Tribut [PV]

Suivant l'impulsion donnée par Shiva, Alyndra se releva et se recula un peu, achevant ainsi de séparer une large partie de ses vêtements de son corps. Sa belle poitrine, et son ventre plat, étaient désormais nus, et Alyndra frissonna en sentant Shiva se glisser dans son dos, s'y collant, tout en venant saisir sensuellement ses poignets. La princesse se trouvait encore toute fébrile après l'aveu des sentiments de l'orc à son encontre, car ils donnaient un tout autre sens à chaque caresse, chaque baiser qu'elle lui donnait. Mais elle se sentit également troublée de sentir le regard de Mars se poser sur elle, dans sa nudité. Par réflèxe, car on le lui avait appris, Alyndra avait voulu se couvrir de ses mains, mais c'était un réflèxe qui avait été empêché par Shiva qui maintenant ses poignets, et qu'Alyndra donc réfreina. La terrible orc la mattait, puis se redressa pour s'approcher d'elle, et venir tout près. Mars l'observait sous toutes les coutures, silencieusement, elle s'attardait surtout sur la poitrine et les hanches de l'elfe, mais concrètement elle observa la quasi totalité de son corps imberbe, à la peau aussi douce que la plus douce des soies.

L'orc toisait Alyndra par sa taille, mais aussi sa carrure, qui impressionnait la jeune elfe, et qui se sentait, au sens propre comme figuré, toute petite face à cette guerrière. Mars, juste avant d'aller l'embrasser dans le cou, réaffirma qu'elle ne souhaitait pas la briser. Elle se répétait peut-être, mais Alyndra avait tellement d'appréhension que chercher à la rassurer n'était pas une manoeuvre vaine. Alyndra se laissait donc faire, ce qui pouvait sembler étonnant au vu du fait que Mars avait, presque littéralement, le sang de sa famille sur les mains. Mais si Alyndra avait toujours profondément aimé son père, sa mère, et ses multitudes de frères, ils avaient eu aussi de très nombreux différents. Alyndra avait été la seule à se révolter contre les conditions de vie des non-humains sur leurs terres, et cela avait été la raison de nombre de disputes entre la princesse et le reste de sa famille. Alyndra en voulait certes à Mars...mais d'un autre côté, en se mettant un tant soit peu à sa place, la jeune elfe ne pouvait nier qu'elle aurait probablement réagi pareillement en ayant à sa merci les bourraux de son peuple.
Mars se retourna alors, se saisit de la belle tunique de la princesse qui se trouvait sur le lit, et alla vers le landeau où le bébé dormait fermement, pour déposer la tunique sur lui afin d'en faire une couverture. Alyndra avait bien entendu regardé la scène d'un oeil inquiet, car elle était très protectrice à l'égard de son petit frère, sa seule famille restante, et le dernier vrai héritier du trône. La douceur dont Mars fit toutefois preuve contribua encore à la surprendre, surtout quand Shiva lui dit qu'elle était incapable de faire du mal aux enfants, ce qui affinait le caractère que la propagande faisait d'elle, et de ce qu'elle avait pu voir d'elle également. Cela bien sûr rassura Alyndra, qui vit ensuite Mars lui faire à nouveau face, et commencer à retirer son armure, élément par élément, tout en les posant délicatement au sol pour ne pas faire trop de bruit. Peu loquace, Alyndra l'observait se dénuder peu à peu, retirant au final tout le haut de son armure, elle révéla ainsi son opulente poitrine, mais aussi le reste de sa musculature qui, sans trop qu'elle puisse se l'expliquer, semblait fasciner la jeune princesse, de même que ces cicatrices.

Ah...Sh...Shiva...

Alyndra sembla toutefois sortir de sa torpeur quand Shiva, dans son dos, se montra plus entreprenante. Les doigts délicats de l'orc s'afféraient à la déshabiller d'avantage, tandis qu'elle embrassait ses épaules. Alyndra crut mourir de gêne quand la chamane lui retira sa culotte, et même si son intimité était encore un peu cachée par la mini-jupe blanche qu'elle portait, il suffisait de la relever à peine pour distinguer les délicates pétales de sa fleur intime, parfaitement imberbe. Elle lui ôta également son cache-cou, achevant concrètement de dénuder sa poitrine. Alyndra se sentait nue, dans tous les sens du terme, ce qui était nouveau pour elle. Mais rapidement, autre chose attira l'attention de la princesse, qui ce soir allait de surprises en surprises.
Mars, en ayant fini d'ôter son armure, s'était redressée, et Alyndra vit alors, entre ses jambes, un sexe absolument énorme.

