Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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The Thing [PV]

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The Thing [PV]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

The Thing [PV]

samedi 20 janvier 2018, 01:44:58

La créature émergea dans la nuit, par une Faille qui apparut et disparut très rapidement. Une créature silencieuse, sans yeux, sans pattes... Elle tomba sur un sol confortable, une belle herbe, à côté d’une balançoire, et resta là, sans bouger, sans même pouvoir bouger. En effet, l’être n’était rien de plus qu’un œuf, suffisamment petit et suffisamment inerte pour que personne ne songe à lui. Qui, après tout, irait se préoccuper d’un œuf ? Curieux œuf que celui-ci, d’ailleurs, car il était légèrement gluant, étonnamment chaud... Et émettait une lueur violette tout aussi étrange. De lentes et faibles pulsations, qui l’amenèrent à briller pendant quelques instants, avant de s’éteindre.

Devant lui, devant cet œuf silencieux, il y avait une petite maison de banlieue. Une maison japonaise typique, située à l’entrée du quartier résidentiel de la ville, près des transports en commun permettant de rejoindre le lycée Mishima. Inerte, l’œuf n’en était pas pour autant vivant, et, à l’intérieur de sa carapace, une petite créature flottait dans un bassin génétique verdâtre. Une sorte de minuscule fœtus verdâtre, dont le poumon se mit à battre. La créature se recroquevilla lentement sur place, et attendit, patiemment, sagement.

Elle n’eut de fait pas trop longtemps à attendre. Au petit matin, l’honorable famille se réveilla. Comme à son habitude, le père, qui travaillait dans la zone industrielle, fut le premier à se lever. Et, comme d’habitude, le chien aboya, désireux de sortir, ce que l’homme fit donc. Le chien se déplaça alors. Du nom de Cujo, le chien était un très gros saint-bernard, inoffensif et particulièrement affectueux, qui adorait dormir, et recevoir des câlins, paradoxe d’autant plus impressionnant que Cujo pesait environ 120 kilos. Cujo avait un comportement si doux que même Skippy, le chat de la famille, s’entendait bien avec lui. Skippy, d’ailleurs, dormait avec la jeune fille du couple. Le petit chat avait pris l’habitude de se faufiler dans sa chambre la nuit, et de bondir sur elle, dormant ainsi paisiblement.

Cujo ne tarda pas à se rapprocher, reniflant le sol, et sentit rapidement la présence de l’intrus. Il gronda alors, ce qui était très inhabituel chez lui, mais, à ce moment, le brave père était en train de prendre sa douche. Cujo était très rarement sur la défensif, mais se rapprocha lentement de l’œuf, tout en continuant à gronder... Et l’œuf émit alors une pulsation violette. Le premier contact ne lui échappa pas, et, même si le fœtus à l’intérieur ne pouvait émettre de pensées intelligibles, il réagit intuitivement. L’œuf brilla plus fortement encore, et libéra un nuage de spores, heurtant les narines de Cujo, surprenant le chien. L’énorme saint-Bernard se rapprocha alors de l’œuf, grognant moins, et le lécha alors... Puis grogna encore, et se recula.

À l’intérieur de la maison, c’était l’heure à laquelle la fille du couple se réveillait, et attirait Cujo en sortant sa pâtée. Mais là, au lieu de réagir rapidement, Cujo restait au fond du jardin... Et se mit même à aboyer, comme si quelque chose le perturbait, le troublait...

« WOUUUF !! WOUUUFFF !! » aboya Cujo.

Il gronda encore, et l’œuf se mit encore à briller, multipliant les pulsations... Avant de s’éteindre quand la jeune fille approcha. Il ne restait alors plus que cet étrange œuf baveux à la lueur violette, qui se dressait devant la balançoire, et Cujo qui cessa d’aboyer, redevenant calme, mais en poussant quand même quelques glapissements... Puis se mit à se frotter contre les jambes de la jeune fille, réclamant des caresses...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 1 samedi 20 janvier 2018, 13:01:35

Natsuki Sato était une jeune lycéenne ayant récemment atteint son seizième anniversaire, qui était scolarisée au lycée de Mishima. Fille unique d'un couple aimant, elle était une jeune fille sans histoire, avec son groupes d'amis, sa passion pour la littérature et les animaux. Elle était d'ailleurs la raison pour laquelle la maison familiale possédait un chien et un chat, et elle faisait également partie du club d'élevage, dont elle était une membre très active au lycée, où elle prenait soin de quantité de petits animaux. Vraiment, rien ne semblait la prédisposer à ce qui devait lui arriver...
Comme à son habitude elle se leva plus tôt que nécessaire, son bus n'était pas prévu avant un bon moment, mais elle aimait prendre son temps et s'occuper des animaux de la maison avant d'aller au lycée. Quand elle émergea, d'ailleurs, elle pu constater que comme d'habitude Skippy, son adorable chat, l'avait rejointe dans le courant de la nuit pour dormir avec elle.

Hmmm...Coucou chaton...

Elle le réveilla délicatement en lui caressant le sommet du crâne, ce à quoile chat répondit en commençant à ronronner, puis à s'étirer. Quelques minutes de caresses pour bien commencer la journée, puis Natsuki entreprit de se lever, Skippy allant pour sa part vaquer à ses activités. Toujours dans son pyjama, Natsuki descendit au rez-de-chaussé de la maison pour entrer dans la cuisine, qui avait une grande baie vitrée donnant sur le jardin à l'arrière, où Cujo, son gros saint-bernard, était en train de se prommener. Si son père laissait sortir le chien de bon matin, avant qu'il ne prenne sa douche, c'était à Natsuki ensuite de lui préparer sa nourriture, ce qu'elle fit. Cujo avait beaucoup d'activité, et était de fait un gros chien qui avait d'importants besoins alimentaires. Natsuki lui prépara sa gamelle, de la patée pour chien dans laquelle elle rajouta divers légumes rapés, qu'elle posa ensuite près de la baie vitrée qu'elle ouvrit ensuite.

Cujo, tu peux venir manger !

Cujo toutefois ne vint pas, ce qui était déjà en soit, étonnant. Natsuki n'avait généralement même pas le temps de finir sa phrase que son chien commençait déjà à venir dans sa direction, mais cette fois elle le voyait comme...perturbé par quelque chose, près de la balançoire. Il grognait et aboyait, tout en étant visiblement concentré sur quelque chose.

Cujo ? Qu'est-ce qu'il y a mon gros ?

La jeune fille s'approcha de son chien, qui en la sentant vint se fourrer contre elle. Bien entendu, Natsuki lui offrit son lot de caresses.

Ben alors ? Pourquoi est-ce que tu...hein ?

L'attention de la jeune lycéenne se tourna alors vers cette espèce de petite "boule" qui se trouvait sur le gazon, proche de la balancoire. Clairement, ce qui perturbait Cujo. Natsuki s'en approcha, et s'agenouilla juste en face avec un air très intrigué.

C'est...on dirait...un oeuf ?

Vu la forme, et l'aspect de "carapace" ça semblait être le cas...sauf qu'elle n'avait jamais rien vu de tel. Cet oeuf semblait couvert d'une espèce de substance gélatineuse, et sa couleur violette était pour le moins...inhabituelle. Très intriguée, Natsuki posa très délicatement un doigt dessus, elle pu sentir une chaleur en émaner, ce qui impliquait que cet oeuf contenait quelque chose d'encore vivant. Comment était-il arrivé là, et où était sa mère ? De toute évidence, ce devait être un oeuf oublié ou abandonné, et Natsuki ne pouvait clairement pas le laisser là. Ses parents toutefois ne voudraient pas d'un autre animal à la maison, surtout que Natsuki n'avait concrètement aucune idée de ce qui pouvait bien se trouver dans cet oeuf. Vraiment, elle connaissait pas mal de choses sur tout ce qui touchait à la faune et la flore, et ça...ça ne lui disait vraiment rien.

*Et si c'était un espèce encore méconnue ? Oh ce serait trop cool !*

Natsuki ne pouvait pas le laisser ici...mais le club du lycée possédait plusieurs vivariums, dont certains n'étaient pas occupés, elle pouvait donc le ramener là bas pour lui permettre d'éclore ! Natsuki prit donc, un peu inconsciemment, l'oeuf directement dans ses mains, qui se couvrirent de cette substance gluante.

Urk...il va falloir que je l'emballe, je peux pas laisser de traces comme ça...

Natsuki retourna au pas de course à la maison, suivie de près par Cujo, qui toutefois se trouva rapidement distrait en présence de sa gamelle pleine. La lycéenne pour sa part, prit un chiffon dans la pile de linge de cuisine, et enveloppa l'oeuf dedans avant de se laver les mains...et de regarder l'heure.

*Il faut que j'y aille...*

Natsuki remonta donc l'escalier, tout en portant l'oeuf dans ses mains, qu'elle posa sur un rebord d'un des meubles de sa chambre, avant d'entreprendre de se changer. Elle retira son pyjama, se mettant complètement nue, avant d'enfiler en quatrième vitesse son uniforme scolaire. Elle n'avait du coup pas le temps de prendre une douche avant de partir, mais elle se disait qu'elle pourrait toujours emprunter celles du lycée plus tard dans la journée. Elle était excitée comme une puce, et fourra délicatement l'oeuf dans son sac, en prenant garde qu'il soit à l'abri de tout choc avec ses autres affaires, avant de se mettre en route pour le lycée.

Tout ça ne pouvait clairement pas tomber mieux, ses camarades qui étaient avec elle membre du club étaient absentes pour quelques jours du fait d'un voyage scolaire, et si ça impliquait qu'elle doive se charger du club toute seule, ça impliquait aussi qu'elle avait la pleine main-mise sur l'équipement. En arrivant au lycée, elle chargea directement dans la salle du club, dont elle avait les clef. En déposant délicatement l'oeuf, elle fit attention à ce que ce dernier ne soit pas abîmé, puis le mit dans un vivarium, à l'abri, dans un environnement maintenu artificiellement chaud et humide. Elle n'avait guère le temps de faire d'avantage, car la cloche retentit pour sonner le début des cours.

