Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'horreur rampante [PV Succubus]

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Roger

Créature

L'horreur rampante [PV Succubus]

vendredi 19 juin 2009, 23:08:53

Le parc de Seikusu. Un superbe couché de soleil. Des arbres qui se balancent tendrement au gré du vent. Des fleurs qui embaument, une dernière fois, l'air de l'espace vert avant de s'endormir, le temps d'une nuit. Les derniers couples de la journée qui se susurrent des mots doux avant de disparaître par le portail, des idées coquines dans les yeux. Quelques poissons, aux écailles rouges et dorées, qui sautent hors d'un petit ruisseau pour dire au revoir à l'astre du jour, et pour profiter une dernière fois de sa lueur et de ses rayons avant le lendemain. Quelques mammifères, des écureuils et autre rongeurs, qui remontent vers leurs trou, pour se reposer d'une longue journée à amasser de quoi manger en prévision de l'hiver.

Un cadre des plus romantiques. Des plus beaux. Mais comme une peinture qu'on aurait baclée, un point noir restait sur le tableau. Contrairement aux apparences, bien trop empreintes d'eau de rose, voici la raison de ces départs.

Des rongeurs qui, sentant un danger imminent, fuient vers leur abri. Des poissons, qui prient l'astre du jour de rester là, de les illuminer pour les rassurer. Des couples qui, un frisson glacé leur traversant la nuque, décident de rentrer se calfeutrer dans leurs couvertures, et se rassuraient dès le portail franchi. Des fleurs qui se ferment, formant un bouclier vain envers un danger qu'elles pressentent. Des arbres qui tremblent de peur à l'idée de la créature cachée parmi eux. Et enfin, même le soleil qui fuit devant cette chose innommable.

La nature envoi des signes qui font fuir ceux qui y sont réceptifs. Pour les autres... Et bien pour les autres, ceux que la curiosité attise, il y a un bruissement... Un son, de nature inconnue, de provenance incertaine, qui, comme une sonnerie de téléphone un lendemain de cuite, vous interloque, premièrement, de par sa nature inconnue. Qui vous agace, deuxièmement, car vous ne savez pas ce que c'est. ... Qui, troisièmement, et c'est là que la comparaison s'arrête, pour reprendre dans les grands clichés de films d'horreur, vient de tous les côtés. Vous étonne puis vous effraie, tour à tour nourrissant le feu de votre curiosité, et les flammes de votre angoisse.
Plus ça va, plus le son se distingue. C'est le son de quelque chose qui se déplace. Plutôt de pleins de choses, en fait. ça se précise encore... Une sorte de corps qui glisse, entre les feuilles, entre les branches... Mais qu'est-ce donc? Qu'est-ce donc que cette chose qui prend un malin plaisir à cacher sa nature tout en montrant sa présence?

Mais peut être avez vous remarquer, à l'instant, que des lianes semblent avoir poussé sur les branches et les troncs... Que des sortes de gros tuyaux d'arrosages pendent au sol, ici, en pleine forêt... Qu'au plus vous tournez la tête pour les voir tous, au plus vous en dénombrez...
Et c'est là que la vérité frappe, comme un coup de tonnerre:

Vous êtes prise au piège.

Kiniro

Humain(e)

Re : L'horreur rampante [PV Succubus]

Réponse 1 vendredi 19 juin 2009, 23:40:31

J'en avais vraiment marre de ces journée lassantes. J'avais prévenue Saïka que je dormirai chez quelqu'un, en fait c'était un gros mensonge, mais je ne culpabilisais pas. Je voulais chasser, j'avais aperçu un terranide et entreprit de le suivre. Il me sema devant le parc et j'eus comme un vertige.