Qu...hein ?

Alyndra n'avait que rarement entendu parler des sexes masculins, et n'en avait même jamais vu, tout au plus avait-elle du imaginer la forme que cela avait. Toutefois, Mars étant une femme à priori, elle ne s'était nullement attendue à ce qu'elle soit en réalité hermaphrodite. Mars possédait donc une verge, et quelle verge...rien qu'à, rapidement, imaginer ce morceau se glisser dans son intimité, Alyndra sentit à nouveau une bouffée d'appréhension la traverser. Shiva toutefois le sentit, et lorsque Mars reprit place sur le lit, la chamane la prit par la main et s'agenouilla avec elle aux pieds de Mars, juste en face de ce gros mât de chair.
Cette verge était grosse, épaisse, et accompagnée de deux lourdes bourses...ce qui était proportionnel à la carrure importante de Mars, mais ce qui était proportionnellement aussi énorme par rapport à celle d'Alyndra. Elle ne pouvait s'empêcher de se dire que cette verge allait la déchirer de l'intérieur, et sentit alors l'envie de s'arrêter là. Cependant, Alyndra savait que ça signifierais l'absence de mariage, et la réduction des chances d'une vraie paix entre elfes et orcs. Alyndra prit donc une inspiration, puis, délicatement, elle approcha son visage de ce gros mât tendu, laissant ainsi à Shiva le soin de s'occuper des testicules de sa soeur. C'est donc toute tremblante qu'Alyndra approcha le bout de son nez du sexe de Mars, qu'elle alla humer, il s'en dégageait une odeur forte...inédite pour la jeune elfe, et comme prise d'une inspiration subite, elle frotta le bout de son nez contre pour en éprouver la texture.

C'est...si tendu...

Le souffle chaud de la princesse se heurta à la verge de Mars, qu'elle observait avec un mélange de peur et de...fascination ? Alyndra était après tout soumise à l'effet d'un aphrodisiaque, et ce musc, cette odeur se dégageant de ce gros sexe, ne pouvait donc la laisser indifférente. Ainsi, au bout d'un moment, Alyndra se risqua donc à, prudemment, déposer un baiser dessus, et à timidement sortir sa langue pour aller donner une brève léchouille dessus. La princesse s'était honnêtement attendue à sentir un goût horriblela heurter en faisant ça, mais il n'en fut rien, car Mars prenait un minimum soin de son corps. La jeune elfe, en prenant appui avec ses mains sur une des puissantes cuisses de l'orc, continua donc à déposer de doux et délicats baisers sur cette verge, son regard se levant souvent vers le visage de Mars pour voir comment elle réagissait.

Il s’agissait, bien évidemment, de Shiva. Qui d’autre qu’elle aurait pu doter Mars d’un attribut masculin ? Dans une société orc, très primitive, et donc très sexiste, les hommes étaient ceux qui avaient le pouvoir, car ils étaient les plus musclés. Dans un tel schéma, Shiva avait perfectionné ses sorts et ses potions pour maîtriser le secret de l’hermaphrodisme. Elle avait fait plusieurs expériences sur des prisonnières, avant de pouvoir, finalement, réussir définitivement à doter les femmes d’un chibre, et avait fait ce cadeau à Mars, qui avait, par la suite, auguré sa queue avec le cul de Shiva. Mars était très bien membrée, autant que les Orcs, et elle se battait parfois avec le sexe à l’air, pour montrer aux Orcs mâles la prenant de haut qu’elle aussi, elle avait une queue... Et, dans cette société archaïque, une sodomie en public sur un guerrier vaincu était une humiliation encore pire que la mort. Et ça, des mâles, Mars en avait enculé plus d’un ! Alyndra avait toutes les raisons du monde d’avoir peur, car elle avait devant elle un sacré monceau, uen magnifique pièce qui se redressait lentement, au fur et à mesure qu’on s’occupait d’elle.

