Le point de non-retour était franchi. Indéniablement. Hitomi n’allait pas pouvoir oublier ce qui s’était passé, car elle savait que le trio le lui rappellerait. Elle s’était toujours doutée de leur attirance pour elle, précisément parce que certains regards étaient difficiles à ne pas voir. Ils avaient toujours été discrets, bien sûr, mais elle avait souvent vu ces derniers mater discrètement sa poitrine, surtout lors des réunions en pleine période caniculaire. C’était d’ailleurs pour ça qu’elle était parfois sévère avec eux, précisément parce qu’elle se doutait bien que, entre eux, ils devaient s’échanger quantité de plaisanteries grivoises ou de remarques déplacées. Ceci dit, elle n’aurait jamais cru qu’ils auraient été jusqu’à la prendre tous ensemble. Ce qui se passait ici défiait la logique la plus élémentaire, Hitomi se transformait en une véritable bête de sexe, une chienne se faisant copieusement baiser par ses amants.
Elle frémit alors quand Rinji glissa un doigt dans son fondement, et manqua de mordre la queue de Juzo sous la surprise. Ses dents raclèrent très brièvement son sexe, et elle gémit en se tortillant, les joues rouges. Impossible pour elle de dire quelque chose, car les mains de Juzo se serrèrent sur ses cheveux, et elle couina encore quand sa queue s’enfonça plus profondément en elle. Son nez s’enfonça contre les poils pubiens de l’homme, et elle frémit, fermant les yeux.
«
Hnnnnnnnnnnnnn... !! »
Il l’étouffait presque, et, effectivement, Rinji avait
raison. Son mari ne l’avait jamais sodomisé, et c’était quelque chose qui la tentait beaucoup, même si elle n’avait jamais osé aller jusqu’au bout. Elle avait acheté un
plug anal, ce que les trois savaient sûrement. En effet, pour éviter que son mari ne découvre en faisant les comptes les achats très curieux d’Hitomi, celle-ci avait utilisé les fonds de son entreprise, tout en remboursant cette dernière par des virements équivalents sous la forme de placements et de versements. Rien d’illégal ou d’obscur, juste que le détail des factures faites ne correspondait pas à la réalité. Ainsi, elle commandait sous l’appellation d’un ensemble de fournitures de bureau ses
sex toys. Un petit truchement qui aurait sans doute valu un contrôle fiscal, mais qui n’avait pas lésé l’entreprise. Mais elle ne doutait pas que, dans leur enquête, les trois compères avaient dû le voir.
Or, la sodomie avait toujours secrètement tenté la femme, ce qui fit que, quand elle sentit ce doigt en elle, une énorme voix hurla dans son esprit. Sis a bouche n’était pas prise, elle aurait supplié les trois de la baiser par là, de l’enculer à sec et de la faire hurler comme une folle. De quoi en perdre toute contenance, car il ne faisait alors aucun doute que le reste de l’entreprise aurait appris ce qui se tramait ici. Hitomi sentit alors Juzo jouir en elle, et soupira en sentant le foutre éclater dans sa gorge, puis dans sa bouche, avant qu’il ne se retire.
Rinji se détacha alors d’elle, et Hitomi resta agenouillée, avant de gémir quand une main tira sur ses cheveux. Elle s’était attendue à le sentir jouir en elle, mais il se retint, et la renversa.
«
Haaaa... N-Nooon... »
Toute confuse, Hitomi avait à peine pris conscience qu’elle avait joui en sentant le doigt s’enfoncer dans son cul. Elle était toutefois toujours aussi chaude, et, couchée sur le dos, vit l’homme se masturber devant elle, sa queue grosse. Elle entrouvrit les lèvres, aspira l’air, mais, avant de pouvoir dire quoi que ce soit, sentit brusquement Rinji se relâcher sur elle. Elel ferma les yeux, en sentant le foutre maculer son visage, débordant sur le haut de son torse, l’homme jouissant généreusement, ses couilles remuant de haut en bas, tandis que le sperme tombait sur le visage de la femme.
Rinji se releva ensuite, la queue ayant bien dégrossi, et annonça la fin de la réunion. À terre, Hitomi aventura ses doigts sur ses joues, frissonnant en sentant les marques de sperme. Elle observa silencieusement ses doigts, et, sans savoir si on les observait, les lécha.
*
Il m’a joui dessus, il m’a insulté comme si je n’étais rien...*
Elle aurait dû s’en sentir offusquée, mais, au contraire, elle se sentait surtout trembler, avec une démangeaison à hauteur de ses cuisses, et, plus particulièrement, de ses fesses. Qu’était-elle supposée dire ? Elle tourna la tête quand ils annoncèrent qu’ils la verraient ce soir, et ne dit rien sur le coup. Elle se releva au contraire, laissant des gouttes de sperme sur le sol.
«
Ce soir, oui, il va falloir qu’on parle, dit-elle en leur tournant le dos.
Je veux vous voir tous les trois à 18 heures. Maintenant, sortez, je vais ranger. »
Plus tard
18h00La secrétaire d’Hitomi avait quitté son poste à 17h55, ne laissant plus personne d’autre dans la boîte qu’Hitomi ou les trois informaticiens. Il n’y avait là pas de quoi la surprendre, ils finissaient souvent un quart d’heure après, le temps de finir une dernière maintenance. Mais, cette fois, il n’y avait aucune maintenance. La journée s’était poursuivie sans qu’Hitomi ne leur envoie quoi que ce soit, et sans que personne ne lui fasse la moindre remarque. Autrement dit, presque une journée normale.
Hitomi était sortie de la salle de réunion dix minutes après le trio, et avait passé quelques minutes aux toilettes. Elle s’était rincée la bouche, les doigts, le visage... En chemin, personne n’avait rien remarqué, puisqu’elle avait passé dix minutes à nettoyer son visage avec ses doigts, et à lécher le sperme présent dessus. Pouvaient-ils savoir que c’était là l’un des autres fantasmes d’Hitomi ? Elle adorait qu’on jouisse sur elle, et avalait souvent du sperme. Elle avait même parfois espéré que son mari se montre plus pervers, et n’aille à lui uriner dessus... Elle s’était donc rendue aux toilettes, et, après avoir nettoyé son visage, s’était masturbée frénétiquement.
Elle avait passé le reste de la journée dans un état second, commençant par chercher d’éventuelles caméras, et s’était ensuite changée.
Maintenant que l’heure était venue, elle entendit rapidement le trio entrer dans sa salle d’attente, et se déplaça alors. Même sa secrétaire ne l’avait pas vu en sortant, sa porte étant fermée, et, quand elle l’ouvrit, le trio allait pouvoir constater quelque chose d’inattendu. Comme quoi, leur séance crapuleuse avait sans doute brisé quelque chose chez Hitomi, car, plutôt que de nier ce qu’elle ressentait, elle avait enfilé une paire de
collants noirs brillants et moulants en latex, et, surtout, un
superbe harnais noir en latex, moulant ses formes à la perfection.
«
Vous êtes enfin là, les garçons... »
Ils avaient sans doute déjà pu la voir dans cette tenue, car il lui était arrivé de l’enfiler les week-ends, et elle n’hésitait alors pas à se masturber avec un énorme vibromasseur...
«
Vous reconnaissez cette tenue ? J’étais sûre que vous me demanderiez de la mettre, alors... »
Elle le dit tout en rougissant furieusement.
*
Je ne comprends pas ce qui m’arrive, mais... Ce qui est sûr, c’est qu’ils m’excitent énormément.*