Oh ! Faut que j'y aille...mais bon, au moins t'es en sécurité ici. Je reviens ce soir, promis !

Natsuki parlait déjà à cet oeuf comme si il était son animal de compagnie. Vraiment, cet évennement imprévu la fascinait, vivement la fin des cours qu'elle puisse s'y intéresser de plus près !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 2 samedi 20 janvier 2018, 13:46:03

Le fœtus se mit à briller quand il sentit quelqu’un l’attraper. Des doigts touchèrent la carapace de l’œuf, et laissèrent des traces, que le bassin génétique analyse, et interpréta rapidement. Même si le fœtus était incapable de réfléchir, il fut quand même capable de déterminer ce que ses doigts dissimulaient. Ce n’était pas comme l’autre bête de tout à l’heure, qui avait suscité en lui un intérêt bien moindre. Là, tandis qu’il était transporté, l’œuf mémorisa l’empreinte de cette femme, ainsi que sa voix. Il percevait les sons, mais n’arrivait pas à les comprendre, juste à les mémoriser, afin de la dissocier d’autres personnes. Encore une fois, le fœtus était génétiquement pré-encodé pour savoir ce qu’il avait à faire, et que, pour l’heure, il lui fallait un hôte. Un seul hôte suffisait pour le moment. Et celle-ci avait tous les critères requis. En toute objectivité, il décida donc de porter sur elle son attention, et commença donc à travailler.

La jeune fille l’avait touché, ce qui faisait qu’elle s’était imprégnée de ce mucus gluant, et, même si elle s’était nettoyée les mains, des traces infimes de ce mucus restaient encore sur sa peau. Heureusement, le fait qu’elle n’ait pas pris de douche fit que ces traces restèrent, et, comme elle était partie ne cours, elle offrait à l’œuf tout ce dont il avait besoin : du temps. La jeune fille le porta donc dans un vivarium, environnement qui lui était totalement indifférent. La carapace le protégeait de toute interférence extérieure, mais, ici, il sentit rapidement d’autres présences proches, lui rappelant Cujo. Les vivariums abritaient des créatures exotiques : iguanes, couleuvres, et même quelques araignées. L’œuf nota leur présence, mais s’en désintéressa totalement. Il avait déjà laissé quelques-unes de ses cellules dans le gros chien de tout à l’heure, et ne pouvait pas se permettre de se disperser.

Pendant toute la durée du journée, il se concentra sur le léger lien qu’il avait avec son hôte, ressentant les premières pointes d’une furieuse excitation, ce qui conduisit l’œuf à briller. De nouvelles pulsations violettes jaillissaient, tandis qu’il continuait à découvrir le corps de la femme. Impossible de connaître son nom, mais, en étant greffé sur elle, et en étendant son influence, il découvrit des données bien plus intéressantes... Le fait qu’elle était féconde, en pleine forme, disposant d’un corps sans lésions... Et même d’un hymen ! Cette découverte relança encore l’intérêt de la créature, qui continua son examen poussé. Son mucus était rentré dans l’organisme de sa proie, sans qu’elle ne le réalise, et il l’explora encore, continuant ses analyses.

Il se rapprocha de son visage, et, tout ce que la jeune fille devrait éventuellement ressentir, ce serait une envie de se gratter. Les mucus de l’œuf étaient, en soi, d’une taille microscopique, des petites tâches qui se déplaçaient sur et dans le corps de la femme. L’œuf agissait prudemment, car il savait que l’organisme humain disposait d’anticorps qui combattaient les intrus comme lui. Il découvrit, en se posant sur les lèvres de la femme, qu’elle n’avait jamais eu de salive sur ses lèvres. Autrement dit, personne ne l’avait encore embrassé. L’œuf faisait ainsi connaissance avec la première émotion qu’il était censé ressentir : le désir, et la soif de domination. Son hôte avait toutes les qualités requises !

Cet examen dura des heures, sans que l’œuf ne puisse faire rien de plus. Toutefois, petit à petit, et alors que la journée approchait du déjeuner, il se livra à une petite expérience. Son mucus s’était approché des lèvres intimes de la femme, glissant à travers ses poils pubiens. Il s’introduisit à l’intérieur, dans sa chaude cavité. Le petit microbe avançait tranquillement, la texture de la vulve de la femme rendant l’œuf encore plus violet, multipliant les pulsations. De fait, les animaux à côté de lui, dans leurs cages, commencèrent à s’agiter nerveusement, car sexuellement excités. L’œuf se livra donc à une petite expérience, et s’approcha du clitoris de la femme, qui l’attirait comme un aimant, et se colla dessus... Puis entreprit de stimuler la femme, en appuyant sur le clitoris de cette dernière.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 3 samedi 20 janvier 2018, 18:18:44

Deux heures de mathématiques, suivies de deux heures d'histoire, tel était le programme de la matinée pour Natsuki, qui avait bien du mal à dissimuler son enthousiasme. Elle n'avait vraiment aucune idée de ce que cet oeuf pouvait bien contenir comme espèce, et elle était en réalité presque certaine qu'il s'agissait d'une espèce qui n'était pas encore connue. Comment un tel oeuf avait bien pu se retrouver dans son jardin ? Avait-elle vraiment fait un bon choix en le prenant à mains nues ce matin, même si elle s'était lavée les mains ? Des questions que la jeune lycéenne était bien trop excitée pour se poser, dans sa tête, elle allait finir dans des revues scientifiques pour avoir été à l'origine de la découverte d'une nouvelle espèce ! Elle gardait donc jalousement le secret pour elle, et c'était donc une chance que les autres membres du club ne soient pas là pendant encore plusieurs jours, car d'ici là elle pensait, ou plutôt espérait, que l'oeuf pourrait éclore. Elle était honnêtement frustrée de devoir être en cours, au lieu de surveiller et d'étudier sa découverte, mais elle ne pouvait pas juste sécher les cours pour ça...d'une part parce que ses parents la "tueraient", et d'autre part parce que ça attirerait l'attention sur elle et cet oeuf, ce qu'elle voulait pour le moment à tout prix éviter.

*Du moins pas tant que je sois certaine...*

Ces quatre heures de cours allaient être sans doute parmi les plus longues qu'elle allait jamais vivre, du moins jusqu'à présent. Oh Natsuki était plutôt du genre à aimer les cours, elle était même une bonne élève, et si elle ne figurait pas dans le top du classement du lycée, elle n'avait guère de souçis pour décrocher de bonnes notes, car elle était une élève studieuse et appliquée. Mais là, elle était dispersée, son esprit n'arrivait pas à se détacher de cet oeuf qu'elle avait trouvé...et si il venait à éclore pendant qu'elle était en cours ? Elle voulait absolument être là ! Pour son malheur, la salle du club se trouvait dans un tout autre bâtiment que celui qui était utilisé comme salles de classes, ce qui faisait qu'elle ne pourrait pas non plus revenir en vitesse vérifier l'état de l'oeuf, il lui faudrait attendre la pause déjeuner pour ça.
Elle tenta malgré tout de se focaliser sur les cours, et de prendre son mal en patience, elle espérait juste, vraiment, pouvoir être là pour l'éclosion.
Pendant ce temps, Natsuki ne pouvait pas se douter que le contenu de l'oeuf avait toute son attention fixée sur elle, et qu'il était en train en ce moment même de l'explorer. Même si elle s'était lavée les mains, d'infimes résidus du mucus étaient restés sur elle, des traces microscopiques, invisibles à l'oeil nu, d'autant que le foetus faisait déjà preuve d'intelligence en faisant en sorte que celà reste ainsi. Tout au plus, Natsuki ressentit occasionellement quelques démangeaisons à certains endroits de son corps, mais elle ne s'en formalisa pas plus que ça, car elles disparaissaient aussitôt qu'elle se grattait, et ne réapparaissaient pas.

*C'est probablement parce que je n'ai pas pris de douche ce matin...*

Heureusement elle transportait toujours un peu de parfum sur elle, mais elle n'avait pas l'intention de reproduire cette "erreur". Ainsi, pendant qu'elle était en cours, le mucus microscopique pu pleinement et tranquillement explorer le corps de Natsuki, qui était complètement vierge. Absorbée par ses lectures, le club, et ses études, elle n'avait jamais vraiment trouvée le temps d'avoir un petit ami, ou une petite amie...même si ce n'était pas l'envie qui lui manquait, concernant une fille particulière de sa classe. Yuki Kawashima était l'une de ses plus vieilles amies, elles se connaissaient depuis la primaire, et s'étaient connues par leur intérêt commun pour les mangas. Avec la venue de l'adolescence, Natsuki avait fini par développer intérieurement une autre forme...d'affection pour Yuki, mais qu'elle n'osait clairement pas lui avouer, car Yuki avait déjà un petit ami. Étant sa confidente, Natsuki savait que son amie et son copain n'avaient pas encore couché ensemble...mais pour combien de temps ?
Frustrée de ne pas pouvoir avouer ses sentiments, et en ayant aussi peur, elle s'était donc réfugiée dans ses autres passions...d'où le fait qu'elle prenait particulièrement à coeur cette découverte, ce serait pour elle l'occasion de devenir célèbre, et d'attirer sur elle le regard de Yuki peut-être ? Quoi qu'il en soit, les heures passèrent...jusqu'à la fatidique dernière demi-heure, où le mucus du parasite avait fini par aller explorer sa délicate fleur intime. Au début, Natsuki ne s'était pas rendue compte de grand chose, jusqu'à ce qu'elle ne commence à sentir comme...une crampe au niveau de son bas-ventre, rien de prononcé au début, mais plus ça allait, et plus ça grandissait.

