Une grande famille [Sophiana Caldo]

Luxuria s’appliquait calmement à ses nouvelles fonctions au sein du Palais de Sha. Prêtresse de Lust, elle avait choisi, suite aux Épreuves de Wallündrill*, où elle avait participé en tant que Championne de Lust, de rejoindre le culte de Sha, afin de se rapprocher de sa famille. En effet, Luxuria avait appris qu’elle était intimement liée à Sha et à Kiriko. La jeune femme était une Homoncule, c’est-à-dire une femme artificielle, créée à partir d’un corps, que des alchimistes avaient animé en lui greffant l’âme d’une personne morte. Et cette âme, c’était celle de Nausicaa, l’ancienne fille de Sha et de la précédente incarnation de Kiriko, Misha. Sans être techniquement la fille de Kiriko, Luxuria était quand même ce qui s’en rapprochait le plus, et, comme elle avait toujours eu, au cours de sa longue existence, des besoins affectifs déficients, elle y avait vu l’occasion, non seulement de trouver une famille, mais aussi de permettre un rapprochement entre le culte de Sha et celui de Lust. Pour toutes ces raisons, elle avait donc suivi Kiriko et Sha, et avait assisté à l’édification de ce gigantesque palais.

Sha n’avait jamais fait dans le grandiloquent, mais elle avait pourtant conçu une structure très vaste. À l’aide de ses sorcières, de ses Orcs, et de beaucoup d’ingénieurs, d’ouvriers, et d’architectes, elle avait construit une vaste place forte, non seulement pour elle, mais aussi pour Sanguilia, car elle s’était également rapprochée de ce culte, suite à une aventure qui les avait opposées à Zeus**. Suite à cette altercation, Sha avait compris que sa résurrection était menacée, et que de redoutables ennemis allaient s’opposer à elle. C’était pour ça qu’elle avait hâté l’édification de ce fort. Maintenant, le palais était terminé, et Sha avait réservé toute une aile pour elle et sa vaste famille.

Luxuria, de fait, se trouvait dans une belle nurserie. Les murs étaient de couleur roses, et les fenêtres donnaient sur un beau jardin. Il y avait également beaucoup de chats, un chat par enfant, et ces derniers, pour le moment trop petits pour avoir une chambre, faisaient paisiblement la sieste. Kiriko, comme à son habitude, était venue voir si Arya et Abigail, ses deux filles, allaient bien, et leur avaient fait la tétée. De fait, il y avait déjà plusieurs filles, mais d’autres bébés étaient encore à venir. Sha avait envie de se doter d’une grande famille. Par exemple, Mélisandre Swann attendait un petit, et il y avait aussi l’enfant de Sanguilia.

Sha passait aussi beaucoup de temps à la nurserie, observant avec le sourire ses bébés. Et c’était à Luxuria de veiller sur elles. L’Homoncule était malheureusement inféconde, mais savoir qu’elle serait la « nounou » de tous ces bébés l’aidait à compesner ctete souffrance. Bien sûr, tout en étant nourrice, Luxuria n’avait pas oublié ses racines. Prêtresse de Lust, elle aimait énormément le sexe, et savait aussi que, à terme, elle se chargerait de l’éducation sexuelle de tous ces beaux petits bébés...

*...Mais, pour l’heure, je les laisse surtout se reposer.*

Tous avaient un chaton pour leur tenir compagnie, posé, soit à leurs pieds, soit à côté d’eux. Après tout, il ne fallait pas oublier à quel point Sha aimait les chats. Non seulement étaient-ils beaux et très doux, mais ils étaient aussi, magiquement, d’agréables caisses de résonance, retenant la magie, et permettant d’apaiser les émotions. Ce n’était pas pour rien que les sorciers aimaient beaucoup leur compagnie. Et, vu que les enfants de Sha promettaient d’être très puissants magiquement, il n’y avait qu’intérêt à mettre des chats en leur compagnie.

Luxuria veillait donc sur elles, sans savoir encore qu’une jeune femme allait venir voir la nurserie…


* : Cf. RP « Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori » ;
** : Cf. RP « Après l’effort ».

