au service d’immenses entreprises dominant le monde. Le « Grand Complot » mondial dénoncé par des illuminés sur les Illuminatis n’était pas totalement exact. Il n’y avait pas de grande table ronde regroupant les PDG des GAFA et des puissantes multinationales. La concurrence était féroce entre elles, mais c’était elles qui dictaient les règles du jeu. L’époque où l’État pouvait dicter sa loi aux entreprises était révolue. La Lactos Company ne faisait qu’appliquer ce principe, mais il est vrai qu’en France, les gens avaient fait la Révolution. Ils avaient chassé la monarchie absolue, détruit l’aristocratie au profit de la bourgeoisie, en croyant naïvement qu’il suffirait de quelques émeutes pour renverser un fonctionnement établi depuis des siècles.

Leona caressa son visage doucement, et pinça ensuite son nez, avant de glousser doucement, et s’abaissa davantage, venant poser son sexe sur la bouche de F-187. La culotte de latex s’appuya sur ses lèvres.

« Bien sûr que tu seras sage, ma belle, je vais t’éduquer en ce sens. Tu es ma petite chienne, tu m’accompagneras partout avant que je te remette à Maman... »

C’était le plan, un magnifique programme pour F-187.

« Bien sûr, tu donneras aussi de ton corps à la Compagnie, vu que c’est elle qui t’a fabriqué... »

On aurait presque pu envier le sort de F-187. Leona remua davantage, un sourire malicieux, pervers, venant se dessiner sur ses lèvres, puis elle se redressa brusquement. Les sangles retenant F-187 se retirèrent alors. Debout sur la table, Leona l’observa, et l’une de ses servantes lui remit une cravache. Le bout de la cravache se posa sur le nez de F-187, qui pouvait maintenant remuer ses membres, comme pour lui annoncer qu’elle n’avait pas intérêt à faire la rebelle, et à obéir bien sagement.

Leona reprit donc :

« Montre-moi que tu es une gentille chienne, et mets-toi à quatre pattes ! »

Leona ne comptait pas bouger, car, ainsi, elle retarderait toute tentative de fuite. Comme Leona l’avait annoncé, elle allait passer aux choses sérieuses avec elle, et F-187 put voir ce qui l’attendait. Sous ses yeux, Leona rouvrit la fermeture Éclair de sa culotte, laissant apparaître sa délicieuse intimité, et se concentra un peu. Elle ferma les yeux, et, au bout de quelques secondes, un beau mât jaillit. Une belle verge se forma dans un soupir de sa porteuse, se dressant ensuite devant elle, s’accompagnant de deux testicules.

De quoi avoir une assez bonne idée de la suite...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 06 juin 2018, 09:53:48
Bien entendue qu’elle ne voulait pas être punie. Lucie représentait totalement ce qu’on disait de beaucoup d’humains : prêt à accepter l’esclavage, tant qu’ils ne souffraient pas. Lucie ne voulait pas être une martyr de la liberté, mourir pour ses droits, etc... Non, elle ne voulait ni souffrir, ni mourir. Elle voulait vivre. De préférence, bien entendue, elle préférerait vivre libre, et pouvoir faire ce qu’elle veut... Mais elle ne voulait pas trop souffrir, et quand je dis pas trop... C’était pas du tout son objectif. Elle avait peur de souffrir, et le fait qu cette femme voulait visiblement la traiter comme un chien, faisait qu’elle sentait qu’elle ne plaisantait pas du tout, quand elle disait que Lucie devait être une bonne petite chienne obéissante, si elle ne voulait pas être punie... Bref, ainsi, la fameuse maîtresse de Lucie commença à expliciter ce qu’ils voulaient faire.

« Bien sûr que tu seras sage, ma belle, je vais t’éduquer en ce sens. Tu es ma petite chienne, tu m’accompagneras partout avant que je te remette à Maman... Bien sûr, tu donneras aussi de ton corps à la Compagnie, vu que c’est elle qui t’a fabriqué... »

Mais... Mais qu’est-ce qu’ils voulaient d’elle ? Des filles, il y en avait des milliards, et des biens plus jolies et mures qu’elle ! Et surtout, que voulaient-elle vient dire par « elle qui avait fabriquée » la jeune fille ? Bon, pour ce qui est de donner son corps, elle avait bien compris maintenant, la Compagnie visiblement faisait avant tout du proxénétisme... Et ouais, elle ne savait pas, mais elle se mettait le doigt dans l’oeil jusqu’à l’omoplate. Elle avait été crée, fabriquée pour autre chose... Mais pour le moment, accompagner partout cette femme ? Attendez, est-ce que cela voulait dire qu’elle allait peut-être sortir à un moment ? Cela serait son unique chance de s’en sortir. Après tout, elle était une fille intelligente, douée, et maligne... Mais pour le moment, elle devait se concentrer sur ce qui se passait... C’est à dire ce qu’elle allait devoir faire.

« Montre-moi que tu es une gentille chienne, et mets-toi à quatre pattes ! »

Elle regarda à droite et à gauche. Elle était libérée maintenant de ses emprises... Et elle réfléchissait à toute vitesse... Elle pourrait tenter de s’enfuir, là, maintenant... Mais plusieurs choses faisaient qu’elle ne pouvait pas fuir... Déjà, le fait qu’elle avait... Qu’elle voyait... Une... La femme était entrain de se faire apparaître une... Un... Elle savait même pas quoi penser, du fait qu’elle venait de voir la femme se faire pousser une bite. Elle avait étudiée la biologie, et ça, elle savait que c’était pas possible. C’était pas humaine possible... Quand on rajoutait ce choc, au fait qu’ils y avaient BEAUCOUP de femmes ici présentes, et qu’elle avait mal aux articulations, car rester autant de temps attacher, ça limitait grandement des possibilités de fuites... Et bien, ça faisait qu’elle était dans une position très inconfortable, et que ses espoirs de fuites étaient bien faibles... Donc... Qu’allait-elle faire finalement ?

Comprenant que cela servait à rien, elle s’installa alors à quatre pattes. Elle montrait bien son fessier, et sa chatte, toujours encore un peu souillée par sa propre pisse. Cela ne changeait pas grand chose, car son visage l’était de l’autre côté, par celle de Leona... D’ailleurs, on pouvait voir au niveau de son visage, des gouttes d’or goutter encore de temps en temps. D’autres glissaient alors sur ses beaux seins... D’ailleurs, le fait qu’elle était maintenant à quatre patte, faisait que ses deux beaux seins pendaient, c’était sans doute ce qui était le plus beau chez elle. Et oui, faut bien le dire, elle ne pouvait pas le savoir, mais l’une des choses les plus importantes chez elle, et bien, ça restait sa poitrine. Elle n’était pas encore achevée, mais elle était en bonne voie pour cela, cela ne faisait aucun doute...

Mais comme toujours, il était inutile d’aller trop loin, trop vite. Il fallait se concentrer sur ce qui se passait là maintenant. Notre fameuse jeune demoiselle tremblait. Elle avait encore en tête toutes les images qu’elle avait vu, en boucle et en boucle... Et franchement, elle avait en toute logique peur que cela arrive à elle. Elle savait qu’on voulait visiblement l’enculer. C’était visiblement cela qui était au programme pour elle... Mais... Si elles décidaient d’aller plus loin... Et surtout... Elle n’allait jamais tenir à se faire enculer par... par toutes ses personnes ! Elles étaient toutes si-nombreuses, cela n’allait pas être possible d’humainement tenir à tout ça.. Franchement, l’une des grandes questions qu’elle se posait, c’était... Par bon Dieu, qu’allait-on faire d’elle ? On comptait la violer, encore et encore, jusqu’à l’offrir, emballer, enfermer dans une valise, un papier cadeau autour de tout son corps ? Elle ne savait pas, mais elle devait réfléchir, user de son intelligence pour tenter de trouver un moyen de s’en sortir. Et le tout vite...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 11 juin 2018, 00:44:00
Très rapidement, tout se mit en place. F-187 n’émettait aucune résistance, semblant juste indécise sur l’issue à donner à cette scène. Il était fréquent que les sujets d’expérience, au moins au début, se révoltent. Ils vivaient dans l’illusion de la liberté depuis leur enfance. On les biberonnait avec les droits de l’homme, on leur disait que tous étaient égaux devant la loi, et eux croyaient alors avoir autant d’importance que les puissants de ce monde. Mais, en réalité, peu importe comment des gens comme ça réussiraient, ils n’auraient jamais vraiment le pouvoir. Le pouvoir, le vrai pouvoir, celui de diriger des sociétés, d’influencer les foules, les masses, ce vrai pouvoir était détenu depuis des éons entre les mains d’une caste bien précise, qui vivait dans un monde totalement différent du leur. Leona était née richissime, mais l’argent n’avait jamais été son but premier. Elle poursuivait des buts de grandeur, d’évolution et de changement profond de la race humaine. Comme Facebook voulant détruire la vie privée, Google voulant vaincre la Mort, la Lactos luttait contre la liberté individuelle et contre l’égalitarisme, contre ces mensonges modernes. F-187 n’était pas son égale, elle était une créature insignifiante, comme bien des êtres vivants sur ce monde. Leona sourit donc en la voyant se mettre en position, réalisant que son cadeau d’anniversaire serait très certainement prêt pour sa mère !

Elle se tenait devant la table, et plusieurs filles s’approchèrent. La culotte de F-187 lui fut retirée, et on lui enfila à la place une culotte en latex assez particulière, avec quelques flacons attachés sur le devant. Il n’y avait qu’une seule fermeture Éclair à hauteur des fesses, et rien sur le devant. Une autre fille s’agenouilla devant Leona, et entreprit de lécher son membre, préparant ainsi le rituel qui allait suivre.

« Tu peux désormais pisser dans ta culotte, ma chienne. Cette culotte particulière est une création maison, qui stockera ton urine dans les flacons accrochés à ce dernier. »

Qu’adviendrait-il ensuite de ces flacons ? Une autre fille lécha alors le fondement de F-187, venant la préparer, dilatant ses parois. Leona rajouta ensuite :

« Tu les boiras ensuite. »

Humiliation, ondinisme, rabaissement... C’était désormais le quotidien de F-187. Pendant plusieurs minutes, son fondement fut léché, préparé, puis les filles s’écartèrent ensuite. La cravache de Leona fouetta ensuite le postérieur rebondi de la femme, et elle posa après cela ses mains sur son fessier, pinçant ses fesses à travers sa culotte de latex, sa queue tendue venant s’approcher de sa croupe.

« Bon, je t’ai assez fait patienter, ma chienne... Couine bien pour moi. »

Leona se concentra alors, et enfonça son membre chaud dans le cul étroit de F-187, ses doigts se crispant dessus. En un sens, elle regrettait de ne pouvoir prendre la virginité vaginale de la femme, mais... À défaut, elle se contenterait volontiers de son cul ! Un sourire pervers se dessina sur les lèvres de la riche femme, qui se les pinça ensuite en sentant la résistance du corps de la femme. Elle se replia, puis réitéra son office, s’enfonçant à nouveau en elle, un grognement s’échappant de ses lèvres.

« Hnnn... Ton cul de salope est... Si étroit, haaaa... !! » commenta-t-elle.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 13 juin 2018, 20:14:08
Elle allait s’en sortir. Courage, elle allait souffrir, oui, mais elle allait s’en sortir. Pourquoi cela ? Et bien, car elle était intelligente, calme, et réfléchie. La preuve : elle « obéissait » pour le moment, bien contre son gré, histoire de tenter que sa tortionnaire soit plus douce avec elle, ait de la pitié, ou alors croit qu’elle était désormais bien dominée… Mais en vrai, et bien, elle avait beau avoir été relativement traumatisée par ses images, qui ne disparaisseraient jamais de son cerveau, elle restait une fille doté d’un cerveau, et elle pouvait tenir. Elle se devait de tenir, d’ailleurs, si elle ne voulait pas céder… Elle restait calme, tandis qu’on lui retirait sa culotte, pour lui en mettre une nouvelle… Une nouvelle qui ne pouvait pas se retirer d’elle-même encore, mais… Mais qui ne s’ouvraient pas pour son intimité… Bonne nouvelle, elle ne serait pas violée vaginalement… Mauvaise nouvelle… Pour uriner elle devait… Donc… Faire…

« Tu peux désormais pisser dans ta culotte, ma chienne. Cette culotte particulière est une création maison, qui stockera ton urine dans les flacons accrochés à ce dernier. Tu les boiras ensuite. »

C’était... C’était immonde… Elle… Ne voulait pas boire son urine, c’était dégueulasse… Heureusement, elle s’était déjà urinée dessus depuis un peu plus tôt… Donc, elle n’avait pas encore envie. Mais bref, trève de blabla, car pendant ce temps là, et bien… On continuait de la préparer pour ce qui allait suivre… Et ce qui allait suivre allait être torride, et surtout, elle n’était pas prête… Bien sur, on continuait de la lécher, lui faisait échapper des soupirs et des petits couinement de plaisir… Elle découvrait tout juste qu’on pouvait vraiment ressentir du plaisir par là… Mais malheureusement, ce plaisir n’allait pas durer longtemps… Etant donné que derrière, il y en avait toujours une qui se préparait...

« Bon, je t’ai assez fait patienter, ma chienne... Couine bien pour moi. »

« Pi... Pitié... »


Elle sentait son anus s’élargir quelques peu… Mais pas dans le bon sens. Oh non, pas du tout dans le bon sens, étant donné que progressivement, son anus s’élargissaient pour faire entrer quelques choses à l’intérieur… Son anus qui faisait de la résistance, tentant d’empêcher visiblement ce qui était entrain de se passer… Pour Lucie, bien sûr, cela la faisait gémir de douleur, et « sa chienne », comme disait très bien Leona, et bien, faisait exactement ce qu’on lui avait demander… Elle ne pouvait que couiner devant un tel traitement de son fondement, n’ayant, encore une fois je me répète, mais je pense que c’est assez clair… Et bien, elle n’avait jamais fais ça ! Sa première fois, la rupture de sa virginité anale était donc tout à fait nouvelle pour elle… Ainsi, quand son interlocutrice déclara quelques choses, la réponse fut assez évidente.

« Hnnn... Ton cul de salope est... Si étroit, haaaa... !! »

« Non... Arrêtez... »

Oui, par pitié… Arrêtez… Ce n’était pas un traitement adaptée que cela soit pour un humain… Mais même pour une chienne ! Même une chienne méritait plus de considération non ? Franchement, là… C’était douloureux, méchant, et franchement, où il y avait le plaisir ! Pour elle, il n’y avait que, et uniquement de la violence. Et ouais, elle n’allait pas encore ressentir du plaisir, il était trop tôt, c’était que sa première fois. Peut-être quand son anus se sera fait maltraitée des centaines et des centaines de fois, là, cela allait marcher… Mais malheureusement, pour le moment, cela faisait mal, c’était beaucoup trop gros pour elle… Il fallait qu’elle s’en sorte, c’était trop douloureux, et elle priait pour que cela finisse… Encore une fois, elle tentait de mettre en avant une fibre de pitié, et elle déclara, alors, d’un ton plaintif qui se voulait le plus pathétique possible, pour tenter de faire arrêter son interlocutrice… Il n’y avait aucune chance, mais qui sait… Peut-être que…

« C’est... C’est trop gros... Ca... Ca me fait mal ! »

Oui, ça faisait vraiment mal. Pourtant, elle faisait rien pour tenter de s’en sortir ! Et ouais, elle était quand même dans une position totalement passive et obéissante… Pas étonnant que tu vas mal finir ma vieille ! Toujours à quatre pattes, les quelques coups de reins, enfonçant progressivement le phallus dans son anus, faisait que tout son corps d’adolescente se retrouvait à ballotter, faisant que ses deux seins continuaient de pendre misérablement. Ses beaux cheveux blonds voltigeaient, te elle continuait de couiner de douleur… Elle voulait que ça stoppe, elle ne voulait pas que ça continue, car… Car c’était bien trop douloureux pour elle ! Elle n’était pas une chienne ! Elle voulait que ça stoppe ! Par pitié ! Sauf que non, elle avait mit le pieds dans un engrenage qui faisait qu’elle ne pourrait plus s’en sortir. De toute façon, depuis qu’elle était arrivé ici… C’était fini pour elle… Mais bref, elle espérerait presque que revienne le scientifique à ce stade…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 18 juin 2018, 00:35:30
Leona allait prendre bien soin de sa chienne, elle allait sagement la préparer, afin qu’elle soit pleinement opérationnelle pour sa rencontre avec sa mère. C’est que, mine de rien, Leona était tout de même une fille aimante. La grande loterie de la vie lui avait permis d’être la fille surdouée et extrêmement belle de l’une des personnes les plus puissantes du monde. Leona se devait tout de même d’être reconnaissante, d’autant qu’elle partageait avec sa mère des moments forts de complicité. C’était sa mère qui lui avait appris à dominer les autres humains, à les mépriser, à leur pisser dessus. C’était sa spécialité à elle, l’ondinisme. Elle ne saurait pas trop dire pourquoi, mais, assez rapidement, la jeune Leona avait pris plaisir à uriner sur la tête de ses esclaves. Une attitude qui n’était jamais totalement partie, même si, maintenant, elle aimait aussi énormément le sexe. Leona vivait clairement dans un autre monde que F-187, celui des orgies démentielles, des fêtes somptueuses, des excès incroyables, le monde des ultrariches. Car la famille de Leona était richissime à souhait. Même les études économiques de Forbes sur les plus grandes fortunes mondiales n’étaient pas à la hauteur pour décrire le colossal patrimoine des Morimoto, un patrimoine qui surclassait le PIB de certains pays pauvres.

F-187 ne pouvait imaginer dans quelle sphère Leona voletait. Elle était comme une Déesse à ses yeux, et, de fait, le simple fait que Leona daigne honorer F-187 de sa présence devrait inciter cette sale chienne à être plus obéissante. Agacée, Leona claqua des doigts, et deux femmes s’approchèrent, tenant des fouets, et fouettèrent le dos de la femme, la battant sans ménagement.

« Pour qui tu te prends, hein... ? Hmmm... De quel droit une sale chienne comme toi ose me parler ainsi... ? Me... Me supplier, haaaa... »

Les fouets frappèrent encore, et Leona la gifla sèchement, avant de reprendre ses explications :

« Tu sais, l’Olympe est une mythologie qui a été basée sur de vrais personnes. Des individus si forts, si populaires, qu’aux origines de la Grèce antique, ils se sont déifiés. Ils avaient droit de vie et de mort sur leurs sujets... Crois-tu donc que tout cela a disparu ? Hah, pauvre conne ! Tu es une chienne, MA chienne ! Les gens mourraient pour avoir ce privilège ! Moi, et tous les autres, nous sommes les Olympiens du troisième millénaire ! »

L’arrogance de Leona semblait sans limite, et elle recommença à la bourrer, faisant hurler F-187. La belle blonde n’avait aucune échappatoire, aucune chance de survie, aucun moyen d’échapper à cette séance qui se poursuivait inlassablement. Leona la prenait donc, faisant crisser sa tenue en latex.

« Aboie, sale pute... Aboie, tu es ma chienne !! »

Et, pendant ce temps, les esclaves posèrent sur les seins de F-187 deux pinces reliées entre elles par une fine chaîne argentée. Il fallait prendre soin de la chienne, après tout...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le jeudi 21 juin 2018, 08:20:57
La sodomie n’était pas quelques choses de facile de suite ! En effet, il fallait comprendre que quand vous débutez la sodomie, bah au début, c’est pas la grande joie ! Surtout quand c’est contre votre gré, bah, c’est ce qu’on appelle un viol, déjà, mais on pouvait être quasi sur que Leona s’en contrefichait complètement de l’avis de la fameuse jeune femme. De toute façon, elle la considérait déjà comme une chienne, donc franchement son avis sur ce genre de truc, sans doute qu’il était extrêmement secondaire, et qu’au fond, elle s’en fichait qu’elle souffrait. Mais visiblement, si elle s’en fichait qu’elle souffrait, cela, on l’a bien compris… Et bien, elle ne se fichait pas de ce que disait la fameuse Lucie… Car vis à vis de ces déclarations, voilà ce qu’elle répondit…

« Pour qui tu te prends, hein... ? Hmmm... De quel droit une sale chienne comme toi ose me parler ainsi... ? Me... Me supplier, haaaa... »

« AIE !!! AIIIIIE ! »


Il faudrait mieux pour que cela s’arrête qu’elle se taise, n’est-ce pas ? Malheureusement, elle n’y arrivait pas. Elle couinait, et hurlait de douleur, alors que le fouet venait mordre sa peau. Il fallait l’excuser, pour beaucoup, elle n’avait jamais été fouettée auparavant dans sa vie… Et ça faisait mal, on va pas le cacher ! D’ailleurs, cela se voyait sur son dos, son dos qui se marquaient des marques de fouets, qui se gravaient dans sa peau. Sans doute qu’elle allait même un peu saignée. Après, sans aucun doute, si elle avait été régulièrement torturée dans sa vie, cela se serait mieux passée… Mais là, il fallait se rappeler que jusqu’à il y a quelques jours, elle avait été une adolescente normale, vivant une vie normale, et qui n’avait pas l’habitude de tout ça…

« Tu sais, l’Olympe est une mythologie qui a été basée sur de vrais personnes. Des individus si forts, si populaires, qu’aux origines de la Grèce antique, ils se sont déifiés. Ils avaient droit de vie et de mort sur leurs sujets... Crois-tu donc que tout cela a disparu ? Hah, pauvre conne ! Tu es une chienne, MA chienne ! Les gens mourraient pour avoir ce privilège ! Moi, et tous les autres, nous sommes les Olympiens du troisième millénaire ! »

Oui… C’était une théorie assez ancienne qui dirait que les Dieux Grecs, enfaite, avaient été des héros des temps anciens -X-XI siècle avant J.C.- bien souvent, et qui auraient été déifié par les populations, créant les dieux qu’on connaît. Cela portait un nom… Mais évidemment, vu la situation, elle n’était pas trop en position pour en parler ! Non, elle était fouettée, maltraitée, et la femme faisait crisper le latex tandis que son phallus continuait de faire son chemin dans l’anus toujours recalcitrant de la fameuse Lucie Martin ! Celle-ci couinaient, mais ne se plaignaient plus, tout ce qu’on entendait pour le moment, c’était ses petits cris de douleurs, de plaintes, montrant qu’elle souffrait toujours autant, mais qu’elle avait eu la présence d’esprit d’arrêter de se plaindre pour ne pas se faire refouetter !

« Aboie, sale pute... Aboie, tu es ma chienne !! »

« OUAF ! »


Alors que plusieurs femmes s’approchèrent des deux beaux seins qui pendouillaient, et installèrent une pince sur les tétons, le tout reliée à une chaine en argent -ou seulement argenté, impossible de savoir du premier coup d’oeil, notre fameuse vache, je veux dire chienne, je veux dire Lucie aboya pour la première fois. Ce ne fut pas un petit « ouaf » discret, ce ne fut pas un « pitié, je ne veux pas aboyer », suivi d’un ouaf… Non, c’était un vrai cri qui venait du fond du coeur… Pourquoi cela ? Et bien, car elle espérait vraiment que si elle aboyait, elle aurait la chance que cela s’arrête, que cela s’arrête vraiment une bonne fois pour toute… Donc, on obéissait, c’était un principe célèbre : Si tu obéis, tu te dis que tu ne vas pas te faire trop torturer… Donc, elle aboyait… Et ce n’était pas fini, étant donné qu’elle déclara après !

« OUAF OUAF ! OUAF OUAF OUAF ! »

Elle continuait d’aboyer, alors que la sodomie continuait son passage… Celle-ci devait être un poil, je dis bien, un poil plus facile, mais restait grosso-modo assez compliqué, étant donné que la fameuse Lucie n’aidait pas à cela. Donc, c’était du perdant-perdant, étant donné que la fameuse Lucie n’en n’avait que plus mal. Comme elle n’arrivait pas à se relacher, à se libérer, et bien l’ensemble ne faisait que devenir douloureux, encore plus douloureux, toujours plus douloureux. Mais il y avait un peu d’espoir, étant donné qu’elle obéissait de plus en plus, donc son corps se relachait quelques peu, tandis qu’elle commençait à suivre les vas et viens, faisant rebondir avec enthousiasme ses seins, et faisant voltiger ses cheveux.

« OUAAAAAAF ! »

Elle hurla un grand ouaf, faisant qu’elle était ça y est, profondément humiliée… Mais elle se devait de tenir le coup… Car elle était pas une chienne, au fond. Elle le savait, elle devait juste le faire, car elle était obligée et maltraitée, très fortement maltraitée ! Cependant, si elle essayait de tenir le coup intellectuellement parlant, dans l’espoir… Et bien, elle devait bien avouer qu’elle n’avait plus beaucoup d’espoir… On ne viendrait pas la sauver, on ne viendra pas la chercher… Mais elle devait tenir, car elle ne voulait pas souffrir. Tout ce qu’elle voulait, c’est que cette maudite sodomie s’arrête, et qu’on la laisse tranquille, qu’on la laisse dormir, qu’on la laisse manger… Bref, qu’on la laisse être une chienne, s’il fallait, mais qu’on ne lui fasse pas de mal...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 25 juin 2018, 00:47:13
Aussi belle que fatale, Leona Morimoto continuait à s’enfoncer dans le cul de F-182. En soi, il était un peu indigne de son statut qu’une telle femme s’abaisse à venir former les futurs produits de la Lactos Company. Elle avait bien d’autres choses plus intéressantes à faire. Après tout, elle était destinée à conquérir le monde, à diriger l’une des plus puissantes compagnies de la planète, et même de l’Histoire toute entière. Quand Francis Fukushima avait analysé la « fin de l’Histoire », il n’avait, techniquement, pas eu totalement tort. La chute de l’URSS avait symbolisé l’avènement définitif des puissantes corporations, des familles ancestrales qui, depuis des éons, se partageaient la majeure part du gâteau. La fortune des Morimoto n’était pas née ces quelques dernières années, elle remontait à il y a des siècles, et n’avait eu de cesse d’augmenter, au cours des guerres, des conflits, de l’évolution du monde. Le développement exponentiel de la mondialisation avait constitué une augmentation de la fortune des Morimoto sans précédent. Une croissance presque à trois chiffres qui faisait maintenant que, à travers différentes sociétés d’investissements, des fonds boursiers, et une multitude de comptes en banque, la fortune des Morimoto surclassait le PIB de certains États pauvres du monde ! Alors, qu’était donc F-182 face à la femme appelée à diriger cet immense empire ? Elle n’était qu’un jouet, une poussière qui devait s’estimer chanceuse, honorée, de pouvoir goûter à la trique de Leona !

Celle-ci, qui se comparait effectivement à une Déesse, la prenait donc. Ses mains giflaient sèchement le cul de la femme, et Leona gloussa en l’entendant aboyer.

« C’est bien, c’est bien !! Obéissante chienne, haaaa... Ton cul est si étroit, hmmm... ! Comme quoi, même les Dieux peuvent avoir des plaisirs tout à fait humains ! »

Au moins, F-182 était très obéissante ! Pour Leona, c’était un vrai plaisir, la confirmation que l’ASPED avait su bien former cette petite perle. Oh, quel magnifique cadeau ce serait pour sa mère ! Leona était clairement impatiente de la lui présenter, et, tandis qu’elle continuait à la bourrer, d’autres esclaves s’approchèrent. Certaines étaient des adultes bien mûres, ce qui, si F-182 avait encore le moyen d’y penser, confirmerait toute la puissance de cette femme, et le fait qu’il n’y avait, pour elle, aucune autre option que subir et d’être une gentille chienne bien obéissante.

« Maîtresse...
 -  Oh, Maîtresse... »

Deux esclaves s’approchèrent de Leona, à sa gauche et à sa droite, et vinrent doucement l’embrasser, tout en caressant son corps, pinçant ses fesses, glissant leurs doigts gantés sur son corps, accompagnant avec leurs caresses les solides coups de reins de Leona. Celle-ci gémit lentement, le plaisir croissant furieusement en elle, et se mit finalement, au bout de plusieurs longues minutes, à jouir dans le cul de F-182.

Un bel orgasme, tandis que Leona se retira.

« Bien, bien... Haaaa... Allez-y, vous pouvez utiliser le traitement. »

Une femme s’approcha du cou de F-182 avec une seringue violette, et la piqua avec, répandant dans son corps un redoutable aphrodisiaque. De cette manière, les prochaines sodomies à venir allaient être particulièrement jouissives pour elle. C’était le début de son traitement, de son lavage de cerveau, qui allait passer par un terrible épuisement de son corps.

Déjà, une nouvelle queue s’enfonça en elle, retournant remplir son cul...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mardi 26 juin 2018, 21:07:01
On dit souvent « les plus sages obéissent, les plus idiots se rebellent. » Et ouais… On a longtemps voulu nous faire croire que les plus intelligents étaient ceux qui se rebellaient contre l’autorité… Mais regardez les installations de tout ces fameux régimes totalitarismes… Bien souvent, les élites intellectuelles l’ont acceptés. Si les dictateurs en avaient peur, c’est qu’ils étaient capable de canaliser et contrôler les forces énergiques capables de se révolter : le peuple. Regardez la Révolution Française : Les bourgeois ne se sont pas révoltés contre les injustices. Ils ont laissés le peuple le faire, pour ensuite le contrôler. Ainsi, notre chère Lucie, qui se vantait comme intelligente… Et bien elle pensait que le plus intelligent était ici d’obéir aveuglement, en espérant qu’on soit plus gentille avec elle. Elle n’avait aucune idée de son destin, mais juste en échange qu’on ne soit pas trop sévère avec elle, elle était prête à plier. Un choix dangereux, très dangereux même…

« C’est bien, c’est bien !! Obéissante chienne, haaaa... Ton cul est si étroit, hmmm... ! Comme quoi, même les Dieux peuvent avoir des plaisirs tout à fait humains ! »

Est-ce que cela voulait dire qu’elle appréciait ? Non pas du tout ! Visiblement, deux femmes venaient rejoindre sa maîtresse, et commençait à lui donner du plaisir, elle ne savait pas, et ne savait pas du tout… Franchement, son anus lui faisait mal, et elle sentait que ce dernier n’était pas fait pour ça ! Non, mais tout sauf ça ! Elle couinait de douleur, alors que son anus continuait à se prendre les vas et viens… Elle aboyait de moins en moins, cela devenait de plus en plus rare de réussir à les entendre… Elle voulait juste que ça s’arrête, que cela s’arrête une bonne fois pour toute, car c’était pas supportable… Heureusement, au bout d’un moment, sa maîtresse arriva à se lacher à l’intérieur d’elle, la faisant pousser un profond gémissement… Avant que le phallus sorte de l’anus, avec un « pop » sonore, laissant l’ensemble donc ouvert…

« Bien, bien... Haaaa... Allez-y, vous pouvez utiliser le traitement. »

« Que quoi ? Non ! Ouaf ! OUAF ! »


Elle aboya, désespérément, un peu, comme ce que j’ai expliqué auparavant, elle pensait que si elle aboyait bien, elle allait être pardonner, et elle n’allait pas le recevoir, ce fameux traitement. Car autant le dire de suite, ce fameux « traitement », le fait qu’elle n’en savait strictement rien le rendait absolument terrifiant. Et ouais ! Vous imaginez le gros coup de stresse ! Vous savez même pas ce qu’elle veut mettre en vous ! Cependant, si vous suiviez ce RP depuis un moment, vous savez maintenant qu’il est inutile d’espérer, qu’on soit clair… Elle n’allait pas échapper à son destin par l’espoir, et elle devait accepter ce qui allait se passer, ce qui semblait être l’inévitable vu sa situation… Donc, finalement, une seringue se piqua dans son cou… Et injecta quelques choses, ce qui amena l’inévitable :

« Aaah ! Qu’est-ce que... »

Elle ne put parler plus. Serait-ce donc l’effet de la seringue ? Là, pas vraiment. En effet, alors qu’elle était encore l’anus attendant, et bien, ce trou encore ouvert fut rebouchée. Et ouais. Leona n’avait-elle pas dit que les femmes ici présentes allaient se faire un plaisir de tous s’aventurer dans son anus ? Leona était visiblement une femme de confiance, et ça, c’est une très bonne chose. Il y a trop de personnes à qui on peut pas faire confiance, qui sont du genre à nous mentir… Et là, oui, enfin une personne, tout d’un coup, qui respectait ses promesses ! Bon, d’accord… La dite promesse était de t’enculer comme ça… Mais c’était déjà ça. Ouais, faut pas trop en demander non plus ! Ahlala, on vous donne la main, et vous coupez le bras. Bref, quoiqu’il en soit, elle se faisait bien enculer… Mais la question qui se posait alors sur toutes les lèvres… Aboyait-elle bien ? Comme c’était son devoir depuis tout à l’heure… Et bien, regardons, ou plutôt, soyons plus logique… Ecoutons !

« Aaah… Aaaaaah... »

Oh ! Oh !  Ecoutez ? Elle haletait comme un chien ! Mais véritablement, elle ne savait pas ce qu’on lui avait injecté… Et ouais, elle connaissait pas le principe d’aphrodisiaque. Tout ce qu’elle comprenait, c’est qu’elle commençait à avoir chaud, très chaud comparé à tout à l’heure, et qu’elle se sentait bizarre… Et qu’elle commençait à mouiller. Là, elle avait beau avoir quinze ans, elle n’était pas stupide, elle avait entendu parler du principe que beaucoup de femmes mouillaient quand elles ressentaient de l’excitation sexuelle… Mais bref, cela devenant compliquée pour elle de réfléchir. Elle avait encore des images qui apparaissaient parfois dans son esprit, et celui-ci était embrouillés par le fait qu’elle avait un aphrodisiaque extrêmement puissant dans le sang… Et une bite dans le cul ! Et ouais, faut pas l’oublier, ça, non plus !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 02 juillet 2018, 00:47:42
La Lactos Company ne faisait pas que dans la production de lait. C’était une immense firme qui avait aussi des activités plus sombres, tout simplement illégales. Les scientifiques de la compagnie avaient ainsi développé une véritable « drogue du viol », proche du GHB, mais différente dans ses effets, car elle rendait la personne consentante en jouant avec de puissants aphrodisiaques. L’idée n’était donc pas juste de faire oublier à la personne ce qu’elle avait vécu, mais de la faire mouiller. Naturellement, la compagnie utilisait cette injection pour la formation de ses esclaves, mais elle n’hésitait pas aussi à la commercialiser à certains grands groupes criminels : les Yakuzas, les Cartels sudaméricains… Qu’était donc F-182 devant tout cela ?

Rapidement, une femme avala une pilule d’hermaphrodisme, et pénétra la femme, qui se mit à haleter, la langue pendante. Une véritable chienne, tellement heureuse d’être prise qu’elle n’arrivait plus à se contrôler, et laissa sa salive couler au sol, ses yeux se révulsant dans leurs orbites. Leona ne lui aura pas arraché son premier orgasme, mais ce n’était guère important. Tournant autour de son cadeau, elle sourit doucement, caressant le dos de F-182 avec sa main, frottant ensuite ses beaux cheveux, jusqu’à se mettre devant elle, sa queue trempée frottant sur le visage de la femme, glissant sur sa joue.

« Tes proportions, ta peau… Tu es vraiment parfaite, F-182 ! Tu feras un magnifique cadeau pour ma mère… »

Souriant encore, Leona se positionna devant elle, caressant avec ses deux mains les cheveux de la femme. Elle avait beau avoir joui, Leona était d’une vigueur sexuelle impressionnante. Sa queue caressait doucement le visage de la femme, Leona s’amusant à la biffler en déplaçant son corps doucement.

« Toutes ces femmes sont mes esclaves, tu sais… Je les ai tous formés personnellement, elles forment ma cour personnelle. »

Comme quoi, quand Leona prétendait être une sorte d’Olympienne moderne, elle appliquait ce principe à la lettre. Riche, belle, et perverse, elle était, en soi, l’incarnation moderne du nouveau monde, de ce nouveau millénaire où les inégalités sociales avaient atteint un niveau jamais atteint au cours de l’Histoire de toute l’humanité, un monde où une seule personne située tout au haut de l’échelle sociale touchait plus que des millions de personnes réunies. Leona était cette personne, et, dès son plus jeune âge, sa mère lui avait appris à dresser des esclaves.

Le résultat final était plutôt impressionnant, et la première esclave y allait franchement. Elles portaient toutes des tenues moulantes, du cuir, du latex…

« Enfin, ceci dit, je ne crois pas que tu sois en mesure de le réaliser, alors… Ouvre bien la bouche, ma petite chienne. »

Et Leona enfonça ensuite sa queue en elle, venant jouer elle, optant pour une délicieuse fellation…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 04 juillet 2018, 10:02:00
L’aphrodisiaque était évidemment bien violent sur Lucie… Elle n’avait jamais connu de relation sexuelle… Donc… Elle ne savait pas du tout comment gérer ça, elle était totalement faible devant un tel traitement… Donc, on devinait que ça risquait de mal finir pour Lucie. Mais depuis que Lucie s’était révélée être « F-132 » et bien… Pouvait-elle espérer un autre destin ? Pas vraiment. Elle n’avait pas d’autres choix que d’accepter ce destin, car c’était ainsi. Certains étaient nés pour diriger, d’autres étaient nés pour se soumettre… Et Lucie se mettait dans la seconde catégorie ! L’aphrodisiaque n’était là que pour aider une situation qui était sans doute perçue comme totalement normal par Leona… Et que si cela continuait, elle finirait pas être perçue comme normale par notre chère Lucie également… Mais voyons voir ça...

