Le Culte de Nyx [Sarah Stomach]

Au cœur de Tekhos Metropolis, le Mao’s Place était un club nocturne très animé, et très branché. Il se trouvait au milieu de galeries marchandes et d’artères commerciales, l’ensemble disposant de sa propre station de métro. C’était ici que, la nuit, quantité de Tekhanes venaient danser, au rythme du dancefloor, sur fond de musiques électroniques, comme du Slyder, le tout sous la lumière éblouissante de stroboscopes.

Si le club ne payait pas de mine vu de l’extérieur, c’était parce qu’il s’étalait en profondeur. Quand on entrait, on arrivait sur une mezzanine donnant sur une immense salle cylindrique rouge menant en bas, où il y avait, au centre, un bar, et où tout le monde dansait, un long escalier circulaire permettant de rejoindre la zone de danse. Le Mao’s Palace affichait tous les soir salle comble, et, parallèlement à la piste de danse, proposait aussi des chambres, où de jeunes couples se formaient la nuit, et se déformaient à l’aube. Une jeunesse débridée en quête de loisir s’y défoulait donc. Tout cela ne posait en soi aucun problème... Si ce n’est que l’enquête de Sarah Pezzini l’avait amené à mettre au centre de ses recherches ce club nocturne.

Pour entrer dans le club, Pezzini avait sorti sa robe rouge moulante en latex, et, depuis lors, avait eu de multiples candidates. Il n’y avait que des femmes au Mao’s Palace, Tekhos oblige, mais Pez’ n’était pas venue là pour draguer.

*À vrai dire, je ne sais pas trop si ça va servir à quelque chose...*

Depuis quelques semaines, on avait constaté qu’il existait de multiples disparitions d’adolescentes. En soi, le problème était plutôt bénin, mais, dès lors qu’une personne déposait plainte, il fallait bien enquêter. Sarah s’était ainsi retrouvée à devoir enquêter sur la disparition de Lola Cheney, une adolescente de 19 ans, qui avait disparu du soir au lendemain. Après une enquête de voisinage, elle avait compris que personne ne semblait lui en vouloir personnellement, et avait commencé à se renseigner. C’est ainsi qu’elle avait appris que Lola Cheney, venant pourtant d’un quartier tranquille, fréquentait beaucoup le Mao’s Palace. En se rendant au lycée, elle avait entendu certaines filles lui parler de cet endroit, en lui disant que c’était dangereux.

C’était effectivement bien mince, alors Sarah avait élargi ses recherches. Elle avait ainsi découvert que, parmi plusieurs filles disparues, toutes fréquentaient ce club. Là encore, elle n’avait aucune preuve, mais suffisamment pour se rapprocher. Pez’ était donc sur place, se mêlant à la foule, embrassant des filles. Elle attendait d’être approchée par les personnes responsables des disparitions... Faute de pouvoir faire autre chose.


« Celle-ci... Non ? Qu’en penses-tu ? »

Sur un écran vidéo retransmettant ce que les caméras de sécurité filmaient, la femme voyait une belle dame en robe rouge embrasser à pleines bouches une cliente. Un tentacule noirâtre caressa alors la surface de l’écran. Elle tourna la tête vers son amant et maître, et constata que ce dernier était d’accord avec elle.

Nyx voulait cette femme...

Un jour de repos comme un autre se voit facilement et tous le monde en profite, ce qui est normale. En principe depuis le sauvetage de miss Spencer des griffes de cette méduse-boite qui l'avait totalement brisé en faisant en sorte que la détective privée devienne une mère pondeuse de bébé méduse molle et gluante comme un escargot. L'organisation privée Voguenweild ne s'étant pas soucier de la perte d'une membre de leur confrérie en préférer tourner la page mais l'I.A artificielle avait penser autrement et avait entreprit de prendre contact avec une autre organisation similaire diriger par une asiatique répondant au nom de M.O.M (manager de l'organisation Mystère), elle avait eut vent de l'information de cette ex-soldate tombée en disgrâce... Bien qu'elle aurait souhaiter prêter main-forte mais elle ne voulait pas créer de diplomatie par la présence de deux organisation qui aurait pu entrer en tension suite par le fait que M.O.M ait empiéter sur un territoire qui ne devait pas faire parti de leur plan. Transient a pu néanmoins pu retrouver la trace de sa maîtresse dans la profondeur de Seikusu soit a plus d'un kilomètre sous les égouts de la ville et c'est pour ça que la jeune femme fut porté disparue et qu'il ne fut pas possible de relever sa télémétrie (elle possède un bracelet électronique pour la localisation par satellite) donc de pouvoir la retrouver a temps. Bien que n'étant qu'une conscience propre autonome, il ne posséda malheureusement pas de corps matériel, le Centre envoya des hommes "repêcher" la dulcinée en faisant en même temps des prélèvements sur la dépouille de la méduse-boite pour faire des analyses et retransmirent un message crypté a l'armée de Tekhos.

