Il fallait la voir s'acharner sur son propre membre ! Sans la moindre douceur, sans une once de délicatesse, Lise se défonçait la gorge avec un entrain presque inquiétant. Il était difficile de déterminer où elle prenait davantage son pied, de sentir son chibre ruisseler de saliver, caressé par cette langue insatiable ou de frôler l'asphyxie à chaque coup de boutoir, s'enfournant un mandrin qui écrasait tout sur son passage et manquait de lui faire vomir ses tripes à chaque instant. Bien évidemment, Leona se régalait du spectacle. Il y avait manifestement quelque chose d'effroyablement excitant à voir cette bimbo dont l'apparence était si importante s'avilir de la sorte, à genoux dans des chiottes à l'hygiène douteuse, à demie dénudée sans même avoir prit la peine de se déshabiller complètement, s'enfourner une bite hors du commun dans sa propre gorge à s'en tirer des larmes tout en ruisselant de divers fluides des moindres délicats sur cette hampe désormais maculée de diverses substances. Indubitablement, Lise y trouvait son intérêt. Plus encore lorsqu'elle sentit la morsure ardente de l'ampoule sur différentes parties de son corps et que ses couilles enserrées par le lien viraient au bleu.
Ce ne fut pas le crachat de sa tortionnaire qui allait faire peur à la blonde au visage défait, tant par la bile que la bave et elle goba à nouveau son membre avec un cri de souffrance devenu mugissement lorsqu'elle le sentit rabattre sa glotte dans sa gorge. A ce rythme et avec l'ajout fort judicieux d'une enième brûlure sur ses bourses à l'agonie qui mouraient d'envie d'expulser leur contenu, Lise sentit son membre se tendre d'une secousse violente qui indiquait une décharge monumentale. Arc boutée sur sa bite, elle ne put s'empêcher de se redresser en arrière, libérant son membre et aspirant une goulée d'air salvatrice alors qu'elle manquait de défaillir de se sentir si libre. Mais l'orgasme arrivait, effrayante lame de fond qui annonçait une cascade de semence bien plus importante que celle qui avait rempli le sac de Léona quelques instants auparavant. Secouée de spasmes, à demie consciente, Lise n'eut que le temps d'arracher l'ampoule des doigts de Léona sans se préoccuper de la chaleur de l'objet, l'écrasant sur un téton qui semblait n'attendre que ça. L'ultime trait de souffrance qui la déchira fut la dernière pierre de l'édifice de son plaisir, mais... Elle saisit Léona.
Tout hargneuse qu'elle était, la brune ne pouvait lutter contre la force insoupçonnée de cette blonde sportive, au corps aussi habitué aux efforts violents qu'aux souffrances intenses. Pour une femme qui se roulait au sol quelques instants auparavant, Lise était étonnamment forte. Et lorsque cette puissance était alliée à un désir hors du commun, il était impossible à Leona de résister. Car elle avait promis. Ce qu'elle espérait sans doute n'être que des paroles en l'air étaient restées gravées dans l'esprit de la blonde et ses valeurs étonnantes. Elle avait accompli sa part du marché, à la jeune femme de tenir parole, de gré ou de force. Ses orifices étaient disponibles et Lise voulait au moins le plus accessible d'entre eux pour vider son épaisse purée blanchâtre dans un petit nid douillet. Elle la courba en deux et lui écrasa sa bite sur les lèvres, sans se préoccuper de l'immonde mélange qui la maculait déjà. Le mandrin n'était guère plus qu'une cascade de présperme, de salive aux bulles blanchâtres qui se mêlait à la bile légèrement plus consistante qui ruisselait en filets. Et au sommet, un monstrueux gland violacé qui vibrait déjà sous la pression du foutre en approche. Maculant le visage de sa soumise, cette poupée si parfaite qui refusait de s'abaisser à son niveau, de ce mélange immonde, cherchant à forcer le passage de cet obélisque qui ne rentrerait que sous un coup de rein, Lise sourit à travers ses larmes de souffrance, follement excitée de voir le visage de sa maitresse presque disparaitre, perdre de sa superbe devant ce monstre de chair.
Tu as promis. Avale.
Et l'explosion blanche arriva, plusieurs litres de foutre expulsés à toute vitesse de cette queue monstrueuse alors que la blonde martyrisait son téton grésillant sous la chaleur de l'ampoule, malaxant ce bourgeon de chair de cette masse presque incandescente qui brûlait la peau et consumait sa jouissance. Malgré ses yeux révulsés, malgré le hurlement qui se frayait un chemin dans sa gorge, elle fixait d'un oeil torve celle qui avait promis, qu'elle voulait voir disparaitre sous ces monceaux de foutre, réduite à un orifice comme elle le disait si bien. Elle voulait la dégrader et la remplir, essayer d'avaler ses litres avant de s'étouffer et s'effondrer au sol sous la cascade de sperme.