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What If... They had declared their Love in Paris ?

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Félicia Hardy

Humain(e)


Paris
Cathédrale Notre-Dame de Paris


Le soleil s’était poliment couché, et c’était l’heure du Chat Noir. C’était comme ça, derrière cette maxime, qu’on connaissait le père de Félicia Hardy, Walter Hardy. Jadis, l’homme avait été l’un des plus célèbres voleurs qui soit, un cambrioleur tout en élégance, qu’on appelait le Chat Noir, et qui disposait d’une mémoire eidétique. Félicia en savait quelque chose, car, quand il était jeune, Walter avait infiltré un laboratoire américain pendant la Seconde Guerre Mondiale, un laboratoire situé à New York, et qui, en marge du Projet Manhattan, avait accueilli plusieurs scientifiques allemands ayant fui le Reich, et mis à contribution leur cerveau pour inventer une formule qui améliorait sensiblement les capacités de son porteur : le sérum du Super-Soldat. Hélas, l’équipe scientifique ayant inventé la formule avait été tuée par des espions nazis envoyés par le futur Crâne Rouge, et le secret de la formule s’était perdu... Jusqu’à ce qu’on apprenne, bien plus tard, que Walter Hardy avait espionné les scientifiques, et avait mémorisé la formule. Cependant, ce n’était pas HYDRA qui avait utilisé cette formule, mais un ennemi bien plus proche : Wilson Fisk. Le Caïd.

Félicia s’était rapprochée de Fisk, et avait servi de cobaye aux petites expériences du Caïd. On lui avait inoculé une variante du Super-Soldat, et elle avait fait tout ça dans un seul but... Se rapprocher de son aimé, et cesser d’être un poids pour lui. Et maintenant... Maintenant, elle l’attendait, en étant là, juchée sur le toit de la cathédrale de Notre-Dame, en prenant des vacances bien méritées avec lui.

Il y a de cela neuf mois, Spider-Man avait perdu la femme qu’il considérait comme l’amour de sa vie... Gwen Stacy. Une fille qu’il connaissait depuis le lycée, sa grande amie, et son premier amour. Elle avait été tuée entre les mains d’un psychopathe, Norma Osborn, alias le Bouffon Vert. Osborn avait balancé Gwen depuis le Brooklyn Bridge. En tentant de la récupérer, Peter l’avait tué, un filament de toile ayant attrapé Gwen au cou, lui brisant brutalement les cervicales. Cet acte avait profondément ébranlé Peter, qui, après avoir neutralisé Osborn, avait déprimé. Et même, « déprimé » était un euphémisme. Peter avait fait une vraie dépression, et Félicia s’était rapprochée de lui. Norman ayant tué son propre fils, Peter n’avait eu personne d’autre pour se rapprocher de lui... Personne, sauf Félicia.

Ensemble, ils avaient eu une aventure il y a un an de cela, alors qu’elle était une cambrioleuse en herbe,  et que lui était un justicier. Ils avaient flirté ensemble, mais l’amour de Peter pour Gwen avait été le plus fort. Quand elle était morte, l’homme avait renoncé à tout, et avait commencé à sombrer. Il s’était même mis à boire, et Félicia, pourtant la plus insouciante des deux, avait veillé sur lui. Elle était venue le voir presque tous les jours dans son appartement, sans jamais tenter de critiquer Gwen. Le fait est que Félicia savait que Gwen était une femme d’exception, et, même si elle avait toujours été jalouse d’elle, elle avait été sincèrement peinée par sa mort.

Cependant, le crime n’attendait pas le deuil de Spider-Man, et, pendant que Peter déprimait, ses ennemis en profitaient... Félicia avait tenté de les repousser, et une guerre des gangs avait éclaté entre deux super-vilains : le Hibou d’un côté, et Docteur Octopus de l’autre. Félicia s’était retrouvée prise entre deux feus, affrontant les deux dans la volière du Hibou, un refuge souterrain, et Docteur Octopus l’avait massacré. Félicia avait bien failli mourir ce jour-là, et, au dernier moment, Spider-Man avait fini par intervenir, et, devant la situation, se refusant à la perdre, avait usé de sa force surpuissante pour arracher les tentacules d’Octopus, puis avait conduit Félicia à l’hôpital.

Il avait veillé sur elle pendant toute sa convalescence, et, quand elle était revenue à elle, elle lui avait expliqué pourquoi elle faisait ça, pourquoi elle était la Chatte Noire. Son plus grand secret.

*Et il est le seul à savoir...*

Avant d’être la Chatte Noire, Félicia avait été une étudiante à l’Empire State University. C’est là qu’elle avait connu son premier rapport sexuel... En étant violée. Ce viol l’avait profondément marqué, et avait cassé quelque chose en elle. On avait volé sa virginité, et elle, elle avait décidé que, en retour, elle volerait aussi aux salauds leurs biens les plus précieux. Sa kleptomanie était née de là, comme un moyen de se venger de l’homme qui l’avait violé, ainsi que le fait qu’elle avait toujours aimé plus Spider-Man que Peter Parker.

Les deux s’étaient beaucoup rapprochés en se confiant mutuellement, et Peter l’avait embrassé sur son lit d’hôpital. Elle, ensuite, son passé lointain était revenu faire surface : son père, le Caïd... Elle était devenue plus forte, plus endurante, dotée de pouvoirs surnaturels, et, avec l’aide de Peter, ils avaient sauvé son père des griffes du Caïd, et sévèrement ébranlé l’organisation de ce dernier. Mais, après cela, Félicia avait décrété qu’il était temps de quitter un peu New York. Peter commençait à retrouver le sourire, et elle avait proposé de passer des vacances à Paris.

Le moment était idéal, et, aujourd’hui, on était le 31 Décembre, à quelques heures du Nouvel An. De la neige tombait doucement, mais, même malgré ça, il ne faisait pas trop froid... Et puis, Félicia et Peter étaient plutôt résistants contre le froid, à force de grimper sur des gratte-ciel. Ils logeaient à un grand hôtel, mais elle lui avait donné rendez-vous ici. La Tour Eiffel était visible depuis le toit de la cathédrale.

Ce soir, Félicia portait sa combinaison, mais elle était aussi bien décidée à ce que Peter oublie pour de bon Gwen, et la laisse reposer en paix... Pour s’occuper d’elle. Elle le sentait fébrile, et, régulièrement, quand ils dormaient ensemble, elle pouvait le sentir avoir une érection.

Alors, elle attendait avec impatience qu’il arrive...
« Modifié: dimanche 23 juillet 2017, 22:22:23 par Princesse Alice Korvander »

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 1 jeudi 02 juin 2016, 22:06:23

Il y a encore quelques mois de cela, Peter Parker ne se serait clairement jamais vu prendre des vacances dans la ville des Lumières, une des grandes représentantes de l'idéal romantique: Paris. A l'heure actuelle, il n'était toujours pas certain qu'il parviendrait encore à vraiment profiter de ces vacances, mais Félicia avait tellement insisté pour qu'il lâche un peu de pression, loin de New York, qu'il avait fini par accepter. Sa relation avec elle était...et bien compliquée. Il commençait tout juste à se remettre de la mort de Gwen, qu'il avait lui même tué en voulant la sauver d'une chute mortelle. Suite à cette tragédie, la perte de son amour d'enfance, Spiderman avait été jeté aux oubliettes, et Peter s'était mis à sombrer dans l'alcool. Félicia avait alors été là pour lui, même si ça avait été peine perdue pendant plusieurs mois, mais sa présence lui avait permis de ne pas songer au suicide comme une possibilité trop tentante.
Et puis...et bien chassez le naturel, il reviens au galop, c'est ce qu'on dit non ? Pour Peter, ça s'était révélé valable quand Félicia s'était retrouvée en danger, suite à une hausse des crimes à New York du fait de son absence. Il l'avait sauvé, mais de justesse, et avait heureusement pu l'amener assez vite à l'hôpital pour que ses blessures ne lui soient pas fatales. Le fait d'arriver à la sauver, elle qui était littéralement la dernière personne sur Terre à qui il tenait vraiment, avait contribué à lui faire remonter la barre, et c'était alors plus ou moins en amoureux qu'ils s'étaient mis à combattre à nouveau le crime.
Ouais...plus ou moins...c'était compliqué.