Sarasvati fut prise en charge par eux concernant les soins et le rétablissement mais n'ont pas souhaiter la faire intégrer a leur base militaire car c'est une personne extérieur de l'armée et donc une particulière qui ne fut pas conçue pour être soldate de leur congrégation... Ce qui signifie que désormais et toujours, miss Stomach est une agente spéciale indépendante et en service auprès de la communauté civile (pour faire simple, elle sera vu comme une espèce de justicière de la nuit), elle n'agira pas aux yeux de la Loi mais continuera malgré a exercer sa fonction principale de retrouver les jeunes femmes portés disparue, elle pu même faire la connaissance du trio de l'équipe faisant partie du Centre Mystère mais ne s'attendit pas a se retrouver avec des adolescents portant le titre d’enquêteur du Paranormal Activity, le garçon qui apparemment est le héros du jeu est un blondinet se nommant Martin qui ne cesse de jouer les charmeurs (qui plus est, il a eut un coup de foudre des qu'il a vu l'ancienne soldate), d'une fille se présentant comme étant sa demi-sœur qui s'appelle Diana (une véritable intelligence sur pied) et enfin un homme a la carrure massif mais avec le visage d'un hominidé préhistorique et qui dispose d'une longévité remontant a plus de deux-cent mille ans portant le nom de Javah. Bon bref, l'agente spéciale comme a son habitude se trouva pas loin de la technopôle de Métropolis et comme c'est une mordue de la vitesse, elle aimait zigzaguer entre les automobilistes dans le tunnel des autoroutes. La bécane vrombit comme une voiture de tuning et les lumières se trouvant au plafond glissèrent sur sa combinaison comme un point lumineux. Transient avait reçut un communiqué faisant part de disparition inquiétante de jeune fille et que aucune d'elle n'avait laisser de trace et en visionnant les caméras de surveillance prise des bâtiments extérieur du palace, ils montrait des étudiantes entrer dans le building pour se relaxer entre copines et connaissance malgré les heures se succèdent et une accélération rapide de la bande vidéo, les malheureuses n'apparaissent pas a l'écran... Transient se chargea de faire télécharger les données de la mission sur sa moto high-tech, bien que la soldate n'avait pas encore parler avec son compagnon virtuel de route depuis son retour, elle ne voulu pas encore ouvrir la parole mais comme un voyant rouge s'illumina sur le cadran, elle put comprendre qu'elle ne pourra jamais avoir des vacances et quelle devra passer son temps a sauver le monde des filles. Elle qui n'avait jamais connu d'infiltration dans son job et bien là ça va être une première. Si jamais elle devrait prendre le risque de rentrer dans sa tenue d'espionne, ça n'allait pas le faire puisque elle se ferait remarquer dans cette erreur de débutant. Elle arriva dans une cabine de WC public et se changea a l'intérieur en ouvrant le sac. Pas de tenue tape-à-l'oeil car elle pouvait être sure de ne pas se faire draguer pendant le service alors pourquoi ne pas essayer autre chose ? Une tenue de dominatrice lui allait parfaitement bien elle mit des lentilles de contact sur les yeux et se maquilla un peu avant de bien ajuster ses cheveux en queue de cheval, elle abaissa légèrement la fermeture-éclair de sa combinaison de dominatrice en se palpant vite fait les nibards et pour finir un rouge à lèvre léger et c'est parti !

Sarah entra dans le club et qu'elle fut sa surprise de tomber sur les gens l'en peuplant, ou bien elle avait mal regarder la brochure d'invitation ou elle s'est tromper d'adresse car il n'y avait pas des hommes mais exclusivement que des femmes qui composait les gens, Sarasvati crut que elle allait s'évanouir, elle n'a jamais eut d'expérience sensuelle avec des femelles mais avec des mâles seulement... Comment qu'elle allait se plonger dans l'ambiance alors qu'elle n'est pas lesbienne de base mais hétérosexuelle ? Bah qu'importe, ça ne devait pas être si compliqué que ça et pour preuve, il y avait même une nana en tenue rouge vif et chaussé d'une belle paire de cuissarde plateforme entrain de retourner sa langue sur d'autre femme... Que ça pouvait être infecte ! Il fallait malheureusement se fondre dans la masse pour éviter de se faire repérer, l'ex-soldate choisit alors d'aller embrasser sauvagement cette chipie grotesque et qui prenait un malin de renoncer à sa dignité de femme à homme. La dominatrice écarta sans ménagement la pouffiasse qui sembla prendre ses aises avec la belle diablesse rouge et se rapprocha de son visage à son tour en lui tenant la tête avec ses mains gantés et l'embrassa langoureusement en se collant à elle, une dominatrice est celle qui fait la Loi et la soumise est l'inconnue qu'elle baise justement.

