Leur Reine offrait un merveilleux cadeau à ses concubines, si tôt alors que cela fessait que seulement quelque heures, sans doutes, qu'elles étaient officiellement ses concubines. Prise en sandwich par Ania et Rinko, qui se défoulaient sur elle, comme elle leur avait demander, mettant toute leur force et leur ardeur. Ania claquait par moment ses fesses et Rinko, à défaut de pouvoir embrasser sa Reine, lécher son coup, ses oreilles et ses mains s'amusant avec ses tétons. Si bon de ne pas être limité à servir que de sac à foutre, bien que cela leur plaisaient énormément, l'idée de pouvoir jouer les dominantes et d'avoir le privilège de pouvoir enfanter d'autre congénère, étaient d'une jouissance exquise. Claquement de bassin, souffle dur et rapide, gémissement et crie de plaisir, épopées des concubines de la Reine des Lames, odes de leur plaisir et de leur pulsions.
Mais la plus prolifique en gémissement et en crie de plaisir, était Ilinia. Elle recevait sa toute première fellation, avec sur son tout nouveau membre, fessant face à de toute nouvelle sensation, tenant mal en place, tremblante et parcourue de spams, ses mains crispaient dans la coiffure de sa Reine, qui lui pomper généreusement sa virilité, généreuse dans ses coups de langues et ses mouvements de têtes, dévoilant à Ilinia un tout nouveau monde de plaisir et de fantasme.
-Aaah... mmmh... par...pardon ma Reine... mais...AAAAH... je.... Bégaya Ilinia.
D'un ample mouvements du bassin, forçant un peu sur la tête de sa maîtresse, elle enfonça entièrement sa verge dans la bouche de sa Reine, glissant dans sa gorge, la déformant. Elle expira brusquement et respira par à coup, fortement et puissamment. Une gorge profonde, voilà donc les sensations que ressentait sa Reine ! C'était si bon, si exquis, si jouissif. Devant cette brusque arriver de sensations, et d'entre les bruits de succion de sa Reine, Ilinia jouit ainsi, directement dans la gorge de sa Reine, par à coup, donnant parfois un coup de bassin. Elle se retira un peu, sa verge perdant de sa viqueur, avant qu'elle ne ressente une figure au niveau de son mollet et que rapidement, sa verge se regonfle, reprenant sa dureté et sa stature, au plaisir de Ilinia, qui entraîner par cette vague, bougeant d'avant en arrière son bassin, baissant la gueule de sa Reine, le plaisir fort et intense, oubliant sa place, voulant qu'une chose : se faire plaisir.
Ilinia perdait de sa timidité de vierge et de pucelle pour sa première fois, agissant comme une perverse habituer à baiser maintenant, rattrapant ses camarades, mais pas aussi vorace et intense que ses amies. Elle avait encore de la route à faire pour être à leur niveau. Comblant leur Reine, autant de leur trique, de leur coups, que de plaisir, le trio de concubines fessait trembler son corps sous ses assauts, sans relâche. Ania, tellement plonger dans son office, ne stoppa même pas quand elle jouit, continua à être aussi bourrine et sauvage, une petite piqûre pour empêcher que sa vigueur ne pointe le sol. Rinko, pour sa part, quand elle vint à jouir, elle se contentât de petit coups à chaque gicler, gémissant puissamment, et la piqûre à sa cuisse, se mélangeant au plaisir. Mais elle stoppa, une idée traversa son esprit, esquissant un sourire malsain, venant même à émettre un petit rire vicieux, prêt de l'oreille de sa Reine.
Alors qu'elle enlaçait sa Reine, pelotant aussi ses fesses, elle fit signe à Ania, qui captiver par les fesses de sa Reine, ne put l'ignorer. Elle jeta un regard à Rinko, baissant ainsi la puissance de ses coups. Rinko, fit un rond avec sa main, puis fit entré et sortir son index de l'autre main. Signe très compréhensif, surtout quand elle désigna ensuite les fesses de la Reine, car Ania arqua un sourcil et leva les épaules en signe d'incompréhension. Elle refit le même geste, à l'inverse qu'elle rajouta son majeur et son pouce, avec un énorme sourire malicieux. Elle tapota la cuisse de Ilinia, qui baissa son regard vers elle.
-Arrête toi, je dois faire quelque chose.-Mais j...-Fais ce que je te dis. Intima Rinko.
Tu ne le regrettera pas.-D'accord. Abdiqua Ilinia.
Rapidement, Rinko alla embrasser sa Reine, l'invitant en même temps à se relever, quittant le lit et poussant Ania à se retirer. D'un même effort, Rinko et Ania soulevèrent par les cuisses et les fesses leurs Reine.
-Vous n'allez pas le regretter ma Reine. Ilinia aide nous pour son cul ! Ania enfonça son braquemart, à moitié, contre le qu'elle Rinko plaça le sien. Ilinia comprit rapidement ce qu'elle voulait faire et aida donc Rinko à enfoncer sa trique dans le cul, écartant la rondèle et poussant la verge. En quelque instant, le gland pus être enfoncer, s'en suivit du reste. D'un même mouvement, Rinko et Ania abaissèrent la Reine et remontèrent leur bassin, offrant une double sodomie à leur Reine.
