Prénom Norael
Nom Inconnue
Surnom Dovahkiin
Race Dov, dragon
Âge dix ans ou plusieurs millénaires selon le point de vu
Sexe complexe
Sexualité parfaitement bi
Expérience quelques-unes
~~~~ Histoire ~~~~
À travers tout âge, les mondes visités sont aussi étranges qu’intéressant. Et bien souvent, les connexions qu’ils ont entre eux les éloigne et les rapprochent en même temps. Et les êtres dotés d’intelligence qui les foulèrent sont tout aussi mystérieux, et régisse leurs vies à des forces mystiques, plus ou moins réelles. Certains tentent de les comprendre, d’autre de les maîtriser, et bien d’autre de les asservir. Ils y arrivent tous avec un succès pas toujours égal. Mais les plus puissants d’entre eux sont les Dov, les dragons.
D’immenses bêtes ailées, écailleuses et impitoyables. Fut un temps où il avait établi un règne presque total sur les mondes. Mais la nature est faite de sorte à ce que certains, pour la plupart en quête de pouvoir, se rebelle contre un ordre établi. Alors que l’apogée des Dov battait, et que les mortels les vénéraient comme des dieux, un homme parmi ces prêtres se souleva. Il se nommait Miraak. Il enseigna l’art de la voix, le tuhum, auprès des ailés pour s’en servir contre eux. Il apprit une magie permettant de dévorer leurs âmes. Ce fut le premier enfant de dragon, le premier dovahkiin.
Après sa mort, et bien que certains chapitres de l’histoire furent perdus, les dovahkiin se succédaient. Et alors que le dernier dov tomba de la main d’un héros, les enfin de dragon disparurent peu à peu. La suite de cette histoire se trouve dans les légendes de skyrim, mais l’histoire qui sera racontée n’est pas celle-là. Dans la bibliothèque du dieu démon Hermaus Mora, daédrique du savoir, est comptée l’histoire de Norael, seconde dovahkiin.
Après que Miraak mourut, les hommes qui avaient pu se développer redoutait la vendetta des dov. Et comme leur Rempart venait de tomber, les mages se réunirent pour trouver une solution. L’idée qui en ressortit était de créer un autre dovahkiin. Il choisir alors un nouveau-né qu’ils prirent des bras de sa mère, et du sang d’un dragon, ils l’injectèrent dans le bambin. Mais la réaction se fit vite sentir. Alors que l’extrémité des membres devenait écailleuse et que des cornes commencèrent à pousser, les mages prirent peur et tuèrent le bébé.
Seulement Akatosh devait veiller sur ce bambin, car la magie des hommes, le sang du dragon et sa bienveillance fit qu’une couche de stalrim, une couche semblable à de la glace et ayant de forte radiation magique, la recouvra. Dans son cocon, Norael se développa lentement, presque imperceptible. Et après des siècles, peut-être des millénaires, elle ne prit l’apparence que d’une femme de vingt-cinq ans.
Les mondes communiquant de façon non-formelle et de manière complétement chaotique, le cocon fut retrouvé il y a dix ans par des archéologues. Le gouvernement mit son nez dans cette affaire, et s’empara alors de la trouvaille. Le corps gelé fut transféré dans un centre sous haute surveillance, au Japon, dans la ville de Seikusu. Les scientifiques lirent près d’un an à extraire le corps, et Norael se réveilla que l’année d’après.
Le choc de la dovahkiin fut sans égal, lachant une grande vague de puissance de l’antique dov qui sommeillait en elle. Son tuhum lâcha un cri, un mot de puissance en langue draconique. Ce fut le Fus Roh Da, connu pour propulser n’importe quoi aux alentour. Et le sien rasa la moitié du centre de recherche.
