S'ils me plaisaient ? Elle n'avait pas besoin de me poser la question deux fois et comme seule réponse la bimbo eu le droit à un sifflement, devant le spectacle de ces seins énormes et à la fois si fermes. En tout cas si je ne les avait pas touchés c'est de ce dont ils avaient l'air, d'une fermeté et d'une élasticité à toute épreuves, le genre de coussin naturelles sur lequel on aimerait poser sa tête le soir, pour s'endormir les longues nuits d'hiver. Il était pourtant ridicule de fantasmer sur quelque chose que je pouvais voir tous les jours... même si cette paire là arrachait aisément la médaille d'or du lycée.
Ouai, tu devrais les cacher avec qu'une personne mal intentionné vienne les dévorer tout crus...
J'étais pourtant bien loin du bout de ma surprise, car si j'étais si concentrée par la poitrine que je n'en vit même pas la bosse qui se forgeait doucement entre ses cuisses, j'allais très vite la découvrir de mes propres yeux, comme un lapin sortant du chapeau sans en dévoiler les ficelles du tours. Etonnement garanti, même aux premières loges, cette bimbo pulpeuse me portait décidément de surprises en surprises dans ce spectacle inédit à huit clos, qui se jouait devant moi. Si devant une telle curiosité la plupart aurait hurler de peur ou se serait enfuit contre le mur dans une grimace d'horreur, il n'en était rien pour une jeune fille comme moi qui n'avait pas froid aux yeux, avide de curiosité.
Tout d'abord, je ne savais comment réagir, les yeux écartés bien en grand et les pupilles toisant la longueur... monstrueuse de l'appendice ! Bordel, déjà que ce n'était pas banal il fallait que la taille aussi soit démesurée ? Par expérience les verges naturelles que possédaient les femmes, dans les rares cas que j'avais pu voir, étaient largement plus grosse que celle des hommes... cependant il n'y avait aucun mot pour mesurer cette chose qui pendait fièrement entre ses cuisses... déjà bien endurcie. Et ma seule réaction devant tout ça ? Un simple rire nerveux !
Ah... ah ah !! Ah désolée mais... ah ah ! je pensais qu'ont m'avait foutu une coloc ennuyeuse mais alors là finalement c'est le pompon !
J'avais peut-être mal jugée la petite nouvelle, ce secret était la porte ouverte à tous les chantages pour le garder aussi longtemps que possible, et nul doute que ses projets n'étaient pas de dévoiler cette chose au grand jours tout de suite, vu la longue jupe qu'elle avait porté...
Tu sais quoi ? finalement je crois qu'ont va bien s'entendre, j'ai trouvé un moyen de t'exploiter utilement. Toi tu cèdes à tous mes caprices, moi en échange, je n'accroche pas de photo de toi nue partout dans le hall.
Mais pour montrer que je ne rigolais pas rien ne valait mieux qu'une petite démonstration, c'est dans cet esprit du moins que je me dirigeais vers l'armoire pour en sortir l'ensemble ne latex, toisant une dernière fois la bimbo de la tête aux pieds, d'un regard par dessus mon épaule. Cette grosse poitrine mouillée, ce long bâton de chaires au diamètre qui ne pourrait rentrer nul part sans des pleurs de douleurs... elle était définitivement intéressante.
Tu ferais mieux de fermer la porte à clef si tu ne veux pas être découverte... Disais-je en enfilant ma robe en latex noire, après avoir prit le soin de retirer mes sous-vêtements. Une tenue peu banale pour une simple après midis sage entre filles... qui laissait entrevoir les possibilités que je prévoyais pour m'amuser. D'ailleurs, elle me moulait toujours autant, rebondissant mes fesses plus qu'il ne le fallait dans le brillant de la tenue, et comprimant ma poitrine à m'en faire monter le rouges aux joues, infligeant une première bouffée de chaleur qui me fit soupirer. C'était ensuite autours des gants de se tortiller jusque derrière mes coudes, dans l'agréable grincement du latex qui serrait la chaire comme une seconde peau. Puis finalement, sous la descente en jupe courte de la robe moulante, ce fut autours d'une jolie paire de cuissardes bien lacée de se faire enfiler.
Ne le prends pas personnellement, je veux juste te montrer sans plus attendre que je ne rigole pas... et instaurer tout de suite la hiérarchie entre nous...
Une laisse dans la main droite, les longs talons claquant sur le sol... il était aisé de deviner la suite. la laisse en cuir rouge autours du cou et l'autre bout tenue dans ma main pour lui instaurer sa condition de petite chienne... une des situation basiques mais humiliante. Et pourtant il n'en était rien, car c'était sur une autre gorge que venait s'enroulait la laisse... ou plutôt, une trompe... puisque le cuir de la laisse saisissait sa verge vers le milieu de sa longueur, pour la serrer à lui en faire perdre la circulation si ça avait été un poignent ou une cheville.
D'un coups violent et rapide, je donne un coups sur la laisse pour tirer sur la verge bien sanglée et palpitante contre la lanière de cuir, qui était une véritable prison.
Tu as bien compris ta place dans cette chambre ? Alors baise mes cuissardes avec tes lèvres de bimbo pulpeuse, lèche les à en faire glisser ta salive sur le latex... je veux qu'elles soient aussi brillantes te vernies que des souliers neufs. Bien sure s'il te prenait l'envie de faire la forte tête, je peux toujours ouvrir la porte et te traine dans les couloirs
Une vision bien amusante, j'imaginais facilement la blonde être tirée au niveau de la verge devant tout le monde, dans les couloirs... Une humiliation à en ruiner la scolarité !