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Condamnée aux supplices (PV: Helel >:3)

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Anne-Lyse de Montfort

Humain(e)

Condamnée aux supplices (PV: Helel >:3)

lundi 04 septembre 2017, 18:23:08

Ruinés. Plus un sous. Pauvres. Misérables. Nous n'avons plus rien. Les jeux d'argent et l'alcool avaient eut raison de mon paternel qui venait de nous condamner, ma mère et moi. Nous avions tout. Le luxe, l'argent, le confort, les amis... Et tout nous avait brutalement été arraché. Au revoir ma superbe chambre de 30m2, au revoir ma Porshe 911 turbo, au revoir mon splendide dressing sur mesure... Même Kronk, mon mastiff tibétain de 80 kgs nous a été enlevé. Que pouvions-nous faire ? Toutes nos économies envolées, nous n'avions eu d'autres choix que celui de quitter notre propriété pour aller s'installer dans un appartement minable.

Dès lors, la vie n'avait plus rien à voir avec celle que nous avions dans le Passé. Mon père se noyait dans l'alcool tandis que ma mère, autrefois si fière et si noble, se retrouvait à travailler dans un bar médiocre en tant que serveuse. Elle qui avait pour habitude de vivre dans le luxe depuis sa naissance ne supportait pas sa nouvelle condition. Nous n'avions aucun moyen d'y remédier... Du moins, c'est ce que je pensais.

Un soir comme les autres, ma mère rentrait du travail après une rude journée. Je constatai avec stupeur que son mal être habituel n'était plus. Elle souriait... Chose extrêmement rare depuis que nous étions sans le sous. Ce soir là, elle vint vers moi, me répétant sans cesse à quel point elle m'aimait, qu'elle était désolée, qu'elle avait fait ce choix pour le bien de la famille... Je ne comprenais pas. Avait-elle démissionné ? Elle me caressait les cheveux, glissant ses doigts frêles et abîmés par le travail dans ma chevelure dorée.

- Tout va bien se passer, ma chérie. Il m'a promis qu'il ne te ferais aucun mal... m'avait-elle susurré d'une voix tremblante.

Choquée, je l'avais vivement repoussée et interrogée pour comprendre ce qu'elle avait fait. Puis, lorsque je vis une masse énorme et menaçante se dresser dans l'ombre, je compris bien vite qu'elle m'avait trahie. Mon cœur s'était emballée et la peur m'avait complètement noué l'estomac. Elle m'avait vendue. Moi, sa propre fille...

- Je... Je ne supportais plus de vivre ainsi... Ton père et moi nous... nous avons besoin d'un nouveau départ... tu comprends... ?

Le visage déformé par le dégoût, je la fixai avec dédain. Comment avait-elle pu me faire ça ? J'avais tenté de fuir. De quitter cette vie misérable, ces parents immondes, cet appartement en ruines.. Mais le démon auquel ils m'avaient vendu m'avait bien vite rattrapée. Je lui appartenais. Corps et âmes. Et j'étais condamnée à passer le reste de ma vie à ses côtés, en Enfer.


**********

J'ouvre lentement les yeux, luttant contre le mal de crâne qui m'assaille. Un soupir de soulagement s’échappe de mes lèvres entrouvertes tandis que je réalise que toute cette histoire n'était qu'un affreux cauchemar. Je ne peux retenir un sourire, ravie de constater que tout va bien. Après tout, ma mère n'aurait jamais pu faire une chose pareille ! Pourtant, je reviens peu à peu à moi et réalise avec effroi que je ne suis pas chez moi. Le lit dans lequel je me trouve est particulièrement moelleux et confortable. Les draps sont doux, épais et dégagent une délicieuse odeur de propre. Mes iris fouillent la pièce du regard et je hoquette de surprise devant la beauté de cette chambre. Cet endroit respire le luxe et pendant un bref instant, j'ai l'impression de me sentir chez moi. Mon vrai chez moi. Mais je ne suis pas chez moi. Et je ne sais même pas où je suis...

