Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Lucrezia.H.Nietzsche le mardi 08 septembre 2015, 22:25:02

Titre: Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mardi 08 septembre 2015, 22:25:02
Il avait suffit d'un moment d’inattention au coin d'une ruelles mal éclairée… Un rien… Une soupir… Et pouf ! Plus rien… Rien d'autre que la lourdeur cotonneuse du chloroforme et mélangé au parfum acre de l’éther. Ce soir, la Duchesse avait encore frappée et encore une fois… ça victime était une pauvre pute sans défenses (http://zupimages.net/viewer.php?id=15/37/lcsn.jpg).

« hmmmmgnn » gémit alors la jeune femme en ouvrant faiblement les yeux vers le plafond, visualisant dans un flou éblouissant la lumière pale d'une vieille lampe chirurgicale dons l'une des quatre ampoules clignotait sans cesse à la manière d'un flash stroboscopique.  La lumière lui faisait mal à la tête mais, pire encore que cette douleur sourde il y avait cette odeur acre mélangeant urine, vomie, Éther, alcool, camphre et… Une centaines d'autres choses. Mais ce qui interpella le plus notre pauvre pute en détresse, ce fut de ce sentir comme attachée… Alors, bien évidement, dans un premier temps, elle essayât de ce lever, de bouger les bras, les jambes… Mais non… Elle était bel et bien attachée, pieds et poings liés sur une longue table en acier avec en prime un vieux masque chirurgicale crasseux sur la bouche.

« hmmmgmm !!! hmmm !! »
« oh… Tu est réveillée ? »

Et là, c'est le choc… Notre pauvre brebis tourne légèrement la tête et entrevoit alors dans l'éblouissante lumière qui l’irradie, la silhouette d'une femme au forme voluptueuse. La jeune femme essaye alors de ce redresser en bougeant activement ses poings et ses pieds mais en vain, elle est totalement immobilisée et en proie à cette mystérieuse femme.
Cette femme qui bien évidement n'est autre que la sinistre et plantureuse Duchesse dont le regard luisait d'une folie sans borne. Lentement, la tueuse vint à s'approcher du corps de sa proie, caressant alors du bout de sa main gantée le ventre de la pauvre pute toute tremblante.

« chuuuuuut… Ne pleure pas… N'est tu pas heureuses d'être avec moi, hm ? »
« hmmm !!! »

Lentement, Lucrezia vint alors à lever une jambe afin de ce mettre à califourchon sur le ventre de sa victime, son intimité suintante de cyprine entrant alors en contact direct avec la peau délicate de la pauvre victime.

« tu veux que je te dise un secret ? » Lui demanda alors Lucrezia en la regardant droit dans les yeux. Approchant ensuite ses lèvres de l’oreille de la jeune femme et ce, tout en commençant à lui caresser les épaule.

« J'ai envie de toi… Haaa... »

Suite à cette phrase, Lucrezia vint à lécher le lobe d'oreilles de la pauvre femme qui, en réponse à cet acte vint à violemment tourner sa tête sur le coté ce qui, bien évidement, fit froncer les sourcils de notre Duchesse.

« Je vois... »

Toujours aussi lentement, notre tueuse vint alors à redescendre de son « perchoir » attrapant au passage une bouteille de vodka qui ce trouvait sur un petit chariot sur lequel plusieurs outils chirurgicaux était entreposés. Là, Lucrezia s'enfila une grande rasade de Vodka cul-sec. Une fois cela fait, la femme s'essuya la bouche du revers de sa main avant de vider une partit de ladite vodka sur les instruments chirurgicaux puis, de ce remplir un verre avec le reste. Ensuite la tueuse attrapa une boite de Vicodine qu'elle avait réussie a voler à une pauvre junkie. Elle fit donc tomber plusieurs cachets dans la paume de sa main droite, prit le verre de vodka de la main gauche et… HOP ! Cul sec ! Comme papa dans maman.

« Hmmgmm… Tu vois… ça, c'est pour la concentration… Je suis plus clair quand… »
« Je suis pas clair… Ahahah ! »


Toujours aussi calmement, Lucrezia vint alors à prendre en main une seringue pleine d’héroïne, seringue qu'elle approcha ensuite du corps tremblotant de sa pauvre victime qui, totalement apeurée, ne cessait d'émettre des sanglots et des gémissements.

« Chuuuuuuuut… Tu verras… Tu ne sentiras rien…tu vas même adorer ça ! »

D'une mains ferme, La tueuse vint alors à ce saisir du bras de sa victime, enfonçant ensuite l'aiguille dans la chair tendre de la pauvre femme, lui injectant alors une bonne dose de drogue directement dans le sang. Une fois cela fait, notre Duchesse reposa ladite seringue à sa place avant de prendre en main un scalpel et de revenir ce mettre à califourchon sur sa victime, son corps légèrement affalée sur celui de la pute à présent totalement « confuse » et bien moins réactive.
Lentement, Lucrezia ce mit alors à onduler sur sa victime en soupirant, en ce caressant et en ce pourléchant les lèvres.

