Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Comment ? Tu es une fille ? [pv Jody Radwell et Jessica Skyangel]

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Hélena Skyangel

Humain(e)

En cette belle matinée à Seikusu, Héléna Skyangel arriva tranquillement au commissariat bien assise sur sa moto de sport. Elle en descendit et remit sa cape en place et enleva ses lunettes de soleil. La commissaire s'alluma une cigarette et marcha vers son bureau en réprimandant les feignants qui ne travaillent pas ou ne la saluent pas. Détestant l'impolitesse, elle sourit et aller se venger délicieusement. Une fois assise à son bureau, elle prit son arme dans son coffre-fort et le mit dans son étui. Elle ouvrit son ordinateur et écrivit un mail à sa fille :

« Bonjour ma chérie, viens cette après-midi à quatorze heures au gymnase de Seikusu. J'organise une séance de sport avec certains de la brigade et un peu de sport qui n'est pas de la baise avec Copper ne te feront pas de mal. Ceci n'est pas une option, je sais que tu n'as pas cours cette après-midi. De plus, certains hommes sont plutôt... Musclés, ils te plairont. »

Après ceci, elle envoya un message groupé aux hommes concernés leur donnant l'heure de l’entraînement. La performance des effectifs de la police doit toujours être au plus haut selon Héléna. Elle les tient d'une main de fer et espère faire pareil avec sa fille quelque peu rebelle. Cette gamine n'en fait qu'a sa tête et passe le plus clair de son temps à se faire baiser par maîtresse Copper. Non que ça ne lui déplaise, mais ce n'est pas comme ça qu'elle va réussir sa vie.

En fouillant dans ses affaires de bureau, elle trouva une vieille photo de sa famille à l’époque ou elle était encore heureuse avec son homme et ses deux bébés. La commissaire toucha le visage de son fils regrettant beaucoup de l'avoir laissé avec son père. Après toutes ses années, elle rêve encore de le rencontrer enfin. L'heure n'est pas encore arrivée sachant bien comment il aller réagir. Elle remit la photo dans son tiroir derrière plusieurs dossiers pur ne pas la revoir :

« Ce n'est pas maintenant que je vais changer le passé. J'ai d'autres choses à faire pour le moment. »

La matinée fut plutôt tranquille entre la paperasserie et les divers coups de fil avec les grandes instances de la ville. Pour une fois, toute ce passe plutôt tranquillement dans cette ville de fous. L'heure de l’entraînement arriva puis Héléna prit ses affaires de sport pour se changer là-bas.

Une fois au gymnase, elle attendit ses hommes et ils partirent tous se changer. Héléna met son short et son haut de sport pour être à l'aise. Elle prit aussi ses protections de combat pour ne pas se blesser inutilement. À coté du sien, la commissaire ne remarqua pas le nom sur le vestiaire : Jody Radwell. Elle se mit au centre du tatami et expliqua les exercices à ses hommes :

« Quand vous aurez fini les étirements habituels, on se mettra par deux et on commencera par du sol."

Héléna s’étira dans son coin pour éviter toutes blessures inutilement. Quelques minutes d’échauffement plus tard, Héléna se mit avec l'un des hommes et commença à se battre avec lui. La commissaire domina son adversaire se prenant malgré tous quelques coups bien placés. Soudainement, une voix inconnue et pleine de provocation fit arrêter l’entraînement. Une jeune fille Ganguro très belle se moqua des techniques d’Héléna et proposa de lui montrait le vrai combat elle-même :

« Sale gamine, je vais t'apprendre le combat puisque tu insiste. »

Héléna lui fit signe de venir sur le tatami et enleva ses protections. Après tout, ce n'est pas juste de la castagner ainsi.
« Modifié: vendredi 18 mars 2016, 22:43:54 par Hélena Skyangel »

Jody Radwell

Humain(e)