Après l’hésitation, Alyndra choisit de s’occuper du mât, et Shiva, donc, alla s’attaquer à ses testicules. Mars, le souffle rauque, avait une vue imprenable sur cette scène, et sourit légèrement en voyant Alyndra... La belle elfe reniflait son sexe, troublée par cette odeur, l’odeur inhabituelle d’une verge, une odeur... Relativement désagréable. En tout cas, si on la comparait aux parfums doux et sensuels des elfes. C’était une odeur très naturelle, celle d’un sexe, mais Alyndra fut surtout intriguée, et, quand son petit nez se posa sur son mandrin... Un soupir s’échappa à nouveau des lèvres de Mars, qui vit ensuite Alyndra l’embrasser, tout timidement... Shiva, elle, avait toujours été plus entreprenante, plus nerveuse, plus vive... Et il fallait bien admettre que ce changement de ton avait quelque chose de très agréable. La main de Mars caressait donc la tête d’Alyndra, se glissant dans ses longs cheveux soyeux.

Quand Alyndra levait la tête, elle pouvait voir le visage de Mars, irradiant de plaisir, avec ses doigts qui continuaient à caresser ses cheveux. Nerveuse et intimidée, l’elfe prenait, peu à peu, goût à ce spectacle, multipliant les baisers et les coups de langues. Elle était de plus en plus vive, de plus en plus entreprenante, au fur et à mesure qu’elle voyait Mars comblée... Et cette dernière entreprit aussi de la rassurer :

« Tu es douée, Alyndra. Hum... Continue, ma chérie... »

Mars aussi savait employer des mots doux, même si elle avait de plus en plus de mal à se calmer. Shiva, de son côté, lécha donc les testicules de la femme, puis se redressa, et lécha à son tour le sexe de sa sœur, l’une de ses mains allant caresser les hanches d’Alyndra, avant de joindre sa main dans la sienne. Ensemble, les deux femmes léchaient ainsi sa queue, goulûment, et Mars continuait à soupirer, à gémir et à se tortiller.

« Hmmm... Hmm... »

L’Orc soupira lentement, ses mains se crispant de plus en plus, et Shiva finit par redresser un peu sa tête, pour s’adresser à Alyndra :

« Tu la sens, n’est-ce pas ? Cette inexplicable attirance... C’est un envoûtement très particulier, ma chérie... Quelque chose que la raison n’explique pas... Continue à dompter cette queue, ma belle... Prends-là en bouche, mordille-là même, si tu veux... »

Shiva continuait à la former, et elle y prenait énormément goût, adorant faire ça.

« Suce cette verge, ma chérie... Et respire par le nez... »

La famille d'Alyndra, si elle était encore en vie, l'aurait unanimement reniée et tuée pour ce qu'elle était en train de faire, et pour ce qu'elle allait continuer de faire...s'accoupler avec une orc, et se marier avec. Elle espérait que cette union mettrait un frein aux visées expansionnistes de Mars, que les elfes ne subissent pas d'autres massacre, et que le propre peuple de la princesse ainsi voie qu'il est possible de vivre en vraie collaboration avec les orcs. Sa famille, très radicale sur le sujet, n'était plus, seul son petit frère demeurait vivant, et avec de la chance, peut-être qu'en grandissant l'héritier du trône aurait une vision différente des non-humains...dont ses futurs neveux et nièces.
Alyndra n'était en effet pas dupe, Mars voudrait une descendance pour assurer la continuité de son reigne, une descendance qui en prime symboliserait l'union des orcs et des elfes, si la paix arrivait effectivement à se faire entre les deux peuples. Les elfes avaient toutefois un mode de reproduction assez particulier, dans le sens où il n'y avait étrangement qu'au moment d'une soirée de pleine lune qu'une femme elfe était effectivement fertile, ce qui n'était pas le cas de cette soirée toutefois. Cela couplé à la difficulté pour les elfes d'enfanter, était un procédé naturel pour ralentir la croissance de population d'un peuple qui ne mourrait ni de vieillesse ni de maladies. Toutefois si la fertilité légendaire des orcs arrivait à compenser la difficulté des elfes à avoir des enfants...alors Alyndra aurait toutes les chances de tomber enceinte lorsque la pleine lune viendrait. La princesse était intérieurement perplèxe quand à la perspective de porter une telle progéniture, car la pureté de la descendance était quelque chose d'assez ancré au sein des elfes, qui voyaient généralement le fruit de l'union d'elfes avec d'autres races comme des bâtards au mieux. Mais là encore, tout le monde ne partageait pas ce point de vue.
Mais comme la question n'allait de toutes façons pas se poser ce soir, Alyndra essayait de faire de son mieux pour contenter la terrible Mars. Elle embrassait, timidement, cette verge gigantesque, qui continuait à se dresser et à gagner un peu en taille, ce qu'elle sentait sous ses lèvres quand elles se posaient sur ce gros mât de chair. L'orc caressait ses cheveux d'une main, tandis que sa soeur elle était allée s'occuper de ses lourdes testicules. Alyndra se trouvait très troublée face à ce qu'elle faisait, car contrairement à ce qu'elle aurait imaginé, le fait d'embrasser un sexe n'était pas désagréable. C'était certes très gênant, car la princesse était très chaste et prude, mais pas dégoûtant pour autant. Comme le souligna Shiva juste un peu après, c'était une attirance difficile à expliquer, mais que l'elfe ressentait bel et bien, encouragée qu'elle était par ses deux partenaires.

