Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Compagnons de Cellule [Cat Bellum - The Suicider]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Cat Bellum

Créature

  • -
  • Messages: 11


  • FicheChalant

    Description
    Terminator de classe T-H, Cat Bellum est une humaine-cyborg qui a été élevée dans un complexe de SkyNet afin de devenir l'un de fers de lance de l'infiltration en milieu humain. Joyeuse, un peu fofolle et chasseuse-tueuse, ajoutez à ça son endosquelette en hyper-alliage et une ou deux armes intégrées, vous obtenez un cocktail détonnant !
    Mais ses protocoles tueurs ne sont pas loin et il lui faudra faire de redoutables efforts d'intégration pour pouvoir pleinement vivre.

Compagnons de Cellule [Cat Bellum - The Suicider]

dimanche 07 août 2016, 20:55:31

[iframe=420,315]https://www.youtube.com/embed/ICpzoZozwCU[/iframe]

J'ai été très surprise quand j'ai croisé des femmes avec une technologie presque aussi balèze que celle de mon concepteur. Par bien des points c'est défaillant : Il y a encore des humains et ils ne sont presque pas cybernétisés. Mais à côté de ça, elles ont certains gadget qui sont assez impressionnants. J'étais simplement venue pour faire le plein de la moto à une station-service. Bien sûr, j'ai toujours pas d'argent sur moi.

Qu'importe ! Je me sers, et si le proprio est pas content je lui colle des baffes. Sauf que le proprio était à la fois pas content mais qu'il a aussi sorti une arme à feu. Du coup je lui ai un peu confisqué et mis un bras en passoire. J'avais récupéré un chouette truc qui faisait penser à un shotgun mais en plus compact, avec moins de recul, mais plus d'impact. Bref, que du bonheur. Sauf que le proprio a eu le temps de saisir je-ne-sais quel moyen de communication et les forces de l'ordre me sont tombées dessus, mais avec gyrophares et tout, et tout.

J'ai tenté de les sermer, mais même avec mes protocoles de conduite sportive et mes réflexes assistés, au bout d'un moment, quand il y a trop de poursuivants, il y a trop de poursuivants. Alors j'ai commencé à sortir certains de mes protocoles d'assaut pour essayer de faire des trous dans les rangs de mes poursuivants. Ce qui m'a estomaqué c'est que mon compteur de pertes humaines est resté à zéro, malgré les déboulonnées que j'ai flanqué dans la fourmillière. J'ai quand même envoyé six bagnoles à la casse et le triple en représentants de la loi à l'hosto. Mais Zéro morts. Rien, niet, nada. Elles ont toutes survécu, ce qui a commencé à me faire douter de l'efficacité de mon nouveau jouet. Je me demande si ce n'est pas une arme non-létale à la noix.

Sauf que j'ai pas eu le temps de vérifier. On m'a envoyé des exosquelettes qui poussaient et tiraient plus fort que les vérins dans mes bras. Je n'ai pas réussi à les dépiauter comme des humains ou des protections classiques. Et l'un d'eux m'a touchée avec un système à décharges d'énergie. Mes processeurs ont fait des reboot forcés pour éviter les dommages à mes bases de données et mes systèmes informatiques, je suis tombée comme une masse pendant qu'on me filait des coups de jus de toute part. Et du coup quand mes protocoles ont eu terminé de rebooter proprement, j'avais des menottes gros comme mon torse autour des poignets et des chevilles et on m’amenait dans un nouveau coin appelé la "prison Eternum".

Je sais ce qu'est une prison, mais "Eternum" m'a intriguée parce que mes bases de données avaient l'air d'associer le nom à l'éternité. Quand on m'a fait entrer, on m'a filé un numéro de cellule, on m'a guidée ensuite à travers plein de checkpoints de sécurité jusqu'à des zones qui ont été identifiés comme des tunnels de mine. Puis on m'a mise dans une cellule où j'ai moisis quelques heures en essayant de me faire une idée de l'endroit. J'ai lancé des échos grâce à mes doigts en les cognant contre les barreaux de ma cellule pour avoir une idée échographique de l'endroit et tenter de remonter tout ça en 3D dans la partie virtuelle de mon cerveau. Mais peu après que j'aie commencé, quelque-chose à commencer à émettre un bruit blanc qui a coupé toute autre tentative de ma part de continuer mes échographies du lieu.

J'ai été assez frustrée, alors quand un garde est venu m'apporter à manger, j'ai voulu essayer de lui marcher dessus pour sortir. Mais pas de bol, ma cage au complet est une chambre électrique. Et comme mes semelles ne sont pas en caoutchouc, je me suis éteinte avant qu'il entre, et le temps que je reboot il était déjà reparti. Cette fois j'étais vraiment énervée. Ce n'est pas parce que la douleur est un concept avec moi que me griller la tronche préventivement avant chaque entrée de personnel est appréciée. Les barreaux sont trop solides, le temps que j'arrive à les tordre, je laisse dix fois le temps à l'équipe qui gère mon bloc de me griller et de faire changer les barreaux. Je le sais parce que j'ai essayé juste après.