*Qu...qu'est-ce que...*

Natsuki eut l'impression qu'une vague commençait à enfler dans le bas de son ventre, elle avait chaud, et en serrant instinctivement ses cuisses l'une contre l'autre, alors qu'elle continuait tant bien que mal de prendre des notes, elle se rendit compte qu'elle était en train de mouiller sur place, en plein cours ! Comment étais-ce seulement possible ? Est-ce que...elle se rappella subitement qu'elle avait beaucoup regardée Yuki depuis le début du cours d'histoire, des regards furtifs, mais fréquents...et elle mit ça sur le compte de son excitation grandissante, c'était la seule explication possible pour elle. La cloche sonnant fût une vraie libération pour elle, et Natsuki empaqueta ses affaires aussi vite qu'elle le pût, avant de foncer comme une fusée en direction des toilettes...

Ah...Aaaaah...

Elle parvint enfin à une cabine, et s'enferma dedans après s'être assurée que personne ne s'y trouvait. Elle était montée jusqu'aux toilettes des filles du dernier étage du bâtiment, afin de minimiser les risques que quelqu'un d'autre s'y trouve. Elle était seule, et la jeune femme glissa fébrilement ses mains sous sa jupe pour se saisir de sa petite culotte blanche, qu'elle fit glisser le long de ses jambes...un filet de cyprine coula depuis son intimité, et elle retira complètement sa culotte. Prenant alors place sur la cuvette, tout en redressant sa jupe, elle écarta alors les cuisses pour glisser l'une de ses mains contre sa fente intime, venir titiller son bourgeon de plaisir à l'aide de ses doigts, et concrètement commencer à se masturber.
C'était la première fois qu'une telle chose lui arrivait, mais elle s'était trouvée si excitée sur le moment, qu'il fallait impérativement qu'elle se prodigue ce petit plaisir intime. Elle se caressa alors, de plus en plus vite, tandis qu'elle plaquait sa main sur sa bouche pour étouffer ses gémissements, des fois que quelqu'un vienne à entrer. Il ne lui fallu que peu de temps pour jouir, Natsuki se tendit, et un beau filet de cyprine s'échapa de sa fente intime, mais qui alla directement dans la cuvette des toilettes...sauf qu'elle continua ensuite.

Gnnnn...aaaaah...Oh s-seigneur...Aaaaaah...

Elle avait envie, encore envie de jouir, et la jeune femme passa une bonne vingtaine de minutes à se caresser frénétiquement, couvrant la totalité de sa main de sa mouille. Vingt minutes, à jouir comme une petite folle...jusqu'à ce qu'enfin elle se calme, la respiration haletante, elle redressa sa main, complètement couverte de cyprine, qu'elle regarda en rougissant de honte. Elle se pinça les lèvres, honteuse, avant de s'emparer finalement de papier toilette pour s'essuyer, non seulement la main, mais aussi les cuisses et son intimité, avant de tirer la chasse tout en se redressant, et en remettant sa culotte.

*Je ne vais pas avoir le temps de passer au vivarium avec tout ça...mais qu'est-ce qui ma pris ?*
« Modifié: dimanche 21 janvier 2018, 00:31:51 par Yulia Vesselovski »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 4 samedi 20 janvier 2018, 22:19:24

Bien entendu, l’œuf assista à tout, car il y avait entre les traces de lui sur le corps de son hôte et lui-même une connexion symbiotique. Il fut donc soulagé de voir que la connexion marchait bien, et, quand la femme glissa ses doigts dans son intimité, et que sa mouille vint, le fœtus ressentit quelque chose d’inattendu, de particulier, et d’incroyablement... Bon. Une sorte de sensation très positive... Du plaisir ! Pour la première fois de sa vie, le fœtus découvrait le plaisir, et prit conscience qu’il adorait ça, tout simplement. Chaque fois qu’il sentait la mouille, le plaisir venait, avec une force renouvelée, qui permit au microbe de se multiplier, de grossir suffisamment pour pondre des œufs, tout aussi petits que lui. Une nécessité absolue, car le microbe était tellement petit que le premier orgasme de l’hôte le noya sous l’amoncellement de cyprine, le tuant sur place. Fort heureusement, son cadavre fut expulsé en même temps que la mouille de cette femme, qui recommença ensuite à se masturber, d’autres microbes s’étant en effet regroupés autour de la chatte, titillant le clitoris, la zone de plaisir, s’abreuvant de ce nectar translucide qu’ils ne pouvaient avaler, mais dans lequel ils pouvaient se vautrer longuement.

Ceci eut pour conséquence d’encourager la femme à jouir encore... Et le fœtus, lui, sentit, au-delà du plaisir, un autre sentiment, tout aussi intense, mais bien moins agréable, venir en lui... La frustration. Lui aussi voulait sentir cette femme contre lui, baigner dans ce nectar, s’en abreuver. Le plaisir meurtrier de la femme continuait à massacrer les multiples œufs que ses microbes avaient généré. Soit ils étaient noyés par la mouille de la femme, soit ils étaient écrabouillés par ses doigts... Un véritable génocide, tandis que le fœtus s’impatientait, désireux de goûter en personne à cette sensation. La jeune hôte ne s’arrêtait pas, et, quand elle eut terminé, tous les microbes situés dans son vagin avaient été tués. Elle avait d’ailleurs continué plusieurs minutes après les avoir impitoyablement exterminés, et sortit ensuite des toilettes.

Le fœtus dut ensuite se résoudre à attendre, et à tenter de comprendre ces nouvelles sensations qu’il venait de ressentir. La tâche n’était clairement pas facile, car il découvrait tout cela, et continua à émettre des pulsations violettes. Petit à petit, quelques cassures apparaissaient sur la carapace de l’œuf, signe que le fœtus venait de grandir, et était prêt à se déployer. Il passa alors le reste de la journée à déplacer les microbes qu’il détenait, retournant dans l’intimité de la femme. Ainsi, environ trois quarts d’heure après cette première vague, plusieurs microbes filèrent dans son intimité. Cette dernière était encore trempée, conservant ici et là des traces de cyprine, et les petites créatures, ressemblant à des espèces de larves, se frottèrent contre les parois trempées.

En réalité, l’œuf ne comptait pas la lâcher, car, à chaque fois qu’il ne ressentait pas ce plaisir, il ressentait de la frustration, de la souffrance... Et ça, il prit rapidement conscience qu’il ne supportait pas du tout ce type d’émotions.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 5 dimanche 21 janvier 2018, 19:44:59

Natsuki, après sa petite "escapade" aux toilettes, du rapidement aller manger à la cantine du lycée. Elle n'avait après tout qu'une heure de pause déjeuner, dont une bonne vingtaine de minutes qu'elle venait juste de dépenser à se masturber frénétiquement dans une cabine isolée aux quatrième étage. Comme à son habitude, elle rejoignit Yuki...et son insupportable petit ami, qui avait rejoint le groupe depuis quelques semaines. Natsuki faisait de son mieux pour ne pas être trop grognonne en sa présence, mais non seulement elle avait de plus en plus l'impression de leur tenir la chandelle, mais aussi, le voir l'embrasser régulièrement et la tripoter alors qu'elle même...rêvait parfois la nuit de sortir avec Yuki, rendait l'expérience encore plus compliquée. Heureusement, durant la durée de son repas, Natsuki ne ressentit pas d'autre "urgence" comme celle qu'elle avait eu durant la fin du cours d'histoire. Si elle avait un peu salie sa culotte, il n'y avait guère qu'une petite trace résiduelle de cyprine au niveau de son intimité, mais comme elle s'était bien essuyée, ce n'était pas vraiment possible de le voir. Il aurait vraiment fallu que quelqu'un glisse son visage sous sa jupe, et entre ses cuisses bien écartées, pour parvenir à discerner cette petite tâche. Mais de fait, en dehors de la question embarrassante de ce qu'elle avait fait durant ces vingt minutes, Natsuki passa un repas sans incident notable, et il fut rapidement l'heure de retourner en cours.
Natsuki avait encore deux heures de cours de littérature pour ce début d'après-midi, le reste de son temps étant ensuite consacré aux autres activités, notamment le club dont elle avait pour le moment la charge toute seule. Prenant place à sa table, la jeune fille était toutefois anxieuse, elle n'arrivait vraiment pas à comprendre comment, et pourquoi, est-ce qu'elle avait eu une telle bouffée d'excitation tantôt. Certes, elle était en pleine adolescence, et savait que son corps subissait d'importants troubles hormonaux de ce fait...mais à ce point ?
La jeune lycéenne ne faisait pas le lien avec l'oeuf...ou plutôt se refusait inconsciemment à le faire. C'était pour elle sa chance de faire quelque chose qu'on remarquerait vraiment, alors ça ne pouvait pas être quelque chose de dangereux, ça ne pouvait tout simplement pas venir de ce mucus qu'elle avait touchée plus tôt dans la matinée, c'était même une hypothèse qui ne lui venait même pas à l'esprit.

*Je ne sais pas...j'y réfléchirais plus tard.*

Pour le moment, elle devait focaliser sa concentration sur le cours, et c'était déjà assez difficile comme ça. Elle ne pouvait s'empêcher de repenser à l'oeuf, cette situation la rendait anxieuse. Elle avait voulu aller voir durant la pause déjeuner si tout se passait bien dans le vivarium, voir si l'oeuf n'avait pas éclos, ou si l'environnement dans lequel il se trouvait lui convenait bien...mais oui, tout simplement vérifier. Cet oeuf après tout, contenait un bébé, et Natsuki en l'ayant trouvée transférait naturellement une sorte d'instinct maternel vis à vis de cette chose qu'elle estimait sans défenses. Elle essayait toutefois de se rassurer...elle n'avait plus que deux petites heures à tenir après tout, le plus gros de la journée de cours était derrière elle, et bientôt elle pourrait retourner prendre soin de son oeuf.
Néanmoins ces deux heures n'allaient pas être aussi...faciles à vivre qu'elle l'aurait pensée de prime abord.