Un vrai labyrinthe ce palais, je me serais perdue depuis un moment si on m'avais pas donner les indications pour rejoindre la nurserie de Sha. Mais pourquoi la nurserie et de qui venait cette invitation ? Une nouvelle femme de la maîtresse des lieux, une ou un esclave voulant me connaître ou même Sha, elle même ? Vu l'endroit, tout peu m'arriver mais je n'avais jamais eu de rencard à une nurserie.

C'est donc nue, encore, que je m'y dirige à mon aise. Seins rebondissant et tête remplie de question, il me fallu une grosse heure pour rejoindre la pièce rose qui me fit briller des yeux quand je rentre lentement dans la pièce, pas assez stupide pour me dire qu'il n'y a pas de bébés à l'intérieur, j'ouvre doucement la porte.

La surprise fit de mise quand je vis tant d'enfants qui dégageaient autant de magie et le ronronnement des chatons, dans leurs berceaux, qui résonnent dans toute la pièce vaste et rose, me faisant manquer le faite qu'il y ai une nounou qui me fixe et me reluque sans comprendre ce que je fais là.

Tout ces ronronnement me font dressée ma queue féline et secouer mes oreilles qui bougent dans tout les sens, cela réveille également mon côté tigresses et me fait fortement ronronner, en coeur avec les autres, quand je m'approche du premier berceau, attendris par cette ambiance.

Ma queue tangue lentement quand je me penche sur le berceau pour admirer les deux bouts d'chou s'y trouvant. Je sursaute d'un coup ensentant une main se poser sur le bas de mon dos, lâchant un couinement étouffé par ma main avant de me tourner pour voir de qui il s'agit. Un grand sourire illumine mon visage de démon quand je vis la belle brune aux yeux rouges me regarder avec un léger sourire en coin et se pencher à mon oreille pour savoir qui je suis en le murmurant. Je lui répond avec le même ton.

Excusez moi, je ne vous ai pas vu. Enchantée, je suis Sophiana Caldo et.. on m'a demandée de venir ici. Est-ce vous ?

L'aura que dégage la jeune femme me fait penser à celle d'un démon et, par reflexe, je viens déposée ma main sur le bas de son dos avant de parcourir les contours de son fessier du bout des doigts, sans la lâcher du regard, mes yeux saphir plongeant dans ses deux rubis sensuels.

Sophiana Caldo... Le nom ne lui était pas inconnu. Sha avait récemment reçu la visite d’Onyxian Magoa, l’une de ses puissantes alliées infernales. Quand Onyxian avait été bannie de son clan, il y a des siècles, elle avait erré sur Terra, et y avait retrouvé Sha. À cette époque, l’Ombre n’avait pas encore été bannie, et Sha avait aidé Onyxian à obtenir plus de pouvoirs, et à lui permettre de récupérer le contrôle du clan Magoa. Leur relation n’avait toutefois jamais cessé, et, quand Onyxian avait appris que ce palais avait été construit, elle avait décidé de venir. La finalité était sans doute, pour elle, d’être enfantée par Sha. Onyxian avait depuis longtemps compris qu’il n’y avait pas meilleure façon de faire des alliances qu’en ayant des enfants. Une procréation était bien plus efficace qu’un simple mariage, après tout. Et Sophiana faisait partie des personnes ayant accompagné Onyxian. Nul doute qu’elle aussi devait probablement chercher à tirer son épingle du jeu de cette situation, et que c’était pour ça qu’on lui avait conseillé de passer à la nurserie, ne serait-ce que pour voir le sort réservé aux enfants de Sha.

Outre la présence des multiples chats, la pièce était protégée par de puissantes runes magiques, et on pouvait sentir l’impressionnant pouvoir magique latent collectif qui s’étalait de tous ces bébés en train de dormir. C’était une véritable petite armée que Sha était en train de se constituer, mine de rien, et le spectacle émoustilla visiblement Sophiana, qui ne s’offusqua nullement de la proximité affichée de Luxuria, palpant même ses fesses.

