Sur Terra, la magie était très puissante, ce qui, combinée à la technologie, avait permis de réaliser des miracles... Comme permettre à un humain de changer de race, au moins provisoirement. C’était ce à quoi Honoka avait eu droit, et, là, comme ça, dans son élégante tenue en latex, Honoka était la plus parfaite des nekos. Elle était aussi comblée que belle, et, magnifique, ronronnait furieusement, tout en approchant ses lèvres de la queue de sa Maîtresse, venant la prendre en bouche en miaulant. En soupirant, Mélinda écarta les jambes, et posa l’une de ses mains sur sa tête, fermant les yeux en poussant des soupirs. Elle ne lui avait pas menti, sa queue était bien tendue, trahissant son état d’excitation avancé. Comment ne pas être excitée, en même temps, face à trois beautés pareilles ? C’était la première fois qu’Honoka enfilait sa tenue de neko, et Mélinda savait déjà qu’elle reviendrait fréquemment la pénétrer avec, ou se promener. L’exhibitionnisme était un de ses fantasmes, et, ce que Mélinda adorait notamment faire, c’était se promener dans le parc, ou dans le centre-ville, avec ses soumises, en y allant tard le soir. Certes, Honoka n’était pas une chienne, et, à ce titre, n’avait pas besoin qu’on la promène, mais Mélinda pouvait faire comme si... Et puis, elle la présenterait aussi aux Karistal. C’était, non seulement une bonne excuse pour les inviter, mais il lui tardait de voir les trois filles se transformer en nekos, et ronronner et miauler contre elle. Oh oui, ce serait merveilleux !
Mais, pour l’heure, elle savourait la bouche d’Honoka. Sa jeune esclave s’entraînait aux fellations. Et le fait est qu’elle progressait très rapidement, se montrant particulièrement douée. Sa tête filait d’avant en arrière, cherchant à gober son phallus aussi loin que possible, tandis qu’Akira l’encourageait, caressant ses hanches, grattant ses côtes, remontant dessus. Elle faisait crisser le latex, et n’hésitait pas à s’appuyer sur le dos d’Honoka, de manière à pouvoir glisser ses mains sur son ventre, et presser sa généreuse poitrine. Elle ne s’occupait pas de la tête d’Honoka, car la main de sa Maîtresse s’y trouvait, appuyant sur ses cheveux, les doigts nichés dans sa masse de cheveux, entre ses oreilles, aidant ainsi, à sa manière, la fellation d’Honoka.
« Hmmmm... »
La vampire continuait à soupirer de plaisir, et à filer dans sa bouche, d’avant en arrière. De son côté, Akira, qui était restée étrangement inactive pendant plusieurs minutes, venait en réalité de récupérer un chat à neuf queues. Entre sa main gantée, elle serra la base des lanières en cuir, puis esquissa un sourire. Si Mora était une femme qui aimait les câlins, et le caractère affectueux, tendre, et mignon d’une neko, Akira, elle, adorait les fessées, le cuir, le latex, le côté plus brutal du sexe. C’était ça qu’elle aimait bien chez sa Maîtresse, ce mélange des genres. Avec elle, on pouvait goûter à toutes les facettes du sexe, et c’était bien ça qu’Akira adorait.
Elle sourit en voyant la mouille d’Honoka sur le sol, et prépara son fouet.
« Elle mouille comme une petite catin, notre neko-salope... »
Éprouvant la solidité de son arme, elle se retourna ensuite, et fit fouetter ce dernier contre les fesses d’Honoka.. Un gémissement sembla traverser le corps d’Honoka, tandis qu’elle commençait à se faire joyeusement fouetter. Mora, de son côté, finit par se redresser, libérant le dos de la jeune neko, pour lui permettre de sucer plus facilement sa Maîtresse. Pour autant, Mora ne resta pas inactive, et avança juste ses mains sous le corps d’Honoka, retournant pincer l’un de ses seins, appuyant sur le téton à travers sa combinaison, et caressa, avec son autre main, la base de son dos, grattant sa peau.
« Ooohhh... Honoka, haaaaannn... »
Mélinda gémit encore, et accéléra le rythme, multipliant les gorges profondes. Elle sentait la langue de son esclave glisser sur sa queue, lui procurant quantité de sensations exquises. La vampire poursuivait, se rapprochant de l’orgasme, et lui baisa la bouche pendant un certain temps, prenant ainsi les rênes en main. Elle filait d’avant en arrière, raclant les dents de la femme, atteignant sa gorge, où elle s’y positionnait pendant plusieurs secondes, enfonçant sa verge jusqu’à la garde, pour repartir ensuite en arrière, encore et encore...
...Jusqu’à ce que l’orgasme ne finisse par exploser. Dans un immense soupir, Mélinda alla se vider en elle, arquant son corps vers l’arrière, en balançant sa semence chaude et puissante, éclatant dans la bouche de la femme.
« Hmmmmmmmmmmmmm... !! »
Han, Dieu, que c’était bon !