« Tes proportions, ta peau… Tu es vraiment parfaite, F-182 ! Tu feras un magnifique cadeau pour ma mère… »

Elle ne put s’empêcher de rougir. En effet, son corps était magnifique… Autrefois, elle avait expliqué cela par deux choses : la chance, et le fait qu’elle avait bien entretenue ce corps avantagé par la chance. Maintenant, elle apprenait une autre réalité. Oui, elle avait bien entretenu le corps qu’elle avait… Mais ce n’était pas par chance qu’elle l’avait eu. Après, elle se posait des tas et des tas de questions. Etait-ce lié au fait qu’elle était née d’une mère porteuse, puis abandonnée ? Est-ce qu’elle avait eu d’autres traitements ? Elle avait toujours été voir le même médecin, le médecin que l’ASPED lui avait conseillé… Est-ce qu’ils étaient lié à tout ça ? Elle penserait bien à tout cela sérieusement et de manière approfondi, mais là, faut comprendre que ce n’était que de vague pensée… Le plaisir, ou plutôt la recherche de plaisir était trop importante. Beaucoup trop importante même.

« Toutes ces femmes sont mes esclaves, tu sais… Je les ai tous formés personnellement, elles forment ma cour personnelle. »

Elle… Elle deviendrait comme ça elle aussi ? Est-ce que la recherche de plaisir, imposée par l’aphrodisiaque, allait la forcer à devenir ainsi ? Non, sans doute pas. Pourquoi cela ? Et bien, elle se rappela -pas très difficile étant donné qu’on lui avait tappelé il y a très approximativement quelques secondes- qu’elle n’était pas faite pour être pour Leona… Mais pour sa mère. Elle était fait pour donner du plaisir visiblement à une vieille dame. Oui, notre chère Lucie imaginait la chef de la Lactos Entreprise comme une vieille femme en manque de plaisir visiblement. Enfin, encore une fois, elle tentait d’imaginer ça… Car il fallait bien comprendre que le plaisir était avant tout là, et occupait une grande partie de toute ses pensées…

« Enfin, ceci dit, je ne crois pas que tu sois en mesure de le réaliser, alors… Ouvre bien la bouche, ma petite chienne. »

« Aaaah... »


L’obéissance était bien présente. Et puis… Son excitation, son désir absolu, cela lui donnait presque une soif, une faim de plaisir, qui la poussait à demander véritablement cela… Pas qu’elle le voulait, mais qu’elle en avait besoin. Et ouais, c’est la grande différence… Elle ne voulait pas ce qui lui arrivait, elle n’avait pas envie que cela continue, elle voulait juste rentrer paisiblement dans sa petite vie tranquille, retrouvée ses amies… Jeanne par exemple ? Qu’est-ce qu’elle devenait ? Est-ce qu’elle pleurait la perte de son amie ? Disparue alors qu’elle s’était vue pendant l’anniversaire, juste avant ? Est-ce qu’elle pleurait là, maintenant ? Est-ce qu’elle était partie dans une quête pour la retrouver, devinant qu’elle n’était pas vraiment morte ? Est-ce qu’elle était dans les Montagnes des Alpes à rechercher son amie ? Non, sans doute pas. Cela serait un miracle… Ou bien pire, vu la puissance de la Lactos.

Mais malheureusement, elle n’avait plus à penser à tout ça. La bite de Leona, qui depuis un petit moment se baladait sur le visage d’ange de Lucie, commença à chercher à entrer dans la bouche. Et ce ne fut pas dur ! Pourquoi cela ? Et bien, car depuis tout à l’heure, rappelez-vous juste avant mon précédent paragraphe… Elle avait dit « Aaaaah » ! Ce qui sous-entendait une chose… Elle connaissait la première lettre de l’alphabet… Oui, peut-être en effet. Mais avant tout, cela voulait dire qu’elle avait la bouche ouverte… Donc alors que son cul était pénétré depuis un moment, ce fut autour de sa bouche d’être prise. Ce fut la première fellation de sa vie, et on pouvait dire que Leona avait un sacré palmarès. Elle avait prit la virginité anale ET buccale de la fameuse Lucie… C’était pas mal ! Pas mal du tout…

Finalement… Entre la bite dans sa bouche et celle dans son anus… Vint alors son tout premier voyage au septième ciel. Et ouais… Sans doute à cause -ou grâce ?-  de l’aphrodisiaque, la jeune demoiselle eut sa première jouissance. Et vous savez quel est le pire ? Celle qui avait réussi à lui donner son premier orgasme… Et bien c’était une no-name. Une parfaite inconnue. Une femme interchangeable. C’était peut-être le pire qu’on pourrait dire pour la fameuse Lucie… Car elle avait sans doute rêvée que son premier orgasme soit par un homme qu’elle aime. Ou une femme, qu’importe, elle était ouverte à toutes les expériences ! Mais là, c’était une personne qu’elle ne connaissait pas, qu’elle ne connaîtrait jamais, car elle était personne en particulier. Bref, une anonyme, qui faisait jouir une future anonyme elle aussi. Comme deux lignes d’un corpus qui s’entrefilaient.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 09 juillet 2018, 00:45:15
Oui, Leona sentait que F-132 ne poserait aucune difficulté. Au sein de sa cour, il y avait eu des femmes rebelles. Leona était bisexuelle, mais avec un très fort penchant pour les femmes. Elle aimait toujours autant dresser les autres, les humilier, leur rappeler sa supériorité. Oui, Leona était unique, exceptionnelle ! Et F-132 semblait le réaliser. Écrasée par le sexe, elle ne pouvait lutter, et eut donc son premier orgasme, ce qui fit réagir les capteurs installées sur sa culotte. Leona sourit en voyant l’une de ses esclaves, les yeux rivés sur une tablette informatique, lui faire un signe du pouce. Elle gloussa alors, sa queue plantée dans la bouche de F-132, consciente que, pendant quelques instants, F-132 allait retrouver sa lucidité.

« Ton premier orgasme, ma chérie, c’est très bien... C’est le premier pas vers ta nouvelle vie, amour. Laisse-toi aller, laisse ton corps prendre le pas sur ton esprit, et laisse-moi gérer le reste, hmmm... »

Sa main gantée se crispa sur les cheveux de F-132, et elle continua à la bourrer. Leona disposait de toutes les vidéos de ses dressages, et elle les regardait souvent avec sa mère, ou lors du jour anniversaire de son esclave, avec elle. L’anniversaire ne correspondait d’ailleurs pas au jour de sa naissance biologique, mais à celui où elle avait reçu, dans les données de la Lactos, sa numérotation. Un jour particulier, que Leona célébrait en honorant ses esclaves à sa manière. Elle se rappelait donc des difficultés qu’elle avait pu avoir, car certaines esclaves avaient été très rebelles. De fait, Leona avait dressé plus d’une centaine de femmes, allant de simples femmes récupérées par la Lactos à ses anciennes nourrices, ainsi qu’à de simples filles qu’elle croisait dans la rue et qui lui plaisaient. Après tout, entre mener une morne vie d’être humain et servir une Déesse moderne au corps parfait, le choix était fait. Leona enviait quelque peu le sort de ses esclaves, car, non seulement ils servaient la deuxième femme la plus belle du monde (derrière sa mère), mais ils avaient aussi droit à une vie de rêve. Jamais ils ne connaîtraient la chômage, la famine, ou encore le doute ou l’hésitation. Ils étaient aimés par une puissance supérieure qui veillait sur eux, ce qui était, sans aucun doute, le meilleur qui puisse leur arriver.

F-132 eut donc son premier orgasme, et la femme dans son dos se relâcha ensuite, jouissant dans ce cul serré en soupirant. Elle se retira ensuite, et, rapidement, une autre paire de mains s’empara des fesses de F-132, et fila en elle. Le même rodéo reprit, avec une queue toujours aussi énergique. La femme qui avait joui s’assit alors à côté de F-132, et pinça l’un de ses seins. Quand la deuxième femme qui la prenait jouit à son tour, elle s’occupa de l’autre sein, le malaxant et le pinçant. Elles portaient des gants en latex, et F-132 ne pouvait pas voir grand-chose d’elle, car Leona avait sa queue nichée en elle, et se refusait à jouir, ondulant d’avant en arrière.

« Haaaa, tu sais, je peux te violer la bouche pendant des heures sans jouir, ma belle... L’idée, tu vois, est de te rendre totalement dépendante au sexe, au sentiment d’être remplie, de sorte que, lorsque ces délicieuses queues ne seront plus en toi, hmm... Ton corps sera en manque. »

Des esclaves s’approchèrent alors de Leona, et l’embrassèrent, tout en caressant son corps, frottant leurs tenues en latex sur son corps, caressant ses fesses. Il y avait justement l’une de ses anciennes nourrices. Leona l’avait dressé quand elle était encore mineure, en compagnie de sa fille. Au moins, elle ne séparait pas les familles, et elle laissa deux belles esclaves majeures la serrer, la caresser, se frottant joyeusement à elle.

« Hmmm... Haaaa... »

Et une troisième femme finit par jouir dans le cul de F-132, terminant cela par une grosse gifle sur son postérieur. L’une des femmes palpant ses seins fut alors remplacée par cette nouvelle femme, et la tournante continua.

L’aphrodisiaque était très efficace, car, pendant de nombreuses heures, F-132 allait se faire prendre par toute la cour de Leona, tout en constatant que celle-ci semblait véritablement disposer de performances sexuelles surnaturelles, puisque sa queue ne se vidait pas...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mardi 10 juillet 2018, 21:19:35
Soumise ? Lucie ? Et bien… Oui, plutôt. Les premiers signes avaient pu se voir dès mon premier post. Comment cela me diriez vous ? Et bien, rappelez vous. C’était complètement innocent, mais quand son anniversaire, son amie Jeanne avait décidée qu’il fallait qu’il soit fêté… ? Et bien, Lucie au début, elle était contre ! Mais finalement, elle avait cédé. Rien que ce petit signe montrait qu’elle  avait des… Tendances à être soumise. Alors, là, son apprentissage, étant donné qu’il était fait dans ce but, n’allait faire que renforcer ces tendances à la soumission… Pour finalement la rendre totalement soumise. Il y allait avoir de la résistance, mais plutôt une résistance intellectuelle. Elle n’allait qu’avoir que très peu de résistance… Physique disons. Bref, quoiqu’il en soit, vu les déclarations de son interlocutrice…

« Ton premier orgasme, ma chérie, c’est très bien... C’est le premier pas vers ta nouvelle vie, amour. Laisse-toi aller, laisse ton corps prendre le pas sur ton esprit, et laisse-moi gérer le reste, hmmm... »

« Mmmh… »

Non… Son esprit était plus fort… Mais elle ne pouvait rien dire, étant donné que sa bouche était entièrement prise… Mais son corps, lui, continuait de se faire occuper. Que cela soit ses seins, son anus, tout était malaxé, utilisé… Peu après qu’elle est jouie, et bien, ce fut à la fameuse femme, anonyme, de jouir à son tour. Ce fut la deuxième personne qui jouissait dans son anus… Et cela faisait beaucoup pour une fille qui n’avait jamais eu aucun contact sexuelle auparavant… On pouvait bien le dire, c’était quand même fort ! Bref, quoiqu’il en soit, la fameuse jeune demoiselle aux cheveux d’or n’avait aucun échappatoire. Elle pouvait tenter de résister, mais son anus et sa bouche était des endroits libres pour des phallus… Mais il y avait une différence phénoménal entre sa bouche et son anus…

« Haaaa, tu sais, je peux te violer la bouche pendant des heures sans jouir, ma belle... L’idée, tu vois, est de te rendre totalement dépendante au sexe, au sentiment d’être remplie, de sorte que, lorsque ces délicieuses queues ne seront plus en toi, hmm... Ton corps sera en manque. »

Elle… Elle ne voulait pas être réduite à ça. Des larmes coulaient sur son visage. Elle ne voulait pas devenir une esclave. Peut-être que tout ce que disait la fameuse Leona était vraie, peut-être qu’il y avait des multinationales extrêmement puissantes… Mais la fin ne justifiait pas les moyens… Est-ce que franchement cela était… Normal de faire ça ? Et bien, oui, Lucie, visiblement pour son interlocutrice, c’était normale. Mais elle ne voulait pas. Elle ne voulait pas devenir dépendante du sexe. Elle ne trouvait pas délicieuse ses queues, elle trouvait juste ça horrible, douloureux, et franchement, inacceptable… Et bien, elle ne voulait pas. Elle voulait tout sauf ça… Elle préférait encore les images… Non, elle ne préférait pas les images… Quoique ? Bref, elle ne savait plus, elle ne savait pas. 

« Hmmm... Haaaa... »

Et… Et une nouvelle qui jouissait dans son anus… Une… Encore une… C’était terrible, elle en pouvait plus… Mais si ! Une nouvelle femme remplaçait, et prenait son anus. Son anus était une porte libre pour n’importe quel fille ici équipée de phallus… Toute l’était ? Cela, notre chère Lucie n’en n’avait aucune idée, mais en tout cas, une bonne partie semblait en avoir. Mais c’était pas tout. Car il y avait aussi ses seins, ses très beaux seins qui eux aussi étaient en proie aux mains, sans arrêt malaxée, touchée… Pressé… Bref, si son anus était le centre des attentions, et bien, il fallait pas oublier les seins… Et la bouche, bien sûr, que Leona bourrait sans difficulté, et surtout, sans se décider à jouir… Et ouais, elle semblait bien capable de faire ce qu’elle avait dit, à la grande surprise de la fameuse Lucie, qui n’y croyait pas au début… Fille de peu de foi que voilà !

Mais cela continuait, encore et encore… A chaque fois, à part sa bouche, qui continuait d’être prise par la personne, que cela soit ses seins, ses fesses, ou son anus, il était remplacé constamment par des nouvelles personnes. Elle jouissait, pas si souvent, mais quand même. Son corps était de plus en plus faible, avait du mal à tenir, se sentait défaillir… Son esprit ne voulait pas l’accepter… et pourtant cela continuait ? Et depuis combien de temps ? Elle ne comptait plus. Cela continuait, et c’est tout, les femmes se succédaient pour jouir dans son anus, encore et encore, rendant le tout de plus en plus crémeux. Son anus était entièrement rempli de blanc. Son anus avait été pris dans l’un des plus gros gang bang de l’année, un sacré record que faisait exploser notre Lucie, dont l’esprit avait bien du mal à accepter ce qui arrivait ?

Mais son corps, lui, qu’est-ce qu’il faisait ? Et bien comme dit précédemment, il était quand même grandement affaibli. On sentait qu’elle n’avait quand même pas l’habitude de se faire traiter ainsi ! Mais une chose était sûre… Plus le temps passait, plus c’était facile. Pour Leona d’abord, étant donné qu’elle pouvait aller à chaque coup plus profondemment dans la gorge, comme si les bloquages tombaient un par un. Et pour l’anus… Alors n’en parlons même pas ! Là, c’était la fête du slip. Son anus était tellement élargie, elle allait plus pouvoir s’asseoir pendant au moins une bonne semaine, déjà, et secondemment… Et bien, maintenant, les queues pouvaient y passer comme dans un hall de gare ! Franchement, la fameuse Lucie était maintenant bourrée, et son corps se livrait de plus en plus, bien que l’esprit résistait encore.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 16 juillet 2018, 01:03:20
Et les heures passèrent. Des heures pendant lesquelles F-182 était au cœur d’un massif gang bang incluant la vaste cour de Leona Morimoto. Et la redoutable blonde était aux premières loges. Comme elle l’avait promis, sa résistance sexuelle exceptionnelle, fruit de multiples heures d’entraînement et d’améliorations génétiques appliquées sur son corps, lui permettait de tenir le rythme, de conserver sa belle fellation. Dans les faits, elle devait quand même se relâcher de temps en temps pour ramener sa queue à une taille plus modeste, avant de gonfler encore. Ce n’était toutefois pas du sperme qui sortait, mais... Mais de l’urine ! Et oui ! Un liquide jaunâtre, poisseux, qui s’enfonçait entre les lèvres de F-182, et qu’elle était forcée de boire ! Lors du premier jet, Leona ricana doucement, déplaçant ses mains des paires de fesses qu’elle caressait pour serrer les cheveux de la femme.

« À force, tu aimeras tout de ta Déesse, F-182... Tu boiras ma pisse, sale chienne, comme si c’était le plus divin des nectars !! »

Leona prenait son pied. Très clairement, la femme était une sadique, une femme qui aimait torturer les autres. Elle savourait donc pleinement ce moment, et retourna bourrer le visage de la jeune femme. Et, pendant ce temps, les autres esclaves continuaient à lui prendre le cul. Une procession sans fin, éternelle, longue, épuisante. À chaque fois que F-182 pensait en avoir assez, on la droguait, ou on pinçait fermement ses seins, allant jusqu’à utiliser des électrodes sur ses tétons pour la réveiller. Ce n’était que le début, que la première soirée.

Une orgie sans fin, tout simplement. Les heures filaient, le cul de la femme était meurtri. F-182 en avait les yeux révulsés, jusqu’à ce que, après un moment interminable, la queue de Leona ne se retire à nouveau de son visage. Les lèvres de F-182 claquèrent faiblement dans le vide, et, rapidement, on lui attacha sur le visage un harnais en cuir, avec un gode orienté à l’intérieur, un gros vibromasseur qui se planta dans sa bouche. Pour elle, el calvaire continuait, et, tandis qu’elle avait cet appareil sur ses lèvres, Leona se glissa dans le dos de la femme.

« Huhu, si tu voyais ton cul, ma salope... Plus d’une centaine de queues lui sont rentrées dedans ! Tu es trempée de partout, aussi, petite pute... »

Leona récupéra une cravache, et l’abattit alors sur le cul de F-182, la cravachant une bonne dizaine de fois sur chaque fesse.

« Salope ! Salope ! Salope ! Salope !! » hurlait-elle entre chaque coup.

Une fois la séance passée, Leona jeta la cravache sur le sol, puis s’approcha de son cul rougi... Et mit le coup final de la soirée, en retournant la pénétrer. Le sperme dégoulinait déjà du cul de la femme, et elle sourit en sentant ce liquide chaud ruisseler contre sa verge, tout en la bourrant énergiquement.

Un ultime orgasme qui marquerait la fin de la soirée... Et le début du calvaire pour la belle F-182 !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 18 juillet 2018, 23:21:08
Il… Il fallait que ça cesse. Par pitié, il fallait que ça cesse. Elle ferait ce que voulait ces femmes, mais elle voulait juste que ça cesse… Mais malheureusement, elle ne semblait toujours pas comprendre que ce qu’elle subissait, ce n’était pas une punition, où quoique ce soit du genre. Non, c’était ça que voulait les femmes justement. Elles voulaient l’enculer, elle voulait être dans cette gorge… Bref, donc, notre Lucie devait comprendre qu’il y avait une volonté contre elle. Après, est-ce que ces différentes esclaves voulaient vraiment cela ? C’était un peu complexe à savoir ce qu’elles voulaient vraiment, mais on pouvait supposer que oui, elle le voulait bien. Quoiqu’il en soit, la jeune femme cru que ça y est, ça finissait, quand quelques choses sorti enfin… Mais non, ce n’était pas du sperme, mais… De l’urine !

« À force, tu aimeras tout de ta Déesse, F-182... Tu boiras ma pisse, sale chienne, comme si c’était le plus divin des nectars !! »

C’était immonde… Elle détestait ça… Mais elle acceptait si cela voulait dire que c’était fini. Malheureusement, non, ce n’était pas fini. Elle eut encore des coups dans sa bouche, et ce goût désagréable… Mais même quand ce fut « fini » et bien, il y en avait encore… Encore bien plus. Après un moment interminable, la bouche de la jeune femme fut libérée. Mais Lucie ne put emettre le moindre mot… Elle n’en n’avait pas la force. Et puis, un harnais fut installée. Un peu comme une muselière, elle fut complètement baillonée, elle avait la bouche pleine par un gros vibromasseur, qui la forçait à sucer, sucer et encore sucer… Elle ne savait pas quoi faire, ni quoi dire… De toute façon, ce n’était pas elle qui choisissait…

« Huhu, si tu voyais ton cul, ma salope... Plus d’une centaine de queues lui sont rentrées dedans ! Tu es trempée de partout, aussi, petite pute... »

En effet, là, il n’y avait rien d’autres à dire… Elle était en sueur, mais véritablement en sueur… Ce qu’était logique. Elle n’arrivait même pas à croire qu’elle avait tenue. Elle… Elle n’aurait pas pu tenir en théorie. Comment avait-elle fait pour tenir véritablement à un tel traitement ? C’était pas humain. Elle ne savait pas qu’elle était… Plus tout à fait totalement humaine. Oui, c’était terrible de dire ça, mais que voulez vous… C’est la vérité ! Elle était plus tout à fat humaine. Elle était maintenant une sorte de mélange entre une humaine et une humaine améliorée. Et le pire ? c’est qu’elle avait pas encore tout découvert… Mais inutile d’aller trop loin.. Elle avait encore beaucoup à apprendre…. À apprendre sur elle-même. Mais pas d’inquiétude, concentrons-nous sur le temps présent...

« Salope ! Salope ! Salope ! Salope !! »

Qui n’était pas tellement bien, on va bien l’avouer. Car elle se faisait… Cravacher le derrière ! Presque chaque coup était accompagné d’un « Salope » bien sonore, tandis que toutes les autres femmes s’étaient légèrement éloigné, machinalement, laissant ainsi Lucie entièrement à son éducatrice… Cela faisait mal, mais les couinements étaient bien étouffé étant donné que la bouche de la fameuse Lucie était encore occupée, et difficilement utilisable pour emmettre des sons… Bref, elle se faisait cravacher le derrière, et son cul, déjà solidement abimé après tout ce qu’il avait subit, ne faisait que subir encore plus… Il était rouge comme une tomate, l’anus était bien dilaté, du sperme en coulait, bref, c’était un spectacle délicieux à voir pour certain, déplorable aux yeux d’autres…

Quand les coups se turent enfin, quand son anus pu croire qu’il était enfin libre… Non. Non en effet, car son interlocutrice, enfin, plutôt celle qui monologuait, étant donné que la fameuse Lucie pouvait guère parler avec ce qu’elle avait dans la bouche, en avait pas fini avec elle… Bref, quoiqu’il en soit, la jeune demoiselle aux cheveux blond se prit une nouvelle bite dans l’anus… C’était un peu la conclusion de la pire soirée de sa vie, mais la première soirée de sa nouvelle vie. Il y allait avoir un avant et un après cette terrible journée, qui depuis qu’elle s’était réveillée depuis qu’elle s’était levée… Depuis qu’elle avait découvert que toute son ancienne vie était fini. Elle arriva même à jouir de cela, avant qu’à son tour, la crème fut relachée dans son anus… Une de plus… 

Une fois cela fini, elle s’autorisa une chose… S’effondrer par terre, littéralement. Elle en pouvait plus. Elle était physiquement brisée, même sa bouche n’était toujours pas libérée. Elle devait respirer par le nez, alors qu’elle voudrait haleter, pour tenter de récupérer de l’air. Cela avait été extrêmement éprouvant… Elle en pleurait, elle voulait rentrer, elle voulait que Jeanne soit là pour l’aider, elle voulait retrouver ses cours, ses devoirs de math… Mais non, ma vieille ! Tout cela, c’était fini ! Fini de chez fini ! Maintenant, elle allait devoir s’adapter… Elle voyait encore les images qui avaient presque étaient préfiguratrice de ce qu’elle avait subi, et elle en tremblait. C’était.. Terrible. Vraiment terrible. Elle espérait que le repos finirait pas venir… Qu’allait-elle devenir maintenant ? Elle ne pouvait guère le savoir, mais elle ne pouvait que trembler en imaginant ce qui pouvait encore arriver.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 22 juillet 2018, 23:08:40
Après cette orgie de sexe, cette tornade qui avait duré plusieurs heures, des heures pendant lesquelles le cul de F-182 avait été pris dans les grandes largeurs, l’esclave n’en pouvait plus. Quand les liens lui furent ôtés, et que Leona se relâcha en elle, jouissant copieusement pour marquer la fin de cette séance, F-182 s’effondra mollement sur le sol. L’esclave était totalement épuisé, et, dans ce qui ressemblait à un étonnant moment de grâce, on lui ôta également le gode sur sa bouche. De la bave coula au sol, et les esclaves gloussèrent, caressant tendrement son visage au passage, relevant leur regard vers leur Maîtresse.

« Elle est épuisée, Maîtresse...
 -  Totalement crevée...
 -  Son traitement ne fait que commencer, c’est normal. »

Leona se rapprocha de F-182. La jeune femme ne cherchait même plus à protester. Allait-elle enfin pouvoir respirer ? Pouvoir souffler quelques secondes ? Mais tout l’objectif de sa thérapie, ici, était de la transformer, de tuer en elle sa fausse personnalité, afin que ne reste que F-182. Leona hocha donc la tête. Elle avait rétracté sa verge, mais conservait encore sa sensuelle tenue en latex.

« Mettez-là dans une cuve, on va la laisser se reposer quelques jours. »

Les esclaves acquiescèrent. Elles tirèrent ensuite sur la laisse, et, même si F-182 était incapable de marcher à quatre pattes, elle la posèrent sur un fauteuil roulant, attachant ses poignets, puis poussèrent le fauteuil. Leona menait doucement la marche, faisant claquer ses talons en avançant à travers les couloirs de l’institut Ravenborn. Un véritable asile avec des murs blancs. Des infirmiers passaient souvent devant eux, et Leona s’arrêtait tout aussi souvent pour embrasser de belles infirmières. Leona fit même une assez longue pause devant une très belle infirmière, allant jusqu’à s’équiper d’un vibromasseur pour pénétrer la femme contre le mur.

Quoi qu’il en soit, la procession se poursuivit jusqu’à une double porte que les esclaves de Leona entrèrent, conduisant à une grande pièce médicale avec plusieurs cuves translucides qui s’étalaient devant. Un homme (http://img110.xooimage.com/files/6/c/2/10-54d2df0.jpg) barbotait déjà dans l’une de ces cuves, le corps recouvert d’implants et de tubes, son phallus disparaissant dans une étonnante ceinture, ses signes vitaux retransmis sur plusieurs écrans permettant d’observer son état de santé, mais aussi son état d’excitation sexuelle.

« C’est ici que nous allons t’améliorer, F-182... Mais inutile de trop en dire, je parlerai dans le vide. »

De magnifiques infirmières dans des robes moulantes en latex entreprirent d’approcher une cuve, la faisant descendre en position couchée, puis F-182 fut posée à l’intérieur. Son corps fut ensuite recouvert de câbles, et une ceinture métallique s’enroula autour de sa taille, un vibromasseur venant ensuite s’enfoncer dans ses fesses, tandis qu’un casque de réalité virtuelle fut posée sur sa tête. La cuve se remplit ensuite de ce liquide très particulier, une construction originale propre à la Lactos Company, et qui allait améliorer sur le long terme les performances sexuelles de F-182.

La cuve fut ensuite positionnée en position debout, puis F-182 commença à se reposer... Tout en ayant un vibromasseur planté dans les fesses. Le casque de réalité virtuelle sur ses yeux diffusa des images, des films pornographiques montrant la femme en train de se faire sodomiser, en vue à la première personne, ou de sucer des queues en batterie.

F-182, qui allait être nourrie en intraveineuse, ne sortirait de cette cuve qu’au bout de quelques jours...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 25 juillet 2018, 22:34:15
La tourmente avait durée des heures, et des heures. C’était incroyable que la fameuse Lucie avait pu tenir autant de temps. On va même pouvoir dire, c’était quasiment inhumain. Comment avait-elle fait ? Cela était une très bonne question, franchement, si vous voulez mon avis, elle avait des super pouvoirs… Et… Et enfaite, c’était pas totalement faux. Alors, bien sûr, il ne fallait pas appeler ça des super pouvoirs, mais on était pas loin. C’est vrai qu’on était dans le surnaturel… Où plutôt le métanaturel. Qu’est-ce que ce néologisme ? Et bien, tout simplement, on pouvait supposer que notre Lucie était plus, physiquement parlant, qu’une humaine. Mais elle ne le savait pas, étant donné qu’elle n’avait pas accès à tout ce qu’elle avait subit à une époque où la raison et la mémoire n’étaient pas encore parfaitement formé chez elle...

« Elle est épuisée, Maîtresse...
 -  Totalement crevée...
 -  Son traitement ne fait que commencer, c’est normal. »

Oui ! Car si elle avait tenue, et bien, on pouvait bien mentionner quand même que c’était TOUT JUSTE tenu. Car franchement, elle avait subit une tourmente comme on en connaissait peu, donc, il fallait bien dire que cela avait été éprouvant. Surtout que durant cette tourmente, et bien, elle avait découvert cela ! Encore une fois, ses rares aventures amoureuses n’avaient jamais vraiment dépassé le chaste baiser. Et là, pour sa première fois, elle n’avait préservée que sa virginité vaginale. Sa virginité anale, sa virginité buccale… Tout cela n’existait plus maintenant, elle était plus du tout vierge, et cela serait difficile de dire l’inverse. Bref son anus était maintenant un hall de gare, qui avait énormément de sperme à l’intérieur, coulant allégrement...

« Mettez-là dans une cuve, on va la laisser se reposer quelques jours. »

Elle fut alors attachée à un fauteuil roulant. Elle ne tenta ni de lutter, ni de se plaindre… On pourrait croire que c’était car cela ne servait à rien et qu’elle l’avait compris… Mais même pas. C’était tout simplement qu’elle n’avait absolument aucune force, et aucun moyen de réussir à faire comprendre qu’elle allait se plaindre. Elle n’avait plus la force pour cela… Bref, elle était lessivée, crevée, et elle voulait juste que cela cesse, qu’elle puisse se reposer. Elle était tellement… Déconnectée du monde réel, qu’elle n’eut même pas conscience de ce qui se passait autour d’elle. Et ouais, carrément ! Elle ne remarqua pas quand sa maîtresse -car oui, il fallait bien au bout d’un moment accepter l’inévitable, et appeler un chat un chat-, commença à prendre une femme contre un mur… Et ouais…

« C’est ici que nous allons t’améliorer, F-182... Mais inutile de trop en dire, je parlerai dans le vide. »

Elle arriva juste à gémir quelques choses d’incompréhensible, en réponse à ce qui avait été dit… Dois-je préciser qu’elle ne remarqua pas non plus l’homme qui barbottait dans une cuve ? Quoiqu’il en soit, elle se fit attraper par les infirmières, qui la posèrent dans l’une des cuves qui avaient été installée de façon horizontale, histoire de pouvoir… Bah la mettre dedans. Elle fut solidement attachée, avant que la cuve retourne en position horizontal, donnant quand même, on va bien l’avouer, un ensemble très agréable à l’oeil ! N’était-elle pas jolie comme ça ? C’était le genre de décoration que beaucoup aimeraient avoir dans leur salon… Enfin, des gens qui sont un peu des psychopathes, on va bien l’avouer, mais quand même ! Quoiqu’il en soit, elle était maintenant emprisonnée, et ne sortirait que quand sa maîtresse le déciderait...

Mais pas d’inquiétude, elle n’allait pas s’ennuyer pendant ce long temps enfermée. En effet, elle avait deux choses… Une chose physique et une chose mentale. Pour la chose physique, c’est que quand elle fut attachée, et bien, on décida de ne pas lui garentir un parfait repos… Ou non ! Son anus avait été habitué par la force à avoir quelques choses qui rentre en lui.. Donc, on allait continuer, hein, c’est comme ça ! Donc, elle se retrouva avec un vibromasseur d’une taille importante dans l’anus. Si elle avait été vierge de ce trou, cela aurait fait sans doute très mal, là, ce fut juste inconfortable. Si elle avait plus conscience d’elle même, et bien, elle aurait sans doute été horrifiée de voir que cela était juste inconfortable, montrant que son corps s’était « habitué » à ce traitement… Chose très mauvaise pour elle, qu’on soit clair. Mais ce n’était pas tout...

Et oui, c’était loin d’etre tout ! Car il y avait aussi le mental… On lui avait installé un casque de réalité virtuel sur la tête. C’était triste de ce dire que ce bijou de technologie qui avait fait fantasmé plus d’un de ses camarades à l’école, Jeanne en avait toujours rêvé d’un par exemple, et bien… Servait là pour lui faire « jouer » à des jeux interractifs de sexe… Elle suçait et était enculée, en boucle. Et le pire, c’est que son anus était enculé, donc, cela rendait l’immension encore plus incroyable… Et pour les fellations… Et bien presque inconsciemment, presque dans un état second, elle se retrouvait à faire les mouvements de succions, comme si elle avait un vrai phallus en bouche, alors qu’elle n’avait rien… C’était terrible les comportements instinctifs hein ? Elle le découvrait tout juste, et c’était très drôle !

La notion de temps avait totalement disparu. Elle ne savait plus du tout combien de temps étaient passé depuis son ancienne vie. Premier pas pour que cette vie disparaisse, car une fois qu’on ne sait plus quand elle a eu lieu, cela devient très difficile de se retrouver. Et là, vu son traitement, le tout avait été redoutablement efficace pour lui faire disparaître cette notion de temps qui pour elle était extrêmement difficile à retrouver. Quand tout cela avait commencé ? Quand son ancienne vie avait terminé ? Et tout cela… Et bien, elle ne pouvait pas y penser. Aussi bien mentalement que physiquement, son repos n’était pas optimale… Tout ce qu’elle faisait, c’était être là, et attendre… Encore et toujours… Attendre qu’on vienne la retrouver… Et qu’on vienne continuer son éducation !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 02 août 2018, 10:37:08
Leona prenait des vacances ici, et comptait bien passer un mois sur place. Mais elle n’y était pas que pour flâner, mais aussi pour se renseigner sur les activités de l’institut Ravenborn. C’était après tout un point central, car l’institut regroupait tous les esclaves de la Lactos Company, afin de les former, et pouvoir ensuite les envoyer dans les centres de traitement du Japon. Ravenborn était donc un élément-pivot, et Leona savait que la police enquêtait sur eux. Gérer une telle organisation n’était pas facile, et il y avait toujours des fuites, des interrogations sur certaines disparitions, ou sur certains mouvements comptables. L’année dernière, la Lactos avait eu des difficultés avec l’administration fiscale, qui avaient nécessité une intervention, et la disparition d’un contrôleur des comptes publics, avec toute sa famille. Un incendie avait servi à maquiller le rapt. Cette année, Ravenborn avait récupéré un policier avec sa femme, officiellement morts dans un accident de circulation en montagne. Un mauvais virage la nuit, et les deux avaient disparu dans une crevasse. En réalité, ils étaient là, barbotant dans des cuves, perdant toute notion de la réalité, comme F-182.

Celle-ci flotta dans la cuve pendant plusieurs jours. Le liquide spécial renforçait ses reins, sa résistance et son endurance sexuelle, son plaisir sexuel, la sécrétion de cyprine et de lait. De petites aiguilles venaient en effet régulièrement injecter des produits dans les seins de la femme. Sous le désir sexuel, celle-ci allaitait fortement. En réalité, F-182 atteignait le taux de production de lait d’une Ushi. Cependant, les Ushis étaient rarissimes, et très onéreuses. Alors, la Lactos Comapny avait développé un vaste système visant à transformer des humaines en Ushis. Leona supervisait tout cela avec plaisir, et autorisa une première sortie pour F-182.

La cuve se vida de son liquide, et le casque de réalité virtuelle s’éteignit, tandis que la cuve reprenait une position horizontale. De belles infirmières saisirent les poignets de F-182, et l’attachèrent ensuite à des sangles sur un chevalet.

« Là, là...
 -  Elle réagit très bien au traitement, sens comme sa peau est douce... »

C’était la douceur d’une peau de bébé, tout simplement ! Les infirmières caressèrent son cul avec leurs gants en latex, giflant volontiers son postérieur, puis Leona, présente, se racla la gorge.

« Libérez les cobayes ! »

D’autres cuves s’ouvrirent, libérant cette fois l’un après l’autre les cobayes masculins. Les infirmières s’écartèrent ensuite, tandis que F-182 reprenait ses esprits. Elle put voir, en levant la tête, derrière une paroi en verre, le corps de Leona, toujours dans sa tenue rouge moulante en latex, qui lui souffla un baiser... Puis l’un des esclaves se redressa. Il avait gagné en musculature, tout en étant imberbe, et observa le cul de F-182 avec une érection phénoménale. Sa verge était très épaisse, très grosse, ayant bénéficié d’augmentations.

Tout cela suivait une boucle logique. Les femmes avaient besoin de plaisir pour produire du lait, et il fallait donc des hommes endurants. Le cobaye, M-256, se rua sur F-182, et empoigna ses cheveux, faisant hurler la femme, avant de la sodomiser brutalement.

« Hnnnn... Gnnnn... Rrrrrr... !! »

Tout comme F-182, M-256 oubliait progressivement qui il était, ne devenant plus qu’une bête de sexe, uniquement motivé par le fait de copuler sauvagement avec cette femme.

Et il y avait encore cinq cobayes derrière qui attendaient dans leurs cuves...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mardi 07 août 2018, 22:39:59
Du temps était passé, où évidemment, Lucie n’avait absolument rien pu faire. Enfin si ! Comme dit précédemment, elle avait eu l’anus bien occupé, bien pris, mais bon, ça, elle ne gérait pas ! C’était la machine qui faisait le tout, tout seul ! Comme quoi la technologie c’est bien beau ! Bref, elle avait été concentrée sur le casque de réalité virtuel qui avait occupé grandement son esprit, son corps, son âme ! Mais cela avait une fin, étant donné que la jeune femme fut sortit alors de la cuve. Elle fut alors libérée, aussi bien de la cuve et de son mystérieux liquides, que tout ce qu’elle avait connu sinon… Le casque fut retirée, le vibromasseur fut retirée, se libérant de l’anus de la fameuse jeune demoiselle avec un « PLOP » assez caractéristique, montrant bien que l’instrument c’était bien, très bien installée dans l’anus de la jeune demoiselle, et ainsi… Elle était prête pour la suite des festivités !

