Dizmir poussa un grognement de satisfaction en voyant les quatre femmes plier le genou devant sa queue, telles des saintes priant devant l'idole de leur divinité, sauf qu'il s'agissait là de quatre femmes indéniablement démentes qui se soumettaient à une grosse verge qui allait les baiser, etles faire souffrir par la même occasion. Le sexe de Dizmir n'était absolument pas adapté à la morphologie humaine, il pouvait tout juste rentrer dans un vagin en terme de largeur, et encore en écartait bien les parois, mais si il devait choisir de le rentrer en intégralité comme il le faisait à l'occasion, alors il tuait sa partenaire car il la perforait de l'intérieur. Il pouvait, bien entendu, user de sorts pour soigner de telles blessures en même temps qu'il les infligeait, mais il ne se donnait généralement pas cette peine pour de simples humaines. Il se disait en revanche que dans le cas présent, il ferait un usage intensif de tels sorts, car il était impensable pour lui de gâcher de tels spécimens, tout comme il lui serait impensable de se retenir, il les enfilerait sur sa queue, et ce de tout son long, et elles en hurleraient pendant qu'il les prendrait, plus fortement et intensément que n'importe quel mâle de leur race.
C'était cette perspective là, que la créature les baiserait, à un point qu'elles ne pouvaient pas encore imaginer, qui participait à les rendre chiennes. Sans dégoût envers l'aspect ou l'odeur forte qui s'échappait de son sexe, pas plus qu'envers la texture gluante du liquide qui le lubrifiait et le couvrait, les quatre femmes s'y attaquèrent. Elles étaient réparties en deux groupes, deux se trouvant de chaque côtés de cette gigantesque chair qu'il lui offrait, et commencèrent par poser leurs mains dessus pour le caresser, leurs doigts se couvrant alors rapidement de cette substance gluante qui le couvrait. Leurs lèvres, et leurs langues, ne tardèrent pas à suivre, et Dizmir se délectait autant des sensations de se faire sucer et branler par les quatre femmes en même temps, que par le fait de les regarder le faire. C'était en effet quelque chose d'inédit pour Dizmir, depuis sa transformation en Drider, que de trouver des partenaires qui étaient consentantes. Oh le fait de devoir violer ne le dérangeait pas, il était après tout un Champion de Lolth pour de bonnes raisons, et avait toujours trouvé un plaisir dont il ne se lassait pas dans le fait de forcer ses partenaires avant de les tuer. Mais pour une fois, ne pas être complètement aux commandes n'était pas pour lui déplaire, et alors qu'il voyait peu à peu le bas de leurs visages se couvrir de la substance gluante et malodorante, Dizmir sentait qu'elles allaient être d'excellentes concubines.
Vous serez baisées mes aimées, baisées comme vous ne l'aurez jamais été, les humains vous paraîtrons fades, une fois que vous m'aurez senties en vous.
Mais de toutes les quatre, ce fût cette fois Morri qui attira son attention, car la vampire non contente de lécher son membre, prenait aussi un mâlin plaisir à le mordre, puisqu'il n'y avait là aucune plaque de chitine, mais que de la chair. Même sa peau était toutefois difficile à percer, cependant les puissantes canines d'une vampire assez ancienne le pouvaient, et c'était donc le cas de Morri, qui en profita pour plonger ses canines dans son sexe, le mordant, et lui procurant une sensation qu'il n'avait plus ressentir depuis trop longtemps: la douleur.
Raaaaaaah...
Il grogna de plaisir, alors que la vampire se mit à pomper son sang, tandis que les autres le pompaient tout court, ce fût court, mais très intense, carla morsure de la vampire augmenta son afflux sanguin considérablement dans cette zone, ce qui fit qu'au bout d'un moment il se sentit proche de jouir. Il avait initialement pensé ordonner aux femmes de s'agenouiller face à lui, afin de les couvrir se sa semence épaisse et abondante...mais Morri et ses capacités de régénération, lui avaient donné de nombreuses idées, dont une qu'il voulait du coup essayer de suite. En bon mâle dominant, il se saisit alors de la vampire par les cheveux, tout en posant sa main sur son postérieur. Il lui arracha le string noir qu'elle portait, la respiration lourde car il était sur le point de jouir, et il s'adressa aux autres femmes.