Peter ne savait pas trop où il en était concernant Black Cat, ils sortaient plus ou moins officiellement ensemble, mais le souvenir de Gwen était dur à enterrer, son attachement émotionnel à elle ainsi que le traumatisme de sa mort, qui était en partie sa faute, l'empêchaient de pleinement s'engager avec Félicia. Il lui était reconnaissant pour sa patience, et de fait, il avait l'impression que ces dernières expériences l'avaient un peu changée, et qu'elle s'était presque achetée une conscience morale. Peter lui avait de son côté appris la raison de sa kleptomanie, et avait fini en quelque sorte par fermer les yeux sur certaines de ses activités nocturnes, du moment qu'elle se contentait de braquer d'authentiques salauds.
C'est ainsi que les deux tourteraux se retrouvaient en France, dans un bel hôtel que Félicia avait payé de sa poche, vu que Peter lui n'avait clairement pas les moyens...c'était sans doute le bon côté de disposer, même illégalement, de centaine de milliers de dollars. Pourtant, il n'y avait ce soir que Peter dans leur chambre, et lui même se préparait à partir, puisqu'il était en train de revêtir son costume. Pas question ici de combattre le crime, mais Félicia lui avait laissé une note, lui donnant rendez-vous au sommet de la cathédrale de Paris pour célébrer le nouvel-an. Difficile de déterminer ce qu'elle avait derrière la tête, mais dans le même temps, ça faisait une partie de son charme.

*Et puis c'est elle qui paye, j'imagine que ça lui donne le droit à quelques fantaisies...ouais.*

Peter était en toute honnêteté nerveux, déchiré entre son ancien amour, et le nouveau qu'il éprouvait pour Félicia. Il y avait longuement réfléchi en plus, et il en était arrivé à la conclusion que...c'était compliqué.
Ouais bon, si Peter Parker était un expert en gestion de relations amoureuses, ça se saurait.
Quoi qu'il en soit, il enfila son costume, et sortit par la fenêtre en prenant soin de la refermer, et se balança d'immeuble en immeuble. Pas de grattes-ciel ici, il devait donc faire gaffe avec sa façon de se déplacer, mais finalement il parvint aux environs de la cathédrale, et grimpa aisément le long des murs pour arriver au sommer d'une des deux tours à clochers, où Felicia l'attendait, accroupie, observant les lieux.

Coucou !

Il se balança, et atterrit avec dextérité à ses côtés.

Alors c'est soirée costumée en tête à tête pour le nouvel an ? Pas mal comme idée, jolie vue aussi.

De là à interpréter ça comme un sous-entendu à peine caché sur le décolleté de Black Cat, qui continuait de le porter même en plein hiver, il n'y avait qu'un pas. Mais l'avait-il franchi ?

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 2 jeudi 02 juin 2016, 22:56:09

Jambes dans le vide, Félicia était assise sur le rebord de la cathédrale, observant la ville à ses pieds. Le moins qu’on puisse en dire, c’est qu’il y avait beaucoup moins de tours, ici, qu’à New York. Et, même si Paris était une ville grande et très densément peuplée, le fait de ne pas être entourée de gratte-ciel était assez dépaysant, même si, pour le coup, Félicia n’avait pas la vue époustouflante qu’elle avait sur les toits new-yorkais, sauf à se rendre auprès de certains immeubles, comme la Tour Montparnasse... Mais, pour l’heure, elle avait autre chose en tête. La jeune femme attendait, légèrement excitée, dans sa magnifique combinaison noire moulante.

La Chatte Noire attendait donc, avant d’entendre un léger bruit, puis tourna la tête. Peter venait d’arriver, et, comme toujours, son cœur se mit à légèrement bondir dans sa poitrine. Félicia avait noué ses cheveux, formant une élégante queue de cheval. Signe que les astres étaient avec eux, quand les nuages se dispersaient, on pouvait voir une superbe pleine lune, qui allait à merveille avec la chevelure argentée de la femme.

« Hey ! Salut, toi ! »

Félicia se redressa alors, et esquissa un sourire quand l’homme complimenta la vue. Évidemment, elle n’était pas idiote, et s’empressa donc de se rapprocher de lui. Depuis la mort de Gwen, Peter avait opté pour un nouveau costume, et avait fini par endosser une combinaison noire avec des motifs rouges. L’ensemble était plutôt élégant, et Félicia posa rapidement ses mains sur le torse de l’homme, et posa ses lèvres sur son masque, ses seins caressant son torse.

« Oui, je me faisais la même réflexion, la vue, ici, est magnifique... »

La sensuelle femme esquissa un nouveau sourire, et, tout aussi rapidement, écarta ses mains des agréables pectoraux de son amant, et agrippa le bas de son masque, le soulevant un peu, l’arrêtant à hauteur du nez, puis posa sa main sur sa nuque, et, sans attendre plus longtemps, l’embrassa. Ils s’embrassaient régulièrement, même s’ils n’avaient encore jamais allé au-delà. Peter n’osait pas, et Félicia, elle, avait peur qu’il ne la repousse, en pensant violer le souvenir de Gwen. Pour autant, à chaque fois, ils étaient toujours un peu plus proches... Félicia le sentait quand Peter la regardait, quand sa queue se durcissait.

Il était temps d’y aller, maintenant, de franchir le pas. Félicia ne cessait de le provoquer, à sa manière. Depuis qu’il avait abandonné son costume, il lui arrivait parfois de l’enfiler. Elle ne mettait que le haut, en se promenant dans leur appartement, et s’amusait à imaginer Peter loucher sur ses longues jambes fuselées, et sur l’ourlet rebondi de ses fesses. Il fallait bien admettre que Félicia était très belle, et, surtout, très amoureuse. Voir Peter sombrer avait, paradoxalement, renforcé l’amour qu’elle portait pour lui. La femme l’embrassait donc chaleureusement, heurtant ses seins contre son torse, et ce qui, au départ, aurait dû être un simple baiser, devint, finalement, un baiser particulièrement sensuel, où elle fourra sans hésitation sa langue dans sa bouche. Elle opta ainsi pour cette tradition française, très agréable, du « French Kiss »

Le baiser se prolongea donc pendant plusieurs secondes, jusqu’à ce que Félicia ne se décide à le rompre. Elle rouvrit alors les yeux, et sourit légèrement.

« Hum... Le goût aussi est pas mal. »

Sensuellement, la femme passa le bout de sa langue sur ses lèvres, et s’écarta alors, se rapprochant du rebord, offrant la vue de son dos (et de ses magnifiques fesses) à Peter. Elle observa la place, en contrebas, puis releva la tête.

Félicia se mordilla alors les lèvres, soucieuse, puis se retourna alors.

« Alors... Toi qui hésitais à partir en vacances... Comment trouves-tu Paris, jusqu’à présent ? »

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 3 jeudi 02 juin 2016, 23:51:28

Ouais, Peter était amoureux de cette femme. Entendre sa voix et la voir sourire lui faisait de l'effet, à peu près le même genre que ce qu'il ressentait en permanence en la présence de Gwen avant...avant. Oh certes, le costume y était aussi pour quelque chose, et le charme de Félicia avait fait beaucoup pour l'existence de leur brève romance quand Peter s'était momentanément séparé de Gwen, et à l'époque il avait beaucoup regretté d'avoir couché avec elle, vivant son expérience comme une trahison. Dans un sens, Peter avait toujours peur de la trahir, de déshonorer sa mémoire, en sortant actuellement avec Félicia...mais il commençait petit à petit à se dire que si lui était encore en vie, il se devait de continuer à vivre malgré tout. C'était toutefois encore difficile, et il y allait par étapes depuis qu'ils s'étaient mis ensemble. Félicia elle s'était montrée très compréhensive, et Peter savait à quel point elle était capable de faire du rentre-dedans, et qu'elle ne supportait pas d'attendre. Seulement voilà, les gens changent parfois, et Félicia avait clairement fait des efforts sur certains aspects qui avaient toujours perturbé Peter, notamment au niveau du concept de morale. Oh ça l'empêchait pas de voler, mais entre deux cambriolages de criminels connus, elle faisait aussi quelques bonnes actions, et mine de rien ça rendait cette femme plus humaine et attirante aux yeux de Spiderman, héros au grand coeur, mais aussi un peu maladroit.
Son coeur sembla s'emballer quand Félicia, dans son superbe costume de Black Cat, s'approcha de lui. Face à elle, il était comme avec Gwen, à ceçi près qu'il arrivait souvent que Félicia l'intimide un peu, notamment avec sa tendance à expressément mettre en avant ses atouts féminins pour le séduire. C'était pas pour lui déplaire cela dit, c'était juste...différent. Blottie comme elle l'était, il pouvait sentir toute la délicieuse présence de son corps de déesse contre le sien, et comme à son accoutumée, elle releva son masque de Spiderman juste au dessus de son nez pour aller l'embrasser. Un French Kiss, quoi de plus d'actualité pour des vacances à Paris ? Ils se retirèrent au bout de quelques secondes, au bout desquelles Peter redescendit son masque, ce qu'il faisait plus par réflèxe qu'autre chose, et elle complimenta alors le goût de ce baiser.