« Hmmmgmmhaaaa ! »

Dans un grand soupir, notre Duchesse vint alors à approcher son visage de celui de sa victime, attrapant ses belles joues a pleine mains avant de l'embrasser sur la bouche. La pute, elle, elle était totalement atone et défoncée, son regard était vide et elle n'était plus maintenant qu'une poupée de chair entre les mains de Lucrezia.

« Je t'aurais avec moi… Pour l’éternité... »

La tueuse aposa un petit baiser sur le front de sa victime puis...
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le mercredi 09 septembre 2015, 02:21:50
« Tu vois, la base, c’est que le marché des putes est fondamental pour celui qui veut contrôler le foutu port. Si tu contrôles les putes, tu te rapproches des dockers, des contremaîtres, des responsables, de toutes ces conneries... »

Daitoku et Honushi parlaient tous les deux, à destination d’un troisième homme, dans ce qui faisait office de studio miteux situé le long de la Toussaint. Un appartement insalubre, qui servait de planque à ces trois individus. Daitoku, un ancien, était macro’ depuis maintenant cinq ou six ans à Seikusu, tandis qu’Honushi était un réfugié de Tokyo, où il avait réussi à se faire recruter, à Seikusu, par les Guramu. Depuis que Seikusu était Seikusu, les Guramu avaient toujours eu la mainmise sur le commerce du cul. Les maisons de geishas à l’époque, pour les aristo’, et les catins pour les dockers. La prostitution avait toujours été le meilleur moyen de contrôler le port, et le contrôle du port de Seikusu assurait une mainmise importante sur l’ensemble de la ville. C’était comme une foutue partie de jeu de stratégies ; les différents stratèges cherchaient à contrôler les points centraux, les cartes-maîtresses permettant de dominer le reste. Et les putes... Les putes étaient le moteur économique du monde depuis que le monde était le foutu monde. N’importe quel gamin attardé savait ça. Les putes étaient une poule aux œufs d’or, et les Guramu veillaient sur leur marché avec l’acharnement d’une vieille belle-mère acariâtre protégeant sa nymphomane de fille qui aurait le feu au cul comme une adolescente hystérique un jour de Mardi gras.

Malheureusement pour les Guramu, le contrôle de la prostitution était contesté par les Ruskofs, notamment le clan des Petrovski, une puissante famille mafieuse venant de Moscou, qui avait fui le pays lors de l’avènement des cocos, et en avait profité pour se refaire une santé au pays des niakoués et des adorateurs de chats.

« C’est pour ça qu’on s’équipe... On peut plus se permettre de traîner dans la rue pour défendre nos cocottes, tu comprends ?
 -  Les Ruskofs sont pas cons... Avant, ils harcelaient les filles jusqu’à ce qu’on radine, et *BAM !* La foutue balle en pleine gueule, quand ils se contentaient pas juste de nous égorger. Ils ramassent la fille, laissent un cadavre, et, parfois, y capturent le mac’, afin d’avoir des infos, tu vois... Puis y attaquent nos planques. »

Le troisième homme restait étrangement silencieux, et hocha alors lentement la tête, une petite moue approbatrice sur le visage.

« C’est une stratégie valable... Nettement plus que de se terrer dans un trou pourri derrière un écran d’ordinateur, en tout cas. »

Daitoku haussa les épaules.

« C’est ce qu’on appelle le progrès, man ! C’est pas compliqué, en fait... On greffe des puces GPS dans nos nanas, et on attend que le poisson morde à l’hameçon... Les Ruskofs les capturent, maintenant, pour obtenir des infos’... Alors, on attend qu’ils le fassent, puis on les piste, et... PAF ! »

Vaas hocha lentement la tête, tout en continuant à observer son couteau de chasse. Il comprenait cette stratégie, mais il se faisait relativement chier. Fort heureusement, il y avait quelques lignes à sniffer, ce qui lui avait permis de se calmer pour ne pas tuer d’emblée ces deux boulets. Ils se branlaient dans cet endroit sinistre, avec de vieux posters décolorés d’actrices pornographiques japonaises, dans une pièce qui puait la sueur, le sperme, et la pisse. Difficile de se dire qu’il avait quitté Rook Island pour finir ici... Mais il fallait bien compter petit, et il comprenait que le Gros-Lard ne lui donne pas un poste important d’emblée. Le Gros, au lieu de ça, lui avait dit de les aider à mettre fin aux captures de prostituées. Les Guramu pensaient que ça venait des Russes, et le Gros avait dit à Vaas que c’était pour lui l’occasion de faire ses preuves.

Être traité comme un putain de larbin... Mais, face au Gros, ses options avaient été plutôt limitées. Cet enfoiré avec son cul gros comme une barrique de vinasse était entouré de toute une saloperie d’armée, et lui, il était dans un territoire inconnu. Mais Vaas n’allait pas se contenter bien longtemps de récurer les chiottes.