Paniquée, je m'empresse de quitter ce lit douillet pour déposer mes petons sur le sol glacé. Le contact de celui-ci me fait frissonner et je peux sentir les poils de mes bras se redresser. J'avance de quelques pas et... m'arrête. Je ne peux plus avancer. Ma tête pivote pour que je puisse regarder derrière moi et je remarque que je suis attachée. Une lourde chaîne en acier relie mon petit poignet au lit à baldaquin. Instinctivement, je tire dessus comme une forcenée et essaie de me libérer, en vain. C'est alors que je commence sincèrement à paniquer tandis que mon corps fragile se met à trembler. Haletante, je souffle bruyamment et continue de lutter contre la chaîne de toutes mes forces, sans y parvenir. Non non non non... NON ! Ce n'était pas un rêve ! Cette connasse m'a vraiment vendue ! La douleur me fait serrer les dents et je m'empresse de battre des cils pour chasser ces larmes qui me brouillent la vue. Je vais mourir... Je vais mourir !

Mes jambes flageolent et je m'écroule sur le sol devant cette évidence. Me voilà prise au piège, attachée dans cet endroit qui m'est inconnu . Je suis épuisée et mes nerfs sont sur le point de lâcher. Pourtant, je m'aide de mes pieds pour prendre appuie sur le lit et continue de tirer, ignorant les larmes qui coulent le long de mes joues et la douleur qui me meurtrit le poignet. Je ne veux pas mourir.

Anne-Lyse de Montfort

Humain(e)

Re : Condamnée aux supplices (PV: Helel >:3)

Réponse 1 lundi 04 septembre 2017, 22:32:33

Je sanglote comme une gamine, à la fois frustrée de ne pas pouvoir me libérer et terrorisée à l'idée de finir le reste de mes jours en Enfer. Soudainement, cette pensée me fait m'arrêter et je reste immobile quelques instants, observant la pièce de nouveau. Suis-je vraiment en Enfer ? Tout est si... Beau et richement décoré. L'endroit est beaucoup trop chic. Mon regard se pose sur la fenêtre derrière puis sur le ciel azuré, dépourvu de nuages. Pas de ciel couleur rouge sang, de nuages de fumé, d'âmes torturées, de monstres difformes... Je ne peux pas être en Enfer. Mais alors où suis-je ?

Je jette un coup d'oeil à mon poignet endoloris lorsque la porte s'ouvre, me faisant tressaillir. Une masse immense se tient dans l'encadrement de la porte et je déglutis, reconnaissant celui qui m'avait poursuivie pour m'empêcher de fuir. Cette fois-ci j'en suis sûre... Ce n'était pas un rêve. Ma fréquence cardiaque augmente brutalement et je tire de nouveau sur la chaîne, affolée face à cet homme qui fait 2 fois ma taille. Il s'approche de moi et mes yeux se remplissent de larmes. Je vais mourir. Il va me tuer, là, tout de suite. Dans un élan de désespoir, je commence à le supplier avant même qu'il n'ait eut le temps de prendre la parole.

- J-...je vous en supplie... ne...ne me tuez pas... Je ne veux pas mourir, p-pas comme ça..... dis-je d'une voix tremblante devant ce gigantesque colosse. Pathétique.

"Tu ne vas pas mourir", me dit-il. Je cligne des yeux à plusieurs reprises, me débarrassant au passage de mes larmes. Il n'a pas l'intention de me tuer ? Les chaînes se mettent à crépiter et je les regarde disparaître avec stupéfaction. Il n'est pas humain. Je masse mon poignet dont la chaire a rosi et pose mes yeux sur l'homme qui se tient face à moi. Sa taille plus qu'impressionnante me laisse sans-voix, et je ne parle pas ce corps musclé qui aurait de quoi faire pâlir Héraclès lui même. J'avale ma salive, perturbée par cette beauté brute et sauvage. Je n'avais encore jamais vu un homme aussi séduisant.

Il s'approche encore et j'ai un mouvement de recul. Ses énormes paluches pourraient me briser la nuque en une fraction de seconde et même si il affirme ne pas me vouloir de mal, je ne peux m'empêcher d'avoir des doutes. Pourtant, il vient me serrer dans ses bras et mon coeur rate un battement. Je plaque mes petites mains sur son torse et tente de le repousser mais il ne bouge pas d'un cm. Etant donné ma force, je ne sais même pas si il réalise que j'essaie de chasser. Il est tellement imposant que j'ai l'impression de n'être qu'une pauvre biche apeurée dans les bras d'un prédateur redoutable. Son corps puissant s'écrase contre le mien et je frissonne lorsque mes seins se lovent contre son torse. La chaleur qu'il dégage me coupe le souffle et j'entrouvre les lèvres pour mieux respirer.