C'est le dentifrice goût fraise qui rajoute un petit goût supplémentaire hein ?

Sous son masque, il souriait. Blaguer de façon presque constante était une façon pour lui de s'ammener à voir la vie sur un jour un peu meilleur, un exercice qu'il avait consenti à faire pour aller mieux, après que Félicia et lui se soient remis ensemble...il ne voulait pas broyer du noir à longueur de journée, du moins plus comme avant, et il y avait du progrès, surtout au niveau de la consommation d'alcool. Félicia lui tourna alors le dos, et là aussi par réflèxe, il baissa son regard. Ce costume, en latex, avait ça de merveilleux qu'il moulait ses formes à la perfection, c'était à certains endroits presque comme si elle ne portait rien, mais avec le charme supplémentaire du latex, auquel Spidey était pas insensible.
Il releva toutefois vite la tête, et répondit à sa question.

Oh...hum...étrange. J'veux dire, c'est différent de New-York, y'a pas de buildings vraiment hauts à grimper, et ces mecs bouffent effectivement des escargots j'en ai vus à midi !

Dit-il en pointant son index en l'air, comme si cette blague était d'une importance capitale.

Mais sinon, c'est sympa, très dépaysant. Mais ce que je trouve encore plus beau à Paris, c'est le fait que tu t'y trouve actuellement. Même la tour Eiffel fait pâle figure face à toi, mais c'est mon avis personnel.

Il laissa un bref moment de silence s'installer, après ce beau compliment, qu'il trouvait d'ailleurs très bien placé, joli Spidey ! Cela aurait pu être très beau, seulement voilà, le doute s'insinuait encore dans son esprit, et il ne pouvait s'empêcher de se dire que Félicia l'avait fait venir ici pour une raison, et intérieurement, il redoutait de deviner laquelle. Il se sentait gêné, ce qui se traduisit par un frottement de sa nuque avec sa main.

Bon Okay, je vais regretter de poser cette question mais je vais le faire. Tu m'a pas invité dans cet endroit désert, "juste" pour un bref rendez-vous au clair de lune à -7 degrés Celsius ?

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 4 vendredi 03 juin 2016, 00:17:12

Peter se la jouait romantique, et, après sa remarque sur les escargots, Félicia vint même à légèrement rire, un léger gloussement, tout en sentant une certaine chaleur s’emparer de ses joues. La femme fatale qu’elle était s’avérait en réalité être de plus en plus amoureuse de lui. En un sens, Spider-Man avait été son mentor. Quand elle avait entendu parler du Tisseur, elle avait rêvé, elle aussi, de pouvoir mener une double vie, une vie où elle serait libre, où elle serait qui elle a envie d’être, et faire ce qu’elle rêvait de faire. Elle n’avait jamais adhéré à tous ces mensonges distillés par des médias en quête de tête à trancher, comme le Daily Bugle, mais il était vrai que, de Spider-Man, avant de retenir le côté héroïque, prêt à se dévouer et à se sacrifier pour les autres, elle avait surtout retenu le frisson excitant de la liberté. Quand on survolait la ville, on se sentait au-dessus de tout, au-dessus des lois qui la gouvernaient. Il y avait un sentiment grisant, d’excitation qui s’emparait de vous, et, rien que pour ça, la Chatte Noire ne voulait sûrement pas abandonner ce qu’elle faisait... Surtout maintenant que Peter était là, avec elle.

Après ce compliment, il était évident que c’était à elle de s’agir. Si Spider-Man était à l’aise pour affronter des types surpuissants comme Le Scorpion ou Rhino, dès qu’on parlait de filles, le jeune homme en perdait tous ses moyens. Même son humour nase, elle avait fini par l’apprécier. La jeune femme s’approcha donc à nouveau de lui, quand il lui demanda la raison de leur présence ici.

« Eh bien... »

Elle se mordilla à nouveau la lèvre, et enlaça le cou de l’homme.

« Pour être honnête... Non. »

Félicia se rapprocha alors à nouveau de lui, comme pour l’embrasser, mais, au dernier moment, sortit sa langue de sa bouche, et s’en servit pour lécher ses lèvres, remontant jusqu’à son nez, qu’elle titilla légèrement. Comme toujours, elle était joueuse, espiègle, mutine. C’est comme ça qu’on l’aimait, mais elle reprit alors, sur un ton plus sérieux, tout en restant néanmoins contre lui.

« Il est temps, Peter... Temps pour nous d’accepter ce que nous ressentons l’un pour l’autre. »

La Chatte Noire se rapprocha encore de lui, et lécha sa joue. Elle ne s’appelait pas « Chatte Noire » pour rien, la femme avait un comportement qui, par nature, était très félin. Elle lécha donc sa joue, s’approchant de son oreille, soulevant un peu son masque.

« Je le sens à chaque fois, Peter, quand tu dors contre moi... Et que ta queue bande contre ma cuisse. »

Elle savait que parler de sexe le perturbait, et elle en profitait, car elle mordilla soudain son masque, et releva la tête, le lui arrachant d’un coup, avant de bondir en arrière. Le tenant dans la bouche, elle avait adopté une position féline, accroupie devant lui, en lui souriant, une lueur espiègle dans les yeux. Elle maintenait le masque dans sa bouche, et entrouvrit alors les lèvres, puis le glissa contre ses seins, le fourrant dedans.

« Tu veux ton masque, Peter ? Viens le chercher... »

En disant ça, elle s’était tournée sur le côté, l’invitant de la main à venir... Puis sauta en contrebas. Elle rebondit contre une gargouille, et atterrit sur un lampadaire situé en contrebas, puis bondit encore, longeant un pont, puis bondit sur une façade, et, de là, sur un toit. Elle atterrit dessus, et tourna la tête, une lueur amusée dans les yeux, et souffla un baiser vers Peter. Comme elle le lui avait dit, elle adorait jouer avec lui.

Félicia fila alors le long des toits, tout en se rapprochant de la Tour Eiffel. Au bout de plusieurs minutes, elle finit par arrêter sa course en se posant sur un toit à l’entrée du Champ de Mars, recouvert de monde et d’un fin linteau blanc de neige. La femme se posa ainsi sur le toit de l’IHEDN, acronyme pour désigner l’impressionnante structure qui se trouvait à l’entrée de ces célèbres jardins parisiens : l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale.

C’est là, sur ce toit bleu, qu’elle attendit l’arrivée de Peter, son masque toujours confortablement niché entre ses seins...

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 5 vendredi 03 juin 2016, 13:23:19

C'était l'un des grands paradoxes de Spiderman, celui d'être un  véritable héros n'hésitant pas à affronter des adversaires dangereux pour sauver des vies, et en même temps d'être absolument nul en séduction. Félicia lui faisait perdre ses moyens, et l'avait déjà fait à de nombreuses reprises, tout simplement parce que la technique du rentre-dedans, dont elle était une pratiquante experte, lui vidait la tête en un instant tant il ne savait pas comment y réagir. Dans les faits, que ça soit avec Félicia ou Gwen, ça avait été systématiquement elles qui avaient pris les devants, et il était déjà étonnant qu'il soit parvenu à lui sortir un tel compliment sans bégayer un seul instant. Les blagues un peu nulles, ça l'aidait aussi à conserver une illusion d'assurance dans les situations de stress.
Une illusion qui, toutefois, n'allait pas tarder à sauter, car Félicia revint se blottir contre Peter, et ce dernier posa alors ses mains sur les hanches de la Chatte Noire, qui était indéniablement une des femmes les plus sexy qu'il aie jamais rencontré. Leur aventure d'il y a un an n'avait pas duré du fait de Gwen, et aussi du fait que Spiderman la trouvait bien trop amorale à son goût. Mais Gwen n'était plus là, et Félicia avait de toutes évidences fait de gros efforts de son côté, elle avait été là pour lui quand il avait touché le fond, et pour ça il lui en était reconnaissant...et même fortement amoureux, si il n'y avait pas le souvenir de Gwen pour le hanter...