 

Au son du dancefloor, Pezzini se déhanchait, s’abandonnant peu à peu dans sa couverture. Elle ignorait si tout ça servirait à quelque chose, mais, même si c’était inutile, elle pourrait au moins se féliciter d’avoir passé une bonne soirée... Bien différente de ses soirées plateau-repas en solitaire, à méditer sur le Witchblade, et à ressasser ses affaires en boucle. Sarah n’avait jamais été du genre fêtarde, ce qui était étonnant pour une Italienne. Elle se dévouait entièrement à son travail, à tel point qu’elle faisait des journées à rallonge. Elle n’avait aucune petite amie, et passait son temps libre à tenter de comprendre le fonctionnement du Witchblade. Ici, elle se laissait peu à peu aller, se découvrant quelque chose qu’elle ne connaissait que peu... Le frisson de la danse, le sang qui tambourinait dans ses veines sous l’effet de la foule en délire.

Sarah dansait donc, vibrant sur place, et, quand une femme alla l’embrasser, elle se surprit... À lui répondre. Elle ignorait qui elle était, mais elle embrassait bien, frottant une combinaison moulante contre la sienne, une haleine enivrée et sensuelle filant dans ses narines.

« Hmmmm... »

Pez’ n’aurait jamais cru pouvoir céder si rapidement.

*Il y a quelque chose... Quelque chose dans ce club, j’en suis sûre...*

La policière était, du reste, une femme sexuellement très frustrée, ce qui était d’autant plus difficile à vivre dans une société hyper-sexualisée comme l’était la société tekhane. Tous les jours, on incitait les Tekhanes à faire l’amour, à se lâcher. Le sexe était plus que toléré au travail, il était encouragé, et certaines grandes sociétés n’hésitaient pas à embaucher des prostituées et des esclaves pour satisfaire leurs employées, et ainsi les garder plus longtemps au travail. C’était à croire que Tekhos était fondée sur le sexe et la dépravation, et, dans cet environnement, Sarah résistait continuellement face à la tentation. Là, la rapidité avec laquelle elle se laissait aller, dont son corps la trahissait, en savourant chaque caresse, chaque baiser, trahissait la situation fragile dans laquelle elle se trouvait.

Des mains fermes repoussèrent soudain son amante temporaire, et Pez’ écarquilla les yeux en voyant une superbe femme en combinaison noire, très serrée, moulante, avec des sangles, et ouverte largement à hauteur de la poitrine. Un nouveau frisson la traversa, et elle se pressa contre la femme. Leurs seins se heurtèrent mutuellement, puis elle enroula son bras autour de la nuque de la femme, et l’embrassa avidement.

« Haaaaa... ! »

Elle ignorait qui était cette femme, mais Sarah ressentit son désir croître sensiblement pour elle, l’amenant à prolonger son baiser, fourrant sa langue dans sa bouche, déplaçant sa main libre sur les fesses musclées de la solide femme noire.

« Vous-Vous êtes venue pour moi, Maîtresse, hm... ? »


Depuis son bureau, Nyx souriait, caressant du doigt la caméra de sécurité, filmant les deux femmes en train de s’embrasser.

« La magie rose... Elles y sont très sensibles... »

Le sourire de la redoutable femme s’accrut. Bien sûr, elles étaient dans son antre, mais, même malgré ça, Nyx était étonnée de voir à quel point la femme en robe rouge avait succombé si facilement à sa magie.

« Mais ce n’est pas pour me déplaire. Allez-y, mes beautés... Faites l’amour. Vous serez des offrandes parfaites, hihi ! »