Contemplez mes belles, contemplez ce qui vous attends avec moi.
Il prit alors la vampire par les hanches d'une main, entourant sans problèmes sa taille avec sa grosse main chitineuse, et de l'autre continuait à lui tirer les cheveux. Il la retourna, de façon à ce qu'elle lui présente son cul, et frotta durant quelques secondes le bout de sa verge contre l'entrée de son anus.
Puis il rentra...
Dizmir ne fit absolument pas dans la dentelle en sodomisant Morri, car il la pénétra d'un coup, sans prendre la peine de la préparer, et surtout s'enfonça intégralement en elle. Le trou de son anus se trouva fortement écarté, et surtout, il s'enfonça tellement loin que le ventre de la vampire s'en trouva déformé, ses intérieurs profondément malmenés. Une mortelle normale serait là en train d'agoniser, mais justement, Morri était une vampire avec de puissantes capacités de régénération, et Dizmir comptait bien la mettre ainsi à l'épreuve. Il se mit alors à remuer, donnant autant des coups de bassin pour la pénétrer que remuant le corps de la vampire à l'aide de ses mains, car elle n'était pour lui pas plus lourde qu'une poupée de chiffon. Il grognait, et la besoignait salement, lui procurant une sodomie légendaire, car à chaque fois qu'il s'enfonçait profondément en elle, le ventre de Morri semblait comme gonfler, car il allait jusqu'au plus profond de ses entrailles, et de fait, du sang coulait de l'anus de la vampire, car son gros membre la déchiquettait de l'intérieur.
Les tentacules qui bordaient son sexe n'étaient pas en reste, car ils s'attaquèrent alors à l'intimité trempée de Morri, ils furrent donc une bonne dizaine à rentrer simultanément dans son vagin, et là aussi mettaient à l'épreuve ses parois internes, les étirant tant leur pénétration simultanée donnait un ensemble large et grouillant.
L'attention qu'il avait reçu précédemment, et la morsure de Morri, l'avaient toutefois passablement excité, sans compter qu'il n'avait pas l'intention de s'éterniser ici, et voulait ramener ses femelles dans son antre, où il pourrait alors les besogner à loisir, et surtout les engrosser. Alors dans un ultime mouvement de son sexe, Dizir se mit à jouir sans le cul, ou plutôt les entrailles, de la vampire. Son ventre sembla alors grossir à vue d'oeil, tandis que le Drider se vidait en elle, expulsant au bas mot des litres de foutre, ce qui était bien trop important pour que le corps de la vampire puisse tout contenir. Morri se trouva donc bientôt avec la sensation d'un flot de sperme chaud et épais remontant le long de son oesophage, et elle se mit alors à cracher le surplus de sperme par sa bouche, tandis que doucement Dizmir retirait son sexe, mais tout en continuant de jouir, dans l'optique de véritablement la remplir à ras-bord de sa semence. Quand il la relâcha par terre, Morri atterrit dans une petite marre de sperme, d'avantage s'échappaient depuis sa bouche, mais aussi de son anus. Achevant alors d'humilier la vampire, Dizmir posa alors sa main sur le ventre grotesquement gonflé de Morri, et appuya, de façon à faire tout ressortir, le flot s'évacua autant de la bouche que de l'anus de la femme, qui se retrouva à baigner dans une vraie marre de sperme, jusqu'à ce que le flot se calme et que son ventre, vidé, ne reprenne sa forme normale, ses capacités de régénération remettant alors de l'ordre dans l'intérieur de son corps qui avait été passablement malmené.
Il n'en avait toutefois pas complètement fini, il posa alors ses mains sur les têtes de Kaori et Toundra, qui étaient à proximité et toujours agenouillées, et fourra leurs visages dans ce sperme, il fit de même avec Tijuana mais en usant de ses pattes.
Buvez, chiennes, buvez, et ensuite je vous emmènerais dans mon antre. Là, les choses sérieuses pourront commencer...
Considérant ce que Dizmir venait tout juste de faire subir à Morri, ce qu'il venait de dire avait de quoi laisser songeur.