« Ça y est, on a quelque chose ! Putain ouais ! La... La salope de Tokyo, là... Merde...
 -  La ganguro ?
 -  Ouais, ouais ! Elle, putain, ouais, c’est elle ! »

Ils s’esclaffèrent, et Vaas se redressa. Daitoku lui pointa du doigt un point clignotant qui s’éloignait.

« Elle s’éloigne de son secteur ! On a une piste, merde ! J’suis sûr que ça doit être ces putains de Russes ! »

Vaas hocha lentement la tête. Si c’était le cas... Il allait enfin pouvoir s’éclater.

« Okay. Cool. On attend quoi alors, mi hermanos ? Allons buter du Russe ! »



« Non, mec, pas question qu’on rentre là-dedans !
 -  Cet endroit est hanté ! Putain, mec, c’est sérieux ! Y a genre une saloperie de monstre là-dedans, ou j’sais pas quoi, mais... Putain, on y fout pas les pieds ! On appelle les renforts ! »

Vaas grommela. Non contents d’être des incompétents, Daitoku et Honushi, que Vaas choisit de baptiser « Pédale-Douce » et « Pédé-de-Merde », étaient aussi des lâches superstitieux. Ils avaient remonté la piste de la salope de ganguro venant de Tokyo, et cette piste les avait amené sur un terrain abandonné qui prenait la friche, à l’entrée d’un sanatorium, le « St Rosy Sanatorium ». Un bâtiment sinistre et grisâtre, qu’on disait hanté par les fantômes des pensionnaires suite à sa mystérieuse fermeture... Des conneries superstitieuses, mais, en voyant cet endroit, Vaas se disait surtout que ça faisait un super bon endroit pour se planquer.

Et lui, il ne comptait pas appeler le Gros-Lard. Il avait l’occasion de faire ses preuves, non pas pour plaire à la Baleine Échouée, mais pour être autre chose qu’un troufion, et pour commencer à faire ce que Vaas savait faire de mieux.

« Écoutez, les mecs... On va pas appeler Akihiro s’il y a rien là-dedans, hum ? Vous croyez que le Boss va apprécier qu’on le dérange parce qu’on fait dans sa culotte comme une pisseuse de seize ans ?
 -  M’en cogne, j’rentre pas là-dedans, moi...
 -  J’avais bien compris, fit Vaas en répondant à Pédale-Douce. Alors, voilà ce que je vous propose, mi hermanos. Moi, j’rentre, comme un putain de muchacho, de samouraï des temps modernes, et toutes ces conneries d’héroïsme à la con, et vous, vous couvrez mes arrières. Vous savez, comme... Euh... Ce mec, là... Vous savez ? Le gros pédé qui suivait le taré qui attaquait des moulins ?
 -  Sa... Sancho ?
 -  Ouais, c’est ça! Sancho ! Ce bon vieux fils-de-pute de Sancho ! Okay, mi amigos ? Vous êtes mon Sancho, et moi, je vais attaquer le moulin.
 -  C’est pas une bonne idée, man. J’te jure, on déconne pas sur cet endroit, y s’y passe vraiment des trucs chelous... »

Vaas se contenta d’un sourire amusé.

« J’espère bien... »

Il sortit alors de la voiture, puis enjamba la clôture entourant le sanatorium abandonné, et sauta de l’autre côté, puis s’avança le long des hautes herbes. Pendant ce temps, Daitoku et Hinoshu sortirent un joint, et fumèrent à l’intérieur de leur voiture.

« J’espère qu’Akihiro nous donnera vite l’ordre de le buter... J’aime pas ce mec.
 -  Akihiro non plus... Mais Vaas est notre seul lien avec Rook Island et le rakyat. Alors, garde-toi ça dans un coin de ta tête... Dès qu’il aura dit ce qu’on veut qu’il nous dise, je te laisserais personnellement lui exploser son crâne de taré.
 -  J’aime ça... »

Vaas, de son côté, s’approchait tranquillement. Rien à voir avec ses jungles, ici, il était exposé de partout... Par conséquent, il avançait normalement, écartant même les bras, puis tourna sur lui-même quand aucune mine n’explosa, avant de s’arrêter sur place, et d’éclater de rire, tout en tirant la langue, tête penchée vers le bas.

« Ah putain, les flipettes... Dément... »

Soupirant, Vaas s’approcha du perron, puis s’annonça en donnant un grand coup de pied dans la porte, puis pénétra dans le hall poussiéreux.

« HO ! LES TAPETTES ?! VAAS EST DANS LA PLACE !! WOOHOOHOOO !! BANDE DE VIEILLES PUTES DÉGARNIES, OUVREZ VOS PUTAINS DE SALOPERIES DE CUISSES !!! »

Seul le silence lui répondit... Ça, ainsi que l’écho de son cri de salutations, qui se répandit dans le hall, remontant le long des couloirs. Il venait d’entrer dans l’antre de la Bête...