Puis Shiva, qui tenait alors l'une des mains d'Alyndra pour lui rappeler sa présence rassurante à ses côtés, lui suggéra alors d'aller un peu plus loin...de sucer cette grosse verge. Alyndra déglutit alors en regardant une nouvelle fois ce sexe, il était si gros, si large, si intimidant. L'idée de le sentir en elle était tout bonnement effrayante, la princesse n'y pouvait rien, l'appréhension ne cessait de la saisir. Son regard se porta alors sur Mars, qui toujours lui caressait les cheveux, l'encourageait à continuer. Alyndra se dressa donc un peu plus sur ses genoux, se rapprochant un peu plus du sexe de Mars, tendu et fier, pour ainsi approcher ses lèvres du gland. Elle allait prendre ce sexe dans sa bouche...allait-elle vraiment le faire ? L'embrasser ça et là était une chose, mais véritablement sauter le cap de la fellation à proprement parler c'était...une toute autre histoire.

Je...je vais essayer...

Alyndra déglutit à nouveau, regarda une dernière fois Shiva, qui lui fit une mine encourageante. Puis doucement la jeune elfe se baissa, elle ouvrit grand sa bouche qui s'approchait de plus en plus du gland, la respiration chaude de l'elfe vint alors toucher ce sexe...puis après s'être un peu enfoncée, Alyndra referma alors ses lèvres.

Hmmmmm...

Et voilà, elle avait la verge de Mars dans sa bouche, comme une très grosse sucette. Alyndra était une parfaite novice, alors elle essaya prudemment de faire passer sa langue dessus, elle évitait le contact de ses dents contre et commença de doux mouvement de haut en bas, en prenant bien soin de respirer par le nez, comme Shiva le lui avait dit. La jeune elfe était ainsi entre les cuisses puissantes et écartées de Mars, et avait posé ses délicates mains dessus pour se maintenir, elle sentait ainsi ses muscles tendus, puissants sous ses doigts fins, tandis qu'elle s'essayait à sa première fellation.

« T’inquiètes pas, ma jolie, ma queue est pas un serpent, elle te mordra pas... »

Pour Mars, ce moment, aussi délicieux soit-il, devenait de plus en plus... Rude. Elle n’était pas habituée à devoir autant attendre en matière sexuelle, même si Shiva l’avait un peu formée, en lui apprenant le fonctionnement de la frustration Alyndra avait peur, et Shiva la rassurait donc, tout en lui souriant, encore et encore. La belle elfe ne le savait pas, mais il y avait en elle une grande force... Et Shiva ne disait pas cela au sens figuré. Alyndra était belle, infiniment belle, mais, fort curieusement, la partie de son corps que Shiva préférait le plus, c’était ses cheveux. Ils étaient doux et soyeux, et... En réalité, quand Alyndra avait été dans les ghettos, et qu’elle avait donné à Shiva un bijou, elle lui avait aussi donné autre chose... Un cheveu qui avait glissé de sa chevelure, et que Shiva avait soigneusement conservé. Outre le romantisme et la symbolisme du geste, elle avait aussi utilisé ce cheveu comme un puissant ingrédient magique, et il s’était avéré qu’Alyndra recélait en elle une forte magie, dont elle n’avait probablement jamais eu conscience, et ce parce que ses parents ne l’avaient pas formé à la magie. Et, contrairement aux humains, les elfes maîtrisaient suffisamment les arcanes magiques pour taire tout soupçon de magie en eux quand cette magie n’était pas souhaitée. Shiva était donc ravie de voir ô combien Alyndra était réceptive à sa magie rose, ce qui, en soi, n’avait rien d’étonnant, car son cheveu avait été la base de bon nombre de ses potions et fioles reposant sur l’usage de la magie rose. Il y avait donc une sorte de profonde ironie à ce que ce soit finalement avec elles qu’Alyndra perde sa virginité.