« Hmmm... C’est possible. Moi, je suis Luxuria, ma belle... »

L’Homoncule lécha l’oreille de Sophiana, venant se presser contre elle, le corps de la femme heurtant le mur. Coucher à côté des enfants, ce n’était peut-être pas raisonnable, mais ils faisaient la sieste. Et puis, il fallait bien admettre que les bébés dégageaient, collectivement, une aura d’apaisement, qui ne pouvait que favoriser ce genre de choses. Luxuria ne se sentait donc pas particulièrement gênée, surtout qu’elle sentait les pulsions de la femme, qui l’excitaient également.

« Je ne t’ai pas invité, non, je suis en charge de la nurserie... J’ignore qui t’a suggéré de venir ici, mais ça ne me dérange pas, bien au contraire. »

Elle l’embrassa sur les lèvres, caressant les cheveux roses de Sophiana, pendant que sa robe ondulait sur place. Contrairement à ce qu’on pouvait croire, ce n’était pas un simple tissu, mais un slime. Luxuria avait en effet hébergé depuis longtemps un Slime noir, qui prenait généralement la forme d’une élégante robe moulante, mais pouvait aussi s’adapter... Généralement pour prendre la forme d’une verge.

« Si on t’a dit de venir à la nurserie, c’est qu’il y a une raison. Est-ce que tu aimes les enfants ? Ou est-ce qu’Onyxian veut voir comment Sha s’occupe de ses bébés ? »

Par cette question, Luxuria confirmait savoir la volonté d’Onyxian d’avoir des enfants de la part de Sha... Mais quid de cette belle Sophiana à la peau nue ? Tandis que Luxuria l’embrassait tendrement sur les lèvres, son slime formait une sorte de membre phallique à hauteur de son bassin, et frottait cette texture, ressemblant à du latex, contre les cuisses de Sophiana...

Un long frisson d'envie me parcourut le corps dés que l'homoncule s'attaqua à mon oreille félin et me poussa contre le mur pour se coller d'avantage à moi. Mes ronronnements ne fait que s'intensifier et mes pulsions sexuelles grandissent à son contact, mes mains venant se crisper sur les fesses moulées de la nounou torride. Je ne tarde pas à remarquer l'aspect vivante de sa robe qui épousait ses courbes raffinés, mais, dans l'instant, je ne cherche pas à comprendre plus loin.

Il est clair que ça ne la dérangeait pas, que je sois présente, et son appétit sexuel du moment me fait dressée la verge qui se colle contre le ventre de la belle ténébreuse. Je prolonge le baisé avec elle, n'hésitant pas à laisser ma langue visite la bouche de mon amante surprise et de tournoyer avec la sienne.

je crois... que je peux prendre mon temps pour avoir la réponse de qui m'a demandée de venir ici...

Je reviens lui rouler une pelle sans attendre plus avant de me couper quand je sent la nudité de la "démone" se dévoilé en un coup contre moi. Nos seins se retrouvant collés et mes mains connaissant la chair généreuse du fessier de celle-ci. Je baisse alors le regard sur la sensation de latex sur mes cuisses et glousse en voyant un mandrin dur, en latex, se trouvant collés contre mes cuisses.

Cependant, les questions de Luxuria me fit arrêter un moment puis sourire grandement.

Oh... Onyxian est donc une alliée de la déesse... je dois donc en conclure que leurs enfants sont ici ? Je peux donc facilement savoir, pourquoi j'ai été invitée ici... Onyxian, petite cachottière perverse..

Je glousse longuement et penche ma tête sur le cou de Luxuria pour passer doucement ma langue, remontant jusqu’à son oreille pour le mordiller sensuellement avant de revenir poser des suçons sur son cou. Pendant ce temps, ma jambe gauche remonte le long de celle de mon amante pour venir s'enrouler autour de la hanche de celle-ci, comme pour lui proposer de visiter un endroit plus... humide et étroit, ma main gauche remontant aussi pour se saisir du sein de celle-ci et le soupeser avant de le masser délicatement tandis que mon autre main s'accroche a sa fesse.

