Il fallait bien avouer que ce bout de femme avait son caractère, qui n'était pas au goût du gérant, la jugea trop imbu d'elle même. Elle fessait fit des règles de sécurité, mais bon ce n'était plus de son ressort et il l'avait prévenue, il était payer et cela lui suffisait. Elle se dirigea donc vers sa nouvelle esclave, bien agiter, tandis que les deux hommes de mains finissaient d'attacher la cage à la charrette, alors que du monde, pousser par la curiosité, que se soit par Griffe Rouge ou pour qu'elle raison d'autre aller voir ce stand. Bruno finit d'attacher la dernière corde et retira ses gants, les rangeant dans sa ceinture et se tourna vers la nouvelle maîtresse de l'okami, tandis que l'orc vérifia qu'ils n'avaient pas oublier une attache.
« Où voulez-vous que nous la déposions ?
- Ouvrez la cage. »
En 15 ans de service, les seules fois où ils entendaient ces mots c'était une fois arriver à destination ou dans une arène, mais c'était bien la première qu'on lui disait d'ouvrir une cage, en pleine foule et sans aucune précaution. Sa réaction fut juste et il voulut raisonner la dame, mais celle-ci resta sur sa décision, arquant avoir . Il ne s'avoua pas vaincue et s’apprêta à répliquer, mais un geste de son employeur le dissuada d'en faire plus. Il céda, mais par pour autant rassuré. Mais il oublia vite en fait quand la femme retira sa bure, dévoilant un corps sensuel, cacher par un vêtement provoquant, suivit d'une onde de magie rose qui frappa la foule, admirative ou jalouse, quelque commentaire salace fusant doucement. Bruno et son camarade eurent rapidement une érection, quelque pensées obscènes caressant leur esprit, tandis que le gérant eu bien du mal à détacher son regard de la croupe de sa cliente, mit en avant par le vêtements, caressant nerveusement sa moustache, alors qu'une érection déforma son pantalon.
Même Griffe Rouge, porta à son insu elle un intérêt vers cette femme, bien que son envie d'un mâle était plus forte, le seul qui pouvait la satisfaire. Et cette même femme se rapprocha de Griffe Rouge, qui seulement grâce à ses chaleurs et pulsions de sexe, évita de la défigurer d'un coup de griffe, bien que l'envie était présente. Elle se mit à lui parler, et bien que Griffe Rouge comprit qu'elle parler de ne pas de faire mal, elle ne comprenait pas de quoi elle parlait par la suite. Contrôle et pulsion, voilà deux mots bien étrange. Mais tout de suite, Griffe Rouge glapit, sentant le désir s’accroître, mouillant ce qui lui servait visiblement de culotte, ce qui n'était pas pour autant une bonne chose, car ne pouvant se soulager, ce surplus de plaisir lui donner encore plus envie, conduisant à de la frustration.
Entre temps, la femme récupéra les clés de la cages et se remit à lui parler, mais Griffe Rouge n'écouta qu'une oreille, mordant et griffant sa cage, s'agitant toujours autant, cherchant à sortir. Une nouvelle onde de plaisir lui arracha une glapissement de surprise et elle glissa contre le barreau, le plaisir s’accroissant, aggravant ses envies et pulsions, quand bien même elle fut plaisante à sentir, il lui fallait consommer ce plaisir. Puis le plaisir disparue, en partie, arrachant un couinement à Griffe Rouge, ne comprenant rien de ce qu'il se passait. Elle retrouva un peu plus ses esprits, bien qu'elle ressente de la frustration, ce n'était pas pour lui déplaire, ses besoins bien moins pressant. Mais le plaisir revint, emportant avec elle un agacement et une pointe de colère. Cette situation commençait à la stresser, quelque jouant avec ses pulsions, ses besoins sexuelles ne cessant de changer. Mais un déclic la rappela à l'ordre.
