Identité : Exxia. Je ne possède pas de nom de famille.
Surnom : Là encore, je ne m'en connais aucun.
Race : Humaine d'apparence, je suis une sorte d'avatar du Dieu-Machine. Ou plutôt..hm...son bras armé.
Age : 20 années.
Sexe : Je suis une femme, comme vous pouvez le constater. Puisque le sujet semble vous intéresser et que vous finirez par poser la question, je suis bisexuelle. A vrai dire, je préfère quelque peu les demoiselles, mais c'est uniquement une question de physique puisque je nous trouve plus gracieuses. J'ai une expérience assez ordinaire des choses de l'amour, qui ne sont pas spécialement le centre de mes préoccupations.
Physique : Il est délicat de se décrire de façon objective, aussi je vous demande par avance de m'excuser si ma présentation vous semble trop ampoulée ou flatteuse. Je vais tenter de vous donner une image réaliste et imaginée, mais je n'ai pas de grands talents d'élocution... Bon, par où commencer ? Ah ! Faisons cela par étapes. Lorsque vous me verrez de loin, vous découvrirez la silhouette d'une femme dont vous pourrez estimer la taille à environ un mètre soixante-cinq. Mon poids ? Oh, cela ne se demande pas ! Néanmoins, je le pense assez idéal puisqu'il me donne cette apparence bien équilibrée. Taillée un peu en sablier, j'aime bien exposer le ventre plat qui souligne la finesse de ma taille et des hanches relativement larges qui sont supportées par de longues jambes fuselées ainsi que par un fessier rebondi et ferme. Le haut du corps ? Flatteur j'imagine, vu le nombre de remarques que j'ai essuyées quant au volume de mes seins. Ils sont si généreux, ces deux globes fermes et moelleux au galbe attreyant ! C'est joli, je le reconnais, mais parfois délicat à porter. Ils attirent invariablement les regards et gênent parfois mes mouvements lorsque je me bats.
Une femme ne se définit pas uniquement sur son visage, n'est-ce pas ? Si vous le pensez, vous êtes un mufle, un goujat, une...un...un détritus ! J'ai un visage, comme tout le monde. Je crois le mien agréable -mes grands yeux bleus sont assurément une chose plaisantes, comme mon petit nez légèrement retroussé et mes lèvres charnues. Je les aime beaucoup, mes lèvres ! Vous savez, je ne me vante pas beaucoup et pourtant j'aime à dire que j'embrasse plutôt bien, grâce à ces mignons petits ourlets rosés ! De fins sourcils et des traits doux viennent achever mon portrait, sans oublier ma longue chevelure blonde.
Mes vêtements ? Je porte souvent la même tenue, que je trouve aussi pratique que charmante. Des grandes cuissardes à talons hauts qui me montent à mi-cuisses, une mini-jupe rouge à carreaux qui est assortie au petit béret que je porte parfois. Des mitaines de cuir, un gilet noir à moitié refermé sur le haut de mes seins (il est un poil petit et ne tient pas fermé...) et pour conclure, ma culotte noire et mes collants. De temps en temps, vous me verrez avec un katana rouge à la taille, quand je ne porte pas ma véritable arme dont nous parlerons plus tard.
Mental : Ce détestable exercice de présentation continue donc ? Hmpf... bon, bon. Je dois parler de mes différentes facettes psychologiques ? Au moins, vous ne vous intéressez pas qu'au physique ! Et ça c'est bien !
Vous savez, vous serez peut-être déçu. Je suis une fille somme toute assez simple. Je ne possède pas une incroyable intelligence ou une quelconque tare morale, ni même de façon de penser qui ferait de moi une personne originale. Non, je me contente d'une psyché assez ordinaire répondant de façon presque prévisible aux stimulis émotionels auxquels je suis confrontée au quotidien. Bien évidemment, ma nature particulière de combattante et avatar me dispense des réactions de jeunes filles ordinaires et je réagis parfaitement au stress, à la peur et à l'inquiétude. Je possède également un esprit tactique (plutôt nécéssaire lors des affrontements, bien qu'il ne fasse nullement de moi une stratège incroyable) et un instinct de survie un peu plus développé, atouts naturels des combattants expérimentés. En théorie, ce passage devrait être une parfaite opportunité de transition pour dire que je n'ai pas peur. Mais, vous l'apprenez, je n'aime nullement mentir... Et la peur, malgré moi, je la ressens.
Voyez vous, un avatar du Dieu-Machine se devrait d'être l'une d'entre elles. Ni émotions ni objectivité, juste des buts à atteindre de la façon la plus logique possible. Mais je suis faite sur le modèle humain, qui n'est jamais qu'une mécanique organique (du moins, c'est ce que j'ai trouvé de mieux pour justifier le fait que je ne sois pas faite de câbles et de boulons) et j'ai appris à aimer cette vie faite d'aventures et d'affrontements intenses. Aujourd'hui, j'ai peur de perdre le peu que j'ai réussi à construire au fil de mes pérégrinations. Au début, c'était l'idée de décevoir mon concepteur qui m'était insupportable. Maintenant, cette donnée est...disons...plus secondaire, même si je ne l'avouerai jamais. Chut !
Je m'efforce d'être humaine et je ne fais pas semblant. Vous me trouverez réellement surprise par une quelconque nouveauté me plaisant, ou séduite par un beau jeune homme ou une belle jeune fille qui me ferait un petit jeu de séduction. Comme n'importe qui, je m'extasie et je m'offusque, je prend position et j'essaie de faire un peu d'humour. Je ne me suis jamais sentie différente ou supérieure, bien que je sache que ma puissance face de moi une personne à part. Vous savez, j'ai même une ou deux amies tout à fait ordinaires et je me comporte le plus naturellement du monde en leur compagnie !