Une belle rousse, ça ne court pas les rues de la ville ! A moins qu'elle ne soit une envoyée de la base de Tekhos (génétiquement modifié ?), que ça change à l'affaire ? Elle ne savait rien de sa vie ou même son age, il est vrai qu'elle est vraiment bien habiller, rien a envier a celle de Sarah avec sa dégaine habituelle qui n'avait comme assortiment que des combinaisons une pièce à enfiler, parfois "hot" ou sinon d'apparence provocatrice... Si elle n'avait pas été au sein de la fondation Voguenweild, l'armée ou l'agence Mystère, elle aurait connue une vie civile bien moins agité dans son quotidien. Sarasvati avait prit du recul de quelques centimètres pour l'admirer un court instant, elle fit promener sa main sur sa longue chevelure par une légère caresse avant d'appliquer son autre main sur un des nichons de la miss anonyme mais la réaction de l'inconnue fut étrange, c'est comme si elle avait hypnotiser car elle se laissa faire comme si de rien n'était. Elle regarda alors dans les deux cotés puis elle plongea son visage vers son épaule avant de venir lui lécher l'oreille gauche en l'humidifiant bien avec les yeux clos. Il est clair que cette jeune femme avait l'air de jouer une comédie car quelque chose poussa miss Stomach a penser que cette diablesse féminine avait réellement d'autres motivation en tête... L'ancienne détective n'est pas une danseuse professionnelle mais comme elle s'était coller à l'inconnue d'un peu trop près, elle se dandina comme une cane. Quel surprise d'entendre que cette fille l'a considéra comme une dominante, faisait-elle allusion à sa tenue choquante ? C'est vrai qu'à vue d’œil, son ensemble PVC ne pu passer inaperçue par personne après tout.

Oui... Bombasse endiablée... Tu m'appartiens et c'est moi qui m'en vais te dompter. Qui est-tu ?

Sarasvati glissa ses mains de ses joues sur les hanches de la belle tout en suivant le même rythme de mouvement de danse, elle commença par lui presser un sein comme un homme pervers et avide de sexe le ferait et se mit à la malaxer. Les nichons de la démone furent plus gros et moelleuse que les siennes... (Sarah avait souvent pour habitude de glisser des petits coussinet entre les mamelons et le revêtement textile de son habillage afin qu'on ait l'impression de voir comme si ils sont gros de distance. Bien que miss Spencer n'avait pas de cravache sur elle, elle prit du recul en la toisant d'un vilain sourire et sans crier gare, elle glissa sa main sous la robe de l'inconnue en la chatouillant de son doigt ganté son entre-jambe par le biais d'une caresse sensuel. Sarasvati lui mordit ensuite la joue en fermant les yeux avant de replonger dans la voie buccale et de s'y retrouver agglutiné comme un escargot qui s'accouple en échangeant des fluides orgasmiques.

Qu’est-ce qui lui arrivait ? Quelle force était en train de s’emparer de son corps ? Sarah sentait une incroyable soif, et une absence totale de pudeur. Ce n’était pas dans son genre, ce n’était pas son style de se laisser ainsi s’emporter. Le Witchblade était là, bouillonnant en elle, l’avertissant que quelque chose s’emparait d’elle, mais elle était bien incapable de repousser ce sortilège, cet appel, cette voix rose et sensuelle qui murmurait de délicieuses choses dans le creux de son oreille. Elle n’arrivait pas à retenir les vagues de plaisir qui la traversaient, sentant les mains de la femme s’aventurer sur son corps, palpant ses seins, ses lèvres se posant sur le creux de son cou... Mais, quand la femme approcha sa main de son entrejambes, Sarah l’arrêta, saisissant le poignet de sa partenaire.

« Tût-tût ! Ne va pas si vite en besogne, ma chérie... Pas ici... »

Il y avait un peu trop de monde pour aller plus loin. De fait, il était difficile de rester immobile, car d’autres danseuses tamponnaient sans arrêt la belle policière, qui finit par s’écarter un peu. Maintenant la main de Sarah Stomach dans la sienne, elle se rendit vers une porte, poussée par une pulsion terrible, qu’elle ne contrôlait pas, et qui la dominait totalement. Elles arrivèrent ainsi rapidement dans un couloir menant aux toilettes, et, là, Sarah se dépêcha de l’embrasser, pressant son corps contre le sien, soulevant ses jambes pour les enrouler autour de la taille de la femme, s’appuyant dessus.

C’était un baiser plein d’énergie, empreint de passion. La langue de la policière se plaquait contre les lèvres de la femme, s’y enfonçant, et sa main se crispa sur ses cheveux, s’appuyant dessus, tandis qu’elle prolongeait le baiser. Du fait de sa position, sa robe s’était redressée, révélant ses magnifiques jambes musclées.

« Hmmmm... !! »

Sarah continuait donc le baiser, sans s’arrêter, s’appuyant langoureusement contre le corps de la jeune beauté vêtue de latex. Sarah rompit ensuite le baiser, et tourna la tête, avisant une porte qui menait à des chambres.

« Par là... »

Vite !

