« Ce n’est... Ce n’est pas très compliqué, mes chéries... Pose aussi ta main sur la tête d’Ilinia, ma Ania-chérie... Veillez à ce qu’elle me suce bien, je sais combien Ilinia adore le contact de ma queue. » Ania obéit sans discuter, joignant sa main celle de Rinko, enfonçant encore plus le chibre de leur Reine dans la gorge d'Ilinia, qui se mit à tousser faible, sa respiration se coupant, révulsant des yeux, le plaisir l’entraînant, ses mains sur les cuisses de sa Reine, se crispant. Rinko et Ania tirèrent la tête de Ilinia, lui permettant de respirer, avant de nouveau la forcer à avaler cette sucette de chair, provoquant quelque bruit de déglutition sonore. Ils étaient clair qu'un certain plaisir malsain animer Rinko et Ania, en forçant Ilinia à faire des gorges profondes, elle même animer d'un plaisir malsain à subir ce manège, sa langue s'activant du mieux qu'elle pouvait, le mandrin plaquant cette dernière. Les deux autres continuèrent à se frotter contre leur Reine, lubrique et libertine, continuant à lécher et embrasser le cou et les lèvres de leur maîtresse.
« Ce n’est pas très compliqué. Il vous suffit juste d’y penser, et de contracter les muscles du bassin, de pousser comme si vous étiez enceinte. Plus vous êtes excitées, et plus vos chibres sortiront aisément, mes poupées. Vous n’avez qu’à essayer... Mais ouvrez la fermeture de vos combinaisons à hauteur de vos bassins, par contre... » Elles s’exécutèrent immédiatement, obéissant instinctivement, sauf Ilinia, bien trop obnubiler par la verge qui s'aventurer dans sa bouche et sa gorge, et il faut le dire, pas en état d'écouter, sans parler de ses camarades qui jouer avec sa tête, comme un sextoy entre leur mains, l’empêchant de ce concentré sur autre chose. Leur fermeture déjà ouverte, laissant leur intimité à l'air libre et surtout libre pour n'importe qui, Ania et Rinko se masturbèrent légèrement, et poussèrent comme le dicter leur Maîtresse, laissant entendre de petit gémissement, se cramponnant à leur Reine, fermant les yeux et visualisant une verge qui sortait de leur intimité. Les deux femmes sentirent quelque chose remuer dans leur intimité, même glisser. Brusquement et sans prévenir, une belle verge jaillirent de leur intimité, écartant leur parois brusquement, en érection, accompagner de mouille et de reste de sperme et de cyprine, tandis que les deux futa lâchèrent un crie de surprise teinter de plaisir.
Leur nouveau membres se cognèrent contre les cuisses de leur Reine, avant que Rinko et Ania retire leur mains de la tête d'Ilinia, pour aller tenir leur nouveau jouer. En pleine extase devant la preuve de leur virilité, elles oublièrent momentanément leur Reine, touchant délicatement leur verge tendue, le caressant doucement, tremblant face à ces nouvelles sensations. Ilinia releva la tête ne gardant en bouche que le gland, le suçotant et le léchant, avant de se stopper et de faire les gros yeux, en voyant les belles queues tendues de ses comparses. Une pointe d'excitation et surtout de jalousie traversa son regard et son visage, devenant un peu boudeur, le gland de sa sucette toujours à moitié en bouche.
-M...mmhlpgorlp... émit Ilinia, Rinko lui remit sa main sur sa tête, lui fessant gober plutôt violemment la verge qu'elle avait retirer de sa bouche, une cascade de bave dégoulinant de ses lèvres et la coupant dans son élan
-T-t-t-t-t-t... fit Rinko.
Pas avoir d'avoir finit ! Ania se masturbait allégrement, coucher à côté de sa Reine, lentement puis frénétiquement, complètement détraquer par ses nouvelles sensations, n'arrivant pas à s’arrêter, perdant contact avec la réalité, tellement que c'était nouveau et jouissif. Rinko ne céda pas aussi facilement, veillant d'avantage à ce que Ilinia finisse, cette dernière s'activant ardemment, pompant avec ardeur le pilier de chair, l'étouffant entre ses parois et l'imbibant de bave et le lapant avec intensité, comme se pardonner ou rattraper le temps perdue. Rinko retourna son attention sur sa Reine, allant l'embrasser, collant bien son braquemart contre sa cuisse, lui montant presque dessus, collant sa poitrine contre la sienne.
-Voulez vous que j'encule Ilinia pour votre plaisir ? Souffla Rinko, en brisant le baisser.
Entre Ania qui était perdue dans sa masturbation, Ilinia qui ne penser qu'a sucer sa Reine pour la satisfaire et pour pouvoir avoir le même privilège que ses copines, Rinko semblait être la seule à pouvoir répondre au désir de sa Reine pour le moment, et aussi sans doute celle qui garde le plus la tête sur les épaules.