Après avoir amèrement regrettée de m'être bêtement laissé enfermée, j'ai eu droit à une visite dans le couloir qui m'a annoncé que puisque je voulais faire du grabuge, j'allais pouvoir me défouler dans une arène.

J'ai ensuite été transférée avec l'aide de grosses machines de levage qui m'ont enserré chacune un poignet et une cheville. Malgré les vérins de mes bras et jambes et leurs dix tonnes de pression, je n'ai pas pu les faire me lâcher. Ensuite ils m'ont conduit à un vestiaire avant de me filer un coup de jus et je suis en train de rebooter.

- Salopards, si je vous chope, je vous termine... Gronde-je en me relevant.

Je me met debout et tourne la tête autour de moi. Mes capteurs enregistrent une source de chaleur sur le banc et je la regarde, essayant de faire la mise au point. Elle n'a pas l'uniforme des gardes, ce qui est déjà un bon point.

- Veuillez décliner votre identité, dis-je en arborant malgré tout un sourire poli car je souhaite faire bonne impression.

The Suicider

Humain(e)

Re : Compagnons de Cellule [Cat Bellum - The Suicider]

Réponse 1 dimanche 07 août 2016, 23:18:03

« Pourquoi l’ont-elles emmené ici ?
 -  Elles veulent tester ses compétences... Et elles craignent qu’elle ne fasse du grabuge si on la laissait dans l’un des laboratoires.
 -  Et qu’est-ce que c’est ? Cette chose n’est clairement pas humaine...
 -  Son origine est confidentielle... »

Elles observaient la créature depuis les caméras de sécurité, en voyant les gardes la conduire au vestiaire. L’Administratrice White, dans une impeccable robe blanche, presque immaculée, buvait un verre de vin, et se retourna vers la femme. Elle faisait partie d’une unité d’élite spéciale, et était une figure médiatique connue pour ses participations à des tournois d’e-gaming, et qui pilotait aujourd’hui un mécha d’élite, et qu’on appelait D.Va. Elle avait été envoyée pour soutenir les tests sur ce mystérieux robot, et la jeune femme, dont le véritable nom était Hana, était très intriguée par elle.

White avait reçu cette nouvelle prisonnière, et avait constaté ses particularités. Alors qu’elle disposait d’une peau humaine, cette dernière était purement synthétique, et, sous cette peau, il y avait une sorte d’armature métallique très perfectionnée recouvrant des organes. Un assemblage très impressionnant, et surtout très développé, bien au-delà des robots et des cyborgs que les Tekhanes étaient actuellement capables de faire. Cette femme n’était pas une humaine, mais un mystérieux robot. Néanmoins, l’Administratrice n’en savait guère plus, et soupçonnait un projet militaire ultraconfidentiel, avec une mise en test dans la prison.

« Elle va participer à l’émission...
 -  Et je vais la tester. C’est pour ça qu’on m’a fait venir, après tout ! »

White hocha lentement la tête. Elle espérait bien que cette « femme » n’allait pas amener de problèmes. Gérer une prison comme celle d’Eternum, remplie de psychopathes et de fous dangereux, n’était pas chose aisée.

Loin s’en faut.




« Pour ce nouveau numéro, le public est chaud bouillant, Claire, c’est le cas de le dire ! Et comment ne pas l’être ? L’EKS rencontre à chaque fois un succès de plus en plus important... »

Marius tourna lentement la tête, s’écartant de la télévision à écran plat située dans un coin du vestiaire, et s’avança lentement. Sa lourde armure faisait trembler le sol, tandis qu’il évitait le reportage qui, naturellement, aurait lieu sur lui. Le Suicider... La légende de l’arène, dont l’identité faisait gloser bien des internautes. La compétition s’approchait, mais il avait appris, il y a encore quelques heures, alors que l’équipe technique enfilait son armure, qu’il allait combattre avec une femme. Une nouvelle, qui venait récemment d’arriver à Eternum. Il était assez curieux d’envoyer une nouvelle dans l’Arène... C’était même inhabituel, et contraire au protocole en la matière.

*J’ignore ce que cela cache, mais ça ne me plaît pas...*

Des bruits se firent alors entendre, et la lourde porte blindée s’ouvrit alors. Deux gardiennes escortaient une troisième femme, qui était sonnée, et la balancèrent sur le sol. Marius s’était lentement rapproché, pour les voir repartir rapidement, sans une seule explication, se contentant de refermer la lourde porte blindée derrière elles.

« Allons bon... Tu dois être ma coéquipière, je suppose... »

Ses doigts se posèrent sur les tempes de la femme, pour constater, à son grand soulagement, qu’elle respirait toujours. Il fallut ensuite attendre quelques minutes avant qu’elle ne se relève. Marius, lui, s’était assis sur un banc, dans un coin du vestiaire, où il était plongé dans son passé. Entre ses doigts, l’homme triturait une vieille image, reproduction d’un tableau qui figurait jadis chez lui, et qu’il tenait dans un collier, et où on y voyait sa famille, comme son père, Jacobus.