Spidey toutefois n'avait pas trop l'occasion de songer à tout ça, Félicia le titillait, jouait avec lui, en lui léchant les lèvres et les joues, se montrant à la hauteur de sa réputation de féline. Et puis, sortie de nulle part, vint cette réflexion sur le fait qu'il bandait quand ils dormaient ensemble. Voilà, ça, précisément, les allusions crues concernant le sexe, et qui le concernaient directement, ça le faisait bugger. Il ne se rendit même pas compte qu'elle venait de lui retirer son masque, et c'est seulement quand elle disparu du toit, s'enfuyant avec, que Peter passa alors sa main sur sa tête, et qu'il pu sentir sa tignasse de cheveux bruns.

Hey mais...mon masque !

Peter se déplaça alors vers le rebord de la tour, et vit la Chatte Noire déjà loin, le narguant, en ayant glissé son masque dans l'ourlet de ses seins. Il poussa un long soupir.

Sérieux ?

Puis il pencha  la tête en direction de son entrejambe, qui était l'argument que Félicia lui avait sorti.

Sérieux ? Et merde...

Résigné, Peter se mit donc à la suivre, sautant de toits en toits, et surtout faisait tout son possible pour ne pas se faire remarquer, vu que voilà, il avait son visage à découvert. Il parvint, au bout de plusieurs minutes, à la rejoindre sur lle toit d'un autre bâtiment, proche de la tour Eiffel, et atterit sur le toit en se réceptionnant sur ses jambes.

Okay ! Pause ! On avait dit pas le masque quand y'a des gens et puis...et puis...une seconde...

Il se laissa alors tomber sur le toit, allongé de dos, dans la neige qui le couvrait, la respiration lourde.

Aaaaaaaaaaah...rien de mieux que la neige pour calmer les ardeurs. Sérieux Félicia, utiliser ma seule faiblesse comme ça, c'est pas cool.

Puis il se redressa, d'une traite, en sautant sur place, avant de s'épousseter ses cheveux couverts de neige. Même si il cachait ça derrière son attitude de guignol, ce qu'elle lui avait dit, concernant leurs sentiments, l'avait marqué.

Mais blague à part...du coup...tu veux une conversation sérieuse en ce qui concerne...nous ?

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 6 vendredi 03 juin 2016, 18:19:08

Un sourire espiègle dansait sur les lèvres de Félicia. Elle avait toujours été très mutine, et surtout très joueuse, surtout avec quelqu’un comme Peter, véritable boy-scout. Il était toujours très amusant de jouer avec lui, de le titiller, de le narguer. Le Tisseur l’avait suivi de toits en toits, et s’écroula sur le toit enneigé, reprenant ses forces, tandis que Félicia la regardait. Finalement, son araignée se redressa rapidement, et, tout en ayant reproché à Félicia de lui avoir piqué son masque, lui demanda alors ce qu’elle voulait. Cette dernière cessa donc de sourire, même si une lueur mielleuse se dessinait toujours dans le firmament de ses yeux. Le masque était toujours là, coincé entre ses seins, ,et un bout avait été coincé contre la fermeture, comme pour mieux le retenir.

Félicia, de fait, aimait souvent enfiler son costume, et, outre le masque, il lui arrivait souvent, au réveil, d’enfiler le haut du costume. C’était presque romantique, car, ainsi, elle se disait que son odeur accompagnait toujours celui qu’elle considérait comme son grand amour.

« Eh bien, mon chéri, pour être honnête, je nous imagine mal parler sérieusement de la paupérisation du monde, des conflits sociaux, ou de l’écologie… Alors, oui, c’est évidemment de nous qu’il s’agit ! »

La Chatte Noire se rapprocha à nouveau de lui, et retourna l’enlacer. Cependant, au lieu de l’embrasser, elle le déstabilisa un peu, et l’homme retourna à nouveau se coucher sur le sol, avec elle se mettant à califourchon sur lui, caressant son torse.

« Je t’aime, Peter… Quand on s’est rencontrés, j’aimais ce que tu étais, ce que tu symbolisais, j’étais comme une groupie, comme toutes ces nanas qui rêvent d’être dans les bras de Spider-Man, et de lui faire l’amour… Car oui, Peter, il suffit de se balader sur les réseaux sociaux pour voir combien de gens rêvent d’être à ta place, ou d’être ta femme. »

Elle caressait ses pectoraux, remontant jusqu’à ses épaules. Le fait qu’elle aime davantage Spider-Man, plutôt que Peter Parker, avait été la principale raison de leur rupture… Mais, maintenant, les choses avaient changé. Et, tandis qu’elle parlait, ses doigts glissaient le long des fines lignes de son costume, se crispant dessus.

« Mais, maintenant, je sais qu’il n’y a pas que ton costume que j’aime… Mais toi aussi. Ton intelligence, ton courage, ton hardiesse… Même ton humour ridicule, je l’aime aussi… Ton manque de confiance en toi, j’adore ça aussi… Bref, il n’y a aucune facette de toi qui me repousse. »

Félicia se mordilla alors les lèvres. Parler si sérieusement, ça ne lui ressemblait pas. Si l’humour était la fuite en avant de Peter pour éviter les choses sérieuses, alors, elle, c’était sa désinvolture, sa provocation… Mais, ici, il n’y avait plus de faux-semblants à avoir. Son cœur s’emballa donc, et elle se redressa un peu, avant d’hésiter.

« Ça va te sembler affreusement cliché, mais… Je t’aime, Peter. Je ne peux pas m’imaginer vivre sans toi, maintenant, mon chéri. Tu tempères mes mauvaises humeurs par ta présence, tu me rends joyeuse, tu me donnes confiance en moi-même… Et j’adore trop te taquiner et te voir rougir quand je te dis que tu bandes comme un taureau pour te laisser filer. »

Après cette réplique, elle en vint à conclure sa déclaration :

« Je t’aime, Peter. »

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 7 vendredi 03 juin 2016, 22:34:39

A la réponse à sa question, Peter haussa les épaules, une moue un peu moqueuse traversant alors son visage. Dans l'absolu, il imaginait que Félicia aurait quand même de la répartie sur les sujets qu'elle venait d'aborder, mais bon...l'humeur n'était plus trop aux mauvaises blagues, donc il se tût. Spiderman et Black Cat, en train d'avoir une discussion sérieuse sur leur relation...c'était ce qu'on pouvait appeler l'envers du décors, ce que la plupart des gens ne verraient et ne sauraient jamais, même les super-héros devaient parfois régler leurs histoires de coeur, car ils demeuraient, en cet aspect, typiquement humains. Félicia s'approcha à nouveau de lui, et l'enlaça, sa chaleur corporelle était la bienvenue après la course en plein hiver qu'il s'était tapé, mais était dans le même temps nerveux rapport à cette discussion sérieuse qu'ils devaient avoir. Profitant de son absence de réflexes en ce moment précis, Félicia le fit tomber, le faisant s'allonger dans la neige, et elle même se posa à califourchon sur lui. Hormis la neige, ça lui rappelait la première fois qu'ils avaient couché ensemble tous les deux, elle avait utilisé exactement ce même mouvement pour lui faire comprendre ce qu'elle voulait, et comme lui sortait d'une violente dispute avec Gwen à l'époque, Peter s'était évadé dans les charmes de la Chatte Noire.
La sentir caresser son torse, en suivant ls lignes de toile de son costume, était agréable, mais rien ne fût plus agréable que ce qu'elle lui dit, au cours d'un beau monologue qu'à aucun moment Peter n'interrompit. C'était assez rare pour être souligner, mais il n'avait absolument pas l'envie de blaguer, et nullement envie de briser la magie de Félicia, lui avouant clairement ses sentiments pour lui. Elle était en train de balayer l'une des principales raisons pour laquelle Peter avait décidé de mettre fin à leur relation, outre ses sentiments pour Gwen, il n'avait pas supporté que Félicia ne s'intéresse à lui que par son identité de Spiderman, tandis que le vrai lui, Peter Parker, l'indifférait...au mieux.

Toutefois, et il s'en rendait compte vraiment maintenant, les gens pouvaient changer. Félicia lui avoua l'aimer lui, tout de lui, autant Spiderman que Peter Parker, et comme il ne l'avait jamais vue aussi sérieuse et déterminée que les quelques fois où elle lui dit qu'elle l'aimait, et bien...cela lui fit du bien, un bien fou, que d'avoir la certitude qu'elle était sérieuse sur ce coup là. Il en aurait presque pleuré, au risque de ruiner un peu la scène, et c'est justement pour ça qu'il ne le fit pas. C'était beau, n'empêche. Il étaient à proximité de la tour Eiffel, illuminée de mille feux, une nuit de pleine lune durant un bel hiver enneigé, très proches du passage à une nouvelle année...et par la même, un nouveau départ.
Peter ne savait pas quoi dire, il était même certain qu'il allait bafouiller, alors il décida de faire quelque chose qui malgré tout ne souffrirait d'aucune mauvaise interprétation. Il se redressa, posa ses mains dans les dos de Félicia, et alla l'embrasser. Ne voyant pas le temps défiler, d'ailleurs sur le moment il s'en fichait un peu, il lui offrit un délicieux baiser qui dura de nombreuses minutes, avant de se retirer, et de la regarder droit dans les yeux, son visage encore proche du sien.