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« Que signifie cette crise, Shiranui ? Mes servantes te donne tune nouvelle tenue, tu es bien nourrie, traitée, choyée, et tu te mets à geindre ? Tu ne réalises pas la chance que tu as... Mais je vais t’y aider, ne t’en fais pas. » Shiranui ne pouvait pas arrêter ses larmes de couler, ni même la morve qui s'écouler lentement de son nez. Elle renifla. Une nouvelle, bon elle était juste plus serrer, ça aller bien que cela la gêner, de même que la texture qui n'était pas pareille. Nourrie ? La seule chose qu'elle se souvint d'avoir avaler après des jours, était des litres de fluides, ce qui lui donna des frisons et la nausée. Traitée ? Les souvenir de leur combat dans la forêt et leur réveille dans des alcôves, le sexe puis le passage au monstre tentaculaires, lui donna des sueurs froide. Choyée ? Le passage chez leur chirurgien, le monstre et tout le reste, n'entrait pas dans sa définition de choyée, elle ressentit un pique de panique. En effet, elle n'avait à geindre. Deux mondes différent, deux cultures différentes, Shiranui ne pouvait que s'adapter.
Des tentacules l'attrapèrent au poignet et la tirèrent en arrière, la couchant sur le sol, en fessant remonter ses mains au dessus de sa tête, tentant ses bras, tandis que le sol engoultit en partie ses pieds, des excroissances emprisonnant ses chevilles. Une tentacule vint piquer son cou, enfonçant une fine aiguille, Shiranui lâcha un petit crie de surprise et de douleur, tandis que la tentacule vint à diffuser son produit. Rapidement, Shiranui ressentit des bouffées de chaleur, son esprit s'engourdit, la chaleur montant. Elle trembla nerveusement, s'agitant un peu, des images et des souvenirs obscènes naissant et envahissant son esprit tandis que son intimité se mit à mouiller et qu'elle commençait à avoir des démangeaisons à ce niveau là.
-Aaah. Émit faiblement Shiranui tandis que son visage se plaquait de rouge.
Ses pensées étaient trouble, elle avait chaud et son intimité ne demandait qu'a être soulager. On l'avait encore droguée. Les larmes cessèrent de couler, tandis que son esprit céder rapidement aux vagues de plaisir. Elle sentit deux personnes se coller à elle, alors qu'elle fixait le plafond plonger dans l'obscurité, alors que le plaisir se diffusait rapidement. Pas de résistance, pas de supplication, à en croire de l'acceptation et de la soumission.
Les deux esclaves s’attaquèrent à son opulente poitrine, dons les tétons étaient dur et pointer, deux petites bosses qui ressortaient de la combinaison. Les doigts et les langues, Shiranui les ressentait très bien, et même encore plus, la fessant trembler. Des gémissements sortirent en cascade de la bouge de Shiranui, suivit de « Aaah » et de « Mmmh ». Le plaisir noyer ses pensées, ne laissant plus la place pour des sentiments de hontes, pour la tristesse, pour sa sœur ou quoi que ce soit d'autre. Un esprit bien faible, cédant rapidement et acceptant rapidement ce désir, même ses pires craintes.
Les deux femmes enchaînaient les coups de langues, les suçons et les massages sur les seins et les tétons de leur nouvelle copine. La néko se dirigea vers l'intimité de Shiranui, allant lécher amoureusement sa vulve qui ressortait, sentant sous sa langue la mouille qui s'en échapper. L'autre se mit à cheval sur Shiranui, tenant à pleine mains ses seins, les sous pesant et leur offrant un malaxage digne de son nom, les pétrissant tendrement, alors qu'elle suçait l'un après l'autre les tétons. Shiranui enchaîna les gémissements, pontuer de cries, n'arriva pas aligne trois mots, plus de tristesse ou de peur dans sa voix ou son esprit. L’aphrodisiaque fessait des merveilles.
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-Tu m'appartient....
-Tu mourra... promit...
-Assez..-Protocole 3 engager : exécution de la cible.
-Je...je suis désoler... je pensais pas que...hein... n..non.... NON !
-Pas ça...-... étudie les cibles qui...
-... pour la guerre....
-.... pour tuer...
-Stop... arrêter..-Protocole 0 engager : annihilation total, aucun survivant.
-NON ! Tirch se réveilla en sursaut, en plein sommeille paradoxale, plonger dans des paroles, des images, des souvenirs, formant un cauchemar. Et ils continuèrent à la harceler, sa tête semblant sur le point d'exploser, son regards assaillie d'illusion, perdant ses points de repérer, ne pouvant plus définir l'espace. Elle se sentie tomber, lâchant un crie de peur, mais n'arriva même pas à savoir si elle avait effectivement crier, elle heurta le sol avec sa tête, mais le sol était mou. Elle tenta de se relever, mais n'avait plus d’équilibre, sa tête un véritable champs de guerre, les souvenirs, des images, des sons, se mélangeant et s'affrontant, cherchant à l'informer, comme si son esprit se forcer à tous se souvenir d'un coup. Elle avait la nausée, elle tenta de se relever, mais trébucha et finit par vomir. Elle trempa un moment dans son vomit, abandonnant la tentative de se relever, laissant son ignoble et puissant mal de tête passer, laissant le flot de souvenir, d'image et de son se tarir. Qui était-elle déjà ? Elle se concentra du mieux qu'elle put, cherchant à retrouver les plus mieux souvenir qu'elle avait. Par la force de sa volonté, ou le hasard, son esprit put retrouver, les plus vieux fragment de sa mémoire.