Après cela, les hommes l’enfermèrent sous haute surveillance de peur que cela se reproduise. Mais, alors que la jeune femme en captivité et désespérait, c’est non un maton qui entra dans sa cellule, mais une scientifique. Alors que la longue blouse blanche était signe de danger pour la dovahkiin, l’intrus la retira pour lui montrer sa bonne intention. La conversation commença. Au départ, Norael ne maîtrisait que la langue des dov et les mots qu’elle avait entendus. Mais au fil de jours, elle apprit à une vitesse déconcertante. Une fois un bon vocabulaire, elle put sortir de la cellule. Une fois une tenue de soi apprise, elle sortit du complexe de surveillance.
La femme de science et la jeune draconique développèrent de bonne relation, parfois ambiguë même. Après trois ans d’apprentissage de l’histoire et de culture, Naoko, la scientifique, explique à son amie que ses supérieurs voulait la soumettre à des expérience, car selon eux elle ne serait pas conter comme perte humaine. Alors que Naoko était contre, la demoiselle accepta. Quelques années plus tôt, une autre forme de vies extraterrestre fut découverte. Les hommes l’appel « fibre vivante ». Cette espèce, semblable à du fil, prend la forme de vêtement. Mais chaque homme qui les porte, même à 10 % dans un vêtement classique, succombent. Norael, grâce a son sang de dov, put en vêtir un à 100 %.
Désormais la draconique travail en tant que scientifique, avec Naoko et Genryu, son vêtement. Elle travaille actuellement sur un portail, menant à un autre monde (Terra). Elle y est déjà allée plusieurs fois, sans établir de contact encore. Sinon, elle passe la plupart de son temps dans le complexe scientifique, secret malgré sa taille de plusieurs dizaines d’hectares. Les fois ou elle va en ville, son habit peut influencé la façon dont les gens la voie.
~~~~ Mental ~~~~
Comme la jeune femme est restée enfermer dans le stalrim, son caractère n’a pas pu se développer alors que son corps grandissait au ralenti. Ce qui fait que quand elle sortit de sa prison de glace, elle ne maîtrisait que la langue draconique. C’est au fil des rendez-vous avec le docteur Naoko qu’elle se forgea son mental.
Au départ, elle était méfiante. Depuis le souffle qui dévasta une partie du complexe, elle craignait les hommes en blanc. Ils représentaient une menace pour elle. Mais le docteur pu l’approcher et établir des contacts. Et au bout d’un certain temps, sa méfiance disparut peu à peu.
Norael fut elle-même surprise de son progrès. Ses sentiments propres se développaient. Elle apprenait à contrôler sa colère et ses pouvoirs et développait la compassion, l’amitié et l’amour. Une part humaine naissait en elle.
Mais l’âme du Dov toujours présent résiste. Et sa soif inconsciente de pouvoir la pousse à toujours se surpasser. Malgré elle, elle ressent le besoin d’être la meilleure dans tout ce qu’elle fait, d’être la première. C’est notamment grâce à ça qu’elle a une capacité d’apprentissage rapide, voire très rapide.
Toujours à cause de son sang de dov, un sang chaud, elle est impulsive et téméraire. Ella agit sans réfléchir et n’obéit pas toujours aux consignes qu’on lui donne. Cela mène parfois à des catastrophes sans nom. Mais en contre parti, il se trouve que son instinct de dragon prenne le dessus, prouvant à ses supérieurs son indispensabilité au groupe de recherche.
Ses talents en temps qu’hybridation lui confère des capacités surhumaines, bien que ça soit des classiques en quelque sorte. Elle possède une force décuplée, un souffle puissant et une apnée prolongée, des réflexes améliorés, un odorat surdéveloppé et une vision parfaite quel que soit le milieu dans lequel elle se trouve et la luminosité.
Ses collègues la surnomment Supergirl, l’héroïne de comics et modèle féminin de Superman. D’ailleurs, les deux personnages ont un métabolisme et un vieillissement lent, voir inexistant, ce qui renforce leurs ressemblances. C’est d’ailleurs ce surnom qui a rendu curieuse Norael et c’est penché sur la culture populaire.
