Il allait de soi que Koakuma n’allait pas en perdre une miette. Les Celkhanes étaient très particulières. Elles étaient aussi belles que salopes, et, paradoxalement, alors qu’elles luttaient furieusement contre l’esclavage, elles étaient aussi très prisées sur les marchés aux esclaves. Avec elle, Koakuma comptait bien se faire une petite fortune. Elle ne comptait même pas la dresser totalement. Les esclavagistes voulaient des Celkhanes pour se faire plaisir, pour donner une leçon. Elles n’avaient pas pour but de servir à autre chose qu’être des victimes, un exemple de la cruauté des esclavagistes à l’égard de leurs ennemis. Là, Koakuma ne faisait que lui offrir un avant-goût de ce qui l’attendait. L’offrir en pâture à des hommes, c’était doublement humiliant et douloureux pour elles, car, en tant que pures Tekhanes, elles étaient toutes lesbiennes, et voyaient le sexe avec un homme comme une sorte de zoophilie patentée.
Koakuma souriait donc perversement, pendant que deux hommes s’enfonçaient dans le vagin et dans les fesses de la femme. Ils ne sentirent aucune hésitation à l’idée de baiser une femme sèche, sans aucune préparation. Les gardes grognaient de plaisir, et remuaient lourdement en elle, enfonçant leurs lourdes triques. La démone se déplaça lentement, faisant claquer ses talons sur le sol en observant, non sans plaisir, la délicieuse scène s’offrant à elle. La tête de la femme filait d’avant en arrière, et l’homme qui la sodomisait posa ses deux mains sur ses seins, pinçant ses tétons, tandis que l’autre posait les siennes sur ses belles fesses moites, s’en servant comme d’un point d’appui pour accélérer et amplifier ses coups de reins.
«
Hmmmm… Haaaaaa… !! -
Hnnnnn… !! »
Quel spectacle ! Les yeux de Koakuma brillaient de malice, et elle laissa les deux gardes la labourer pendant plusieurs minutes. Ce cul sec et étroit renforçait l’excitation de l’homme dans le dos de la femme, jusqu’à ce qu’ils ne finissent par jouir mutuellement, venant répandre leur semence dans son corps, avant de se retirer.
«
Ne t’endors pas trop vite, petite pute, nous ne faisons que commencer… »
La démone ne manquait pas d’idées, et se déplaça. Elle disposait d’instruments de torture classique, mais aussi d’instruments tekhans, que son clan avait acheté. C’est ainsi qu’elle fit signe à ses hommes d’agir. Ils avaient bu, auparavant, des potions roses, les rendant… Beaucoup plus endurants, sexuellement parlant. Un garde défit alors le
gag ball de la femme, et ils se masturbèrent ensuite devant un seau, jusqu’à le remplir de sperme. Ils jouissaient généreusement à chaque fois. Koakuma, qui tenait entre ses mains une grosse seringue translucide, l’enfonça alors dans le seau, et remplit la seringue.
Pendant ce temps, d’autres hommes ôtèrent ses liens, et la Celkhane tomba au sol. Si elle regardait autour d’elle, elle pourrait voir que, s’il y avait bien de simples humains, les gardes comprenaient aussi beaucoup de démons et de Terranides. Il y avait ainsi des hommes avec des cornes de bouc, une queue caudale, et des poils rouges remontant le long de leurs jambes… Et même un Minotaure noir, avec une queue monstrueuse.
Bien que libérée, Liliana fut rapidement assaillie par des hommes, qui l’immobilisèrent en la tenant par les bras. Koakuma se mit à glousser, et s’approcha de la femme, puis enfonça rapidement le bout de la seringue dans son fondement.
«
Allez… On va te remplir bien comme il faut ! »
Elle appuya sur la seringue, et le foutre se mit à fuser. De fait, il n’y avait pas
que du sperme, mais aussi un liquide plus doré. Pour remplir le seau, les gardes avaient également uriné joyeusement, généralement après avoir joui. C’était donc une substance très particulière qui vint remplir le ventre de Liliana. Koakuma appuyait progressivement, vidant la seringue en elle, sentant une résistance de plus en plus forte, tandis que le ventre de la Celkhane s’arrondit, et se gonfla considérablement.
Koakuma veilla à vider l’intégralité de la seringue, pendant que d’autres gardes s’approchaient, et attachaient Liliana à l’aide d’un outil plus approprié.
Quand Koakuma retira la seringue, un autre garde s’empressa de boucher les fesses de la femme à l’aide de boules de geisha, et la femme, malicieuse, caressa tendrement son ventre flasque.
«
Voilà… Comme si tu étais enceinte, petite pute… »
Elle était retenue
par un triangle métallique accroché à une chaîne en fer, en position de levrette, et, assez rapidement, de grosses mains poilues et griffues se posèrent sur ses fesses. Un semi-démon la pénétra alors dans son vagin, et commença à remuer rapidement en elle, tout en la giflant. Koakuma, de son côté, se plaça devant Liliana, et sourit en lui attrapant les cheveux, soulevant son visage.
«
Alors… Heureuse, ma salope ? »