Si on m'avait dit, il y a un an, que tu m'aiderais à remonter ainsi la pente, j'y aurais jamais crû...comme quoi les gens changent parfois en bien.

Peter avait la respiration lourde, ce qui pouvait s'entendre, et même se voir à la buée qui s'échappait de sa bouche.

Si t'avais pas été là pour moi après la mort de Gwen...je pense sincèrement que j'aurais envisagé le suicide comme une solution, tellement je trouvais plus de raison de vivre, avec la culpabilité. J'avais plus personne, et t'es venue, tous les jours, pour m'aider, me remonter un peu le moral.

Il se pinca un peu les lèvres, cherchant ses mots, cherchant comment les tourner pour exprimer clairement ce qu'il voulait lui dire.

Je sais pas si un jour je tournerais complètement la page Félicia, on oublie jamais son passé...mais tu m'a appris qu'il ne fallait pas en rester le prisonnier, et aller de l'avant même si c'est difficile.
Je t'aime...je t'aime pour la magnifique personne que t'es devenue, celle qui a décidé que parfois, c'était quand même bien de s'intéresser au sort des autres. Alors si en plus tu es prête à supporter mes blagues, je pense que je n'ai plus d'hésitations à avoir.


Il la serra alors un peu plus contre lui, faisant crisser sa combinaison en latex.

Et puis je m'en voudrais de te priver de ma personne que tu adores martyriser, même si, sérieux, c'est pas cool !

Spiderman...incapable de rester sérieux plus de cinq minutes, mais il était indéniablement là l'homme le plus heureux du monde, pour la première fois depuis très longtemps.

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 8 vendredi 03 juin 2016, 23:19:36

Ce n’était pas tous les jours qu’on pourrait voir une Félicia si romantique, et si... Sérieuse. Elle avait avoué tous ses sentiments, comme ça, sans aucun garde-fou. Elle s’était lancée, avec peur, mais sans hésitation, et, au fur et à mesure qu’elle parlait, elle avait davantage envie de parler. Oui, Félicia avait changé, et elle le devait grâce à Peter. Quand ils s’étaient connus, sauver la veuve et l’orphelin, ça ne la motivait guère. Cependant, elle n’agissait pas par égoïsme uniquement parce qu’elle était méchante, mais parce que, elle, personne ne l’avait aidé. Quand on l’avait violé à ESU, elle avait mis des semaines avant de décider de porter plainte... Une plainte qui n’avait rien donné, car son violeur était le fils d’un des puissants de la Mafia, quelqu’un qui n’aurait eu aucune difficulté, lors d’un procès, à la démolir. Félicia, à l’époque, avait obtenu l’aide d’un avocat, commis d’office, Matt Murdock, mais elle avait retiré sa plainte quand elle avait reçu un mail d’un anonyme, où on la voyait en train de sucer des queues, et d’agir comme la pire des putes. Un montage, réalisé avec une fille qui était très semblable à elle, physiquement parlant. Félicia avait compris que, en tant que « Félicia Hardy », elle ne pourrait jamais lutter contre des gens contre Fisk et ses séides, des gens qui s’abritaient derrière la loi. Censée protéger les citoyens, Félicia avait compris que la loi ne protégeait que les puissants, qui n’hésitaient pas à l’utiliser pour la retourner contre les autres. Elle avait compris que le système était grippé de l’intérieur, mais elle n’avait pas choisi la voie de la justice, de la super-héroïne, car elle estimait que ça ne servait à rien. Envoyer des gens comme Fisk en prison ne servait à rien. Même aujourd’hui, elle le pensait encore, et, sur ce point, elle savait que Peter avait mûri. Pendant longtemps, il s’était réfugié derrière la loi, en estimant que, dès lors qu’on réunissait les preuves suffisantes, même un gros bonnet comme Fisk pouvait tomber. Seulement, Fisk avait beau être en prison, il continuait encore à diriger ses activités depuis sa cellule.

Pour faire tomber de tels gens, Félicia pensait qu’il fallait s’attaquer à leur portefeuilles, et, même si ça ne plaisait pas à Peter, il ne pouvait que l’accepter. Comme une sorte de Robin des Bois moderne, Félicia utilisait l’argent volé pour le donner auprès d’associations caritatives... Elle n’en conservait qu’une petite partie pour elle-même. C’était un progrès, car, auparavant, elle gardait tout pour elle-même. Alors, en un sens, on pouvait dire que Peter avait changé sa façon de voir les choses, mais elle ne se voyait pas encore comme une justicière. Elle était plutôt une voleuse avec un sens de la moralité, et très amoureuse.

Honnêtement, elle n’aurait jamais cru ressentir un tel amour pour un autre homme. Ce qu’elle avait aimé de Spider-Man, initialement, c’était cet être immuable, ce symbole de puissance, de liberté... À tel point que, tout en ayant envie de savoir qui était sous le masque, la première fois qu’elle avait appris l’identité de Spider-Man, elle en avait été déçue... Comme si, quelque part, le mythe avait été brisé. Et, maintenant, elle aimait autant les deux. L’homme, qui resta silencieux pendant toutes les explications de la femme, finit par l’embrasser en se redressant. Elle se courba un peu, et c’est ainsi que, assis l’un contre l’autre, les deux amants s’embrassèrent, doucement, longuement. Ils s’embrassèrent pendant de nombreuses minutes, ensemble, un baiser qui fut plus parlant que mille autres mots qu’ils auraient pu prononcer, et qui calma le cœur de Félicia... Pour réveiller quelque chose d’autre.

Après ce baiser, ce fut au tour de Peter de parler. Le Tisseur lui expliqua qu’il l’aimait aussi, et que, même s’il pensait toujours à Gwen, il pensait être capable de tourner la page... Pas de l’oublier, mais de pouvoir vivre à nouveau. Félicia hocha lentement la tête, sans rien dire. Elle, elle n’avait pas le problème de l’ex’ derrière elle, vu que le seul homme avec qui elle avait jamais fait l’amour l’avait violé.

Ils se serrèrent l’un contre l’autre, la combinaison de Félicia crissant doucement en se serrant contre son costume, puis elle sourit quand il glissa que le martyriser, ce n’était « pas cool ».  La main de Félicia remonta alors, et caressa sa nuque, avant de le griffer légèrement, tandis qu’elle déposait un baiser sur la commissure de ses lèvres.

« Qui aime bien châtie bien, Peter... Et puis... Rassure-toi, j’ai mes méthodes pour t’aider à aller mieux. »

Elle lui sourit alors, et la lueur mutine revint dans ses yeux. La femme s’humecta doucement les lèvres, avant d’enchaîner :

« Pose tes mains sur mes fesses, Peter... Masse-les bien... Puis tu vas venir récupérer ton masque, mon chéri... Avec ta bouche. »

Concrètement, ceci l’amènerait à nicher sa tête contre ses seins...

Mais ça, ça ne risquait pas de le déranger, non ?

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 9 samedi 04 juin 2016, 13:25:23

Si il fallait bien reconnaître une chose à Félicia, c'était qu'elle avait un charme très efficace, presque magique. Tout, depuis son attitude à son costume en passant par les formes de son corps, tout ça formait un ensemble qui mis bout à bout donnais à Peter une femme dont le souvenir et la présence le marquaient à jamais. Même quand il s'était séparé de Gwen, la Chatte Noire était parvenue à utiliser ses charmes pour le faire céder, et l'amener à elle, et maintenant qu'elle était la seule en lice et qu'elle avait amélioré certains points autrefois problématiques, et bien Peter ne pouvait qu'en être amoureux. Et au fond, il aimait tout, même la façon dont elle le taquinait, sans compter que cette fois il n'aurait rien à lui cacher, puisqu'elle était pleinement au courant de la vie alternative qu'il vivait sous l'identité de Spiderman.
Il se sentit presque rapetisser quand il vit son expression joueuse se dessiner sur son visage, oh il connaissait très bien cette lueur de malice dans ses yeux, et à force de la fréquenter, il savait très bien ce que Félicia avait derrière la tête, là, présentement. Ils s'étaient jusque là contentée d'une relation assez platonique, Peter n'étant pas à l'aise à l'idée de coucher de nouveau avec Félicia tant que lui même n'était pas certain de comment se positionner. Mais ils venaient de mettre les choses au clair, et Peter se sentait soulagé d'un gros poids sur la conscience. Jamais il n'oublierait Gwen, et honorerait toujours la mémoire de son premier grand amour...mais la vie se devait de continuer, et au fond, il se disait qu'elle n'aurait pas voulu le voir renoncer à tout.
Félicia l'invita donc à masser ses fesses, et à récupérer son masque. Il l'aurait presque oublié pour le coup, mais c'était vrai, il était toujours niché entre les seins de la femme.