...Et il avait son couteau.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 09 septembre 2015, 21:04:34
Le Sanatorium de St Rosy… S'il y a bien un endroit que les habitants de Seikusu préférerais « oublier » c'est bien celui là. Construit aux alentours des années 20, ce Sanatorium avait pour but d'apporter des soins et des possibilité de traitements au patients atteint de Tuberculoses et, plus tard, au personnes aliénés. Mais autant dire qu'à l'époque, les « soins » apportés par les médecins et les chercheurs tenait plus de la science abracadrabrank qu'autre chose et, bien évidement, ce sont les patients qui en payèrent les conséquences. Plus tard, dans les années 40, le Sanatorium fut utilisé par l'armée japonaise avant d'être en partit détruit par un bombardement avant d'être reconstruit quelque temps plus tard puis… Abandonné durant plusieurs années. Cependant, en 1963, il fut en partit rénové dans le but d'en faire le principale centre hospitalier de Seikusu… Malheureusement, à cause de son excentration et d'autres petites choses, les travaux furent abandonnés, laissant alors cette endroit vide pour de bon cette fois… Enfin, presque.

Bien évidement l'histoire de St Rosy est plus complexe et longue que cela et il vas sans dire qu'à ces début, le Sanatorium connus plusieurs centaines de décès ce qui bien évidement donnât naissance à bon nombres de rumeurs, des rumeurs pas forcement fausses d'ailleurs car si lucrezia n'a pas « peur » de cet endroit, elle en évite certaines parties…
Mais pour l'heure notre tueuse était entrain de soufflait de de soupirer en ondulant gracieusement sur le corps de sa victime, compressant les beau seins bronzée de cette ganguro empestant le maquillage et le vieux foutre. Lucrezia le savait, les ganguro était généralement des « crasseuses » mais que voulait vous, ces neuneu superficiels sont tellement drôle et tellement divertissantes.

« hmggmm… Haaa... »

Lentement, Lucrezia vint à trancher le soutif noir couvert de « pollution » de sa victime, libérant ainsi ses opulent seins, seins que lucrezia attrapa au niveau de la base en appuyant fortement dessus, gobant par la suite le tétons percé de cette tanche gavée d'UV. Petit à petit, Lucrezia s'enfonçait dans son « délire », sa folie prenait lentement place et la phase de totem allait lentement commencer, Lucrezia dépersonnalisait sa proie, la rendant comme une « chose » dans son esprit, une simple poupée de chiffon avec laquelle notre tueuse aller lentement gravir les échelons de la barbaries et de l'ignominie. La pute, elle, elle ce contentant de faiblement gémir en roulant des yeux tout en bougeant mollement sa tête de gauche à droite. Lucrezia s'amusa quelque minutes avec le seins de sa victime, mordillant son tétons, le léchant, tirant sur son piercings avec appétit et ce, tout en ce masturbant avec son autre main. Mais alors qu'elle qu'elle escalader l’Everest de sa propre démence, lulu eut alors l'impression d'entendre une autre voix résonner ce qui la fit lentement ce relever en prêtant silencieusement une oreille attentive à son environnement… Mais finalement, Lulu revint bien vite sur le sein de sa proie sein qu'elle malmena de plus en plus, mordant alors à pleine dent son tétons maintenant sanguinolent, tétons qu'elle fini par arracher en même temps que le piercings.

« HmmMmMmmMMmmm !!!! »
« Haarrptteut ! » s’exclama lulu en crachant sur le petit chariot en inox le bijoux de la femme.
« Haaa… Haaa… Putain tes bonne toi... »

Lucrezia essuya le sang qui coulait de sa bouche d'un revers de sa main avant de fermement attraper les joues de sa victime, approchant ensuite son visage prêt de celui de la ganguro tout en continuant sa masturbation, enfonçant ses doigt bien profondément dans son intimité baveuse »

« Il y a tellement de mutilations que je pourrais te faire… HaaaaaAAAaa ! »

Et hop ! La tueuse vint une nouvelle fois à embrasser la pauvre pute sur la bouche avant de ce redresser en s'étirant dans un grand soupir de satisfactions. La Duchesse prenait tout son temps… Elle ne l’achèverais pas maintenant, elle voulait jouer avec elle, s'amuser, ce masturber et jouir sur son corps une dizaines de fois avant de finalement l'éventrer et la jeter comme on jette une jouet cassé.
Notre tueuse ce masturba donc longuement sur le corps de cette pauvre femme en ce déhanchant langoureusement et en soupirant a chaque vas et viens de sa mains et de ses doigt dans son intimité. La tueuse avait les cuisses largement écartée, la tête e arrière et la bouche entre ouverte, elle ce mordait les lèvres et soufflait comme une chienne en chaleur, sortant par moment sa langue de sa bouche pour la faire glisser frénétiquement sur sa cicatrices avant de commencer à sentir la jouissance monter en elle.