Les bruits de pas de la femme le tirèrent de ses pensées, et il se dépêcha de ranger l’objet compromettant, et se redressa, tournant la tête en voyant la fine silhouette approcher. D’un ton autoritaire, et avec un sourire qui sonnait faux, la femme lui demanda son identité, et Marius souriait.

« Vous n’avez qu’à regarder la télé, poupée. L’inconnue, ici, c’est vous. »

Il désigna du doigt la télévision, où le reportage sur le Suicider était en cours. On le voyait se battre dans une arène, bondissant dans tous les sens, fuyant les armes dévastatrices d’une redoutable tour de combat disposant de mitrailleuses lourdes, de fusils-lasers, et de batteries de lance-missiles.

« ...Légende vivante de l’Arène d’Eternum, indiquait la présentatrice en fond d’écran, le Suicider est un guerrier redoutable, dont l’identité ne cesse de questionner. Pour beaucoup, il n’est pas un simple prisonnier, mais un soldat, régulièrement embauché par le service pénitentiaire. Tout ce qu’on soit sûre, c’est que, à défaut d’être connu, sa technique est efficace. Il associe rapidité et brutalité, avec un sens incroyable de l’analyse. Selon certains spécialistes, ces techniques sont typiques des stratèges ashnardiens. En tout cas, et c’est plus trivial, le sondage de popularité réalisé sur le site Web de l’émission indique que l’élément le plus populaire, chez les supporters du Suicider, est son fessier... »

Marius laissa le temps au reportage de se poursuivre, et s’adressa ensuite à la femme :

« Et vous ? Vous êtes qui ? Je ne vous avais encore jamais vu dans l’Arène... »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Cat Bellum

Créature

  • -
  • Messages: 11


  • FicheChalant

    Description
    Terminator de classe T-H, Cat Bellum est une humaine-cyborg qui a été élevée dans un complexe de SkyNet afin de devenir l'un de fers de lance de l'infiltration en milieu humain. Joyeuse, un peu fofolle et chasseuse-tueuse, ajoutez à ça son endosquelette en hyper-alliage et une ou deux armes intégrées, vous obtenez un cocktail détonnant !
    Mais ses protocoles tueurs ne sont pas loin et il lui faudra faire de redoutables efforts d'intégration pour pouvoir pleinement vivre.

Re : Compagnons de Cellule [Cat Bellum - The Suicider]

Réponse 2 lundi 08 août 2016, 09:23:00

« Vous n’avez qu’à regarder la télé, poupée. L’inconnue, ici, c’est vous. » Me dit la personne à l'identité inconnue sur le banc.

Je tourne la tête, fais la mise au point sur l'écran de télévision en question. Les données commencent à affluer et mes processeurs logiques commencent leur analyse. Je reste silencieuse, certains mots sont inconnus à mon dictionnaire interne, mais le titre lui est sorti de l'anglais, voulant dire "le suicidaire". Un nom qui dénote une volonté de trouver la mort assez surprenante pour un être vivant. Les prouesses physiques peuvent être expliquées par la présence d'un exosquelette sommaire sur les couches externes. Aucune signe de modification cybernétique interne. Pas de marque de fabrique ou signe distinctif. Et quand je rallume brièvement mes antennes de communication/réception, il reste sourd à mes tentatives de demande de requêtes de numéro de série. Ce n'est donc pas un cyborg de SkyNet comme moi. Ça me rassure par un point : Il ne va pas me ramener à la maison pour me faire rependre ma mission principale. Mais avoir un modèle Cyberdine avec moi en cet instant aurait été apprécié. Même un vieux T-600.

« Et vous ? Vous êtes qui ? Je ne vous avais encore jamais vu dans l’Arène... »

Je tourne ma tête dans sa direction. Il n'a pas été très poli en me disant de découvrir par moi-même les données à son sujet. J'ai très envie de lui dire d'aller consulter SkyNet pour savoir qui je suis. Mais il ne peut pas. D'où boucle logique impossible à compiler. D'où, la conclusion est que pour couper court à la boucle, je suis obligée de me présenter puisque aucun élément externe ne le permet.

- Je... M'appelle Cat Bellum... Réponds-je avec hésitation, mes protocoles de sécurité n'ayant pas jugé opportun de donner toute ma dénomination de série T-H. Pourquoi désirez-vous mourir alors que vous survivez à vos tentative de termination ? Demande-je en montrant l'écran. Et pourquoi le briefing parle-t-il de la partie postérieure de votre anatomie ?

Mes processeurs continuent à analyser les images à l'écran. Malgré la brutalité de la technique de combat, il y a bel et bien des schémas qui se répètent, des enchaînements martiaux. Il dispose donc de protocoles adaptés à l'utilisation de son exosquelette mettant en avant sa vitesse de réaction ainsi que se force. Ce qui ne me permet pas de savoir si l'exosquelette est très résistant. Trop peu d'impacts ou de chocs encaissés sur les images. Mais de nombreux gros plans sur la partie postérieure de l'individu assis sur le banc lorsqu'il court ou marche.