 Là, là...
 -  Elle réagit très bien au traitement, sens comme sa peau est douce...
-Libérez les cobayes ! »


En effet, la peau de la jeune femme était extrêmement douce, et ses seins avaient un peu grossis. Mais enfaite la plupart des changements n’étaient pas visible. En effet, ils correspondaient plutôt à des modifications internes, pour donc la rendre plus résistantes, plus endurantes, bref, adaptés à ce qui allait être progressivement sa nouvelle vie. Elle n’en savait encore rien… Mais elle allait sans doute en savoir plus plus tard. Enfin, vraiment plus tard, car là, elle avait autre chose à faire. Quoi donc ? Et bien, comme l’avait dit Leona, oui, notre chère Lucie avait reconnu la voix de Leona, contrairement aux autres voix dont elle n’avait absolument aucune idée de qui elles venaient. Bref, ainsi, que se passait-il ? Et bien, Lucie n’était plus la seule libérée des différentes cuves… Oh non ! Quelqu’un était là… Et pourquoi donc venait-il ici ? Oh… Pour pas grand-chose juste… Juste faire une petite enculade !

« Hnnnn... Gnnnn... Rrrrrr... !! »

« Haaaaaaaaaaa ! »


Elle se fit alors sauvagement prendre dans le cul. Le tout était d’une violence extrême, franchement, cela ne faisait aucun doute. Elle s’était fait attraper par les cheveux, qui avaient été tirés alors sauvagement, tandis que l’anus se dilatait pour prendre la bite bien dans son entier… Le fameux M-256 se faisait alors la jeune femme, rappelons-le, il y avait une sacrée différence d’âge entre les deux personnages, vu que l’homme semblait être déjà un homme d’âge mur, tandis que Lucie, elle, n’avait que quinze ans… Bien sûr, progressivement, cela n’allait plus poser problème, étant donné que la jeune femme allait être conditionné pour être experte dans cela ! Donc, bientôt, cela allait pour qu’elle puisse s’en sortir, même avec des gens qui étaient beaucoup plus gros que sa morphologie…

« Han… Han !!! HAAAAN ! »

Difficile de parler dans de telles situations ! On sentait que « parler » en général était compliqué. La  situation n’aidait pas, mais parler de façon générale… Cela devenait de plus en plus compliquée pour Lucie. Ces moyens de communications devenaient de plus en plus difficile. Faut dire, dans cette cuve, elle n’avait pas pu parler : bien sûr, cela ne voulait pas dire qu’elle avait déjà perdu ses capacités vocales, mais avec le fait qu’elle était entrain de se faire sodomiser brutalement ! Mais la pente était là, maintenant, et il allait être difficile de s’en sortir pour la fameuse Lucie, surtout qu’elle n’allait devenir que de plus en plus abrupte avec le temps, et tout les moyens seraient fait pour qu’elle la dégringole à un moment ou à un autre… Et sans doute que la Lactos pensait ouvertement que cela arriverait !

« Gn… S’il vous… gnn... »

Oh ! Oh ! C’était une tentative de langage ! On devinait sans problème qu’elle avait voulu dire « S’il vous plait » ! Pourquoi était-elle si gêné ? Après tout, cela faisait mal, oui, mais pas tant au niveau de l’anus, il faut bien le dire. Pourquoi cela ? Et bien, je vous rappelle que durant tout son temps dans la cuve, elle avait eu l’anus bien remplis par un gros vibromasseur. Donc, franchement, ça allait mieux sur ce point. Alors, oui, par contre, le phallus était bien plus gros que tout ce qu’elle avait eu au cours de toute sa vie, donc, bon… Mais quoiqu’il en soit, c’était surtout qu’elle voulait que ça cesse, tout court… Et que pour le moment, le plaisir ne venait pas encore… Peu à peu, il allait arriver, mais vous connaissez ce genre de chose… Cela prends toujours son temps malheureusement !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 08 août 2018, 17:49:54
La solution utilisée sur le corps de F-182 était un produit très rare, unique en son genre, résultant d’un brevet déposé par la Lactos Company. Une solution qui avait pour effet de provoquer chez le sujet des modifications physiologiques et sexuelles permanentes. Cette solution chimique s’appuyait sur de récentes découvertes en neurosciences. Il existait dans le cerveau deux neurotransmetteurs chargés de diffuser le plaisir : les endorphines et la dopamine. La Lactos Company avait réalisé d’importantes études sur le fonctionnement de ces neurotransmetteurs, notamment à l’aide de toxicomanes. Pour le dire autrement, il existait un neurotransmetteur chargé du désir, la dopamine, et un autre chargé du plaisir, l’endorphine. Les drogues jouaient généralement avec ces neurotransmetteurs pour provoquer une sensation de bien-être, de relâchement, en libérant l’endorphine. De telles recherches étaient déjà connues dans le domaine public, mais, là où la Lactos Company avait su développer un système avant-gardiste, c’était en inventant une solution qui jouait habilement avec les deux neurotransmetteurs. Une solution qui était appliquée sur F-182 pour faire d’elle une femme qui serait, sexuellement, toujours consentante.

Pour réussir cela, les traitements chimiques et psychiatriques que F-182 subissait avaient pour but d’amener son corps à réagir à certains stimuli pour relâcher instantanément de la dopamine. Là encore, les études scientifiques avaient démontré que, sous certaines conditions, le corps humain était programmé, conditionné, pour relâcher de la dopamine. Il existait des signes extérieurs témoignant du désir humain chez une personne : regard  concentré, crispation musculaire, ventre serré, attente douloureuse... Tous ces éléments avaient été des signaux permettant aux scientifiques de la Lactos de perfectionner le traitement. Dans le cas du sexe, ou, plutôt, du désir sexuel, la libération de la dopamine provenait du partenaire sexuel, de réactions diverses et variées. Aucune personne n’avait les mêmes stimuli, mais les scientifiques avaient réussi, par cette solution, à imposer certains stimuli aux sujets.

Autrement dit, et pour le résumer simplement, ils avaient développé un système faisant que F-182, indépendamment de son consentement, prendrait toujours son pied en se faisant baiser.

« Ses signes vitaux se stabilisent...
 -  Ça y est, la dopamine se libère... »

De l’autre côté, les scientifiques continuaient à suivre les progrès de F-182, pendant que M-256 la besognait furieusement. Ses solides coups de reins étaient terribles, et même Leona ne pouvait avoir une telle intensité dans son corps. Il s’agissait là de différences anatomiques entre l’homme et la femme, tout simplement. M-256 était, comme tous les sujets masculins de la Lactos, un besogneux, énergique.

Les coups s’accentuaient, s’accompagnant de puissantes gifles, de grognements. Rien n’était épargné à la délicieuse F-182.

Et elle allait prendre son pied là-dessus !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le jeudi 09 août 2018, 19:20:10
Ce qui se passait était vraiment une merveille. Alors, attention, oui, c’était horrible, atroce, inacceptable, un crime… Bref, vous aurez compris. Mais c’était une merveille. La Lactos Compagnie avait quand même réussi à organiser tout ça, avait fait des nombreuses découvertes, et montraient à quel point on pouvait aller loin dans la recherche scientifique. À quel point on pouvait pousser le corps humain… C’est horrible ? Et bien possible. Mais rappelez-vous que si on peut aller sur la Lune, c’est grâce à un ingénieur qui a fait un missile qui pouvait bombarder Londres depuis l’Allemagne. Ce n’était pas car quelques choses était horrible en soit, que cela voulait forcément dire que toutes ses inventions ne pouvaient pas donner l’avenir, l’avenir de la recherche et de la science…

« Ses signes vitaux se stabilisent...
 -  Ça y est, la dopamine se libère... »

Mais revenons à Lucie. Car en effet, Lucie était quand même toujours Lucie pour le moment. Bien que son nom n’était jamais mentionné, et bien, la fameuse jeune demoiselle aux cheveux blonds était encore dans sa tête « Lucie », elle savait encore qui elle était, d’où elle venait, et ce qu’elle savait. Mais c’était compliqué d’y penser, cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas eu un moment pour s’en remémorer. Là, si elle tenterait, elle ferait quelques fautes, par exemple. Bref, pourquoi elle ne pouvait pas trop y penser là en ce moment… ? Alors, je ne suis pas expert, je vais bien le dire… Mais je pense que le fait qu’elle a, durant ce moment clef, un phallus dans l’anus, pouvait expliquer cela. Cela ne reste bien entendue qu’une théorie difficilement vérifiable en l’état, mais voilà !

Elle avait mal. Cela faisait mal, son anus, bien que largement élargie par ce qu’il avait eu avant, et bien, n’était pas non plus prêt pour tout cela, donc, cela faisait bien mal. Mais, et il y a toujours un mais… Et bien, elle ne savait pas pourquoi… Mais elle ressentait du plaisir. De ces quinze ans, elle connaissait pas assez malheureusement le monde des sciences neuronales pour savoir ce qu’était la dopamine. Dans un sens, cela ne serait pas forcément super utile. Après tout, elle pourrait apprendre pourquoi, mais cela ne l’avancerait pas tellement que ça. Bref, de toute façon, ainsi, elle ressentait douleur et plaisir, deux sensations qui étaient littéralement en compagnie là, chez la demoiselle aux cheveux blonds !

Ainsi, bien malgré elle, et bien, elle commençait à accompagner le mouvement, bougeant son corps en harmonie avec le mouvement de vas et viens qui défonçait son anus. Comme précédemment, son corps était toujours aussi doux, ses seins faisaient des vas et viens, et donc, elle continuait à prendre encore plus de plaisir. Car oui, c’est véritablement un cercle vicieux (ou vertueux, suivant la position où vous vous mettez.) ! En effet, la jeune demoiselle donc ressentait du plaisir à cause de sa naissance même, quand elle se faisait baiser. Donc, elle accompagnait le mouvement, accélérant donc son propre plaisir. Donc, renforçant la production de dopamine, et donc, ayant encore plus de plaisir. Vous avez compris ? Elle était coincée, elle pouvait plus s’en sortir… Et cela devait être très amusant à voir… Et entendre !

« Tellement… Chaud… Partout... »

Ah ! Elle parlait de nouveau un peu. Et en effet, le plaisir lui donnait chaud, elle transpirait, gémissait et était en sueur. Sa langue pendait alors exactement comme la chienne qu’elle était. N’oubliez pas comment appelait notre fameuse Leona appelait la jeune demoiselle ? Une chienne ! Et là, on pouvait tout à fait le dire : elle se comportait exactement comme une chienne, en haletant, gémissant, et se faisant bien prendre dans le cul. Enfin, je sais pas si les Chiens se prendre régulièrement des hommes génétiquement modifiés dans le cul… Mais voilà ! Alors qu’elle continuait de gémir, et de mouiller comme une chienne, elle tentait de trouver les moyens de dire des mots, une phrase à peu près construite… On allait voir si elle allait y arriver, mais à mon avis, entre le plaisir et le fait de se faire bourrer le cul, cela était compliquée...

« Aaaah… Arrêtez… Plus… Plus... »

Attention. À l’écrit, cela ne se voit pas… Mais enfaite, ses paroles là étaient paradoxales. Comment cela ? Et bien, elle disait « arrêtez » et elle disait aussi « plus », mais dans le sens… Plus ! Avec un « s » qui s’entend aussi bien ! Bref, elle gémissait de plaisir, un peu perdue, et continuait d’haleter. D’ailleurs, le plaisir était bien là, étant donné qu’elle arriva à la jouissance, mouillant encore plus ! Elle avait encore plus chaud qu’avant, et son anus, lui, continuait de recevoir le phallus, qui ne faisait bien entendue pas la moindre pause… Après tout, à quoi cela servait ? L’homme qui la bourrait aviat été construit visiblement pour faire cela… Donc, il n’allait pas s’arrêter aussi aisément ; Sans doute pouvait-il encore donner de nombreux orgasmes à la demoiselle aux cheveux blond, sans qu’elle puisse rien faire d’autres que gémir comme la vulgaire chienne qu’elle était, bien qu’elle le niait encore.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 13 août 2018, 00:55:42
C’était physique, c’était biologique. Quand on mettait de côté tout le romantisme, toutes ces imbécilités enfantines, le corps humain apparaissait comme ce qu’il était : un ensemble fait de chair et d’atomes. Le mysticisme, la spiritualité, la supériorité de l’âme sur le corps, n’étaient que des concepts creux, des prétextes qu’on avait inventé à défaut d’une véritable explication cohérente. Le sexe, longtemps perçu comme quelque chose de mystérieux et d’incompréhensible, était un domaine dans lequel la science avançait de plus en plus. Bientôt, il n’était pas impossible d’envisager un contrôle total et absolu du désir sexuel, avec la possibilité de mettre fin aux déviances sexuelles, de modifier les orientations sexuelles. En la matière, la Lactos Company disposait d’études d’avant-garde, des recherches qu’on ne trouvait nulle part ailleurs. Rien de bien surprenant là-dedans, car la Lactos avait considérablement investi dans ce domaine, et elle récoltait désormais les fruits de ses investissements. F-182 était l’un de ces fruits.

Devant l’équipe de scientifiques, et devant Leona, F-182 se faisait donc sauvagement baiser. Restait-il encore en elle quelque chose de Lucie Moreau ? Très certainement. Le conditionnement psychique n’était pas quelque chose qu’on faisait sur un claquement de doigts. La Lactos s’était inspirée de multiples programmes militaires confidentiels menés pendant la Guerre Froide, et toujours conduits actuellement dans le cadre de programmes de déradicalisation de terroristes islamistes. En réalité, le conditionnement psychique avait toujours été un domaine que l’humanité avait affectionné. La Lactos n’avait eu qu’à se pencher pour récupérer les différents travaux menés, et mener les siens. F-182, comme tous les autres avant elle, succomberait également. C’était inévitable.

*Et je l’offrirai à Maman dans les temps…*

Le magnifique cadeau d’une fille attentionnée envers sa mère. Leona n’aimait et ne respectait que sa mère, la seule autre Déesse comme elle. À ses yeux, tous les autres ne vivaient que pour la servir. Mère lui avait toujours enseigné que les humains leur étaient inférieurs, et qu’il leur appartenait de les guider, de les contrôler. Elle ne voyait donc pas F-182 comme une victime, mais clairement comme une élue, une misérable humaine qui aurait la chance de pouvoir tâter des Dieux.

F-182 se faisait donc prendre longuement. M-256 n’était pas pressé, et grognait de plus en plus, sa grosse queue labourant le cul de la femme. Sa résistance était admirable, et de nombreuses minutes passèrent donc, avant qu’il ne finisse enfin par jouir. Ses muscles se contractèrent, et, encore une fois, les scientifiques de la Lactos sentirent ce moment approcher. Comme pour le reste, la jouissance masculine pouvait se contrôler, mais les scientifiques n’en firent rien.

« 23’47 avant son premier orgasme, il s’améliore…
 -  Et la quantité de sperme projetée… »

Les scientifiques prenaient leurs calculs, et M-256 se calma ensuite. Il se retira du corps de la femme. Toutefois, F-182 eut à peine le temps de se reposer que son fondement fut à nouveau assailli par un autre mâle.

En tout, elle allait se faire sodomiser pendant plusieurs heures, et le second mâle s’avéra encore plus vorace et violent que le premier, puisqu’il n’hésita pas à gifler à plusieurs reprises le cul de la femme, tout en continuant sauvagement à la bourrer…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le jeudi 16 août 2018, 13:54:58
On sentait que F-182, ou Lucie Moreau, pour le moment les deux étaient encore possibles à dire, l’un n’était pas encore prévalant sur l’autre, avait été modifiée. Il faut bien le dire, en effet, c’était quand même une belle performance de la part de la fameuse Lucie de tenir malgré les coups dans son anus. Mais elle tenait, elle gémissait fortement, haletait, gémissait comme une chienne, mais pour le moment, depuis les quelques mots qu’elle avait dit auparavant, elle ne disait visiblement plus rien. Mais vous avez bien compris, elle était loin, très loin d’être devenue silencieuse. Enfaite, elle était encore extrêmement « bavarde », étant donné qu’elle gémissait comme la chienne qu’elle devait devenir… Après tout, son destin était bien d’être un cadeau, un cadeau avant toute chose… N’est-ce pas ?

Elle avait finalement jouie, comme dit précédemment… Mais cela ne voulait pas dire qu’elle était libérée ! Genre, bravo, tu as jouis, c’est bon, tu peux partir, on a fini avec toi. Ce n’était pas l’orgasme féminin qui signait la fin de l’acte, mais l’orgasme masculin. Et si visiblement, la fameuse Lucie avait été programmée, conditionnée, modifiée pour qu’elle soit capable d’orgasmer vite, et régulièrement… Et bien, ce n’était pas du tout le cas des personnes masculines ici présentes. Visiblement, celle-ci étaient au contraire préparés pour pouvoir bourrer des filles comme Lucie le plus longtemps possible avant de relacher la sauce. Ainsi, de longues et longues minutes passèrent, avant qu’à son tour, le cobaye masculin se lache en l’intérieur de la fameuse adolescente.

« 23’47 avant son premier orgasme, il s’améliore…
 -  Et la quantité de sperme projetée… »


Après cette jouissance, le corps de F-182 fut alors posé sur le sol, misérablement. Ses gros seins, c’est ce qu’on pouvait dire, se pressant à même le sol, et son anus encore bien mis en avant, on voyait du sperme en couler. Moins qu’après la terrible tourmente, son dernier grand acte sexuelle, mais quand même, on en voyait… Mais cette trève, qu’ici peut paraître longue grâce à la magie de la narration qui peut étendre un moment, en l’étirant encore et encore, ou qui au contraire peut-être raccourcis par la magie de l’ellipse… Et bien, cette trève n’était qu’une illusion. Elle était loin d’être libérée, loin d’être prête à être rangée, non… Vu qu’il y avait encore un autre sujet mâle qui était là pour elle… Et ainsi...

Elle se fit de nouveau sodomisée, par un nouvel homme. Ce qui était incroyable dans l’histoire, ce qu’on pouvait faire remarquer, c’est que l’ensemble était banale. Comme cela dura plusieurs heures, les scientifiques faisaient leur travail, et ne s’intéressaient pas forcément à ce qui se passait ! Pourtant Lucie étai constamment bourré ! Elle se faisait prendre, le phallus faisait un aller retour incessant dans l’anus, qui maintenant était bien prêt pour les bites, étant donné qu’il était de plus en plus facile de faire passer un chibre de taille pourtant importante, dans son interieur. Bref, cela continuait, encore et encore, faisant gémir… Et c’était accompagnée de frappe sur ses fesses, de petits coups, et du frottement du reste de son corps contre le sol… Et le pire, c’est que son corps continuait à lui donner encore et toujours du plaisir, sans aucune pause. Elle gémissait et orgasmait…

Entre deux orgasmes, deux gémissements, son esprit tentait de se raccrocher au plus important. Ces souvenirs. Elle avait encore ça, ses souvenirs de classes… C’était extrêmement dur de penser à ça dans les situations où elle était, mais elle tentait quand même. Elle se rappelait de ces cours passer à tenter de travailler sur des équations, des produits chimiques, et principes littéraires, des figures de styles et des dates historiques. Elle pensait à Jeanne, Jeanne, son amie qu’elle estimait toujours possiblement à sa recherche. Oh, elle était sûre que Jeanne, cette fille, devait sans doute être possiblement à sa recherche, et qu’elle allait la trouver. Ces souvenirs, c’était un peu son ultime barrière, constamment attaquée, constamment frappée par le phallus des hommes voraces qui la bourraient depuis autant de temps. Encore une fois… Combien de temps ? Elle était incapable de savoir…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 19 août 2018, 22:06:29
Combien y en avait-il d’autres ? D’autres esclaves en train de se faire sodomiser dans d’autres cages ? F-182 n’était qu’un sujet comme un autre, une jeune femme jetée dans une immense machine et destinée à devenir une esclave sexuelle. La seule particularité de F-182, par rapport aux autres, c’est qu’elle était destinée à être l’esclave personnelle de la Déesse moderne dirigeant tout cet établissement. Elle était un cadeau d’anniversaire, mais, parallèlement à elle, les scientifiques géraient d’autres cages. En réalité, la salle de contrôle était une salle centrale, et, sur d’autres écrans, on pouvait voir d’autres esclaves se faire tringler. Certaines étaient à un stade plus avancé, puisqu’elles étaient libres de leurs mouvements, et couchaient avec une dizaine d’hommes, ceux-ci se relayant les uns aux autres, et tenaient maintenant depuis des heures, voire des jours. Était-ce si surprenant ? Ceux qui en doutaient n’avaient qu’à se renseigner. Lisa Sparxxx, une actrice pornographique américaine, détenait ainsi le record du monde de la plus grande orgie sexuelle, avec 919 amants en une journée. Partant de là, les modestes séances de la Lactos n’étaient pas grand-chose.

D’autres femmes avaient également droit à l’utilisation d’animaux, des chiens de chasse formés pour les relations sexuelles. Il y avait ainsi une dizaine de cages, et même Leona s’ennuyait. En fait, de manière générale, Leona n’avait jamais été très patiente. F-182 se faisait maintenant baiser depuis plus de deux heures. À chaque fois qu’elle était sur le point de s’évanouir, des seringues s’injectaient en elle, diffusant de l’adrénaline. À terme, son corps serait conçu pour vivre de manière permanente dans le sexe. Leona, elle, s’amusa donc avec plusieurs de ses esclaves, et même deux ou trois scientifiques. Elle les prenait par l’arrière, ou leur ordonnait de venir la sucer, ou urinait en elles. Après tout, Leona était une grande ondiniste. Bisexuelle, elle coucha aussi avec quelques hommes, s’amusant à les voir lui lécher les pieds. Une journée de repos assez ordinaire pour cette jeune Déesse.

Finalement, le traitement anal de F-182 finit par se terminer dans un ultime râle. Les liens la retenant se relâchèrent, et la femme tomba au sol. Son cul et son dos avaient de multiples traînées de foutre, des marques rougeâtres et violacées, et elle respirait lourdement. Quelques minutes passèrent avant qu’une lumière ne s’allume. La vision fut rendue à F-182 qui put voir, devant elle, plusieurs des esclaves de Leona, qui l’aidèrent à se redresser, la tenant par les épaules, et Leona elle-même debout.

« Alors ? »

Les doigts d’une esclave claquèrent devant les yeux de F-182.

« Elle comate, Maîtresse...
 -  Tout cela est assez décevant. Il y a encore besoin de beaucoup te former, F-182 ! Le temps presse, et les résultats attendus ne sont pas à  la hauteur ! »

F-182 s’en sortait en fait plutôt bien, dans la mesure où il y avait pire... Mais il y avait aussi mieux. Même avec les stimulants, F-182 avait fini par être à bout de force. Leona marcha pendant quelques secondes, avant de rajouter :

« Viens me lécher les pieds, F-182 ! Remue ton cul de salope, allez ! »
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 22 août 2018, 22:00:13
On doutait souvent de la puissance du corps humain. Cela était sans doute du à des années et des années de vie dans une relative confortable vie occidental. À l’ère où le moindre bobo amenait de suite chez le médecin, on semblait oublier que les humains modernes avaient survécus à plus de 100 000 ans d’histoire, de multiples changements sociétaux, géographique, géologique… Ils avaient colonisés tout les espaces sur terre, vivaient maintenant de l’Antarctique jusqu’au désert les plus chauds… Et certains étaient capable de faire des gang-bang absolument intense. Pourquoi cela serait plus illogique qu’un homme capable de faire 100 mètre en moins de 10 secondes ? Quelqu’un capable de monter les plus hautes montagnes du monde ? Bref, ainsi, les performances sexuelles étaient des performances comme les autres, qu’on pouvait améliorer, comme les autres.

Et là, nous étions plein dedans. Mais Lucie restait Lucie, bien qu’elle avait été renforcée. Ce qu’elle faisait était exceptionnelle pour une jeune femme de son âge. Il fallait se rappeler qu’elle avait quinze ans, et qu’elle connaissait le sexe anal que depuis peu ! Mais visiblement, ce n’était pas suffisant… Et c’était logique pour quelqu’un comme Leona considère cela comme « peu » ou « pas suffisant ». Après tout elle avait sans doute entrainé des tas et des tas de femmes. En gros, en résumé, Lucie n’était qu’un détail, dans sa très longue liste de femmes et hommes entraînés. Bref, elle ne devait pas croire que son cas était unique. Oh non ! Après elles, d’autres femmes y passeraient, et avant elle, il y en avait eu.

« Alors ? »

Quelqu’un… Quelqu’un parlait ? Oui, elle en était sûre, mais c’était difficile de savoir… Après un long moment où râles avaient été poussés, gémissement, et même plusieurs orgasmes, la fameuse Lucie avait été détachés, et s’étalaient tout du long de son corps sur le sol… Elle était dans une position obcène, et comme la dernière fois, son anus débordait de sperme, ses fesses étaient bien violacé, c’était assez beau à voir… Elle venait quoiqu’il en soit, de retrouver la vue, enfin, et voyait donc… C’était encore les fameuses assistances de Leona. Elle arriva à faire fonctionner son cerveau pour les reconnaître, ce qui on va bien le dire, était un sacré exploit, vu ce qu’elle venait d’enchaîner… Ainsi…

« Elle comate, Maîtresse...
 -  Tout cela est assez décevant. Il y a encore besoin de beaucoup te former, F-182 ! Le temps presse, et les résultats attendus ne sont pas à  la hauteur ! »

« Aaaah... »


Ce « Aaah » dans les fait, avait été une tentative de réponse, mais visiblement, cela n’avait pas bien marchée. Elle n’avait pas réussi à dire ce qu’elle voulait dire. Qu’avait-elle voulu dire ? Et bien, impossible de savoir. De toute façon, Leona visiblement voulait faire ce qu’elle voulait, et donc, quoique tente Lucie, elle savait qu’elle n’y arriverait jamais… Son… Son passé de jeune lycéenne, on va bien le dire, lui manquait… Mais maintenant, elle comprenait qu’il n’y avait pas de retour… Comment faire pour empêcher cela ? Leona était une déesse, qu’elle le veuille ou non, qui avait tout les pouvoirs sur elle. Elle pouvait bien tenter d’empêcher cela, mais cela ne servait à rien. Elle était face à sa déesse, celle-ci d’ailleurs qui avait visiblement des ordres à lui donner, étant donné que fut déclarer :

« Viens me lécher les pieds, F-182 ! Remue ton cul de salope, allez ! »

« B… bien... »


Oh ! Elle avait réussi à dire un mot ! Non sérieux, vu son état, c’était quand même assez… incroyable ! Bref, la fameuse Lucie tenta de s’approcher de sa maîtresse. En tout cas, là où la dite maîtresse pouvait être contente, c’est qu’il n’y avait aucune, mais alors absolument aucune résistance ! Elle tentait pas d’empêcher ça, elle tentait pas ne serait-ce que de ralentir le tout… Non, elle tentait vraiment ! Mais vous avez bien compris, elle faisait que tenter. Elle avait trop mal au cul pour réussir à ne serait-ce que se mettre à quatre pattes, et finalement, s’écroula misérablement, le cul encore légèrement en l’air, au pied de Leona… Mais, voilà, elle avait quand même la tête juste au niveau des fameux pieds… Donc, voilà, elle sorti sa langue, et comme ça, elle lécha misérablement les pieds qui se présentaient à elle. Loin d’être gracieuse, on pouvait avoir des doutes sur la véritable réussite de son action… Mais…

MAIS ! Mais elle arriva à faire ce qu’on lui avait demandé. Même si c’était loin d’être vraiment réussi, une part d’elle… Une toute petite part… Bah avait une sorte de sentiment de fierté. Cela pouvait sembler absurde, mais réussir là, à faire ce qu’on lui demandait, c’est à dire lécher les pieds de sa « maîtresse », et bien… Dans ses conditions, c’était quasi un miracle ! Après tout, elle était loin d’être en forme. Cependant, il fallait bien dire que ce qui apportait donc fierté à la fameuse jeune demoiselle, ou plutôt à F-182, et bien, ne serait pas suffisent pour Leona ! Elle ne léchait que faiblement le pied, passant lentement sa langue, et tentant de faire ce qu’on lui demandait, mais dans les fait, elle n’y arrivait qu’à peine. Donc, on allait bien voir ce qu’allait faire Leona. Sans doute accélérer tout ça, car elle progressait trop peu vite…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 27 août 2018, 00:42:00
Leona ne s’attendait pas à ce que F-182 y arrive. Mais elle voulait au moins la voir essayer... Car cette tentative lui parlait plus que tout le reste, cette tentative était la preuve que, fondamentalement, F-182 ne chercherait pas à se rebeller, qu’elle était dressée, obéissante... Alors, somme toute, en la voyant s’approcher, Leona sourit lentement, une lueur malicieuse dans le blanc des yeux. Le visage de F-182 s’écroula contre sa chaussure, et la jeune blonde pencha la tête sur le côté, mains posées sur les hanches.

« Bon... »

La jeune femme fléchit alors les genoux... Et sa main caressa tendrement les cheveux de sa petite esclave, comme pour la féliciter, à sa manière. Elle la félicitait d’avoir tenu, d’en être arrivée jusque-là. C’était bien elle, sa petite chienne, son précieux cadeau pour sa mère. Un léger sourire se dessina ensuite sur le visage de Leona. La jeune femme venait d’acquérir cette intime conviction qu’elle y arriverait, qu’elle parviendrait à la former, et qu’elle serait prête à temps pour l’anniversaire.

« Laissez-là se reposer... Puis nous continuerons la formation. »

Les esclaves ramenèrent F-182 sur une civière, soulevant sans difficulté son corps, et, pour la première fois depuis longtemps, la jeune femme put goûter au confort d’un vrai lit. Elle fut déposée dans une chambre capitonnée, une pièce sans aucun meuble, avec des murs blancs, aseptisés... Une véritable chambre d’asile, mais elle était après tout dans un institut psychiatrique de haute sécurité, à Ravenborn.

Au petit main, F-182 put se réveiller. Depuis une fenêtre dans un coin de la chambre, la lumière du soleil venait éclairer l’ensemble. Elle portait un uniforme beige uniforme, grossier, donnant presque l’impression qu’elle était passée du laboratoire sexuel à un asile. Était-ce la continuation de sa formation ? Ou une journée de repos ? Qui aurait pu croire qu’elle avait droit à une journée de repos ? Mais que signifiait ceci, alors ? Pour une fois, elle n’était pas réveillée par un chibre. Pour une fois, il n’y avait pas des hommes en chaleur, ni des tentacules, des drogues, juste... L’étonnante sensation d’un réveil banal et ordinaire.

Dans un sifflement, la porte s’ouvrit.

« C’est l’heure du repas ! s’exclamait une infirmière dans le couloir. Tous au réfectoire ! »

Toutes les portes s’étaient ouvertes, et F-182 put voir d’autres individus avancer. Et, somme toute, la faim devait sans doute tirailler le ventre de la jeune fille, puisque son corps avait brûlé un nombre très élevé de calories hier. Il ne lui restait plus qu’à suivre le groupe. Les visages étaient renfrognés, silencieux. Une atmosphère surréaliste, qui s’accrut encore quand F-182 rejoignit le réfectoire. C’était une grande pièce dans un chalet en bois, avec des fenêtres donnant sur la terrasse à l’extérieur. Depuis là, on avait une vue fantastique sur les Alpes, une série de montagnes, de forêts, avec des neiges éternelles sur certains monts.

Le plus étonnant, encore une fois, venait du mutisme généralisé. Aucun des pensionnaires ne parlait entre eux, tandis que des agents leur donnaient du pain avec du beurre, le tout avec des couteaux en plastique, et servaient des chocolats chauds.

« Mangez bien ! Prenez des forces ! »

Contre un mur, un énorme écran affichait parfois deux numéros. Un « M » et un « F »... Etr les concernés se relevaient alors, puis faisaient l’amour entre eux, le M plaquant la F, et venant la bourrer. Les soupirs et les gémissements se mélangeaient alors aux bruits des cuillers et des mâchoires avalant le pain.

Quoi de mieux pour convaincre un individu de la normalité d’une situation anormale que de l’entourer de gens anormaux comme lui ? Finalement, la normalité n’était qu’une conception très subjective, dépendant fortement de son entourage...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 29 août 2018, 22:21:49
Elle avait réussi son coup… Mais ce fut la dernière chose qu’elle arriva à faire. Elle tomba dans les pommes, incapable de faire quoique ce soit de plus. On pouvait comprendre en même temps… Comment réussir à faire plus ce qu’elle avait fait ? C’était déjà exceptionnelle d’arriver à tenir dans ce genre de situation… C’était pas quelques choses de facile ce qui s’était passé pour elle ! Elle ne put entendre avec précision ce que son interlocutrice et maîtresse déclara, mais comme une chienne, elle se sentit heureuse quand elle reçu une caresse sur sa tête… C’était… C’était extrêmement gentil… Bref, elle était heureuse de quelques choses d’aussi basique qu’un peu de décence humaine. Mais après ce qu’elle avait subit, c’était compréhensible qu’elle soit dans un état un peu… Comment dire… Spécial ! Bref, ce fut le tour complet après.

Le black-out fut total, mais quand elle revint à elle… Elle était dans un milieu… Normal. Oui, une chambre, une vraie chambre. C’était très sobre, et cela ressemblait beaucoup à un hôpital ? Etait-elle… Sauvée ?! Elle n’en savait rien. Elle avait un peu mal partout, mais bien moins que ce qu’elle pensait devoir avoir niveau douleur. C’était surprenant. Bref, elle était surprise… Mais heureuse. Franchement, elle n’aurait jamais cru qu’elle aurait été rêvé d’un simple lit. Ici, pas de cuves, pas de mâles en rutes, pas de maîtresses pour lui faire du mal… Bref, c’était comme si cela était enfin terminée… Comme si elle s’était réveillée d’un cauchemar. Seul son corps qui avait connu des modifications -elle voyait bien que ses seins avaient bien grossis-, et ces quelques douleurs la faisaient dire qu’elle n’avait pas rêvé tout ça…

« C’est l’heure du repas ! Tous au réfectoire ! »

Ce fut à ce moment là qu’elle remarqua qu’elle avait faim. Très faim. Depuis quand n’avait-elle pas mangée ? Bref, elle suivit le groupe. Parfois, elle tenta de parler, mais le mutisme général lui faisait trop peur. Elle devinait qu’elle n’était pas tout à fait rentrée chez elle, mais de l’autre côté, qu’elle n’était pas dans le même milieu. Et l’esprit changea du tout au tout, quand elle vit l’endroit où les personnes marchants étaient toutes arrivés. Une sorte de salle de repas d’un gite de montagne. Ouais, c’était presque ça… C’était surréaliste encore une fois. Elle ne savait pas où elle était.. Qu’est-ce que tout cela voulait dire ? Etait-elle vraiment sortie de l’auberge ? Bref, toutes ses questions n’eurent d’importance à ces yeux, étant donné que la faim était la plus importante là, dans cette situation.

« Mangez bien ! Prenez des forces ! »

Personne ne parlait, tout était silencieux. Elle avait du mal à concevoir ce qui se passait exactement, l’ensemble était très… étrange. Bref, elle commença à manger, tranquillement. Tout les couverts étaient en plastiques, empêchant ainsi la moindre tentative de faire une révolte, ou faire un suicide, mais de toute façon, l’idée même ne serait-ce pas venue à la fameuse Lucie. Mais on voyait quand même qu’avec ce genre de détails, et bien, ils avaient pensés littéralement à tout. Bref, la demoiselle aux cheveux blond commença à manger, elle tentait de manger pas trop rapidement, étant donné que même si elle avait faim, elle savait qu’elle devait pas non plus pour autant manger comme un goinfre, et donc, tomber malade. Mais quand même ! Elle mangeait avec appétit.

Elle n’aurait pourtant, normalement, jamais pensée qu’elle aurait pu manger dans ce genre de situation… En effet, il fallait bien dire qu’il eut deux détails qui lui firent comprendre que non. Non, elle n’était pas sauvée, et qu’elle avait encore du soucis à se faire. En effet… Ce quelques choses, c’était le fait que… Que… Que des hommes et des femmes étaient entrain de faire l’amour dans la salle. Maintenant, notre fameuse jeune demoiselle aux cheveux d’or savait que l’acte qui était pratiquée dans cette situation là s’appelait la « sodomie ». Génial, elle aurait bien aimé ne jamais le savoir. Si seulement, elle pouvait avoir une bonne lobotomie histoire d’oublier ce genre de chose… Ouais, ça serait sympathique. Malheureusement, lobotomie s’il y avait, cela ne serait pas pour oublier ça… Mais passons.

Le second détail fut comment elle était appelée… Ou plutôt comment les personnes ici étaient appelés. Elle n’était pas « Lucie Martin », ce qu’elle estimait toujours être avant toute chose son nom… Mais il y avait encore l’usage de ces numéros. Et là, les numéros étaient important. Les numéros changeaient, et ceux qui apparaissaient à l’écran était donc ceux qui devaient faire l’amour… D’accord. Il n’y avait aucun paterne pour les numéros, donc, impossible de savoir qui serait le prochain. Les numéros défilaient… Et finalement, le F 182 apparu. Elle avala sa salive. Elle savait que cela ne servait à rien de tenter de ne pas le faire. Elle aurait sans doute une punition négligeable… Et à quoi cela servait ? Elle n’avait pas envie d’être tabassée, donc, et bien… Autant obéir.

Elle se leva donc. Et regarda, l’homme concerné devait sans doute être pas loin.

Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 08 septembre 2018, 15:30:46
Les traitements de la Lactos se fondaient sur de multiples expériences et autres tests historiques. Le fonctionnement de l’Institut Ravenborn était très pavlovien, et les penseurs à l’origine de ce système s’étaient beaucoup inspiré&s de l’expérience de Watson. S’inspirant des études d’Ivan Pavlov sur le conditionnement, le docteur John Watson avait réalisé dans les années 1920’s une expérience de conditionnement sur un jeune garçon. La théorie de Patson sur le conditionnement partait du principe qu’il était possible de créer un stimulus et de conditionner inconsciemment les gens. Le concept reposait sur des notions faciles à appréhender. Un individu lambda, face à ce que Pavlov appelait un stimulus inconditionnel (SI), dégageait une réaction conditionnelle (RC). La théorie de Pavlov consistait à introduire un autre élément, un stimulus neutre (SN) pour modifier l’ensemble. Par exemple, en voyant une poitrine, un homme ressentait du désir, et une érection. En jouant avec ce système, on pouvait conditionner les individus.

Watson avait donc réalisé l’expérience du Petit Albert. Cette expérience très particulière était aujourd’hui utilisée dans le traitement contre les phobies. Watson avait réalisé une expérience avec un enfant qui aimait les souris blanches, mais avait très peur des sons forts. Ainsi, quand on frappait deux bâtons entre eux, un son fort se dégageait (SI), déclenchant une réaction panique chez l’enfant (RC). Le docteur Watson avait alors inclus la souris (SN). À chaque fois que la souris s’approchait du petit Albert, le docteur déclenchait les bâtons, jusqu’à ce que le simple fait de voir la souris ne panique l’enfant. Le docteur Watson avait ainsi créé un stimulus conditionnel déclenchant automatiquement une bonne réaction.

De tels travaux avaient servi de fondement aux recherches des chercheurs de l’Institut Ravenborn, et on en voyait le résultat. Les cobayes réagissaient intuitivement, et le sexe devenait un stimulus conditionnel les amenant à ressentir systématiquement du plaisir. C’était l’une des nombreuses preuves des faiblesses de l’esprit humain, qui se déclencha encore quand l’appareil annonça « F-182 ».

La jeune femme se releva alors, tandis que M-072 fut annoncé. Un homme se leva à l’extrémité du réfectoire, et se rapprocha de F-182. Il était assez massif, le crâne rasé, rejoignit donc la femme. Près de la table, il déboutonna alors l’uniforme de F-182, jusqu’à révéler ses seins, puis sourit lentement, avant de poser ses mains sur eux, et les caressa, pinçant les tétons.

« Ce que t’es bonne, toi... »

Plus le conditionnement avançait, et plus les cobayes fonctionnaient de manière inerte, atone, ne se réveillant que quand le désir sexuel remontait en eux. M-072 sourit malicieusement, et pinça plus fortement les seins de la femme, avant d’aller l’embrasser. Il fourra sa langue dans sa bouche, puis continua à déshabiller F-182, jusqu’à ce qu’elle retrouve toute nue.

« Commence par me sucer, F-182... Excite-moi bien avant que je t’encule. »
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 12 septembre 2018, 19:10:11
Lucie n’avait aucune idée de système de conditionnement. Elle n’avait jamais travaillé ça. Il faut dire, c’est quelques choses qu’on aborde que trop rarement dans les cursus du secondaire. C’est dommage, vraiment, je suis sûr qu’il y aurait plein, mais alors plein de chose à dire ! Mais voilà, on ne pense pas assez aux choses qui peuvent être un peu amusante pour tout le monde… Ahlala. Qu’est-ce que le monde est mal fait ! Bref, quoiqu’il en soit, Lucie avait donc une impression extrêmement dérangeante, mais elle ne pouvait pas comprendre le système de conditionnement. Pour elle, c’était juste que voilà, les numéros l’avaient dit, et si elle ne voulait pas être punie, et bien, elle devait le faire. C’était inconditionnel. Elle en était bien triste, mais elle devait obéir. Ainsi, elle était arrivé jusqu’à l’homme visiblement… Un homme grand et rasé, contrairement à elle qui avait toujours ses longs cheveux blonds.

« Ce que t’es bonne, toi... »

« Me… Merci... »


C’était ça le pire. Après tout ce qui s’était passé, une trop inquiétante impressionnante impression (ouah la répétition dégueulasse) de… Normalité. Tout avait l’air trop… Trop… Normal. Comme s’il n’y avait rien de différent. Bon sang, elle ne savait pas quoi dire. L’homme tripotait ses seins, sans aucune hésitation, et n’hésitait pas à les pincer, les tortiller… Cela la faisait bien entendu gémir, sans qu’elle puisse se contrôler. Une chose était intéressante avant de suivre tout ça… Le fait qu’elle trouvait ça normal, cela voulait dire que maintenant, elle trouvait ça normal qu’un homme plus âgé qu’elle vienne comme ça lui tripoter les seins. Comme s’il n’y avait aucun soucis avec cela. Ce qui est tout à fait frappant ! Cela montre bien que le conditionnement était en route ! Car réussir à penser cela, alors qu’on se fait conditionner… Et bien là, cela montre que cela marche. Quoiqu’il en soit, Lucie était maintenant entièrement nue… Et donc...

« Commence par me sucer, F-182... Excite-moi bien avant que je t’encule. »

« Bien… Bien sur… Enfaite… Moi c’est Lucie... »


Elle ne voulait pas oublier son nom, c’était comme une ultime résistance, et comme l’homme, bien qu’il disait clairement son attention final, venir enculé la pauvre jeune demoiselle, et bien, ne semblait pas trop méchant, contrairement à TOUTES les personnes qu’elle avait rencontrée depuis qu’elle était là, et bien… Elle espérait qu’il fasse cette concession, et qu’il décide bien de l’appeler par son nom. Qu’il l’encule, ok, elle savait qu’elle n’y échapperait pas -je veux dire, elle n’avait fait que ça depuis qu’elle était arrivé, elle n’était pas dupe, et savait très bien que cela n’allait pas s’arrêter comme ça pour ses beaux yeux-, mais au moins, qu’il dise son nom, et non pas son « code » alors qu’il enfoncerait son phallus dans son anus -qui au passage, précisons le, était encore bien dilaté, hein, pas un hall de gare, mais pas mal quand même !

« Vous dîtes si ça ne convient pas... »

Elle avait été dénudée par l’homme, c’était à son tour de dénuder. Elle se positionna à genoux, et commença à baisser bien sagement le fameux pantalon de l’homme. Se révéla bien vite un phallus d’une taille imposante. L’homme était bien membré, cela ne faisait aucun doute. Une chose était sûre : si Lucie arrivait à s’enfuir, et bien, elle serait choqué à jamais comment en vrai, les phallus d’hommes sont petits. Et ouais, les phallus qu’elle avait découvert étaient tous de tailles absolument énorme, donc, vous devinez que les phallus normaux… Enfin, pas d’inquiétude, car il était très TRES peu probable qu’elle s’échappe un jour de cela… Donc, quoiqu’il en soit, la jeune demoiselle aux cheveux blond avait le pénis devant elle… Il fallait bien qu’elle fasse quelques choses avec elle. Elle savait bien qu’elle ne pouvait pas rester passive, et donc…

« Mmh... »

Elle n’était pas encore très douée pour cela. En effet, les seuls fellations qu’elle avait fait, on lui avait enfoncé la bite dans la bouche, sans aucune préparation, et c’était les personnes qui s’étaient débrouillés pour gérer tout, Lucie avait donc eu un rôle tout à fait passif. Là, elle devait faire quelques choses de tout à fait différents, car elle devait avoir un rôle actif. Cela passait par une certaine maladresse qui avait son charme. Quelques coups de langues sur le gland, une grande hésitation quand il s’agit de prendre un peu plus en bouche, bref, on sentait qu’elle débutait encore. Mais encore une fois, le conditionnement faisait qu’elle tentait de faire de son mieux pour satisfaire l’homme. Elle prit alors une grande respiration, et avala progressivement le gland, et une partie du phallus. Bon sang, il était « gentil » pour le moment, mais il pourrait sans doute devenir violent, si elle n’était pas suffisamment bonne. Voilà pourquoi elle devait faire de son mieux… Vraiment de son mieux.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 17 septembre 2018, 00:50:07
Chacun des gestes, des mots, de F-182 était observée, analysée, et étudiée. Ravenborn était en ce sens une véritable institution orwellienne, avec une multitude de caméras, de microphones, de détecteurs... La remarque anodine de F-182 n’échappa donc nullement aux médecins de Ravenborn. Elle rappela en effet son patronyme de naissance, signe que le conditionnement n’était pas encore terminé. À terme, F-182 devrait même oublier son passé, au profit de la seule sensation de servitude. L’aliénation que formait le sexe était ici poussée à son paroxysme, et F-182 ne put qu’obéir aux injonctions de M-072. Quand elle abaissa son pantalon, elle constata que l’homme avait effectivement une belle trique. Après tout, si le programme dotait les femmes de généreux seins, et d’une endurance sexuelle surnaturelle, c’était aussi le cas pour les hommes. Ils subissaient un programme hormonal à base de testostérone, et M-072 ne s’en sortait pas si mal.

Comme F-182, il avait eu une autre identité avant, une autre existence... Une existence guère enviable. Le jeune homme vivait de foyer d’accueil en foyer d’accueil, ignorant l’identité de son père biologique. Sa mère était une femme maniaco-dépressive, qui n’avait jamais été en mesure de s’occuper convenablement de lui, ni même d’elle, multipliant les petits-amis rencontrés dans les bars, le mélange de boissons et de médicaments... L’enfant avait vu des choses qu’un jeune enfant n’était pas supposé voir, et, quand la police s’était penchée sur le cas de la mère, le jeune homme avait été placé dans un orphelinat en attente de lui trouver un foyer d’accueil. Las, les vices des parents ont souvent tendance à se développer chez leurs enfants. Le jeune homme, qui avait vu à cinq ans sa mère faire des fellations à la chaîne dans leur modeste logement social pour quelques euros, avait recopié ces gestes, donnant lieu à des complications très importantes. Il était régulièrement déscolarisé, faisant le mur, changeant de maison ou d’établissement, jusqu’à se retrouver dans un CEF (centre éducatif fermé), l’équivalent moderne des maisons de correction. C’est là que le dossier de M-072 était remonté jusqu’à Ravenborn, car l’un des éducateurs de ce CEF travaillait justement pour la Lactos Company. C’est ainsi que, à la fin de la mesure de placement, M-072 avait tout simplement disparu. Personne ne le rechercherait. Ses différentes familles d’accueil n’avaient eu qu’une envie : oublier cet homme dangereux et agressif. Et maintenant ? Maintenant, M-072 était docile. L’Institut Ravenborn avait mis fin à son comportement désobéissant, et lui avait offert une nouvelle vie, une occasion de contribuer utilement à la société. Somme toute, la Lactos agissait pour le bien commun, car, sans elle, l’homme qu’avait été M-072 aurait continué à errer entre la prison et la rue, enchaînant les condamnations. Un vaurien sans avenir, si ce n’est celui d’être une plaie pour la société civile.

Il se trouvait donc là, avec sa queue dressée, et soupira quand F-182 commença à pomper son dard. Toutefois, les médecins de Ravenborn savaient aussi que le conditionnement, aussi poussé soit-il, ne pouvaient pas totalement effacer l’ancienne personnalité du sujet. D’une manière ou d’une autre, il restait toujours des substrats, des couches profondes qui rejaillissaient de manière imprévue. En l’occurrence, chez M-072, il s’agissait de son agressivité naturelle, de ce penchant à la violence, mais aussi, dans une moindre mesure, au sexisme. M-072 avait un contentieux non réglé avec sa mère, qu’il haïssait et aimait en même temps. Et ce contentieux s’était dupliqué chez les femmes. C’était un homme violent, et le soumettre n’avait pas été une sinécure.

« Hmmm... Bordel, salope, tu suces si bien... »

Et une fellation avait souvent le don de réveiller chez lui ses anciennes pulsions, puisque cela lui remémorait, inconsciemment, l’époque où, jeune enfant, il voyait sa mère s’adonner à ce genre de pratiques. Il se mettait donc à grogner, écarquillant les yeux, et serra ses mains sur les cheveux de la femme. Sa queue se mit à grossir, à enfler.

« Allez... Allez, plus vite, salope, plus vite ! » s’impatienta-t-il rapidement.

M-072 commença à donner des coups de reins, étouffant des grognements, et guida lui-même la tête de F-182. Ses mains se posèrent sur son crâne, et il commença donc à la bourrer plus furieusement, grognant sur place, lui baisant vulgairement la bouche. L’homme y allait avec appétit, avec énergie, les muscles de son visage se bandant pour marquer sa colère, sa fureur, tandis que, inlassablement, il continuait à la baiser.

« Pu-Putain, hmmm... ! Bordel ! F... Foutue salope, haaa... !! Sale pute à la bouche de chienne ! »

Si F-182 espérait tomber sur un amant doux et romantique, elle était décidément bien loin du compte...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 19 septembre 2018, 22:43:20
Elle n’était pas dupe. Elle ne s’attendait pas à qu’on la prenne romantiquement, ou même ne serait-ce que gentiment. Enfaite, ce qui semblait le plus choquant pour la fameuse Lucie, c’est qu’il y avait un côté très « humain » dans ce viol… Et ouais… Quand même ! Enfaite, avant, elle avait eu l’impression que rien n’était naturel, qu’elle était arrivée dans une sorte de dystopie ou dans un univers parralèle ou tout cela était possible. Mais là, dans la situation donnée, tout semblait… Possible ! Bien possible, réel, comme si après un cauchemar horrible mais totalement surréaliste et impossible, elle se retrouvait à l’orée d’un nouveau cauchemar, mais cette fois, ancrée dans la réalité véritable. Un peu comme après une heure trente de dinosaure en plastique dans Carnosaur, on se retrouvait face à des mecs en jaune tuant tout le monde pour éviter une contamination à coup de lance-flamme… Attendez, c’est vraiment ce qui arrive dans le film !

« Hmmm... Bordel, salope, tu suces si bien... »

Mais assez de dinosaure ! Quoiqu’il arrive, notre chère Lucie n’avait pas l’impression qu’elle suçait bien. Enfin, elle n’en n’avait aucune idée enfaite. Elle n’avait jamais suçée de sa vie, et elle n’avait jamais vu de femme sucée… Et même, on pouvait bien le dire, l’idée de prendre un pénis dans sa bouche ne serait jamais venue à l’idée, avant les horribles images qu’elle avait vu, peu après son arrivée dans ce fameux centre. Bref, donc, elle ne pensait pas qu’elle suçait si bien que ça… mais tant mieux ! Pour le moment, cela n’était pas trop désagréable de sucer ainsi… Donc, pourquoi pas ? Si cela pouvait continuer ainsi, elle pensait qu’elle pourrait y arriver sans trop trop de problème. Bien que cela n’était pas l’expérience la plus agréable du monde, il fallait bien avouer… Mais ça restait supportable… Malheureusement...

« Allez... Allez, plus vite, salope, plus vite ! » 

Malheureusement, même si « elle suces si bien », et bien, visiblement, cela n’était pas suffisant pour son interlocuteur. Et quand on connaissait le dossier de l’homme, et bien, cela n’étonnait guère de monde… Mais cela, et bien, Lucie ne savait pas… Tout ce qu’elle savait, c’est que d’un coup, le phallus entra de plus en plus dans sa bouche… Et peu à peu, alors que de base, c’était bel et bien la fameuse jeune demoiselle aux cheveux d’or qui dirigeait l’ensemble, et bien, elle perdit ce contrôle sur l’ensemble, et se retrouva dans un rôle de passive. A devoir suivre l’ensemble, et se faire baiser, baiser, et encore baiser… Elle retournait dans ce qui lui était arrivée peu à peu avant, et on retrouvait même un vocabulaire relativement proche de ce qu’elle avait connue auparavant, étant donné que ce qu’elle put entendre fut :

« Pu-Putain, hmmm... ! Bordel ! F... Foutue salope, haaa... !! Sale pute à la bouche de chienne ! »

La bouche de « chienne », comme le disait si bien cet homme au vocabulaire si charmant et fleuri, était prise donc par une violence non négligeable… Tout le corps de la fameuse F-182 était pris, encore, et encore, et ballotait alors ses deux gros seins, qui faisaient un plaisir de bouger au rythme de la tête et de la bouche de la fameuse femme. Lucie aimerait bien faire quelques choses, dire qu’il fallait que ça arrête, que cela faisait mal, et même qu’elle etouffait presque parfois, car il faut bien le dire, cela pourrait arriver (mais mystérieusement non, comment sa gorge pouvait tenir avec cela dans la bouche ? Elle ne savait pas que c’était encore une modification qu’avait connue son corps…) Bref, elle avait envie, dans un premier temps, de faire cela… Malheureusement, ce temps ne fut pas trop long, étant donné que…

A quoi bon de toute façon ? Elle était qu’un bout de viande. Alors que sa bouche se faisait complètement violée, des larmes coulaient sur ses joues. Elle voulait pleurer. Elle arrivait enfin à vraiment pleurer. C’était pathétique, et elle savait que de toute façon, cela ne servait à rien. C’était pas comme si l’homme qui s’occupait d’elle, là, allait arrêter juste car il voyait une adolescente avoir quelques larmes sur son visage. Bref, elle ne pouvait rien faire, à part subir, subir, et encore subir… Quand-est-ce que cela allait arrêter ? Quand est-ce qu’elle pourra enfin faire autre chose que se faire baiser ? Bref, elle savait que dès que l’homme aurait jouie dans sa bouche, cette pate crémeuse et désagréable pour le moment au goût -elle s’habituera, elle supposait-, et bien, son anus serait le prochain… Il n’y avait plus rien de surprenant, elle était assez intelligente pour savoir ce qui allait arriver…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 24 septembre 2018, 01:06:57
M-072 ne chercherait pas à la ménager, ni à y aller doucement. Ses puissantes mains serraient fortement la tête de F-182, et il continuait à la bourrer énergiquement, enfonçant sa trique dans sa bouche, tapant jusqu’à sa gorge. Sa queue devenait lourde, grosse, douloureuse. F-182 ne cherchait pas à lutter, ayant bine compris toute l’inutilité de la résistance à Ravenborn. Résister, c’était surtout la promesse de souffrir davantage, de tomber sur des punitions encore plus cruelles... Si tant est qu’on puisse considérer la situation actuelle comme acceptable. En tout cas, M-072 y allait joyeusement, grognant sur place, pinçant les lèvres, continuant à insulter la jeune femme qui, impuissamment, subissait ses assauts.

« Oh... Ouais, haaaa... Putain, ouais... !! »

Le jeune homme y allait franchement, la bourrant avec envie, avec un appétit furieux, qui ne cessait de l’animer. Encore et encore ! Une véritable machine à baiser, qui semblait ne jamais devoir s’épuiser, tout en continuant à la bourrer méchamment. Il se relâcha finalement en elle, jouissant au bout de nombreuses longues minutes à la baiser. Ses doigts s’enfonçaient douloureusement dans la crinière chevelue de F-182, et, tout en se relâchant en elle, il retira ses mains. Sous le coup, F-182 en tomba au sol, du sperme plein la bouche.

Toutefois, croire que M-072 s’arrêterait ainsi était une grave erreur. Tandis qu’il observait la femme, un anneau cybernétique posé à la base de son sexe s’illumina brusquement, diffusant une aura électrique. M-072 grogna sur place en se pinçant les lèvres. Sa queue se redressa durement, et il comprit alors que ceux qui les surveillaient ne voulaient pas qu’il s’arrête ainsi. Le jeune homme acquiesça alors, et se rapprocha de la femme. F-182 gisait au sol, et il la releva, la soulevant par le col, puis la balança sur la table, à côté de plusieurs pensionnaires qui s’écartèrent prudemment.

« Haha, sale pute, sale chienne... Je vais encore te BAISER, SALOPE !! »

Loin d’en avoir fini avec elle, M-072 abaissa son uniforme, et la prit en levrette, glissant sa queue dans sa chatte, puis la baisa contre la table. Sa main s’empressa de la gifler sans ménagement, s’abattant sur son cul, et il n’hésitait pas à serrer entre ses doigts les cheveux de la femme, retournant la baiser furieusement, grognant longuement sur place, continuant à l’insulter en lui faisant vivre un véritable calvaire.

« Sa-SALOPE, sale pute, hmmm... !! Sale chienne, hmmm... !! »

Rien n’était épargné à la jeune femme...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 26 septembre 2018, 10:26:44
A quoi cela pourrait bien servir de se rebeller ? Cela, on pouvait dire que c’était une belle réussite de l’institut… En effet, aux yeux de Lucie, il n’y avait absolument aucun intérêt de se révolter, et là, dans cette situation, pour deux raisons. La première était évidente, l’institut materait bien vite la tentative de résister, et voilà. Mais la seconde raison était tout aussi intéressante, si ce n’est plus. Certains diraient que vu le nombre de personnes ici présentes, une révolte pourrait bien écraser les défenses de l’institut… Sauf que dans cette situation, pourquoi, ô grand pourquoi, M-072 irait se révolter ? Il avait envie de baiser. Il avait envie de se faire cette adolescente… Alors pourquoi chercherait-il à accepter une révolte. Donc, si elle tentait de résister, non seulement l’institut la punirait, mais son compagnon la punirait également. Donc, en gros, elle était seule. Elle n’avait aucun soutien.

« Oh... Ouais, haaaa... Putain, ouais... !! »

Mais assez de blabla théorique. Reprenons donc sur les faits. Alors, le fameux homme s’était bien mise dans la bouche de la fameuse Lucie. Alors, peu avant, nous élaborions le fait que Lucie souffrait d’un point : elle n’avait qu’une connaissance passive de la fellation, n’ayant jamais eu un rôle actif dans ce jeu sexuel. Et bien son manque d’expérience était finalement levé ! En effet, c’était maintenant l’homme qui dirigeait TOUT sur TOUT ! Et évidemment, ce qui devait arriver arriva… L’homme se lacha alors dans la bouche de la fameuse adolescente, qui se retrouva presque à étouffer, la bouche absolument remplie d’un sperme absolument plus puissant, plus efficace, plus pateux, et plus nombreux qu’un homme normal. Mais encore une fois, n’ayant jamais eu de relation avec un homme « normal », c’était ça, pour elle, la normalité.

« Haha, sale pute, sale chienne... Je vais encore te BAISER, SALOPE !! »

Mais ce n’était pas fini ?! Oh non ! Loin de là ! Alors, qu’elle était aplatie sur le sol, sans rien faire, à laisser couler du sperme qui était dans sa bouche, sur le sol, et à tenter d’avaler ce qui trainait encore dans sa bouche, et bien, elle fut rattraper… Et c’est repartie. Elle semblait même pas étonner de ce qui lui arrivait, comme si elle s’attendait à que cela arrive. Faut dire, l’homme l’avait bien prévenue. Après la fellation, elle allait se faire enculer bien sec… Donc, ouais… Elle fut jetée alors sur une table, se prenant même un peu de lait dans la tronche et les cheveux, et une tartine beurrée vint se coller sur une de ces épaules, rendant un spectacle un peu pitoyable… Mais ça, ce n’était que du détail, après tout, quelques salissures, cela arrivait. Elle était nue, et maintenant, prête à être prise d’un autre port USB, dirait-on si on est un gros geek…

« Sa-SALOPE, sale pute, hmmm... !! Sale chienne, hmmm... !! »

« Aaaah ! »

Et de nouveau, son anus était prit. Le petit repos qu’elle avait eu avait permis que son anus ne soit plus un hall de gare, comme après ces dernières expériences sexuelles, mais quand même ! Il restait encore assez serré. Bien moins qu’un anus de vierge, comme elle avait eu il y a encore quelques temps, mais quand même ! Et cela, cela changeait beaucoup de chose dans la situation. Encore il y a ses quelques temps pas si lointain, sans doute que cela aurait poussé un vrai hurlement de douleur de la part de Lucie… Mais là… Là, ça faisait mal, oui, cela se voyait au fait qu’elle avait quand même laissé échapper un « Aaah » ! Mais voilà, il faut bien le dire, c’était loin de faire si mal. Alors, attention, cela faisait toujours mal, hein, ça restait une pénétration à sec par un phallus d’une très belle taille… Mais quand même !

« Han… Aaah… Oui… C’est si... »

Et donc, si la douleur était moins importante… Et bien, elle sentait du plaisir. Cela était du à des transformations intérieurs, déjà expliqué un peu plus haut -ou sur une page précédente, je ne sais plus, et j’ai pas le temps de vérifier-, qui faisait que plus cela arrivait, plus elle ressentait de plaisir. Elle ne pouvait lutter contre ça. Elle mouillait, mais cela ne servait à rien, étant donné qu’elle devait être offerte vierge. Enfin, cela elle n’en savait rien. Elle avait encore trop de connaissance, trop de savoir, trop d’intelligence. Mais elle avait aussi maintenant du plaisir ! Beaucoup de plaisir, qui faisait qu’elle bougeait presque en rythme avec l’homme qui était entrain de rien lui épargner, et de la prendre avec toute la sauvagerie qu’il pouvait… Et la réaction de la fameuse adolescente blonde à cela ? Et bien là voilà !

« Bon sang… Bon sang… ! »

Elle gémissait, comme une grosse chienne, mais elle parlait un peu quand même. Enfin, elle allait surtout jouir ! En effet, elle ne put se retenir plus longtemps. Alors qu’elle se faisait pénétrer depuis qu’un moment assez court finalement, et bien, elle arriva à jouir. Ce qui était quand même, pas mal du tout ! Bravo jeune demoiselle. Enfin, si le concours était de jouir le plus rapidement possible. Si c’était réussi ! Mais si c’était de résister, et bien, non ! Bref, on pouvait voir toute la beauté de l’ensemble, avec son corps qui s’écrasait sur la table, les deux gros seins s’écrasant contre le bois des tables, et sa bouche, qui s’ouvrait, et dont la langue était pendue, et de cela, se rajoutait des gémissements… Avec le lait et la tartine beurrée qui était encore collées sur elle, et bien, le côté pathétique, là, il ne faisait aucun doute… Mais alors vraiment aucun doute.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 01 octobre 2018, 00:55:48
Tandis que M-072 retournait bourrer F-182, derrière son écran, Leona (http://img110.xooimage.com/files/6/4/f/leona-morimoto-5483212.png) observait la scène avec fascination. Comme d’habitude, elle continuait à profiter de ses vacances ici pour suivre la formation de F-182. Plus le temps passait, et plus l’anniversaire de sa chère mère approchait. Or, il était pour Leona inconcevable de ne pas être prête à l’air, de ne pas offrir à sa mère une esclave parfaitement prête. Dans le bureau de la direction, elle avait observé le rapport synthétique de la direction sur les performances des sujets à l’aide de sa tablette, afin de sélectionner l’un des plus costauds.

Et M-072 était largement à la hauteur de ce qu’on pouvait attendre ! Quelle rage ! Quelle force ! Quelle hargne ! Leona salivait sur place, et se sentirait presque envieuse de la position de F-182. Quelle femme n’aurait pas aimé recevoir de tels coups de reins ? Avoir un tel amant à disposition ? Elle s’en pinçait doucement les lèvres, frémissant lentement sur place, papillonnant des yeux à plusieurs reprises. La jeune femme se déplaça ensuite, observant la scène, se délectant des halètements et des hurlements de la femme, de sa future esclave, tandis qu’elle se faisait éclater le cul.

De son côté, M-072 avait visiblement oublié de jouir. Son endurance surnaturelle était la conséquence de sa formation ici, à l’institut Ravenborn. On ne lui avait pas appris à tempérer ses pulsions, mais, au contraire, à les laisser s’exprimer pleinement, ce qu’il faisait en ce moment.

« Hmmm.. Sa-Salope, haaaa... !! »

Et le temps passait, et passait. M-072 continuait à la bourrer sauvagement, longuement, faisant volontiers durer le plaisir... Ou la souffrance, selon la manière dont on voyait les choses. En tout cas, F-182 continuait lentement à sombrer. Chaque couche de sexe supplémentaire faisait disparaître son esprit, sa psyché, sa personnalité. C’était une lente transformation, insidieuse, alternant entre de longues périodes d’effort et des séances de repos.

« Hmmm... Là, voilà... !! »

M-072 la gifla encore, pinçant douloureusement son cul, et poursuivit encore ses coups de reins, sans relâche, avec une intensité qui semblait toujours devoir se renouveler.

Mais, au bout d’un moment, même M-072 allait finir par craquer. En tout cas, il prouvait avec fierté qu’il était bel et bien l’étalon de Ravenborn !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le vendredi 05 octobre 2018, 18:40:11
Dire que Lucie était observée, c’était assez facile. Elle ne savait pas que Leona faisait partie des personnes qui là, était entrain d’observer la situation. Mais franchement, Leona n’était pas vraiment très importante dans la situation, pour Lucie, car elle ne savait pas qu’elle était là. Non, le plus gênant, presque, c’était tout les autres personnes présentes… Mais qu’elle se rassure (et s’inquiète à la fois, car enfaite, c’est plus inquiétant qu’autre chose…) et bien… Après un moment où elle était au centre des attentions… Et bien, elle passa de façon totalement secondaire aux yeux de tout le monde. Pour tout le monde, c’était normal. Enfaite, ils avaient été plus surpris par le fait que la F-182 avait été jeté violemment sur la table. Voilà pourquoi cela était considéré comme surprenant… Mais maintenant voilà… Quoiqu’il en soit, c’était concentré entre les deux :

« Hmmm.. Sa-Salope, haaaa... !! »

« Haaan... »


Elle voulait dire qu’elle n’était pas une salope… Mais elle n’arrivait pas ! Elle n’arrivait pas à parler, car c’était… Comment dire… Bah, elle se faisait prendre bien profondément dans le cul ! Encore une fois, il n’y avait pas à tortiller du cul. Il n’y avait plus qu’une seule et unique chose où elle était encore vierge : c’était son vagin. Au contraire, son anus, lui, il était bien élargi, commençant à bien prendre l’habitude de se prendre des bonnes grosses bites dans le cul. Et qu’elle continue de s’habituer, car cela ne risquait pas de s’arrêter. C’était ainsi, sa vie était maintenant autour du cul… Bientôt, pas d’inquiétude, il y aurait autre chose… Mais elle risquait de pas spécialement apprécier, étant donné qu’après l’anus, cela serait au tour des seins ! Mais n’allons pas trop vite en besogne, et concentrons-nous sur ce que nous avons là !

« Hmmm... Là, voilà... !! »

« Nooon... »

Il allait sans doute jouir… Mais cela ne venait pas ! Il continuer de bourrer avec une efficacité qui était d’enfer ! C’était impressionnant, elle avait du mal à tout encaisser dans ces fesses, mais elle était aussi impressionnée qu’elle tenait le coup. Encore une fois, comment pouvait-on tenir le coup ? Elle n’avait aucune idée qu’elle était bien plus qu’une simple humaine sur ce point, elle était plus poussée, plus performante. Elle n’aurait malheureusement jamais le loisir de le savoir, étant donné que bah… Elle était quand même entrain de se faire bien prendre dans le cul. Ouais, c’était du radical… Bref, en tout cas, la fameuse Lucie continuait de prendre malgré elle son pied, ce qui montrait que son « nooon », et bien au fond… Elle le pensait même pas vraiment, et elle voulait plutôt dire « oui »… D’ailleurs, si vous voulez la preuve… Bah la voilà mes cocos ! Ne me remerciez pas, c’est gratuit.

« Haan… Oui… Oui… !!!! OUI ! »

Et un autre ! Quoi donc ? D’abord, il fallait bien imaginer que le « Oui » correspondait à ce qu’on dit juste avant : elle ressentait énormément  de plaisir, enormément de bonheur… Bref, cela lui donnait du pied, et beaucoup de pieds, et… Et bien, inutile de le cacher plus longuement, elle avait atteint l’orgasme, un puissant orgasme qui l’avait forcément mis presque sur les rotules… Bon sang, qu’est-ce que c’était bon. On pouvait voir que cela était légion. Pensez-y ! En une séance de baise, elle avait déjà jouie deux fois, on pourrait presque croire qu’elle subissait là de l’hyper sensibilité, et franchement, cela n’étonnerait personne… Bref, elle était totalement sous l’emprise, elle prenait son pied, et se disait qu’elle devrait pas, qu’elle ne devrait pas ressentir du plaisir, mais uniquement de la haine… Sauf qu’impossible ! Impossible de tenir, c’était juste trop… Trop bon ! Beaucoup trop bon !

« Je… Je... »

Après ce nouvel orgasme, c’était extrêmement difficile pour elle de juste parler. Bah ouais, elle se sentait briser, elle continuait de se faire prendre… C’était difficile pour elle. Mais bon sang, il faut absolument qu’elle tienne ! Il faut ABSOLUMENT qu’elle tienne… Mais non, c’était juste trop pour elle. Totalement passive, sans pouvoir se retenir, elle faisait que avoir la langue pendante, alors qu’elle prenait son pied. Deux orgasme terrassait son esprit rationnel, celui qui lui disait de garder son calme et son sérieux… Il ne restait plus que la partie du plaisir qui était amplement stimulé… Elle tentait de parler, mais avait du mal, et continuait de se faire prendre, écrasée sur la table, sans aucune pitié, sans aucune retenue de la part de son amant, bref, c’était du plaisir à l’état brut, sans la moindre rétention ou le moindre tabou… Enfin, si, le vagin, qui restait encore pur et vierge en attendant…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 08 octobre 2018, 00:59:11
La séance de sexe se poursuivit donc avec intensité, avec une énergie incroyable. Les pensionnaires restaient silencieux, tandis que M-072 poursuivait son office, inlassablement. L’homme était redoutable dans son approche, n’épargnant rien à F-182. Le temps défilait ainsi, tandis que le jeune homme poursuivait son labeur, besognant énergiquement et intensivement sa proie. Celle-ci se mit à enchaîner les orgasmes, jusqu’à ce que M-072, au bout d’une bonne demi-heure, ne se relâche brusquement en elle. Un magnifique orgasme qui le laissa en sueur, F-182 gisant sur la table, désarticulée, l’esprit hagard. M-072 respira lentement, retrouvant son calme, son souffle... Puis laissa là la jeune femme. Il rangea son sexe dans son pantalon, et se déplaça, tandis que F-182 ne put que retrouver son calme.

Et Leona, de son côté, sourit encore.

« Continuons le traitement... »



Le temps passa.

Pour F-182, une certaine routine s’installait. Du sexe sauvage, intense, épuisant, des gangs-bangs redoutables. Petit à petit, le conditionnement mental se faisait. Son esprit était lentement corrompu, sans aucun autre stimuli intellectuel que le sexe. Elle n’était pas autorisée à lire, ou même à écouter de la musique, ou à regarder des séries télévisées. Ce genre de distraciton était sans intérêt pour des individus destinés à devenir des esclaves sexuels. De temps en temps, certains esclaves avaient lieu à des crises, ou, dans un instant de lucidité, cherchaient à se rebeller contre leurs geôliers. L’institut Ravenborn était toutefois bien sécurisé, et ces quelques mouvements minoritaires furent réprimées le plus rapidement possible.

Le quotidien de F-182 alternait entre fellations, sodomies, et sessions dans des cuves de produits chimiques. On la droguait, on expérimentait sur elle des solutions. Les docteurs veillant sur elle n’hésitaient pas à la sodomiser, et, à force, le corps de F-182 accepta sans problème les sodomies brutes, sans préparation préalable. À force, les rares moments de pause des pensionnaires devenaient des tortures, surtout que les scientifiques décidèrent de passer à une nouvelle étape pour F-182. La jeune femme suivait un traitement accéléré qui l’amena à se faire baiser pendant douze heures d’affilée dans une cage.

Ce fut suite à cette longue séance que Leona retourna la voir.

« Allez, en piste, ma chienne. »

Leona habituait de plus en plus F-182 à sa présence, la sodomisant à chaque fois, et urinant tout autant dans sa bouche. Elle avait insisté sur le fait de faire de F-182 une femme aimant l’urine, et il était devenu aussi coutumier d’uriner dans sa bouche. Là encore, elle avait suivi des traitements à base d’électrochocs, avec un collier autour du cou, recevant des décharges quand elle recrachait ou avalait l’urine. Des traitements dégradants, humiliants, qui tendaient de plus en plus à faire de F-182 une véritable chienne.

Tendrement, Leona lui remit une laisse autour de son collier, tout en l’habillant convenablement. Elle portait toujours sa culotte noire en latex, avec une fermeture Éclair à hauteur des fesses, mais avait aussi un corset serré, des collants, des gants (http://img110.xooimage.com/files/9/4/4/slave_suit-5530dfb.png), et, pour conclure, un plug tail, que Leona lui mit dans le fessier, avant de la déplacer. Elle portait sur ses yeux un bandeau. La privation sensorielle était un excellent moyen de corrompre davantage une personne, et c’était aussi là un élément de dressage.

Leona conduisit F-182 à travers les dédales de Ravenborn, jusqu’à la conduire dans un salon. Un feu crépitait dans la cheminée, et Leona déposa F-182 au milieu de la pièce, avant d’aller s’asseoir sur un canapé, et croisa les jambes.

« J’ai pu observer ton appétit, F-182, ton endurance. Tu deviens une incroyable salope, et je pense qu’il est temps de passer à un calibre supérieur avec toi. Puisque tu es une chienne... Il est temps que tu le deviennes à fond ! »

Comme l’époque où elle était encore une simple étudiante devait sembler éloignée ! Mais est-ce que F-182 s’en souvenait encore ? Alors que la jeune esclave devait s’interroger sur ce qui allait lui arriver, une porte s’ouvrit, et livra passage à des bruits de pas...

