De retour à l'école, le couple s'est adonné à une après-midi des plus routinières. Boxe pour Yasu', volley pour Hana', prendre une douche, ranger, nettoyer. Rien d'exceptionnel et comme prévu, aucun signe des sbires de Mélinda à l'horizon. La vampire a bien choisi son jour, un vendredi, probablement pour profiter d'Hanabi tout le week-end. Pourtant, c'est elle qui se retrouve à leur merci, pour tout le week-end et plus encore. Bien sûr, ils gardent en tête le délicieux corps de leur captive, il ne faut pas trop la faire languir. Une brève attente augmente l'excitation, l'intensité des émotions ressenties mais, une attente trop longue tue l'envie et Hana' sait qu'elle doit éviter ça. Sans le dire franchement, elle va harceler Yasu' de textos du genre : "Alors ? Mélinda t'excite ?", "Je te vois déjà en train de la prendre comme une chienne.", "Son cul doit être confortable après toutes les bites qui l'ont élargi.", etc. Son but est de le pousser à quitter plus tôt, lui mettre des idées en tête. De toute façon il a déjà la réputation de partir quand il veut et d'abandonner ses responsabilités alors, une fois de plus ou de moins ... Dans le cas d'Hanabi c'est différent, c'est une gentille fille, déléguée de classe, sérieuse, exemplaire, elle n'oserait pas avoir un tel comportement voyons !
Finalement, Yasuhiro fini par craquer, comme prévu, comme d'habitude, il quitte précipitamment le club de boxe, prenant une douche rapide et attrapant ses affaires pour foncer à la maison. Quand il arrive à la porte de l’appartement, il est un peu moins de seize heures et cela fait environ deux heures que Mélinda est saucissonnée à l'intérieur. Deux heures recroquevillée à même le sol, sans pouvoir voir, entendre autre chose qu'une bande son, sans pouvoir toucher, goûter ... Sur la plupart des filles, avec le stress de la capture en prime, cela suffi à les désorienter considérablement, à les rendre vulnérables pour la suite du programme. Pourtant, il se doute déjà que ce sera plus compliqué cette fois-ci, qu'il aura besoin qu'Hanabi se creuse la tête pour la faire plier. En attendant c'est à lui de préparer le terrain, lui n'aura pas à réfléchir particulièrement, il doit seulement la baiser encore et encore, jusqu'à ce qu'elle aime ça, jusqu'à ce qu'elle en redemande. Enfin, il a quand même son petit rituel de bienvenue, il ne va pas déroger à la tradition qu'il a lui-même créé.
Le jeune-homme rentre, jette ses affaires sur le canapé du salon et se dirige directement vers la douche pour admirer son cadeau. Elle est toujours là, bien empaquetée, elle s'est juste mise sur le dos tout en étant bien incapable de bouger davantage. Les bonnes vieilles techniques pour garder les salopes tranquilles. Il la regarde quelques secondes, avant de profiter qu'elle soit sur le dos pour presser son pied contre sa joue, la forçant à tourner la tête. Son pied pivote de droite à gauche, comme pour écraser un mégot de cigarette et il apprécie la vue de cette petite princesse déchue qui lui sert de paillasson. Son pied quitte le visage de Mélinda pour la pousser à nouveau sur le côté, il se penche sur elle et arrache l'adhésif qui maintient les écouteurs et le baladeur en place, avant d'éteindre et de poser le tout sur une étagère.
"Bien ! Voyons voir ce que nous avons là !", le ton est enjoué, il attend ce moment depuis une semaine. Son pied vient se poser sur l'un des genoux de la vampire, avant de le pousser afin qu'elle roule sur le côté. De retour à sa position initiale, la captive va maintenant être inspectée. Yasuhiro se met à genoux et lui assène une grosse claque sur sa fesse gauche, palpant son derrière sans retenue, avant de s'en servir comme appui pour se pencher au-dessus d'elle. Il regarde sa petite culotte, place son nez à proximité et commente :
"Hum, ça sent la pisse. Je ne savais pas que la grande Mélinda Warren faisait encore pipi au lit ... Tu veux qu'on t'achète des couches ?". Sans attendre davantage, il glisse deux doigts de sa main libre sous le morceau de tissu, avant de les insérer dans son vagin. Il continue de commenter :
"Dit donc ! C'est bien chaud là-dedans, ça glisse tout seul en plus ! Ne me dit pas que te retrouver dans cette situation t'excite ? Tu es vraiment sûre d'avoir besoin d'être dressée salope ?". Hilare, il abat son autre main à plusieurs reprises sur le cul de Mélinda :
"Bien, bien ! Hana' avait raison, tu feras une chienne parfaite ! Je le sens !". Yasuhiro retira ses doigts avant de les essuyer contre les parties du visage de son invitée qui ne sont pas recouvertes de bande adhésive.