La réalisation d’un but se fait naturellement et nécessairement sur la durée. Un athlète qui ne s’entraine pas ne peut pas gagner une compétition. C’est exactement la même chose dans notre vie quotidienne. Aujourd'hui, je jubile. Mes objectifs tant sportifs que sociaux sont atteints, après diverses recherches aurprès d'informateurs, de policiers mais, aussi avec l'aide magique de l'Internet, j'ai retrouvé la trace de mère. Cette traînée va payer. La première pensée du matin quand les rayons du soleil chatouillent le bout de mon nez et que j'emmerge d'un sommeil plutôt léger. L'impatience me guette et me cotoie me poussant à manquer de prudence mais, je ne note pas mes fautes. Pour ce jour si spécial, je pris soin de revêtir d'un pantalon beige large, d'une chemise en jean et d'une écharpe. Pesant sur mon épaule, un sac de sport contenant ma tenue et quelques protections. Je jubile. Encore et toujours plus. Impossible de tenir en place dans les bus où je me tortille et sautille comme une gamine. Impossible de retenir ce sourire qui déforme mon visage quitte à endolorir mes joues et me donner un rictus étrange laissant paraître le dérangement mental sous jacent. Il est seulement midi quand j'arrive en ville, tout proche du gymnase. Comme à chaque évènement important, je suis bien trop en avance. D'après mes sources, leur arrivée ne serait que sur le coup des quatorze coups. Deux longues heures d'attente...

Les mains fourrées au fond des poches, je m'enfonce dans la masse épaisse et indiciplinée qu'est la clientèle d'un fast-food quelconque. Je m'atable après avoir commandé une salade et une bouteille d'eau, décidée à manger léger pour me préparer à cette après-midi. Les minutes s'égrainent lentement et je finis par gagner le gymnase avec une demie-heure d'avance, ne supportant pas d'attendre avec les yeux rivés sur le va et vient constant de la foule. Dans le vestiaire, je troque ma tenue de ville pour un short large et plutôt court puis un débardeur moulant qui épouse mes formes et mon ventre à la perfection. Je prends soin de joindre mes cheveux en un chignon relevé afin qu'il ne me gêne pas lors de mes entraînements et futur combat. Avant tout... je dois lui mettre une raclée, lui faire subir ce que j'ai subi... le viol comme les coups. Je jubile. Une fois dans le dojo, j'entame des étirements spécifiques à la boxe jusqu'à que je juge mes muscles chauds. S'en suivent quelques coups dans un sac de sable, chassé, direct, droite, uppercut, je m'exerce sans pour autant me vider de toutes mes forces.

Et là, on m'interrompt. N'importe quoi aurait pu m'interrompre tant je suis en alerte, attentive au moindre bruit qui m'entoure. Ils arrivent : une dizaine d'hommes tous musclés aux corps d'athlètes et cette femme. De ma taille, une chevelure à la teinte rosée et une poitrine opulente. Dans un coin d'ombre, je les observe et juge leur capacité. Notamment les siennes, elle sait se débrouiller mais, commet des fautes qu'il m'est facile de déceler. Finalement, je fais quelques pas vers eux, les bras croisés sur la poitrine et les muscles saillants. « Ha ha, c'est les forces de l'ordre qui s'entraîne ? Vous faites vraiment mauviettes. Surtout toi. Héléna Skyangel. On voit ton nom dans les journaux parfois mais, franchement, tu te bats comme une tapette dis-je avec un sourire amusé aux lèvres. Viens donc te battre, vraiment, avec un adversaire à ta taille.  »

Mon coeur bat à la chamade. Je ne crains pas ses coups, je crains sa réaction. Sale gamine ? Traînée va... Des poignards qui me criblent le coeur. Une métaphore que je comprends à cette instant. Elle ne me reconnaît et même si cela paraît logique, c'est douloureux. Je serre les poings, j'ai la hargne, la colère qui m'anime et l'envie de l'étriper. Malgré tout, je suis fair-play et j'attends qu'elle se positionne et qu'elle enlève ses protections. Mon souffle s'accélère, un poing en avant, l'autre en retrait, le pouce à l'intérieur de la main, une jambe en avant, une jambe en retrait. Les règles de la boxe se répète dans ma tête comme un mantra. Je ne peux pas plus me retenir et je lance les hostilités. Un premier coup qui vise directement sa mâchoire pendant que je garde un poing en retrait visant à me protéger en cas de riposte. Campée sur mes jambes, elles sont tendues, prête à esquisser le moindre mouvement pour esquiver. J'enchaîne de suite avec un uppercut visant son estomac.