Nerveuse devant une telle queue, Alyndra finit par ouvrir très grand la bouche, puis l’abaissa sur cette queue... Et Shiva se glissa naturellement dans son dos, commençant par caresser ses cheveux, tandis que l’autre de ses mains allait caresser ses cuisses, filant ensuite entre ses jambes, remontant pour caresser son bassin, et notamment ce très fin tissu qui se tenait habituellement au-dessus de sa culotte.

« Là... Voilà... Ne panique surtout pas, Alyndra... »

Elle continuait à la guider, elle continuait à la conseiller, pendant que Mars, elle, soupirait profondément. Sa respiration, lourde et pesante, exprimait tout le plaisir retenu qu’elle ressentait, et elle attendait. Elle savait que c’était une étape obligatoire, et Shiva, sur ce point, était terriblement têtue. En réalité, il y avait tant de raisons pour que Shiva veuille les marier qu’on ne pouvait que comprendre son choix. Il y avait l’objectif diplomatique, bien sûr, ses raisons sentimentales, mais également ce réservoir magique en Alyndra.

Tendrement, Shiva embrassait son cou, et cessa de caresser ses beaux cheveux, pour que sa main rejoigne l’autre main, près de son sexe. Elle le masturbait très délicatement, en caressant ses parois intimes, sa peau, ne la pénétrant donc que très légèrement, juste pour l’exciter un peu... Et, pendant ce temps, sa voix continuait à doucereusement parler dans le creux de son oreille :

« Avoue-le, Alyndra... Ta famille n’a jamais cru en toi, et tu n’as jamais cru en toi... Mais il y a en toi un tel potentiel... Regarde donc... Les gens pensent que la fellation est une humiliation, mais... Là, c’est toi qui mènes la danse, mon cœur. Mars est ton esclave, elle est l’esclave de ta bouche et de tes désirs. Car son plaisir est tien, c’est toi qui imposes ton rythme... »

Shiva ne voyait véritablement aucun problème à marier Alyndra à Mars, car, dans la culture orc, le mariage n’était pas aussi bien implanté que dans d’autres cultures, et ne s’accompagnait pas des vœux traditionnels. Le mariage était une vieille institution, désuète, pensée pour mettre fin aux guerres claniques, mais n’impliquait nullement l’amour entre deux êtres. Et, comme les Orcs avaient plutôt tendance à régler leurs querelles en s’entre-tuant, le mariage était peu important, d’autant plus qu’il était perçu comme une tradition venant de la culture elfique.

Mars souriait donc, et Shiva, elle continuait ses instructions.

« Tu aimes que je te caresse ? Je suis sûre que ça doit commencer à devenir chaud, là... Ne t’inquiète pas, Alyndra, je resterais toujours auprès de toi pour te former... Est-ce que ton époux elfique t’aurait formé ainsi ? »

Shiva continuait à la caresser, rapprochant ses mains de son intimité, et elle poursuivit :

« Vas-y... Déplace ta tête... Fais-là languir un peu... Regarde-là, vois comme elle se tord de plaisir... Et... Regarde, n’hésite pas à déplacer l’une de tes mains pour jouer avec ses testicules... »

Tout en parlant, Shiva avait écarté l’une de ses mains pour saisir l’une des mains d’Alyndra, une petite main, toute douce, toute chaude, et elle l’approcha des deux lourds testicules de Shiva. Ensuite, sa main retourna caresser son sexe

« Suce-là bien... Ensuite, je te ferais boire une fiole... Et Mars te baisera joyeusement, et tu jouiras comme une petite folle... »

Voilà ce que Shiva voulait à tout prix !

