Identité : Miyubi Inari
Âge : 35 ans
Sexe : Féminin
Race : Terranide Furry (Kitsune)
Sexualité : Lesbienne ? Hétéro ? Asexué?
Physique : Que peut-on dire de cette femme ? Déjà, qu'elle est très poilue mais dans le bon sens puisqu'il s'agit là d'une kitsune. Tout son corps est couvert d'un pelage plus ou moins épais, blanc, roux ou noir qui rend le toucher si doux et agréable. En plus de ses poils, la demoiselle à une longue chevelure qui se marie à la couleur de son pelage, suivi d'une paire d'yeux si bleue et apaisants, on croirait y voir le ciel. La belle peut vous sourire à pleines dents, en bon comme en mauvais signe mais quand elle sourit dans le bon sens, ses petites quenottes qui dépassent la rende tellement mignonne. La belle renarde noue ses cheveux avec une ficelle rouge, pourquoi pas un ruban ou autre tissu plus agréable ? Parce que, tout simplement. Outre une allure svelte et une poitrine plutôt généreuse, la kitsune dispose, comme toute personne de son peuple, des coussinets dans sa paume et ses doigts mais malgré cette apparence toute mignonne, la belle peut faire sortir ses griffes et inutile de dire que la manucure n'est pas sa priorité, gare à vous donc. Pour conclure les atouts renards de cette dernière, on y ajoute évidemment cette longue et épaisse queue touffue dans le bas de son dos.
La majorité de son pelage est roux/jaune mais les extrémités de son corps – bras et jambes – ont un pelage noir, de même que de sa truffe à son intimité, la belle à un pelage blanc contrairement au reste de son corps. Les plus attentifs – et surtout autorisé à regarder à travers ses poils, pourront voir deux cicatrices au niveau de sa gorge et pour cause, la belle est muette. Mais pas de naissance...
Caractère : Il y a eu deux genres de caractère pour cette femme mais attardons-nous sur son caractère actuel. Une des choses qui n'a pas changé, son amour de mère. Toucher à ses enfants, c'est jouer avec sa vie. Car la première personne qui oserait faire du mal à ses petits s'expose à une colère noire. Sa famille est une chose très précieuse alors si la belle renarde peut être douce comme un agneau, elle peut laisser son côté sauvage reprendre le dessus et attention ça peut faire mal ! En dehors de ça, pour rester dans le côté maman, elle est de nature très douce avec ses filles, peu importe leur âge, elle continue de les couver et s'en occupé comme durant leur enfance, les nettoyant à grand coup de langue ou en les serrant contre elle pour un puissant câlin. Elle a eut du mal à se faire aux habitudes humaines, de personne civilisé mais désormais, elle a pour habitude de marcher sur ses pattes arrières seulement, de s'habiller et d'agir « normalement » mais en privée, elle est bien plus kitsune sauvage que jeune femme bien élevée.
Du fait qu'elle est muette, les gens aiment bavarder avec elle, chercher un conseil qu'elle pourrait donner sans devoir parler, confier certains petits secrets. C'est sûr qu'elle a une oreille attentive mais parfois, elle cherche le sens de certains mots qu'elle ne comprend pas... Voulant ne pas faire de bêtise et donc éviter les ennuis, la renarde est une personne agréable, douce et attendrissante avec ses enfants, elle et sa petite famille sont les coqueluches du temple où elles habitent. C'est pour dire !
Histoire : On dit souvent que la vie n'est pas un long fleuve tranquille, eh bien c'est vrai. Pourtant tout commença naturellement, loin des contrés civilisés, dans un petit havre de paix régnait une tribu de kitsune, communiquant via leur langage, ne portant aucun vêtement ou faisant preuve de commerce ou autre, c'était une pure vie sauvage. Ils vivaient en meute, le mâle dominant veillait sur les autres, les femelles protégeaient leurs petits, bref, tout était presque trop beau. Mais attardons-nous sur un couple en apparence banal, un mâle, une femelle, deux petites kistune déjà bien grande et une prochaine portée à naître sous peu. Ce couple était aux anges sauf que voilà, la meute n'était pas prête à subir les envies délirantes d'une bande d'humains idiots et pervertis par bien des choses. Des braconniers venant à eux pour les tuer pour leur fourrure ou faire d'eux des animaux en cage, bref, des tas de raison stupide de les tuer.
Que ce soit le chef de la meute ou les autres, chacun se défendait comme il pouvait, la mère des deux kitsunes protégeaient ses petites mais voilà, peu importe la hargne que faisait peuve le mâle de la famille ou même la mère, la petite famille fut capturé comme bien d'autres. La mort aurait pu être préférable. Certains furent vendus comme domestiques, d'autres vendues pour être tué afin de gâter les dames de la haute aristocratie pour se balader avec de « belles » fourrures, mais la petite famille fut vendue à des gens peu scrupuleux. Le mâle de la famille ne se laissait pas faire et protégea les siens comme il pouvait, comprenant cela, ses nouveaux propriétaires lui faire comprendre un marché. Difficile de parlementer normalement quand ils ne comprennent pas leur langage. Vu sa hargne, lui, il allait combattre dans une arène et en échange, ni sa femelle, ni ses filles ne seront touchées, pas le moindre mal ne leur sera causé. Par chance ou par compréhension, il fit son travail, n'aimant pas devoir tuer les gens qui lui faisaient face mais dans sa position, il n'avait pas le choix pour protéger les siens. Il avait vu d'autres terranide se faire tuer lui ou les siens en cas de défaite. Les mois passèrent, la mère avait mis au monde une nouvelle petite fille alors que la famille kitsune vivait dans une sorte de prison. Une salle fermée, « bien » lotie avec un grand lit et de la nourriture mais c'était vraiment le minimum...