La belle rousse avait oublier ce pourquoi elle était venue, si bien qu'elle se donna a cœur joie avec la rouquine, bien que la détective la trouva de plus en plus attirante, elle désira la dévorer sur place mais sa manœuvre fut un peu perturbée par les autres meufs autour d'elles, les touchers et les caresses se succédèrent ça et là et cela la dérangea un peu en n'ayant pas le temps de lui laisser le profit d'un plaisir qui ne se partage pas, bien que la populace ne l'ennuya pas mais sa comparse retint un peu son bras, ne souhaitant probablement vouloir un orgasme en public. Sarah songea a faire du ramdam pour libérer un espace bien délimité malgré qu'il y avait un fort risque de se faire cramer par les gardes comme par les caméras qui remarqueront cette agitation et qui donc compromettra son plan d'infiltration... Ne sachant que faire sur l'instant et ce fut sa "femme" qui s'en chargea en la faisant sortir de la foulée pour y trouver refuge dans les chiottes avec sa complice. L'inconnue était intelligente et elle avait agi comme si elle avait lue dans ses pensées. Sarasvati qui croyait la contrôler se fit prendre a son propre jeu et c'est maintenant la belle sauvageonne qui la dominait aisément, elle n'aurait pas cru qu'elle irait si vite dans ses actions mais elle aimait ça, cette échange de fluide salivaire fit vibrer son corps et ce liquide baveux qui en sortit de la bouche des deux humaines quand les lèvres respectif s’écartèrent fut un délice ! Sarah la grosse poitrine de la rouquine s'écraser sur la sienne avec le latex et le cuir qui grinçait grossièrement avec un son pénible d'enfant qui frotta méchamment un ballon de baudruche. Cette sensation fut intéressante et peu déplaisante, l'ancienne soldate de Tekhos la bouffait complètement en bougeant sa tête d'avant en arrière, sa queue de cheval se balançant a son rythme suivant le mouvement de la tête.

Tunnhhhnnnn.... ne m'a pas toujours répondue... ssss..s.sssalope....      

En raison de sa taille moyenne et de celle de la rouquine qui l'a dépassa bien d'une tête, elle fut un peu désavantagée... Il ne fallait pas avoir mal aux cervicales et c'est impossible d'éviter la douleur, la tigresse rouge l'a souleva alors sans quelle puisse s'y attendre et sans difficulté comme le ferait un homme ordinaire a son amoureuse lors d'un moment de romance intime. Elle a une force de baleine celle-là ! Serait-elle plus forte que l'agente du paranormal miss Stomach, peut-être bien que oui, elle ne tardera pas a savoir son identité et son CV, c'est certain. Sarah joignit ses deux bras gantés sur l'épaule de sa comparse et sa gueule dans la sienne en lui faisant un "bouche-à-bouche". La soldate fit descendre sa main gauche sur l'opulente poitrine couvert par le revêtement plastifié qui couvrit son sein, elle ne sut pas si elle portait un soutif ou non telement qu'elle fut concentré sur sa tâche actuelle et se mit a le pincer vilainement. Elle a du avoir mal car pour preuve de sa réussite, son assaillante lui tira presque fort sa queue de cheval, sentant la douleur l'irradier derrière le dos, miss Stomach faillit s'étouffer par le coup de langue reçut au fond de son palais qui toucha presque sa glotte... Elle toussa brièvement en projetant a sa figure un crachat baveux tout en continuant de l'embrasser.

Coughhhh.... kof... coughhhhh.. urghhh.... bbbôôôoorrrr..gghhhhhhh..