Jessica Skyangel

Humain(e)

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  • Fiche

    Description
    Habituellement vêtue d'un tee-shirt à manche longue moulant, et une mini-jupe en jean. Des sous-vêtements fins (quand il y en a) en borderie de luxe. Des talons en cuir noirs.
« Nan mais t’es sérieux mec ? T’as cru quoi oh ? Que j’étais ta chienne peut-être ? » Un coup de pied dans le ventre ponctua les mots. « Apprend ça et reste à ta place, je suce qui je veux, où je veux et quand je veux ! Rien à foutre que tu ne sois pas satisfait ! » Un autre shoot suivit. « Maintenant ferme ta gueule et estimes-toi heureux que je ne t’arrache pas les couilles ! Elles ont plus de valeur que toi ! Pauvre merde !

- Heu … Jessica …

- QUOI ?!

- Je, je crois qu’il a compris, si tu continue faudra l’emmener à l’hôpital. »

Bonjour à tous, je m’appelle Jessica Skyangel et je suis officiellement la grande patronne du lycée Kohaï. La big boss, celle qui donne les ordres, celle qui fait l’objet de tous les fantasmes, celle qui a dépuceler tous les garçons de cet établissement, sans exception. Une pute ? Non non, la dernière personne a m’avoir traité ainsi vous le savez, elle a encore son affiche parmi les gens disparus, au bureau de ma mère. Et ça va faire plus de cinq ans que personne n’à retrouver sa trace, héhé. Mais bref, tout ça je vous l’ai déjà raconté. Le garçon par terre qui pleurniche en se tenant le ventre, c’est Tosuko, un nouveau de première année qui n’a pas encore tout à fait intégrer le fait que ce n’est pas parce que je lui ai tailler une pipe dans le vestiaire, qu’il a le droit d’en réclamer plus. Et la chieuse à côté, qui demandait à ce que j’arrête, c’est ma rouquine favorite. Elle a de ces seins ! Mon fan-club n’a de cesse de grossir au fil des semaines, des années et tous propagent les mêmes règles. Ne jamais m’insulter en-dehors des séances de baise. Jamais.

« Bien, j’espère pour toi que tu auras retenu la leçon. Ciao merdeux. »

Héhé, j’adore me la jouer tyrannique. Ça en rajoute à mon charme, vous ne trouvez pas ? Le genre bad-girl, caïd des lieux. Je suis en terrain conquis ici, même les profs ne disent plus rien. Et le proviseur, c’est limite s’il ne rêve pas que je le bâillonne et que je l’attache au portail de l’école pour le fouetter devant tout le monde … Ouais ça atteins des sommets dans la débilité ici.
Mais bon, c’est ainsi. Oh ? Maman qui m’envoie un mail ? Rare ça, qu’est-ce qu’elle me veut encore celle-là ? Tellement envahissante et irrespectueuse de ma vie privée !
J’ouvris mon téléphone et lu les quelques lignes avant de le refermer et de soupirer, avachie sur ma table. Je suis déjà bien assez sportive comme ça, justement Copperhead pourrait ne pas aimer si je me mets à prendre du muscle alors franchement, flemme … « Ce n’est pas une option » nya nya, j’avais peut-être quelque chose de prévu cet aprèm hein ! Punaise, bon ils ont intérêt à me plaire les mecs qu’elle ramène, sinon je me barre direct. Un coup d’œil à l’horloge, il me restait un peu de temps. Un passage à la cantine, un crochet dans le vestiaire des garçons et ce sera bon.

Hop, plus que vingt minutes. Je montai dans le bus tout en terminant de remettre mes vêtements. Le chauffeur me regarda d’ailleurs avec étonnement mais c’était le cadet de mes soucis. Un coup de peigne dans les cheveux une fois installée au fond du véhicule, et ce sera suffisant. Ça va hein, ce n’est pas la reine d’Angleterre non plus. C’est juste une vieille peau qui ne peut pas s’empêcher de me mettre des bâtons dans les roues quand j’essaye de faire ce qui me plait.
Embouteillages et feux rouges interminables, j’arrivai à destination avec plusieurs minutes de retard. Et qu’est-ce que je m’en cogne ! Poussant avec nonchalance la porte du gymnase, je repérai rapidement le groupe et m’y approcha. Maman était sur le ring, dans sa tenue traditionnelle de boxe, et elle faisait face à une femme qui devait quasiment avoir le même âge que moi. Tous les hommes observaient à l’extérieur des cordes, mais bon ça on s’en fiche un peu. Non j’observai l’inconnue qui commençait à échanger des coups avec son adversaire. Elle me ressemblait beaucoup. Même style de bronzage, même forme de visage, même hanches, même poitrine opulente qui mmmmh se balance bien à chaque mouvement vif.