Cette pièce me donne des envies perverses, mes ronronnements s'intensifiant alors que ma queue féline vint se frotter le bout sur l'intimité de Luxuria, je ne contrôle quasiment plus mes gestes, mais, étrangement, je n'ai pas envie d'être brutale... comme si toute la magie et ronronnements me rende sensuelle.

Sensuelle et torride dans sa longue robe noire moulante, Luxuria attirait naturellement toutes les envies. L’Homoncule faisait tout pour se rendre séduisante et sensuelle, après tout. Créée par des scientifiques en utilisant le corps de l’une des anciennes filles de Sha, elle avait été recueillie dans un premier temps par Lust, et était devenue, suite à ça, une Homoncule très perverse, très joueuse. Là, face à Sophiana, Luxuria se laissait aller, et sourit en sentant un chibre répondre au sien. Seulement, là où la queue de Sophiana était une « vraie » verge, celle de Luxuria n’était qu’une excroissance de sa tenue slimesque, prenant la forme d’une verge, ce qui ne fut pas sans donner des idées à la femme.

« Tous les enfants de Sha sont ici, sous ma protection... »

Sha était revenue à la vie depuis quelques années, et était en train de reconstituer son pouvoir. Un pouvoir qui remontait lentement, et s’insinuait en elle, et l’avait amené à vouloir se reproduire. Sha avait maintenant un petit troupeau en stock. Et Luxuria les protégeait énormément, étant aussi douée au lit que douée de ses griffes. Elle sentait contre elle les ronronnements de Sophiana, ses frottements, ses mains peloteuses, qui palpèrent sans hésitation son fessier moulant, ou sa bouche s’attaquant à ses seins. Soupirant lentement, Luxuria sourit, et répondit donc, en posant ses mains sur le cul de Sophiana, et serra fort, griffant même au passage son cul, faisant se dandiner la femme.

Puis, toujours en souriant, l’Homoncule passa aux choses sérieuses. Sa verge slimesque s’ouvrit brusquement, formant comme une sorte de fleur dont les pétales s’écartèrent, libérant des tentacules noirs qui s’enroulèrent autour de la queue de Sophiana, et serrèrent son membre, puis l’abaissèrent.

« Ce n’est pas qu’un simple habit, Sophiana, comme tu sembles le comprendre... Cette robe a un véritable lien symbiotique avec moi. »

La queue de Sophiana disparut alors dans la fleur, les pétales se refermant sur elle, et commencèrent à pomper ce membre, appuyant dessus, le remuant de haut en bas. La verge de Sophiana avait droit à une magnifique masturbation en règle, le tout formant une sorte de bosse à hauteur de la robe de Luxuria, pendant que la « fleur » slimesque continuait à pomper ce dard, des tentacules s’enroulant autour de sa queue, de multiples langues jaillissant des parois internes de la « fleur » pour titiller ce dard, glissant sur ce membre veineux.

« Hmmm... J’aime ta grosse bite, Sophiana, tu sais ? » gloussa-t-elle.

Luxuria se pinça les lèvres malicieusement, continuant à jouer avec la queue de la femme.

Moi qui aime les expériences inédites, je peux dire que c'est une première pour moi. Cette fellation slimesque est, tout simplement, divine, me faisant gémir sensuellement contre la démone. Ma main sur son sein lui massant doucement et calant sa pointe entre mes doigts pour le pincer à ce même rythme. L'autre lui mettant une légère claque sur la fesse avant de la masser tout aussi tendrement, mes ronronnements ne s'arrêtant pas d'amplifier sous le plaisir de cette fleur qui me suce avec une intensité peut descriptible.

Et que... pourrais-tu faire... avec ma... mmmmh.. grosse bite ?