La dovahkiin à une libido particulière. Son pouvoir de dragon lui permet de choisir si elle est féconde ou non, le sexe est donc pour elle un divertissement pur et simple. Ne se trouvant pas perverse pour autant, elle aime avoir des relations régulièrement et pas forcément avec les mêmes personnes. Le nombre, le sexe ou la taille des membres ne la repousse pas, du moment qu’elle prenne son pied pendant l’acte.
~~~~ Physique ~~~~
Quand elle fut endormie dans le stalrim, ce n’était qu’un bambin. Mais les siècles passants, son corps se développa jusqu’à ses vingt-cinq ans quand elle fut décryogénisée. C’était il y a dix ans. Pour certains, elle a donc dix années, d’autre compte depuis sa vraie naissance qui remonte, il a plusieurs millénaires. Mais ceci importe peu pour la principale intéressée.
Norael est indifférente à son âge, car elle sait que son corps n’est pas près de changer. Même si elle serait certainement morte il y a plusieurs siècles, et encore, elle sait que son corps est au plus jeune de sa vie et elle vivra très longtemps.
Son corps ne changera pas avec les âges, et elle semblera avoir vingt-cinq ans tout son existence. La magie des hommes d’antan figea ses écailles aux coudes et aux genoux, mais certaines sont également sur son visage, ses hanches et son cou. Le reste de son corps, la partie encore humaine, c’est développé également. Le stalrim ayant eu pour effet de la garder dans un corps le plus en forme possible, Norael à une musculature bien dessinée, des seins généreux et sous son imposante queue caudale de dov, des fesses rebondies.
Avec le sang de dragon, elle se vit pousser une paire de cornes aux allures gigantesques. Au début, elle les trouvait très peu pratique et tenta de les limer tel Hellboy. Mais aucun n’outil humain, même les plus perfectionnés ne put ne serais ce que les effrités. À ce jour au centre de recherche, c’est le matériau le résistant qu’il soit.
Ces deux cornes sortes d’une chevelure en bataille, des cheveux mi-court châtains hérissés qui cachent aussi la base de ses oreilles de dov. De petits ailerons écailleux, composés de trois piques et deux membranes d’écailles chacun, recouvrant les trous de ses oreilles et les protègent des bruit trop agressifs, étant bien plus sensible que la moyenne.
D’ailleurs, des écailles recouvrent les autres organes sensibles de la dovahkiin : ses yeux et son nez. De petites plaques écailleuses se sont formées pour lui assurer le bon fonctionnement de ses deux éléments. Plusieurs cicatrices arpentent le corps de la demoiselle, dont une a l’œil et qui fend une plaque d’écailles en deux. Elle se l’est faite en combat d’entraînement et lui apprit la limite de celles-ci.
Pour son habit, c’est plus compliquer qu’une simple tenue de combat. Les Fibres vivantes sont une espèce intelligente qui survit en s’accrochant à un hôte, comme les symbiotes. Les êtres humains ont une résistance pathétique à cette forme de vie, car même présent à 10 % dans un habit normal, ils sont incapables de maîtriser les pouvoirs offerts par le FV (fibre vivantes). Seuls les ados, entre 16 et 20 ans sont capables de les maîtriser jusqu’à 30 %, et garde leurs capacités de self-control sur les FV toute leur vie.
Pour Norael, c’est différent. Elle porte une « Tenue de Combat de Fibre Vivante », c’est-à-dire une tenue de FV à 100 %. Elle est capable de maîtriser cela, car les FV utilisent le sang de leur hôte, et le sang des dov est indomptable. C’est ainsi que le complexe lui créa Ganryu, sa tenue de combat. Celui-ci possède sa propre conscience et communique avec son hôte. Il peut agir une courte période sur les mouvements de Norael et est capable de prendre n’importe quelle forme, un peu comme les anneaux de pouvoir de green lanterne. Son habit est comme l’extension de son corps et il est facile pour Norael de l'utilisé pour son plaisir sexuel. Elle peut le transformé en jouet pour elle même ou en véritable virilité masculine pour jouer avec d'autre femmes, étant même capable de produire sa propre semence.