The Suicider

Humain(e)

Re : Compagnons de Cellule [Cat Bellum - The Suicider]

Réponse 3 lundi 08 août 2016, 17:00:26

« Le... Le briefing ? » s’étonna-t-il, en désignant machinalement du doigt l’écran télévisé.

Qui était donc cette cintrée ? La manière dont elle s’exprimait, de façon très laconique... Marius ne savait vraiment pas quoi en penser. Qu’elle ne le connaisse pas n’était pas, en soi, si surprenant que ça. Toutes les Tekhanes ne suivaient pas le Tournoi d’Eternum avec assiduité, et Marius était loin de prétendre être une star internationale, mais, de là à confondre un stupide reportage télévisé avec un briefing... Qu’est-ce que c’était que ce bordel ? Confus, l’homme ne savait pas trop quoi en penser. Il était encore frappé par la manière dont cette femme s’exprimait. Elle avait beau être magnifiquement bien roulée, elle avait l’air... À côté de la plaque.

Le Suicider l’observa pendant quelques secondes, sans savoir quoi dire, et finit par revenir à lui, en se disant qu’elle était peut-être amnésique, comme un produit d’expérience tekhan, un prototype de super-soldat, ou autre chose de ce type. Marius n’avait aucune confiance en ces Tekhanes, et, dans les couloirs de la prison, entendait quantité de rumeurs et de racontars sur les expériences militaires clandestines réalisées par l’armée. Et puis, il ne savait rien sur cette femme, et tout était bizarre ici... Comme le fait que, tout en débarquant juste dans la prison, elle soit envoyée dans l’Arène. L’homme se méfiait à juste titre, mais finit néanmoins par satisfaire sa curiosité :

« C’est comme ça qu’on m’appelle. Suicider... Le Suicidaire. Sans aucun doute parce que j’effectue des prouesses suicidaires là-dedans. Je n’ai aucune envie de mourir si ça peut vous rassurer... Cat. Mais je n’ai pas le choix, je dois travailler dans ce cirque, si je veux espérer pouvoir un jour sortir d’ici. »

Le reste ne la concernait pas. Le plus grand désir de Marius était de se venger de ceux qui l’avaient mis là, ces gens qui avaient employé des Barbares pour massacrer sa famille, et lui faire porter le chapeau. L’homme avait été victime d’un complot, et, même si ça faisait maintenant au moins des mois que son procès expéditif l’avait envoyé à Eternum, il n’avait toujours pas oublié... Et comment oublier ? Le spectacle de sa domus massacrée, les corps ensanglantés étalés sur le sol, cette odeur fétide de mort qui imprégnait totalement le manoir... Non, il n’avait rien oublié, et comptait bien rendre justice à sa famille.

Marius soupira, continuant à faire les cent pas. Encore quelques minutes d’attente, et la sonnerie retentirait.

« Quant à mon postérieur... Disons que c’est quelque chose de tekhan, mais, s’il ne vous inspire pas, tant mieux. »

Il n’avait aucune envie d’être une gravure de mode pour des midinettes en combinaison moulante qui se pavanaient depuis leur chambre des spectacles macabres se diffusant devant leurs écrans. Toute cette technologie dépassait de beaucoup Marius, qui venait d’un État dont le niveau technologique était médiéval. Il lui avait fallu du temps pour s’habituer à ces objets futuristes, tout comme à cette armure. Dedans, il était comme un véritable Robocop tekhan, et s’approcha de la double porte blindée menant à l’Arène.

« C’est par ici qu’on ira se battre... J’ignore ce qu’on nous a préparé, mais je pense qu’il s’agira surtout de vous tester. Alors... Vous êtes qui, exactement ? Qu’est-ce qui vous a valu de finir à Eternum ? »

S’ils étaient appelés à mourir ensemble plus tard, autant en savoir un peu plus sur cette étrange femme.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Cat Bellum

Créature

  • -
  • Messages: 11


  • FicheChalant

    Description
    Terminator de classe T-H, Cat Bellum est une humaine-cyborg qui a été élevée dans un complexe de SkyNet afin de devenir l'un de fers de lance de l'infiltration en milieu humain. Joyeuse, un peu fofolle et chasseuse-tueuse, ajoutez à ça son endosquelette en hyper-alliage et une ou deux armes intégrées, vous obtenez un cocktail détonnant !
    Mais ses protocoles tueurs ne sont pas loin et il lui faudra faire de redoutables efforts d'intégration pour pouvoir pleinement vivre.

