Okio avait toujours mit des vêtements, à la limite de l'indécent ou carrément indécent, mais jamais en publique. Il avait souvent eu des avertissements policiers, ayant percer à jour son véritable genre et avec des vêtements un peu trop moulant et trop révélateur. Il portait presque chaque nuit, à la recherche d'un homme en manque ou pour aller à son boulot, des vêtements qui n'habiller peu, cachant parfois juste son bassin et son torse. C'était souvent la nuit tomber, peu de chance de se faire prendre par la police, connaissant les ruelles sur et cette à évité. Pourquoi je parle de ça ? Et bien Okio, voulant répondre à la demande d'un autre lycéen, c'était fais prendre par la police, très tôt le matin. Rien ne serait arriver, si Okio n'avait pas pour simple habit, un débardeur noir en forme de grille, ne couvrant que son torse, et encore, les troues assez gros pour laisser passer le petit doigts, une veste en similis cuir raccourcie, arrivant juste en bas du torse, ouverts dans le dos, un mini-short en cuir, prenant presque des airs de sous-vêtements, agrémenter d'une mini-jupe noir, moulant à la perfection son érection et des cuissards en latex noir, remontant juste au-dessus de ses genoux. Et sa sacoche, mais bon cela n'avait aucune incidence.
Atteinte à la pudeur et exhibitionnisme, il ne fallut pas plus pour les agents de polices, pour l'embarquer au poste. Okio faillit faire une crise de panique, à l'idée que l'ont appel ses parents, et surtout sa sœur, redoutant leur réaction, encore plus les risque qu'il encourrait, car il ne vivrait sans doute pas assez longtemps, si sa sœur lui met la main dessus. Il fut enfermer dans une salle d'interrogatoire, le temps que l'ont s'occupe de lui, d'après l'idée qu'il s'en fessait. On lui avait donner une veste, un chaise et de quoi boire. Il avait fait 10 fois le tour de la salle pour se calmer et finit la bouteille d'eau, qu'en enfin la porte se s'ouvrit à nouveau depuis un long moment.
-Met la veste et suis moi. Lui dit un policier, visiblement indifférent à l'apparence de Okio.
Ce dernier obtempéra avant de le suivre, ses talons claquant contre le sol, lui même claquant légèrement les dents de peur et de tresse. Traversant plusieurs couloir, sous les yeux intriqués de certaine personnes, parfois surprit, et deux-trois avec insistance, Okio ayant assez d'expérience pour savoir de quoi il retournait. Il fut mener à un ascenseur, ce qui le surprit, étant passer devant les bureaux, croyant que c'était là qu'on allait régler l'affaire. À l'intérieur, il se tenait à distance de l'agent, et essaya de prendre un air digne et fière, ne cherchant pas à donner pitié ou à supplier. Du moins jusqu'à ce que les portes s'ouvre sur un homme à la carrure imposante couvrant presque tout le champs de vision de Okio, qui perdit de sa confiance et de son assurance, se rapetissant devant l'homme qui devait bien faire 30 centimètres de plus, en plus d'avoir des airs de gangsters et de boxeur à la fois et une cicatrice barrait sa joue gauche.
-Je m'occupe de lui, restez ici. Dit-il de sa voix rauque.
-Bien monsieur. Répondit l'agent.
-Hein... mais... je... vous... vous suit monsieur ahah. Bredouilla Okio, quand l'homme vint à se pencher sur lui, obligeant Okio à se coller contre la parois du fond de l’ascenseur.
-Je préfère ça.
Il s'écarta, laissant passer Okio, qui comprit vite qu'il devait faire ce qu'il disait si il voulait s'en sortir. Il remarqua vite qu'ils étaient dans le parking souterrain, et qu'il était invité à aller vers une limousine, qui arrache à un sifflement à Okio, avant d'être plus ou moins forcer à entré dedans, l'homme à la cicatrice le poussant sèchement à l'intérieur, avant d'entré à la suite. Okio tomba plus ou moins sur un deuxième larron, tout aussi imposant que son comparse, qui l'aida avec rudesse à se remettre debout, alors que le premier entra à son tour dans la limousine, coinçant Okio entre eux deux. Inquiet, nerveux, le cœur battant à cent à l'heure, jambe tremblante, sourire nerveux, bras sur ses jambes, asseyant de se faire le plus petit possible. Il remarqua après quelque instant, l'homme en face de lui, chic, beau, riche et potentiellement plein d'emmerde pour notre pauvre Okio, qui ne pouvait que le regarder qu'avec crainte, car il ne comprenait pas ce qui était entrain de lui arriver, n'arrivant pas à trouver une explication.
Un regard insistant et oppresseur, l'homme observa fixement Okio, ce qui n'arrangeait pas son malaise et son tresse, qui mit le doigt sur sa présence ici : l'homme était ici pour lui et sûrement pas pour son bien. Ce fut après un long moment gênant, quand l'homme finit sa cigarette, qu'il prit la parole.
- Mmmm ! Donc c’est toi Okio si je ne me trompe pas. On peut dire que ta description est assez conforme as ce m’ont dit certains de ma clientèle. Clientèle d’ailleurs que tu as piratés dans certaines de mes activités.
L'information mit à certain temps pour atteindre Okio, qui se décomposa devant l'homme, quand il comprit de quoi il en retournait.
-Jejeje... n'ai rien fait ! Glapit Okio. J'y suis pour rien ! J'vous le jure ! Pitiez me faite pas de mal ! J'veux pas mourir !
Sans doute tétanisé, ou à cause des deux grands gaillards, Okio ne se jeta pas au pied de l'homme, pour se faire pardonne un affront imaginaire et que c'était surement le seule moyen de s'en sortir, la détresse dans la voix et se lisant dans ses yeux, manquant presque de pleurer, sur et certain qu'on aller lui faire payer pour une chose qu'il n'avait rien fais, si ce n'est que satisfaire son plaisir.
-P... pourquoi vous m'en voulez ? J'ai... j'ai rien fait ! Se lamenta Okio.