Déjà au portail je pouvais entendre un silence, un silence pensant à vrais dire. Il y avais quelque chose qui avait squatter un de mes lieux de chasse. Il n'y avais que une seule solution, chasser moi même l'intrus. J'avais planquée mes ailes dans mon dos et je portais une robe écarlate, avec une ouverture dans mon dos, pour sortir mes ailes sans abimer mes fringues. Je passa le portique, le vent frappait mon visage, au  moins si il se fiais à l'odeur c'était foutu pour lui. Je prit le chemin de gravier, je fit un tour au pas de course. Rien, pourtant ma nuque frissonnait comme-ci l'on m'observais. Je sursauta quand un rongeur passa devant moi apparemment effrayé. Nul doute maintenant, j'étais pistée.

Il ne restait plus que deux choix, soit fuir, mais je n'étais pas sur de réussir, soit attendre qu'il m'attaque, là je saurais quand il arrive. Je m'assit près du lac les genoux repliée sur ma poitrine à regarder l'eau.

En vérité j'écoutais le moindre bruissement du vent dans les arbres, l'herbe se coucher par l'intrus, je ne paniqua pas et tenta de l'identifier par le bruit de son déplacement des battement de son cœur. Mais je ne le reconnu pas. Je voulut me lever et c'est à ce moment que j'eus ma première surprise de la soirée.

Roger

Créature

Re : L'horreur rampante [PV Succubus]

Réponse 2 samedi 20 juin 2009, 00:23:12

Voilà donc ce qui hantait les lieux ce soir. C'était vert. C'était long. Et ça arrivait de tous les côtés. Des tentacules. Partout, un nombre incalculable de tentacules verts et visqueux, agités comme des lombrics qu'on aurait sorti de terre. Mais ce qui était peut être le moins rassurant, c'est que tous ces tentacules ne ressemblaient pas à des tentacules de pieuvres... Mais plutôt à des sexes!

Point de ventouse. Point de signes permettant de distinguer le haut du bas. Mais, pourtant, narquois, et laissant présager la suite des évènements, au bout de chaque membre vert, un gland. Des dizaines et des dizaines de glands. Mais tous ces tentacules, malgré cette apparente uniformité que laisse apparaître cette courte mais pourtant exhaustive description, étaient différents les uns les autres. Pas un n'était de la même longueur que ses voisins, bien que difficile à voir de cette position encerclée qu'était celle de Succubus. Tous étaient de largeur différente. Il y avait là des "bras" de trois, cinq, sept centimètres, les plus épais montant jusqu'à une dizaine de centimètres. A l'inverse, il y a en avait des minuscules, presque invisibles au milieu de la verdure, dont la taille dépassait à peine trois millimètres. Mais malgré cela, aux yeux de ce qui allait probablement être une future victime, ces détails passaient inaperçus, devancés par la crainte et l'angoisse.

Cependant, un détail ne pouvait échapper, même à la plus effrayée des proies. L'un des tentacules était bien différent de tous les autres. Non seulement d'une teinte plus foncée, il avait aussi un détail qui était on ne peut plus notable: un visage. Un visage pourvu de deux grands yeux brillants, et d'une bouche en W qui tremblait doucement. Pour peu, on l'aurait trouvé mignon... En omettant les innombrables tentacules, prêts à fondre sur la demoiselle avec un seul but: la violer. Le tentacule doté d'un visage s'avança près de la créature, l'observa, frôla son corps, et enfin, la renifla. De ses naseaux invisibles à l'œil nu s'échappa une expiration sonore, puis il recula, et effectuant ce qui sembla être une révérence, se présenta à la demoiselle:


" Mademoiselle, bonsoir. Je vous prie d'agréer l'expression de mes sentiments distingués, alors que je m'en vais de ce pas vous violer, de toutes les façons qui me passent par l'esprit et me donnent envie. Mais, quelle impolitesse, avant toute chose, je me présente, Roger, tentacule violeur de son état. Agrouuuuuuuuuuuuuu! "

Kiniro

Humain(e)

Re : L'horreur rampante [PV Succubus]

Réponse 3 samedi 20 juin 2009, 00:44:17

Je me retrouva nez à ne avec mon intrus, un violeur qu'il disait, cela me fit sourire. Je poussa un soupir et cette bestiole, ainsi que les plus grosses tentacules furent prisent au piège par mes lianes. Je me leva et le toisa de mon regard méprisant.