Re : Compagnons de Cellule [Cat Bellum - The Suicider]

Réponse 4 mardi 09 août 2016, 11:37:46

« C’est comme ça qu’on m’appelle. Suicider... Le Suicidaire. Sans aucun doute parce que j’effectue des prouesses suicidaires là-dedans. Je n’ai aucune envie de mourir si ça peut vous rassurer... Cat. Mais je n’ai pas le choix, je dois travailler dans ce cirque, si je veux espérer pouvoir un jour sortir d’ici. »

Le sujet présent dans la pièce regagne une grande partie de mon attention. Ainsi il faut travailler dans un cirque pour sortir de cet endroit ? Mais de quel cirque parles-t-on ? Un cirque est une foire ambulante qui propose divers spectacles drôles, impressionnants, ou de dressage d'animaux exotiques. Mais je n'ai rien vu pour le moment sur l'écran que je puisse logiquement rattacher à cette activité. La seule chose que je peux dire face aux extraits vidéos qui sont disponibles, se rapproche plus des arènes de gladiateurs romaines que d'un cirque, même si les deux ont été considérés comme un "spectacle" en leur temps respectifs.

Pour le nom du sujet, il est donc associé à celui de ses actes. Ce qui en fait donc un surnom, pas une désignation véritable.

« Quant à mon postérieur... Disons que c’est quelque chose de tekhan, mais, s’il ne vous inspire pas, tant mieux. »

- Donc, votre nom n'est pas votre nom mais une nomination en relation avec vos actes. Votre désignation est autre, pourquoi ne pas me l'avoir dit ? Demande-je tandis que mes protocoles d'interrogatoires sont sollicités pour mettre au claire cette information.

Je tourne le regard pour le voir se lever et se diriger vers une lourde porte faite d'alliage ferreux très denses.

« C’est par ici qu’on ira se battre... J’ignore ce qu’on nous a préparé, mais je pense qu’il s’agira surtout de vous tester. Alors... Vous êtes qui, exactement ? Qu’est-ce qui vous a valu de finir à Eternum ? »

- Le motif officiel n'a pas été justifié dans mon état conscient. J'ignore ce qu'il en est. Réponds-je laconiquement en m'approchant pour regarder la porte de plus près et changer plusieurs fois de filtres de vision. Quand à ma dénomination, vous en disposez déjà. Je suis la seule ici a ne pas savoir avec qui je suis...

La porte commence alors à s'ouvrir et un lourd son de bruits de gorges humains se fait entendre. J'active rapidement le filtre de mes capteurs audio afin de ne pas être dérangée par ces cris et entends une autre voix qui s'égosille dans un système d'amplification de voix avec un discour pour haranguer les nombreux humains et divers autres créatures présentes dans des gradins situés à quinze mètres de hauteur au-dessus du niveau du sol où je me trouve. Un sol constituée de nombreuses plaques de métal dont les disjointures me permettent de détecter de nombreux systèmes mécaniques en-dessous. Je fais quelques pas à l'intérieur en suivant le sujet en armure suicidaire.

La voix de fond continue à débiter des propos qui, s'ils sont compréhensibles, ne renvoie à aucune formulation que je connaisse. Le sujet de la mort ou de la mutilation reviennent souvent, mais pour une chambre d'exécution, c'est brouillon et d'un criant manque de rendement.

Mon filtre de vision m'indique un afflux d'énergie dans une structure proche du centre de la zone dégagée est un assemblage commence à émerger du sol. Il dispose de toute évidence de systèmes létaux à distance constitué d'armes à feu de petit calibre. Le niveau de danger est relativement faible pour mon armature. Mais je tiens à la partie charnelle sur celle-ci. L'assemblage est constitué d'un pillier central auquel sont rattaché de multiples dispositifs de mise à feu. Mes processeurs logiques ont déjà trouvé une parade. Je me penche jusqu'à me trouver assise sur mes genoux et vise des disjointures plus importantes que la moyenne entre une plaque métallique et le reste du sol. Je ramène mes mains en arrière pour leur faire prendre de l'élan et verrouille les articulations de mes doigts en ouverture plate. Puis j'enfonce mes mains dans les disjointures, tordant les bords de la plaque métallique au passage. Je referme ensuite mes doigts et me sert des articulations de mes jambes plus puissantes que celles de mon dos ou de mes bras pour me relever et arracher la plaque métallique du sol. Je l'interpose ensuite entre la menace et moi. Comme supposé, les projectiles sont de calibre trop petit pour transpercer la couche de métal que constitue ma protection. J'avance en direction de la menace, le plus important pour moi est de conserver mon équilibre avec les nombreux impacts dessus. Puis quand je sens la résistance de l’assemblage qui gaspille bêtement ses munitions sur ma protection, je commence à pousser. J'entends des bruits de métal froissé, de moteurs qui chuintent en essayant de lutter pour tourner, puis au final, de nombreux bruit de claquements métallique et de dysfonctionnement mécaniques. La structure commence à pencher un peu en arrière, mais je détecte encore de la puissance à l'intérieur. Alors je continue à pousser, puis de nombreux craquement de métal qui se tord et se brise se font entendre et à la fin, la puissance s'éteint quand l'assemblage a atteint un angle de trente degrés de plus que son angle originale.