Ouaip, je pense d'ailleurs qu'il doit être juste à bonne température avec le temps passé là. J'dois t'avouer un truc d'ailleurs, enfiler ce costume que tu l'a mis au préalable, c'est excellent. Par contre je suis pas certain de pouvoir te rendre la pareille, je risque d'être serré là en bas...

Puis Peter glissa effectivement ses mains le long du dos de la Chatte Noire, suivant la courbe de sa chute de rein pour arriver jusqu'aux monts rebondis que formaient ses fesses, moulée à la perfection dans sa combinaison en latex. Bien que maladroit avec les femmes, Peter n'était pas inexpérimenté, et avait même une certaine tendance à incorporer des positions très acrobatiques lorsqu'il faisait l'amour. C'est donc libéré qu'il alla empoigner ce cul, avec ces deux mains, tout en  allant fourrer son visage dans le creux de la poitrine de Félicia. Même si il agrippa sans difficultés son masque à l'aide de ses dents, il resta toutefois un moment dans ce creux divin, doux  et chaud surtout, qui contrastait avec le fait qu'il était assis dans la neige.
Puis, tandis qu'ils étaient blottis l'un contre l'autre, ils entendirent au loin un décompte, scandé par la foule qui était sur le champ de mars, qui annonçait la venue proche de minuit, et celle du feu d'artifice de la tour Eiffel. Cela donna une idée à Peter, qui retira son masque des seins de Félicia tout en le gardant en bouche, et il lui fit un clin d'oeil. Utilisant alors sa force et ses capacités à rester accroché à toutes surfaces, Peter se redressa tout en maintenant Félicia contre lui, telle qu'elle était, avec ses jambes entourant ses hanches. Il sauta en arrière, les ammenant à tomber un bref moment dans le vide, juste avant que Peter ne lance une toile depuis son poignet droit vers le toit. Il se retrouva donc pendu dans le vide, et à un endroit où ils avaient une vue dégagée sur la tour Eiffel. D'une main il tenait son fil de toile qui les maintenait, et del'autre il enlaçait la Chatte Noire pour la maintenir contre lui, et avait même redressé ses jambes afin qu'elle puisse aussi prendre appui sur ses cuisses, lui servant presque d'une chaise. Et le compte à rebour arrivait à son terme...

Désolé de t'avoir coupé dans ton élan, mais ça aurait été dommage de louper ça...

Le "Zéro" fut scandé par la foule, puis juste après des feux d'artifice volèrent depuis toute la tour Eiffel, illuminant le ciel dégagé de Paris, sous les acclamations de la foule. Peter lui, si il regarda un moment le feu d'artifice, n'avait vraiment d'yeux que pour Félicia, avec qui il partageait un grand moment, dont il était certain qu'il allait se souvenir jusqu'à la fin de ses jours.

Bonne et heureuse année ma chérie.

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 10 samedi 04 juin 2016, 15:25:57

Ils y étaient donc. L’heure était venue de jouer, un jeu différent que ceux qu’ils faisaient habituellement. Cette fois-ci, blottis l’un contre l’autre, les deux amants allaient s’explorer mutuellement, et, naturellement, Félicia offrait à Peter le soin de profiter de son corps. Elle avait depuis longtemps compris que l’homme avait, dans ce domaine, besoin d’être guidé. Peter savait faire preuve d’initiative, oui, mais, comme il était d’un naturel assez timide, il fallait d’abord le lancer, pour qu’il réalise que ses idées trouveraient un écho favorable. En ce sens, Félicia lui avait demandé de palper ses fesses, parce que, comme elle commençait à bien le connaître, elle savait que c’était de ça dont l’homme avait envie. Elle savait qu’il aimait son derrière, qu’il aimait sa combinaison en latex, que tout ça faisait partie d’un ensemble sensuel. Félicia le savait très bien, car elle ne portait pas une telle combinaison en pensant ressembler à une nonne.

Avec plaisir, elle frissonna donc en sentant les mains de Peter caresser son dos, pour filer le long de l’espace creux, avant de glisser davantage, pour se poser sur ses fesses. Elle se mordilla doucement les lèvres, puis l’homme pencha la tête, et elle posa ses mains sur ses cheveux, soupirant en sentant l’homme se blottir contre elle, en profitant pour redresser ses jambes, les enroulant gracieusement autour de sa taille.

« Haaa... Hmmm... »

La doucereuse Chatte se mordilla les lèvres, avant d’entendre un brouhaha dans son dos. Elle tourna légèrement la tête, et vit le compte-à-rebours géant, sur la Tour Eiffel, se rapprocher du zéro. Elle en sourit légèrement, tout en sentant ses tétons durcir, et son corps... Vibrer. Depuis que le Caïd l’avait fait muter, le corps de Félicia avait évolué, évolué dans ce sens qu’il avait récupéré quelques capacités félines. Sous l’effet de l’excitation sexuelle, Félicia devenait aussi sensible que les chats, et pouvait même... Ronronner. Et là, en sentant les mains de Peter glisser sur elle, son corps laissa échapper quelques agréables vibrations sonores, la femme soupirant de plaisir.

Ensuite, elle sentit l’homme se mettre à glisser, et il tomba le long de la façade de l’immeuble, déployant une toile pour les retenir. La main de Félicia remonta à son tour, et elle enroula ses doigts autour de ceux de Peter, tout en maintenant sa toile, leurs corps maintenus sous ce dernier, flottant dans le vide. Ensemble, ils se regardèrent, tandis que la foule hurla un « ZÉRO », et que des artifices s’envolèrent le long de la Seine, avant d’exploser en l’air.

« Oh, Peter... »

Félicia soupira ça, puis alla l’embrasser. Ce fut un vrai baiser d’amoureux, les feux d’artifices dissimulant le rouge qui était monté aux joues. Aussi fatale et sensuelle soit-elle, Félicia était touchée par ce romantisme, par ce geste simple et touchant. La Chatte Noire alla donc goulûment l’embrasser, pendant une bonne minute. Elle ne rompait le baiser, retirant ses lèvres pour l’embrasser à nouveau, crispant son corps contre le sien, serrant fort avec ses hanches. Encore un peu, et elle aurait presque pu se transformer en Xenia Onatopp, et l’étouffer avec ses cuisses. Mais rien de ça. Elle se contentait juste de l’embrasser, une manière claire et simple d’avouer tout son amour.

La minute fut largement passée, et les feux d’artifices rugissaient dans le ciel. Elle finit néanmoins par rompre le baiser, et lui sourit, avant de lui parler.

« J’ai une résolution pour la nouvelle année, Peter... Une que je compte bien respecter. »

Elle sourit alors, l’embrassa rapidement, puis rajouta :

« Je veux que nous fassions l’amour au moins deux fois par jour... Une fois le matin, une fois le soir. »

Félicia laissa planer quelques secondes, sa main caressant la joue de l’homme, et reprit ensuite :

« Et... On commence maintenant. »

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 11 lundi 06 juin 2016, 13:22:50

Y'avait des fois, ça arrivait, où Peter Parker n'était pas complètement un glandu pour gérer ses relations amoureuses, et là c'était un de ces moments. Ce petit geste romantique n'aurait probablement pas fonctionné sur Félicia quelques années auparavant, mais elle avait changé depuis, et le fait qu'il en soit à l'origine le rendait fier. La façon dont elle l'embrassa fût pour lui la plus belle des récompenses, car en effet si il arrivait à agir à l'instinct et avec succès dans ses luttes contre le crime, gérer une femme...il était encore un novice en la matière, mais il apprenait, peu à peu. Et là, pendus dans le vide, avec Félicia qui s'accrochait à lui, Peter était vraiment heureux, et cette nouvelle année commençait en beauté.
Puis, Félicia lui fit part de son bonne résolution, une qu'elle comptait bien tenir: celle qu'ils fassent régulièrement l'amour, en commençant à la respecter immédiatement. Peter sentit son coeur bondir dans sa poitrine, et une violente décharge s'effectuer au niveau de son entrejambe. L'idée qu'il fasse l'amour tous les jours avec cette beauté était en soit suffisante pour exciter n'importe qui, mais il fallait aussi ajouter le fait que depuis la mort de Gwen, il avait été aussi chaste qu'un moine prenant à coeur son voeu de célibat.