« La porte s'ouvrit sans un bruit, alors qu'elle était pelotonner dans un coin, occuper à se ronger les lèvres. La porte s'ouvrir dans un glissement feutré, tandis qu'une femme apparue dans son encadrement.
-La voilà... Son dossier. Clamât une voix derrière celle qui venait d'entré. Et oublier l'idée de parler de son passée avec elle, elle à réussit à se flinguer la mémoire avec des drogues. .... Et puis de toute façon, c'est pas plus mal pour elle.
-Merci. Répondit la première.
Cette femme resta dans la pièce tandis que la porte se referma, une caméra les surveillant. Elle fit un signe à la caméra, celle-cit pivota de haut en bas, avant d'ouvrir le dossier.
-Bien le bonjour... Tirch. Lui dit-elle en consultant le dossier, un sourire mesquin au lèvre, en la regardant. 45 tentative de suicide, dont 5 scarification ratée, 20 pendaisons sans réussite, sans parler des drogues et du reste. Trouble psychique, détérioration de la personnalité, amnésique, maniaco-dépressive, sociopathe, hémophile, maladie cardiovasculaire... mon dieu que c'est horrible. Conclue la femme, un sourire sardonique au visage et un regard d'un plaisir morbide. On te garde en vie malgré ça, ... ma pauvre enfant. Désoler pour ta mémoire, tu à due tomber sur une de mes expériences à cet époque. Vois tu ça me désole de te voir comme ça. Dit-elle sur un ton détacher, sans une once de compassion qui confirme ces dires, ça serait pareille si elle lisait à voix haute le journal sur un fait divers sans grand intérêt. Je t'offre donc le choix : rester ici pour toujours sans espoir de mourir, le temps qu'on arrive à te réhabilité ou donne moi ton existence et je t’offrirais la mort, après t'avoir soigner de tout tes problèmes. Un simple signe de tête suffira.
À cet instant, elle avait ressentit de l'espoir, et un soulage. Elle avait secouer frénétiquement la tête pour dire oui, et la femme avait sourit à pleine dents.
-Ravit de ton consentement, tu ne le regrettera pas.
La dernière image qu'elle eu, fut la femme qui repartie, puis deux personnes, en armure intégrale rouge ou bien des robots venir vers elle. »
Tirch se releva, son mal de crane bien moins intense et douloureux. Elle réussit à analyser l'endroit où elle était, une sorte de chambre, à la texture organique, et un lit. Elle s'y assit, obnubiler par sa quête d'identité, et ravit de se remémorer son prénom, bien que triste de ce qu'elle fut jadis. Combien de temps s'était écouler, que c'est t-il passer ? Elle continua à puiser dans ses souvenirs. Elle se revoyait, installer dans un machine, dans un laboratoire, cette étrange femme lui parlant d'un projet révolutionnaire pour la guerre, au cour du quel elle trouvera la mort. Se fut le dernier concret, le reste n'était qu'une suite d'image et de son, comme si elle regardait un film, sans avoir l'impression que c'était les siens. Elle se voyait abattre une femme, qui apparemment avait échouer à un objectif dans une mission, compromettant la réussite de cette dernière. En même temps des noms lui apparurent, familier mais en même temps inconnue. Shiranui, Ilinia, Mixim, Ania et Jeanne. Pourquoi ces souvenirs lui montrait très souvent ces 5 femmes et ces 5 noms ? Pourquoi elle les espionnait? Pourquoi elle fessait ça ? Pourquoi elle à autant de troue noir et de doute ?
Le tresse et la panique prenaient lentement de l'ampleur. À qui était ces souvenirs ? Qui était-elle ? Elle se mit à rire nerveusement, tandis qu'elle découvrait que maintenant son corps, recouvert de cicatrices, muscler, fortifier, grand et puissant. Ce n'était pas le sien, ce n'était pas son corps, ce n'était pas ses souvenirs. Elle hurla, en s'agrippant la tête, avant de se jeter au sol et de se fracasser la tête contre le sol, avant de se mettre à genoux et de rire comme une démente, des larmes coulant sur sa joue et de nouveau frapper sa tête contre le sol. Elle s'arracha des cheveux, déchirant sa peau, arrivant à faire couler le sang, avant de regarder un de ses poignet. Ce c'était pas ses souvenirs, mais elle voulait clairement mourir. Elle mordit son poignet, jusqu'au sang, cherchant à s'arracher la peau avec ses dents.