*Qu...Quoi, encore ?*

Natsuki ressera ses cuisses l'une contre l'autre en commençant à sentir une nouvelle vague de chaleur lui traverser, peu à peu, son bas ventre. Elle tâcha de se concentrer, de penser à autre chose, mais c'était en vain. Le mucus de la créature avait profité de la pause, et de l'afflux de cyprine dont il s'était nourri, pour se multiplier et de concentrer dans cette zone. Formant une couche microscopique, il se répandait toutefois à l'intérieur d'une partie considérable du vagin de la jeune lycéenne, mais aussi sur les pourtours de son entrée, le long de ses lèvres intimes et de son clitoris. Le mucus remuait et "tremblait", créant des vibrations et des caresses qui étaient bien trop subtiles pour que Natsuki puisse les détecter comme telles, mais qui faisaient néanmoins leur rôle: exciter la jeune fille.
Plus le temps passait, et plus ce fût délicat, Natsuki en arriva doucement à un stade où elle n'arrivait même plus à écrire correctement, et elle se pinçait les lèvres pour ne pas gémir en plein milieu du cours. Leur professeur, de plus, était du genre à être strict, et à ne pas autoriser de sortie de classe sauf en cas exceptionnels...une envie pressante d'aller aux toilettes n'en était pas une pour lui.
Deux. Heures. De. Souffrance.
Natsuki n'avait même aucune idée de comment elle avait bien pu réussir à ne pas craquer, car à l'issue de ce cours, lorsque la sonnerie sonna telle une délivrance, elle avait tellement mal à son bas ventre qu'elle avait l'impression d'avoir de grosses crampes. Elle aurait pu de nouveau aller aux toilettes pour se soulager, mais à cette heure, trouver un coin véritablement isolé relèverait du miracle avec le début des activités de club. En revanche, comme elle était la seule membre du club d'élevage, elle pourrait peut-être...en profiter, tout comme celà lui permettrait d'enfin aller voir l'évolution de l'oeuf. Elle rangea donc ses affaires, et tâcha de marcher sans se faire remarquer...sa culotte était en effet toute mouillée, et elle craignait que des gouttes de cyprine ne finissent par tomber d'entre ses jambes. Elle finit donc par se rendre dans la salle du club, où elle se dépécha de fermer la porte à clef.

Oh enfin...

Elle jeta rapidement un coup d'oeil vers le vivarium, et l'oeuf n'en avait pas bougé. Soupirant de soulagement, la jeune femme déposa alors son sac dans un coin de la salle...puis retira sa culotte. Elle pu constater combien elle était trempée, et décida de l'approcher d'un des éviers de la salle pour la laver, avant de la mettre à sécher. Puis, cherchant dans le placard à balais, elle prit une serpillère qu'elle mit au sol, avant de s'agenouiller en écartant bien els jambes, de façon à se trouver au dessus de la serpillère...et commença à enfin se caresser intimement.

Ah...Aaaaaah...

Ses doigts vinrent se glisser le long de ses poils pubiens, qui étaient couverts de mouille, et elle commença à titiller son clitoris, de plus en plus fortement...le tout à quelques mètres à peine de l'oeuf.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 6 dimanche 21 janvier 2018, 20:42:24

Cette journée fut terrible, et, tandis qu’elle passait, le fœtus ne cessait de s’impatienter. Il enflait progressivement, et l’œuf continuait à se fissurer. Les pulsations violettes devenaient de plus en plus vives, et les animaux continuaient à s’agiter nerveusement. Ce fut tel qu’un garçon finit par entrer, en entendant quelque chose taper contre la vitre. Il s’approcha, troublé, et commença à avoir une redoutable érection. Le fœtus le sentit s’approcher, mais s’en désintéressa rapidement, car ce n’était pas Elle. Ce n’était pas sa proie, son hôte, celle qu’il avait choisi ! Il ne voulait personne d’autre qu’Elle ! Or, plus le temps passait, et plus elle se refusait à venir, ce qui n’était pas sans l’agacer. Le fœtus continuait à s’impatienter, à remuer sur place, lorsqu’il finit, au bout d’un temps interminable, par la sentir revenir.

L’excitation revint, plus furieuse que jamais. L’œuf continua à se craquer, et il n’émettait même plus de pulsations violettes, car il se fissurait, du jus commençant à se répandre hors des fissures de l’œuf. La jeune femme se déplaça alors, et, quand elle commença à se caresser, le fœtus vibra encore sur place. Si proche, si proche, trop proche... La créature n’en pouvait plus, elle commençait à gronder, et devenait un long filament qui se déployait sur place, un filament noir et gluant qui s’étira sur place, heurtant la partie supérieure de la carapace, tandis que d’autres filaments se déployaient sur les côtés. Le liquide génétique continuait à couler, et la fissure s’aggrava encore le long des côtés, puis sur le dessus.

Et, quand la femme jouit, l’oeuf explosa.

Enfin libre, le foetus, devenu un tentacule noir gluant, poussa un léger frisson. Impossible pour lui de parler, ou de communiquer, mais il se déploya rapidement, et le bout de son long corps flasque et anguleux tapa contre la vitre du vivarium, ce qui le frustra, et l’amena à taper dessus encore, et encore. Il laissait des traces gluantes sur la vitre, ce qui ne devrait pas manquer de surprendre sa proie. Hélas pour elle, elle avait fermé la porte à clef, et laissé les clefs sur un coin d’une table. Sous la surprise, elle allait donc nécessairement perdre du temps à sortir... Temps que le tentacule usait pour taper encore.

Constatant néanmoins l’inutilité de sa démarche, la créature se replia, comme un serpent se mettant en boule, puis bondit brusquement, et frappa le vivarium à nouveau, brisant le verre. L’horrible serpent noirâtre gluant tomba au sol. Des picots poussaient déjà le long de sa chair, mais il était malgré tout plutôt petit, à peine une quinzaine de centimètres. La créature rampa alors rapidement, glissant sur le sol, et, sans tenir compte des éventuelles protestations de sa proie, s’enroula autour de sa jambe, remontant dessus, jusqu’à se rapprocher de ce liquide qu’il adorait tant... Et enfonça sa tête dans son vagin.

Elle aurait beau tirer avec ses mains, elle ne pourrait le retirer, tant le liquide gluant recouvrant son corps était gluant. Le tentacule s’enfonça en elle, et commença à remuer, maintenant la base de son corps sur la jambe de la femme, et réagit brusquement devant les réactions de la femme. Telle une anguille électrique, son corps s’électrifia, et émit une décharge qui eut pour effet de paralyser la jambe de sa proie, l’amenant à tomber au sol.

Et là, sur place, l’affamé tentacule continua à se nourrir, se frottant dans l’intimité de la femme. Une ouverture se fit à l’extrémité de sa tête, libérant un liquide accompagné d’un filin plus petit, une espèce de langue rosâtre très fine, qui s’enroula autour du clitoris de la femme, et la pressa fortement...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 7 lundi 22 janvier 2018, 13:09:07

Après avoir passée près de deux heures à se retenir, maintenant qu'elle pouvait enfin se masturber en toute intimité, Natsuki n'était même plus en état de faire attention à ce qui se passait autour d'elle. C'était entre autres pour ça qu'elle avait fermée la porte à clef, elle aurait été capable de ne même pas se rendre compte de la présence de quelqu'un d'autre, traversant le pas de la porte, tant elle se trouvait actuellement "dans son monde".

Ah...Mgnnnn...Aaaaaaah !!!!

Natsuki glissait ses doigts le long de l'entrée de sa chatte, elle se caressait son clitoris avec son majeur, mais elle usait de ses autres doigts également pour glisser le long de ses lèvres intimes, et frotter contre ses poils pubiens, qui formaient une belle forêt noire à cet endroit.  Natsuki s'épilait régulièrement au niveau des jambes et des aisselles, mais en l'absence d'un quelconque petit ami, n'avait jamais vraiment vu l'intérêt de se raser l'entrejambe, entre autres parce qu'elle avait une peur bleue d'approcher quoi que ce soit d'autre que ses doigts de sa fleur intime, qu'elle n'avait même jamais pénétrée de peur d'avoir mal. Elle se masturbait toutefois avec énergie, anxieuse de se libérer du poids qu'elle avait sur le bas-ventre, tant et si bien qu'elle avait presque l'impression qu'on lui avait greffée une enclume dans son bassin. Elle gémissait, soupirait tout en se tortillant, à genoux, juste au dessus de la serpillère qu'elle avait étalée au sol afin de réduire la tâche de nettoyage qu'elle aurait à faire. Rapidement, elle sentit la vague monter en elle, depuis son clitoris, son petit bouton de plaisir qui en cette journée semblait réclamer tant d'attention.
Et pendant qu'elle se caressait, l'oeuf était en train d'éclore, chose qu'elle ne remarqua pas comme elle avait les yeux fermés. Pour se stimuler d'avantage, Natsuki fermait en effet les yeux afin de laisser aller son imagination, et l'image de Yuki lui revenait régulièrement en tête, notamment dans les vestiaires avant d'aller en cours de sport, lorsqu'elle avait l'occasion de voir son amie en toute petite tenue...
C'est en visualisant les jolies fesses rebondies de sa meilleure amie que Natsuki finit par se relâcher.

HMMMMM !!!! HAN Y-YUKIIII !!!!