Si Edessa fut celle qui déverrouilla la cage, ce fut Griffe Rouge qui ouvrit la porte, de manière violente en fonçant dessus. Bruno, ayant réussit à anticiper cela, tira la femme vers lui, évitant que la porte ne lui rentre dedans, bien que cela fut de justesse. Griffe Rouge bondit de sa cage, en furie, dévoilant ses crocs et déployant ses griffes devant, elle alors qu'elle se mit sur ses pattes en grognant. Si Edessa contrôle ses pulsions sexuelles et son plaisir, elle ne pouvait rien pour l'esprit sauvage et animal de Griffe Rouge, qui avant d'être une femelle en chaleur, était une bête en cage, stresser et en colère, et qui avait ressurgir à cette instant, malgré le plaisir irradiant, sentant la liberté s'offrir à elle.
La foule cria et recula, tandis que l'orc attrapa une masse attachée à sa ceinture. Griffe Rouge regarda Bruno et sauta. Ce dernier poussa Edessa sur le côté, pensant qu'elle allait l'attaquer et qui fut réceptionner par l'orc, qui l'attrapa délicatement, avant de l'éloigner. Mue par des réflexes de survit et de combat, acquits à force de se faire attaquer, Bruno évita le coup de griffe, laissant passer Griffe Rouge devant lui. Il lui attrapa le poignet et tira l'okami vers lui, mais son autre mains fila vers la hanche de l'homme, qui remercia son pantalon renforcer, n'écopant d'une simple griffure, au lieu d'être transpercer. De son autre bras, il attrapa donc l'autre bras de Griffe Rouge, et voulue lui tordre les bras, mais Griffe Rouge parvint à le faire chuter en arrière, tombant sur le doc et Griffe Rouge monta sur lui, cherchant à lui mordre le visage.
Mais disposant de plus de force, il la fit basculer et se retrouva audessus d'elle, l’écrasant de son poids et de sa force.
-Tout doux ma belle. Intima Bruno, alors que la mâchoire de Griffe Rouge claqua près de son visage. Tout doux
Il bloquant ses jambes du mieux qu'il put, il parvint à contenir l'animal. Il remarqua qu'il écrasait la poitrine de l'okami, réalisant qu'ils étaient plutôt généreux et moelleux, et qu'il avait toujours son érection et sous l'emprise de la magie rose, nourrissant quelque pensés et envie obscène. A force de bouger, l'okami s'épuisa vite, ronger par ces pulsions et qu'elle s'était bien épuiser à force de vouloir s'échapper de sa cage. Mais se n'est pas pour autant qu'elle se calma, cherchant toujours à fuir, la frustration et la rage se mêlant à son stress et à sa colère, en plus du plaisir qui l’empêcher d'agir comme elle voudrait. Le gérant descendit et s'enquit de l'état d'Edessa.
-Je voulais l'avez bien dit ! Ce ne sont pas des marchandises aussi facile et docile qu'on pourrait le croire. Mieux vaut pour vous de la remettre en cage.
-PLACE ! FAITE PLACE !
Une patrouille de garde déboula, le sergent ayant déjà sa main sur la garde de épée, commençant à dégainer légèrement, tandis que ses subalternes tenaient fermement leur lances.
-On nous à rapporter qu'une esclave s'était libérer de ses chaînes. Où est l'animal ? Scanda le sergent, dont les trait burinés ne cachaient aucunement ses envies de tuer la bête.
-Sous contrôle sergent. Lança le gérant allant à sa rencontre. Il y a eu quelque complication avec les dosages et une mauvaise estimation de son état a fait croire qu'elle était docile.
-Oh vraiment ? Et depuis quand es une raison pour ne pas tenir un animal en laisse ? Gronda le soldat.
-Nous allions le faire, mais la bête fut bien plus ardue à maîtriser et à anticiper. Rassurez vous, aucun blesser, pas de fuite, maîtriser et sa nouvelle propriétaire vas la remettre en cage.
-Je vais y veiller personnellement. Dit il. Mais cela ne sera pas sans conséquence.
-Voyez avec l’intéresser, tout ce cela c'est passer après que le contrat fut signer.
Le sergent lui adressa un regard mauvais, avant d'aller à la rencontre de Edessa. Malgré son corps et la magie rose, il ne fut nullement troubler, se maîtrisant bien ou ayant quelque protection magique.
-Que s'est t-il passer avec cette bête ? Lui demanda le sergent.