Elle alla bien et reprit son geste pendant que l'autre fille rouge lui palpait bien le fessier comme si elle n'avait jamais vue de meuf vierge de sa vie. Elle avait besoin de respirer un peu et profita du même coup que sa salope de dulcinée recula sa tête pour prendre un grand bol d'air. Elle respira bruyamment en se laissant tomber sur l'épaule de sa partenaire, presque fatiguée d'avoir bouger autant. La belle pétasse fit signe en soufflant dans sa direction, que voulait-elle ? A travers un ultime effort, elle jeta un œil en arrière-plan et crut voir deux portes supplémentaire sorti de nulle part, il y a avait trois portes fermées conduisant au WC mais d'ou sortit ces trucs ? Sans y réfléchir méticuleusement, la fille ouvrit l'une d'elle et y découvrit un large lit pouvant accueillir deux personnes. Une chambre dans les toilettes ? Cherchez l'erreur, il n'y avait pas d'explication plausible  pour le moment mais elle avait hâte de s'y poser dessus, elle s'y dirigea la première en descendant des bras de sa femme en faisant claquer les talons aiguilles de ses bottes plateforme en ouvrant la marche avec sa copine, elle écarta la couette doucement puis d'un seul coup, elle se tourna vers son amie anonyme et la poussa sans ménagement sur le matelas par ses seins et y sauta sur le lit a son tour. La couette et l'air ambiant de la pièce les isola bien du raffut de la discothèque, cela permettra de suer a grosse goutte chacune l'une sur l'autre. Ne laissant pas le temps a belle diablesse rouge de se désaper, elle sauta sur elle e, atterrissant a ses cotés, elle détailla la jeune femme une nouvelle fois, un corps d'athlète sur un visage mate et sensuel arborant d'une superbe rouge en vinyle et chaussé d'une belle paire de cuissarde, n'importe quel homme aurait voulu la violer tout de suite. Elle enleva les lunettes de soleil de la tête de la jeune femme pour les poser sur une table de chevet pas loin du lit et se rapprocha d'elle à la manière d'une féline doucement par-dessus son corps avec cette horrible bruit de succion du latex de la robe écarlate se frottant a sa combinaison en PVC, tout en relevant entièrement la couette jusqu'à les recouvrir totalement. Elle se mit a la baiser fougueusement avec un très long contact d'un baiser sauvage et langoureux tout en lui palpant ses nibards, n'hésitant pas a y employer plus de pression de malaxage dans son geste, elle ferma les yeux et laissa la chaleur de leur corps envahir leur emplacement sur le matelas alors que la sueur et la transpiration se forma et perla de leur front et de leur seins comme sur les corps l'une sur l'autre durant toute la séance du viole, Sarah Stomach n'avait pas fermement l'intention de libérer sa victime après tout et vu qu'elle est prise au piège, c'en est foutu de sa vie, quitte a la tuer en l'étouffant de son orgasme buccale si nécessaire.     

Les deux femmes se retrouvèrent dans l’une des chambres qui longeaient la discothèque. Sarah n’arrivait plus à suivre, ni à se contrôler, et elle se contentait de se laisser porter. La Witchblade ne la protégeait pas, et l’aidait au contraire à libérer ses pulsions refoulées, pulsions qui s’exprimaient avec cette nana nimbée de latex. Elles se retrouvèrent donc couchées sur le lit, Sarah écartant la couette, et, pendant qu’elle faisait ça, et avant qu’elle ne se rue sur ses lèvres, Pezzini parvint, entre deux soupirs et crissements de latex, à lui glisser son nom :

« Sa... Sarah... »

Elle ne pouvait pas se douter que son amante portait le même nom qu’elle. Cette dernière se dressa sur elle, à califourchon, maltraitant ses seins, et Pez’, tout en gémissant et en soupirant encore, posa ses mains sur ses hanches, avant de masser à nouveau les fesses de Sarah Stomach, sentant le latex se crisser contre ses doigts. Ce contact était vraiment exquis, sans parler de la beauté de cette nana, ou de son ardeur.

Sarah soupira longuement, et crispa ses doigts sur les cheveux de cette femme, répondant à son baiser, qui fut particulièrement intense. Sa langue joua avec la sienne, et elle ferma les yeux, savourant ce contact, se plongeant dedans. Ses seins lui faisaient mal, et, à chaque fois que Sarah venait les pincer, les comprimer, la policière sentait des vagues de plaisir la traverser. Dire qu’elle était venue ici, à la base, pour une enquête... Mais les évènements s’étaient quelque peu emballés, la conduisant dans cette situation, une situation confuse où elle se laissait bercer.

« Hmmmm... »

Faisant durer le baiser, Sarah donna un coup de reins, et renversa son amante, la couchant sous elle, inversant les rôles. Sa main se saisit du sein de Sarah, et elle le pinça à son tour, avant de lui sourire, les joues rougies par le désir. Sa main caressa alors ses cuisses, glissant entre ses jambes, appuyant longuement dessus, la masturbant à travers le latex.

« Oui, voilà... Laisse-toi faire, ma chérie... »

Pez’ frottait son corps contre le sien, afin que le latex crisse et claque entre ces deux femmes, provoquant des bruissements exquis, qui ne manquaient pas de faire frissonner Sarah dans tous les sens. Elle était de plus en plus excitée, tout simplement, et n’arrivait pas à refréner ses pulsions. Alors, à défaut de faire autre chose, elle les laissait s’exprimer sans restriction.