Elle se relâcha dans un orgasme puissant, la respiration lourde...avant que subitement elle ne se braque, en ayant entendu un bruit sourd en direction du vivarium.

Qu...Hein ?!?!

La jeune fille se redressa vivement, voyant alors contre la vitre du vivarium...quelque chose qui ne manqua pas de la terroriser. L'oeuf venait d'éclore pendant qu'elle se masturbait, et une créature qui était...tout sauf mignonne en était sortie, ressemblant à une espèce d'anguille noire, gluante, et qui tapait avec insistance contre la vitre, cherchant à sortir.
La panique traversa alors Natsuki. Le verre du vivarium était solide, mais en continuant à taper comme ça, il ne tiendrait pas longtemps...et elle ne voulait pas être dans la salle au moment où ça lâcherait. La créature qui était sortie de l'oeuf avait de toute évidence un comportement agressif, et de vieux souvenirs de films d'horreur lui revinrent en mémoire, car ils correspondaient par bien trop d'aspects à ce qu'elle était en train de voir.
Sans chercher à comprendre d'avantage, Natsuki se dirigea vers la poignée de la porte d'entrée de la salle...avant de se rappeller, en n'arrivant pas à l'ouvrir, qu'elle l'avait fermée à clef.

Oh non non non ! Où j'ai mis ces clefs ?!?!

Panique, encore et encore panique, qui fait qu'elle ne se rappelle plus où elle les as posées, tellement pressée qu'elle était de se soulager. Après quelques précieuses secondes, son regard se posa enfin sur le trousseau de clef, posé sur l'un des meubles un peu plus loin...juste avant d'entendre un sourd bruit de verre brisé. La vitre du vivarium vola en éclats, alors que la créature qu'elle avait receuilli s'en extirpa violemment avant de tomber au sol.

Non...NON NON AU SECOUUUUURS !!!!!

Tétanisée sur le moment, ce fût le coup de grâce pour elle en voyant la chose ramper, glisser sur le sol à une vitesse impressionnante, dans sa direction. Elle essaya tant bien que mal de l'éviter, avec un réflèxe de dégoût, mais ne pu l'empêcher de venir à elle. Cette espèce...d'anguille remonta le long de sa jambe en s'entortillant autour, grimpant dessus, remontant jusqu'à sa cuisse avec une rapidité telle que Natsuki eut à peine le temps de comprendre ce qui lui arrivait...jusqu'à ce qu'elle ne sente la créature fourrer sa petite tête...dans son intimité.

NYAAAA !!! N-NON VA-T-EN !!!!! AAAAAAAAHHHHH !!!!!

Le contact gluant, visqueux, était répugnant sur sa peau, mais en prime la créature se collait à elle, et venait de fourrer sa tête dans son antre intime. Elle ne s'enfonça pas jusqu'au point de déchirer son hymen, mais Natsuki le sentit remuer vivement en elle. Naturellement, elle tenta malgré le dégoût que ça lui inspirait, d'empoigner la créature pour l'ôter d'elle...ais ce fût en vain.
Dès que Natsuki posa ses mains sur le corps long et effilé de la créature, cette dernière lui envoya une décharge électrique qui la surprit, en plus de la sonner.

AAAAAAÏÏÏ !!!!!!

Tout le corps de la créature s'électrifia, envoyant une puissante décharge dans les parties du corps de Natsuki qui étaient en contact avec. La jeune fille sentit alors sa jambe gauche, celle où la créature était accrochée, ne plus lui répondre, tandis qu'elle retira par réflèxe ses mains, et que la douleur qu'elle ressentit dans son vagin lui fit également perdre l'équilibre.
Natsuki tomba à terre, une de ses jambes paralysée, ses mains lui répondant également difficilement...alors que la créature continua à remuer dans sa petite chatte.

N-Nooooon...Nooooooooon je veux pas...Ah...L-Laisse...Aaaaaaah... KYAAAAAA !!!!

La jeune fille se cambra instinctivement en sentant quelque chose de fin et humide, émannant de la créature, se glisser contre son clitoris, s'enroulant autour pour former comme un noeud avant de presser fort. Ses mains ne lui répondaient plus bien, et de ses membres moteurs, seule une de ses jambes répondait encore aux injonctions de son corps...et encore, elle la reuait d'avantage frénétiquement par réflèxe, car elle ne voulait pas l'approcher de la créature, tenter de serrer ses cuisses l'une contre l'autre, de peur de se prendre une nouvelle décharge.

P-Pitié....au secours quelqu'un !!! Au se-secours...Aaaaaah...

Il n'y avait personne à l'étage de ce bâtiment à cette heure, Natsuki était donc la prisonnière de cette créature qui était en train de s'abreuver de sa cyprine, et tâchait de la stimuler afin qu'elle en produise plus. Malgré la peur, malgré l'angoisse, le corps de Natsuki ne pouvait pas lutter contre la façon dont l'alien était en train de la stimuler, et elle sentit très, très rapidement, un orgasme s'approche.

N-Naan Na-p-paaaaas... Ahhhhhh....HAAAAAAAAAAN !!!!!

Natsuki se crispa sur place, et jouit, ne manquant ainsi pas d'asperger la créature d'une belle quantité de mouille...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 8 lundi 22 janvier 2018, 23:01:50

Là, oui, hmmm... Enfin, haaaa... !! Le tentacule s’enfonçait dans le vagin de la femme, et tortillait en elle. Il se glissait en elle, mais était encore trop petit, en soi, pour pouvoir percer son hymen. Tel un petit enfant affamé, le tentacule se nourrissait des fluides sexuelles de sa proie, se tortillant sur place, s’abreuvant goulûment de tout ce qu’il ressentait. Oh, oh, que c’était bon, haaa... ! Et, plus il avalait, et plus le tentacule grossissait, durcissant, et développant de nouveaux sens. Des espèces de courbures se formèrent le long de son corps, lui permettant de disposer d’un système auditif, et d’entendre la femme hurler. Le long de son corps, des yeux se formèrent également, violets et globuleux, fixant la jeune femme... Et ce qu’il voyait était tout simplement magnifique ! Une beauté magnifique, qui hurlait, et il adorait les hurlements... Mais il commença aussi à être un peu inquiet, car il craignait que les hurlements de la poupée ne viennent le déranger.

Mais qu’elle était belle ! Alors que le tentacule commençait à relever son corps, il sentit soudain la femme jouir contre lui... Et l’afflux de mouille ne sortit pas. Pas une seul goutte ne tomba des cuisses de la femme, car le tentacule, telle une ventouse, absorba tout. Un tentacule jaillit alors depuis le milieu du tentacule « central », et monta rapidement. L’extrémité était phallique, et se planta brusquement dans la bouche de la femme, la renversant sur place. Le tentacule grouilla sur place, et se tortilla en elle, lui baisant la bouche sans ménagement, laissant son mucus gluant dans ses lèvres, lubrifiant ainsi le passage. La Nature était bien faite, et le tentacule n’existait que pour une seule chose, et n’avait qu’une seule fonction : copuler. S’accoupler, copuler... Il n’avait même pas besoin de réfléchir pour savoir où aller, où frapper. Tout ça fonctionnait de manière intuitive. Le fœtus avait été formé dans le bassin génétique à apprendre les réflexes cognitifs fondamentaux, et les ressortait donc.

Il lui baisait donc la bouche, et son mucus débordait volontiers, glissant le long des lèvres, approchant des narines de la jeune fille. C’était une odeur... Très puante. Une insupportable odeur, écœurante, qui devrait normalement lui donner envie de vomir, mais qui, pour son malheur, s’accompagnait de spores aphrodisiaques, de sorte que, tout en étant écœurée par cette odeur, qui ressemblait à un mélange de sueur, d’aisselle, et de sexe, elle devrait aussi se sentir excitée.

Et, tandis que le tentacule continuait à la prendre, et baignait de bonheur, il ressentit encore davantage de plaisir. Deux autres tentacules, plus petits, jaillirent ainsi de la partie supérieure de son corps, et se posèrent sur les seins de la femme, venant s’enrouler sur eux, à travers les tissus de son chemisier. Il serra alors, pendant que la chemise de Natsuki se recouvrait du même liquide gluant qui luisait sur tout le corps du tentacule.

Il ne l’avait pas encore vraiment pénétré, mais le tentacule phallique niché en elle était en train de grossir, et de s’étendre, et heurta finalement une fine membrane. Il s’arrêta sur place, et se frotta délicatement contre elle. Une couche fragile, très superficielle,, qui l’excita furieusement, et le fit frissonner. Son hymen... Il s’appuya encore dessus, réfléchit un peu, puis se retira alors sur plusieurs centimètres, sortant presque totalement de ses lèvres intimes... Et s’enfonça ensuite d’un coup sec.

Sa queue transperça l’hymen, pourfendant la femme sans ménagement, et il accéléra alors, de plus en plus motivé. Le sang virginal fit gonfler sa queue, et, plus la femme mouillait, et plus le tentacule se nourrissait. Il absorbait en fait toute la mouille, sans que cela n’engendre la moindre douleur pour son hôte, car le tentacule libérait son mucus, lubrifiant ainsi à la perfection le corps de la jeune femme.

Rien ne lui était épargné, et, tandis qu’il la baisait, le mucus sur sa chemise commença à révéler une autre de ses propriétés... En faisant peu à peu fondre le tissu, mais évidemment pas sa peau. Peu à peu, la jeune fille perdait ses ultimes remparts textiles, pour s’offrir totalement à ce monstre surnaturel, affamé et assoiffé...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 9 mardi 23 janvier 2018, 13:01:11

Natsuki était à a fois terrorisée et furieuse contre elle même, qu'est-ce qui lui avait pris de prendre cet oeuf sans en parler à personne, alors qu'elle ne savait même pas ce que c'était ? Mais toutes ces considérations, ce qui aurait pu se passer si elle avait agi un peu plus intelligement, n'avaient guère d'importance maintenant.