« Yo m’man. Dit donc c’est qui celle-là ? Elle fait partit de ta brigade aussi ? » Un des flics me chuchota que non. « En tout cas elle te domine, ahah ! Ça craint un peu ! Et dit donc, t’as ramené des changes pour moi ? Si tu veux que je fasse du sport … sinon je reste assise là hein, ça me va très bien aussi. »
Spoiler: "Tenue la plus courante" (cliquer pour montrer/cacher)

Hélena Skyangel

Humain(e)

Cette étrange jeune fille provocante a piqué l’orgueil de la commissaire. Non seulement, elle ose se moquer des forces de l'ordre de Seikusu mais elle ose la tutoyer. Elle répliqua en la traitant de gamine et de traînée. Si toutes les Ganguro sont comme sa fille, ça promet. Malgré que son visage lui soit étrangement familier, elle n’hésite pas une seconde à relever son défi de combat. Héléna se fait craquer ses doigts et fit u signe a l'un de ses hommes qui se plaqua contre elle et lui enleva sa longue cape de police et la plia pour la ranger plus loin. Elle rougit un peu lorsqu'il en profita pour lui mettre la main aux fesses :

« Hum, alors, allons-y. »

La commissaire l'observa se mettre en position cherchant où elle aurait pu voir ce visage si étrangement familier. Ainsi, elle est une adepte de la boxe thaïlandaise. Un art martial noble plutôt percutant. Le combat va être difficile. Héléna se mit sur ses jambes en position de combat et garda ses mains dans ses poches sûre d'elle. Après tout, que risque telle contre une gamine. Elle sourit puis leva son pied arrêtant le coup en direction de sa bouche. S'il y a bien un endroit que personne ne doit toucher, c'est bien sa bouche. Enfin, personne... Juste Copper évidemment :

« Humpf ouah, quelle force. Mais qui est-elle cette fille ? » (dans ses pensées.)

Elle recula de quelques mètres sous la puissance du choc. Surprise, elle retira ses mains de ses poches mais trop tard. Elle se prit un sacré coup de pied dans l'estomac qui la propulsa un peu plus loin complètement recroquevillée. Un silence de mort se fit attendre jusqu’à de longs et puissants sifflements à l'arrivée de Jessica Skyangel. Visiblement, elle fait l’unanimité auprès des hommes. Elle se releva et se remet à combattre son adversaire. Jessica ajouta une couche à la souffrance et l'humiliation de sa mère :

« Qui est-ce ? Je ne sais pas du tout. Elle ne s'est pas présentée. Et non, elle ne me domine pas du tout. Il y a des habits pour toi dans mon vestiaire. »

Héléna bloqua un coup-de-poing de Jody et le lui serra plutôt fortement. Elle lui fit une clef de bras et posa l'une de ses genoux sur ses fesses pour la pousser plus loin. Un sentiment vraiment étrange la parcourut lorsqu'elle vit une forme plus que familière dans le bas du dos de Jody. Une petite marque bien caractéristique qui ne signifie qu'une seule chose : son adversaire est un membre de sa famille. Il n'y a que trois personnes qui peuvent l'avoir : Héléna elle-même, Jessica et Jody, son fils :

« Est-ce possible ? Non, ce n'est pas une fille que j'ai eue avec Jessica. »

Un peu déconcentrer, elle voulut en être sure et pour cela, elle doit calmer son adversaire. Vu l’état d’énervement de Jody, ce n'est pas la tache la plus simple en ce moment. Une idée lui vint et elle plaqua Jody au sol lui bloquant difficilement les poings avec l'une de ses mains. Elle la regarda et lui passa sa main libre dans les cheveux la regardant et lâcha une larme sur le visage de Jody :

« Alors, tu es une fille finalement. Une futanari pour être exacte. Tu es magnifique... Ma fille. Tu as du tellement souffrir. »

Héléna lâcha Jody et se releva reculant de quelques pas. Elle regarda finalement Jessica en se frottant les yeux :

« Mon ange, je te presente ta sœur jumelle Jody. Je ne t'en ai jamais parlé, car je pensais que c’était un garçon. »

La commissaire regarda de nouveaux Jody et croisa ses bras. Elle se tint droite comme un I sachant bien que sa fille va se déchaîner contre elle. Elle n'opposera aucune résistance reconnaissant qu'elle a beaucoup souffert vu son état de colère.


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