Le jeune-homme est reparti ensuite, pour tirer les rideaux et faire de la place. Puis, il va fouiller dans leurs affaires de dressage pour en sortir ce dont il a besoin, à savoir : des sangles de cuir de toutes tailles et l'un des godes les plus gros qu'Hanabi possède. Yasu' revient auprès de Mélinda et la porte jusqu'au salon pour la déposer au sol. Son but est de la préparer pour la suite, de la dévêtir sans la libérer pour autant, une étape amusante de vaine lutte. Une solution simple et sans douleur existe : l'endormir avant mais, cette étape est l'occasion de montrer sa supériorité physique sur elle, de commencer à la soumettre. Alors, il ne va pas s'en priver, au pire il n'aura qu'à la frapper un peu si elle gigote trop. Son cutter en main, il commence à découper les liens et morceaux d'adhésifs qui la maintiennent en position fœtale. Ses jambes, ses poignets, ses bras, tout est encore attaché mais, elle peut désormais s’allonger de tout son long. Sans attendre et sans douceur, il la retourne sur le ventre, appuyant son genoux sur le bas de son dos pour littéralement la clouer au sol. Une fois qu'il la tient bien, il commence à placer une première sangle passant sous ses aisselles pour s'enrouler autour de ses bras, les maintenant ainsi contre son corps. Il place une seconde sangle plus bas, juste au-dessus de ses coudes avec la même fonction. Maintenant qu'elle ne peut plus écarter les bras, Yasuhiro va pouvoir détacher ses avants-bras pour les manipuler sans lui laisser la moindre chance de résister. Il découpe cordes et morceaux d’adhésif, en veillant bien à ne pas entailler son cadeau, arrachant simplement ceux qui sont trop proches de la peau pour être découpées. Comme il va immédiatement lui maintenir les bras, elle ne peut strictement rien faire. Yasuhiro n'a plus qu'à lui remonter les avants-bras dans le dos, jusqu'à ce qu'ils soient perpendiculaires à son corps puis, les lier ensemble avec des sangles de petite taille. Il n'a plus qu'à prendre un plaisir sadique à serrer les sangles, jusqu'à ce que Mélinda soit totalement incapable de bouger, ses bras complètement bloqués dans son dos :
RésultatS'en suit une séance d'effeuillage où son uniforme scolaire est taillé en pièces, bout par bout. Même ce qui pourrait être simplement retiré est découpé, tous ses vêtements doivent être détruis. C'est un détail mais, détruire les affaires d'une lycéenne pour la transformer en vulgaire tas de viande sanglé a parfois un effet psychologique assez puissant. C'est comme les trafiquants d'êtres humains qui dépossèdent leurs proies de leurs passeports et de leurs moyens de les fuir. Le fait de se sentir littéralement tout nu rend faible, rend vulnérable et ce n'est que la première destruction, il y en a deux autres de prévues. Les seules choses qu'il reste à présent sur le corps de Mélinda sont les sangles, le collier à l'obsidienne fermé d'un cadenas, son bâillon à base de chaussettes sales, ses bandeaux pour les yeux et l'adhésif qui lui maintenait les poings fermés, toujours utile, Yasu' en a même rajouté un peu. L'étudiant se relève, la laissant à terre et se moque d'elle :
"Aller, debout ma salope !". Et si jamais elle est sur le point de réussir, il la poussera du pied pour qu'elle se vautre bien sûr. La seule chose qu'elle a le droit de réussir ici, c'est à le faire jouir. Tout en rigolant, il défait les bandeaux qui l'empêchent de voir puis, s'éloigne d'elle pour se mettre à côté du tas de tissu qui a autrefois été son uniforme scolaire, même ses chaussures ont été découpées. Maintenant qu'elle peut voir ce qui se passe autour d'elle, elle voit qu'elle est complètement nue au milieu d'un salon, tous rideaux tirés et Yasu' qui admire ses courbes sans une once de gêne, une grande paire de ciseaux à la main. Il lui montre les objets qui se trouvaient dans ses poches, photos, tickets, cartes, passes, paquet de chewing-gum, tout ce qu'il pouvait y avoir et il les découpe tranquillement devant elle en commentant :
"Ça ne te sert plus à rien, un vide-couilles n'a pas besoin de vêtements, de cartes, d'identité ... Tout ce qu'il te faut c'est ton collier, une laisse et un truc à lécher.". Une fois le travail terminé, il regroupe tout ce que Mélinda avait sur elle en arrivant et l'enfourne dans un sac poubelle en poursuivant :
"J'irais brûler tout ça dans un coin désert, personne ne le retrouvera jamais.".
Pour la dernière destruction, il va ouvrir le frigo et sort son téléphone portable sans sa batterie.
"Tu n'as plus besoin de ça non plus.", il sait que le portable n'aura pas le temps de se connecter au satellite du GPS en aussi peu de temps, alors il sort tranquillement une pince et commence à le tordre, à l'écraser. Morceau par morceau, l'appareil est réduit en miettes ou aplatit jusqu'à ce que tous les composants soient consciencieusement détruits. Il jette le résultat dans le sac poubelle, le ferme et le balance dans un coin.
"Bien ! Maintenant qu'il ne te reste plus que ton corps, il va falloir que je me l'approprie, même ça ce n'est plus à toi ma jolie.", joignant le geste à la parole, il empoigne ses cheveux, la force à se relever, se dirige vers la chambre et la jette sur le lit. Lui aussi se dénude, jette ses affaires dans un coin et viens derrière elle pour lui relever les fesses et lui plaquer le visage contre l'oreiller. Sans attendre, il enfonce son membre viril dans son vagin et commence à la prendre comme une chienne, basculant sa tête sur le côté de temps en temps pour qu'elle puisse respirer un peu.
"Tu as de la chance salope, tu vas devenir maman ! Génial non ?", conclu-t-il avant de la besogner frénétiquement.