La démone exultait intérieurement, et pour cause, le tout de son plan non seulement s'était déroulé à merveille, mais surtout, elle n'avait pas eut à faire grand chose pour y parvenir, ne lui laissant dés lors que l'intense plaisir de voir le jeune homme pilonné sa maîtresse avec un air qui frôlait l'extase, et cette dernière perdre rapidement la tête sous l'effet du membre de son apprenti, qui la ravageait de telle manière qu'elle ne semblait même pas capable de résister à ses taquineries les plus directes. Honnêtement, la démone savait qu'elle ne s'en tirerait pas à si bon compte, elle savait que dés que le jeune homme aura finalement réussi à se débarrasser de la magie de la Reine, dés qu'il aura perdu le tout de ses forces et qu'il s'écroulera pour se reposer d'un sommeil justifié, la femme au teint mat aura toute raison de se venger, de lui faire connaître de biens pires situations que celle qu'elle lui avait offerte... Mais elle n'en avait cure. Tout ce qui comptait, actuellement, était cette victoire implacable, ce défi remporté haut-la-main par l'Exécutrice, et si l'on pouvait la targuée d'être déloyale, d'user de connaissances et de techniques dont l'aspect vicié n'aurait normalement put être imaginé par un esprit humain, elle se défendait de pareille accusation pour de bonne raisons : L'état de la Vipère du Désert, si honnête, si délicieusement perdue dans les affres d'un plaisir charnel sans limite, exprimait clairement à quel point la femme avait put désirer un tel instant, et l'on pouvait dire tout ce que l'on voulait... C'était elle qui lui avait permit de connaître une telle satisfaction !
« AH ! BAYRA ! JE VEUX TELLEMENT VOTRE QUEUE EN MOI, REMPLISSEZ MOI LE CON AVEC VOTRE SEMENCE, OOOH !
- Oui... Oui cesse donc d'être malhonnête Eris, avoues toi tes péchés, tes désirs. Et prononces les sans honte... »
Le talent du jeune homme n'était plus à prouver, l'on ne satisfait pas une femme qui a sut connaître les caresses les plus folles de quelques entités démoniaques si l'on a pas le minimum requis pour, et le charmant jeune homme, dans toute sa pureté, dans toute son innocence, leur offrait là un spectacle qui, si Eris n'était pas capable de le voir et de l'apprécier, permettait toutefois à Keleth de pressentir toute la valeur de ce petit blondinet aux douces valeurs. Ses coups n'avaient pas besoin d'être extrême, il n'avait pas besoin d'un débauche de vigueur, d'une débauche de masculinité, il avait tout en lui, naturellement, et le fait qu'il se calme un brin pour maîtrisé d'autant plus le mouvement de ses reins pour mener à l'orgasme celle qui lui enseignait normalement la magie était une preuve singulière que ce dernier, au-delà de tout entraînement, avait su découvrir en peu de temps ce qui allait lui permettre de briser les dernières limites de la femme. Keleth le voyait faire, et son corps tremblait déjà à l'idée d'avoir droit à pareil traitement, elle n'avait qu'une hâte dans le fond, c'était de découvrir à quel point il saurait se faire expert pour la mener au comble de ses passions, non sans jamais douter qu'il en serait capable, voyant clairement en ses mouvements des dons sans équivoque pour faire le plaisir d'une femme, et lui apporter satisfaction. D'ailleurs, tandis qu'Eris hurlait de bonheur, la démone ne manqua pas de remarquer que les deux partis qu'elle avait tant aidée à se relâcher atteignait enfin les limites de leur plaisir commun, et comme pour signifier au jeune homme de se permettre même les « pires » actions, sa main descendit entre les cuisses de la femme qu'elle avait précédemment ceinturée, et vint quérir le membre chaud du damoiseau pour lui faire signe de s'enfoncer, toujours plus profondément, pour se préparer à remplir la monarque !
« Je... Je vais... Je pense... Que je vais jouir ! Eris !
- Oui, jouis en moi, ne te retiens pas ! »
Comme si il le pouvait ! Keleth contempla le tout avec un plaisir immense, que ce soit le visage tordu de bonheur de son hôte, que ce soit l'expression de plénitude du jeune apprenti quand il put enfin faire son bonheur, que ce soit leurs cris de jouissances quasi simultané alors que l'un comme l'autre atteignaient le sommet de cette relation imprévue, ou même le bruit final produit par la jouissance de Bayra alors qu'elle sortait de l'intimité de la Reine... Le tableau en était simplement divin. Elle sentit son amie s'écrouler lentement sur son corps, et ne fit rien pour la repousser, la laissant profiter de ce contact qui devait être fort réconfortant après avoir été ainsi malmenée par son jeune mais dévoué magicien, puis elle leva les yeux vers Bayra, avec un doux sourire, comme pour lui signifier qu'il avait non seulement bien fait, mais qu'il pouvait se trouver fier d'avoir mener sa tutrice à un tel degré de jouissance. Dans cette position toutefois, elle ne put voir que la masculinité du jeune homme se trouvait encore parfaitement fonctionnelle pour quelques instants supplémentaires, et elle n'en eut la surprise que lorsque le jeune homme vint à pousser la belle femme au teint mat hors du contact de la démone, se plaçant dés lors à ses cotés, encore lourdement excité, et apparemment près à consommer son deuxième cadeau de la soirée : Une démone puissante, affaiblie après une invocation des plus brutale, mais surtout totalement vierge suite à sa demande à la mage, et prête à connaître ce rapprochement privilégié à nouveau, aux coté du petit blond à l'air si doux. Il se plaça au dessus d'elle avec le désir au creux de ses yeux, et il fallut avouer que Keleth, malgré tout son âge et ses expériences, put se permettre de ressentir un brin d'intimidation fasse à cela, mais accueilli tout de même le front du jeune homme avec confiance, l'écoutant dans toute sa douceur :
« Keleth... Puis-je... Vous prendre ?
