Les hurlements de plaisir que poussait Magdalena me paraissait bien moins être de la douleur en cet instant, car je comprenais très bien pourquoi elle hurlait. Mais savoir que je lui donnait un tel plaisir me fit du bien en un sens, ou plutôt me rendait heureux, oui, j’étais heureux de pouvoir entendre le son que produisait ses intenses vagues de plaisir. Je ne put retenir un sourire qui s'étira sur mes lèvres alors que je mettais du cœur à l'ouvrage, voulant toujours faire plus de bien à cette femme qui m'en faisait aussi, à cette personne qui pour une fois, je ne faisais pas tout pour la tuer, pour une fois je me sentais appartenir à quelque chose.
Elle se releva alors que je l'embrassais au milieu de notre danse euphorique, et vint placer ses lèvres tendre et pulpeuse qui me donnait toujours plus envie de les recouvrir des miennes au creux de mon oreille pour me susurrer des mots qui rendrait fou de désir n'importe quel puceau en ce monde. Elle semble vouloir m'exciter encore plus pour que je ne m'arrête pas à lui faire du bien, mais elle doit sûrement ignorer que, bien que le plaisir que je ressent est suffisant pour me faire perdre la tête, ma longue vie de guerre et de morts, ainsi que les malédictions que j'ai subis et qui palpitaient dans mon dos me donnent une endurance de titan, pas moyen que je jouisse avant un moment, et encore moins que je m'arrête. Si elle a de la chance, je ne m'occuperais d'elle que cette nuit, sinon elle serais bien obliger de passer quelques coups de fils durant nos ébats pour prévenir qu'elle ne pourrait certainement pas venir assurer ses obligations. Mais cela, je ne m'en soucie pas le moins du monde, plus par ignorance que par égoïsme, et dans cet état il allait être très compliquait pour elle de m'arrêter.
Je décide alors de changer de position et de me lever de ce canapé en la tenant toujours contre moi, puis envoie son corps en arrière après un dernier baiser, la plaçant comme en position couché dans le vide, perpendiculaire à mes hanches alors que je tenais son corps fermement et recommença mes mouvement avec toujours autant de passion, mais rajoutant à cela un mouvement de va et viens à son corps, m'en servant littéralement comme d'un sex-toy, et amplifiant l'impact de mes coups de reins sans pour autant augmenter leurs violences. De temps à autres je désynchronisais même le rythme de nos deux corps pour que les mouvements soient plus aléatoire, et le plaisir moins constant mais plus en vagues nombreuses, parfois plusieurs petites cherchant à te faire couler tellement elles sont proches, parfois laissant un léger vide un peu plus calme, mais qui ne signifiait qu'une vague bien plus puissante approchant, suivi encore par d'autre plus légère. Je cherchais plusieurs moyens de faire varier ce plaisir que je voulais toujours plus grand, et me met alors à utiliser ses hanches comme d'un moulinet sur moi pour rajouter une dimension aux sensations merveilleuses qui nous ont déjà certainement fais oublier le reste du monde.