C’était le point d’orgue de leur soirée : Sergeï. Le puissant chien de Boris, et, pendant qu’il se mettait sur la femme, les hommes filmaient. Non seulement pour leur souvenir personnel, mais aussi pour vendre ensuite ce film. Les
snuff movies pornos’ et zoophiles, c’était toujours un paquet d’oseille à la clef, car c’était le genre de trucs qu’on ne trouvait pas en Europe de l’Ouest, et que les Européens s’arrachaient. Tout était garanti authentique, certifié honnête, et c’était ça que les clients recherchaient. Et Dieu, que c’était beau ! Même en filmant ça avec leurs Smartphones derniers cris, les hommes se masturbaient, se délectant du moment. La queue massive du chien s’enfonça lourdement dans l’intimité ruisselante de sa victime. Ils l’entendirent hurler de douleur, et tout ça ne fit que les exciter davantage.
Tandis que Sergeï la pénétrait, plusieurs hommes éjaculèrent, balançant leur sperme sur ses cuisses, sur son ventre, ricanant entre eux, tandis que le chien grondait, se concentrant, bandant ses muscles. Se faire prendre par Sergeï, c’était un tout autre degré qu’un simple humain, car la queue du chien se mit à gonfler, formant ainsi une sorte de « nœud », de telle sorte qu’il était impossible de la retirer sans qu’il ne termine. Un viol cauchemardesque, en conséquence, et Sasha ne pouvait rien faire d’autre qu’hurler, sans même pouvoir appeler à l’aide, car les hommes l’encerclant, des hommes gras, puants, sales, se délectaient de la souffrance de cette femme. Pourquoi tant de haine ? Tant de cruauté ? Outre ce mal inné qui sommeillait en chaque homme, il y avait aussi l’opposition, très forte en Russie, entre les habitants de la capitale, vus comme des riches profiteurs, et ceux de la campagne. Sasha, avec son visage parfait, était l’incarnation de ce que ces gens enviaient et haïssaient en même temps, et elle continuait donc à se faire prendre.
Sergeï eut un premier orgasme, qui ne l’arrêta nullement. Sasha aurait beau supplier, le chien était très endurant, et ne comptait pas la laisser partir si facilement.
«
Dieu, qu’est-ce que cette salope est bonne ! -
Ah ça ouais, putain ! R’gardez-moi cette bombe, putain de merde ! -
Haha ! Je suis vidé, mais, rien qu’à la voir se trémousser, j’ai encore envie de la baiser ! »
Cette idée sembla donner des émules, car Boris se rapprocha, et retira la cagoule de la femme, puis enfonça sa grosse queue dans sa bouche. Même si Sasha n’avait pas la force de bouger, il le fit à sa place, lui baisant violemment la gueule, tapant contre sa gorge, maintenant ensuite sa queue pendant quelques secondes, avant de se reculer, et de s’enfoncer à nouveau, encore et encore.
«
Ouais... Ouais !!Sergeï aboyait, des queues jouissaient encore contre elle, et, quand Boris se vida en elle, il constata que Sasha ne réagissait même plus. Quand il relâcha sa tête, elle bascula vers le sol, son corps n’étant plus retenu que par les chaînes, ses chevilles raclant le sol, pendant que son chien continuait les coups de reins. Sasha s’était effondrée sous l’effort, sa bouche vomissant encore du sperme.
«
Cette salope s’est endormie ! »
Est-ce que cela allait les calmer ? Sergeï, en tout cas, continuait à la bourrer fougueusement, léchant même le cou de la femme, en signe affectueux, sa salive glissant le long de son épaule. Il était content de son amante, et la récompensait...
...Tout en continuant à la bourrer.
«
DEBOUT ! »
Un ordre sec. Une voix forte. Le noir succédant au noir. Il entendit des gémissements, étouffés par le
gag-ball, recouvert de salive, et le crissement du latex.
La femme avait profondément dormi, comme si son corps avait cherché à se défendre après cette profonde agression qu’elle avait subi. Mais il n’avait pas eu peur.
Reto savait que cette femme était endurante, endurante et têtue. Voilà pourquoi il avait, pour elle, un projet spécial. Tout ce qu’elle avait subi, ça n’avait été qu’un prélude, qu’une introduction.
Et là, ils attaquaient le début de leur relation.
Dans une chambre d’hôtel de luxe, à Omsk, s’apprêtant à prendre, d’ici quelques heures, le Transsibérien, à destination de Vladivostok. Il était assis sur un fauteuil, face à elle, assise sur une chaise de la cuisine, recouverte d’une
combinaison très moulante en latex, avec, sur le visage, un masque de latex noir, lui barrant intégralement le visage. On avait néanmoins ouvert le masque à l’arrière, de manière à pouvoir faire sortir ses cheveux, sous la forme d’une longue natte.
Pour le reste, il l’entendit revivre quand le latex se mit à crisser, et ferma les yeux, appréciant les sonorités élégantes de la combinaison sur le corps de cette femme. Il attendit quelques secondes, avant de se relever.
«
Alors, Sasha, tu as bien dormi ? »
Elle ne pouvait pas encore lui répondre, et il se rapprocha d’elle, allant dans son dos, et posa ses mains sur l’harnais retenant son
gag ball, et le lui retira, la laissant ainsi respirer.
«
Tu as deux solutions à partir de maintenant, Sasha, et je te demande de bien y réfléchir, car elles vont décider de ton futur. Soit tu te mets dans de bonnes dispositions, et tu pars avec moi, soit je prends le Transsibérien seul... Et Boris retourna te chercher. Sergeï, son chien, a vraiment adoré te baiser. Il a battu tous les records d’endurance avec toi, et Boris serait très ravid e pouvoir recommencer avec toi. Alors... Que décides-tu ? »