La belle blonde récitait parfaitement son texte et je la regardait nager, puis se faire du bien en me léchant les lèvres malicieusement, toujours cachée par une grosse pile de rocher. la belle se doigtait, encore et encore jusqu'à ne plus avoir de souffle. Si la scène n'était qu'une comédie répétée jusque là son manque d'oxygène lui était bien réel, prouvant toute sa détermination à produire un film de qualité. Comme convenu, je sors expressément de ma cachette avec une dextérité incroyable, montrant bien à la caméra que je suis une vraie sirène et qu'aucun trucage n'opère. D'un geste toujours aussi vif, mon bras s''étire autant qu'il le peut pour agripper la jambe de la belle blonde, la trainant au fond et la ceinturant autours de la poitrine avec un rire carnassier...
Alors on s'est perdue dans l'océan ? C'est pas prudent de s'éloigner du bord...
Le plus inquiétant était surement la facilité avec laquelle je jouais la comédie, jusqu'à lui en faire douter que cela n'était pas un véritable piège... Ce qui était le but ! Après tout, je passais outre ses grosses joues bien pleines d'air que la pauvre aurait voulu décharger à la surface, préférant agripper sa poitrine à pleine main pour la faire difficilement gémir dans ses lèvres fermées. Je me permettais même un baiser sur l'une de ses grosses joues prête à exploser tout en pétrissant avec une poigne de fer les obus de la blonde. Quant à ses fesses nues tout aussi appétissantes, elles avaient vite le droit de rencontrer mon vagin qui s'y frottait dans de superbes ondulement de bassins.
Mais là ce que l'actrice porno en herbe voulait c'était de l'air, n'est-ce pas ? Et si je rendais la scène encore plus crédible en attendant le moment ou l'envie de respirer brise sa garde, il fallait bien faire quelque chose une fois qu'elle recracha tout l'air, dans ses dernières limites.
C'est juste pour qu'ont y croit plus facilement... Disais-je en murmurant dans ses oreilles, avant d'en mordiller le lobe comme un petit chiot.
Au delà d la mise en scène pourtant l était temps que Magdalena respire et je la plaquait avec violence contre le sable, toujours les deux mains bien ancrées dans sa moelleuse et si généreuse poitrine. La position étant parfaite pour l'embrasser, je me jette sur ses lèvres pour y offrir un baiser à n'en plus finir, écarter ses lèvres d'un petit coups de langue pour expirer mon air dans sa bouche. Pour simplifier, j'étais sa bouteille d'oxygène et je nourrissais ses poumons d'air avec mon souffle, comme on le ferait lors d'un bouche à bouche pour sauver une noyée.
Baisse les yeux... regarde... j'ai une jolie surprise pour la caméra... Je parlais toujours à voix basse et en toute discrétion pour que la caméra ne puisse le notifier, ce qui aurait gâcher la crédibilité de la scène. Libre à toi d'en faire absolument ce que tu veux maintenant...
Pendant le baiser je m'étais concentrer pour utiliser l'une de mes particularité physique, faisant pousser une verge virile et bien épaisse, mais encore totalement molle... C'était de ce cadeau pour la caméra, dont je voulais parler...