Coucher avec un tel homme, voilà là tout ce que Poison Ivy souhaitait. Massif, musclé, énergique, il était un amant terrible, qui la défonçait par l’arrière, tenant ses hanches. Ivy, jambes écartées, se félicitait de cette sensation, de ce moment. Le Noxien, à n’en pas douter, était un homme magnifique, et, avec sa force surnaturelle, sentir l’homme la pénétrer était un plaisir rare, aussi violent qu’intense. Fermant les yeux, Ivy soupirait longuement. La prise en levrette se poursuivait joyeusement, encore et encore, et le corps d’Ivy se cramponnait davantage contre le fauteuil, cette dernière bandant ses muscles en sentant les élancements fougueux de Losgar dans son dos.
« Haaaa… Haaaa… !! »
Ivy avait toujours aimé le sexe brutal, et c’était aussi pour ça qu’elle utilisait ses plantes sur des hommes. L’idée n’était pas que d’en faire des êtres surpuissants, mais aussi des amants d’exception, musclés, bien bâtis, et endurants. Losgar remplissait toutes ses qualités, et Pamela pouvait sentir sa grosse queue se perdre en elle, écartant ses parois, continuant à remuer dans son corps, ne la négligeant pas. Intensif, le Noxien se montrait passionné, fort, terriblement viril. Pamela continuait à gémir, et même à hurler, mouillant abondamment le long du sexe impérial de l’homme, cette queue royale et massive.
Ce corps charpenté continuait à la butiner, à explorer son corps, comme un homme se devait de le faire. Il la faisait vivre, il la faisait vibrer, et Pamela ne pouvait qu’adorer ça. Tout en se faisant prendre, elle admirait également Monica, qui gémissait aussi, prise par ses tentacules. Pour Spectrum, c’était véritablement une première, et elle ressentait un attrait inexplicable dans le fait d’être ainsi prise, de sentir son corps se tortiller dans tous les sens, remuer d’avant en arrière, ses membres immobilisés par les épais tentacules, qui serraient parfois tellement forts qu’ils l’en étouffaient.
« Hmmmm… !! »
Ne pouvant rien faire d’autre que gémir et soupirer, Monica se tortillait dans les tentacules, remuant d’avant en arrière, sentant avec délectation le tentacule s’enfouir en elle, remonter en arrière, puis repartir en avant. Elle gémissait, couinait, soupirait, hurlait presque, tout en sentant un orgasme la traverser, nourrissant les tentacules, et nourrissant aussi Ivy, qui était une marionnettiste particulièrement comblée. Oui, oui, se faire prendre par Losgar, c’était incroyable.
La scène fut aussi fantastique que brève à ses yeux, car elle sentit, au bout d’un temps long, mais qui, pourtant, fut bien trop court pour elle, l’homme se vider. Le corps de Losgar se concentra, dans cette situation que Pamela connaissait très bien, et elle poussa un long soupir de joie en sentant le sperme du Noxien remplir son ventre, fusant dans son corps, la remplissant bien comme il fallait.
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa… !! »
Ivy ferma les yeux, en jouissant également, et se relâcha ensuite, dans un long soupir. Elle se retourna alors, et sourit devant Losgar, dont le corps, en sueur, trahissait de l’activité physique qu’il avait dû soutenir. Ils s’embrassèrent ensuite, Pamela n’hésitant pas à fourrer sa langue dans sa bouche, une main se crispant sur sa nuque, l’autre se posant sur son torse, en soupirant encore, frémissant de nouveau au contact des puissants bras de l’homme sur son corps. Le baiser se termina ensuite, et Losgar la complimenta, une lueur amusée venant, en retour, éclairer les yeux de Pamela.
Ses mains palpèrent ainsi le torse de l’homme, tandis que Monica gisait au sol, se redressant lentement, les tentacules s’étant retirés.
« Tu es un formidable amant, Losgar…
- Ça… Je ne peux que… Que confirmer…
- J’ai passé une formidable soirée en votre compagnie, mes chéris. »
Tout en se décollant un peu de l’homme, Pamela tendit sa main pour caresser la joue de Monica, la faisant doucement rougir.
« Si jamais vous refaites une soirée de ce genre… N’hésitez pas à m’inviter de nouveau. »
Elle regarda à nouveau Losgar, glissant sa main sur son torse, le griffant très légèrement :
« Même si nous pouvons volontiers nous revoir avant, mon beau… »