« Hmmmm... !! »

Quel fantastique journée franchement ! Sarasvati fut dépêché sur les lieux afin de résoudre une enquête dont la thèse d'une piste criminelle ne s'écarta pas, il a fallut qu'elle tombe sur une vraie bombasse endiablée a souhait. Elle se dit s'appeler Sarah (décidément ce prénom est populaire pour certaine femme au point de s'appeler ainsi un peu partout dans le pays), curieusement miss Stomach s’appela aussi comme ça mais ça ne veux pas dire qu'elles est chacune un air de famille ou d'amies, heureusement l'on put faire la distinction de son nom par son prénom originale indien qui est Sarasvati. Ce diminutif fut adopter légalement par des citoyens indiens mais le dialecte requis pour sa prononciation n'est pas facile pour des étrangers d'ou le fait qu'elle est trancher son blaze pour se nommer simplement Sarah. Elle ne savait toujours rien d'elle, si miss Stomach est une agente du paranormale, il se pourrait alors que cette bimbo soit une espionne ? Impossible de la comprendre pour l'instant vu comment elle ne lui laisse pas le temps de s'exprimer. L'agente Spencer l'a pétrissait comme une furie, sa chérie quant a elle s'occupa de jouer avec son fessier, la pression exercer des mains appuyant sur le latex de sa tenue et qui grince fut marrant a voir. La couette bien tirer sur les deux personnages qui s'amusèrent sous le textile dans le lit est censé faire monter la température corporelle des deux femmes. Les cheveux se mêlant aux siens, Sarah continua de lui faire mélanger sa langue dans le palais dentaire de la jouvencelle rouge. Difficile de dire si la poitrine de miss Stomach sont plus gros que celle de sa copine, mais les seins se heurtèrent dans un vilain bruissement de latex qui ressembla a celle de feuille morte se faisant ramasser par un râteau.

Idem pour moi... c'est aussi mon prénom... hhhnnnn...

Après une longue et voluptueuse embrassade, sa chérie se mit à réagir alors depuis tout a l'heure, elle se faisait dominer, elle la renversa sur le matelas en tournant son corps de coté, l'Agente Spencer ayant perdu son équilibre se retrouva sur le dos. Sarasvati se détendit et se laissa faire, la douleur du pincement ressentit fortement sur un de ses sein l'a fit couiner comme une souris. L'agente découvrit pour la première la sensation de se faire baiser par une fille et elle trouva ça bien et érotique, la main ganté vermillon glissant sur le bas-du-corps de sa combinaison opaque lui fit monter son excitation a vitesse grand V. Les talons haut de ses cuissardes en cuir creusèrent des sillons par endroit sur le matelas, les silhouettes des deux filles s'amusant l'une sur l'autre se dessina par-dessus la couette par laquelle elles sont toutes les deux drapés dessous.

Jouis en moi ma beauté écarlate... ooooohhhhhhhhh...

Sa poitrine se leva et se baissa en même temps au fur et a mesure qu'elle respire bruyamment, la jeune femme fit descendre sa main gauche au niveau de la braguette qui masqua son intimité sous sa tenue et l'ouvrit légèrement de manière a ce que sa copine puisse se frotter en mouillant ensemble. Elle lui caressa ses bottes rouges vif tout en lui malaxant comme une éponge un mamelon de la robe de Sarah, elle voulu l'entendre gémir haut et fort comme une chienne en chaleur et augmenta la pression pour obtenir le résultat souahité.

Fugacement, Pezzini nota que le lit était fait en latex. Quoi de moins surprenant ? C’était une texture très appréciée à Tekhos, et, en ce moment, Sarah était comme hypnotisée par cette femme. Elle s’avança donc, et la renversa sur le lit, la rejoignant rapidement. Aucune des deux femmes n’avait encore songé à se déshabiller, tant l’une comme l’autre étaient excitées par le contact du latex. Les jambes de son amante éponyme, Sarah, remuèrent sur le lit, frottant sur ce dernier. Pezzini se pinça les lèvres, et embrassa encore Stomach. Ah, ses lèvres, ses délicieuses lèvres ! Comme une affamée, Sarah y revenait fréquemment, et, quand Stomach lui demanda de s’attaquer à elle, elle obtempéra rapidement.

Ses doigts se glissèrent entre les cuisses de Sarah Stomach, et elle se mit à la masturber, enfonçant rapidement deux doigts en elle, se délectant des soupirs de la femme.

« Oui, hmmm... Co-Comme ça, haaaa... »

Tout en la doigtant, Pez’ alla lécher son cou, l’embrassant encore, et déplaça son autre main, pinçant l’un des seins de la femme à travers sa combinaison, tirant sur le téton, le soulevant et le relâchant, malaxant ensuite ce sein avec sa main, enfonçant ses doigts dessus. Elle pouvait sentir le plaisir se diffuser dans le corps de Stomach, sa mouille glisser sur ses doigts, et s’en mordilla les lèvres. Tout ça, toute cette scène... Ça l’excitait furieusement, et elle continuait à se frotter contre le corps de la femme.

« Couine, ma belle... Délecte-moi de tes soupirs, allez ! »

En l’état, c’est tout ce que Pezzini demandait, tout ce qu’elle souhaitait. Elle voulait entendre la femme gémir longuement son bonheur, se tortiller contre elle, et jouir devant elle, lui faire l’amour longtemps, longtemps... Car, en ce moment, Pezzini se sentait infatigable, pleine d’une soif incroyable qui ne demandait qu’à se déverser en elle.