- Menace neutralisée...

Je lâche la plaque de métal. J'attends de savoir si je vais être ramenée en cellule ou si autre chose est prévu, je me laisse en mode "garde" tout en analysant l'attaque et ma riposte. Je pense avoir utilisé une solution appropriée pour épargner mes tissus charnels tout en neutralisant la menace potentielle. J'ai quand même bien esquinté mes doigts et certains laissent à voir quelques reflets de mon hyper-alliage. Mais les pertes charnelles sont minimes et je régénérerais facilement la chaire de mes doigts.

The Suicider

Humain(e)

Re : Compagnons de Cellule [Cat Bellum - The Suicider]

Réponse 5 mardi 09 août 2016, 19:10:50

La seule à ne pas savoir avec qui elle était...

*C’est moi, ou elle fait de l’humour, là ?!*

Non... En réalité, il ne voyait vraiment pas cette nana se mettre à rire. Elle avait l’air encore plus sérieuse qu’un expert-comptable. Un sacré numéro ! Etonné, Marius ne savait plus trop quoi en penser, et, alors qu’il cherchait quoi lui répondre, un vrombissement se fit entendre. Surpris, il tourna la tête, et constata que c’était l’heure. La lourde porte s’ouvrit lentement, révélant un couloir sombre qui filait vers le haut, à l’image des arènes antiques ou impériales. Marius regarda à nouveau cette femme, chercha quoi dire, ne trouva rien, et finit par avancer. Il était désarçonné par elle, par ce comportement monolithique, inexpressif, par ses expressions curieuses qui lui donnaient l’impression de dialoguer avec un terminal d’ordinateur.

Tandis qu’ils avançaient, de fins néons violet le long du mur, à hauteur de leurs genoux, éclairaient la route, et des haut-parleurs retransmettaient un commentateur particulièrement enthousiaste :

« Deux compétiteurs ! Une nouvelle venue, Catling, et la légende d’Eternum... »

Catling ? En entendant ce surnom, Marius soupira légèrement. On avait déjà trouvé à la femme un nom de scène. Il la regarda encore brièvement, et finit malgré tout, alors même qu’il sentait bien que ce serait inutile, par glisser quelques mots encourageants à son intention :

« Bon courage là-dedans. Oubliez pas qu’on sera ensemble. »

Marius traversa ensuite les ultimes pas le séparant de l’arène, pendant que la voix rugissait, à hauteur de l’excitation du public :

« Invaincu, insoumis, Légende des légendes, Mesdames, pour votre plus grand plaisir... LEEEE SUUUUIICIIIIIIDDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERRR !! »

Quand il entra, un torrent d’applaudissements traversa l’assistance. On avait beau se trouver dans une prison, l’émission comprenait un public, mais il ne fallait espérer aucune aide d’eux. Tous les visiteurs subissaient des contrôles draconiens, et n’avaient accès qu’à la partie publique de la prison, à la surface. Ils rejoignaient l’arène par un ascenseur commun. Marius leva le bras, comme on l’attendait de lui, et le public hurla sa joie. De ses deux protège-bras, des lames sortirent alors, et, tout en levant également le second bras, il les frotta ensemble, à plusieurs reprises, les tapant entre elles, déclenchant les vivats de la foule.

Plusieurs drones tournoyaient en l’air, filmant la scène.

« Il est chaud bouillant ! Le Suicider a décidément l’air en pleine forme ! »

La caméra se fixait brièvement sur Cat, mais l’absence de réaction de sa part n’était pas très vendeur. Le sol se mit alors à vibrer, et Marius se mit en position de combat, avant de voir une Tour émerger du sol.

*’Chier... Ils adorent en foutre !*

Une Tour s’érigeait, similaire aux autres tours que le Suicider avait déjà pu combattre. Il banda les muscles, prêt à se battre... Mais Cat chargea déjà, arrachant une plaque métallique du sol, et s’en servit comme protection. Les gatlings de la Tour filèrent sur elle, rebondissant contre la plaque, et elle s’avança alors, surprenant Marius. Elle s’élança vers la Tour de combat, et frappa la grande Tour avec la plaque.

*Que... Qu’est-ce qu’elle est en train de me faire, là ? Elle compte vraiment renverser cette tour ?*

Les lance-flammes avaient beau s’être enclenchées, la plaque métallique avait protégé la femme, et elle frappa contre la Tour, poussant, enfonçant ses pieds dans le sol, défonçant ce dernier, creusant, ici et là, des sillons plus ou moins profonds. Sous un Marius incrédule, la Tour se mit alors à craquer, poussant d’antiques grincements, avant de lentement vaciller sur place, ses circuits imprimés se broyant, les fils électriques s’arrachant, déconnectant la machine.

Un léger silence parcourut le public... Puis on se mit à hurler le nom de scène de Cat.