- Je..., sa réponse se fit attendre, les mots devenant d'un coup plus complexe à offrir quand il s'agissait de sa personne. Je suis toute à toi Bayra... Je remets ma virginité, et mon corps, entre tes mains. »
Étrange réactions de sa part ? Certes, mais elle n'avait pas le cœur à jouer, à se prétendre de quelques haute nature, et de le tromper dans quelques propos qui lui auraient permise d'éviter les instants les plus somptueux de son existence, mais aussi les plus incertains, surtout qu'elle possédait actuellement une virginité toute nouvelle dont elle n'avait pas que les qualités, mais aussi les défauts. Ce qui s'apprêtait à se dérouler, ce n'était pas seulement un moment qu'elle n'allait pas oublier, c'était un instant terrible où elle allait sûrement devoir convenir que le jeune homme ne lui ferait pas que du bien, et ce n'est pas sans un peu d'appréhension qu'elle dut le regarder un temps, avant de baisser le regard, inquiète, signifiant par là-même que si elle ne regrettait sûrement pas sa demande à Eris, elle savait pourtant que quand cette barre de chair massive allait se trouver en elle, ce ne sera pas seulement pour son plus grand bonheur. Qu'il l'ai compris ou non, le jeune homme se plaça de meilleurs manière, vint la manipuler sans qu'elle ne résiste pour lui écarter les jambes de bien convenable façon, et approcha lentement l’extrémité de son membre de sa fente humide, se préparant à entrer en elle pour connaître la satisfaction intense qu'elle pouvait lui procurer. Elle tremblait légèrement, inquiète, mais quand il fit son premier mouvement de bassin, que sa queue transperça ses chaudes chairs virginales, qu'il vint à briser la fine peau de son hymen pour poursuivre sa corse de manière aussi terrible que désireuse, elle ne put faire que glapir, gémissant en un mélange de souffrance et de plaisir, avant qu'elle n'attrape instinctivement le jeune homme, haletante, le corps tendu, et les yeux mi-clos... Il était au fond d'elle... La sensation était merveilleuse... Mais qu'est-ce que c'était dur à supporter en cet instant !
« Keleth ! Vous-Vous allez bien ?
- Ou...Oui. Ce n'est... Ce n'est pas insurmontable, ne t'en fais pas. Tu as...Nnnhhh juste quelque chose de haaa.. De très épais, et long, et... Et j'ai un peu de mal encore... Peux-tu... attendre un peu avant de... te mettre à bouger ? »
Elle lui faisait cette demande de manière bien innocente, mais cette entrée en matière l'avait déjà suffisamment perturbée pour qu'elle sache ses limites, qu'elle les reconnaissent, et qu'elle comprenne que si elle voulait vraiment pouvoir lui offrir son corps sans détours, elle avait besoin d'un brin de temps pour s'adapter, pour que ses chairs intimes modifiées par magie ne viennent pas briser le délicat moment qu'ils entretenaient. Cherchant à ne pas le laisser seul dans l'attente, et de manière à s'assurer qu'il puisse quand même profiter un peu de cet temps où elle le faisait attendre, elle ne manqua pas de contracter légèrement les muscles de son bassin autour de son membre, autant pour le masser comme elle le pouvait que pour lui signifier qu'il ne lui fallait qu'un peu de temps, et ses bras vinrent enlacé son corps alors qu'elle se redressa légèrement, forte de physique pour venir l'embrasser, délicatement, tendrement, comme ces baisers que l'on s'offre entre amants. Le cadeau qu'il lui faisait en la laissant s'adapter à cet énormissime engin qu'il possédait, elle le lui rendait en tendresse, en geste délicat, elle l'honorait comme un prince et souhaitait lui prouver par l même qu'il était spécial, qu'il était unique, qu'il méritait le tout de ses caresses, de ses mouvements d'amour mêlé d'adoration. Oui, elle était sensible aux jeunes damoiseaux, sûrement bien plus que la monarque qui avait pourtant jouit sans précédent un peu plus tôt, et il ne fallait pas douter que cela allait bientôt être le cas de la démone, car après quelques instants de câlineries et de souffle chaud, la femme aux cheveux d'argents vint enfin le relâcher, se laissa retomber sur le sol, lui permettant enfin de remarquer les larmes légères au coin de ses yeux.
« Ce... C'est bon je pense. Tu... devrais pouvoir bouger, je tiendrais ne t'en fais pas. Bayra tu... »
Elle se tut un instant, et croisant ses jambes dans le dos du jeune homme, elle vint le regarder légèrement dans les yeux avant de sourire comme elle le pouvait, son visage déjà légèrement déformé par le plaisir, pour finalement qu'elle vienne poser sa main sur son propre ventre, au niveau de son utérus, ses doigts circulant lentement dessus pour pressentir la bosse provoquer par l'énorme mandrin de son amant.
« Je... ne sais pas si je peux tomber enceinte... Mais n'y penses pas...haaa... Fais moi ce que tu désires, et remplis moi, je t'en prie... Maintenant que tu as pris ma virginité, fais moi sentir femme. »
Qui sait si ces mots furent les bons, mais il était temps qu'elle relâche la laisse du monstre qu'elle avait elle-même créer... Un monstre si beau, si charmant, si doux, qu'elle en commençait à tendrement l'aimer.