L'un de ses doigts se niche sous mon menton et je relève doucement la tête, plongeant mon regard inquiet dans le sien. Je suis pétrifiée. Il prend la parole et je l'écoute attentivement, rougissant lorsqu'il parle de mon sort. Moi ? L'une de SES femmes ? Cette idée ne me réjouit pas du tout mais en même temps, je la préfère à la mort. Mais qui est-il ? Comment s'appelle-t-il ? Quel âge a-t-il ? Une multitude de questions se bousculent dans ma tête et je lui répond à voix basse.

- M-m-mais vous êtes si grand et... je... je n'ai que 17 ans... je ne peux pas devenir votre... votre femme...

Sa main se glisse sous mon fessier et je pousse un petit cri de stupeur, m'accrochant à ses épaules pour ne pas tomber. Mes pieds quittent le sol et je frémis, posant d'abord mes mains sur son torse avant de glisser mes bras autour de sa nuque pour essayer de maintenir à certain équilibre. Il a tellement de force que j'en ai des vertiges. Il me demande si je suis prête à accepter cette nouvelle vie et je me mordille la lèvre, détournant le regard. Ai-je le choix ? Ma traîtresse de mère m'a vendue sans état d'âme et il est évident que je ne fais pas le poids face à cette montagne de muscles saillants. Je reste silencieuse et écarquille les yeux lorsqu'il me demande de l'embrasser. Mon coeur bat à cent à l'heure et mes frêles épaules se mettent à trembler. J'avale ma salive et halète, paniquée à l'idée de devoir poser mes lèvres contre les siennes.

- Mais je... je n'ai pas...

Incapable de finir ma phrase, je m'empourpre d'avantage. J'avais déjà embrassé des garçons mais jamais sérieusement. Mes aventures amoureuses datent de l'école primaire... Jusqu'à présent, j'ai toujours attendu de tomber sur la bonne personne. Mais désormais, je n'ai plus le choix. Hésitante, je m'approche lentement et m'immobilise lorsque nos lèvres ne se retrouvent plus qu'à quelques centimètres l'une de l'autre. Mon souffle chaud s'écrase contre sa bouche et je m'approche une dernière fois, venant coller mes lèvres roses et charnues contre les siennes. Mon corps chétif se presse contre le sien et je tremble légèrement, soucieuse de sa réaction.


Anne-Lyse de Montfort

Humain(e)

Re : Condamnée aux supplices (PV: Helel >:3)

Réponse 2 mardi 05 septembre 2017, 02:15:55

J'inspire brutalement, choquée lorsqu'il m'annonce qu'il a la ferme attention de me féconder. Je n'ai pas envie de tomber enceinte et encore moins à mon âge, avec un homme qui n'est pas l'amour de ma vie. Non... Ce n'est pas du tout ce que j'avais prévu. Mon petit coeur pulse à tout rompre dans ma poitrine mais j'évite de le contredire, préférant lui faire croire que je n'y vois pas d’inconvénients. Pourtant, je n'ai clairement pas envie qu'il me prenne ma virginité et j'entends bien le lui faire comprendre au moment où il essayera de passer à l'acte.

Mes lèvres pulpeuses viennent s'écraser contre les siennes et je l'embrasse maladroitement, peu habituée à ce genre de contact charnel. Je ferme lentement les yeux mais n'ose pas bouger, ni même tenter d'insérer ma langue dans sa bouche. Néanmoins, je le sens mouvoir sous mon corps puis glisser une main dans ma chevelure blonde comme les blés. Cette approche me fait délicieusement frémir mais lorsqu'il m'oblige à rester la bouche ouverte, je ressens comme une légère appréhension.

Comme je le redoutais, sa langue impétueuse vient se glisser contre la mienne, me faisant tressauter. Celle-ci vient flatter ma langue, la caressant et la goûtant pour mieux s'enrouler autour, le tout avec une sensualité déconcertante. Je ne peux m'empêcher de couiner sous ses assauts, médusée par l'agilité dont il fait preuve. C'est une vraie première pour moi et je me demande si tous ces bruits humides et embarrassants sont normaux lors des échanges buccaux.