« Hummm... Ouiii... Vas-y, Alyndra, aaahh... Shiva me... Elle me suce toujours comme une folle, mais toi... Hummm... Ta douceur, c’est... Encore plus jouissif ! Haaa, ma chérie !! »

Sentir Shiva se glisser dans son dos contribua, un peu, à rassurer Alyndra, qui sentait que l'affection que lui portait la chamane orc était sincère. Elle s'était glissée tout contre son dos, et d'une main caressait sa longue et douce chevelure blanche, tandis que son autre main plus...curieuse, s'était elle posée sur une des cuisses de la princesse elfe, qui sentait peu à peu ses délicats doigts remonter. Alyndra elle était pendant ce temps en train de...de sucer la queue de Mars, timide et un peu effrayée, l'elfe y allait très précautionneusement, et ne faisait clairement pas preuve d'une grande expertise en la matière, mais les deux orcs semblaient s'en contenter.

Alors qu'elle était en train de timidement aller et venir le long d'une partie du sexe de Mars, Alyndra sentit alors les doigts de Shiva véritablement se glisser entre ses cuisses, qui heurtèrent alors les lèvres intimes de la princesse, qui étaient légèrement humidifées par un peu de cyprine.

Hmmmmm....

Plaisir ou non, Alyndra n'aurait su définir ce qu'elle ressentait à cet instant, car mis à part ses propres doigts pour se laver lors de ses bains, rien d'autre ne s'était jamais approché de l'intimité de la princesse elfe, jamais on avait osé la toucher aussi intimement, et avec effectivement l'intention de lui caresser son sexe. Alyndra ne s'était crispée qu'au début, mais rapidement, la douceur et le doigté de Shiva eurent raison du premier réflèxe de rejet de l'elfe, qui sembla rapidement aimer sentir ces délicats doigts se glisser entre ses cuisses. Shiva ne la pénétrait pas vraiment, elle se contentait juste de dessiner les contours de ses lèvres intimes, de s'imbiber de sa cyprine, et de caresser son clitoris si sensible à force d'avoir été si peu sollicité au cours de sa longue vie.

Si Alyndra avait majoritairement les yeux fermés durant l'acte, elle jetait de temps à autre de brefs regards vers Mars, qu'elle voyait se tortiller de plaisir et de frustration sous ses caresses buccales timides, mais qui ne fit pour autant rien pour la forcer à aller plus vite. Alyndra commençait à sentir une étrange chaleur lui irradier le bas-ventre, et qui allait crescendo à mesure que Shiva la caressait intimement, et qu'elle suçait le sexe de Mars. Elle s'était attendue à vomir, rien qu'au goût ou à l'odeur, mais étrangement ce fût bien moins désagréable que ce qu'on lui avait raconté. Alyndra se mit à mouiller plus, et se montra plus entreprenante, commençant à s'habituer à la texture et à la sensation de cette grosse verge dans sa bouche. Elle se retira un moment comme lui lui dit Shiva, et elle la laissa guider sa délicate main sur les testicules de Mars. Elles étaient lourdes, toutes tendues, et Alyndra commença timidement à les caresser du bout de ses doigts, les sous-pesant avec toute la délicatesse dont elle était capable.

Nyaaaaa...j'ai...j'ai si chaud...

Alyndra s'était alors momentanément collée tout contre Shiva, car elle appréçiait effectivement ses caresses diverses, puis elle retourna rapidement sucer à nouveau la queue de Mars, dont la verge commençait à se couvrir de la salive de la princesse. L'elfe usa même de son autre main pour, toujours aussi délicatement, entourer de son pouce et son index la base du sexe de Mars, et commencer à doucement la masturber en plus de la sucer, car Alyndra ne pouvait pas prendre la totalité de son sexe dans sa bouche...elle s'étoufferait littéralement.
Néanmoins, la libération progressive de la libido de la jeune elfe semblait faire plaisir à Mars, qui appréciait au final sa timidité, qui faisait qu'elle était bien plus douce et précautionneuse. Alyndra allait donc se faire baiser sous peu...et étrangement, elle ne semblait plus si hostile ou effrayée à cette idée.

Tout se déroulait à la perfection. Shiva en aurait presque pleuré, tant elle était heureuse. Leur affaire était loin d’être gagnée, à la base. Elles étaient des envahisseurs, des ennemis, qui avaient assiégé Erdériel, et l’avaient ravagé. La cité elfique était en feu, et tout laissait donc à croire qu’Alyndra les aurait repoussées. Pour autant, sans trop savoir comment, Shiva et Mars avaient réussi. Honnêtement, la Chamane ne pensait pas réussir à nouveau ce coup du sort, mais elle était ravie, totalement ravie, de la tournure des évènements. Après avoir guidé les doux doigts d’Alyndra sur les testicules lourdes de Mars, elle reporta sa main sur les cuisses d’Alyndra, et continua doucement à la masturber. Quand Alyndra ne suçait pas la queue de Mars, elle poussait de petits soupirs, ce qui ne manquait pas de faire sourire la belle Chamane, dont la pointe des seins commençait à se durcir, à force de se lover ainsi contre le corps gracieux et chaud de l’elfe.

