Kristina était perverse, vicieuse, malaisante parfois, surtout avec ce regard dominant, sûr d'elle et ce petit sourire en plus. C'était clair, c'était au tour d'Evernis de satisfaire son mâle à elle, après tout Shura lui avait fait une magnifique démonstration. Bien sûr certaines parties ne seraient pas les mêmes, l'animal n'aura sans doute aucun mal à trouver l'orifice qui lui ferait plaisir. D'autant plus facile que chez les femmes il est présent et à la bonne hauteur. D'ailleurs une fois en place le chien lui ne perdit pas de temps. Il s'élança, monta sa "femelle" et ajusta sa position par cacou sautillant un peu et finalement il trouva l'entrée assez facilement. Sous le regard de Shura et sa soeur, Evernis put découvrir un gros sexe canin, une verge longue, brulante, dur comme le roc. Mais surtout, cette sauvagerie animale, cet instinct le poussant à s'enfoncer autant qu'il le pouvait, puis frapper rapidement pour se satisfaire. Le mâle ne pensait pas vraiment à elle, il n'était pas là pour lui fournir un orgasme non... Mais pour se vider les couilles !
Il frappa donc à répétition, lové contre sa femelle du jour. Ses poils frottaient le dos de la jeune femme, le chien pensait sur elle de tout son poids ou presque. Il fit son affaire assez vite finalement, une petite minute et le voilà qui remplissait déjà sa femelle avec du sperme épais, chaud et gluant. La quantité n'était pas non plus exceptionnelle, sans doute plus qu'un humain, mais pas de quoi déborder hors du corps de la femelle. Cela envoyé, il ne se retira pas, il était dans le bon trou, et le savait visiblement, car son noeud gonfla et se bloqua en elle. Il déversa encore du foutre, puis se retourna hors d'elle lui tournant le dos, tout en restant bloqué avec elle.
- Rhoo, c'est trop mignon ! On dirait un couple d'amoureux !
Dis la maitresse pour souligner l'ironie de la chose, la cliente devra attendre que le chien se calme et que sa verge ressorte. D'ici là... Shura se présenta avec une trique énorme, non pas qu'elle ait changé de taille ! Mais il bandait comme un fou devant cette vision et les joues rouges demandèrent :
- Tu veux bien me faire jouir ?
Il la regardait presque implorant, il avait envie de jouir ! Se faire enculer l'avait terriblement excité, et cette vision aussi, puis sans permission de se masturber il ne pouvait rien faire. La grande soeur souriante repassa devant le groupe et regarda ses esclaves :
- Allez, jouer un peu ensemble aussi, on pourra se reposer ensuite, et réfléchir à quels animaux ont encore besoin d'attention.
On pouvait clairement sentir le regard de la soeur allez vers le box des chevaux...