Sa forte odeur de mâle mêlé à son baiser malsain me font doucement perdre la tête. Mes couinements tendent vers les aigus tandis qu'une douce chaleur commence à irradier mon bas ventre. Toutes ces sensations nouvelles provoquent en moi une vague de frissons incontrôlables et je ne réalise même pas que je ne respire plus depuis une dizaine de secondes. C'est lorsque le colosse se retire que je reprend enfin mon souffle, le rouge aux joues et la langue légèrement pendante.  

- Aaahh... aaaaahh... c'est... on ne m'avait jamais embrassée de cette façon... dis-je d'une voix suave, haletante.

Je le laisse s'approcher de mon cou et frissonne quand il se met à le renifler. Cet acte pourtant anodin m'excite au plus au point et je me mordille la lèvre inférieure, serrant les cuisses pour calmer mes ardeurs. Puis, il me soulève comme si je ne pesais rien et je couine aussitôt, attrapant ses larges épaules pour me maintenir dans cette position embarrassante. Je me demande un bref instant ce qu'il compte faire jusqu'à ce que son regard se pose sur ma petite poitrine qui n'a pas encore terminée sa croissance.

- Qu'est-ce que v-... HAWN ! Noooooonn, pas mes seins...!

Les joues cramoisies, je le regarde faire et pousse un petit cri lorsqu'il s'en prend à l'un de mes mamelons. Je ressens quelques vilains picotements liés à la douleur mais au moment où sa langue vient entourer mon téton, je penche la tête en arrière tout en lâchant un soupir d'extase. Qu'il est plaisant de voir cet inconnu se livrer à des activités si malsaines... Mon corps devient brûlant et j'éprouve même quelques difficultés à respirer convenablement.

- Han ♥ Arrêteeeeez... je vous en priiiie.....!

Je ne suis pas une fille facile... Mais ces mots refusèrent de sortir de ma bouche. Mes doigts délicats se glissent dans ses cheveux alors que je sens quelque chose gonfler et appuyer contre mon intimité. Sur le coup, je ne comprends pas de quoi il s'agit mais au moment où ladite chose se met à pulser contre ma petite culotte, je devine bien vite de quoi il retourne. Une érection. Et pas des moindres. La brusque réalité me sort de mon état et je commence à paniquer, ondulant du bassin comme pour y échapper.

Heureusement, il me repose au sol et j'en déduis qu'il n'a pas l'intention de me dépuceler. Cependant, je le sens forcer sur mes frêles épaules qui ne mettent pas bien longtemps à lâcher sous la pression qu'il exerce. Je m'agenouille donc, fixant avec crainte l'énorme chibre qui se trouve sous mes yeux. Est-ce la taille normale pour un membre ? J'en doute fort. Il me demande de défaire sa ceinture et je bafouille, hésitante.

- Je... je n'ai jamais fait ça....

Alors que je m'attends à un peu de compassion de sa part, sa main puissante vient appuyer sur l'arrière de mon crâne, m'obligeant à écraser mon nez contre sa virilité odorante. La présence de son pantalon ne m'empêche pas de sentir l'odeur de sueur qui s'en dégage et je le sens qui appuie de plus en plus fort, jusqu'à ce que mon visage se retrouve coincé entre sa queue et la paume de sa main.

La peur commence à prendre le dessus sur l'excitation mais je sais que je n'ai pas vraiment le choix. Je décide donc d'obéir, utilisant mes petits doigts pour retirer sa ceinture et la déposer plus loin. Je m'arrête pendant quelques instants et retire sa braguette avant de grimacer, dégoûtée par les effluves particulièrement prononcées qui se dégagent de son caleçon. Putain... C'est quoi ce délire ? L'idée de devoir lécher ça ne m'enchante absolument pas et je prends mon temps, appréhendant au maximum le moment où ma langue viendra s'écraser contre le tissu.

Je ne peux pourtant pas y échapper et mes lèvres viennent se poser contre les bourses bien remplies du démon. J'y dépose une série de baisers humides avant de sortir ma petite langue baveuse pour humidifier la zone. L'odeur est vraiment insupportable mais je m'empresse d'en prendre une en bouche, l'aspirant en creusant les joues tandis que ma langue ne cesse de s'agiter pour satisfaire le fauve. Je lui en veux de m'obliger à subir une telle humiliation et mon regard vient se nicher dans le sien, illuminé par la colère qui m'habite.
« Modifié: mardi 05 septembre 2017, 14:01:49 par Anne-Lyse de Montfort »


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Tags : viol demon adolescente vierge