Presque nue, Alyndra leur confia pourtant avoir chaud, et, en souriant, Shiva releva sa main sur le menton de la femme, et la tourna vers elle, puis caressa son nez avec le sien.

« Oui, tu as chaud... Cette chaleur, Alyndra, c’est l’excitation sexuelle... »

Shiva avait remonté son autre main, pour la poser sur le ventre de l’elfe, le massant, tout en allant l’embrasser, fourrant sensuellement sa langue dans la bouche de la femme. Mars, de son côté, serrait les poings, le souffle rauque, sa queue bien dure, recouverte de la salive de l’elfe. Elle regarda encore les deux femmes s’embrasser, mais commençait à sentir l’impatience la gagner. Shiva rompit donc le baiser en souriant, et alla s’emparer d’un petit objet, une fiole contenant un liquide rose.

« Maintenant, Alyndra, tu vas t’unir avec Mars... Car c’est ce que ta chaleur souhaite... C’est le seul moyen de satisfaire ce feu qui brûle dans ton corps, dans tes entrailles... Mais la queue de Mars est un gros calibre pour toi, ma puce, alors c’est pour ça que j’ai conçu cette potion... »

La Chamane lui sourit, et aida Alyndra à se relever, en la tenant par l’une de ses mains. Les deux femmes se trouvèrent donc debout, et Shiva décapsula sa fiole, laissant une délicieuse et enivrante odeur s’infiltrer dans les narines de l’elfe à la chevelure blanche.

« Bois, ma puce... Cette potion t’aidera à supporter les élans fougueux de ma sœur... Crois-moi, tu vas jouir toute la nuit, ma chérie... »

Shiva lui sourit, et laissa Alyndra boire. La potion avait très bon goût, comme une sorte de jus de fraise, et Alyndra la but donc intégralement, ce qui eut pour effet de lubrifier ses cuisses encore plus fort, renforçant la chaleur intestinale qui brûlait en elle. Shiva tourna ensuite Alyndra vers Mars.

« Ton sexe doit être en feu, non ? susurra-t-elle dans le creux de l’oreille d’Alyndra. On ne peut pas te laisser ainsi, hum ? »

En souriant légèrement, l’Orc lui donna une petite tape sur ses fesses, et Mars agit alors. Ses mains agrippèrent la fine minijupe d’Alyndra, et elle la déchira d’un coup sec, la coupant en deux. Plus rien ne protégeait désormais l’accès au sexe d’Alyndra, et Mars lui fit signe d’approcher.

« Grimpe sur mes cuisses, ma beauté... »

Elle laissa Alyndra se rapprocher, et la fille alla s’assoir contre elle, le sexe de Mars allant se nicher contre son bassin.

« Hum... »

Mars avait posé l’une de ses mains sur le menton de la douce elfe, le coinçant entre ses doigts. Même si elle était beaucoup moins prolixe que sa sœur, Mars n’en était pas très excitée, et s’approcha, ses lèvres venant se poser sur les siennes. Mars l’embrassa tendrement, puis rompit le baiser, un baiser relativement baveux et saliveux. Elle observa ensuite Alyndra, et ses mains se posèrent sur ses hanches, et la soulevèrent.

« Pose tes mains sur mes épaules... N’hésite pas à me griffer... »

Son sexe caressait les cuisses d’Alyndra, très proche de son intimité... Sa respiration était lourde, précipitée...

« Et hurle, surtout... »

Puis, dans un soupir et un coup de reins, Mars abaissa le corps de la femme, et son sexe s’enfonça en elle, d’un coup sec.

« Haaaaaaaaaaaaa... !! »

Mars grogna, et se redressa, faisant craquer le lit, et maintint Alyndra contre elle, une main sur ses fesses, l’autre au milieu de son dos, et elle utilisait sa force pour la pénétrer ainsi, en étant debout.

« Enroule tes jambes autour de ma taille, Alyndra... On va baiser toute la nuit, toi et moi, haaaa... »

Et, Dieu, que ça allait être bon !