« HmMmgmmnn haaa ! Haaan ! »

Voilà que notre tueuse ce mit alors a bouger son bassin au rythme de sa masturbation et ce de plus en plus frénétiquement,  emplissant la pièce de bruit pervers et obscène, le bruit du latex qui glisse sur les muqueuse dégoulinante d'une tueuse en série sur le point de balancer sa mouille au visage d'une pauvre femme qui elle, était sur le point de vivre ses dernières heures sur cette putain de terre.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le vendredi 11 septembre 2015, 02:20:49
Quand Vaas était un gosse, il dormait dans les bunkers abandonnés de Rook Island, près de cadavres, des soldats tués par les Rakyats et laissés là, comme un rappel envers tous ceux qui voudraient à nouveau envahir l’île. L’histoire du sanatorium lui était inconnue, mais Vaas était bien placé pour connaître la puissance évocatrice et symbolique des lieux abandonnés, où des meurtres avaient eu lieu. L’être humain avait une propension naturelle au surnaturalisme, ce que notre homme savait, mais lui était lucide. Pendant des années, il avait vécu dans les profondeurs de la jungle de Rook Island, préparant sa vengeance contre un ordre fanatique l’ayant séparé de sa sœur. Il avait combattu des serpents, dompté des araignées, se reposant dans les bunkers, se protégeant de la pluie et des nuits glaciales dans des grottes humides. Aucun démon n’était jamais venu le tourmenter, ni aucun autre fantôme... Peut-être bien que les démons avaient peur de lui.

Vaas s’avança dans le hall, bras écartés, mais, après sa provocation, aucune balle ne vint le tuer, aucun bombe ne vint exploser. Le silence lui répandit, et il soupira, tout en se demandant ce que la ganguro était allée faire là-dedans. D’un autre côté, il y avait peut-être bien des Russes par ici. Notre homme s’avança donc, et, après sa provocation, changea de comportement. Vaas était instable, cruel, sadique... Mais il n’était pas idiot. Il avait grandi dans Rook Island, et il avait été l’un des plus dangereux Rakyats de l’île. Et, ici, dans cet immeuble abandonné et plongé dans la pénombre, il était facile de se confondre dans l’obscurité, même si son débardeur rouge le trahissait un peu. Néanmoins, il veillait à étouffer les bruits de pas en montant, diminuant aussi le bruit de sa respiration. Moins il y aurait d’ondes sonores parasites, plus il entendrait... Le sanatorium était composé en deux ailes : une aile Ouest, menant, d’après les panneaux poussiéreux, vers la zone psychiatrique, et une aile Est, menant vers la zone chirurgicale.

Par où aller ? Vaas resta silencieux pendant quelques minutes... Puis tourna la tête en entendant des soupirs. Ou, plutôt, un profond soupir, suivi de plusieurs soupirs, portés par un couloir.

*Enfin un signe !* songea-t-il.

L’homme se releva, et s’avança. C’était typiquement féminin... Est-ce que la ganguro avait comme kif’ de s’envoyer en l’air dans un sanatorium ? Ou est-ce que son client l’avait envoyé ici ? Putain ! Si c’était juste une salope qui avait voulu leur faire un tour, Vaas les tuerait probablement tous les deux, elle et son connard de client amateur de lieux hantés, pour lui avoir fait perdre à ce point son temps. Et, plus il s’avançait, plus il entendait... Des bruits de frottement. Mais ce n’était pas le frottement d’une chair contre une autre, plutôt... Des crissements.

Qu’est-ce que c’était que ce bordel ?!

La réponse vint d’elle-même quand il approcha d’une porte entrouverte. Il discernait clairement des soupirs de plaisir, et s’approcha, la main sur son couteau, et pencha la tête... Lui tournant le dos, une femme dans une robe en latex noire brillante se dandinait au-dessus de la ganguro, attachée sur une sorte de lit d’opération. Tout le corps de la ganguro était visible, et la fille en robe de latex noire se dandinait au-dessus de son visage, inondant son visage de mouille. Muet de stupeur (et c’était bien rare que ça lui arrive), Vaas mit quelques secondes avant de comprendre.

*Putain, c’est cette salope, là... La Duchesse !*

Il voyait ses cheveux bleus, cette silhouette massive. Vaas, bien évidemment, s’était renseigné sur Seikusu en venant, et avait appris, en lisant les journaux, la mort d’une psychopathe qui avait défrayé la chronique depuis des mois, la Duchesse. Une tueuse cruelle et perverse qui s’en prenait aux femmes, et dont l’ultime coup d’éclat avait été de se faire passer pour une infirmière en attaquant un hôpital. On disait qu’elle avait été tuée lors de l’intervention policière visant à l’appréhender, mais... Manifestement, elle était bien vivante, et était dans son délire.

Vaas s’avança alors prudemment, réfléchissant rapidement, la bouche légèrement ouverte. Le couteau de chasse se tenait dans la main, et la Duchesse semblait sur le point de jouir. Il observait le cul de cette femme en train de remuer, magnifiquement mis en valeur par sa robe en latex.


*Vas-y, chica, jouis, jouis donc...*

Emportée dans son élan, la Duchesse était partie dans son monde... Et, quand elle réalisa que quelqu’un se tenait derrière elle, il était trop tard.

Vaas la frappa à la nuque avec le pommeau de sa dague, l’assommant pour le compte.