Je n'ai pas d'objections votre honneur.

Il se balança alors en direction du mur, maintenant que le feu d'artifice avait stoppé. Il se réceptionna contre en posant ses pieds dessus, et grâce à ses pouvoirs, parvint ainsi à se maintenir collé contre, en bloquant par la même occasion la Chatte Noire entre lui et cette façade de bâtiment.

Je suis pas trop chaud pour qu'on le fasse dans la neige par contre, et même si je te ramènerais bien à l'hôtel, je suis pas certain de résister au teasing que tu ne manquera pas de faire sur la route alors...je propose qu'on prenne l'entrée ici, et le plat de résistance à l'hôtel.

Grâce à sa force surhumaine, Spiderman parvenait à se maintenir en équilibre avec Félicia contre lui sans difficultés, et c'était d'ailleurs ça qui semblait faire fantasmer pas mal de monde à son sujet: les potentialités acrobatiques d'une partie de jambes en l'air avec lui...littéralement, en l'air. Avec ses pieds collés contre la facade, et une de ses mains qui continuait à maintenir sa toile, Spidey disposait toutefois encore d'une main libre, et avec cette main, il était en train de pétrir amoureusement le cul de Félicia avec. Cette dernière, vu qu'elle s'était enroulée avec ses jambes autour du bassin de Peter, devait d'ailleurs clairement sentir cette belle bosse se former depuis son entrejambe. Le frottement du latex porté en combinaison moulante par elle, ça lui avait toujours fait un effet immédiat.
Toutefois, même comme ça Peter avait une marge de manoeuvre assez limitée, il utilisait la quasi totalité de ses membres pour les maintenir en l'air, et il n'irait pas bien loin avec une seule main disponible. Il cessa donc au bout d'un moment de caresser les fesses de Félicia, pour tisser de la toile adhésive sur la façade juste derrière elle, puis il la poussa tendrement contre, ce qui fit qu'elle se trouva solidement accrochée au niveau du dos, mais disposait toujours de la liberté de mouvement de ses jambes et de ses bras, tandis que Spiderman lui,  se tenait tout contre elle, ses capacités à s'accorcher partout trouvant ici toute leur utilité.

Je me demande par contre, tu appliques toujours la politique de ne rien porter d'autre en dessous de ta combi' ?

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 12 lundi 06 juin 2016, 13:56:17

Quand Félicia fit sa proposition, la réponse de Peter fut immédiate, et, avant même qu’il ne parle, elle savait qu’elle avait fait mouche. En effet, la Chatte Noire sentit le sexe de l’homme se redresser furieusement sous son pantalon moulant, caressant ses cuisses, comme un petit oiseau devenant un condor royal, et qui n’avait envie que d’une seule chose : se dpé&loyer. Un dilemme, néanmoins, traversa rapidement Peter. Où le faire ? Revenir à l’hôtel lui semblait impossible, sa remarque ne manquant pas de faire sourire Félicia.

« Oh, voyons, Petey, comme si c’était mon genre, de titiller ainsi de pauvres garçons en roulant des hanches pour exposer mon fessier... »

Elle se moquait doucement de lui, bien entendu, mais elle aussi, elle avait envie de lui. On ne le réalisait sans doute pas, mais, sexuellement parlant, Félicia n’avait fait l’amour qu’une seule fois. Depuis qu’elle avait été violée, elle n’avait tout simplement plus jamais fait l’amour une seule fois, trop terrorisée et trop marquée par ce qu’elle avait vécu... Mais, maintenant, oui, maintenant, elle se sentait prête... Peter savait le passé de la femme, alors, forcément, la voir si motivée ne pouvait que l’encourager également. Pour les deux, il était temps de passer le pas, de tourner une page de leur existence.

Spider-Man se déplaça alors, et rejoignit le mur du bâtiment, se protégeant ainsi de la neige par le toit, qui débordait un peu, et réussit à se maintenir ainsi, grâce à ses facultés adhésives. Une position assez instable, étonnante, qui l’amena à tisser une belle toile d’araignée, où il y posa la femme. Elle se retrouva ainsi contre le mur, ses bras et ses jambes libres, son corps retenu par le dos, une espèce de colle physique la retenant, faisant doucement crisser son latex. Félicia papillonnait des yeux, la gorge asséchée, impatiente de sentir la queue de l’homme en elle.

Elle sourit devant sa remarque, et répondit avec une lueur mutine dans les yeux :

« Sur ce point, je pratique la même politique que toi, mon chéri... »

Sous sa combinaison, Peter était aussi nu, puisque, généralement, c’était sa combinaison qui était sous ses vêtements. Elle avait, de plus, clairement senti sa nudité quand sa queue était venue la caresser. Félicia releva alors sa tête, et posa ses mains contre un filament de toile. Ces dernières n’étaient pas adhésives, et elle se mordilla les lèvres.

« Alors, je suis ta proie, Peter ? Hum... La douce jeune femme prisonnière de la toile, et qui va se faire butiner par une belle araignée ? »

Elle lui sourit encore, et releva l’une de ses jambes. Elle aussi était terriblement agile, et put sans peine glisser son pied entre les cuisses de l’homme, et, ainsi, le masturber, tendrement, à travers le pantalon. On ne s’en rendait pas forcément compte, mais la combinaison de Peter était en plusieurs morceaux, ce n’était pas, comme Félicia, une tenue intégrale. Il y avait donc un haut et un pantalon, mais les deux se confondaient parfaitement l’un dans l’autre. Il était donc possible à l’homme de faire sortir son sexe.

Félicia le caressait donc, et, pendant ce temps, son autre pied se détendit également, et elle le mit à côté de l’homme, puis le retourna, de telle sorte que ses orteils caressèrent l’une de ses fesses. Moins qu’une manière de masser son petit cul musclé, c’était surtout une façon de l’inviter à se rapprocher d’elle.

« Mais, fais attention, il fait froid... Si tu sors ta queue, il faudra éviter qu’il ne prenne froid. Sache, néanmoins, Peter, que je suis prête. Je veux que tu me fasses l’amour, Peter... Que tu me baises avec toute ta force. Je veux te sentir en moi, je veux sentir tout le désir que tu ressens pour mon corps, tout ce que je t’inspire. Je m’offre à toi, Peter, et je le fais pour la première fois de ma vie... »

S’offrir à quelqu’un sans garde-fou, s’offrir intégralement.

C’était effrayant... Et à la fois terriblement excitant.

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 13 mardi 07 juin 2016, 13:30:55

Peter n'était que trop bien conscient que pour Félicia aussi, ça allait être un cap à franchir, la première fois qu'elle allait s'offrir à un homme depuis qu'elle avait été violée. Quand il l'avait appris, Peter s'était mis à relativiser pas mal de choses concernant la vision qu'il avait de Félicia, et avait trouvé d'autant plus flatteur le fait qu'elle le trouve attirant. Si Peter n'était pas le dragueur le plus compétent qui soit de la planète, il avait au moins pour lui la volonté de bien faire. Bien sûr, la perspective d'être celui qui devait la réconcilier avec le sexe était un peu stressante, qui aurait crû d'ailleurs qu'il serait dans ce domaine plus expérimenté qu'elle ? Seulement Cat avait ce don d'arriver, non seulement à le faire rougir, mais aussi à le détendre, et à le faire relativiser. Il banda d'autant plus fort quand elle lui confirma que, sous sa combinaison en latex, elle était nue, ce qui faisait qu'il n'avait qu'à tirer sur cette fermeture éclair pour avoir accès à son corps de déesse.
Peter lui était assez proche, mais lui laissait encore un peu d'espace, le temps pour lui de déterminer comment il allait s'y prendre, mais Félicia se décida à accélérer les choses. Au moins aussi souple que lui, la Chatte noire redressa une de ses jambes, et glissa son pied contre le sexe de Spiderman.

Wooooo...