« CAAAAATLIINNG !! CAAAAATLLIIIIIIINNNGG !!
 -  Eh bien, il semblerait que le Suicider se soit trouvé une concurrente sérieuse à son titre ! »

Marius fronça les sourcils en voyant les jointures de la femme. Sous l’effet des lance-flammes, la peau avait fondu, révélant une ossature métallique. La vision ne dura néanmoins que quelques secondes, car de la fumée commença soudain à s’élever, tandis que de nombreuses lumières s’éteignirent. À travers d’épais haut-parleurs, une musique commença même à se lancer, pendant que la fumée montait, obscurcissant la vision.

*Foutues salopes !*

Marius resta sur la défensive, poings serrés... Et, quand la musique se mit à rugir, des stroboscopes s’allumèrent au plafond, tournoyant sur place, figeant la scène dans des instantanés blancs, pendant que des individus couraient vers les deux protagonistes. Des individus chauves, aux yeux exorbités, torses nus, leurs esprits fracassés par les injections de stupéfiants et de stimulants, qui portaient chacun des armes blanches courtes : crochets de boucher, coutelas, dagues...

Ils se ruaient vers les gladiateurs dans l’intention manifeste de les tuer, ricanant sauvagement.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Cat Bellum

Créature

  • -
  • Messages: 11


  • FicheChalant

    Description
    Terminator de classe T-H, Cat Bellum est une humaine-cyborg qui a été élevée dans un complexe de SkyNet afin de devenir l'un de fers de lance de l'infiltration en milieu humain. Joyeuse, un peu fofolle et chasseuse-tueuse, ajoutez à ça son endosquelette en hyper-alliage et une ou deux armes intégrées, vous obtenez un cocktail détonnant !
    Mais ses protocoles tueurs ne sont pas loin et il lui faudra faire de redoutables efforts d'intégration pour pouvoir pleinement vivre.

Re : Compagnons de Cellule [Cat Bellum - The Suicider]

Réponse 6 lundi 15 août 2016, 17:49:07

Décidément le fond sonore est trop fort. Mes capteurs audios ne cessent de refaire leur mise au point pour filtrer les bruits inutiles qui viennent des humains et des autres créatures entassées dans les gradins. Je continue à estimer les dégâts à la chaire de mes mains quand mes yeux passsent automatiquement sur un nouveau filtre. La présence de gaz pouvant gêner mes optique ayant été détectés d'abords via les capteurs olfactifs situés dans mon nez. Je me tourne pour balayer la zone, et voit la luminosité changer ainsi qu'une couverture auditive propre à provoquer des accès psychotiques chez un être humain.

Je détecte de nombreuses formes de vie en approche, humanoïdes, mais le filtre de mes capteurs visuels ne me permet pas bien de faire la différence entre les créatures à fourrure de ce monde et les humains standards. Mais ils semblent armés et je n'ai pas envie d'avoir encore des dommages à ma partie charnelle.

Mes protocoles classifient la menace comme nuisible, j'en augmente le niveau de menace. Mes protocoles passent de la conclusion du niveau de riposte depuis "mise hors-service" à "létale".

Le premier arrive à ma portée en courant et en émettant un fort bruit de gorge, agitant une arme tranchante identifiée par ma base de donnée comme étant un crochet de boucher.

J'intercepte son poignet avec ma main gauche et dans le même temps, je lui enfonce mon coude droit dans la gorge, écrasant sa trachée. Je le relâche ensuite pendant qu'il s'effondre. Le suivant essaie un coup de taille avec une machette, je recule d'un pas pour le laisser frapper dans le vide et perdre l'équilibre. Un coup du tranchant de la main à l'arrière de sa nuque lui brise les vertèbres. Je recule un peu pour le suivant qui tente de me charger tête en avant avec une sorte de lame greffée au sommet d'un casque. Au dernier moment, je lève la jambe et frappe avec mon pied sur la lame de son casque qui se plante dans le sol et se brise en même temps que ses vertèbres cervicales.

Dans la périphérie de mon champ de vision je détecte la forme du sujet avec lequel je suis entrée dans cette arène. Celui connu sous l’appellation "Punisher". Ses protocoles sont moins efficaces que les miens. Beaucoup de gestes superflus, déperdition d'énergie trop importante pour terminer ses cibles efficacement. Mais il y a un bon potentiel. Avec un endosquelette approprié, il pourrait être intéressant comme binôme. Car son exosquelette n'est pas très optimisé, trop lourd pour la protection qu'il donne.

Je réalise un peu tard qu'un des humains que je n'avais pas dans mon champ de vision a réussi à me transpercer le l'avant-bras de part en part avec une longue lame effilée. Je tourne mon regard dans sa direction, plutôt surprise de ne pas avoir remarqué l'attaque. Je le frappe à la gorge et lui écrase la trachée. Puis je retire son arme de mon bras et en profite pour la lancer dans la figure de la cible suivante. Impact: oeil. Lame remontée jusqu'au cerveau. Cible : Terminée.

- Je ne comprends pas le but de la mission... Dis-je en agrippant un sujet qui tente de me dépasser pour aller vers le sujet "punisher".