...Et à des aboiements de chiens.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 10 octobre 2018, 23:44:38
Cela dura une demi-heure. Une demi-heure où Lucy n’était PLUS rien. Mais alors, plus rien du tout. Juste une sorte de poupée de sexe, qui était bourrée, encore et encore. Elle n’avait ni force ni courage d’agir, d’accompagner le mouvement. Elle était terrasée par plusieurs orgasmes, dont, on va être clair, ce n’était pas fini, vu qu’elle en eut d’autres après l’orgasme qui avait fait commencer cet état. Bref, vous voyez un peu le délire ! Elle était bien touchée, et on pouvait dire que le fameux étalon qu’était M-072 avait bien réussi son coup ! Franchement, chapeau bas l’artiste, vu que finalement, après cette demi-heure de baise, il lacha la sauce à l’intérieur de l’anus de la fameuse jeune demoiselle, et parti comme un prince, comme si tout ce qui venait de se passer, bah finalement, c’était de l’ordre de l’anecdotique ! Lucie, elle, avait sombrée dans la pure inconscience…

***

C’était devenue une sorte de routine. Un quotidien où elle était baisée, pénétrée dans la bouche, dans l’anus, dans la bouche, dans l’anus. Jamais de repos, et quand celui-ci arrivait, et bien, ce n’était PAS du repos. c’était juste une attente avant la prochaine série de baisage ! On lui inculquait aussi le goût de la pisse. Elle devait l’accepter, et continuait de se prendre, encore, encore, et encore. Elle n’aimait pas ça, elle détestait ça, mais elle était forcée d’aimer ça. Et aussi incroyable que cela puisse paraître, même elle ne le crut pas au départ… Bah, au final, elle arriva à « aimer » ça. Juste pour ne plus souffrir, et pour plaire à sa maîtresse. Leona supervisait tout, et on sentait que Lucie était une sorte de sujet préférée. Depuis quelques temps, la baise devenait quotidienne. Son anus était un hall de gare, où parfois, c’était des séries de plus d’une dizaine d’heure, ouais, plus d’uue dizaine d’heure, où elle était baisée, baisée, et encore baisée !

« Allez, en piste, ma chienne. »

Sa maîtresse, Leona, commença alors à l’habiller. Elle fut bien changée, et transformée en apparence presque à une chienne. Elle était forcée à marcher à quatre pattes, hors cette position la gênait. Mais pourquoi donc me demanderiez vous ? Et bien à cause de ces seins. C’étaient ses deux gros seins qui la gênait, Sein très important, mais chut, n’allons pas plus vite que la musique. On est encore dans l’éducation. La promenade dura un moment, dans un véritable dédale qui faisait perdre toute notion de « où est-ce que je me trouve bordel de dieu » classique depuis qu’elle était là. Combien de fois elle avait l’impression qu’elle se perdait, et qu’elle était incapable de se retrouver ? Beaucoup trop de fois. Mais heureusement, elle arriva dans une sorte de… Salon, ouais, avec un feu de cheminée crépitant, tranquillement… Bref, un ensemble qui en toute apparence, paraissait agréable et normal… Mais elle savait bien que ce n’était que supercherie.

« J’ai pu observer ton appétit, F-182, ton endurance. Tu deviens une incroyable salope, et je pense qu’il est temps de passer à un calibre supérieur avec toi. Puisque tu es une chienne... Il est temps que tu le deviennes à fond ! »

La jeune demoiselle décida de ne pas parler, de ne rien dire. Lucie était brisée sur le point de son identité. Non, elle n’était plus que F-182. Elle se souvenait encore… mmh… De son prénom ! Oui, elle se souvenait de Lucie. Elle ne se souvenait pas de Lucie qui, mais elle se souvenait de Lucie. Elle se souvenait qu’autrefois, on l’avait appelé ainsi. Elle se souvenait aussi de… Mmh… Elle tentait de parfois se remémorer, mais c’était difficle. Une rousse, nommée Jeanne. Ouais, elle se souvenait vaguement de cela. Qu’elle avait été dans une ville. Où elle avait travaillé. D’ailleurs c’était de là d’où venait ses connaissances, elle supposait. Mais sinon, sa vie personnel, ses souvenirs, sa mémoire… Tout cela avait bel et bien disparu. Perdu dans les profondeurs pleine de microbes de l’oublie. Bref, en un mot comme en cent… Adieu ! Adieu identité ! Pourquoi tout ce qui est identité avait disparus ? Car c’est très difficile à conserver, contrairement à ce qui va suivre : c’est à dire les connaissances. Parlons-en.

Alors, que restait-il de Lucie ? Et bien, encore un peu, elle avait toujours des connaissances. Parfois, elle pensait à ce qu’elle savait. Elle tentait de se remémorait des calculs. Des dates. Elle arrivait, parfois avec des difficultés, à calculer des multiplications, des divisions. À se remémorer des batailles françaises… Bref, elle n’avait pas encore été lobotomisé, c’était un peu son unique réservoir d’espoir, son unique moyen de se rappeler qu’elle n’était pas qu’une vulgaire pute, mais qu’elle était aussi une être humain, doté de connaissances. Mais là, vous avez remarqué que je ne parle pas de Lucie, mais je parle d’un humain. Ouais, je confirmais qu’elle était encore une humaine, qu’elle n’avait pas encore subie une lobotomie qui la rendrait aussi stupide qu’une vulgaire chienne… mais je ne parle pas de Lucie, encore une fois, je parle de F-182. F-182 était pour le moment un peu plus intelligente qu’une vulgaire chienne… Mais passons sur ce point… Et concentrons-nous sur ce qui arrivait !

Des chiens ! Le chien, le fidèle ami de l’homme ! Des créatures amicales, et franchement, tellement adorable ! Un chien, c’est quelques chose d’adorable, cela ne fait aucun doute ! Sauf que les chiens qui approchaient, là, ne semblaient pas spécialement adorable, vous savez, le chien qui se met sur le dos dès que vous approchez, et qui vous laisse le gratouiller, comme si de rien n’était ! Effectivement, vous n’êtes point dupe… Les chiens ici avaient un autre but, que je vais vous laisser devinez, mais attendez juste un petit peu, si vous le voulez bien. Les chiens s’approchèrent donc de la nouvelle venue, la chienne, qui était là, au milieu de la salle. Dans un premier temps, ils commençaient à la renifler, à se demander ce qu’elle était, ce qu’elle faisait là. Bref, ils s’interogeaint, enfin… Comme des chiens bien entendus ! Lucie devinait ce qui allait arriver, fallait pas être un génie pour cela… Mais cela n’arrivait pas, pas encore...

Finalement, comme si l’attente était insupportable, un chien commença à se mettre en position. Comemnt cela marchait ? Je sais qu’un chien a tendance à être un gros obsédé… Mais bon, en théorie, cela veut pas dire que forcément, le chien va sauter la moindre personne à quatre pattes -bien que cela arrivait, je ne le cache pas-… Mais voilà, dans le cas de Lucie, elle avait eu… Quoi donc ? Et bien des phéromones ! Et ouais, de quoi exciter fortement les chiens. Donc, le premier chien était en position et son phallus bien en erection s’approchait maintenant du fondement de l’adolescente… Les autres chiens eux, de plus en plus excité, commençaient à aboyer tout autour de la fameuse Lucie. La situation était assez inquiétante, on pouvait presque avoir peur que les chiens s’attaquent à la pauvre demoiselle… Heureusement, sans aucun doute, la fameuse Leona controlait tout… n’est-ce pas ?
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 22 octobre 2018, 00:48:59
Toute l’éducation à Ravenborn tournait autour d’une idée fédératrice centrale : briser l’individu. Lui faire oublier son ancienne identité au profit d’une nouvelle. Offrir aux gens une renaissance. Et la tâche était bien plus difficile que ce qu’on pouvait croire, car l’esprit humain avait  une faculté de résilience exceptionnelle. Leona le savait très bien, et, si F-182 était en voie d’être rééduquée, elle savait aussi qu’il allait en falloir plus. La jeune femme s’assit donc sur son fauteuil. Leona portait son habituelle combinaison rouge en latex moulante, et avait un verre de vin à la main.

Autour de F-182, plusieurs chiens s’approchaient, tenus en laisse par un maître-chien, qui était un autre docteur de l’Institut. L’éducation canine était l’une des facettes de Ravenborn, et Leona avait demandé à ce qu’on utilise les plus gros chiens pour F-182. Un puissant doberman s’approcha ainsi de F-182, la reniflant, tandis que le maître-chien libérait l’accès. Le chien se posta ensuite au-dessus d’elle, sa longue langue bavant contre le cou de F-182, son corps massif s’appuyant sur le sien.

Et, pour ne rien arranger à la situation, Leona tendit sa main vers un antique instrument situé à côté d’elle : un gramophone ! Elle le mit en marche, et, jambes croisées, observa ensuite le spectacle. Comme pour contrebalancer avec la situation actuelle, de la musique classique se mit à jaillir. La jeune femme était férue de classique, ce qui était bien normal émanant d’une Déesse. Souriant doucement, elle laissa ainsi les premières notes du « Canon en D majeur (https://www.youtube.com/watch?v=NlprozGcs80) » de Pachelbel remplir l’air. Une pièce de musique immortelle, qui donnait envie de sourire, de profiter de la vie, du printemps... Et qui, en la situation actuelle, se traduisit par une épaisse trique canine qui s’enfonça dans le cul de F-182.

« Offre-moi les paroles de ma chanson, F-182... »

Ce que fit F-182... En hurlant. En hurlant comme une folle, hurlant sans aucun doute à s’en casser la voix. Son bandeau dissimulait la vue, et Leona se mit à chantonner, fermant les yeux avec un léger sourire sur les lèvres. Un sourire innocent, presque enfantin, tandis que le doberman, chien-Alpha de la meute, besognait férocement la jeune femme. Il ne fallait pas s’attendre au moindre signe de compassion du chien, qui ne s’arrêterait qu’en jouissant. Il la prenait donc énergiquement, intensivement, abattant son lourd corps sur son dos, arrachant à la femme des cris supplémentaires. Fort heureusement, le plug anal mis dans le fessier de F-182 avait permis de suffisamment dilater son cul pour rendre cette sodomie violente à peine supportable.

Leona se régalait donc, et, au bout d’un moment, le bandeau de F-182 lui fut retiré. Elle put ainsi voir, si elle était encore capable de voir, qu’elle se trouvait devant Leona, et que celle-ci était accompagnée par plusieurs esclaves. L’une était entre ses jambes, léchant le sexe de Leona, tandis qu’une autre, dans son dos, lui massait les épaules. Une troisième s’occupait de la bouteille d’alcool, venant régulièrement remplir le verre de la femme, et une quatrième, enfin, s’occupait du gramophone.

Autant dire que Leona était plutôt bien entourée, et assistait à un magnifique spectacle !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 24 octobre 2018, 10:33:22
Très vite, le plus gros chien, on pourrait dire sans problème « l’alpha » de la meute, sans compter le Maître Chien qui est bien entendu l’alpha du groupe, car bon, si l’alpha de la meute restait le chien, et bien, un chien pouvant être violent, ça pourrait mal finir. Enfin, là, cela allait mal finir… Mais cela n’allait pas mal finir pour les bonnes personnes. Cela allait mal finir pour notre chère Lucie, mais bon, depuis qu’elle était ici, tout finissait mal pour elle ! Et ouais, c’était son destin ! Elle allait être un beau cadeau. Le mieux, c’est qu’elle ne savait même pas vraiment pourquoi elle subissait tout ça. Elle ne savait rien vraiment de la Lactos, elle ne savait rien de ces seins, bref, pour le moment, elle ne se rendait compte que du côté sexuelle du tout. Faut dire, c’était que sur ça qu’elle était « éduquée » pour le moment...

Et sur cette scène qui approchait, de la musique. De la musique classique. Alors on va pas le cacher, en musique classique, la fameuse Lucie à l’origine n’y connaissait pas grand-chose. Elle avait entendu le requiem de Verdi dans des pubs, et bien entendu, l’Ode à la Joie, étant donné que c’était quand même l’hymne européen. Et c’est… Tout. Ouais, ça fait pas beaucoup ! Donc, même en situation normale, elle ne connaissait pas le « Canon en D Majeur », ou plutôt en « Ré majeur » pour le cas de la fameuse jeune demoiselle vu qu’elle était française. Mais dans la situation, là, et bien, cette musique n’avait absolument aucun impact sur elle… Ce qui avait de l’impact, c’était plutôt le fait qu’un chien, un énorme chien était maintenant sur elle… Et que… Roh, c’est bon, vous avez deviné, j’en suis sur !

« Offre-moi les paroles de ma chanson, F-182... »

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH »


Le cri qu’elle poussa fut retentissant. Faut dire, un chien n’est pas fait pour enculer une femme. Je crois que si Dieu existait, là, il partirait dégoûté de sa propre création. Le chien faisait ce qu’il devait faire, et heureusement qu’elle avait eu son beau dildo qui l’avait habituée, car sinon, cela ne serait pas tenable. Car oui, là, c’était à peine tenable. Elle n’aurait jamais tenu en vrai. Ses cris rendaient la situation assez amusante, pour quelqu’un qui n’aurait aucun coeur bien sur, car ils n’allaient pas vraiment avec la musique classique. On était dans la pur rupture de ton, comme on dit dans les analyses cinématographiques, un moment où les différents flux ne se coordonnent pas. Là, ça marche tout particulièrement, car en gros, les deux « flux », celui des « sons » avec les cris, et la musique était en totale contradiction…

Pourquoi ?  Et bien c’est une question d’analyse et… Ah, non, le pourquoi vient de la tête de notre chère Lucie… C’était ça, en effet, qui tournait dans sa tête, le pourquoi. Et elle n’y voyait que de la cruauté gratuite. Tout cela allait juste la détruire, physiquement et mentalement, comment, même une déesse, pourrait apprécier un tel cadeau, si ce n’était qu’un être détruit ? Même ça elle ne comprenait pas. Elle ne comprenait pas la pisse, elle ne comprenait pas les chiens… Elle ne comprenait pas ce qui se passait. Mais devait-elle comprendre ? Etait-elle-même capable de comprendre ? Tant de questions qui se posaient dans sa tête, mais qui n’avait pas de réponse… Elle était intelligente pourtant ! Elle était sans doute capable de comprendre… Mais non, non, là, elle était à la mercie de ses « propriétaires » littéralement… Qui d’ailleurs, lui rendirent alors la vue, tranquillement, et ainsi… !

Le fait de retrouver la vue eu un effet totalement voulu, et volontaire : le fait que son interlocutrice passait vraiment pour une déesse, une vraie déesse, cela ne faisait de doutes. Ce qui fit que toutes ses interrogations précédentes… Et bien elles perdaient en poids. Elles perdaient en importance… C’était une déesse qui avait totalement contrôler et qui maîtrisait tout le monde. Elle regardait la situation, et presque pendant un moment, elle en oublia la douleur qui lui arrivait. Pendant un moment, elle se concentra sur, cette scène. Cette scène, où quatre femmes étaient totalement soumise, obéissante. Si seulement elle était à leur place. Cela serait mieux, mieux que sa vie actuelle, bien meilleure. Enfaite, ça serait la vie rêvée. Plus de souffrance, plus de chose aussi cruel qu’elle subirait. Non, une béatitude…

Mais comment y penser quand ton cul se fait prendre ? C’est surtout à ça que tu penses… Car ouais, ça faisait toujours aussi mal. Ai-je dis que cela faisait mal ? Oui, cela faisait bien mal. Elle continuait de pousser des hurlements de douleurs, tandis que le chien lui faisait ce qu’il devait faire ; Pourvu que ça s’arrête ! Que ça s’arrête ! Elle ferait tout ce qu’on lui demande, tout, bel et bien tout, mais tant que cela s’arrête une bonne fois pour toute, elle n’allait pas pouvoir tenir aussi longuement, c’était… C’était pas humain ! C’était même pas digne d’un chien ! Elle espérait de tout coeur avoir un moment de clémence, que sa tortionnaire se dise que c’était trop, et qu’elle avait souffert… Non, qu’on soit clair, ce n’était pas qu’elle voulait ça… C’était qu’elle en avait besoin à ce stade… Il fallait qu’on l’aide ! Il fallait qu’on la sauve !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 29 octobre 2018, 00:59:48
Il n’y aurait aucun sauveur, aucun super-héros, aucun individu bien attentionné qui irait à Ravenborn pour secourir F-182. Lucie Martin était morte pour le monde, et personne ne viendrait la rechercher. Ravenborn restait un endroit discret, isolé, un complexe où personne n’avait envie d’aller. Leona était ici la seule à pouvoir stopper le calvaire de F-182... Mais elle ne comptait rien y faire, et, au milieu des esclaves s’occupant langoureusement d’elle, elle observait la scène avec le sourire. Elle mouillait légèrement, mais Leona avait une telle expérience sexuelle qu’elle ne se relâcherait pas si facilement. Au contraire, elle profitait pleinement du moment, et sourit quand F-182 croisa son regard... Avant de hurler de nouveau. Le chien était impressionnant, un terrible doberman. Il mettait le corps de sa proie à rude épreuve, et, en souriant encore, Leona la laissa souffrir.

Les minutes passèrent ainsi. Plus le temps passait, et plus la douleur était redoutable, mais, à force, F-182 allait finir, ce qui serait sûrement encore pire... Par s’y adapter. Après tout, depuis qu’elle était arrivée ici, à l’Institut Ravenborn, elle subissait continuellement des assauts sexuels. Elle était régulièrement assaillie par de grosses queues juteuses, par des membres impatients et turgescents, par des vits tendus et solides. Celui du doberman était juste de plus gros calibre, et imposait à F-182 un rythme soutenu.

« Là, là, ma belle, quelle énergie ! »

Leona gloussa doucement, tout en continuant à siffloter, reprenant ainsi entre ses lèvres les airs de Pachelbel. Grâce à sa mère, la jeune femme avait appris à aimer la musique classique, et elle était une très grande spécialiste en la matière. C’est ainsi que, après Pachelbel, l’esclave en charge de la musique opta pour un autre morceau, et posa sur le tourne-disques un grand classique de Chopin : « Spring Waltz (https://www.youtube.com/watch?v=EFJ7kDva7JE) ». Une musique douce, agréable, quoique assez mélancolique, qui tranchait totalement avec le rythme soutenu de cette sodomie.

Le pied de Leona caressa soudain le visage de F-182, la frappant à moitié, le bout de son talon s’approchant de ses lèvres.

« Là, montre-moi ta dévotion, petite chienne... Lèche-moi comme une bonne chienne obéissante ! »

Oui, le pire était que, non content de se faire sodomiser brutalement par ce chien, F-182 devait aussi encaisser les humiliations et les provocations de sa tortionnaire... Mais, malheureusement pour elle, Leona ne fonctionnait pas autrement !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le lundi 05 novembre 2018, 16:30:05
l n’y avait aucun plaisir dans ce qui arrivait. Là, même les transformations qu’avaient subis notre chère Lucie ne fonctionnait pas, et elle ne ressentait que la douleur. Tout cela avait-il été trop vite ? Elle avait mal, mal, très mal, et elle voulait que cela stop… Enfaite, on va même pas le cacher, ce n’était que par la pitié du maître chien, qu’elle n’était pas choppé au cou par les crocs de l’Alpha qui continuait sa besogne, en hurlant parfois, de plaisir visiblement. Les autres chiens derrières tentaient même de s’installer, de faire en sorte de se mettre. Des griffures apparaissaient sur son beau corps de neige, bref, elle souffrait énormément. Faut dire, c’était des chiens, pas des humains. Contrairement aux humains, les chiens eux n’étaient pas fait pour se faire des jeunes demoiselles, c’était un fait… Mais pourtant… Et bien, cela n’empêchait pas une de prendre son pieds, en effet !

« Là, là, ma belle, quelle énergie ! »

Quelle énergie ? Ouais, on pouvait dire ça . En effet, l’Alpha avait de l’énergie à revendre, et malheureusement, Lucie aussi en avait pas mal. Elle était efficace. Très efficace car elle tenait. Et ouais, elle avait mal, oui, ça vous l’avez compris. Elle avait mal MAIS elle tenait le coup, elle ne s’était pas évanouie, elle n’avait pas le tissu anal qui s’était déchiré, foutant aussi bien de l’excrément que du sang partout (ce qui serait complètement dégueulasse), bref, en effet, Leona pouvait être fière d’elle ! Franchement… Oh regardez ! Même quand le chien lacha la crème, et bien, elle tenait ! Elle ne s’était pas évanouie. Et donc, après coup, elle était donc par terre, l’anus bien élargie.. Mais...

Ce n’était pas fini ! Car ouais, le maître chien la releva, bien devant sa déesse, et bam ! Un autre chien commença à l’enculer. Et ouais, c’est normal. Vous savez comment ça marche, quand l’Alpha vient de manger, baiser, ou n’importe quoi, et bien, tout les autres peuvent s’y lancer, et ouais ! Donc, elle recommença à… Ah non ! Et ouais, elle n’hurlait plus… Faut croire que la première fois avec un chien rend moins violent la suite, ou du moins, fait que la fameuse Lucie était un peu plus habituée, elle avait moins de mal… Mais ça restait douleureux, même si par rapport avec la première fois, et bien, elle avait un peu, un tout petit peu, de plaisir dans ce qui se passait. Ce n’était qu’une point, submergé par la douleur et la souffrance, mais voilà, elle existait, on ne peut pas le masquer !

« Là, montre-moi ta dévotion, petite chienne... Lèche-moi comme une bonne chienne obéissante ! »

Dans un premier temps, ce fut impossible… En effet, elle n’arrivait pas à cesser de gémir de douleur, ou à se concentrer assez pour réussir à bien interpréter les ordres qu’elle entendait. Faut dire, maintenant qu’elle avait un chien dans le cul, ça rends les oreilles plus difficiles. Surtout qu’il y avait le soucis que l’alpha était parti ! Donc, tout les chiens voulaient un peu leur place, et cela rendait la situation un peu plus anarchique, bien que le maître chien tentait de rationnaliser un peu tout ça, avec difficulté. Et ouais, les chiens avaient beau être dressés, ils avaient du mal. Beaucoup de mal. Mais au moins, ils prenaient leur pieds… On peut dire que c’est… Chouette ? Ouais, même moi j’ai du mal à le dire...

Mais finalement, après un moment… Elle commença à le faire ! Oui ! Elle arrivait ! Elle léchait, avec docilité, elle était brisée. Comme dit précédemment, son obéissance était parfaite, maintenant, elle obéissait aux ordres. Elle avait la crainte, elle voulait vraiment pas avoir peur, souffrir, et elle voulait que cela cesse. Donc, par pitié, elle ferait ce qu’elle voulait. Une petite larme coula même de son œil… Elle était finie. Même son intelligence pouvait rien faire. Elle devait juste obéir, et encore obéir… Mais finalement, alors que tout semblait minutieusement construit… Et bien, il y eut un imprévus, un grain de sable dans cette machine… Mais je vous arrête de suite, ici on est dans la réalité… Le grain de sable est gênant, mais la machine ne s’arrête pas. Une lueur d’espoir ? Ce n’est que pour plus mal finir mon enfant…

« Madame Leona… Je… Nous sommes sincèrement désolée… Mais euh… Enfin… L’impossible…
-Ferme la, triple andouille. On a trouvé ça. »


JEANNE  (https://image.noelshack.com/fichiers/2018/21/1/1526929798-lol.jpg)! Bon, Lucie ne voyait pas, mais une jeune femme, du même âge qu’elle, et qu’elle connaissait bien était là. Avec deux autres personnes. Le spectacle était assez cocasse. La scientifique, Barbara Michelle (https://image.noelshack.com/fichiers/2018/45/1/1541430845-rp01.jpg), elle était toujours aussi belle avec sa magnifique peau d’ébène, et avait un côté pro. À ses côté, un scientifique, Henri de la Boissière (https://image.noelshack.com/fichiers/2018/45/1/1541430849-rp02.png), était presque en pleur, se rendant compte de ce qu’il avait fait. À cause de sa négligence, on avait frolé la CATASTROPHE. On va pas le cacher, cela faisait longtemps que Ravenborn n’avait pas été autant en danger. Et enfin, il restait Jeanne. Elle était attachée, bâillonée, on voyait même de la bave qui coulait de son bâillon, et surtout, entièrement nue. Ses seins avaient grossis, et elle était visiblement dans les vapes… Barbara déclara, alors, d’un ton calme et posée :

« Nous l’avons droguée, et Henri ici présent doit être punie, Oh déesse. »

La scientifique s’inclina devant sa « Déesse ». Cela montrait bien que même les employés n’échappaient à ce que Leona faisait : Elle était la déesse, l’unique personne derrière sa mère. Bref, le De la Boissière avait encore plus peur, et Jeanne, l’amie si fidèle de Lucie était là. Autre orpheline, Lucie avait sauté dans la gueule du Loup, ne croyant pas en la mort de son amie. Là, l’ironie était totale. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, il y eut bien un sauveuse, quelqu’un qui avait pensé à Lucie et qui avait tenté de la sauver. Malheureusement, je dis bien « TENTER », étant donné que finalement, tout ces efforts avaient été vains. Elle était captive, perdue, et maintenant, aux griffes de Leona, tout comme Lucie. Comment allait réagir la déesse ? C’était une très bonne question, et sans doute que la réponse allait vite se faire sentir… Henri avait peur, Jeanne était droguée, et même Barbara avait peur…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 13 novembre 2018, 01:05:33
Cette séance se déroulait à la perfection ! F-182 était peu à peu en train de perdre le contrôle, de s’abandonner totalement à ces vagues irrépressibles de plaisir et de douleur. À ce stade, les deux n’en faisaient plus qu’un, un mélange intense et très douloureux. F-182 perdait le contrôle de ce qu’elle était, de ce qu’elle voulait, de ce qu’elle souhaitait, de ce qu’elle pensait... Et Leona se pinça les lèvres de plaisir, mouillant presque sur place quand F-182 alla lécher ses bottes. Elle s’inclinait, tandis que le chien continuait à la besogner, à la sodomiser violemment. Oui, Leona avait franchi un cap dans le dressage de F-182. Le chien, de son côté, approchait de son point de rupture... Lorsque la porte s’ouvrit brusquement.

Surprise, Leona vit le Docteur Michelle, le Docteur de la Boissière, et une jeune femme...

« Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?! »

Au même moment, le puissant chien se relâcha dans le cul de F-182, et put enfin se retirer d’elle. F-182 s’écroula mollement sur le sol, inerte, sans doute proche du coma, tandis que l’une des servantes de Leona coupa la musique. Surprise, Leona s’écarta même de F-182, tandis que le Docteur Michelle lui expliquait qu’une intruse avait réussi à entrer... Avec la complicité du Docteur Boissière. Surprise, Leona apprit ensuite que cette intruse était une amie de F-182.

« Oh... Comme c’est fâcheux. »

Contrariée, Leona croisa les bras, et fixa le Docteur de la Boissière. Des gardes les accompagnaient.

« Docteur de la Boissière, c’est la dernière fois que vous trahissez notre Panthéon. »

Surpris, le docteur écarquilla les yeux, et Leona sourit doucement, cruellement, en attrapant son verre de vin.

« Quoi ? Vous croyez que nous n’étions pas au courant de vos activités séditieuses ? De vos remords ? Vous avez été jusqu’à faire l’irréparable, Docteur de la Boissière, vous avez trahi le Panthéon !
 -  Vous n’êtes qu’une folle, je vous ai dénoncé à la police, et je... »

Un coup le frappa à l’arrière de la nuque, et il s’écrasa au sol.

« Vous n’avez rien fait de tout ça, Docteur, parce que vous êtes trop lâche pour ça ! Trop lâche pour assumer vos penchants, et pour prétendre agir noblement. Par votre faute, vous avez condamné cette jeune femme
 -  Que... Que voulez-vous dire ?
 -  SILENCE ! »

Agacée, Leona frappa le docteur, contrariée par ses provocations, et par le fait qu’il l’interrompe en pleine séance de formation. Agenouillée respectueusement devant sa Déesse, le Docteur Michelle attendait la suite.

« Jeanne a une famille...
 -  Organisez sa mort. Suivez le protocole habituel. Et... »

Leona sourit alors malicieusement, une idée très perverse venant d’envahir son esprit.

« Guidez F-182 et cette salope dans l’une des cages. Et dotez F-182 d’une cagoule épaisse en latex, et d’un vibromasseur... »

Leona était arrogante, mais terriblement perverse, et savait rebondir au mieux. Elle allait s’occuper de Jeanne pour dresser F-182...

...En amenant F-182 à la violer !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le jeudi 15 novembre 2018, 14:10:50
La Lactos Compagnie avait des détracteurs dans son programme, ainsi, même en son sein. Ce qui pouvait être très risqué pour la dite entreprise. Après tout, avoir des femmes qui allaient servir à la fois d’esclaves sexuelles et de réserves de lait, et bien, bien entendu, cela n’était pas très légal, je dirais presque « quelques soit le pays », mais je pense qu’il y a des pays où les droits des femmes est suffisamment faible pour que cela ne soit pas le cas. Mais passons sur ce point. Bref, quoiqu’il en soit, il y avait toujours des sons dissonnants, mais avec le temps et l’expérience, sans aucun doute que la Compagnie avait appris à les repérer plutôt aisément… Enfin, on suppose, car en premier lieu, un semblait avoir échappé à leur filet… Mais était-ce vraiment le cas ? Pas tout à fait, comme vous avez pu l’air précédemment, mais expliquons un peu.

Revenons en arrière. Quand notre chère Lucie fut déclarée morte, Jeanne fut extrêmement triste, et dans un premier temps, refusa d’y croire. Elle fit des recherches alors, et ne trouva rien. Ce fut un extrême hasard qui fit qu’elle rencontra le professeur de la Boissière, qui était là pour se renseigner sur d’autres jeunes filles de Dijon. Ce dernier, alcoolique, alla se bourrer la gueule, et se retrouva à errer ivre dans les rues de Dijon. C’est là qu’elle le repéra, et appris donc sur Lucie. Une fois sevré, le docteur se dit que Jeanne pourrait peut-être un moyen de faire éclater l’histoire, et passer pour le héros (et au passage, gagner plein de fric.) Malheureusement pour lui, Jeanne voulait Lucie avant de  se retrouver propulsée dans les révélations… Donc, il devait avoir une alliée à Ravenborn… Et ce fut en la personne de la doctoresse Michelle.

Sauf que pour le pauvre docteur, et bien, la doctoresse Michelle n’était PAS une alliée. Mais une traitresse… Oh plutôt, une agente double, vu qu’elle était fidèle, elle, à sa maîtresse, Leona. Oh, elle n’avait pas été brisée elle. Ejectée de l’université de Lille pour un manque d’éthique, elle avait sombré dans le désespoir… Enfaite, la Doctoresse Michelle était personne d’autres que celle qui avait trouvé un sérum pour accroitre la production de lait par 10 ! Et Ouais ! Et encore plus améliorer le goût… Bref, tout bénef. Cependant, après avoir fait des tentatives sur des cobayes parfois forcé par dettes et tout ça… Elle fut éjectée de Lille, et tout fut étouffé le plus efficacement par les autorités… Ce fut Leona qui récupéra la doctoresse, et qui la sauva du désespoirs… Donc, sa fiabilité était infinie. Elle ne trahirait jamais celle qu’elle appelait régulièrement sa déesse, lui offrant tout service qu’elle voulait.

« Jeanne a une famille...
 -  Organisez sa mort. Suivez le protocole habituel. Et... »

Mais Jeanne n’était pas orpheline, avait-on dit précédemment ? Et bien, oui tout à fait. Mais être orphelin ne veut pas dire ne plus avoir de famille. En effet, Jeanne avait une famille, mais, et voilà le hic, ces parents étaient morts. Donc, elles vivaient chez son oncle et sa tante ! Comme Harry Potter ! Sauf qu’à la différence de Harry Potter, bah, son oncle et sa tante étaient des personnes gentilles et aimantes, qui sans aucun doute allaient avoir le coeur brisé en apprenant que leur fille était morte, et qu’ils auraient sans doute un autre cadavre, ou des centres seulement pour nièce, et pour l’urne funéraire qu’ils auraient pris pour elle. Et ainsi, ne sauraient jamais la vérité sur la pauvre Jeanne… Qui allait rejoindre ainsi sa copine ! Et même différemments… Etant donné qu’elles allaient faire un jeu ensemble. Un jeu ? Oh, vous devinez sans aucun doute. Je ne vais pas faire l’affront de l’expliquer.

« Guidez F-182 et cette salope dans l’une des cages. Et dotez F-182 d’une cagoule épaisse en latex, et d’un vibromasseur... »

« Cela sera fait, Oh Déesse. »


Le scientifique de la Boissière était complètement ignoré mais piégé, il ne pouvait pas s’enfuir. Donc, globalement, la doctoresse Michelle, elle, était prête à faire ce qu’elle devait faire… Très vite, Jeanne fut jetée dans une cage, assez petite, et ainsi serait bientôt piégée. La doctoresse se demandait bien ce qu’on ferait après de cette fille… Elle n’était pas parfaite comme la plupart des femmes récupérées par le fameux système… Mais on pourrait sans doute faire quelques choses d’elle… Après tout, les scientifiques disaient souvent que « Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme ! » Donc, ouais, tout se transforme, donc, il y avait tout intérêt après à la transformer… Et l’utiliser. Cela serait trop bête de perdre du temps et de l’énergie, si cela ne servait à rien, c’est moi qui vous le dis !

Et ainsi, F-182 était maintenant dans la cage. Installé sur son intimité (mais pas enfoncé, je vous rappelle qu’elle devait garder sa virginité, c’était très important!), elle avait le vibromasseur. Avec l’épaisse cagoule en latex, elle ne pouvait rien voir, et ne pouvait pas reconnaître sa meilleure amie. Mais de toue façon, il fallait bien imaginer qu’elle n’avait plus assez de mémoire de son ancienne vie pour la reconnaître, on allait pas le cacher. Mais ce qui serait amusant, c’est que quand « cette salope » aura retrouvée les esprits, et bien… Elle, elle allait pouvoir reconnaître sa meilleure amie… Et voir ce qui s’était passée ! Désolée Jeanne, mais tu ne pourras pas y échapper. Et elle allait pouvoir même découvrir que si ça se trouve… Et bien, elle finirait ainsi à son tour. Finalement, peut-être qu’il y avait du bon dans cette situation, vous ne trouvez pas ? Oh du bon pour la Lactos, bien entendue !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 19 novembre 2018, 00:44:52
Leona savait comment rebondir à n’importe quelle situation imprévisible, et laissa ses esclaves mettre sur la tête de F-182 une cagoule en latex (http://img110.xooimage.com/files/0/c/8/cagoule-55617aa.jpg) très particulière, car extrêmement étanche. Une cagoule intégrale, recouvrant le nez, la bouche, les yeux, mais aussi les oreilles, privant ainsi le sujet de tous ses sens, si ce n’est le toucher. Une véritable torture à long terme, que les scientifiques de Ravenborn utilisaient sur les sujets les plus récalcitrants. F-182 y eut donc droit, peu importe ses contestations. Une laisse autour du cou, elle fut ensuite guidée dans la cage, où le Docteuir Michelle enfila ensuite sur F-182 une culotte noire à latex, avec un gros gode, et un pluganal qu’elle posa dans ses fesses, avant de l’enclencher.

Impossible pour F-182 de parler, ou même d’entendre. Le Docteur Michelle sourit donc, et la poussa en avant. Bien habillée (http://img110.xooimage.com/files/e/7/c/sans-titre-55617b2.png), F-182 était prête à servir, tandis que son amie, Jeanne, était toute nue, attachée par des sangles sur une croix en bois. Le Docteur Michelle s’écarta ensuite, souriant encore. Jeanne allait commencer à se réveiller, et sûrement comprendre que la femme devant elle, qui commençait à la palper, n’était autre que sa meilleure amie, celle-là même qu’elle était venue chercher... Une femme qui se faisait réécrire par le sexe, qui devenait une véritable esclave nymphomane, et ne réagissait plus que par le sexe. Et là, F-182 n’avait plus aucune autre sensation que le toucher.

*Simple, mais efficace...*

Le Docteur Michelle retourna ensuite la voir dans la salle de contrôle. Leona s’était déjà assise sur un énorme fauteuil en cuir, très confortable, et plusieurs esclaves s’occupaient d’elle. On léchait ses doigts gantés, on embrassait ses pieds, veillant à tous ses besoins. Le Docteur Michelle s’agenouilla respectueusement devant elle, donnant à cette scène une sorte d’ambiance sectaire qui plaisait beaucoup à Leona. Sur des écrans plats devant elle, elle pouvait voir F-182 se rapprocher de Jeanne, faisant fi de ses protestations.

« Que faisons-nous de La Boissière, Déesse ?
 -  Il a une fille, non ? »

Le Docteur Michelle acquiesça.

