Marie-Rose se trouvait effectivement dans un "autre monde", au point qu'elle se rendit à peine compte de la présence de sa mère dès que cette dernière se leva pour activer diverses caméras, qui filmaient les ébats de la jolie tête blonde avec son chien. Herman ne s'arrêtait pas, ni même ne ralentissait, il la bourrait en continu avec le même rythme intense. Marie-Rose était délicieusement au fait de chaque sensation, du souffle chaud du chien dans son cou, de ses poils qui frottaient contre son corps. La jeune femme toutefois regrettait presque en ce moment d'encore porter son uniforme, car elle ne sentait vraiment les poils chauds d'Herman que sur ses fesses et ses cuisses...mais d'un autre côté, se faire baiser telle une chienne dans son uniforme avait un petit plus qui était très excitant !
Haaaaaa !!! Huuuuuuumffffffnyyyaaaaaaa !!!!
Les cris de Marie-Rose perdaient un peu en volume, car coucher ainsi avec un chien aussi puissant et endurant qu'Herman était épuisant. Surtout, elle était en train d'avoir bien moins mal, la grosse queue d'Herman remuait désormais une chatte bien lubrifiée, et chacun de ses puissants mouvements en elle en faisait couler sur le sol depuis ses lèvres intimes. Marie-Rose devait aussi se concentrer pour rester à quatre pattes, car mine de rien, Herman la bourrait tellement fort que la fragile fleur qu'elle était avait du mal à se maintenir en position. Herman était un gros chien, dont le poids était presque équivalent à celui de la jeune femme, et son corps remuait lourdement et à un rythme tout de même très élevé, sachant qu'elle n'était...pas vraiment du genre sportive. Marie-Rose avait ainsi la sensation d'être complètement dominée et de "subir" les assauts d'Herman comme ce dernier le voulait, ce qu'elle trouvait...très excitant, car celà renforçait l'idée qu'en se mettant dans cette position, à quatre pattes, elle abandonnait temporairement son rôle de maîtresse pour devenir une chienne.
La douleur disparaissant de plus en plus, et Marie-Rose mouillant de plus en plus, il n'y eut rapidement qu'une seule réaction possible pour son corps, car elle sentit une grande vague de chaleur monter dans son bas-ventre. Herman, qui sembla aussi sentir sa jeune maîtresse sur le point d'avoir un orgasme, se blottit encore d'avantage contre elle et se mit à accélérer subitement ses coups.
HAAAAAAA !!! HAN J-JE JOUUUUUUUIIIIIIIIS !!!!!!
La jeune femme se cambra, et elle parvint de peu à se maintenir à quatre pattes tant l'orgasme qui la traversa fut intense, des jets de cyprine filèrent depuis son intimité pendant qu'elle était en train de jouir, encore et encore. Les yeux révulsés, la bouche grande ouverte en hurlant, elle était plus semblable à une nymphomane en chaleur heureuse de se faire prendre, qu'à la jeune fille bien éduquée qu'elle était en temps normal.
Herman n'en avait toutefois pas fini, car lui ainsi que Karl avaient été dressés de façon à être très endurants, à faire enchaîner les orgasmes à leurs maîtresses. Tout au plus, Marie-Rose eut-elle l'impression que la bite d'Herman était en train de continuer à grossir, se gorgeant de sang.
NYAAAAAAA !!!! O-OUIIII ENCORE !!! ENCORE ENCOOOOOOORE !!!!!
C'est à ce moment que Marie-Rose "retrouva" sa mère, quand le visage de Rayla vint se positionner juste en face du sien, elle s'était mise à quatre pattes, et Karl, dans son dos, s'approcha fièvreusement. Le chien, après avoir vu sa maîtresse se faire prendre pendant de longues minutes, était impatient, et monta donc sur Rayla comme il avait l'habitude de le faire...rudement. Ses pattes avant s'agrippèrent au bassin de Rayla, et il s'en servit comme appui pour glisser d'un coup sa grosse verge dans le vagin de sa propriétaire. Immédiatement après, son sexe se mit à grossir encore, une fois bien enfoncé, le noeud se formant de façon à ce que son sexe ne puisse pas se retirer. Marie-Rose vit en rougissant l'expression si calme et posée de sa mère se transformer, elle hurlait, et la jeune femme alla embrasser sa mère. Un baiser fort maladroit, car leurs corps respectifs bougeant fortement au rythme des coups de leurs chiens, il était difficile de même seulement aligner leurs lèvres, mais elle soupiraient et gémissaient ainsi l'une contre l'autre.
Deux chiennes, elles étaient deux chiennes qui faisaient l'amour avec leurs mâles...ensemble, enfin.