NAAAAAAN !!!! N-NAAAAN HAAAAAA !!!!

Le corps encore partiellement paralysé, Natsuki ne pouvait guère que subir...et jouir, ce qui ne manqua pas de faire couler quelques larmes depuis ses yeux, qu'elle fermait, se refusant à voir en face cette chose qui était en train de...de la violer. Le fait qu'elle aie un orgasme fut donc d'autant plus terrible pour elle, comment pouvait-elle seulement éprouver du plaisir en se faisant forcer par cette...cette chose immonde et dégeulasse ? Tout son corps se cripsa pourtant, et même si le tentacule n'était pas enfoncé profondément dans sa chatte, ce dernier pourrait en sentir les parrois se crisper fébrilement contre, et un gros afflux de cyprine venir dans sa direction.

HMGNNNNN !!!!! AAAAAA-G...GLEURK !!!!

Natsuki ouvrit soudainement grand les yeux quand elle sentit quelque chose, à la texture similaire au tentacule, profiter de ses hurlements pour se fourrer dans sa bouche. Même si elle ne pouvait pas le voir, elle pouvait sentir grâce à sa langue...que son extrémité avait la forme d'un pénis. Natsuki tenta naturellement de mordre, instinctivement elle essayait de fermer sa bouche, mais la texture était assez rigide pour que les dents de la jeune fille ne parviennent même pas à l'entailler...quand à l'arrêter, la forme tentaculaire s'adaptait juste tout en offrant assez de résistance pour que Natsuki ne puisse pas fermer sa mâchoire.
Ce nouveau tentacule remua frénétiquement dans sa bouche, allant taper contre sa langue et l'intérieur de ses joues, libérant sur le pourtour de ses lèvres, et dans sa bouche même, cet espèce de mucus gluant dont l'odeur était abominable. Même une odeur d'égoût était plus agréable que ça, et elle eût des hauts-le-coeur.

Hnnnn...Gnnnnmmmmmh !!!!

La pauvre se débattait comme elle le pouvait, mais elle n'avait pour le moment toujours qu'une jambe de vraiment mobile, et elle était tellement effrayée qu'elle ne parvenait pas à réfléchir correctement. Le tentacule qui remuait dans sa chatte devenait de plus en plus épais, de plus en plus gros, et libérait dedans une grande quantité de ce mucus, ce qui faisait qu'à chacun de ses mouvements d'ignobles bruits spongieux émannaient de sa fleur intime.
il se rapprochait de la membrane de son hymen, et au même moment deux autres tentacules apparûrent depuis le corps principal de ce parasite, qui glissèrent le long de la chemise, avant de décrire plusieurs cercles autour de chacun de ses seins pour les serrer. Rapidement, sa chemise commença à se trouvée imbibée de ce mucus, que tous ces tentacules semblaient générer en permanence. Natsuki le sentait la recouvrir à plusieurs endroits de son corps, dans sa chatte, sur ses poils pubiens, dans sa bouche, sur le bas de son visage, et maintenant sur sa chemise qui s'en imbibait très rapidement.
Cependant l'usage de ses membres paralysés commençait à lui revenir, ce qui fit que, naturellement, elle essaya à nouveau de se libérer d'au moins quelque chose, mais il lui était de plus en plus difficile d'avoir des pensées cohérentes ou même d'avoir de la force physique. Ce mucus, tout aussi répugnant soit-il, était aussi un puissant aphrodisiaque, qui était répandu directement à l'intérieur de son vagin, dans sa bouche.

*Non ! Non au secours je... je ne peux pas éprouver du plaisir pour ça !!! Non !!! Non pas mon hymen, non !!!*

HMMMMGNNNN !!!! HMMMMMM !!!!


Remuant frénétiquement la tête de gauche à droite, Natsuki sentit de nouvelles larmes lui monter aux yeux, alors que le bout du tentacule, qui avait beaucoup grossi, frotta son extrémité phallique contre son hymen. Il se retira ensuite...avant de s'enfoncer, d'un coup, au plus profond de son intimité, déchirant la membrane de l'hymen, lui ôtant sa virginité.

HMHNYYMMMM-GGG !!!! GLEURK !!! GLAARK !! EUUURK !!!

Le gémissement de Natsuki fut presque instantanément arrêté par le tentacule dans sa bouche, qui en suivant le modèle de l'autre, s'enfonça subitement dans sa gorge, il se retirait, puis s'enfonçait à nouveau, provoquant des hauts-le-coeur à la jeune femme à chaque fois. La salive se mélangeait au mucus sur le pourtour de ses lèvres, tant sa petite bouche était en train de se faire sauvagement violer...quand à sa petite chatte...elle ne pouvait qu'en sentir les parois internes se faire défoncer, cette chose la remplissait entièrement, jusqu'aux limites de ce que son corps pouvait supporters'enfonçant en elle jusqu'à l'entrée de son utérus, ce qui la faisait se cambrer à chaque fois.
Mais plus encore, c'étaient ces gorges profondes qui lui faisaient le plus peur, le fait d'être privée de sa respiration à chaque fois, aussi c'est sur ce tentacule que ses mains se posèrent, pour essayer de le retirer...une action face à laquelle le parasite eût une réaction immédiate. Il s'enfonça à nouveau profondément dans sa gorge, mais se bloqua ainsi, coupant net la respiration de la pauvre lycéenne qui se retrouva à littéralement etouffer. Les yeux grands ouverts, écarquillés, elle ne pouvait même pas gémir tant ce tentacule était gros et coupait tout son émannant de sa bouche.

Kuf...Kof...Gggggh...

Elle était en train de se tortiller sur place, des points noirs commencèrent à apparaître devant ses yeux alors qu'elle paniquait sous l'effet du manque d'air, qu'elle cherchait tant bien que mal. Son emprise se relâcha alors, à bout de force, ses mains retombèrent, suite à quoi le tentacule se retira de sa gorge, mais restant toujours dans sa bouche.

UUUUUURK !!! KOF KOF !!! GNNNN !!!!!

Elle eût tout juste le temps de reprendre quelques bouffées d'air par le nez, que le tentacule recommença à lui baiser la bouche...et Natsuki se mit clairement à gémir et à pleurer. Elle se rendit pleinement compte qu'elle ne pouvait rien faire pour se libérer d'autant que...qu'elle commençait à sentir un nouvel orgasme approcher. Ses vêtements eux commençaient à se dissoudre à cause du mucus, et rapidement, sa chemise et son soutien-gorge ne furent plus que des lambeaux, et ses seins tendus furent directement au contact des tentacules qui les serraient déjà. Elle était au sol, avec le parasite profondément enfoncé dans sa chatte, remuant en elle à un rythme frénétique, la baisant littéralement...et une nouvelle fois, elle eut un orgasme. Long, puissant, Natsuki n'avait même jamais eu une telle jouissance dans sa vie...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 10 mardi 23 janvier 2018, 20:37:06

Se plantant elle, La Chose était en train de découvrir des sensations exquises, qu’elle n’avait fait que découvrir en n’étant qu’un stade de fœtus. Mais là, tout était différent. La Chose se développait, et se débarrassa du chemisier embêtant de la jeune femme, tirant dessus pour arracher avec ses petits tentacules les morceaux de vêtement qui gênaient encore. Ses tentacules s’enroulèrent directement autour de ses seins, les englobant totalement, puis les pressa. À l’intérieur de ces tentacules, qui se mirent à enfler et à légèrement grossir, des lignes s’ouvrirent,  et des espèces de petites langues poilues et visqueuses jaillirent, léchant et vibrant contre les seins de la jeune fille. Paniquée, celle-ci ne semblait rien comprendre à ce qui se passait, si ce n’est que le plaisir était en train de l’enivrer totalement. La Chose était une créature insatiable, faite pour le viol, et qui, à ce titre, disposait de multiples instruments pour faire sombrer la jeune femme.

Il venait de lui arracher son intimité, et s’excitait nerveusement, galvanisé par la cyprine de sa proie, de son hôte. La Chose la labourait donc, et continuait à grossir, à se nourrir, à s’abreuver. Il n’en était pas encore au point de jouir, et s’enfonça profondément dans sa bouche, optant pour une gorge profonde. Les mains de la jeune femme tentèrent alors de le repousser, mais, en réalité, elles ne firent que le stimuler davantage. En réalité, si La Chose se retira, c’était surtout parce qu’il sentait sa proie étouffer, et lui laissa le temps de respirer, avant de recommencer, tout en répandant son mucus, qui coulait le long des parois internes de la jeune fille, filant tout le long de sa trachée.

Puis la femme atteignit un second orgasme. La Chose gronda sur place, vibrant et ronronnant de plaisir, et s’accrut encore, absorbant la mouille... Mais l’orgasme de la femme était tel qu’une partie de sa cyprine s’échappa quand même, et glissa sur le sol. C’était bien assez pour La Chose, qui utilisa à très bon escient toute cette énergie nouvelle. Le tentacule phallique planté dans la bouche de la femme, s’agrandit alors, s’allongea davantage, et passa la barrière de la gorge. Le mucus avait anesthésié cette partie du corps de son hôte, évitant ainsi le phénomène de régurgitation, et il continua à descendre, filant dans les profondeurs de son corps. À ce stade, la femme pouvait mordre, ça ne faisait que l’exciter davantage... Car l’excitation, La Chose le ressentait. C’était la seule émotion que cette créature connaisse, la seule qu’elle pouvait et voulait connaître.

