Il y avait une différence entre tolérance et isolation. Cette cité où vivent les Terranides libres et protégés de leurs ennemis naturels demandait une procédure d’intégration si risquée que la moyenne des humains, logiquement, ne survivaient pas. Combien d’autres à part Lie vivaient là-bas, dans cette cité paradisiaque pour les amoureux de relation exotique ? Elle craignait le manque de réception et d’accueil ce jour où elle entrera par la grande porte. Du coup, elle posa la question pour se rassurer et mettre son esprit à l’aise, tandis que son corps reçut des coups de langue bien rapeuse. L’effet était entre douceur et friction, bien différent des léchouilles humides venant d’un autre humain.
Ainsi donc, elle comprenait le résultat final de ses épreuves. En échange pour survivre aux rites et pour gagner l’amitié de ces êtres mi-humain mi-animal, une marque accompagnerait la rousse jusqu’à la mort. Un symbole d’amitié pour la vie et une forme d’authentification incontestable. Lie ne s’attendit pas apprendre cette information à l’avance. Du coup, cela l’arrangeait de voir un peu plus l’horizon. Cette furry, Antarkia, avait de la perversité mais une vraie sympathie avec sa partenaire humaine. Elle lui sourit de gaieté de cœur en lui caressant doucement les seins avec ses deux mains.
Leur baiser se prolongea. Lie ajouta sa langue et remua contre celle plus rapeuse. Ses courts soupirs furent caractérisés par la sensation toujours aussi spéciale de cette langue de canidé. Son corps n’avait aucun poil, mais frissonnait de plaisir. Elle joua donc avec la paire de nichons, glissant les mamelles entre ses doigts pour s’amuser. La rousse finit alors par ne plus ignorer le trois pièces de la Furry. D’un œil fasciné, c’était une verge verte de canidé qui se présentait et montrait des signes très clairs de son excitation. Le liquide transparent du pré-sperme s’expulsa en quelques filets sur la peau de l’humaine. Celle-ci eut une palpitation dans sa poitrine. Elle gémit alors et se rapproche de sa compagne, frottant sa jambe contre l’entre-jambe. Son regard ne manqua pas de voir sa jambe se tremper de fluide sexuel. Sa main finit par descendre, récoltant un petit filet de ce pré-sperme pour ensuite y goûter. Toute de suite, elle sentit une bouffée de chaleur dans sa tête. Elle crevait d’envie de prendre cette verge en bouche.
- Non, ça ne dérange pas. Tu peux le faire….Antarkia.
Susurrant cette permissio, Lie abaissa la tête pour suçoter les tétons de la Furry. D’une main elle serra le dos de sa partenaire pour apprécier la fourrure. Le liquide continuant de couvrir son bas-ventre, elle soupira plus longtemps. Sa main continua alors de récolter quelques gouttes pour le déguster tout bonnement. La rousse remua ensuite son bassin et la sentit se mettre en place. Ses cuisses écartées, une langoureuse plainte vibra de sa gorge, prête à recevoir cette magnifique amante dans son intimité.