Et elle comptait bien la pousser jusqu’au plaisir suprême !

Sarah avait dégoter la perle rare, toute les femmes du club seraient surement jalouse et personne ne saurait qui voudrait prendre qui afin de partager une couche mouvementée. L'espionne est malheureusement une débutante en matière de sexualité, là ou elle allait, le travail fut que sa seule priorité alors faire des pauses ou des vacances pour prendre du recul et profiter de la vie fut inconnu dans ses registres. Peut-être bien quelle fut née pour ça, assouvir sa soif de liaison sexuelle avec les filles du même sexe et n'ayant tester qu'une seule fois une liaison avec un homme, elle ne désira pas devenir hétérophile puisqu'elle avait trouver désormais sa place... La belle dame glissa ses doigts dans l'intimité secret de Sarasvati contre son gré, elle ne pouvait même plus réagir vu que souhait de rapport érotique fut grande ! Sarah vit le haut-du-corps se redresser a plusieurs reprise, elle couina comme une écervelé qui se faisait lobotomiser. L'agente spéciale avait relâcher sa prise et maintenu ses mains serrer sur les coussins ou le revêtement de latex du lit. La fille sua beaucoup, elle ne croyait pas dans un tel état d'extase en un temps record... Sarah perdit peu a peu son esprit et n'avait plus la force de dire non ou de renoncer a cette scène pervers. Elle n'eut pas la volonté de répondre que chaque fois ou elle tentait d'ouvrir la bouche pour répondre, elle fut immédiatement accueilli par un baiser qui se prolongea de plusieurs seconde espacé. Sarah se mit siffler comme un serpent qu'elle en perdit sa voix et expira bruyamment. Sarah crut qu'un sauvage est entrain de la chevaucher, elle agrippa sa robe moulante rouge et la ceintura entièrement de ses bras comme si elle voulait s'agripper a elle. Sarasvati couina et gémit entre-temps, les vibration sur le matelas, les voix de sensualité, tous se mélangea, l'espionne est devenue une soumise et la meuf une dominatrice, un rôle qui ne fut pas inverser mais qui se déroula dans ces conditions depuis le début. Sarah avait l'impression qu'elle voudrait que cette diablesse l'enfante ou qu'elle fut prête a recevoir sa semence dans le ventre. Sarah a vue son esprit se corrompre doucement dans les va-et-vient et fur et a mesure que ce film maladive se poursuivit, Sarah ne fut pas au bout de ses surprise et il est sure que quelque chose de non-particulier allait se produire sous peu mais la question est de savoir quand.

Pezzini s’était rarement lâchée aussi rapidement avec une inconnue... Jamais, en fait ! C’était une véritable première pour elle, et son corps ne semblait plus vouloir lui obéir. Sarah se tortillait contre son amante, toute revêtue de latex, se délectant de ses gémissements, de ses soupirs, tout en continuant à la masturber intimement.

« Là, ma belle, oui... »

Elles continuaient à faire l’amour sur ce lit, et Sarah finit par retirer ses doigts. Elle avait envie de plus, elle avait envie de prendre sa partenaire encore plus intensivement ! Et, pour ça, les seuls doigts devenaient très nettement insuffisants. Dans ces conditions, Sarah récupéra un instrument très pratique, à savoir une culotte équipée de trois vibromasseurs, deux orientés vers l’intérieur, et un pointant vers l’extérieur. Sarah agissait rapidement, sous l’effet du désir, et glissa cela sur elle. Elle frémit en sentant les vibromasseurs remuer doucement, avant de vibrer en elle, et se pinça les lèvres, gémissant encore, puis rejoignit sa partenaire, visiblement aussi impatiente qu’elle.

Un démon sournois avait pris possession du corps de Pezzini, qui continua à se laisser aller, venant enfoncer sa verge artificielle dans le corps de sa partenaire. Cette dernière se mit à gémir profondément, se tortillant sur place, avant que Sarah ne commence à accélérer le rythme, retournant embrasser sa partenaire, plaquant sa bouche contre la sienne, enfonçant sa langue, jouant avec elle.

« Hmmm... Haaa, Sarah... »

Elle gémissait son nom, elle le soupirait, tout en sentant en elle une grande vague remonter, une puissante et irrépressible vague de chaleur. Somme toute, il y avait bien longtemps que Sarah Pezzini n’avait pas eu la chance de goûter à un tel bonheur, et il fallait bien admettre que c’était... Particulièrement plaisant !