Il se crispa légèrement, mais appréciait tout de ce contact, ainsi que son attitude joueuse et diablement sensuelle. Il la laissait volontiers jouer avec lui, tandis qu'il se maintenait pendu le long de sa toile. Et puis là, comme pour acheverde le convaincre et de le rassurer, elle l'assura de son envie de coucher avec lui. Peter dégluttit alors, puis s'approcha, il posa ses pieds contre la façade, lui permettant automatiquement de s'y accrocher, se glissant ainsi entre les jambes de Félicia qu'il invita à écarter pour qu'il puisse s'y faufiler. Il n'avait alors besoin que d'une main pour la poser sur l'une des épaules de Félicia, afin de bien se maintenir, et de l'autre il lui caressa affectueusement la joue.

Je vais faire de mon mieux Cat. En théorie, je devrais être à même de remplir le cahier des charges d'une union réussie, j'espère juste que ces derniers mois ne m'ont pas trop rouillé. Mais blague à part...je t'aime...

Il alla alors poser un baiser dans le creux de son cou, tandis qu'avec sa main libre, il aggripa le gros anneau en métal qui était lié à la fermeture éclair de la combinaison de Black Cat, et se mit à tirer dessus. Il la fit descendre, doucement, appréciant tandis qu'il embrassait sa peau, le bruit que ça provoquait, et ce qu'il interprétait, à savoir qu'il était en train de la déshabiller. Une fois qu'il eu tiré assez pour arriver jusqu'à hauteur de son nombril, il s'arrêta, puis passa sa main le long de ses flancs, sous sa combinaison, pour l'ôter un peu, surtout afin de libérer l'un de ses seins. Félicia avait vraiment une poitrine superbe, opulente et pourtant très ferme, et quand il vit enfin l'un de ses seins mis à nu, Peter ne put que céder à l'envie d'aller sucer son téton. Plongé ainsi dans sa poitrine, qui le faisait fantasmer depuis longtemps, Peter soupirait fortement, tout en amenant sa main à libérer son autre sein, et à aller le malaxer. Arrivant ainsi à se maintenir correctement contre Félicia, Peter pu utiliser son autre main pour continuer à encore tirer sur la fermeture éclair, qui descendait encore bien en bas en se poursuivant entre les cuisses de sa porteuse. Peter pu ainsi libérer l'accès à l'intimité de sa partenaire, et prit d'ailleurs bien soin d'écarter au maximum la combinaison à cet endroit là, et tandis qu'il était perdu dans la poitrine de Félicia, il alla également caresser son intimité épilée.

Malgré la température ambiante qui était dans le négatif, Peter avait chaud, son costume était de base conçu pour lutter contre les températures intenses, froid comme chaud, mais le fait de commencer à faire l'amour lui donnait chaud. Il passa un bon moment à préparer Félicia ainsi, il ne releva son visage qu'au dernier instant pour aller l'embrasser, tandis qu'il se colla alors plus contre elle, et d'une main, il abaissa le bas de son propre costume, libérant son petit cul musclé, et surtout son sexe bandé comme une corde de violon.
C'est toujours en l'embrassant que Peter fourra doucement son sexe dans l'intimité chaude et acceuillante de Félicia, et ce d'autant plus au vu du froid avec lequel ils devaient faire face. Mais du coup, l'impression de chaleur et de douceur n'en fut que renforcé, et Peter grogna un coup quand il la pénétra, alors que son torse musclé s'enfonçait contre ses seins mis à nu. Peter avec du coup posé ses deux mains contre la façade du bâtiment, afin de se soutenir, et afin de pouvoir pleinement donner des coups de rein en allant et venant dans son intimité.

Humf...ça...ça vaaaaaaa ?

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 14 mardi 07 juin 2016, 18:27:01

Ils allaient enfin passer aux choses sérieuses, tous les deux, et, même si Félicia prenait au début les choses en main, maintenant, c’était à Peter d’agir. Fort heureusement, au vu de la virilité qu’elle sentait contre son pied, au vu de ce sexe, tendu et assoiffé, elle ne se faisait pas trop de doutes. Son Tisseur avait férocement envie d’elle, et elle masturba donc brièvement sa queue, avant de reposer son pied, puis l’homme se rapprocha. En sentant sa main tirer sur sa fermeture, sa bouche jouer avec son cou, la Chatte Noire émit plusieurs doux soupirs, fermant les yeux en remuant légèrement. Le désir affluait lentement en elle, et, en ce moment, elle ne ressentait tout simplement aucune forme de peur envers l’homme, ou envers ce qui allait se passer. Son viol sur le campus d’ESU appartenait au passé, et, tandis qu’il dévoilait son corps, elle le laissait faire. Sa main tirait sur la fermeture de sa combinaison, caractérisée par un anneau. Il fit descendre la fermeture jusqu’à hauteur du nombril, alors qu’elle pouvait descendre très bas, puisque, concrètement, elle filait même sous son sexe, se rapprochant ainsi de ses fesses.

Peter s’arrêta là, ayant suffisamment abaissé la combinaison, et écarta les pans de cette dernière. Quand ses mains pétrirent brièvement ses seins, Félicia soupira, détendant ses muscles, poussant un long sifflement, presque une sorte de feulement félin. Elle soupirait doucement sous ce contact. Peter était à la fois tendre, mais aussi… Envieux. Il s’attaqua à ses seins, et, quand ses lèvres titillèrent le téton, se posèrent sur sa peau, la Chatte Noire se mit à gémir, crispant ses doigts sur les toiles, et déplaça une main, venant caresser la tête de l’homme, ainsi que ses cheveux, se crispant parfois dessus.

« Haaa… Haaaa… Peter, hmmm… »

Elle avait toujours su que Peter serait un amant formidable, car il était quelqu’un de respectueux, et profondément dévoué envers les autres. Même en amour, il faisait passer le désir de l’autre avant le sien, ce qui était admirable. Un vrai gentleman, voilà ce qu’il était. Et là, son amant se surpassait, titillant ses seins, éprouvant son corps, tout en continuant à tirer sur la fermeture de la combinaison, abaissant ainsi, encore et encore, cette dernière, jusqu’à ce que Félicia ne sente les doigts de l’homme glisser contre son intimité, avant de filer, encore plus bas, pour passer par-dessous.

« Hmmm… Haaaaa… Peter… »

Félicia soupirait encore son nom, tout en se sentant impatiente, de plus en plus fébrile, de plus en plus désireuse de le sentir en elle.

Les minutes défilèrent, tandis que le feu d’artifice continuait à battre, et que des pétards et des relents de musique se faisaient entendre en contrebas. Félicia sentait une fête terrible remuer en elle, très énergique, tandis que son corps vibrait sous les tendres attentions de son amant, qui glissa ses fins doigts en elle. Elle se mordilla les lèvres, et crispa ses mains sur ses cheveux, ses jambes se frottant contre les siennes, tout en veillant aussi à s’écarter, afin de lui laisser davantage d’espace.

Puis, l’estimant prête, alors que Félicia ronronnait de plus en plus, et que ses griffes continuaient à tirer sur ses cheveux, Peter se redressa, et l’embrassa.

« Hmmmm… »

Un joyeux baiser, auquel Félicia répondit de bon cœur, tout en le sentant abaisser son costume. Une main sur son épaule, elle approcha ses jambes, et, quand son sexe caressa ses lèvres intimes, un frisson la traversa, puis ses jambes s’enroulèrent autour de sa taille… Et elle le sentit venir en elle, s’enfonçant dans sa chatte trempée.

« HHMMMMMM… !! »

Quand on l’avait violé, dans sa chambre d’étudiante, tout ce qu’elle avait senti, c’était la douleur, la peur, l’effroi. Le paradoxe du violeur, c’était que, tout en ayant conscience de sa souffrance, on avait peur de se défendre, peur d’agir, de peur que le violeur se montre encore plus violent, encore plus brutal. Mais là, avec Peter, tout était doux, tout témoignait son amour et son respect, rien n’était fait pour la forcer. Ce n’était qu’une intense décharge de bonheur.

Spider-Man s’enfonça donc en elle, puis se retira, et, tout en soupirant, lui demanda si ça allait.

Et, pour première réponse, les jambes de Félicia se serrèrent un peu plus fort, et elle l’incita à revenir la prendre, tout en l’embrassant voracement, langoureusement, fourrant sa langue dans sa bouche, la remuant avec la sienne.

« Encore, Peter, hmmm… Vas-y, mon chéri, haaa… Baise-moi bien fort… J’en rêve depuis tellement longtemps, mon amour, haaaa… Allez, allez !! »

Félicia se serrait contre lui, desserrant ensuite ses jambes. Tout ce qu’elle voulait, c’était sentir son homme la baiser bien fort, qu’il se plante en elle, qu’il enfonce sa virilité au plus profond de son corps, et qu’il la fasse hurler.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


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