- Et moi c'est Succubus, fille de succube,  maîtresse officieuse des Enfers et celui qui va te dire de déguerpir de mon terrain de chasse. Si tu voulais ce terrain je te l'aurais loué sans problème. Tu n'es pas futé apparemment, une astuce pour tes prochaines proies, planque toi dans l'eau ,c'est l'endroit le plus adapté pour prendre quelqu'un par surprise et le violer dans ton cas.

 Je ne remarqua pas l'avancée discrète des petites tentacules. Je m'approcha de la bestiole et l'observa sous toute ces coutures, ce fut une erreur, car les tentacules invisible commençaient à monter sur ma robe sans que je le sache. Je me mit à dix millimètres de la tête de Roger et lui dit avec un visage plein de malice.

- Et tu compte faire quoi maintenant, monsieur-le-violeur-empêtré-dans-mes-lianes ?

Roger

Créature

Re : L'horreur rampante [PV Succubus]

Réponse 4 samedi 20 juin 2009, 10:52:42

Roger eut un blocage. C'était bien la première fois qu'une de ses proies se défendait de la sorte. Pendant une seconde et des poussières, ses yeux écarquillés renvoyaient à son cerveau l'image de la situation. Mais reprenant bien vite contenance, il sourit à la demoiselle -si on peut parler de sourire vu la bouche qu'il a- et commenta la situation uniquement par ceci:

" Intéressant, intéressant, mais si votre esprit était plus aiguisé que cela, demoiselle, la question que vous vous poseriez ne serait pas "Qu'allez vous faire monsieur le violeur", mais plutôt "Est-ce que j'ai assez de lianes pour coincer tous ces tentacules?", ne croyez vous pas? "

Sitôt sa phrase terminé, d'autre tentacules jaillirent du sol, tournoyant tel une tribu indienne autour d'une diligence, et formaient un véritable mur sur un périmètre de quelques mètres autour de la succube.
Mais, point intéressant, la jeune femme n'avait immobilisé que les gros tentacules. Les petits, eux, invisibles et furtifs dans l'herbe et les feuillage, étaient encore frais et dispos pour passer à l'attaque.
Profitant de l'effet de surprise, et de la stupeur que le mur de tentacules avait probablement déclenché chez la demoiselle, Roger lança à l'attaque tous les tentacules cachés, qui s'enroulèrent, rapidement, autour des chevilles de celle-ci... Puis des jambes... Puis des cuisses... En synchronisation, d'autres tentacules étaient littéralement "tombés" du feuillage des arbres, s'enroulant tel des serpents autour de ses poignets, et remontaient les bras jusqu'au niveau des épaules.

Alors, narquois, Roger se dégagea aussi facilement des lianes qui entouraient son tentacule principale que s'il avait été enduit de vaseline... Être un être visqueux et mou avait ses avantages...
La fille maintenant à sa merci, il s'approcha de nouveau. Il souriait. Et malgré la situation, son expression était ô combien mignonne. Dégageant par la même les gros tentacules, il en profita pour remplacer les petits tentacules, trop peu résistants, par des plus gros, dont la largeur équivalait à celle d'un bras humain. Tous les autres, exceptés ceux formant le mur, s'approchèrent du même coup. Certains virent en renfort de ceux qui bloquaient les membres de la jeune femme, d'autre s'enroulèrent autour de son cou, d'autre encore de son ventre, et certains, bien plus impatients, s'affairaient déjà à lui arracher ses vêtements.
Il y avait en tout un peu moins d'une dizaine de tentacules sur elle. On commençait petit. Fallait pas l'abimer dès le début. Un des leurs, solitaire, ne s'attacha pas tout de suite à la demoiselle, mais vint plutôt frotter son extrémité contre la joue de celle-ci, alors que son propriétaire lança, visiblement sûr de lui:


" Bien, pouvons nous commencer? "

Kiniro

Humain(e)

Re : L'horreur rampante [PV Succubus]

Réponse 5 samedi 20 juin 2009, 14:25:14

Il avait de la répartie, ce qui me fit un peu rire, mais pas longtemps, car d'autre tentacules vinrent à la rescousse, limitant mon champs de vision à quelque mètre, pas plus. Je fus surpris, certes, mais je me préparais déjà à une attaque venant de derrière ce mur, la deuxième surprise arriva, mais d'en bas et d'en haut.