Les transformations, du reste, s’accentuèrent, et des tentacules supplémentaires jaillirent du tentacule central, celui qui baisait la chatte de sa proie. Les tentacules, plus fins, s’enroulèrent autour des jambes de la femme, et les écartèrent, tout en soulevant son buste. Elle avait beau gémir et couiner, La Chose y était totalement indifférente, et, tout en écartant les cuisses de la femme, généra depuis son tentacule... Un phallus ! Un autre tentacule phallique se dressa lentement, et fila sous le corps de la femme, puis caressa ses fesses, appuyant dessus. L’extrémité de la verge s’ouvrit légèrement, libérant un bouquet de petits tentacules rosâtres qui filèrent le long de la croupe de la femme, et caressèrent sans ménagement sa porte arrière. Ils tournèrent autour, sifflant tels des serpents, avant de s’y glisser, et remuèrent à l’intérieur. Humides, les tentacules en profitaient pour frotter longuement les parois de la femme, maintenant Natsuki dans un état d’excitation et de douleur permanents.

Pendant ce temps, le tentacule phallique niché dans sa bouche continuait encore à descendre. Il bouchait toalement la place, mais commençait déjà à fusionner, car, tout le long de son corps, des poches se formèrent. Ainsi, alors que Natsuki commençait à suffoquer, le tentacule approcha des bronches souches, et les trous s’ouvrirent, permettant alors à l’oxygène de passer, filant dans le tentacule, pour aller dans les poumons, permettant alors à Natsuki, dans un schéma qui défiait toute logique, de pouvoir respirer. La symbiose était lentement en train de s’opérer, et le tentacule, tout en faisant, ici et là, des trous, descendait encore, ne semblant jamais devoir s’arrêter. Et, malgré le malaise certain que Natsuki devait ressentir, les spores aphrodisiaques continuaient à fuser, l’enivrant totalement.

Le troisième tentacule phallique, de son côté, enfonça ses langues, et finit par les retirer. Une fois ceci fait, son mucus commença à dégouliner de l’anus de la femme, puis les langues s’écartèrent alors, se posant sur ses fesses, les écartant l’une de l’autre, révélant ainsi sa magnifique croupe, tandis que quelques autres tentacules restaient enfoncés dans l’anus de la femme, écartant ainsi ses parois, sans faire preuve de la moindre délicatesse.

Et La Chose déplaça son troisième tentacule, puis fonça en avant, heurtant violemment le fondement de la femme, et commença à la pénétrer par là, sans ménagement.

Et, plus le temps passait, et plus les coups de queues s’accéléraient, s’amplifiaient, se durcissaient...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 11 mercredi 31 janvier 2018, 12:20:05

La pauvre Natsuki était complètement prise au piège, terrorisée, face à cette...Chose qui était en train de la violer. Un fait d'autant plus terrible pour le psyché de la lycéenne qu'elle avait déjà joui par deux reprises, en s'accouplant sans le vouloir avec cette créature...comment étais-ce seulement possible ? Comment son corps pouvait la trahir ainsi ? Elle ne voulait pas de ça, rien de tout ça ne l'excitait, rien n'était comparable à ce qu'elle pouvait ressentir en compagnie de Yuki, son amie dont elle était secrètement amoureuse. Elle avait mal, elle avait peur, qu'est-ce que cette créature allait lui faire ? Pendant combien de temps ? Natsuki se rendit compte, avec horreur, que la Chose se nourissait, d'une façon ou d'une autre, de ses orgasme car elle grandissait après chacun d'entre eux. Juste après avoir joui, Natsuki sentit en effet deux nouveaux tentacules glisser le long de chacune de ses jambes, descendant jusqu'à ses pieds, déchirant au passage ses collants. Bien plus forts qu'elle, les tentacules la forcèrent ainsi à écarter les jambes et à redresser son bassin. Sa peau, là aussi, se fit peu à peu couvrir de ce mucus, qui acheva de dissoudre le reste de ses vêtements. Sa mini-jupe et ses collants furent transformés en lambeaux, la laissant ainsi complètement nue...même si à ce stade, ce n'était même pas le plus gros de ses problèmes.

HMMMMMMMM !!!!!! MGNNNNNNNNMMMMMM !!!! HUUUUUMMMM !!!!!!

Elle continuait malgré tout à essayer de se débattre, de se libérer. Le parasite avait tellement grandi que la tâche était impossible sans aide extérieure, mais Natsuki ne pouvait  tout simplement pas rester sans rien faire non plus. Elle ne se rendit pas compte qu'un autre tentacule phallique s'était créé, et qu'il approchait de sa croupe, elle était bien trop focalisée sur celui qui violait sa bouche, et s'enfonçait de plus en plus profondément en elle. Ce tentacule, après quelques secondes de répis, recommença à s'enfoncer dans sa gorge, provoquant un instinctif haut-le-coeur, mais qui ne s'accompagna pas de vomissements. Le tentacule remuait de concert avec celui qui fourrait sa chatte, et à chaque va et viens qu'il faisait, il s'enfonçait un peu plus profondément, lui baisant sa gorge, sa glotte...commençant à se frayer un chemin dans son oesophage.

GGGGGH !!!! KUF...UUUUUURGH !!!!

Un nouveau soupçon de panique la traversa en sentant encore une fois sa respiration complètement bloquée. La jeune femme posait portant ses deux mains sur ce tentacule, et essayait de toutes ses forces de le faire sortir, mais c'était peine perdue, d'autant qu'elle perdit encore un peu plus de force, et gagna d'avantage de peur, en sentant une multitude de...langues ? De langues très fines, très longues, se glisser dans son anus.

*Non !!! Non pas ici !!! AU SECOURS NON !!!!*

Il...il allait la sodomiser ! Natsuki sentit ces dizaines de petits tentacules, très fins, se fourrer dans son étroite porte arrière, répandant de leur mucus lubrifiant dans ses entrailles...en remontant très loin. Mais la jeune femme n'avait hélas pas assez de bras et de mains pour lutter sur tous les fronts, elle se sentait de moins en moins forte à mesure que l'air lui manquait, elle recommença à tourner de l'oeil...jusqu'à ce que par miracle l'air ne lui revienne.

KUUUUUUUH !!!!

Elle poussa instinctivement une longue inspiration, mais paniqua encore d'avantage en voyant que le tentacule dans sa bouche ne s'était absolument pas retiré, au contraire. Comment étais-ce possible ? Elle était en train de...de respirer à "travers" ce tentacule, qui du coup, continua sa route encore plus profondément...bien trop profondément.

Hnnnnn....nnnnnn...

*Pitié...au secours...*


Des larmes étaient en train de couler depuis ses yeux et tout le long de ses joues...mais ce qu'elle subissait n'était rien, rien en comparaison de la douleur qu'elle ressentit, quand le troisième tentacule phallique s'enfonça dans son cul.

HMMMMM !!!! HMMMMMMMMMMM !!!!!!

Ce fût un choc, au sens propre du terme, car quelque chose d'aussi épais qu'une canette de soda, du moins ce fût l'impression qu'elle en avait, se fourra d'un coup dans son anus, la perforant presque. Ce fut si intense et douloureux qu'une puissante décharge éléctrique lui parcoura le corps. Ses mains se déplacèrent cette fois pour essayer d'empêcher le tentacule de s'enfoncer encore plus loin, en vain...ce qui la fit encore plus paniquer. Elle hurlait, tentait de se débattre, car ce n'était plus seulement la peur de se faire violer qui la traversait maintenant, alors que ce tentacule commençait à remonter le long de son intestin.

*Il va me tuer !!! NON !!!! NON JE VEUX PAS MOURIR !!!  AU SECOURS !!! PITIÉ !!!! NOOOOOON !!!!*

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 12 mercredi 31 janvier 2018, 21:02:34

La Créature, qui n’avait jamais connu un tel plaisir auparavant, se faisait longuement plaisir. Elle se tortillait sur place ruisselant et grouillant le long du corps parfait de la jeune femme. Ses tentacules se multipliaient, et, sans le réaliser, la Créature avait les yeux plus gros que le ventre, allant jusqu’à mettre en danger la sécurité et la vie de son hôte. Mais il fallait bien comprendre que la Créature était jeune, presque un bébé, venant à peine de sortir de son cocon, et à qui on lui présentait un corps parfait. Sous ses tentacules gluants et gélatineux, la Créature pouvait sentir la doucereuse peau de la petite beauté. Elle s’y frottait, l’appréciait, l’explorait, en découvrait l’anatomie, mais en se développant bien plus que ce que son jeune corps pouvait supporter. Et, plus la Créature explorait le corps de la femme, et plus elle pouvait sentir le point central.

Très clairement, la Créature appréciait beaucoup la mouille de la jeune femme, ce délicieux liquide qui agissait sur elle comme une onctueuse fontaine de jouvence. La mouille se déversait sur son corps, et, tandis que les tentacules pénétraient la femme, la Créature s’enfonça dans son vagin, étirant ses tentacules. De multiples pattes filèrent ainsi le long du tentacule principal, et remontèrent le long de l’utérus de la femme. Ce fut là que la Créature comprit, là qu’il comprit qu’il se trompait en explorant les autres parties du corps de l’hôte. C’était là, très précisément, que la Créature trouverait le terreau de son propre développement personnel.

Elle se rapprochait donc fortement de cette zone, curieuse, impatiente, tandis que, peu à peu, son hôte s’effondrait. La Créature elle-même sentait ses multiples tentacules se détacher, se fissurer, se réduire. La Créature muait, se transformait, évoluait, se réduisait, se concentrait... Et, peu à peu, alors que l’hôte avait fini par succomber, la Créature disparut. Elle se réduisit fortement, laissant derrière elle son mucus, ainsi que quelques spores, qui filèrent vers les neurones de sa cible, se nichant dans son cerveau, tandis que le corps de la Créature même s’enfonça dans cet espace chaud et délicieux qu’elle aimait tout particulièrement. Le petit monstre s’y terra donc, se rétractant de plus en plus, conservant néanmoins des spores un peu partout, dans les muscles de la femme, dans ses bras, ses jambes... Et dans son cerveau.