« Préparez une équipe. Faites-lui subir le programme pour en faire un prédateur sexuel.
 -  Un cobaye ?
 -  Oui... Confiez-le aux bons soins de notre laboratoire spéciale. »

Peu intéressée par cela, Leona regardait surtout l’écran, attendant que F-182 vienne sauvagement baiser sa partenaire.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mardi 20 novembre 2018, 23:03:56
Le Docteur de la Boissière allait sans doute regretter ce qu’il avait fait… Ou du moins, sa fille allait regretter ce qu’il faisait. Vivant à Nice, confortablement, sa fille était une fille un peu rebelle de 17 ans qui méprisait son père qui, officiellement, travaillait dans une petite entreprise de merde qui faisait de l’encre… La honte, quoi, comment raconter ça à tes copains pour qu’ils te trouvent classe… Et donc, voilà que le gros docteur allait être transformer, et que bientôt, sa fille allait découvrir les joies du sexe avec son père ! Et ouais, c’était une bonne punition avec aspect familiale… Sans doute que d’ailleurs, après, la mère allait entrer dans l’équation, bien qu’elle n’était pas encore mentionnée pour le moment… Mais cela ne serait tarder, sans aucun doute…

Mais oublions de la Boissière, vous le voulez bien ? Concentrons-nous un peu sur Lucie et son amie Jeanne… En effet, la jeune femme avait été bien préparée pour cela ! La cagoule n’avait rien à voir avec ce qu’on pouvait trouver parfois. Elle était totalement moulante et étanche. Moulante, car sa tête était entièrement modelé par l’ensemble… Et étanche, car elle ne voyait rien. Elle était dans le noir totale, pas une lueur arrivait jusqu’à elle… Et pareil pour les oreilles, elle était sourde. Enfaite, seule le tube de respiration lui permettait d’avoir un contact avec l’extérieure… Elle était donc coincée, dans un monde à part, où le seul contact avec l’autre monde, et bien, c’était son sens du toucher...

à l’aide de la laisse, elle fut guidée dans la cage, non sans avoir été équipée d’un nouvel engin… Le fameux vibromasseur, qui était là pour faire son taff (et qui sans doute allait le faire avec efficacité, cela ne fait aucun doute, n’est-ce pas?)… Mais aussi un plug anal dans son cul. Bah oui, pourquoi ne pas en profiter ? Maintenant, cela ne la fit pas souffrir le moins du monde. Enfaite, un plug anal, c’était presque trop peu pour F-182, qui avait été formée pour subir bien pire, oh oui, bien pire ! Elle était totalement réécrite pour le sexe, et elle n’était plus du tout dans le même monde que Jeanne… D’ailleurs, quand on parle du loup…

« … Je... »

Oh ça y est ! Ce n’est pas trop tôt… Elle commençait enfin à émerger. Pendant un instant, la doctoresse Michelle eut un peu peur, en se demandait si elle n’avait pas forcée sur les doses de drogue… Aucune inquiétude, elle était une experte de chez experte, et donc, connaissez bien par coeur comment cela marchait…  Donc, il n’y avait aucun risque qu’elle se trompe dans les dosages… Mais vous savez, dans la précipitation, il arrive souvent qu’on se trompe… Pas la doctoresse Michelle, mais même elle était parfois hésitante de ces talents… Mais retournons à Jeanne, qui continuait d’émerger… Et qui sentait quelques choses… Quelques choses qui était… mou… ?

« HIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! »

Elle cria ! Bah oui, imaginez, vous avez récupéré vos esprits, et là, BAM ! Le premier truc que vous attrapez, c’est un gros beau sein qui pendouille… Et que la personne auxquel le sein est rattaché -car je vous rassure, le sein est bien attaché à une personne, sinon, ça serait encore pire, si vous voulez mon avis-, et bien, elle est entrain de commencer à vous toucher ! Car oui, comme dit précédemment, et bien, Lucie n’avait accès ni à sa vue, son ouïe, son odorat… Il ne lui restait plus que le toucher, et donc, évidemment, elle palpait le monde uniquement par ce sens… Et comme il n’y avait qu’une seule chose dans ce monde autre que le sol et les froids barreaux, et bien, c’était Jeanne, qui en toute logique, et bien, se retrouvait à se faire toucher…

« Approchez pas ! APPROCHEZ PAS... »

Elle tenta de s’éloigner, mais c’était absolument sans espoir ! Bah oui, la cage était bien trop petites… Les deux étaient dans un espace extrêmement confinés, empêchant donc les deux de sortir… Et donc, voilà que les deux filles étaient quasiment l’une sur l’autre. Surtout que Lucie, enfin F-182, n’obéissait absolument pas aux demandes de Jeanne. Elle n’était pas du tout entrain de tenter de s’éloigner, et au contraire, elle s’approchait de plus en plus… Non, non ! Jeanne ne voulait pas, elle ne savait pas ce qu’était cette horreur, elle avait été téléportée dans un film d’horreur ou quoi ? Elle n’en savait rien, mais ça donnait vraiment l’impression… Cela aurait été limite mieux que la révélation qui vint ensuite…

« … Lu… Lucie… ? »

Oh mon dieu ! Ce qui devait arriver arriva… Et oui, Jeanne commença à reconnaître son interlocutrice… Sa meilleure amie… Elle était choquée et ne voulait pas le croire, pourtant, la femme qui s’approchait de plus en plus d’elle était bien Lucie… Elle ne pouvait pas en être sûre pour le moment, à cause de cagoule… Bref, coincée, elle sentait que Lucie approchait de plus en plus avec le vibromasseur… Heureusement, c’était encore hésitant : et ouais, de tout son entraînement, c’était la première fois que F-182 avait un rôle actif ! Heureusement j’ai dis ? Bien sûr que non, pour Jeanne, c’était encore pire, car cela arrivait, cela approchait de plus en plus… mais elle ne savait pas quand ça allait arriver… Mais une chose était sûre… Elle allait perdre sa virginité avec sa meilleure amie !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 26 novembre 2018, 00:35:02
Il n’y avait aucun espoir pour Lucie, et, depuis son trône, Leona ne put que glousser quand elle vit la jeune fille se réveiller, et reconnaître, à la corpulence de F-182, son amie. Elle but un peu de vin, et croisa un peu les jambes pendant quelques secondes. Ses collants crissèrent doucement, et elle les écarta ensuite, incitant à l’une de ses esclaves à venir lécher sons exe, à travers sa culotte. L’une de ses suivantes obtempéra rapidement, pendant que Leona voyait F-182 se rapprocher. Peu habituée à être libre comme cela de ses mouvements, l’esclave s’avança lentement, jusqu’à rejoindre le corps de Jeanne. Son corps heurta le sien, et F-182 le palpa avec ses mains, appuyant sur ses lèvres, sur le reste de son corps, sentant ses seins, des signes qu’elle devait reconnaître. Depuis des jours qu’elle était ici, à Ravenborn, F-182 ne vivait que de sexe. Il n’y avait aucune autre alternative à son déclin, à cette vague incessante de perversion, et, tandis qu’elle palpait le corps de la femme, elle approcha son vibromasseur de son sexe.

Elle ne pouvait pas entendre Jeanne, elle n’entendait que des gémissements agaçants, imperceptibles, et inaudibles pour elle. Leona sourit encore, et se délecta en entendant Jeanne hurler quand la femme la pénétra. F-182 y alla même assez franchement, posant ses mains sur les hanches de Jeanne, venant la pénétrer durement (http://img110.xooimage.com/files/c/8/5/sans-titre-556768a.jpg). Le corps de la femme se mit à rebondir contre la croix, tandis que, inlassablement, F-182 y allait. Elle devrait même sûrement en tirer un certain plaisir, qui n’échappait nullement à Leone, qui se mit à glousser doucement.

« Vas-y, soupira-t-elle, baise cette salope... »

Le spectacle était exquis ! Entre-temps, l’une de ses esclaves lui expliqua que les deux filles étaient très proches. Elle s’était renseignée sur les réseaux sociaux, présentant des photographies des deux filles à Dijon, se prenant en selfies devant le Palais des Ducs de Bourgogne.

« Il est étonnant que cette fille nous ait échappés... Mais je n’aurai jamais cru qu’elle puisse aller aussi loin.
 -  Cela arrive de temps en temps, Déesse. »

Leona hocha doucement la tête. Elles se connaissaient depuis l’école primaire, ce qui l’amusait encore plus. De l’autre côté de l’écran, les protestations de Jeanne devaient commencer à agacer F-182, ce qui amena le Docteur Michelle à lui apporter un vibromasseur. F-182 put ainsi le fourrer dans la bouche de la femme, et continua à la prendre, déplaçant ensuite ses mains sur les fesses de Jeanne, cette zone de plaisir. Si proche des deux femmes, le Docteur Michelle mouillait sur place devant ce spectacle irrésistible (http://img110.xooimage.com/files/7/e/3/sans-titre-55676b9.jpg).

Si proche des deux femmes, le Docteur Michelle pouvait sentir toute l’intensité des coups de reins de F-182, qui commençait à besogner furieusement la femme. Et Jeanne, avec les drogues qu’elle avait reçues, ne pouvait empêcher le plaisir de venir en elle. Le vibromasseur vibrait dans sa bouche, bien planté en elle, manquant presque de l’étouffer, ce qui permettait à F-182 de la baiser fortement, sans désormais avoir à se soucier des bruits dérangeants.

Il n’y avait plus qu’elles, elles et le désir, rien que le désir, tout le désir...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le samedi 01 décembre 2018, 23:32:09
Enfermée, elle n’avait aucune chance… Elle était coincée, et Lucie s’approchait de plus en plus… Toutes deux orphelines, Lucie et Jeanne s’étaient toujours appréciés, et avaient été les meilleures amies du monde. Sans doute car elles se comprenaient. Pourtant, elles étaient différentes… En effet, Jeanne était beaucoup plus active, dynamique, joueuse et caractérielle que la fameuse Lucie, qui avait toujours été la calme et réfléchie du groupe. Un peu la Blue Oni de la Red Oni qu’était donc, en comparaison, Jeanne. Voilà, elles étaient différentes, et maintenant réunies dans une même cage, où elles allaient faire l’amour, les deux sans doute contre leur gré si Lucie était encore intact… Jeanne tentait d’ailleurs de raisonner son amie, de l’arrêter, en usant de sa voix… Sauf que, malheureusement, cela ne marchait pas bien…

« Non, Lucie, non, ne fait pas ça... »

Elle était sûre maintenant. Sûre, car premièrement, elle était venue pour retrouver Lucie, et ainsi, l’avait retrouvée. C’était donc logique qu’elle la retrouve… Dans cet état ? Oh non, ce n’était pas du tout ce qu’elle avait pensée trouver… Elle n’aurait jamais imaginée sa meilleure amie ainsi, transformée en une créature qui semblait totalement perdue, et qui ne cherchait visiblement qu’à faire du sexe. Le second point, c’était qu’elle avait déjà vu sa meilleure amie presque nue… Et ainsi, elle voyait le corps de son amie ainsi… Elle se concentra sur les seins, quelques peu. Et ouais, elle avait toujours été jalouse de la poitrine de son amie, bien plus belle et… Voluptueuse que la sienne, elle qui était plutôt plate.

« Ne fait pas… Ne… AAAAAAAAAh ! »

Elle n’eut pas le temps de le dire deux fois. En effet, arriva ce qui devait arriver… elle fut prise par sa meilleure amie. Et contrairement à Lucie dont la virginité était soigneusement protégée, étant donné qu’elle serait un cadeau, et bien… Jeanne apprit qui allait prendre sa virginité… Un énorme god, par sa meilleure amie, qui était absolument pas délicate… Oh, non, Jeanne était prise vigoureusement, car Lucie ne connaissait qu’une seule et unique façon de prendre une femme : la prendre avec violence et brutalité ! Donc, voilà, elle avait perdue sa virginité par sa meilleure amie, qui ne semblait pas la reconnaître, ou pire, qui semblait s’en foutre qu’elle ait été sa meilleure amie… Venue pour la sauver. Quel ironie.

« Ma… madame arrê… MMMH ! »

Peut-être une aide ? Bien sur que non ! En effet, car l’arrivée de la doctoresse n’amena qu’une seule et unique chose… Un bâillon. Mais pas n’importe quel baîllon, étant donné qu’ainsi, la fameuse Jeanne apprit à faire une gorge profonde, pour la première fois de sa vie ! Ainsi, en l’espace de quelques instant la fameuse adolescente apprit à faire une gorge profonde, et se faire prendre, perdant virginité vaginale et buccale d’un seul et unique coup… Les deux femmes étaient l’une contre l’autre, et ainsi, sans aucune pitié, Jeanne était prise avec fureur et efficacité… Et les deux étaient l’une contre l’autre, dans du plaisir, du plaisir, et encore plus de plaisir. Enfaite, pour tout dire, il n’y avait même plus qu’une chose, hein… C’était le plaisir. Du plaisir. Encore plus de plaisir. Toujours plus de plaisir.

Et voilà qu’elle prenait du plaisir… Non brisée, Jeanne se demandait… Et si c’était ce qu’elle avait toujours voulu ? Que Lucie soit là, et qu’elle soit prise par sa meilleure amie ? Avec les drogues, elle ressentait énormément de plaisir, et de moins en moins de souffrance… Ajouté au fait qu’elle avait toujours été jalouse de la magnifique poitrine de Lucie, de son corps magnifique également… Et si enfaite, elle était tout simplement jalousie de Lucie ? Et qu’elle voulait… Mon dieu, elle se rendait compte qu’elle était entrain d’être heureuse d’être violée, heureuse que sa première fois soit là, dans une cage, en compagnie de sa meilleure amie… Se rendait-elle compte qu’elle était maintenant captive ? Qu’elle allait connaître un sort similaire à sa meilleure amie, voir peut-être pire, car elle n’était pas « parfaite » comme Lucie ? Suite au prochaine épisode…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 03 décembre 2018, 00:57:50
Sans aucune hésitation, F-182 fourra dans la bouche de Jeanne le vibromasseur (http://img110.xooimage.com/files/8/0/2/rape-mouth-557200c.png). L’appareil phallique remua entre ses lèvres, sans que personne ne vienne la secourir. Et F-182 y allait encore, donnant des coups de reins tout en remuant son corps dans le sien. Depuis son siège, Leona mouillait à cette scène. Elle connaissait maintenant très bien les liens sentimentaux unissant ces deux femmes, et, loin d’émouvoir quoi que ce soit en elle, cette situation l’excitait fortement. Leona n’appartenait pas au même monde que ces femmes. Elle était effectivement une Déesse, et, comme les Olympiens en leur temps, se gaussait de ces humains, se jouait d’eux, y tirant là son plaisir, tout en les soumettant, en les brisant, et en les humiliant. Leona Morimoto était la perfection même, tant physiquement qu’intellectuellement, ce qui était là l’ultime démonstration qu’elle n’était pas une simple humaine. Elle buvait encore en continuant à les observer, gloussant doucement.

Comme elle s’y attendait, Jeanne commençait à prendre du plaisir, et ses hurlements paniqués devenaient également marqués par le plaisir qui se diffusait en elle. Imperturbable, F-182 continuait à la prendre, à la pénétrer, faisant s’écouler les minutes. Leona les laissa ainsi jouer entre elles jusqu’à ce que Jeanne n’atteigne l’orgasme. Elle hurla en jouissant, et Leona donna ensuite ses instructions au Docteur Michelle. Celle-ci fit appel à plusieurs infirmiers, et des hommes solides approchèrent, préparant la suite, en amenant dans la cage un lourd chevalet (https://www.fetish-donjon-labs.com/lafactory/images/stories/ffb/Mobilier/chevalet-bondage-bdsm1.jpg) qu’ils posèrent dans un coin.

Ceci fait, il fallut ensuite attendre que Leona arrive. Évidemment, pendant tout ce temps, F-182 continuait à baiser sa meilleure amie. Un infirmier l’arrêta ensuite en tirant sur la laisse, ce qui serra le collier autour du cou de F-182. Il fallut s’y prendre à plusieurs reprises pour qu’elle se retire. Leona se déplaça ensuite, et arriva dans le dos de la femme, qui était en sueur. Sa main caressa le gode de F-182, et se déplaça entre ses cuisses, tout en retirant les bouchons qui bloquaient les oreilles de la femme, et en commençant à lui ôter sa cagoule.

« Hm-hm, c’est bien ce que je pensais, il n’y a pas que de la sueur... Tu as joui, ma petite cochonne, hein ? »

Leona gloussa dans le creux de l’oreille de son esclave, puis jeta ensuite la cagoule au sol. F-182 put ainsi voir la femme qu’elle venait de violer...

« Oui, tu la reconnais, n’est-ce pas ? C’est Jeanne, la meilleure amie de Lucie... Et, puisque tu te refuses à abandonner Lucie, je vais être généreuse avec toi. »

Un rire machiavélique s’échappa de ses lèvres, et les infirmiers détachèrent Jeanne. Même si elle faisait mine de résister, ils étaient solides, musclés, et n’eurent aucune difficulté à attacher la femme au chevalet. Que préparait donc Leona ? Les réponses n’allaient pas tarder à venir. Leona restait dans le dos de F-182, une main sur son gode, l’autre sur son menton, et l’orienta face à Jeanne.

« Bon, alors, voilà... Il faut s’occuper du cul de ta petite-copine. »

Leona embrassa encore F-182 dans le creux du cou.

« C’est très simple, en réalité. Si tu ne le fais pas toi-même, je vais libérer dans cette cage plusieurs de tes amants, ceux qui te prennent régulièrement. Tu te souviens comment ils sont assoiffés, n’est-ce pas ? Tu imagines ce qu’ils vont faire subir à ta petite-copine ? »

Leona ricana encore, devant ce dilemme monstrueux.

« Allez, encule-le moi cette pute, trésor ! »
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le vendredi 07 décembre 2018, 17:24:58
Sans l’infirmier, notre chère Lucie aurait pu baiser encore, et encore, et encore Jeanne, sans que cette dernière ne puisse rien faire. Elle avait l’endurance maintenant, et le pire, c’est que plus le temps passait, plus Jeanne appréciait ça. Oh que oui, elle appréciait, elle appréciait l’idée même de se faire enculer par sa meilleure amie ! Et ouais ! Il faut bien dire que c’était du à deux raisons. La première était lié à la situation même : elle était entrain de se faire baiser, la seconde, et bien… Les drogues ! Les drogues bien sûr, et ouais, notre chère Jeanne avait eu pas mal de drogue, ce qui faisait qu’elle prenait encore plus de plaisir que normalement. Ainsi, pendant que Leona faisait l’analyse, si elle put remarquer sans problème que Jeanne avait jouie, elle pu remarquer qu’elle n’avait pas été la seule à prendre du plaisir...

« Hm-hm, c’est bien ce que je pensais, il n’y a pas que de la sueur... Tu as joui, ma petite cochonne, hein ? »

Oui. Elle ne répondit pas, mais oui, elle avait jouie. Elle ne savait pas quoi, mais il y avait un… Un quelques chose qui avait rendu cela différent de tout les exercices qu’elle avait fait auparavant. Mais vraiment tous. Comme si… Comme si il y avait un petit plus, quelques choses avait rendu cette pénétration plus excitante que les autres. Elle croyait, au départ, que c’était le fait qu’elle était la pénétrante. Mais non ! Mais non, ce n’était pas ça… Et ce qui lui permit de comprendre, et bien, ce fut une action de son interlocutrice. En effet, au bout d’un moment, sa maîtresse, la déesse même, pouvait-on dire, décida de libérer alors le visage de Lucie. Une fois ceci fit, elle accorda son et lumière comme on dit :

« Oui, tu la reconnais, n’est-ce pas ? C’est Jeanne, la meilleure amie de Lucie... Et, puisque tu te refuses à abandonner Lucie, je vais être généreuse avec toi. »

Jeanne… Cela… Cela lui disait… Quelques choses… Oui… Quelques choses… Tout comme Lucie enfaite… C’était des éléments qui lui disaient tout deux quelques choses, étant donné que c’était sans doute lié à elle… Mais comment… Pourquoi ? Cela était lié à elle, mais de quelle manière ? Tant de questions qui se trottaient dans sa tête, là, maintenant, et dont elle n’avait pas les réponses malheureusement. Qui était-elle ? Elle était forcément lié à elle… Une sœur ? Une amie ? Une petite amie ? Une déesse ? Une compagnnone ? Tant de possibilités, mais encore une fois, elle n’avait aucune idée de ce que c’était. Elle n’avait pas assez de mémoire, pas assez de souvenir pour aller plus loin que… « Bon sang, ça me dit quelques choses, elle me dit quelques choses, je suis sûr qu’elle me dit quelques choses… Mais quoi ?! » Quoiqu’il en soit, la déesse reprit alors sa parole, tranquillement :

« Bon, alors, voilà... Il faut s’occuper du cul de ta petite-copine. C’est très simple, en réalité. Si tu ne le fais pas toi-même, je vais libérer dans cette cage plusieurs de tes amants, ceux qui te prennent régulièrement. Tu te souviens comment ils sont assoiffés, n’est-ce pas ? Tu imagines ce qu’ils vont faire subir à ta petite-copine ? » 

« ... »

Il fallait l’enculer… Soit c’était elle… Soit c’était les amants… Soit c’était elle… Soit c’était les amants… Les amants si brutaux… Qui la prenait régulièrement… oh oui, elle pensait bien à eux. C’était toujours eux qui en profitaient, qui la prenaient avec violence et véhémence, avec brutalité et efficacité, sans aucune once de pitié… bref, soit c’étaient eux qui pouvaient profiter de cette magnifique beauté, car oui, c’est ce qu’elle était entrain de penser… Soit c’était elle… Mais oui, elle souffrirait moins si c’était elle… Son gode était moins gros que les phallus… Et même si elle n’arrivait pas à s’en souvenir, elle… Elle aimait cette fille… Donc, elle serait moins violente, mais oui, c’était sûre… C’était sûre… C’était une bonne idée…

« Allez, encule-le moi cette pute, trésor ! »

« L’enculer… Déesse… L’enculer…
-MMMMMH! »


Oh ! Ca y est, Jeanne se manifestait ! Malheureusement, pour elle, aucun espoir de se faire comprendre… Mais pourtant, comme dit précédemment, elle avait fini par aimer vraiment ce qui lui arrivait… Pourquoi ne décidait-elle pas de signer pour un autre tour ? Et bien, déjà premièrement, elle avait encore sa virginité anale, et deuxièmement… Et bien, il y avait une grande différence entre « je prends mon pied alors qu’on est entrain de me violer », et « je vais accepter de me faire violer ! » Voilà, vous avez maintenant tout compris : son viol allait arriver, il était imminent, c’était sûr et certain… Mais cela allait sans doute être avec un peu de résistance que cela arrivait… Mais ce n’était pas de la résistance qui allait arrêter Lucie !

« MMMMH ! MMMMH !!!!
-L’enculer, l’enculer, l’ENCULER ! »


Malheureusement, ses plaintes tombèrent dans l’oreille d’une sourde ! Et ouais ! Car sans hésitation, l’anus de son interlocutrice se fit prendre par le vibro ! Bon sang, ce que c’était serré ! Et ouais ! Surtout que la pénétration n’avait pas grand-chose comme lubrifiant, hein, qu’on soit clair, il n’y avait que la mouille de notre chère Jeanne qui permettait de lubrifier quelque peu cet anus qui n’avait rien d’autre sinon. Et ouais, donc, vous imaginez bien que l’anus d’une vierge, alors qu’on a jamais rien fait avec -autre que les fonctions habituels d’un anus, bien entendu vous le devinez- et qu’en plus, l’unique lubrifiant, c’est la mouille de la personne que vous violez… Cela donnait un cocktail absolument délicieux. D’ailleurs, le mot n’a jamais été aussi bien trouvé, dans cette situation, si vous voulez mon avis (décomposez le mot, et vous comprendrez ma blague de merde, ahah.)

« MMMMMMMMMMMMMMMMH !!! MMMMMH !!! Mmmh… ! Mmmmh… ! Mmmhh…. »

Alors, je les réunis en un seul, mais faut imaginez qu’il eut des pauses, et que j’ai genre élipsé quelques uns, d’accord ? Bref, merci de votre compréhension. Donc ! Le premier « MMMMH » était bien correspondant au fait qu’elle avait découvert les joies du sexe anal d’un seul coup. Doit-on dire que ce n’était pas un gros « OUI » ? Ouais, je crois que ce n’est guère utile, vous le comprenez sans soucis. Mais les autres, et bien… Plus cela passait, plus elle appréciait. Plus cela passait, plus c’était du plaisir qui surpassait la douleur de se faire enculer. Elle aimait de plus en plus cela, et commençait à prendre son pied… Alors qu’elle ne devait pas ! Mais… Mais c’était Lucie qui l’enculait, et donc c’était… Mieux… ? Mieux oui ? On pouvait supposer…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 11 décembre 2018, 00:51:08
Leona en savait suffisamment sur le conditionnement pour savoir que ça ne se faisait pas en un instant. L’esprit humain avait d’étonnantes capacités de résilience, et elle prendrait tout le temps qu’il faudrait pour offrir à sa mère son cadeau d’anniversaire. Certes, il y avait une échéance prochaine, mais il n’y avait pas encore de retard. Et la présence de cette Jeanne, si elle était contrariante au début, s’avérait finalement être une aubaine que Leona avait su retourner à son avantage. Elle constata ainsi que le conditionnement avait bien avancé, car F-182 ne manifesta pas plus d’émoi que cela devant le fondement de son amie d’enfance, et ne chercha même pas à la lubrifier avec sa langue ! Non, au lieu de ça, F-182 y alla directement, s’enfonçant d’un coup sec dans son fondement.

Évidemment, la porte arrière de Jeanne n’avait encore jamais été explorée, et elle était donc très étroite, difficile à dilater. Devant ce contact violent et éminemment douloureux, Jeanne hurla, des cris étouffés par le gag ball retenant ses lèvres. Leona, elle, souriait malicieusement, et se déplaça dans le dos de F-182, avant de se lover contre elle. Elle ne cherchait pas à la stopper, ni à restreindre ses mouvements, et pinça l’une de ses seins avec sa main, déplaçant l’autre pour caresser ses cuisses, glissant ses doigts sur les rebords de sa culotte.

« Là, c’est parfait, ma chérie... Tu es parfaite ! Mais ça, j’imagine que tu le sais déjà, hein ? Là, continue à bien la bourrer, ma chérie, défonce-moi cette salope... »

À ce stade, Leona ignorait si F-182 était capable de comprendre ce qu’elle disait, si elle pouvait en saisir les enjeux, mais, dans le fond, elle s’en fichait. Elle, elle se régalait, et c’était bien là le plus important ! Et Jeanne aussi... Ce qui confirmait à Jeanne un grand avenir au sein de la Lactos Company ! Leona n’allait en effet pas rogner sur un corps supplémentaire pour l’aider dans les activités de la compagnie. La femme mordilla le cou de F-182, léchant doucement sa peau, et déposa un tendre suçon sur elle.

Elle se lovait ainsi, savourant son corps, accompagnant ses mouvements, très heureuse de voir les transformations de F-182. Plus Jeanne hurlait, et plus Leona était heureuse. Elle décida d’aller encore plus loin dans la perversion, et s’écarta de F-182, puis se rapprocha du sommet du chevalet... Et fléchit les genoux devant Jeanne. Elle saisit son menton de sa main, relevant autoritairement son visage. À travers ses larmes et ses rougeurs, le regard de Jeanne capta le sien.

« Il est trop tard, tu le sens bien maintenant, n’est-ce pas ? Lucie Moreau est morte... Il ne reste plus que F-182, et cette femme m’appartient pleinement. Elle est mon esclave, tout comme tu es appelée, toi aussi, à le devenir. C’est ton destin ! »

Jeanne aurait beau s’y opposer, il n’y avait, pour elle, aucune autre alternative. Et, pour la provoquer encore, Leona prit un risque, et lui ôta son gag ball, curieuse de voir ce que la femme allait dire...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le samedi 15 décembre 2018, 15:54:30
Ni hésitation, ni réticence à le faire. Obéissance totale et absolu… Voilà ce qu’on pouvait dire ce qu’avait fait notre chère Lucie, ou plutôt F-182. Car ouais, maintenant, on pouvait le dire, entre la mémoire qui n’était plus que des souvenirs flous, et le fait qu’elle n’avait donc pas hésité à prendre sa meilleure amie, sans la moindre hésitation… Et bien, cela ne faisait aucun doute que la fameuse Lucie était maintenant disparue dans les méandres de l’inconscient. Il n’en restait quasiment plus rien, à peine une trace résiduelle dans l’esprit de la F-182, qui était donc une des femmes de la Lactos Compagnie, et qui allait faire donc ce que doivent faire les Femmes de la Lactos Compagnie ! Surtout quand elles étaient des futurs cadeaux… Et cela, visiblement, amenait des compliments pour la jeune femme !

« Là, c’est parfait, ma chérie... Tu es parfaite ! Mais ça, j’imagine que tu le sais déjà, hein ? Là, continue à bien la bourrer, ma chérie, défonce-moi cette salope... »

Pas d’inquiétude ! F-182 était là pour vous servir, Ô déesse Léona ! Visiblement, elle continuait à faire ce qu’on lui demandait. Et avec efficacité ! Elle bourrait, sans la moindre hésitation celle qui avait été autrefois sa meilleure amie, et qui dans un sens l’était toujours ! Et ouais, je veux dire, elle avait quand même épargnée à Jeanne le fait de se faire enculer par plein d’hommes absolument bourrins, et bien plus que la fameuse Lucie. Surtout que Jeanne était encore « fertile » en théorie, là, si c’était un bout de plastique qui la prenait dans l’intimité, et bien, elle ne risquait pas de tomber enceinte, alors que des hommes auraient pu l’engrosser comme une vache ! Et ouais ! Une bonne grosse future vache ! Quoiqu’il en soit, Leona abandonna donc l’intérêt pour le moment sur Lucie, et se concentra sur Jeanne…

« Il est trop tard, tu le sens bien maintenant, n’est-ce pas ? Lucie Moreau est morte... Il ne reste plus que F-182, et cette femme m’appartient pleinement. Elle est mon esclave, tout comme tu es appelée, toi aussi, à le devenir. C’est ton destin ! »

« Aaah... »

Bon sang, cela libérait ! Et ouais, il fallait retourner un peu à notre chère Jeanne, qui avait bien mal à la gorge, il fallait bien l’avouer… Bref, visiblement, la fameuse Leona voulait briser mentalement son interlocutrice, voulait lui montrer qu’elle avait tout échoué sur la ligne, et que non seulement donc, elle ne pourrait sauver son amie de ce destin, mais qu’en tentant de la sauver, non seulement elle avait échouée, mais en plus, elle se condamnait… Donc à subir le même sort ! Et ouais, on pouvait dire qu’elle avait bien échouée… Et qu’elle n’avait plus aucune chance… Donc qu’allait faire Jeanne ? Allait-elle craquer, devant cet échec si cruel, devant le fait qu’elle ne pouvait plus rien faire à part accepter que maintenant, elle était piégée comme son amie ? Et bien… Non, elle ne faisait pas. Elle ne cédait pas, elle ne pleurait pas… Elle avait bien quelques choses cependant à dire à son interlocutrice…

« Je… C’est moi la salo… salope… ? Car je sais pas… Je vois juste… une pu… une pute qui me parle... »

OH MON DIEU ! Là, si elle se prenait pas un grand coup dans la gueule, euh… Je ne sais pas quoi dire ! Jeanne avait devinée qu’elle était fichu, qu’elle ne s’en sortirait jamais… Elle avait même devinée qu’elle allait sans doute finir comme son amie, et qu’elle n’avait… Et bien, plus aucune chance. Qu’on soit clair… Mais voilà, elle n’était pas encore brisée, elle était capable d’insulter la personne qui se prenait pour une déesse. Oh, elle savait qu’elle le regretterait, et qu’elle faisait ça comme un dernier sursaut, une dernière chance… Et puis, c’était jouissif de montrer à cette femme qu’elle n’était qu’une grosse pute ! Et ouais ! Même si ça voulait dire qu’elle allait douiller, et qu’elle allait le payer très cher… Au moins, elle aurait dit cela, et elle l’aurait pensé… Cependant, ce fut ces dernières paroles, car…

« AAAAAAAAAAh ! OUI ! »

Et bah ouais ! Car Lucie, elle, elle ne s’était pas arrêté ! Et voilà ce qui était arrivée… Elle pouvait peut-être traitée Leona de « pute », mais… Et bien, sans aucun doute, elle était là une bonne grosse salope, qui, certes grâce à des aphrodisiaques, venait de jouir d’un puissant orgasme. Et ouais, elle avait jouie, alors qu’elle se faisait violer par sa meilleure amie ! Bon sang de bonsoir, c’était atroce, mais c’était tellement de plaisir… Elle se faisait violer par sa meilleure amie, là, devant une bonne grosse pute qui avait réduite cette dernière comme une pute, et qui allait la réduire… A… A… Elle ne savait même pas ce qui lui arriverait, mais c’était fini pour elle. Désolée, pensa-t-elle à sa meilleure amie… Elle n’aura aucune chance de la sauver, mais au moins, elle chutera avec elle… C’est déjà ça…
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 24 décembre 2018, 00:43:20
Leona sourit doucement devant l’impertinence affichée de Jeanne. Dans un dernier sursaut, dans une dernière bravade, celle-ci avait balancé à Leona voir devant elle « une pute ». Loin d’en être fâchée, Leona s’en amusait plutôt, car elle savait déjà comment torturer Jeanne. Mais elle n’eut de toute manière pas le temps de lui répondre, car F-182 alla la prendre, toujours sans relâche. Le traitement avait donc bel et bien fonctionné ! Et ça, plus que tout le reste, excitait beaucoup Leona. Certes, elle n’était pas encore à l’abri de voir F-182 faire une rechute, mais elle était déjà très fière de voir les preuves des progrès accomplis ! F-182 baisait celle qui avait été jadis sa meilleure amie, sans guère se poser d’autres questions, et ce juste parce que sa Maîtresse le lui avait ordonné, et qu’elle ne voyait de toute façon pas quoi faire d’autre. C’était un véritable succès, très alléchant, qui faisait doucement frémir Leona, qui ne manqua pas d’observer ce fascinant spectacle.

Jeanne se mit donc à gémir, se tortillant faiblement sur place, incapable de refréner les pulsions de plaisir s’échappant de son organisme.

« Bien, tu as joui, petite pute... Mais tu vas tout de même payer pour ton affront. Arrête ça, F-182. »

Leona retira F-182 du corps de Jeanne, et lui ordonna de s’agenouiller devant elle, et de lui lécher les pieds, tout en lui retirant auparavant la ceinture avec les godes. Comprenant très bien ce que sa Maîtresse divine voulait, le docteur Michelle avait appelé d’autres sujets.

« Je dirige un immense empire, Jeanne, et nous n’avons pas encore décidé quoi faire de toi. F-182 est destinée à rejoindre la cour personnelle familiale, à être un cadeau pour ma mère. Mais toi... Toi, tu n’es rien. Alors, si tu veux rester près de F-182, tu as intérêt à être sage et obéissante. Pour l’heure, je crois que tu mérites de subir le même traitement que l’a subi ma petite salope... »

C’est ainsi que deux hommes nus entrèrent, chacun ayant un collier autour du cou. Bien bâtis, ils avaient un torse glabre, et surtout deux grosses queues en érection qui se dressaient sur leurs cuisses. Le Docteur Michelle leur fit signe d’avancer, et le duo rejoignit Jeanne. Comme tout sujet, ils étaient bien dressés, bien éduqués, et ne contestaient rien. Peu importe les protestations de Jeanne en ce moment, ils se glissèrent autour d’elle, l’écartant de la croix pour pouvoir la prendre en sandwich...

...Et, tandis que Leona laissait F-182 lécher ses longs collants rouges en latex, Jeanne sentit des verges s’enfoncer simultanément dans sa chatte et dans son cul, des verges grosses et joufflues, assoiffées et impatientes...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 26 décembre 2018, 21:23:30
Son affront… N’eut pas du tout l’effet attendu ! Elle aurait vraiment cru que cela aurait mit en rage son interlocutrice… Qu’elle aurait pêté les plombs, qu’elle l’aurait même violentée… Mais non. Rien de rien. Comme si… Comme si cela l’amusait ! Franchement, heureusement qu’elle eut son orgasme qui lui permit d’être un peu… Disons d’être heureuse et donc, de cacher ce qu’elle pensait, car sérieux, si elle n’avait pas eu ça, elle se serait décomposé. Enfaite, Leona avait littéralement fait le pire qu’elle avait pu faire en… Se fichant complètement de l’insulte. Elle montrait qu’ainsi elle dirigeait tout, qu’elle contrôlait tout… Bref, qu’elle était bien la déesse pour laquelle elle se faisait passer, sans aucunement se faire décontenancer par une petite salope qui tentait de faire sa kéké… N’est-ce pas Jeanne ?

« Bien, tu as joui, petite pute... Mais tu vas tout de même payer pour ton affront. Arrête ça, F-182. »

« Aaah... »


F-182 obéissait énormément, et c’était bien. Elle se retira, et s’éloigna légèrement. Jeanne put alors regarder dans le détail son ami… L’adolescente avait bien changé, mais… Mais elle n’était pas… Comment dire… Jeanne n’avait pas l’impression que cela faisait du temps qu’elle se faisait torturer. Elle était magnifique, cela ne faisait aucun doute, elle était toujours aussi belle, même… Même plus qu’avant, oui. Surtout ses seins. Oh mon dieu, ses seins. C’était toujours la partie pour laquelle Jeanne avait été énormément jalouse. Elle ? Elle était plate comme une planche à pain. Mais Jeanne avait une magnifique paire de sein, sans doute les plus beaux de tout le lycée… Elle sursauta quand Leona reprit la parole : Avec tout ça, elle en avait oubliée la femme, qui était pourtant… Et bien, assez importante quand même !