Au bout d'un moment, par révolte ou pas ras-le-bol, le mâle n'avait pas tuer son adversaire, il avait gagné mais avait laissé la vie sauve à son adversaire, lui aussi un kistune obligé de combattre pour protéger les siens. En punition, comme il avait gagné mais pas à 100%, sa femelle lui fut enlevée, elle n'avait pas subi de mal comme du sexe forcé ou une punition divine mais une punition très étrange, prouvant la cruauté et le genre de marché dans lequel baignait ses truands. Elle lui fut restituée quelques heures plus tard, un bandage autour du cou. On lui avait coupé et retirer ses cordes vocales. La mère ne pouvait plus communiquer, ni avec son mâle, ni avec ses enfants... C'était douloureux tant physiquement que moralement. Il comprenait sa faute, il s'en voulait et dorénavant, il savait ce qui l'attendait dans ce genre de victoire non-total...
De nouveaux longs mois passèrent et un jour, leur refuge tremblait suite à une attaque. Quel genre ? Ils n'en savaient rien mais un des truands déboula dans leur pièce et visa la mère en lui tirant dessus. Le père de famille avait fait barrage de son corps pour protéger les siens mais il y laissa la vie alors que les auteurs de cette attaque se montraient. Des femelles humaines en vêtements étranges venaient de tuer ce truand avant de continuer leur chemin. Une d'elles, accompagné d'une terranide que les kitsunes connaissaient de vue étaient là pour traduire. L'humaine faisait son possible pour aider le kitsune mais ce dernier s'était éteint en protégeant sa famille. Ses filles pleuraient e hurlaient, sa femme pleurait en silence, incapable de lui dire tout ce qu'elle avait sur le cœur... La bataille était terminée, la plupart des truands étaient morts ou arrêter pour être trainer devant un tribunal pour esclavagisme, trafique d'être humain, combat illégal, vente d'organe et ainsi de suite...
Par la suite, les kistunes sauvé par Caelestis furent envoyé à Edoras, une cité plus proche de la nature que Caelestis ou Tékhos, où elles purent avoir une identité, un toit et apprendre à communiqué avec les autres. Ce fut bizarre au début de devoir s'habiller, d'apprendre à parler, à écrire. Ce fut plus simple pour la plus jeune des kitsunes qui grandissait en apprenant cela mais les autres femelles devaient apprendre sur le tas... Les années avaient passés, la mère gardait encore son deuil de son mâle, travaillant en même temps dans un temple en ville ou son silence et sa nature calme était parfaite pour ce travail. Elle y était presque une mascotte, tout le monde aimait cette mère courageuse qui avait vécu un enfer, élevant ses enfants et faisant de son mieux pour se relever. Par ailleurs, pour faciliter les choses, elle avait eu un vrai nom humain, Miyubi. Même si elle a du mal à faire confiance et à approcher les êtres humains, elle les sait différent de sa prison. L’aînée de ses filles fut prénommée
Kanna, ressemblant à sa mère, elle avait trouvé un travail où sa beauté et sa façon de se déhancher étaient parfait, une sorte de cabaret où les filles dansaient et servaient en petite tenue. Cela dit, pas le droit au sexe... Enfin, c'est ce que l'on dit. La seconde kitsune était presque une adulte et gardait peu de confiance en les humains, de nature difficile, elle passait le plus clair de son temps en ville, dans des coins seuls et isolés des humains, elle ne commettait rien de grave mais on ne l'approchait pas vraiment, vu sa façon de montrer les dents facilement... difficile la jeune
Nozomi. Enfin, il restait la petite dernière qui s'était le plus facilement adaptée ici,
Kozué qui restait pour le moment auprès de sa mère au temple, elle était souvent dans ses pattes mais personne n'en voulait à cette petite qui respirait la joie de vivre ici. Une chance que ses filles étaient avec elle, Miyubi tenait grâce à elles.
Autre :Toutes les filles vivent au temple avec leur mère, seule Kanna cherche à avoir un minimum d'indépendance mais que ce ce soir Nozomi ou Kozué, elles restaient auprès de leur mère au temple. La famille kitsune est bien intégré à Edoras même si certaines coutumes ou choses banals leur semble encore un peu étrange... forcément, elles ont vécu à l'état sauvage avant de découvrir le côté sombre des humains.
Miyubi ne peut donc pas parler mais tente de se faire comprendre comme elle peut avec des signes à elle. Elle a encore du mal à bien comprendre le langage humain alors le langage des signes, ce n'est pas pour tout de suite.
Malgré leurs caractères, toutes sont attachées à leur mère et si jamais un malheur lui arrive, la personne ayant blessé leur mère va s'en mordre les doigts...