La Créature se déplaça donc, et prit conscience que l’hôte ne réagissait plus. La Créature réagit donc, et en profita pour prendre le contrôle, rejoignant des synapses. Peu à peu, il joua avec ce corps, et remua sa main... Ou, plutôt, ses doigts, puis ses orteils. Le monstre y allait calmement, jusqu’à pouvoir mieux comprendre le fonctionnement de ce corps. Encore une fois, il agissait instinctivement, et le corps se redressa lentement, avant de se relever... Et la femme sortit, bras ballants, avançant mollement, telle une espèce de poupée désarticulée.

Il avait laissé un signal, une trace pour le ramener au bon endroit... La spore située dans le premier être qu’il avait rencontré.

Cujo.



« Natsuki-chan ?! Le repas est prêt, ma chérie ! »

La voix d’Asuka, la mère de Natsuki, ne sembla pas vraiment réveiller la jeune fille. Asuka soupira légèrement. C’était le week-end, et leur fille avait souvent l’habitude de dormir, mais, aujourd’hui, c’était un jour particulier. Asuka et Takeshi, le père de Natsuki, partaient aujourd’hui en vacances pour deux semaines. Partir sans leur fille était un peu dur, mais il s’agissait à la fois de vacances, mais aussi d’un moyen de reconstruire leur couple... Et, par ailleurs, c’était aussi un excellent moyen pour Natsuki de voir si elle serait capable de gérer seule la maison.

Cujo se déplaça alors, et grimpa rapidement les marches, puis rejoignit le lit de Natsuki, bondissant dessus, avant de lécher goulûment sa joue.

C’était la spécialité de Cujo pour la réveiller...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 13 mercredi 16 mai 2018, 12:54:22

Tout ça fut rapidement de trop pour Natsuki qui, en sentant le tentacule remonter encore plus profondément dans son cul, finit par céder sous la douleur et la terreur qu'elle ressentait. Incapable de pouvoir s'échapper, seul le fait de tomber inconsciente sembla être pour elle une échappatoire...sans vraiment savoir si elle allait finir par se réveiller.
C'est sous d'intenses coups de langue, bien familiers, que la jeune lycéenne finit par émerger...chez elle, dans son lit.

Hnnnn C-Cujo !!!

Le fier saint-bernard ne manquait jamais une occasion de réveiller sa jeune maîtresse ainsi, ce qui était très régulier à l'orée du week-end, où Natsuki faisait souvent une grasse matinée, dans un sommeil où elle entendait rarement sa mère l'appeler. Repoussant délicatement son chien qui, une fois assuré que sa maîtresse était réveillée descendit du lit, Natsuki se redressa alors, sa couverture tombant du haut de son corps, elle pu alors constater qu'elle était nue.

*Hein ? Je...je n'ai pas mis mon pyjama hier soir ?*

De fait...Natsuki n'avait absolument plus aucun souvenir de ce qui s'était passé la veille. Non seulement son esprit avait décidé qu'une amnésie partielle était le meilleur moyen de ne pas finir traumatisée, mais il y avait aussi de fortes chances pour que le parasite qui avait pris place en elle aie facilité cette perte de mémoire. Natsuki essaya tant bien que ma de se souvenir, mais fut bien vite rappelée hors de ses pensées par la voix de sa mère qui résonnait en bas, et Natsuki vit alors l'heure...

Je...J'arrive maman !!

Réveillée, Natsuki bondit hors du lit et enfila quelques vêtements, à savoir un petit short blanc ainsi qu'un débardeur rose, elle ne prit même pas la peine d'enfiler de sous-vêtements pour gagner du temps, et ce n'est de toutes façons pas comme si elle avait prévue de sortir aujourd'hui. La jeune fille descendit au pas de course dire bonjour à ses parents, suivie de Cujo, afin de manger son repas et d'aider aux préparatifs. Ses parents profitaient en effet du début de ces vacances scolaires pour partir, et laisser pour la première fois Natsuki en charge de la maison. Natsuki avait été insistante sur le fait qu'elle pouvait gérer la maison seule, car elle sentait bien depuis maintenant plusieurs mois que ses parents...avaient un peu du mal dans leur couple, et elle se disait que deux semaines seuls, en amoureux, pourrait les aider à renouer quelques liens qui risquaient de s'éroder à cause du temps.
Elle fut donc beaucoup trop occupée pour penser au fait qu'elle n'avait aucun souvenir de sa journée de hier, elle aida ses parents à préparer leurs valises, à les mettre dans la voiture, et à s'assurer que tout était bon dans la maison pour que Natsuki puisse être indépendante pendant ces deux semaines. C'est après une longue étreinte, et la promesse d'appeller tous les jours, que les parents de Natsuki montèrent dans la voiture et laissèrent leur fille seule...même si ce n'était pas tout à fait le cas, car Cujo, le solide saint-bernard, resterait là pour tenir compagnie à Natsuki et garder la maison. Il avait beau être un gros nounours, Cujo était un chien massif qui était très protecteur, surtout à l'égard de sa jeune maîtresse qui s'occupait beaucoup de lui, et qui ui prodigua d'ailleurs un gros câlin pour le rassurer alors qu'il gémissait au départ des parents.

T'en fait pas mon gros, il reviendront dans deux semaines. Et puis je suis là, moi je m'en vais pas.
Bon, il faut que je fasse un peu de ménage...


La jeune femme fit donc rentrer le chien et ferma la porte d'entrée à clef, avant de commencer à passer le balai dans le rez-de-chaussé.
Toujours bien incapable de se souvenir que dans son utérus, un parasite extra-terrestre s'était installé...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Thing [PV]

Réponse 14 mercredi 16 mai 2018, 13:53:18

La Créature sommeillait dans le corps de la proie. Après leur folle nuit, elle avait eu le temps de se développer, de mieux comprendre le fonctionnement de son hôte. La Créature était alors posée partout en elle, car elle avait étiré ses tentacules dans tout son corps. Ce faisant, la Créature avait pu prendre connaissance de tout son corps, et avait passé plusieurs heures à étudier davantage le corps de Natsuki, et, surtout, à se rapprocher de l’autre parasite, celui implanté en Cujo. Son « fils « avait grossi dans le corps du chien, et le corps du chien avait été bien plus facile à contrôler. Le parasite s’était répandu, et la Créature attendit patiemment. Il avait fouillé dans les neurones de la femme, exploré sa mémoire. Il connaissait son nom, ses parents, et, à partir de là, avait continué à étudier les mœurs sociales et les comportements de ces créatures. Il savait donc que les autres individus dans la demeure étaient les « parents » de son hôte. Il comprit aussi qu’il aurait davantage été dans son intérêt de se rapprocher d’un autre hôte, mais il était difficile de le faire. La Créature était liée à Natsuki, qui était son hôte. C’était donc avec elle que la Créature comptait agir, et elle commença par attendre, patiemment, que les « parents » s’en aillent. Natsuki se déplaça ensuite pour faire le ménage, et Cujo continua à la suivre.

Cujo avait d’ailleurs un comportement très étrange, car il ne sortait pas, et n’avait pas faim non plus. Or, à cette heure-là, le gros chien aimait toujours sortir dans le jardin, ou se couchait sur un pouf pour dormir. Mais là, il suivait Natsuki, la langue pendante, et, quand la jeune fille sortit un aspirateur, il lécha son genou, avant d’aboyer en la regardant :

« Wouf ! Wouf !! »

Que voulait-il donc ? Pourquoi un tel empressement ? Natsuki portait de courts vêtements, étant après tout toujours en petite tenue, et, quand elle se pencha pour le caresser, Cujo lécha encore ses doigts... Mais, contrairement à d’habitude, ce contact était différent. La langue de Cujo semblait... Particulière. Il se frotta encore contre Natsuki, et aurait presque pu ronronner s’il était capable de le faire. À l’intérieur de son corps, sous d’épais monceaux de poil, son corps était en train d’évoluer. De fines lignes se formaient à hauteur de son ventre, et, quand Natsuki se retourna pour commencer à faire le ménage, des pointes rosâtres émergèrent du corps de Cujo, formant les pointes de tentacules gluants et visqueux.

La Créature était là, et, à travers le contact de la langue de Cujo, s’était relié plus facilement au parasite. Encore une fois, la Créature se déplaça dans le corps de Natsuki. Tout cela bien prit quelques minutes, car, même si l’être connaissait maintenant le corps de son hôte, il savait aussi qu’il était très compliqué à manipuler. Si Natsuki avait consciemment oublié sa folle nuit, inconsciemment, elle en était marquée. Natsuki se retrouva finalement dans le salon, devant la baie vitrée donnant sur le jardin, quand la Créature commença à influer directement sur elle. Le désir monta alors brusquement dans son corps, et Cujo apparut ensuite, aboyant encore, et laissa derrière lui de la bave... De quoi sans doute énerver Natsuki, car elle venait de nettoyer ce passage.

La jeune femme se rapprocha donc, et, alors qu’elle se penchait pour nettoyer derrière Cujo, ce dernier la lécha alors au visage, puis insista encore... Et renversa brusquement Natsuki. Cujo se dressa ensuite au-dessus d’elle, et aboya encore, tandis que les tentacules situés sous son ventre commencèrent à caresser les cuisses de la jeune femme, avant de s’enrouler autour de ses jambes.

« Woof ! Woof !! »

Difficile de lutter contre Cujo, qui avait une masse phénoménale, et qui se rapprocha encore du visage de la belle Natsuki, et la lécha alors. Impossible de le repousser, mais, surtout, au fur et à mesure que Cujo la léchait, Natsuki ne pourrait s’empêcher de ressentir du plaisir.

La Créature agissait bel et bien...


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