« Je crois qu’il est temps que tu visites ma demeure, Lucrezia… Là, tu pourras te faire péter le cul bien comme il faut… Mais pas avant que tu te prennes un bain de bouche pour tes zozotements de pucelle. »
« Neuneuneuh ! »
En disant cela, lulu avait tirée la langue en grimaçant légèrement, exhibant alors une jolie perle noire et luisante, qui trônait au bout de son appendice linguale, taquinant du bout dudit appendice son amant foufou en dandinant ses grosses fesses puis, sur ceux, elle vint à voler un autre baiser à Vaas en faisant par la frotter son nez contre le siens.
« Tu veux que ze te suce mon gros vilain ? Hm ? »
Cette affirmation fit légèrement rire lulu qui, en ce déplaçant, faisait claquer ses talons sur le sol.
« Avoue, ça te plaît mon piercingz, hmhm ! »
Et hop ! Sur cette nouvelle affirmation, Lulu vint à se pendre au cou du mercenaire en faisant tinter ses innombrables bracelets entre-eux tout en collant ses gros obus bien ronds contre le torse de l'homme, homme qu'elle regarda longuement avec ardeur et passions, visiblement désireuse de sexe… à nouveau. La femme se dandinait outrageusement contre lui, en lui faisant comprendre qu'elle était dispo à lui faire tout ce qu'il voulait !
Avec Lulu, sexe et meurtre étaient grossomodo les mêmes choses, un moyens d'assouvir des envies, des pulsions. Aussi dépravée était sa vie, aussi sinistre était son passé, tout était lié au sexe et au sang, lucrezia était la version féminine d'un Jeffrey dahmer ou d'un Edmund Kemper, le sexe était son motif ! le frissons, l'orgasme, ses fantasmes omniprésent dans sa tête, tout ça, c'était ce qui la poussait à tuer et, entre chaque meurtre, Lucrezia baisait comme une pute ou se masturbait abondement… Une « lust killer » à l'état pur, une tueuse de luxure, voilà ce qu'était lucrezia.
Cependant, son coté « pimpant » et adolescent, lui, était du a sa mauvaise « structure » familiale et au manque d'affection qu'elle eu envers ses parents adoptifs une fois sa mère décédée. Adolescente, Lucrezia avait creusée les sillons de sa folie et de sa dépravations en usant très jeune des stupéfiants mais aussi en ayant très vite prit goût au sexe. Turbulente, rebelle, violente, fugueuse, à 15/16 ans Lulu était une vrai saloperie, devenant un échec profond pour ses parents adoptifs qui, une fois la jeune femme partit pour ses études de médecine, n'eurent plus jamais de nouvelles… Hors-mis lorsque cette dernière eu essayée de mettre fin à ses jours, quelques mois avant de… Commettre son premier meurtre.
Mais maintenant, tout ceci était du passé et, pour l'heure, Lulu s'affaira à suivre Vaas dans les ruelles sombre et puante du quartier de la Toussaint, sous le regard de quelques autres putes et de certains mac.
« Regarde là celle là… Un vrai cagot ! Ahah ! » Dit alors l'une des putes, visiblement avec une pointe de jalousie.
« Tu parle de toi là, Kazumi ? »
« Du calme mes bitche's, au lieux de regarder les copines, faite donc votre boulot. »
Kazumi, hein ? Tout en suivant Vaas, lulu c'était brièvement retournée en faisant un petit coucou à la jeune femme… Mais genre le petit coucou de pétasse avec le sourire de peste.
Un sourire qui voulait dire, au fond, un truc comme « tu vas finir dans un sac poubelle, tas de foutre. » Mais ça, kazumi le savait pas.
Suite à cette petite scène, le petit couple vint enfin à se retrouver au bout d'une ruelle, dans une impasse bien tranquille.
« Bon alors… Se sera quoi pour se monsieur, hm ? »
langoureusement, Lulu vint alors à glisser ses mains sous le débardeur de Vaas, éprouvant ainsi les beau muscles de l'homme puis, en ne le quittant pas du regard, elle s'accroupit puis, toujours aussi calmement, elle attrapa du bout des lèvres la braguette du pirate, la faisant alors descendre de manière sulfureuse et aguicheuse en regardant toujours son amant avec gourmandise. Puis, calmement, elle enfouis sa main dans la prison de tissue, extirpant ensuite la verge de l'homme de là, verge qu'elle masturba quelque peut pour finalement ce mettre à la faire tapoter contre sa joue.
C'est clair, les sandwich poulet/curry, ça remet lulu d'applomb !