Cognée ? C'était donc ça le mieux qu'elle avait trouvé pour camoufler son cri de plaisir pervers en plein examen ? Tout le monde allait se poser des questions, surtout les garçons proches. Ténébra les avait vus, avait senti les regards, les envies, la trique de certains ! Elle ne pouvait rater une telle occasion, elle fut emportée avec Mirella direction les toilettes. Sa petite soumise visiblement en manque tenta de se satisfaire toute seule, quelle audace ! Ténébra en souriait, elle profita de la position assise de Mirella pour se changer en un gros membre de cheval dans son cul, puis s'amusa entrer etsortir très lentement pour l'habituer à une telle dilation. Mais quoi que fasse la jeune femme, elle ne parviendrait pas à jouir seule. Ténébar la bridait sans l'avertir, comme pour la forcer à essayer encore plus, connaitre le manque ! Elle finit même par faire se volatiliser le gros gode canin et en profita pour s'étendre sur ses mains comme des gants de latex noir.
- Du calme, ma belle, il est trop tôt pour jouir, en plus... deux gars t'ont suivi et son devant la porte à manigancer un truc...
Mirella ne les voyait pas, mais pouvait se douter qu'avec sa discrétion actuelle... Elle était déjà grillée par les gars devant la porte d'entrée des toilettes. Ténébra qui en plus lisait dans les pensées de son hôte se rendait compte qu'elle voulait jouir au moins trois fois, ce qui lui donna une idée perverse parmi d'autres.
- Bien, voilà le plan, ils veulent jouir, toi aussi, alors chacun deux te fera jouir une fois, et mois je rattraperais leur nullité de l'intérieur...
Dit-elle avant de sourire dans la tête de Mirella, puis les gants se firent plus doux, plus chaud, elle put aussi sentir courir en elle Ténébra, une sensation étrange, brulante, celle d'avoir une forme de vie dans son organisme. Sa tenue se changeait pour une tenue de masochiste, culotte en cuir noir avec deux gros godes, un canin et l'autre équin. Le plus long dans son postérieur bien sûr ! Puis un petit bustier en cuir noir et les seins à l'air. Il lui manquait plus qu'une cravache pour qu'elle ait l'air d'une dominatrice. Elle pouvait aussi noter sur la culotte des boutons à pression retenant le tissu bloquant lui-même les deux godes. Facile à enlever, plus pratique pour se faire baiser. Et avant qu'elle ne proteste, elle put sentir Ténébra user de ses propres mains, pour lui retirer la chemise, puis la jupe.
- Maintenant tu vas sortir à leur rencontre... hmm, non je vais te montrer comment te comporter plutôt, je sais que tu as du mal avec les gars.
Puis elle se leva, Ténébra contrôlait son corps... Impossible de vraiment lui résister, elle pouvait tout voir, tout entendre, même sa propre respiration et sa voix, mais elle ne pouvait rien stopper. Elle pointait, et pas qu'à cause de l'air frais, elle était en feu de l'intérieur ! Arrivée face à la porte, alors que ses affaires étaient encore dans la cabine, elle marqua une pause. Puis ouvrit la porte d'un coup ! De l'autre côté deux étudiants de sa classe, grand, fort, beau gosse, mais connu pour leur caractère de merdes et leur façon peu aimable de changer de copine quand cette dernière se refuse à eux ? Pas le genre de gars patient, plutôt de ceux qui vous manipulent pour du sexe et vous jettent après usage. Tous deux avaient déjà tenté leur change et essuyé des vents auprès de Mirella.
- Bonjour, les gars, j'ai cru voir que vous me suiviez, envie de jouer peut-être ?
Dit-elle d'une voix suave et perverse, tout en se pourléchant les doigts et se penchant en avant pour leur offrir bien en vue sa poitrine ? Souriante, confiante, ce n'était plus la Mirella qu'ils avaient connue avant, mais une salope exposant dix ! Pourtant pas plus choqués que ça, ils lui touchèrent la poitrine, tout en la poussant dans les toilettes contre le mur. Le plus malin des deux ramassa une pancarte pour indiquer que le nettoyage était en cour et être certain que personne ne viendra. Là Mirella était fichue, mais n'était-ce pas aussi ce qu'elle demandait, trois orgasmes puissants ?
- Bien, tu vas faire quoi maintenant ? T'as intérêt à être à la hauteur de ta tenue.
L'autre la traita de tordue, mais il bandait quand même, quel genre de salope venait à l'école en cachant une tenue de bondage ? pouvait entendre Mirella de la part du second gars un peu derrière, le même qui avait mis l’encarte.
- Ohh, n'ayez crainte, sortez déjà vos gros engins maitres, je ne suis qu'une petite videuse de couille en manque... Regardez...
Elle écarta alors les cuisses le bassin contre le mur, défit les boutons à pression retenant le tissu et le tira lentement sous leurs regards... interloqués, la taille du gode en forme de bite de chien, trempé, qui glissa hors de sa chatte, puis tomba sur le sol et roula vers le mur.
- Hmm, je ne suis qu'une grosse chienne en chaleur, vous voyez ?
Il n'en fallut pas plus pour voir le premier sourire, sortir son engin et rassurer le second également, il bandait déjà comme le roc, une queue odorante, tendue vers Mirella, un ordre simple tomba alors :
- À genoux salope, et suce-nous bien si tu veux qu'on te passe dessus !
Et c'est là qu'elle put de nouveau sentir sa langue, son corps, ses bras et ses mains, mais pas ses jambes. Elle pouvait aussi sentir dans son cul le gode équin qui se tordait un peu, pulsait parfois et vibrait légèrement, tandis qu'au fond de sa tête elle entendait :
- Allez, à toi, n'ai crainte, s'ils vont trop loin je m'occupe d'eux, mais si tu veux encore jouir, ils sont un bon moyen de le faire.