Alix n’était pas dans une position avantageuse. Ses bras étaient toujours immobilisés dans son dos, et elle allait devoir se forcer pour réussir à pénétrer Doutzen. Impossible, en effet, de piloter sa queue avec sa main, ou de s’appuyer sur elle. Doutzen la mettait durement à l’épreuve, mais c’était aussi le genre de choses qu’elle avait vécu. Elle s’était souvent retrouvée avec une queue masculine, bandeau autour des yeux, à devoir guider son sexe dans le corps de ses Maîtresses, sans pouvoir s’appuyer sur elle. Fort heureusement, Doutzen était compatissante, et posa une main sur son fessier, écartant ses parois anales, facilitant ainsi le passage pour la queue d’Alix, ce qui lui permit de la mettre en elle. Doutzen se pinça les lèvres en crispant les doigts sur le lit, et sentit Alix se tortiller sur place, essayant de ne pas perdre sa position dans le fondement de Doutz’, mais aussi de s’y enfoncer. Sa queue devait être très serrée, et forcer le passage était dur, vu que les parois ne se dilataient pas, et qu’il n’y avait pas de place pour la queue d’Alix.
Et, pour ne rien arranger, Alix, qui était sur le point de jouir, devait encore tenir cinq minutes. Grâce à un miroir situé devant elles, Doutzen pouvait voir le visage rubicond de la jeune femme, en sueur, les joues et le reste du corps tout rouge. Doutzen sourit ensuite quand Alix, en haletant, crachant de la salive sur son corps, glissa que Doutzen était « toute étroite ».
« Hmmm… Haaaaannn… C’est… Haaaa… C’est ta queue qui… Qui est t-trop… Trop grosse, hmmm… !! »
Pour le coup, Alix lui offrait de sacrés coups de pilon. La belle hermaphrodite était vraiment surexcitée, et elle allait devoir tenir, sous ce rythme, pendant cinq minutes. La douleur éclatait dans le corps de Doutzen, qui se tortillait encore sur place, poussant des cris puissants, de longs soupirs, serrant ses doigts sur le lit, criant encore. Elle ferma les yeux pendant quelques secondes, avant de les rouvrir. La douleur se concentrait dans son cul, mais, par vagues, elle se répandait dans le reste de son corps, la faisant soupirer. Sa mouille glissait le long de ses cuisses, tant elle aimait ça. Alix avait beau vouloir se retenir, elle était comme un navigateur sur une rivière avec un fort courant. Impossible de s’arrimer, impossible de s’arrêter, et, plus sa queue se plantait en elle, plus le cul de Doutzen se dilatait, rendant les pénétrations bien plus simples. Son cul s’élargissait, et Alix s’enfonçait ainsi longuement en elle.
Elle avait trouvé le bon rythme, et Doutzen s’amusa encore à la regarder. Yeux clos, Alix gémissait faiblement, tellement excitée que Doutzen croyait voir des larmes couler le long de ses yeux clos. Elle était dans un autre monde, la bourrant, puisant dans d’ultimes réserves pour ne pas jouir, tandis que les minutes défilaient, pour elle, avec une lenteur terrible. Inversement, Doutzen ne voyait pas le temps passer. C’était une sodomie brutale, passionnée, renforcée par toute la frustration d’Alix, qui lui offrit cinq minutes de bonheur.
Cinq minutes pile, d’ailleurs ! Dès que la montre de Doutzen sonna, Alix poussa un long soupir… Et hurla en jouissant. Un hurlement qui devint ensuite silencieux, tant le plaisir semblait la traverser, l’assommer. Elle se mit à jouir énergiquement, probablement son plus bel orgasme, vidant ses couilles dans le cul de la belle blonde. Un vertige la saisit ensuite, tandis que Doutzen, qui avait également hurlé, réalisa qu’elle avait atteint un orgasme. Les joies de l’orgasme anal, un plaisir féroce et vertigineux, qui laissa la jeune Doutzen pantoise. Tandis qu’Alix s’étalait sur le lit, Doutzen elle-même s’affala avec bonheur sur les couvertures, le cul endolori, ses cuisses baignant dans sa propre mouille.
*Oh bon sang…*
Un moment passa avant que Doutzen ne roule sur le lit. Alix était toujours couchée, les yeux hagards, perdus dans le vide. La jeune adolescente se redressa doucement, et posa sa main sur le torse d’Alix, avant d’aller doucement l’embrasser.
« C’est très bien, Alix, tu as tenu… Je suis sûre que ça a dû être le plus bel orgasme de ton existence, hein ? »
Question relativement rhétorique, vu la manière dont Alix semblait sonnée. Doutzen la retourna doucement, et libéra ses bras en défaisant les boucles et les nœuds.
« En tout cas, tu m’as défoncé le cul, tu sais… Je crois que je vais avoir du mal à m’asseoir demain… Et probablement tout le reste de la semaine aussi. »
Doutzen libéra les mains d’Alix, et resta ensuite agenouillée à côté d’elle.
« Je dirais que tu mérites une récompense pour avoir tenu cinq minutes, Alix… Mais que puis-je bien t’offrir comme récompense, hum ? »
Elle se déplaça doucement, et se mit à califourchon sur elle, ses mains gantées venant presque machinalement caresser les seins de la femme.
« Je crois que le mieux, c’est que je t’accorde un fantasme… Une chose que tu aimerais faire subir à ta Maîtresse, petite chienne effrontée… Ou peut-être que ton fantasme, c’est que ta Maîtresse te torture encore plus, hm ? »
Difficile à dire…