On dit de moi que je suis sympathique, assez extravertie. Je m'apprécie assez pour mettre en valeur mon corps mais pas suffisamment pour passer mon temps à me vanter et je sais que, parfois, je suis un peu lente à la comprenette. Je manque un peu de culture... Je fais des efforts, hein ! Je lis beaucoup et je me documente énormément, je vais même au lycée sur Terre ! Je vis sans me prendre la tête, surtout.
Gardez bien à l'esprit que je reste farouche : simple ne veut pas plus dire retardée que naïve (même si il m'arrive parfois de l'être...) et j'en ai quand même un peu dans la caboche. Je pourrais bien vous surprendre ! Au combat et en mission, je suis sérieuse et déterminée. Méfiez vous; je ne recule devant rien pour survivre. Devant rien !
Histoire : Pour vous donner les détails de mon parcours, j'aurai aimé pouvoir vous parler de mon créateur. Qui est le Dieu-Machine ? Quels sont ses desseins, ses particularités ? Je n'en sais pas grand-chose. Comment expliquer cela... Et bien, je
sais qu'il est mon maître et créateur parce que c'est
ainsi que les choses sont. Si je suis effectivement comparable à une machine, on peut dire que c'est comme cela que je suis programmée. Pour moi, mon dieu est une évidence qu'il n'est pas question de contester; vous ne contesteriez pas l'existence de vos parents !
Je n'ai jamais rencontré le Dieu-Machine, qui me parle depuis mes rêves et m’apparaît souvent sous la forme d'une espèce de haut-fourneaux aux foyers ardents figurants les yeux et la bouche. Curieuse image, à laquelle se substitue parfois celle d'un imbroglio de câbles, fils et rouages animés qui me confient d'étranges missions. Il y est question d'abattre des adversaires de la Technologie (dans le sens trèèèès large du terme) ou de récupérer des éléments de cette dernière utilisée à mauvais escient.
Depuis vingt années, c'est ça ma vie. Je suis "née" d'une sorte de bouillon primordial et j'ai reçu une éducation sommaire de prêtres dévolus au culte du Dieu-machine. De hommes inquiétants, vêtus de longues toges déchirées sous lesquelles se mêlaient sinistrement membres de chair et éléments mécaniques. Silencieux et durs, ils me formèrent à l'utilisation de mon pouvoir et de mon arme, m'enseignant aussi les bases du combat armé avant de me lâcher dans la nature. Les premières années s'apparentèrent à de la survie pure et dure tant on ne m'avait rien dit ! J'eu à apprendre la pertinence des relations sociales, les règles du monde... Ce genre de choses qui se fait normalement à l'enfance, en somme. Je ne fus pas très utile à mon créateur, tout ce temps durant : je n'avais rien pour évoluer correctement dans le monde qui m'entourait. Le Dieu-Machine fit montre de patience, même d'empathie en m'envoyant des visions qui m'aidèrent à progresser. Et finalement, au bout de cinq années, je fus apte à le servir, ce que je fis sans hésiter.
Mes tribulations furent surtout terranes mais finir par me mener sur Terre, à Seikusu, où j'en vins à découvrir un mode de vie tout à fait différent que je pus apprendre plus facilement grâce à l'expérience que j'avais accumulée jusque là. Quel délice que de parcourir ces deux mondes ! Les voir ainsi, ayant évolué de deux façons différentes mais si pleines de similitudes, ça avait (et ça a toujours, d'ailleurs) quelque chose de réellement magique. C'est sur Terre que j'en vins à m'établir comme je pus, en me faisant les bons amis.
Aujourd'hui, je ne fais rien de particulier. Je vis et attends mes ordres de mission, recherchant le frisson du combat et celui, différent mais tout aussi intense, de s'inventer et de défendre une vie.
Pouvoirs : Le don qui fait de moi le véritable avatar du Dieu-Machine, je l'ai nommé le
Build Up. C'est un pouvoir qui me permet d'utiliser l'environnement et les éléments primordiaux (surtout la Terre) pour créer de la technologie qu'on peut qualifier d'éphémères : ces "constructions" sont sommaires mais instantanées. Si le Build Up est utilisé sur de la technologie, on change de niveau ! Mes créations sont bien plus puissantes et redoutables, affichant des performances confinant à l'excellence. Bien entendu, cela dépend aussi de la dite technologie... Et là encore, ça reste temporaire.
Il existe une seconde facette de mon pouvoir, le
Reverse Build, qui peut démonter n'importe quelle technologie. Si cet effet est lui définitif, ce talent est long à mettre en pratique et requiert de moi une importante concentration. Autant dire qu'elle peut être facilement brisée !
Mon pouvoir est parfaitement illustré par le don accordé par le Dieu-Machine, à savoir l'arme qu'il a créé avec une de mes côtes : la
Maxima Blade. Cette gigantesque épée est capable de trancher n'importe quoi grâce à sa lame vibrante actionnée par le moteur faisant office de poignée. Je peux contrôler la densité et la masse de la Maxima, dont la gatling courte est alimentée par des balles issues du Build Up. Grâce à ce même pouvoir, je peux transformer la Blade en
Gun afin de m'équiper d'une arme de destruction massive à la puissance affolante. Les balles sont toujours générées par mon pouvoir et peuvent détruire quasiment tout... Mais me prennent une énergie folle, ce qui rend périlleuse l'utilisation en combat.
Je possède également des capacités physiques nettement supérieures à la moyenne humaine, ainsi que le don de passer indifféremment de la Terre à Terra.
(En me relisant, je trouve l'histoire tout à fait anecdotique et mal rédigée. J'espère que ça ne rebutera personne pour la suite :/)