« Je dirige un immense empire, Jeanne, et nous n’avons pas encore décidé quoi faire de toi. F-182 est destinée à rejoindre la cour personnelle familiale, à être un cadeau pour ma mère. Mais toi... Toi, tu n’es rien. Alors, si tu veux rester près de F-182, tu as intérêt à être sage et obéissante. Pour l’heure, je crois que tu mérites de subir le même traitement que l’a subi ma petite salope... »

« Que… ? »


Ouh là ! Euh, attendez, elle eut du mal à se concentrer, elle… Elle pensait à Lucie, enfin F-182, enfin quelques soit son nom maintenant… Cour personnelle familiale ? Cadeau pour sa mère ? Genre c’était une vioque qui allait avoir sa précieuse amie ? Sérieusement ? Elle était rien ? Oui, elle devinait ça… Mais quand même ! Qu’est-ce qui allait se passer ? Elle ne savait pas, et depuis sa déconvenue avec le coup de la « pute », et bien, on pouvait bien dire qu’elle faisait quand même moins la maligne ! Bref, elle n’avait pas eu le temps de tout capter, de tout comprendre de ce qui allait être dit… Et donc, elle n’était encore moins prête ! Donnez moi un peu plus de temps, voilà ce qu’elle voulait dire ! Néanmoins…

« Attendez… ! »

Sauf que non, il n’y a pas le temps ma chère demoiselle ! Tu crois franchement que ce qui était entrain d’arriver allait… Attendre ? Et ouais ! Venait d’arrivée deux hommes, bien bâti, que cela soit dans les fondations ou dans les fioritures comme on dit… Très rapidement, la jeune adolescente n’eut d’autres choix que de se faire encercler par les 2 hommes, qui étaient là, prêtes à faire ce qu’ils devaient faire… La baiser ! Et ouais, en un seul coup, que cela soit l’anus ou la chatte, rien ne fut épargné. Les épaisses queues commencèrent à pénétrer les trous de la jeune femmes, et elle ne put rien faire. Totalement à la mercie de ces hommes, sans pouvoir bouger ni bras ni jambes, et bien, il ne lui restait plus qu’une seule chose… Sa bouche. Et ouais, c’était l’unique chose qu’elle pouvait utiliser… Et son organe vocale était bien utilisée, pas d’inquiétude, étant donné qu’elle déclara… Enfin hurla :

« AAAAAAAAAAAAAAH ! »

Sur ce magnifique cri, F-182 alla tranquillement faire ce qu’elle devait faire : lécher sa maîtresse. Obéissance totale et absolue, vénération de la déesse… Tout était là… Visiblement, cela faisait même de l’effet sur la doctoresse Michelle, qui ne put donc se retenir. Rapidement, elle abandonna à son tour ses vêtements, et se retrouva nue… Pour aller lécher l’autre collant de sa déesse. Ainsi, on avait une magnifique scène… Une femme se faisant violer par deux hommes, tandis que la maîtresse, la déesse elle avait le droit à une femme adulte et une adolescente, toutes deux magnifiques, qui étaient à ses ordres, et qui la léchaient, avec énormément d’envie, comme si elles voulaient absolument que cela arrive… Bref, c’était un magnifique tableau, cela ne faisait aucun doute !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 27 décembre 2018, 21:30:07
Jeanne espérait-elle sincèrement que Leona laisserait passer son insulte, sa petite provocation, sans réagir ? Quand on la cherchait, on la trouvait ! Elle en avait l’amère démonstration sous l’effet des deux hommes venant la besogner. Ils l’encerclaient dangereusement, et la pénétrèrent simultanément, leurs queues s’enfonçant dans son vagin et dans fesses, déclenchant un délectable concert d’hurlements. Une scène habituelle pour Leona, qui avait toujours aimé superviser par elle-même ce genre de scènes, ce genre de formations. Et, alors qu’elle observait la scène, observant les corps luisants de sueur des deux esclaves (même si elle préférait les agréables courbes du beau sexe), la Doctoresse Michelle se prosterna volontairement à ses pieds, et vint lécher son autre botte. La belle femme noire se frotta contre elle, amenant Leona à sourire brièvement.

« Très bien, mes belles... Je reconnais ne pas m’être occupée de ton corps depuis bien trop longtemps, Barbara... »

En même temps, c’était normal. Non seulement une Déesse devait savoir se faire attendre, mais elle était aussi très souvent occupée. Pendant ce temps, Jeanne, elle, continuait à souffrir. Après F-182, c’était désormais deux hommes musclés qui la prenaient, grognant contre elle, pinçant ses seins, meurtrissant ses fesses en posant leurs solides mains dessus. Ils pétrissaient son corps et sa chair sans ménagement, sans considération aucune pour son être ou pour son consentement à cette scène.

Leona se pinça encore les lèvres, laissant passer les minutes, sentant le corps de ses deux esclaves remonter progressivement jusqu’à la culotte. Avec ses mains, elle caressait tendrement leurs cheveux, comme une sorte de mère affective qui viendrait ainsi prendre soin de ses ouailles, les câlinant tendrement et chaleureusement.

« Mes petites puces, si fragiles, si soumises... Tu seras vraiment un magnifique cadeau pour ma mère, F-182... »

Elle caressa également les cheveux de la Doctoresse Michelle, qui était en train de s’abandonner à la soumission avec un grand régal. Leona allait finalement prendre un risque, en éduquant Jeanne avec l’aide de F-182. Pour l’heure, elle continuait à laisser les deux femmes la lécher.

« Vous pouvez lécher ma culotte si vous le voulez... Ensuite, j’urinerai dans la bouche de l’une de vous deux... Mais ne léchez pas ma peau. Vos langues doivent uniquement viser mes vêtements. »

Pour d’aucuns, la séance de l’urine serait une punition, une humiliation supplémentaire... Mais pas pour ces deux-là, n’est-ce pas ?
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le vendredi 28 décembre 2018, 20:58:31
La doctoresse Michelle n’avait pas de ressenti pour sa Déesse. Et ouais, une Déesse a bien plus importante à faire que s’occuper d’elle. Enfaite cette petite histoire avec Jeanne… Et bien, elle devait avouer qu’elle avait quelques peu joué le jeu, aussi pour se faire bien voir, et se faire ainsi mettre un peu en avant. Ouais, elle devait l’avouer. Bien sûr, il fallait bien dire que la survie et l’importance de la Lactos était à ses yeux le plus important, et de très très loin… Mais voilà, il y avait quand même quelques peu le fait qu’elle estimait que cela lui avait permis de retrouver un peu sa déesse… Et ainsi, être là, et pouvoir faire ce qu’elle voulait tant faire… Lécher sa maîtresse, apprécier cela, encore et encore…

« Mes petites puces, si fragiles, si soumises... Tu seras vraiment un magnifique cadeau pour ma mère, F-182... »

La soumission était totale… Enfaite, du côté de F-182, on sentait tout les progrès, on sentait que la fameuse Lucie était bien loin, très loin maintenant… Et le retour de Jeanne n’avait été en rien un moyen de sauver la fameuse femme demoiselle aux cheveux blonds. Non, elle était tout autant condamnée que n’importe quel autre femme qui était tombée entre les mains de la Lactos… Femme ou homme, d’ailleurs, hein, on ne va pas le dire. Bref, quoiqu’il en soit, elle allait pouvoir être offerte et devenir un magnifique cadeau, avec ses deux magnifiques seins, qui étaient quand même -dirait Jeanne- la plus belle chose chez elle. Mais bref, concentrons-nous sur le présent, et ce qu’allait faire les deux femmes…

« Vous pouvez lécher ma culotte si vous le voulez... Ensuite, j’urinerai dans la bouche de l’une de vous deux... Mais ne léchez pas ma peau. Vos langues doivent uniquement viser mes vêtements. »

Allaient-elles aimer ? Bien entendue que oui ! Surtout la doctoresse Michelle, qui on soit clair, payerait tout pour avoir sa Golden Shower quotidienne offerte par sa cheffe. Qu’on soit clair, elle aimait tout ce qu’aimait Leona, elle demandait tout ce que voulait Leona… Bref, elle était soumise corps et âme à sa maîtresse… Non, maîtresse, ce n’était pas le bon terme ! Elle était bien plus qu’une simple maîtresse… C’était en effet sa déesse, même sans doute plus… Bref, pour elle, tout moment passait avec elle était un bon moment, et elle espérait qu’elle aurait le droit à cette urine, si précieuse Urine, qu’elle aimait de tout son coeur… Même si, il faut bien le dire, sa maîtresse était tellement parfaite que quelques soit son choix, et bien, cela serait le bon. Cela ne faisait aucun doute…

On sentait que de son côté, F-182, est bien, elle aimait ça, car elle se devait d’aimer ça. Elle n’était pas entièrement corps et âme dévouée à sa maîtresse. Elle obéissait aveuglement, et faisait cela car c’était le plus important pour sa vie, mais voilà, ce n’était pas exactement pareil. C’était du conditionnement, de l’obéissance, de la vénération… Mais pas comme la doctoresse Michelle où tu devais remplacer conditionnement et obéissance, par amour et idôlatrie. Bref, en tout cas, les deux femmes commencèrent à lécher la culotte de leur déesse. Mais attention, aucun coup de langue ne toucha la peau de la déesse… Et ouais, elles étaient douées. Elles pouvaient quand même réussir quelques choses d’aussi « simple » non ?

Et Jeanne ? Bah, pas grand-chose… De nouveau sous le soleil ! Et ouais, elle se faisait toujours presser, malaxer, sans aucune pitié. Ses seins, son ventre, son cul, tout y passait, et les hommes étaient des experts… Très vite, Jeanne atteint l’orgasme… Et elle fut affolée de voir que cela ne finissait toujours pas ! Et ouais, contrairement à Lucie qui avait été modifié et amélioré dès son plus jeune âge, et bien, Jeanne elle, elle restait une femme normale, qui n’avait aucune amélioration, face à des dieux du sexe, qui n’auraient aucune pitié… Bref, elle allait sans doute avoir à la fois le meilleur et le plus fatiguant des coups de son histoire… C’était une bonne chose non… ? Non… ? On allait bien voir !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 04 janvier 2019, 00:30:51
Une telle soumission ne s’obtenait pas du jour au lendemain. C’était là le grand avantage de la Lactos Company : elle avait l’avantage du temps. Pour garantir la fidélité d’employés comme le Docteur Michelle, il fallait les former dès l’enfance. Par le biais de plusieurs fondations, la Lactos récupérait des orphelins, des enfants victimes de la guerre, des réfugiés abandonnés… La Terre était un vivier à souffrances inépuisable, et, plutôt que de voir le Docteur Michelle être éduquée par la rue, elle s’était retrouvée dans l’un des centres de formation de la Lactos. Un destin somme toute similaire à celui de Lucie, qui avait grandi dans un orphelinat administré par l’ASPED, l’un des multiples tentacules de la redoutable Lactos Company. Le Docteur Michelle avait juste grandi dans une branche différente, et, dès l’enfance, on lui avait enseigné qu’elle servirait un jour des divinités réincarnées. Il existait au sein de la Lactos Company une véritable liturgie, une propagande autour de la destinée des Morimoto. À en croire cette histoire réécrite, les Morimoto descendaient directement de l’Antiquité grecque. Il existait en effet de multiples théories historiens affirmant que les Dieux de la mythologie grecque étaient à l’origine de simples hommes, des hommes héroïques qui avaient été « divinisés » par la suite. Barbara avait été éduquée dans cette croyance, selon laquelle les Morimoto étaient les descendants des Dieux grecs, de nouvelles divinités aspirant à reconquérir le monde. Un conditionnement d’enfance qui faisait qu’elle avait fait de brillantes études universitaires pour rejoindre ensuite la Lactos Company. Voir Leona Morimoto était donc pour elle un immense honneur, et elle s’évertua à lécher sa culotte, oubliant toute bienséance, confirmant ainsi que l’intelligence n’était pas un signe de liberté. On pouvait être, comme le Docteur Michelle, très cultivée, et pourtant continuer à aimer la servitude. En réalité, sous ses couverts d’entreprise honnête et discrète, la Lactos Company avait un fonctionnement à mi-chemin entre une mafia et une secte. Mais qui irait s’en plaindre ? Sûrement pas les deux femmes devant elle !

Leona savourait donc, et caressait les cheveux des deux femmes, voyant ces dernières lécher simultanément sa culotte, ou alternativement, afin de glisser leur langue pile à l’emplacement de ses lèvres intimes. Sous la culotte, elles pouvaient ainsi sentir le sexe de Leona, qui frémissait doucement, ses joues commençant à rougir. Elle avait grandi dans le sexe, et elle avait une expérience sexuelle phénoménale. Leona était autant une nymphomane que les deux créatures face à elle, même si elle se contrôlait mieux. Et puis, avec Jeanne qui se faisait copieusement baiser sous son nez, Leona avait une toile magnifique.

« Hmmm… Vous me faites mouiller, mes salopes ! »

Elle gémissait doucement sur place, sentant leur énergie redoubler en apprenant ça. Qu’il était difficile de ne pas lécher ses cuisses, de ne pas goûter à cette délicieuse mouille ! Et, Déesse magnanime, Leona ne tarda pas à préciser ses instructions :

« Celle qui ne lèche pas ma culotte… Hmmm… Peut avaler ma mouille. Vous allez vous remplacer toutes les trente secondes pour lécher ma culotte, et… Celle qui me fera jouir aura le droit de boire mon urine. »

Ce qui était normalement perçu comme une sordide punition devenait ici une récompense sacrée ! Une magnifique récompense, et Leona se demandait bien qui, de la doctoresse ou de l’esclave, allait finalement réussir à la faire jouir… Elles allaient devoir se surpasser toutes les deux, et, maintenant qu’il n’y avait plus de gêneur pour venir perturber ses programmes, Leona pouvait se faire plaisir ! Quant à Jeanne, quand les deux mâles en auront fini avec elle, la pauvre ne devrait même plus se rappeler son nom… Difficile de dire si elle allait pouvoir tenir à Ravenborn, mais, honnêtement, Leona se préoccupait comme d’une guigne de sa survie. F-182 était son cadeau, cette Jeanne n’était que du bonus !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mardi 08 janvier 2019, 21:02:47
Bon, nous allons commencer notre réponse par parler un peu de Jeanne, puis, après, nous n’en parlerons plus du reste de la réponse ! Donc, si vous ne lisez ce RP que pour savoir ce qui arrive à cette pauvre Jeanne, je vous spoile de suite… C’est pas tip top. Bref, donc, Jeanne continuait de se faire prendre par les hommes. She was completely fucked silly ! Comme disent nos amis anglo-saxons ! Et disons que l’expression allait bien. Elle était prise avec tellement de brutalité, mais surtout… Cela semblait sans fin. Elle ? Elle avait jouie depuis… Bien longtemps ! Mais les hommes, eux, non. Cela ne semblait toujours pas terminer, ils continuaient, sans hésiter la moindre seconde, sans ralentir la moindre seconde… Ils faisaient ça à la perfection, ce qui rendait tout cela monstrueux, inhumain, et absolument incroyable et horrible pour notre chère Jeanne, qui se faisait prendre encore et encore…

Voilà ! Maintenant, cela s’est fait, revenons-en à nos moutons… La Doctoresse Michelle et F-182. Comme l’a très bien dis mon compagnon de RP, et bien, l’intelligence n’avait bien rien à voir avec l’obéissance. Allez, je vous explique ? Vous aviez donc là deux femmes. L’une ? Extrêmement brillante. L’autre ? Maintenant complètement conne. Mais vous pourriez me dire : « Ouais, mais la culture ! » Non. La doctoresse Michelle, chez elle, lisez « Guerre et Paix » de Tolstoï (bon, aussi les Petits Hommes quand elle avait envie de déstresser), et elle écoutait du Tchaïkovski, surtout son Ouverture 1812, qui à son sens était l’une des plus belles pièces symphoniques. Oh, elle ne le cachait pas à sa Déesse. Plus d’une fois, elles avaient discutés musiques classiques, et la doctoresse avait même émis ses préférences à sa Déesse, qui si ce n’étaient pas les mêmes que cette dernière, celle-ci avait discuté avec entrain et dynamisme, chacune mentionnant ce qu’elles aimaient ! Donc, voilà !

« Hmmm… Vous me faites mouiller, mes salopes ! »

Les deux étaient honorés de l’apprendre. Non mais faut pas croire ! C’est pas une moquerie ! Replongeons-nous un peu dans la psychés des deux femmes. Elles avaient donc, en face d’elle, une véritable déesse. Véritable déesse, la plus grande de toute. Imaginez vous dans cette position, une position où vous, vous êtes devant une femme que vous considérez comme une déesse, et vous lui faites des avances sexuelles. Et là, celle-ci vous… Vous annonce que vous arrivez à la faire mouiller ! Vous connaissez une anecdote historique ? À l’époque grecque, l’un des plus grands héros de tout les temps fut Diomède. Pourquoi cela ? Car ce dernier arriva à blesser un Dieu. Faites saigner un Dieu, et personne ne croira en lui. Donc, pour elles, simples mortelles, arriver à faire mouiller une déesse, c’était un honneur infini. Et visiblement digne de récompenses absolument divines…

« Celle qui ne lèche pas ma culotte… Hmmm… Peut avaler ma mouille. Vous allez vous remplacer toutes les trente secondes pour lécher ma culotte, et… Celle qui me fera jouir aura le droit de boire mon urine. »

Récompense absolument divine… Et que les deux voulaient toutes deux ! Après tout, l’urine d’une déesse était un nectar divin. Bref, cela devait plaire beaucoup à la dite déesse car la situation fit naître un véritable sentiment de concurrence entre les deux femmes. L’une et l’autre pouvait avoir la récompense, et l’une et l’autre… Voulait la récompense ! Donc, elles allaient tout faire pour l’avoir… Enfaite, cela ne faisait que motiver des femmes déjà motivée, étant donné que le simple fait de faire plaisir à leur déesse.. Ca suffisait à leur donner le meilleur d’elle-même. Mais là, en plus, il y avait une récompense… Donc, il ne fallait pas seulement faire le meilleur de nous-même ! Il fallait en plus… Faire meilleur que l’autre ! Et voilà, ainsi, il y avait de la compétition, cela ne rigolait pas !

Honneur aux plus jeunes pensa visiblement la fameuse doctoresse Michelle, vu qu’elle laisse la fameuse F-182 commencer ! Celle-ci alors ne se fit pas attendre… Après tout, elle était entrainée pour cela ! Elle était là pour ça, elle était la F-182, elle n’était pas n’importe qui ! Elle se devait de montrer qu’elle était capable de la faire jouir… Après tout, si elle n’en était pas capable, alors elle serait un très mauvais cadeau d’anniversaire ! Donc, elle mit en application tout ce qu’elle avait appris, et ce qu’elle avait obtenu après cette apprentissage. C’est à dire ? Et bien, de la brutalité et de l’endurance. Alors, je vous rassure, quand je dis « brutalité », je dis pas qu’elle était genre violente sur sa déesse ! Bien sûr que non, elle aurait été arrêtée avant. Non, disons qu’elle n’y allait pas du dos de la cuillère, comme on dit quand on… Euh… On est un homme politique de la REM ? Ouais, je vous guère d’autres situation où ce terme est utilisé ! Bref, elle y mettait toute son énergie, dans un ensemble efficace et brutal, comme son éducation l’avait formée ! Et les trentes secondes passèrent ainsi...

Mais la doctoresse Michelle n’avait peut-être pas l’endurance et la brutalité de F-182… Elle avait elle plus d’intelligence et de subtilité. Oh, elle n’était pas améliorée comme l’était la F-182, mais elle avait plus d’un tour dans son sac… Ou plutôt dans son cerveau ! Elle allait montrer à cette rookie qui était jeune, ce qu’était une femme qui connaissait cette déesse depuis bien longtemps ! Donc, son cunnilingus était plus raffiné, plus sophistiqué, n’hésitant pas lui à aller chercher les points les plus érogènes ; Et ouais, je vous dis, c’était d’une efficacité bien plus efficace. Mais voilà, qui allait gagner donc ce petit concours ? Aucune des deux ne pouvaient le savoir. Leona avait deux manières d’avoir son plaisir, et celles-ci s’alternaient… Qui auraient le dernier mots ? La championne en titre, ou bien la challenger ? Cela, nous allions bientôt le savoir je vous rassure !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 14 janvier 2019, 00:38:03
Transpirant de beauté et d’arrogance, Leona était une femme très hautaine, très sûre d’elle, une femme qui assumait pleinement son statut de « divinité ». Elle avait grandi ainsi, elle avait été élevée et éduquée comme ça, et avait au soutien de son narcissisme un Empire industriel et commercial, et une armée d’esclaves. Elle observait joyeusement ses deux esclaves, mais ne délaissait pas Jeanne du regard. La brave intruse était en train de s’effondrer, de disparaître, de s’aliéner totalement à travers le sexe. Elle avait beau encore cherché à lutter, la bataille était vaine, perdue d’avance. Leona, elle, se régalait de cette situation, elle s’en délectait avec une malice évidente, y ressentant une sorte de joie enfantine, sadique et perverse.

Elle observa ensuite ses deux esclaves, qui, suivant ses instructions, alternèrent leurs coups de langue, faisant preuve d’impatience et... D’une très grande soif ! Un pur régal pour la redoutable Leona, qui sentait F-182 se presser contre sa culotte avec avidité, léchant furieusement, comme si elle cherchait à faire jouir sa Maîtresse le plus vite possible. Barbara, elle, optait pour des mouvements plus précis, pile dans la fente, léchant ainsi directement ses lèvres intimes, ce qui arracha à Leona quelques soupirs.

« Prenez votre temps, mes beautés, j’aime ça, vous savez, hmm... »

Leona gémit à nouveau. Elle aimait ça, en effet. La « Déesse » aimait autant le sexe sauvage que lent, et, à choisir, elle préférait même davantage le beau corps des femmes que celui des hommes. Les seins moelleux, la peau douce et fine, les longs cheveux, les petits soupirs et les cris qu’elle poussait... Tout un cocktail de sensations exquises qu’on ne trouvait pas chez les hommes ! Eux, ils étaient somme toute juste bons pour la chignole, le sexe pur et dur. La Lactos en faisait des amants décérébrés, des sortes d’hommes préhistoriques tenant davantage de l’animal que de l’homme mûr.

Elle savourait donc les deux femmes, et ce cunnilingus dura bien un bon quart d’heure, le trio étant accompagné par les gémissements et les grognements de Jeanne et de ses amants. Les joues rougies, Leona serrait les cheveux de ses amantes, se retenant encore, tenant autant que possible... Mais elle mouillait de plus en plus, sa cyprine fuitant de sa culotte, glissant sur ses cuisses, les humidifiant longuement, tandis que le plaisir continuait à croître en elle.

« Hmmm... Haaaa... »

Là, oui, là... Elle ne pouvait plus lutter, elle ne pouvait plus résister ! Leona gémit à nouveau, rougissant furieusement. Sa culotte était encore plus humide, encore et encore, et... Dans un léger râle, elle se pinça les lèvres, déglutit sur place... Et se mit à jouir.

Qui fut l’heureuse élue ?

« Hmmm... Bravo à toi, F-182, tu as gagné le droit de boire mon précieux jet doré ! Ouvre bien la bouche, trésor... ♥ »
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 16 janvier 2019, 14:32:10
La compétition était lancée entre les deux femmes ! Cela ne faisait aucun doute, les deux voulaient ainsi faire ce que leur maîtresse avait demandée, et donc, elles faisaient de leur mieux pour accomplir le souhait de cette dernière. Comme dit précédemment, les deux avaient des techniques totalement différentes, illustrant bien comment les deux avaient été détruites pour être reconstruite de façon totalement différentes, mais pour le même objectif ! Un objectif qui avait été dans tout les cas une victoire ! En tout cas, les deux donc… On allait bien voir la quelle des deux avaient le bon comportement… Je vous spoile ? Les deux ! Et ouais, les deux avaient le bon comportement, tout simplement car il n’y avait pas de mauvais comportements.

« Prenez votre temps, mes beautés, j’aime ça, vous savez, hmm... »


Et ouais ! Les deux fonctionnaient bien, et donnaient énormément de plaisir à leur déesse, qui semblait franchement adorer cela… Et encore une fois, quelques soit celle qui faisait, quelques soit la méthode. Chaque méthode avait ses avantages et ses inconvénients, et nos deux femmes étaient suffisament douée, intelligente, et talentueuse pour que cela soit dans tout les cas des réussites absolument onctueuse… ainsi, devant cet égalité de talent qui aurait le droit à cet magnifique Golden Shower promise ? Et bien, cela allait être tout simplement une question de chance… Chacune s’alternait, progressivement, et la jouissance approchait donc pour notre femme… Qui finalement…

« Hmmm... Bravo à toi, F-182, tu as gagné le droit de boire mon précieux jet doré ! Ouvre bien la bouche, trésor... ♥ »

« Bien ô déesse. »


Oooooooh ! Elle… Elle a parlée ! Cela faisait longtemps qu’on avait pas entendue notre chère Lucie parler ! Et voilà qu’elle parlait. Une phrase courte et bien compréhensible, intelligible, bref, parfait dans la situation donné, étant donné que cela permettait de bien faire comprendre ce qu’elle voulait, c’est à dire, montrer qu’elle avait prit conscience de la demande, et deuxièmement, qu’elle était heureuse que sa maîtresse, que dis-je, sa déesse lui offre cette immense privilège ! Vous avez un peu mieux compris ? C’était une victoire pour notre chère Leona, ça y est… La F-182 était prête, elle avait réussi à être brisée. Elle était peut-être juste encore un peu trop intelligente, mais voilà, elle était fin prête à être offert. Et c’était par la récompense qu’avait achevé la résistance de l’ancienne Lucie.

« Tient toi bien ainsi… Profite en, c’est un immense honneur… Tu vas adorer, F-182 »

Et oui ! La doctoresse n’avait absolument aucune jalousie envers F-182. Pourquoi elle en aurait ? Enfaite, je vous explique. Imaginez que la doctoresse soit jalouse… Qu’est-ce que cela sous-entendrait ? Et bien, cela sous-entendrait… Que Leona s’est trompée ! Et oui, cela voudrait dire qu’elle s’est trompée dans le choix ! Voilà encore une force de l’héritière de la Lactos Compagnie… Pas de jalousie dans la vénération, la doctoresse était heureuse pour Leona, et approuvait à 200 % ce qui se passait. Et elle devait donc aider F-182 à honorer la déesse… Elle avait eu cet immense cadeau, elle avait cet immense privilège… Donc, elle ne devait pas du tout le gacher, ou en perdre dans l’histoire, vous comprenez un peu ce que je veux dire ?

Pendant ce temps là, Jeanne, elle, était à terre, couverte de sperme. C’était « fini » pour le moment, et elle avait la langue pendante mais, elle avait « gagnée » au yeux de la Lactos. En effet, elle était… Toujours en vie. Et encore mieux, elle était toujours consciente. Complètement « fucked silly » comme disent les anglo-saxon, mais elle était sur pied, capable encore de voir et de raisonner. Une scientifique était déjà entrain de réfléchir en pressant ses seins pour voir comment on allait pouvoir la récupérer, et l’utiliser le plus efficiant possible. Mais quoiqu’il en soit, cela avait été une victoire pour Jeanne, sur les hommes qui l’avaient baisés… Et une immense victoire pour Leona qui avait gagnée une autre fille sur le coup… Bref, un sans faute pour la déesse qui allait pouvoir offrir sa Golden Shower en déesse victorieuse et magnanime.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 21 janvier 2019, 01:09:45
Avait-elle réussi ? Tout portait à le croire. Leona avait dressé Lucie, elle avait tué Lucie... Mais elle devrait encore s’en assurer. Et, fort heureusement, elle avait pour ça un excellent moyen de le voir : Jeanne. Leona la regarda brièvement, en levant les yeux. Étalée au sol, la femme était épuisée, du sperme s’écoulant abondamment de ses cuisses. Elle semblait brisée, au loin, mais Leona pouvait encore discerner une flamme dans ses yeux. Elle nota cela pour plus tard, et regarda alors F-182. Barbara s’était glissée dans le dos de la femme, maintenant F-182. Leona, elle, avait ouvert la fermeture Éclair de sa culotte, permettant de voir ses lèvres intimes. Une délicieuse mouille s’en échappait encore, tombant sur les lèvres de F-182. Leona se concentra alors, et son sphincter se relâcha...

...Puis Leona soupira ne urinant sur F-182. Un jet doré fila dans la bouche de la femme, qui n’avait pas d’autre choix que de boire ce liquide. Une récompense, un immense honneur ! Boire l’urine de Leona était un cadeau rare, la preuve de toute l’estime que Leona vouait à ses esclaves. Elle urina pendant une bonne dizaine de secondes, se pinçant les lèvres en forçant, son jet doré s’intensifiant pendant quelques secondes, avant que Leona ne s’arrête progressivement.

« Haaaa... »

Elle soupira encore, ses joues ayant rougi de plaisir. Leona observa encore sa proie, conservant sur ses lèvres son sourire narquois, une lueur malveillante brûlant dans ses yeux.

« Avale bien tout, F-182... Quant à toi, Michelle, viens nettoyer mon sexe avec ta langue. »

La doctoresse obéit sans hésitation, et, après quelques secondes, Leona referma sa culotte, puis ses esclaves se rapprochèrent. Un collier fut mis autour du cou de F-182, et Leona récupéra la laisse, puis tira dessus, se rapprochant de Jeanne. La femme avait été remise sur pied, et installée sur un fauteuil. On avait attaché ses poignets et ses chevilles à de solides sangles, et elle avait les yeux dans le vague, peinant encore à réagir, à reprendre son calme, à retrouver ses esprits.

« Tu vas la former, F-182. Nous avons encore une ou deux semaines au grand maximum avant que je ne parte préparer l’anniversaire de Maman. Si tu arrives à bien la dresser, elle viendra avec nous. »

Leona s’arrêta alors :

« Ou alors, tu restes avec moi pour la durée du séjour, comme ma chienne de compagnie. Je ne sais pas trop... Vu que tu es capable de parler, F-182, que préfères-tu ? Sachant que, même si tu choisis de former cette pute, je viendrais te baiser tous les jours, cela va de soi... »

Le choix revenait à la jeune esclave, si elle était capable de le faire...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mardi 22 janvier 2019, 22:36:40
Vous vous rappelez quand au début du RP, notre fameuse Lucie trouvait l’urine dégueulasse, et détestait l’urophilie de sa déesse ? Et ouais, cela avait bien changé. Maintenant, c’était un nectar divin. Alors, la question que vous vous posez forcément, c’est : « Elle aime donc l’urine maintenant ? » Et bien… Non, non, en effet, elle n’aimait pas spécialement l’urine… Mais elle aimait complètement tout ce qui sortait de sa maîtresse. Donc, CQFD, elle aimait.. L’urine de sa maîtresse ! Voilà, vous avez bien compris, vous pourrez devenir Lucie si vous avez envie. Quoi donc ? Vous n’avez pas envie ? Et bien, vous le regretterez, car franchement, c’est cool sa vie, cela ne fait aucun doute.

« Avale bien tout, F-182... Quant à toi, Michelle, viens nettoyer mon sexe avec ta langue. »

Les deux obéirent bien évidemment… Et ainsi, notre F-182, car c’était comme ça, put bien avaler toute l’urine de sa maîtresse. De suite, la doctoresse termina le travail, et tout fut rondement mené, avec une perfection quasi chirurgicale. Pas une goutte d’urine n’échappa aux deux femmes, qui furent efficace. Bref, quoiqu’il en soit, une fois cette épisode passé, la fameuse F-182 fut bien attachée, pour être promener… Mais pas très loin, étant donné qu’on l’amena jusqu’à la fameuse Jeanne, qui était toujours dans un état second, ne sachant ni quoi faire, ni quoi dire… Ou plutôt qui était incapable de faire quoique ce soit ! Bref, ainsi, la fameuse Leona fit alors une proposition que notre chère F-182 ne pouvait pas refuser...

« Tu vas la former, F-182. Nous avons encore une ou deux semaines au grand maximum avant que je ne parte préparer l’anniversaire de Maman. Si tu arrives à bien la dresser, elle viendra avec nous. Ou alors, tu restes avec moi pour la durée du séjour, comme ma chienne de compagnie. Je ne sais pas trop... Vu que tu es capable de parler, F-182, que préfères-tu ? Sachant que, même si tu choisis de former cette pute, je viendrais te baiser tous les jours, cela va de soi... »

« ... »

Elle ne répondit rien. Pourtant, on l’avait vu, elle était capable de parler, elle en avait les capacités, donc… Pourquoi elle ne parlait pas ? Elle décidait de rester muette… ? C’était étrange comme situation, si vous voulez mon avis… Elle regardait attentivement la fameuse Jeanne, qui n’était pas tout à fait consciente de ce qui était autour d’elle, et donc, qui n’avait pas remarquée… Que Lucie était là, elle avait enfin la personne qu’elle avait cherché depuis si longtemps… Mais déjà, celle-ci ne semblait pas spécialement contente de la voir, alors qu’il y a encore peu, elle aurait vraiment voulu que la fameuse Jeanne vienne la sauver… Mais maintenant… La situation était bien différente, et ainsi…

« Elle me fait peur maîtresse... »

Les mots furent dit avec une grande humanité. Et ouais, malgré ce qu’elle avait subis, malgré le fait qu’elle était une chienne, elle restait humaine. Alors euh, oui, ma phrase est très étrange, je vous l’accorde, mais ce que je veux expliquer par là, c’est qu’elle sortit ça avec une grande humanité… Et qu’elle avait vraiment peur. Elle ne le montrait pas beaucoup car en temps que futurs cadeau pour la mère de Leona, elle devait être parfaite, et surtout, ne pas montrer trop qu’elle était du genre à… à avoir peur… Pourtant, c’était le cas, et elle ne pouvait pas le cacher éternellement. De toute façon, elle devait dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité à sa maîtresse, c’était obligatoire… Et donc, elle explicita un peu sa situation, en déclarant :

« J’ai peur d’elle. Elle me rappelle quelques choses. Elle me rappelle des choses… Des tas de choses... »

Et oui ! C’était ça ! Sa mémoire n’était pas totalement brisée, ou plutôt, si elle était brisée, elle n’était pas effacée. Elle n’était pas passé par une méthode robotique qui aurait effacé la totalité de sa mémoire, ou quelques choses… Non, sa mémoire existait toujours, et donc… Tout se qui se passait, elle le savait, elle le connaissait… Mais elle ne s’en rappelait plus. Donc voir Jeanne, c’était un stimuli qui lui rappelait des souvenirs… Des souvenirs d’une autre vie, une autre vie bien différente… Bref, était-ce mauvais signe ? On pouvait croire avec tout cela que donc, rester avec Jeanne était une mauvaise idée, et qu’ainsi, en restant avant la fameuse Jeanne, elle risquait de redevenir comme avant… N’était-ce pas possible, non ? Bref, oui, cela serait potentiellement possible… Mais...

« Je dois la baiser, la briser, je dois faire d’elle une pute… ce qu’elle doit être... »

Mais il n’y avait pas de retour en arrière pour Jeanne, autant être clair ! Elle était prête donc à faire subir à Jeanne ce qu’elle avait subit, pour qu’ainsi, disparaisse son ancienne elle. C’était en « éliminant » Jeanne, qu’elle se débarrasserait aussi de Lucie… Maintenant, il fallait voir ce qui allait se passer… Car il y avait, au fond, un risque non ? Et ouais, il y avait un risque que ce soit une rechute pour l’obéissance de Lucie… Bref, c’était quitte ou double, soit elle avait de la chance et tout se passait bien, soit elle risquait de sombrer encore plus… Quoi ? Dans quel sens je dis cela ? Et bien, interprêtez cela comme vous le voulez mes enfants, chacun pense ce qu’il veut ! Quoiqu’il en soit, on allait bien voir ce qu’allait dire la déesse de Lucie sur tout cela… C’était elle qui avait proposé après tout.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 04 février 2019, 01:09:57
Leona écouta F-182 lui confier ses craintes, ce qu’elle fit au bout d’un temps asse zlong. Patiente, Leona la regarda, sentant bien que sa jeune esclave réfléchissait. Bien sûr, Leona savait qu’elle prenait des risques en faisant ça, qu’il y avait une possibilité de rechute, mais le dressage de Jeanne serait évidemment surveillé, et, à la moindre difficulté, Leona agirait en conséquence. Elle n’allait pas perdre tous les progrès accomplis pour ça ! Après tout, elle devait offrir F-182 à sa mère, et ce présent était pour Leona le plus beau des cadeaux. Il était par conséquent hors-de-question qu’elle échoue. F-182 finit alors par répondre à sa Maîtresse, avec grande sincérité, en lui expliquant qu’elle ressentait des émotions ambivalentes et contradictoires en regardant Jeanne. Leona savait bien entendu de quoi il s’agissait. Le dressage de F-182 était une réussite, mais on ne pouvait jamais empêcher une rechute. Il ne fallait pas oublier que le dressage était encore récent, et Leona hocha doucement la tête. Au moins, F-182 était sincère, et exprima son envie de la baiser.

Plus maligne que ce qu’on pourrait croire, Leona fit claquer ses talons en se rapprochant de son esclave... Et caressa brusquement doucement sa joue. Elle lui sourit alors, et son pouce glissa sur les lèvres de F-182, caressant ses lèvres. Toute aussi violente qu’elle soit en temps normal, Leona pouvait aussi, en fonction des circonstances, se montrer d’une incroyable douceur.

« C’est normal, F-182. Avant que je ne te récupère, tu étais comme Jeanne, une personne sans le moindre but, une humaine qui se contentait de vivre. Je t’ai rééduqué pour que tu ailles mieux, pour que tu n’aies plus de fardeau sur les épaules, et ne vive que pour le bonheur et pour le plaisir de me servir. Car c’est le rôle des humains, F-182... Servir vos Dieux. C’est inscrit dans vos gènes, dans votre ADN, et c’est ce que tu ressens avec moi. Je t’aime, F-182, car tu es mon esclave. »

Et, brusquement, Leona se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres. Un geste aussi inattendu que tendre, plein d’amour et de passion. Leona savait y faire, et prolongea volontiers le baiser, déplaçant son autre main pour la poser sur les fesses de F-182, et crispa ses doigts sur sa croupe, s’y appuyant avec plaisir, tout en continuant le baiser. Sa langue se fourra alors dans la bouche de F-182, offrant à cette dernière du plaisir à l’état brut, du bonheur jouissif...