J'avance ma tête vers la gorge de Luxuria et lèche lentement la peau tendre de celle-ci, venant le mordiller peu après pour y mettre quelques suçons sensuels. Cette fièvre de plaisir ne cesse de grimper en moi, pour la première fois, je ne sais même pas comment tout cela va finir, sachant que je ne contrôle aucun de mes gestes. D'ailleurs, ma main finit par se glisser entre les fesses de mon amante, dont mon majeur vient se loger doucement dans son rectum, plongeant profondément en elle pour aller et venir sensuellement.

Au final, ma tête descend toute seule sur le sein libre de l'homoncule, s'accaparant l'auréole pour le sucer et le mâchouiller délicatement, la langue fouettant la pointe délicieuse pour jouer avec. Les gémissements de celle-ci n'aident en rien au contrôle de mes gestes, à un tel point que je sens que je ne vais pas tarder à jouir dans cette fleur si étrange et trés perverse à la fois.

C'est que j'aime bien, en ce mo... Haaan !

Je me cambre un instant, lâchant un fort gémissement quand je commence à jouir dans la fleur suceuse, m'accrochant au sein de l'homoncule tout en me déhanchant sensuellement contre celle-ci. Elle peut même sentir que mes éjaculations sont conséquentes tout comme abondante, mon doigt se mettant à accélérer ses vas et viens d'un coup dans son rectum.

Sha... accepte les retards pour cause sexuelle ?

Je souris, amusée et soufflante d'avoir jouis autant, mais ma trique reste toujours aussi dur. Je viens m'accaparer dans la bouche de Luxuria pour l'embrasser langoureusement, nos langues et salives venant se mélanger à nouveau. Ma question semble idiote, mais vu les circonstances, on ne peut que comprendre ce que cela veut dire.

Luxuria sourit doucement devant Sophiana. Elle lui faisait découvrir une situation assez exceptionnelle, forniquant avec elle à l’aide de sa robe slimesque. Une robe très particulière, car elle n’avait de « robe » que le nom. Luxuria s’était alliée il y a fort longtemps avec une Slime, une Slime qui avait choisi de rester proche d’elle. Sophiana avait donc face à elle une amante redoutable, très douée. Elle n’était pas une championne de Lust, la Déesse de la luxure, pour rien. La belle queue de la démone terranide remuait dans ce slime, et Luxuria frémissait en la sentant remuer contre ses cuisses. Sophiana se blottissait à elle, et la jeune femme finit par avoir un orgasme, se mettant à jouir dans le slime. Luxuria sentit son partenaire se tortiller sur place, provoquant une délicieuse onde de plaisir qui résonna dans tout son corps.

« Hmmmm... ! »

Pour ne rien arranger, Sophiana s’attaquait avec appétit au sein de Luxuria, qui était dénudé. Le slime s’estima toutefois comblé après cet orgasme. Il venait de se nourrir, et, tandis que Sophiana s’inquiétait d’un éventuel retard auprès de Sha, ce qui amena un nouveau sourire sur les lèvres de l’Homoncule, sa robe partit, se réduisant rapidement pour se concentrer à hauteur des gants de Luxuria. Nullement dérangée par cette transformation, Luxuria pinça les fesses de Sophiana, ses longs doigts griffus les serrant énergiquement. Ainsi nue, Luxuria exhibait à sa partenaire son corps magnifique et voluptueux, celui d’une femme d’âge mur, avec une magnifique chute de reins... Un corps parfait, en quelque sorte.

Mais, pour l’heure, Luxuria se devait de rassurer Sophiana, ce qu’elle fit à sa manière. L’une de ses mains s’appuya sur les cheveux de la femme, et elle redressa son visage, pour aller l’embrasser. Leurs lèvres se scellèrent ensemble pendant quelques instants avant qu’elle ne poursuive :

« Elle l’accepte... Seulement si tu me baises bien comme il faut ! »

Si Sophiana croyait qu’une simple décharge dans la robe de slime de Luxuria allait suffire pour épancher la soif de l’Homoncule... Ses lèvres intimes caressaient la très belle verge de son amante, attendant impatiemment le moment où Sophiana viendrait la pénétrer puissamment.