Je me retrouvais dans la même position que mes proies quand je voulais m'amuser, mais cela ne me faisait pas rire loin de là. J'essaiya de me débattre comme une folle, sans réfléchir. Je vit ce monstre, je ne trouvais pas de qualificatif plus doux, se défaire facilement de mon étreinte de liane. Il y eut des permutation de tentacules renforçant cette étreinte peu agréable. Les plus grosse me faisais un peu mal tellement ils voulaient être sur de ne pas me lâcher. Certaine tentacules commençèrent à me dépouiller de mes affaires.

A ce moment, mon regard fut effrayant, mais dévoilais aussi de la  frayeur. J'utilisa une grand partie de mon énergie à les empêcher de prendre mes boucles d'oreilles. Finalement je fut nue comme un vers, mais les tentacules me laissèrent mes boucles tranquile, c'est à ce moment que Roger dit implicitement que "la partie commence". Ce fut aussi à ce moment qu'un flash important traversa mon esprit.

Ma mère m'entrainais à utiliser mes lianes et m'avais totalement envahis de ronce. Je ne pouvais rien faire à par pleurer. J'étais épuisée et mes lianes n'étaient pas assez forte pour riposter contre ceux de mère. Elle s'approcha doucement et me souffla.

- Quand tu ne  peus pas utiliser mère nature, tu dois utiliser les sorts de succube ou les sort de magie.

- Mais je n'en connais pas.

- Je vais t'en dire quelques une et leurs effets …

Je me réveilla de se rêve et entre prit la récitation d'un de ces sorts, si il marchais il verrais le poids de ces tentacule multiplié par cent, assez pour me permettre de m'échapper de cette étreinte, mais les petites pourraient toujours attaquer, même si elle seraient moins rapide. j'ouvrit la bouche et commença l'incantation

- Resperlinder, Mortalis semperta, irisus fenrerlys ...

Roger

Créature

Re : L'horreur rampante [PV Succubus]

Réponse 6 lundi 22 juin 2009, 21:58:36

Une magicienne? Sur ce monde? Voilà qui était singulier pour Roger, lui qui croyait être l'unique créature extra-humaine sur cette planète. Et il se serait sûrement penché bien plus sur la question si il n'avait pas été pressé par le fait que si la donzelle réussissait à finir l'incantation, il aurait sûrement des difficultés. Et voilà qui serait ennuyeux.
Repoussant donc à contre-cœur sa curiosité, il entreprit de faire taire la demoiselle, par la manière aussi explicite que violente de lui enfoncer, d'un coup sec -et donc relativement douloureux- un tentacule dans la bouche. Le dit tentacule, qui plus est, était loin d'être l'un des plus petits. Une largeur d'environ huit centimètres.