...Puis Leona rompit le baiser, un léger sourire sur les lèvres, et frotta son petit nez contre le sien.

« Bientôt, tu jouiras juste au contact de mes lèvres, F-182... »

Leona s’écarta ensuite de la jeune femme, et rejoignit le corps de Jeanne. Elle l’observa ensuite, et caressa le pied de Jeanne avec son pied, soulevant son visage, pour constater que sa tête retombait ensuite mollement sur ses épaules.

« Elle a besoin de repos... Tu devras lui montrer la lumière, F-182, comme je te l’ai montré... Lui montrer qu’elle doit renoncer à son individualité, avant de se complaire dans le bonheur naturel que prodigue la soumission. »

C’était exactement ce qui était arrivé à F-182, et, somme toute, le résultat final était plutôt réussi, non ? Leona se retourna alors sur F-182.

« Tu commenceras à l’éduquer demain. Pour l’heure, tu vas passer la nuit avec moi, F-182. Estime-toi heureuse, tu vas avoir la chance immense de faire partie de mes courtisanes nocturnes ! »

Car c’était indéniablement une très grande chance !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 06 février 2019, 14:07:33
« C’est normal, F-182. Avant que je ne te récupère, tu étais comme Jeanne, une personne sans le moindre but, une humaine qui se contentait de vivre. Je t’ai rééduqué pour que tu ailles mieux, pour que tu n’aies plus de fardeau sur les épaules, et ne vive que pour le bonheur et pour le plaisir de me servir. Car c’est le rôle des humains, F-182... Servir vos Dieux. C’est inscrit dans vos gènes, dans votre ADN, et c’est ce que tu ressens avec moi. Je t’aime, F-182, car tu es mon esclave. »

Tout devenait plus clair. Voilà pourquoi elle l’a connaissait. C’était une technique dangereuse de Leona, mais comme dirait l’agent le plus groovy de la galaxie, et bien… « I also like to live dangerously »… En effet, c’était risqué dans le sens où lui mentionner, alors qu’elle avait oubliée, qu’elle avait vécu une vie bien différente autrefois, et bien… C’était prendre le risque de la laisser redécouvrir son passé ! Et donc… De s’enfuir, ou tout du moins, revouloir vivre ce passé. Vous imaginez bien que le risque était de taille… Mais Leona n’était pas devenue ce qu’elle était sans ses coups de pokers, et ces coups de pokers n’avaient pas réussis sans évidemment qu’elle fasse juste de multiples précautions… Et ouais, elle était pas bête ! Elle était loin d’être bête, et était donc tout le contraire, extrêmement intelligente… D’ailleurs, elle avait son arme, la plus redoutable des armes, encore dans sa manche.

« Bientôt, tu jouiras juste au contact de mes lèvres, F-182... »

La douceur. C’était quelques choses qui était EXTRÊMEMENT REDOUTABLE dans le cas de notre F-182. Pourquoi cela ? Et bien, toute sa vie, elle n’avait connu qu’une seule et unique chose : la violence. On avait toujours été violent avec elle. Et voilà que tout d’un coup, on lui offrait une douceur sans pareil, n’hésitant pas à lui faire des caresses et des baisers qui étaient extrêmement plaisant, cela ne faisait aucun doute. Cette douceur était extrêmement surprenante, et elle n’avait pas connu ça depuis… Depuis… Avait-elle connu cela ? Elle ne savait même plus, elle en doutait… Bref, elle ne doutait pas cependant que ce genre de traitement serait capable de la faire jouir. Elle avait tellement de bonheur, quand on s’occupait d’elle...

« Elle a besoin de repos... Tu devras lui montrer la lumière, F-182, comme je te l’ai montré... Lui montrer qu’elle doit renoncer à son individualité, avant de se complaire dans le bonheur naturel que prodigue la soumission. »

Elle acceptait cela, elle voulait même le faire. Car elle voulait s’assurer que Jeanne ne lui ferait plus peur. Elle avait déjà moins peur maintenant qu’elle arrivait à comprendre POURQUOI elle avait eu peur de cette fameuse fille. Maintenant qu’elle comprenait, elle pouvait se préparer à tenir, justement, elle pouvait se préparer à faire de cette fille une pute. Elle en avait à la fois l’envie et le besoin… Ainsi, on pouvait penser que cela commençait déjà bien avec Leona, car maintenant, si Jeanne tentait de ramener Lucie, elle partirait en situation de désavantage, contrairement à si elle était arrivée plus tôt ! Pas de bol ! Surtout que Leona n’allait pas finir le dressage de F-182 pour si peu… En effet…

« Tu commenceras à l’éduquer demain. Pour l’heure, tu vas passer la nuit avec moi, F-182. Estime-toi heureuse, tu vas avoir la chance immense de faire partie de mes courtisanes nocturnes ! »

« Bien, ô déesse. »


F-182 alors se mit à genoux, avant de s’abaisser jusqu’aux pieds de Leona, et lui baiser les pieds. Ce que lui offrait Leona était un immense honneur, et elle devait absolument en profiter, elle remerciait alors sa déesse qui lui offrait un tel cadeau… C’était un cadeau immense, et elle en était extrêmement heureuse. Elle s’estimait heureuse ? Oh que oui. Elle avait conscience de la chance qu’elle avait, et faire partie des courtisanes nocturnes d’une telle déesse… Bon dieu, quelle chance ! La chance lui souriait énormément. Elle en était incroyablement heureuse, et donc, suivi sa maîtresse, qui pouvait l’amener où elle voulait. Elle ferait tout ce que sa maîtresse… Non, sa déesse ! Oh oui, sa déesse, tout ce que sa déesse lui demanderait. Car c’était ça qu’elle était. La servante, la propriété, elle était dans le bonheur ultime. Celui de la béatitude d’être possédée par la plus grande Déesse qui soit !

Ainsi, Jeanne était tout autant prisonnière de la Lactos que l’était Lucie maintenant, seul son esprit n’était pas encore captif comme l’était celui de Lucie. Maintenant, la question se posait… Qu’allait-on vraiment faire d’elle ? Contrairement à bien d’autres filles de la Lactos, et bien, elle n’était pas parfaite physiquement. Allait-elle connaître des changements ? Allait-être modifier physiquement pour convenir ? On ne pouvait guère le savoir, car on abandonnait Jeanne là aux bons soins de la doctoresse Michelle, qui après s’être inclinée, mis à terre même, devant la fameuse Leona, et ayant baisé ses pieds, emportant Jeanne pour qu’elle puisse se « reposer », et qu’elle soit prête le lendemain, après la nuit que Leona et Lucie allait penser ensemble. Il faudra qu’elle soit parfaite, cela ne faisait aucun doute. Car quand on parle de Leona, et bien… Tout ce doit d’être parfait ! L’inverse était impensable.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 11 février 2019, 01:00:26
Avant de partir, Leona s’entretint brièvement avec la doctoresse Michelle, et lui expliqua d’appliquer pour Jeanne un traitement particulier. Habituellement, les sujets de la Lactos étaient suivis en fonction de multiples critères très précis, dont leur beauté. Et ceux qui ne remplissaient pas les critères esthétiques requis subissaient des traitements hormonaux et spéciaux. Dans le cas de Jeanne, il fallait néanmoins recourir à une autre méthode, à d’autres techniques. Des techniques plus onéreuses, mais Leona avait pour habitude de dépenser sans compter.

« Il en sera fait selon vos désirs, Maîtresse.
 -  Voilà qui me ravit. Occupe-toi d’elle, qu’elle soit prête pour demain matin. »

Michelle devait bien admettre être un peu jalouse de F-182, car elle passerait la nuit en compagnie de leur Maîtresse... Mais elle n’aurait jamais été contre un ordre direct de Leona. Elle fit donc signe à plusieurs infirmiers, et ils conduisirent Jeanne, non pas vers l’une des cellules que F-182 avait utilisé, mais vers une autre section de l’institut Ravenborn. Quant à Leona, elle s’avança à travers les couloirs, tenant F-182 par une laisse reliée à un collier mis autour de son cou. Pour bien la préparer, les autres esclaves avaient glissé un plug anal dans le fessier de F-182, avec une queue poilue. Une plug tail, donc, ce qui s’accompagna naturellement d’une petite clochette fixée au collier, de sorte que, à chaque déplacement de F-182, la clochette carillonnait.

Tout ceci faisait d’elle la chienne de Leona. En chemin, F-182 put voir que, la nuit, l’institut Ravenborn semblait sombrer dans l’orgie la plus totale. Avant de rejoindre sa chambre, Leona rejoignit en effet le centre de contrôle de l’institut. Une sorte de salle avec de multiples ordinateurs et de nombreux écrans retransmettant les caméras de sécurité de l’ensemble de l’institut. Chaque cellule était dotée d’une caméra, ainsi que les couloirs, et des techniciens et des opérateurs surveillaient régulièrement tout ce qui se passait.

De fait, sur les écrans, on voyait très souvent des scènes de sexe. Où que le regard se pose, c’était la même scène qui se répétait. Dans une cellule, deux captifs forniquaient copieusement. Dans une autre, des infirmiers s’y mettaient, enculant une jeune femme, ou un jeune homme, tout en enchaînant les fellations. Mais il y avait aussi d’autres pièces, différentes, ressemblant à des salles de laboratoire. Là, des hommes étaient formés dans des cuves. Ainsi, sous le regard concupiscent d’une infirmière, un homme subissait un traitement hormonal intense (http://img110.xooimage.com/files/9/e/c/12-55bccf9.jpg). Son sexe disparaissait dans un étrange appareil qui veillait à le stimuler, à renforcer son endurance ainsi que la taille de sa queue, tandis qu’un casque de réalité virtuelle sur son image le conditionnait.

« Oh, vous voilà, Maîtresse ! »

Un homme en costume-cravate approcha. Un homme ventripotent, qui était le directeur de cet établissement. Il jeta un bref regard sur F-182, occupée à se frotter contre les jambes de sa Maîtresse.

« Je regarde un peu comment vous vous en sortez...
 -  Comme vous le voyez, l’institut se porte très bien.
 -  Alors même que des individus ont réussi à entrer de force à l’intérieur ce soir ? »

Le directeur se crispa sur place.

« Nous travaillons déjà à corriger les failles de sécurité de cet incident... Votre nouvelle pensionnaire va bientôt être dans l’une de nos cuves de traitement. Il y en aura pour quelques heures, mais, après la préparation que vous lui avez fait subir, le traitement fonctionnera ! »

Leona sourit brièvement.

« Je veux qu’elle soit très belle, je compte la rapprocher de ma petite chienne. Tu entends ça, F-182 ? Le Monsieur devant toi va faire de Jeanne ta petite-amie. Tu devrais remercier le Monsieur bien comme il faut, je crois que sa queue attend ta bouche... »

Le directeur était assez gros, et rougit légèrement. En s’approchant de lui, on pourrait effectivement constater qu’une bosse commençait à déformer son pantalon, même si son érection venait surtout du fait de voir Leona dans une tenue si courte...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le jeudi 14 février 2019, 22:12:55
Elle allait passer sa nuit avec sa déesse. C’était un honneur immense, même pas imaginable pour une femme comme elle ! Surtout que… Enfin… Elle arrivait pas à le croire. Pour F-182, il y avait eu infiniment beaucoup trop d’honneur en si peu de temps. C’était incroyable ! Vous ne trouvez pas ? Non ? Et bien, c’est que vous n’êtes pas dans l’état d’esprit de la fameuse F-182, et donc, j’ai le regret de vous dire que vous n’aurez pas la chance de subir le même sort qu’elle ! Ou au contraire, vous devez subir le même sort qu’elle, si vous voulez finir en son état. Oh, ne cachez pas, je sais qu’au fond, vous avez tous envie de cela, c’était une suite de vie beaucoup trop alléchante pour que vous refusiez que cela arrive, non ? Non ? Vous ratez quelques choses… C’est moi qui vous le dis !

Mais avant il fallait la préparer. Et ouais, elle n’allait pas aller jusqu’à la chambre de sa déesse sans un minimum de préparation… Quand même ! Surtout que visiblement, la déesse avait quelques choses à faire avant. Quelques choses d’important, étant donné qu’il était lié à la doctoresse Michelle, celle avec qui Lucie avait concouru pour avoir le droit d’avoir la pisse de la déesse. Bref, quoiqu’il en soit, concentrons-nous sur l’esclave. D’autres esclaves commencèrent à la préparer. Plusieurs chose. D’un côté, et bien, ce fut alors une queue qui lui fut installée au niveau de l’anus, avec un beau plug qui dilata bien son anus, pour pouvoir bien se coincer. Hors de question qu’il tombe ainsi !

Mais il y avait autre chose… Une clochette fut installée à son collier… Une clochette ? Mais pourquoi cela me demanderiez-vous ? Et bien que fait une clochette à votre avis ? Mmh… ? Vous ne savez pas ? Réfléchissez un peu… Que fait une clochette à part sonner ? Et bien, ouais voilà, la clochette, elle sonnait… Mais pas les matines… Elle sonnait étant donné que voilà notre chère F-182 à quatre pattes, promener en laisse par Leona qui était donc de retour ! Voilà donc ce qui se passait, elle se promenait à quatre pattes, les seins bien pendant, et avec la clochette qui avertissait ainsi à chacun de ses pas. Si c’était pas merveilleux comme situation ?  Oh, que oui. C’était vraiment merveilleux.

La promenade se coupa alors, jusqu’à une scène doté de nombreux écrans. Les écrans étaient visiblement le moyen de prendre conscience que nous étions ici dans le centre névralgique de Ravensborn. On pouvait tout voir… Et donc, surtout, des scènes de sexe ! Énormément de scène de sexe, des plus horribles aux plus délicieuse ! On pouvait voir des familles entière entrain de faire l’amour, des fils violer leur mère, des pères violer leur fille, des infirmiers enculant des patientes, un patient masculin qui se faisait prendre par trois femmes qui le dominait très clairement, un patient masculin se faisant enculer par deux futanaris… Bref, tout semblait possible dans ce paradis de Luxure, dirigé par une déesse...

C’est dans ce cadre qu’arriva donc un homme. Bien habillé, il faisait presque tache dans ce lieu où on pouvait observer les pires idées orgiaques possibles… Mais bon, on va être clair cinq minutes… Franchement, l’arrivée de ce mec… Et bien, F-182 n’en n’avait rien à faire. Là, elle était une petite chienne… Une vraie petite chienne. Elle se caressait aux jambes de sa déesse, et l’arrivée de cet homme… Franchement, elle en avait rien à foutre. C’était très sérieux pourtant ! Mais ainsi, elle rata la magnifique ironie de notre fameuse Déesse, qui fit glacer le fameux mec ventripotent, et directeur de l’établissement. Quand même ! Cependant, si la première partie de la discussion n’intéressa pas donc le moins du monde la fameuse F-182… La suite fut plus intéressante, car elle fut concernée… Et qu’elle avait quelques choses à faire !

« Je veux qu’elle soit très belle, je compte la rapprocher de ma petite chienne. Tu entends ça, F-182 ? Le Monsieur devant toi va faire de Jeanne ta petite-amie. Tu devrais remercier le Monsieur bien comme il faut, je crois que sa queue attend ta bouche... »

Ni une, ni deux, elle se lança sur l’homme. Il n’eut pas le temps de dire quoique ce soit, étant donné que son pantalon tomba aussi vite qu’une pierre que tu jettes du haut du quatrième étage. Dans son sous-vêtement -propre, heureusement, même si franchement, F-182 n’en n’aurait eu strictement rien à foutre-, et bien, on pouvait voir que le phallus commençait à être vraiment d’une belle taille, et qu’elle devenait donc de plus en plus dur. Il n’avait pas un phallus d’une taille ridicule, même si tout n’était pas proportionnel. Dommage qu’il n’était pas aussi gros de bite qu’il était gros de ventre ! Faut dire les deux n’avaient rien à voir… Bref, de toute façon, quelques soit la taille, cela ne changeait absolument rien pour Lucie…

Maintenant que le sous-vêtement avait été baisser, et bien… F-182 pouvait commencer à faire ce qu’elle devait faire… Sucer ! Et elle prit en bouche la bite, de suite, avec une efficacité absolument démoniaque. Elle ne savait pas quelle était le degré d’expérience du chef de l’établissement de Ravensborn, mais il avait intérêt à être accrocher, étant donné que… Elle n’était pas n’importe qui. Elle était F-182. L’une des dernières créations, une des grandes réussites de Ravensborn, mais surtout de sa déesse Leona. Elle était un futur cadeau pour la cheffe de la Lactos Compagnie… Et donc, hors de question de ne pas être à la hauteur. Cet homme allait recevoir la meilleure fellation de sa vie, il allait pas comprendre… Mais elle s’en fout, mais alors, foutait complètement qu’il comprenne ou non. Non, le plus important, là… C’est qu’il allait… Kiffer. Enormément kiffer. Cela allait être sa fête !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 18 février 2019, 01:02:40
Il n’y eut absolument aucune hésitation dans le comportement de F-182. Leona lui donna sa cible, et elle s’y précipita, sans demander son reste, sans hésitation aucune. Le scientifique bedonnant frémit quand la femme déboutonna son pantalon, l’ouvrit, et libéra son sexe. Une queue se dressa fièrement, et ne tarda pas à se durcir et à gonfler quand la petite bouche de la belle blonde s’y glissa. La main du scientifique s’appuya sur les cheveux de la femme, et il soupira sur place, tandis que F-182 s’attaquait à son membre. Pas d’hésitation, donc, mais au contraire un plaisir croissant, qui ne pouvait que faire plaisir à Leona. Plus le temps passait, et plus elle était intimement convaincue que F-182 était définitivement prête. Il y avait sans doute encore des vérifications supplémentaires à faire, mais Leona se félicitait du progrès accompli !

Quant au docteur, l’homme était, comme bien d’autres scientifiques ici, venu sans trop savoir ce qui allait lui arriver. C’était un homme qui avait connu un revers de sa fortune dans sa carrière, un praticien qui avait commis une erreur médicale. Aucun hôpital ni clinique n’avait voulu l’embaucher, jusqu’à ce que l’institut Ravenborn le débauche du fond du bar où il passait ses soirées à boire pour oublier la détresse de sa vie. Il avait su rebondir, et était, depuis, similaire au Docteur Michelle, et à tout le personnel des lieux. Il n’oserait jamais se révolter contre Leona Morimoto, et profitait au contraire volontiers des multiples patientes de l’institut, qu’il pouvait violer sans crainte, et ce d’autant qu’elles finissaient toujours par aimer ça... Comme F-182. Il frémit donc, essayant de se montrer calme et serein face à Leona, ce qui était difficile. La richissime Morimoto aimait se promener en portant des tenues courtes, très indécentes, et elle aimait se sentir admirée, savoir qu’elle était belle, désirable, qu’elle hantait les nuits des hommes et des femmes.

Elle se déplaça lentement, observant brièvement les écrans. Ravenborn était l’une des plus grosses cellules de la Lactos Company, et elle caressa le visage de l’un des techniciens, qui rougit sur place, avant de sentir les doigts gantés de Leona tripoter ses lèvres.

« Sur qui travailles-tu en ce moment, toi ?
 -  Oh, hmmm... C’est... Celle-là est une toxico’ qui élevait son garçon dans une ville perdue du pays... Cherbourg, je crois. Elle s’envoyait en l’air dans son studio pour avoir de la drogue, sous les yeux de sa fille. »

La Lactos avait récupéré ces déchets de l’humanité. La mère avait été sevrée, soignée, et la fille était devenue une perverse. Maintenant, dans leur cellule, la mère pouvait sodomiser sa mère à l’aide d’un strap-on. Elles couchaient maintenant ensemble depuis une bonne heure, alternant les positions. Leona sourit doucement, et libéra le jeune homme, le laissant avec son érection naissante, puis retourna voir F-182.

Concentrée, la petite chienne pompait avec appétit la queue du docteur, qui restait sur place, soupirant lentement, cherchant à tenir aussi longtemps que possible avant de jouir. Il aurait été indécent de se relâcher trop vite dans la bouche de l’animal de compagnie de Leona trop vite ! Il tint donc... Puis, au bout de plusieurs minutes, sa queue tressauta, et balança quelques filaments de sperme dans la bouche de F-182.

« Ohhhh... »

Heureux et soulagé, l’homme reprit ensuite son souffle, tandis que Leona se mit à sourire malicieusement, se mordillant les lèvres.

« Avale bien tout, F-182... »

Une fois ceci fait, Leona salua les ingénieurs, puis sortit avec sa chienne et ses esclaves, dans un concert de talons claquant sur le sol.

« C’était bon, F-182 ? Sois heureuse, tu vas goûter encore plein de sperme ce soir ! »

Leona se rendit vers la plus grande chambre de Ravenborn, au sommet de l’institut. Il y avait une grande terrasse intégrée, et elle avait surtout aménagé les lieux, car, outre ses esclaves féminins, il y avait aussi une dizaine d’hommes, qui étaient attachés le long des murs. Nus, ils portaient chacun une cagoule en latex dissimulant leur visage, exhibant des corps parfaits et savamment taillés, une culotte noire en latex sur leur corps, laissant toutefois pointer leurs verges.

Visiblement, les nuits de Leona étaient très intenses...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le jeudi 21 février 2019, 20:57:45
Ni hésitation, ni doute. Ni refus, ni même ne serait-ce qu’un moment de recul. On lui avait dit de faire cela, elle avait foncé le faire. Un peu comme un chien que tu envoies à l’attaque. Après tout n’était pas une chienne ? Elle avait été éduquée un peu comme une chienne, sauf qu’au lieu d’attaquer, de mordre, de déchiqueter, et bien, elle avait foncée pour pouvoir… Sucer ! Et ouais, vous l’avez bien capté. Elle n’avait pas hésité le moins du monde pour une raison très simple… Pourquoi aurait-elle hésité d’abord ? Elle avait eu une mission, un ordre… Et donc, elle devait le faire. Le plus efficacement possible. Mais il y avait une différence, contrairement à quand elle faisait quelques choses pour sa maîtresse… Et bien, il n’y avait aucune admiration, vénération, amour… Vous comprenez ?

Est-ce que cela voulait dire qu’elle le faisait mal ? Genre qu’elle ne faisait aucun effort ? Bien sur que non ! Je vous rassure ! Cela restait quand même d’une grande qualité. Pour plusieurs raisons. Premièrement, car elle aimait ça maintenant, elle avait prit un certain goût à ce genre de situation… Et franchement, ouais, c’était cool. Mais la seconde raison était beaucoup plus importante… Hors de question de désobéir à sa précieuse maîtresse, ou mal faire le travail qu’elle lui avait confiée… Elle se devait de le faire le plus formidablement possible. Pour elle, il n’y avait pas la moindre hésitation. Elle serait excellente. Quoiqu’il arrive. Et donc, elle suçait, activement, avec efficacité, une efficacité redoutable, étant donné que le mec… Commençait à...

« Avale bien tout, F-182... »

Mais oui, vous avez bien deviné ! Il avait commencé à jouir ! Faut dire, notre chère Lucie était devenue redoutable… Enfin, à ce stade, peut-on encore dire Lucie ? Non bien entendue. Elle était devenue corps et âme F-182. Et elle allait le devenir encore plus, quand elle commencerait à briser notre chère Jeanne, mais chut, n’allons pas plus vite que la musique. C’est quand même important. Ainsi, Leona n’avait rien à craindre sur le fait qu’elle allait bien avalée tout. Franchement, elle n’allait pas faire le moindre gaspillage ! Quand même, elle se devait d’être efficace et de sucer sans faire la moindre tache. Ainsi, pas d’inquiétude les gens. Tout le sperme fut entièrement avalé, et à la fin, il n’en resta plus rien. Plus rien du tout. Elle avait avalé tout, et donc… Leona lui demanda tout logiquement...

« C’était bon, F-182 ? Sois heureuse, tu vas goûter encore plein de sperme ce soir ! »

« Excellent, ô déesse. »

Elle le déclara tout de suite, sans la moindre hésitation, encore une fois… Et offrant même un sourire à notre chère déesse ! Et ouais, vous auriez pu avoir l’impression qu’elle était devenue « robotique » à cause du côté froid des derniers posts… Mais non, elle restait chaleureuse envers sa maîtresse. C’est juste qu’à part sa Déesse, et plus encore, sa future déesse suprème, et bien… Elle ne s’intéressait pas vraiment au reste. Franchement, l’homme aurait pu faire un arrêt cardiaque alors qu’elle était entrain de le sucer, et bien, elle aurait continué de le sucer, sans se soucier du fait qu’il serait entrain de mourir. Non, ce qui comptait ? Sa maîtresse. Sa précieuse déesse. C’est tout. C’est pour ça qu’elle suivait avec impatience ce dernière, ayant hâte de découvrir cette chambre… Humaine pour sa déesse. Oui, Chambre Humaine, étant donné qu’elle savait qu’elle n’avait pas encore découvert le lieu le plus important… Le lieu où sa déesse était, et où la mère de sa déesse s’y trouvait également… !

Bon, maintenant… Nous sommes arrivés ! De suite, F-182 resta de marbre devant cette décoration… Particulière ! Et bah ouais… Ce qu’elle avait vu dans le casque de réalité virtuel, cela avait été bien pire. Donc… Sur une grande terasse aménagée, on trouvait de nombreuses esclaves féminines. F-182 était sans doute la plus jeune, la petite nouvelle, il y en avait des plus vieilles… Mais ce qui frapperait Lucie, si elle y était entrée avant d’être bien brisée… Et bien, cela aurait été tout ces… Ces… Pouvait-on encore les appeler des hommes ? C’était des décorations murales. Littéralement. Entièrement déshumanisés, ils ne semblaient n’être réduis qu’à leur phallus. Dans un sens, c’était une belle revanche. Combien de fois des femmes avaient été réduite à cela… Pour une fois que c’était des hommes… Leona pourrait presque devenir un symbole du féminisme, ça, c’est moi qui vous le dit ! Bon, d’accord, elle exclavagisait aussi des femmes, donc, ça réduit un peu la portée symbolique… Mais quand même !
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 25 février 2019, 00:51:34
À voir le traitement réservé aux hommes, on aurait pu se demander si Leona n’avait pas, inconsciemment, un problème avec le sexe masculin. Après tout, avait-elle une fois parlé de son père depuis son arrivée ici ? Mais, d’un autre côté, lui reconnaître un traumatisme lié à son enfance, ce serait, en un sens, l’humaniser, et contester son statut de Déesse. Il fallait donc se résoudre à admettre que Leona était cruelle avec les deux sexes, pour leur bien, mais que les hommes n’étaient pas aussi sensibles aux gestes affectueux que les femmes. Il fallait donc les dresser plus sauvagement, d’autant que, et c’était là une simple histoire de goût personnel, Leona préférait le corps des femmes à ceux des hommes. Il y avait plus de formes, il y avait des seins à peloter, un corps plus doux, plus tendre. Chez les hommes, mis à part leur montagne de muscles et leurs verges, il n’y avait pas grand-chose d’autre. De plus, Leona développait justement des programmes visant à avoir des esclaves de sexe féminin au corps bodybuildé, ce qui lui permettrait de se séparer encore davantage des hommes... Ce qui revenait à considérer qu’elle avait sans doute un problème avec le sexe masculin.

Mais, encore une fois, ce ne serait pas sa cour qui oserait le lui dire. En l’état, F-182 put voir qu’il y avait bien dans la pièce une quinzaine de femmes. Elles portaient toutes des tenues très courtes, des combinaisons érotiques en latex, ou juste nues, avec des gants et des collants. Elles avaient patiemment entendu leur Maîtresse, et Leona s’avança au milieu de ces femmes agenouillées sur le sol, formant une double rangée. Les mains de Leona caressèrent leurs visages, et elle traversa sa cour pour s’asseoir sur le bord de son lit, et leur fit face.

« Mes chéries, je vous présente une nouvelle recrue ! »

L’appeler « F-182 » ne serait sans doute pas très harmonieux au sein de sa cour, et Leona la baptisa rapidement :

« Vous l’appellerez... Choupette ! C’est ma chienne personnelle, et je compte l’offrir en cadeau à ma mère ! »

Cette situation semblait irréelle. Croire que toutes ces femmes avaient, comme F-182 (ou, maintenant, comme Choupette) subi un lavage de cerveaux... Jusqu’où pouvait s’étendre l’influence et la puissance des Morimoto ? À voir tous ces esclaves ainsi docilement prostrés, des nymphes au corps somptueux, on ne pouvait que comprendre l’hubris de Leona. Elle tapa ensuite dans ses mains, et deux beautés au corps adulte se rapprochèrent de Choupette : Laura (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=4545417), et Carrie (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=4597907).

« On va s’occuper de toi, Choupette...
 -  Que tu ne manques pas d’amour... »

D’autres esclaves se rapprochaient également de Leona, qui sentit leurs lèvres se poser sur ses bottes.

Et l’orgie put ainsi commencer...
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Cassandre Harmington le jeudi 28 février 2019, 19:34:33
Leona avait-elle des soucis psychologiques ? Alors là, je dis oui ! Comme dirait Julien Lepers. Enfin, si Julien Lepers lit ce genre de RP, ou participer à ce genre de truc, là, je vous avoue que je suis pas mal choquée. Franchement… Julien, ce n’est pas raisonnable ! Mais bref, alors, donc, oui, il y avait clairement des soucis entre elle, et les autres, et particulièrement le sexe masculin. Sans doute que Kenji en la voyant penserait qu’elle est membre du complot féministe (spoiler, si vous n’avez pas joué à Katawa Shoujo, jouez y. Franchement. En plus c’est gratuit.).. Mais elle avait un soucis. Peut-être un complexe, une souffrance, une mauvaise éducation… Tant de choses possibles, bien que l’éducation était sans doute lié. Etait-elle une victime ? Non sans aucun doute. Mais il y avait des choses à comprendre… Dans son comportement.

Mais abandonnons un peu cela, et concentrons-nous donc sur la scène. Nous avons vu les hommes, nous les avons étudiés, nous avons fait des blagues sur eux -ce qui est grosso-modo 80 % de mes paragraphes, n’est-ce pas ?-, Et bien là, concentrons-nous sur le beau sexe, comme dirait Ronsard ! (Oui, Juliens Lepers est accompagné de Ronsard). Donc, il y avait des femmes, mais elles n’étaient pas dans la même position que les hommes. Elles, elles n’étaient pas réduites à de la Forniphilies (quand vous aimez les objets, et l’objectification), mais elles restaient des esclaves, c’étaient des femmes de harem… Et là, Lucie devait rejoindre ce « harem » pour le moment. Ainsi, Leona la présenta au groupe :

« Mes chéries, je vous présente une nouvelle recrue !  Vous l’appellerez... Choupette ! C’est ma chienne personnelle, et je compte l’offrir en cadeau à ma mère ! »

Lucie, enfin, Choupette s’inclina. Donc, c’était sa son nom ? Elle allait pas cacher non plus… Elle était extrêmement honoré d’entendre qu’elle était la « chienne personnelle » de Leona. Alors, ok, elle devinait que c’était que temporaire, ce n’était que exceptionnelle pour cette soirée. Mais quand même ! C’est franchement un immense honneur d’entendre cela ! Elle rayonnait à l’intérieur, mais elle tentait de le montrer le moins possible. Donc, elle regardait les deux femmes qui furent les premières parmi la quinzaine d’esclave ici présente, à s’intéresser à elle. Pendant qu’elles venaient, Lucie, enfin Choupette remarqua donc les quelques femmes qui allèrent vers Leona. De suite, reflexe, elle surveilla ses esclaves, avant de se raviser. C’était stupide, sans aucun doute que celle-ci étaient tout autant formée, et donc, ne posait aucun soucis.

« On va s’occuper de toi, Choupette...
 -  Que tu ne manques pas d’amour... »

Elle fut surprise -mais tenta de nullement le montrer, quand même, c’est important-, par les femmes.  Physiquement, elle était parfaite, comme toutes les autres femmes, cela ne faisait aucun doute. Elle devinait que la Lactos -oh, c’est surprenant vu le nom-, se concentrait énormément sur les seins, qui étaient souvent la partie la plus belle des femmes ici présentes. Mais ce fut surtout le comportement des deux femmes. Etait-elle toujours à Ravenborn ? Sérieusement ? Elle se souvenait de la violence, de comment elle avait été brisée. Et voilà qu’elle se retrouvait dans des situations ou… Tout le monde était gentil avec elle ! Et elle en était contente. Mais elle ne devait pas le montrer non ? Elle devait être parfaite. Pour sa déesse. Ainsi, elle déclara :

« Merci à vous. »

Ouah, froid ! Elle déclara cela d’un ton mécanique, prête à faire ce qu’elle allait devoir faire, c’est à dire, du sexe. C’était à ça qu’elle était bonne. C’était sa spécialité, c’était ce qu’elle devait faire avant tout. C’était très important, étant donné qu’elle devait toujours satisfaire ses divins propriétaires non ? Donc, y comprit les deux autres esclaves qui étaient devant elle. Avec elles aussi, elle devait être parfaite. Pour que Leona soit satisfaite. Depuis qu’elle était ainsi, elle ne pensait qu’à une seule chose : Satisfaire sa déesse, faire ce qu’elle devait faire, être parfaite. Car ainsi, sa déesse serait satisfaite. Et c’était ça qui était important. Donc, en toute logique, elle commença à déclarer :

« Que dois-faire Choupette ? »

Oh, peut-etre que le lavage de cerveau, avait un peu trop bien marché. Elle était peut-être devenue un peu trop docile et obéissante. Peut-être… Ou peut-être que cet étape était tout à fait dans le système de formation, permettant après avoir développé son obéissance, et sa parfaite soumission, de lui redonner un peu d’indépendance, tout en ne retirant en rien sa soumission. C’était aussi le plan avait l’élevage qu’elle avait fait de notre chère Jeanne ! C’était justement ça le but. Faire en sorte qu’elle soit toujours soumise et obéissante envers Leona et sa mère, cela ne faisait aucun doute, mais qu’elle soit pas non plus froide et déshumanisé. Faire un mélange entre Lucie et F-182, c’est à dire… Oui, exactement ça. Choupette. Elle avait été Lucie. Elle était F-182. Il était temps de devenir Choupette maintenant.
Titre: Re : L'Entreprise [PV : Alice]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 04 mars 2019, 00:51:41
Comme toutes les autres personnes ici, Laura et Carrie n’étaient pas leurs noms de baptême. Comme Choupette, elles étaient des esclaves, des filles qui avaient été brisées par la Lactos Company, et qui avaient eu l’immense honneur, parmi les nombreux esclaves de la Lactos, de rejoindre la cour personnelle de Leona. Celle-ci s’assit sur le rebord du lit et croisa les jambes. Devant elle, Choupette demanda ce qu’elle allait faire, ce qui fit glousser Laura et Carrie. D’autres esclaves venaient déjà s’occuper de Leona, massant ses épaules, ou venant lécher ses pieds. La riche blonde laissa ses esclaves agir, et Laura, dans le dos de Choupette, lui intima de se mettre à quatre pattes.

Sous les yeux de Choupette, Carrie se plaça devant elle, caressant ses cheveux, et approcha son sexe de son visage, avec ce beau cœur qui se retrouvait à hauteur de ses lèvres intimes.

« Sois une bonne chienne, Choupette... Et lèche ! »

Choupette n’eut plus qu’à relever la tête, et put ainsi lécher le sexe de Carrie, qui crispa ses doigts sur sa chevelure. Carrie gémit doucement, remuant d’avant en ailleurs, accompagnant les mouvements buccaux de la jeune femme. Elle y allait calmement, tranquillement, ce qui tranchait clairement d’avec tout le reste, avec toutes les séances de sexe lourdes et violentes que la jeune femme avait subi dans le passé. Au contraire, Carrie optait pour la douceur, et, de son côté, Laura faisait de même... Mais avec un peu de sel !

Dans le dos de la jeune femme, elle commença par malaxer les fesses de Choupette, pinçant son cul, et gloussa doucement, avant de la gifler, donnant une série de gifles. Ces deux femmes étaient esclaves depuis si longtemps qu’elles ne vivaient plus que pour ça. Leona n’avait donc aucun besoin d’être violente avec elles, car elles ne se révolteraient jamais. Elles étaient totalement sous son contrôle, ce qui serait bientôt le cas de Choupette aussi.

« Hihi, ton cul est très agréable, Choupette !
 -  C’est une bonne chienne, ça, hein ? Lèche, là, ouiii, lèche, ma belle... ! »

Leona se régalait de ce délicieux spectacle. C’était à croire qu’avec elle, le sexe était omniprésent. Pourtant, elle était bien dans sa chambre à coucher, mais le sommeil semblait encore loin de la guetter. Ou peut-être qu’elle préparait juste Choupette pour la suite des évènements ? En tout cas, tout en la giflant, Laura déplaça ensuite ses mains, et vint masturber la jeune femme, tout en la sodomisant également. Elle utilisait pour cela chacune de ses mains, l’une se glissant dans ses lèvres intimes, l’autre dans son fondement. Elle glissa deux doigts dans sa chatte, sentant la mouille de cette dernière le long de ses doigts, et sourit doucement.

Carrie s’appuyait aussi contre le corps de la jeune Choupette, gémissant à son tour. Aucune des deux femmes n’était particulièrement pressée d’agir, et il était clair qu’elles cherchaient toutes les deux à bien la préparer pour la suite...

...Avec Leona !