« Debout, cocotte ! »

Fût-ce sa voix qui la réveilla ? Ou la lumière éblouissante de la grosse lampe chirurgicale ? En tout cas, quand la femme commença à remuer de la chaise sur laquelle elle était attachée (http://www.zupimages.net/up/3/55479795.jpg), Vaas écarta la grosse lampe, et resta face à elle.

« Hey, salut, beauté ! T’sais que t’es encore plus bandante que ce que j’imaginais en entendant parler de toi, hum ? »

Pour éviter des insultes, il avait mis un bâillon sur sa bouche, et se tenait face à elle, les jambes légèrement pliées, avec un sourire sur les lèvres. La Duchesse avait dû dormir à peine cinq minutes, le temps de l’attacher, et de la réveiller vite fait.

« Moi ? J’suis Vaas, ma poupée... Mon nom te dit rien, chica, et c’est normal... Mais t’as intérêt à vite l’retenir, trésor, parce que, si tu me casses les couilles, ma beauté, je t’étripe comme un poulet. Tu vois ? TCHIC-TCHAC, comme ça ! Je remonte de ton nombril jusqu’à tes nibards, ZZZIOUP ! Et, entre nous, ce serait dommage de tuer de la si belle viande, hum, tu crois pas ? Alors, ma poupée, voilà ce qu’on va faire...J’regrette sincèrement de t’avoir assommé pendant que tu prenais ton pied, mais, si je m’étais annoncé à toi, genre comme un galant homme et tout, ben... J’suis sûr que tu m’aureais buté, t’vois ? Et j’voulais pas que notre idylle commence par une engueulade de couple, merde ! Alors, je vais t’enlever ton bâillon, beauté, et, si tu me gueules dessus, ben, j’vais aussi t’gueuler dessus, et t’aimeras pas ça, parce que... TCHIC-TCHAC, tu te rappelles, trésor ? Okay ? »

Il laissa passer quelques secondes, puis porta sa main à sa bouche... Et tira sur le bâillon.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le vendredi 11 septembre 2015, 12:00:23
Lulu n'avait pas vraiment eu le temps de comprendre ce qui ce passait, ni de voir son agresseur et, au fond, c'est un peu normal vu qu'au moment même où ce « type » l'avait cogné, notre pauvre Duchesse était sur le point de jouir… Pas glop ça, vraiment pas glop du tout même.
Au lieux d'une cascade de cyprine, notre tueuse avait alors eu droit à une myriade d'étoiles, sombrant quasiment aussitôt dans les vapes, le black out total quoi…



« Hmgmmn… »

Une voix… Puis une lumière aveuglante légèrement  floutée par le choc puis… Les liens. Lentement, Lulu vint à ce tortiller sur place en gémissant légèrement, comprenant alors très vite qu'elle était dans… La même foutue situation que la Ganguro sur laquelle notre tueuse était à deux doigt de jouir il y avait de cela quelque minutes (ou quelque heures, car lulu ignorait combien de temps elle était restée dans le cirage.) Toutefois, notre tueuse revint bien vite « sur terre » et c'est en voyant son « agresseur », qu'elle comprit l'ampleur du truc. Ce type était vraiment chelou, il n'était vraiment pas comme tout ces type de la mafia tirés à quatre épingles, lui… Lui il était plus « sauvage », plus « bestiale » et, au fond de ses yeux, l'homme avait cette petite étincelle de folie que lulu connaissait bien, attestant d'un ou plusieurs troubles mentaux plus ou moins graves.

« Haanwmmm !! » gémit elle alors en gesticulant sur le siège avant de finalement soupirer, comprenant que ce gars l'avait bien attachée. Là, notre duchesse du crime vint alors à rouler des yeux en soupirant de plus belle avant de… Bas de regarder ce fou dans les yeux.

« Hey, salut, beauté ! T’sais que t’es encore plus bandante que ce que j’imaginais en entendant parler de toi, hum ? »

En entendant cela, Lucrezia eu un petit haussement de sourcil.

« hmm ? »

Bien qu'étrange, ce type semblait pas spécialement « méchant » envers elle… Enfin, lulu n'en savait foutrement rien mais là… Là notre tueuse était un peu perdue, plusieurs questions ce bousculaient dans sa tête en plus d'avoir aucune putain d'idée de ce que sa proie était devenue… Sérieux quoi… Elle était où ?