Je le renverse et lui écrase la tête sous mon talon.

- Je suis conçue pour les infiltration et les frappes chirurgicales, pas pour les génocides. Dis-je en retournant ma main bloquée à plat dans la cage thoracique d'un autre humain avant agripper son cœur et de le lui arracher en cassant quelques côtes au passage. Cette mission ne correspond pas à ma conception.

The Suicider

Humain(e)

Re : Compagnons de Cellule [Cat Bellum - The Suicider]

Réponse 7 vendredi 19 août 2016, 08:30:03

« Elle est forte...
 -  La musique la perturbe... Mais elle est très résistante, oui. »

Depuis leurs écrans, d’autres personnes que de simples spectatrices en manque d’hémoglobine observaient la séance. Ces femmes se désintéressaient totalement du Suicider, et n’avaient d’yeux que pour la femme.  Du moins, à supposer que cette chose ait vraiment un sexe. Elles avaient maintenant acquis la preuve que ce n’était pas une expérience de laboratoire issue des multiples laboratoires privés qui travaillaient en partenariat avec l’armée. La technologie utilisée pour fabriquer cette chose dépassait le niveau de cybernétique à Tekhos.

Elles virent ainsi la chose se faire transpercer le bras, ce qui ne provoqua nulle douleur en elle. Ce n’était pas spécialement surprenant, car la machine semblait contrôler son système nerveux bien mieux que n’importe qui... À supposer même qu’elle ait des nerfs. Ce n’était qu’un robot extraordinairement bien perfectionné, qui repoussa ses attaquants. Elles la virent soulever son pied, aplatissant la tête d’un des fous dangereux.

Loin de là, Marius, de son côté, sentit un homme s’approcher dans son dos, et se retourna. Une lame rétractable sortit de son poignet, et se planta dans la gorge du manique, qui avait une main levée, en tenant une hachette. Le sang fusa de la plaie, et, interrompu dans sa course, l’homme, les yeux exorbités, s’écrasa sur le sol, se contorsionnant. Il était torse nu, avec des cicatrices et des marques ici et là, ainsi que quelques tatouages qui avaient été effacés au laser, et dont on voyait encore les traces de brûlure.

*Des cobayes... Sûrement des types ramassés dans les Badlands, et qui ont définitivement perdu la raison en devenant les rats de laboratoire de ces salopes en latex...*

Il eut à peine le temps de faire ce constat qu’un autre dingue le frappa sur le côté, et planta son coutelas dans son torse. Marius grogna en tombant au sol, voyant le visage défiguré de l’homme, qui hurlait et ricanait nerveusement, portant des implants sur le crâne. Son coutelas se heurta à son armure, et il le leva, pour l’abattre à nouveau, mais le poing en acier du Suicider atteignit son visage, lui déboîtant la mâchoire. Marius se releva rapidement, et, devant lui, deux autres malades débarquèrent, l’un tenant deux dagues, et l’autre un harpon.

Aussi rapide que solide, le Suicider frappa, et une autre lame jaillit de son second poignet, et frappa les tueurs, les embrochant à hauteur de leur poitrine. Un autre larron apparut alors entre deux volutes de fumée, et abattit un fléau d’armes sur sa tête. Le métal heurta le métal, sonnant Marius, qui tituba sur place, mais se retourna à temps. Sa main se leva, et agrippa celle du fou furieux, l’amenant à relâcher son arme en lui tordant les doigts. L’homme hurla à la mort, mais, plutôt que de se rendre, bondit sur Marius, et tenta de le mordre avec ses dents à hauteur de son cou.

« Argh ! Putain de cinglé ! »

Marius le repoussa rapidement, l’envoyant s’étaler sur le sol, et son pied alla le frapper en plein visage. L’homme posa ensuite sa main sur sa tempe, constatant qu’un peu de sang s’en écoulait. Il soupira lentement, et s’avança devant lui, recherchant Cat... Et, en contournant une espèce de pilier qui avait jailli du sol, la vit. Elle était là, et venait de tuer un homme en lui écrasant la tête... Et il constata rapidement qu’on l’avait transpercé.

« Mais... ? »

Il s’étonnait de ne voir aucun saignement le long de sa blessure, quand du bruit résonna. Depuis le haut du pilier, un autre ennemi bondit sur lui en hurlant nerveusement, et bondit sur son dos, enroulant autour de sa gorge une chaîne métallique.

« Haaa... Putain... !! »

Marius tenta de se débattre, et bondit en arrière, envoyant le corps du maniaque heurter violemment le pilier. L’homme le relâcha, et le Suicider se retourna, puis planta sa lame dans son ventre, soulevant alors le corps amaigri du rat de laboratoire, puis le repoussa de sa lame en utilisant son autre lame, l’envoyant rouler sur le sol. Cependant, le temps que l’ancien guerrier s’occupe de lui, d’autres fous furieux se rapprochaient, continuant à les oppresser.

*Je hais ces arènes à la con !*

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Répondre
Tags :