-Bien Ania écarte toi un peu vers la droite. Ilinia place toi, ça sera plus facile pour y mettre la tienne. On ne sera pas trop à l'étroit à trois. Clamât Rinko, offrant un sourire vicieux et pervers à sa Reine ainsi qu'un regard envieux.
Obéissante, surprise et terriblement excité, Ilinia s’exécuta, et plaçant son gland contre la rondelle déjà bien déformer par les deux verges. Elle força et s'aida avec ses doigts, jusqu'à pouvoir difficilement mettre et enfoncer sa verge. À la hauteur de leur soumission, de leur plaisir et de leur admiration pour leur Reine, elles lui offraient une triple sodomie.
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« C’est bien toi qui as fait ça, Tirch. Tu es une meurtrière, et très douée dans ce domaine. » C'était clairement dénuer de subtilité, ce qui fut pour Tirch, semblable à une lame plus aiguiser qu'un rasoir et recouvert d'acide qui s'enfoncer dans son cors, aggravant son désespoir, pleurant et criant encore plus fort. Les images se repassaient en boucle, comme un film sans fin, son esprit tétanisé dans l'horreur et le désespoir.
« -Tu est une machine de guerre.
-La meilleur soldate pour tuer.
-...»
Ses vérités et insinuations, se compléter aux images, plantant encore plus d'aiquilles dans son esprit torturé. Le plus troublant restant le fait qu'elle avait tuer des personnes qui lui ressembler en tout point. Elle se rendit compte que la femme lui parlait, en temps normale, son état ne lui aurait pas permit d'entendre et de comprendre tous les mots qu'elle lui disait, sans doute son esprit qui avait garder cette capacité à ce dissocier, d'isoler les sentiments et les émotions, pour garder un esprit froid, calculateur et réfléchit.
« Alors… Es-tu prête à vivre avec le poids de ta culpabilité sur les épaules, Tirch ? Ou est-ce que… Si on t’offrait l’opportunité d’effacer de ta mémoire de tels souvenirs, tu accepterais ? Tu pourrais mener une autre vie, une vie tout à fait différente, et ce ne serait que justice. On t’a arraché à ton ancienne vie, Tirch, celle que tu menais avant de devenir la tueuse de l’armée. Alors… Ce que j’en dis, en toute honnêteté, c’est que tu mérites une seconde chance, pour avoir été la victime de leurs traitements et de leurs manipulations. Tu ne trouves pas ? -Non...nonnonnonnonnon. NON ! Hurla Tirch.
Elle se releva, et se mit face à la femme, tremblante, de la morve s’écoulant de son nez, les yeux rouges, les joues traverser par ses sillons de larmes. Bien piètre image de ce qu'elle était avant. Son visage, tordue par l'horreur et la tristesse, prit de nouveau trait, ceux de la rage et de la haine. Tout ce qui pouvait témoigner de son choc, de la tristesse et de l'horreur, avait disparue, comme si ça n'étaient jamais arriver.
-JE VEUX CREVER PUTAIN ! Je veux en finir avec tout ça ! Pourquoi tu veux que je vive ?! TU VEUX ME FAIRE LA MÊME CHOSE C'EST ÇA?! Tu..tutu tu veux me renvoyer dans cette salle hein ?! HEIN ?! Me faire souffrir, me transformer en automate, me mentir, me manipuler ! COMME ELLE ! Qu'elle seconde chance ?! Qu'elle justice ? Tu veux me faire la même chose. Plus elle parlais, plus une lueur de folie percer son regard et plus sa voix prenaient des tons accusateur, fou et hystérique. Soudain, elle se paralysa sur place, avant de tituber en arrière, de regarde avec des yeux ronds la cérébrate, comme si elle découvrait quelque chose de choquant.
-Je... je suis chez les formiens.... ahahah... Émit Tirch.
AHAHAHAHAHAHAHAHAHAH ! Ria t-elle, un rire hystérique, fou, désespérer, avant de se remettre à pleurer et de tomber à genoux, son visage, mélangeant les trait du désespoir et de l'humour, fixant celui de la cérébrate.
Je comprend mieux tes paroles... tu veux me transformer en pondeuse... vous m'avez libérer de mes chaînes pour mettre les vôtres. Je peux pas mourir ! Je peux pas...je peux pas... mourir ? Pourquoi... pourquoipourquoipourquoipourquoiPOURQUOI !? Hurla t-elle, le désespoir, la rage et l'incompréhension se mélangeant.
Puis brusquement, la cérébrate, pouvait clairement sentir une puissante soif de sang venant de Tirch, dont le visage devint déformer par l'envie de tuer. Elle allait l'attaquer, si la cérébrate ne réagissait pas vite... elle allait sûrement mourir. Mais elle disparue aussi vite, Tirch s'affaissant sur elle même, prenant un visage déconfit et abattue.
-Pourquoi on s'acharne sur moi...