Mais maintenant, penchons nous un instant sur le point de vue de cet être qu'est le tentacule. Que peut-il bien ressentir, que peut-il bien faire, lorsqu'il est enfoncé ainsi à l'intérieur d'un corps étranger, le plus souvent féminin?
Et bien tout d'abord, un tentacule est aveugle, n'a pas de nez, ni d'oreilles, et, étant dépourvu de bouche, doit se reposer sur cet unique sens qu'est celui du toucher. Mais, n'ayant que celui-ci, cela va s'en dire qu'un tentacule est nettement plus sensible à ce qu'il touche que la majorité des êtres humains, et de très loin.
C'est donc conscient de ce fait que nous allons nous plonger dans les actions de ce tentacule pionnier, premier de toute une colonie à arpenter les intérieurs de cette nouvelle femelle -à priori- humaine. Tout d'abord, il analyse les premières impressions. C'est doux. C'est chaud. Très chaud même. Un peu plus de 37 °C. Ce sont les premières impressions. Suite à quoi, heureux de ce milieu, notre petit tentacule solitaire commence à se frotter, à entamer une rotation sur lui même, dans un sens, puis dans l'autre, se vautrant dans cette cavité tel un cochon dans une flaque de boue.
Puis, nouvelle constatation. C'est humide. Et, à l'arrière, il y a comme des choses pointues qui semblent vouloir appuyer sur son corps mou. Alors, par réflexe, le tentacule avance, lentement, mais perceptiblement, vers le fond. Par réflexe, car même s'il ignore encore être dans une bouche, ce petit tentacule en a déjà arpenté un nombre étonnant. Cette action de se placer au fond de la bouche, à la limite de la gorge, n'est donc pas étonnant, puisque cette position empêche la cavité buccale de se refermer.
Ce faisant, le tentacule frottait sur une autre partie de la bouche de Succubus. Un membre légèrement râpeux, mais plus doux que le reste, et parfaitement adapté pour se montrer "diligent" avec lui. Ce membre, il le connaissait parfaitement, pour adorer son contact plus que de raison. La langue.
Heureux, heureux qu'était ce tentacule, si bien qu'il commença à faire ce dont il avait l'habitude pour se sentir encore mieux. Il commença, d'abord lentement, à se frotter, faire de longs aller-retours à l'intérieur de cet endroit qu'il aimait tant.

De l'extérieur, tout ceci se traduisait uniquement par le mouvement du tentacule, d'avant en arrière, jusqu'au fond de la bouche de Succubus. Mieux valait pour elle qu'elle sache bien respirer par le nez.
Ce premier désagrément écarté, Roger s'empressa de monologuer sur le sujet d'une telle présence, ici, à Seikusu. Alors que le tentacule joyeux continuait joyeusement ses va-et-vient à l'intérieur de la jeune femme, le tentacule principal élaborait des théories, imaginait des possibilités, et le tout avec un grand sérieux, mais trop de dissipation pour être compréhensible, le mélange du japonais et de la langue des tentacules étant trop inéligible pour être écrit, et le tout sous l'attention suppliante et impatiente de tous les autres tentacules, légèrement jaloux de leur confrère déjà au travail. Ce n'est qu'au bout d'une petite dizaine de minute de discours que Roger s'aperçut enfin avoir laissé sa troupe en plan, alors que le premier attaquant était toujours en train d'user la bouche de la demoiselle.
Entre temps, il avait eu le temps d'accélérer. Énormément. Il était maintenant lancé à pleine vitesse, incapable de s'arrêter, et ce fut presque au moment où Roger se désintéressa de ses hypothèses qu'eut lieu la première éjaculation, à l'intérieur de la bouche de Succubus, qui se transformait, au sens propre -quoi que... Sale plutôt- du terme, en jacuzzi pour spermatozoïdes. Il n'y était pas allé de main morte le petit, le liquide blanc et chaud dégoulinant dans un long filet de la bouche de la créature, parfois surplombé de bulles, et le tout transmettant à tous les autres tentacules un appétit sexuel, attisant le leur déjà bien entamé. Mais Succubus ne devait pas être en reste de son côté. Dix minutes à sucer un membre, même tentaculaire, de ce calibre là, plus une éjaculation intérieure, la donzelle devait commencer à être chatouillée par ses hormones, et pas qu'un peu, à moins que la sensation de viol n'ait entamé le blocage complet de toute sensation de plaisir.

Roger rougissait. Il rougissait, non pas de honte, mais parce que ce premier apéritif était en train, peu à peu, de débrider ses quelques faux semblant de civilité, pour laisser place à la bête sexuelle qu'il était, avide de jeunes corps à souiller. Relevant la tête, les prunelles brûlant d'un feu puissant, il annonça:


" Et voilà, je parle, je parle, et la fête commence sans tout le monde... Messieurs! Gaaaaaarde à vous! "

Aussitôt, tous s'alignèrent, bien droits, en bons petits soldats, parés à conquérir le territoire ennemi à l'ordre de leur chef.


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