« Moi ? J’suis Vaas, ma poupée... Mon nom te dit rien, chica, et c’est normal... Mais t’as intérêt à vite l’retenir, trésor, parce que, si tu me casses les couilles, ma beauté, je t’étripe comme un poulet. Tu vois ? TCHIC-TCHAC, comme ça ! Je remonte de ton nombril jusqu’à tes nibards, ZZZIOUP ! Et, entre nous, ce serait dommage de tuer de la si belle viande, hum, tu crois pas ? Alors, ma poupée, voilà ce qu’on va faire...J’regrette sincèrement de t’avoir assommé pendant que tu prenais ton pied, mais, si je m’étais annoncé à toi, genre comme un galant homme et tout, ben... J’suis sûr que tu m’aurais buté, t’vois ? Et j’voulais pas que notre idylle commence par une engueulade de couple, merde ! Alors, je vais t’enlever ton bâillon, beauté, et, si tu me gueules dessus, ben, j’vais aussi t’gueuler dessus, et t’aimeras pas ça, parce que... TCHIC-TCHAC, tu te rappelles, trésor ? Okay ? »

Lucrezia vint alors à cligner des yeux en hochant légèrement la tête, puis, enfin, l'homme lui retira son baillons. Là, notre Duchesse s’humectât les lèvres brièvement avant de dire.

« euh… »

« euh… » ? Sérieusement, lulu ne savait pas trop quoi dire, ce type était vraiment cinglé, ça ce voyait encore plus que chez elle mais pour une raison étrange, il ne semblait pas lui vouloir de mal… Serait ce un fan ? Possible, mais toujours est il Lulu était un peu confuse, la drogue, l'alcool, puis ça là… C'était pas facile pour elle de tout coordonner dans sa tête mais… Très vite, le naturelle de lulu revint au galop, oubliant alors légèrement le possible danger de cette situation pour ce mettre à parler plus normalement tout en restant prudente cependant.

« Tu… Tu me veux quoi… Hein ? »

Elle n'avait pas gueulée, sa voix était un peu confuse, certes, mais elle n'avait pas gueulée ! Car oui, lulu était peu être folle et défoncée, mais elle avait parfaitement compris ce que ce type lui avait dit et, au vus de la lueur de démence qui luisait dans ses yeux, il vas sans dire qu'il le ferait son TCHIC-TCHAC.

« S'il te plait… Dit rien à personne pour cette endroit, promis, si c'est la pute que tu veux, reprend là, mais dit rien à personne au sujet de moi et de… Ma maison... »

La jeune femme ravala alors sa salive avant de dire sur un to plus calme et légèrement implorant

« Libère moi… Je… Si tu veux je peut… enfin, libère moi d'abord, j'aime pas être attachée comme ça... »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 14 septembre 2015, 09:29:16
Pauvre psychopathe... Elle s’apprêtait à passer une soirée peinard, à torturer la ganguro qui planait toujours à côté, à la découper à petit feu, et voilà qu’elle tombait sur un prédateur. Vaas avait retiré son bâillon, et comprit vite que cette fille était intelligente... Bien plus que toutes ces connes de touristes qui trouvaient amusant et siiiiii atypique de se rendre sur son île. Elles, elles hurlaient toujours, lui cassant les oreilles, lui donnant envie de les tuer instantanément. Elle, là, cette nana en latex noir brillant (une tenue qui ne laissait pas Vaas indifférent), elle comprit vite qu’elle avait affaire à quelqu’un qui n’aimait pas qu’on lui prenne la tête, et elle prit le temps de réfléchir. Deux dingues parlant ensemble, ça risquait forcément de faire une conversation intéressant ? Néanmoins, assez rapidement, il perçut la peur chez cette femme. La peur qu’il la dénonce à la police, la peur qu’il profite d’elle pour mettre fin à son petit trafic... Et Vaas, lui, exultait. Cette situation l’amusait beaucoup. Elle demanda ensuite à être libérée, ce qui le fit à nouveau sourire... Puis, en réalisant tout l’absurde de la situation, il se mit à rire.

C’est ainsi que, face à une Duchesse paniquée, Vaas éclatait de rire, la tête relevée vers le haut, avant de soupirer bruyamment.

« Oh la vache ! Oh putain ! Mais putain, quoi ! Est-ce que tu réalises... Est-ce que tu as la moindre petite idée de tout le délire de cette situation, chica, hum ? Putain, putain, putain... »

L’homme secoua à nouveau la tête, un sourire amusé niché sur les lèvres, et se rapprocha alors d’elle, pliant les genoux, mettant ses deux mains vers sa tête, un doigt de chaque main venant s’apposer contre ses tempes.

« Tu comprends ? C’est un quiproquo, merde ! Une putain... De saloperie... De QUIPROQUO ! Y sont où les Russes, là, hein, MERDE ? Y sont où, mes putains de Ruskofs ?! Putain, putain putain !! Tu les as vus, hum ? Tu les as vus se planquer quelque part, dis-moi ? Non, bien sûr ! Y se foutent d’ma gueule ! Tu m’as fait une putain de saloperie de fausse déception, chica. Tu comprends ça ? Ça me fend le cœur, là... »

Il s’était penché vers elle, puis se releva, en l’observant, et attarda ses mains sur ses hanches. Elle aurait beau vouloir se débattre, Vaas était le maître de la situation, et n’avait visiblement guère envie de la satisfaire, en lui ôtant ses liens.

« Du latex... Tu sais que ça te va plutôt bien ? J’veux dire, t’es vachement bien roulé là-dedans... Si j’pouvais m’attendre à tomber sur une telle beauté en venant ici... Mais toi, chica, t’es vraiment super bien roulée... »

Vaas hocha la tête, d’un air expert, puis fléchit à nouveau les genoux, son visage se rapprochant du sien.

« T’es la Duchesse, hein ? La foutue putain de Duchesse, quoi ! Merde ! J’croyais que t’étais morte... Mais tu m’as l’air bien chaude, pour une morte... Ben quoi ? T’as l’air moins jouasse que tout à l’heure, hein, quand tu baisais cette autre salope, là... Tu m’prends pour un flic, peut-être ? Tu crois que j’vais te dénoncer ? Non, non, poupée... Tu comprends, ça ? On est ensemble, maintenant, toi et moi... »

Pour le montrer, il plaça ses deux doigts devant ses yeux, puis les tourna vers les yeux de la Duchesse.

« Maintenant, dis-moi... Est-ce que tu tues que des nanas ? T’es sexiste ? »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 14 septembre 2015, 12:32:16
Lucrezia ne comprenait pas vraiment cette histoire de quiproquo et de ruskoff, c'était un peu louche tout ça mais… Pour une raison qu'elle ignorait, elle avait envie de croire ce type. Alors certes, ce gars était clairement dingue, mais lulu ne l'était elle pas aussi ? Pourquoi ne pas tenter le coup après tout… Ce gars semblait être « fan » d'elle et en y réfléchissant bien… Il n'était pas si mal battis alors oui… Pourquoi pas.
Lucrezia ferma brièvement les yeux en soupirant, prenant quelque secondes pour réfléchir puis, lentement, elle ré-ouvrit ses beaux yeux bleus en regardant ce type visiblement très intrigué par elle et par ses meurtres.

« Maintenant, dis-moi... Est-ce que tu tues que des nanas ? T’es sexiste ? »

La femme clignât légèrement des yeux en s'humectant les lèvres puis, lentement, sur un ton plus détendue, elle vint à dire ces quelques mots.

« Ouai… Je tue que des femmes… C'est mon trip… Haaa »

Ouai, pour sur que c'était son trip ! Découper de la pervenche, les torturer, jouir dessus puis plonger ses mains dans la fiévreuse moiteur de leur entrailles.

« Mais… En toute franchise… J'ai un petit faible pour les gamines. » Lâcha t-elle en ce léchant légèrement la lèvres supérieur.

Petit à petit, Lucrezia vint à ce détendre, bien qu'au fond d'elle une petite voix continuer de lui dire d'être prudente. Elle aurait put hurler, ce débattre et avoir peur, comme des centaines d'autres femmes dans cette situation, mais nan… Lulu restât calme et lentement, son regard devint plus… Enfin, le regard de Lulu, celui d'une chienne folle et complètement défoncée. Lentement son regard détailla l'homme de bas en haut, s'arrêtant au final au niveau des beau yeux de ce dernier. Là, Lucrezia vint a légèrement bouger ses hanches sur l'espèce de table d'opération avant de lui dire.

« Pourquoi cette question ? Tu aurais peur de moi ? »

La femme esquissa une léger sourire en remuant une seconde fois sur le lit en ne quittant pas ce grand fou du regard et en ce payant même le luxe de ce mordre la lèvres inférieur. Petit à petit, Lulu revenait plus « normal », sentant qu'elle n'avait pas affaire à un homme « normal », mais à un autre cinglé, quelqu'un qui peut être pouvait la comprendre sans la juger, sans vouloir la soigner non plus et donc… Bas un possible copains de « jeux », un copains dangereux, certes mais visiblement, il ne semblait pas vouloir la découper en tranches.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le mercredi 16 septembre 2015, 11:23:15
On finissait toujours par tomber sur plus gros que ce soit. La Duchesse était une prédatrice, une tueuse, mais elle ne s’attaquait qu’à du menu fretin. Des putes, des nanas défoncées sous crack, des étrangères ne parlant pas un mot de ce putain de langage de pédé de niakoués... Rien à voir avec des chasses dignes de ce nom. Quant aux « gamines ». Ça, sérieux, c’était bas, même pour Vaas. Mais cette nana était tarée, alors, il pouvait le comprendre. L’homme hocha lentement la tête, avant de se masser le menton, réfléchissant un peu. Quelle suite donner à cette histoire ? Ce n’était qu’un foutu quiproquo de merde, et il savait que cette nana, elle avait excité la Baleine Échouée. S’il la butait, mais genre, là, maintenant, d’une bonne vieille balle nichée entre les deux yeux, avec la montagne de cadavres en pièces détachées à côté, le Gros-Tas lui en serait redevable... Mais Vaas en avait rien à foutre d’être redevable ! Il avait suffisamment sucé la queue de ce connard de Volker comme ça. Ce qu’il voulait, c’était buter la Baleine, et prendre sa foutue place, et pouvoir se niquer des salopes à perte de jouer, tout en transformant Seikusu en terrain de chasse. Il avait entendu parler de ces types bariolés, ces individus costumés aux super-pouvoirs. Un sacré défi en perspective, des promesses alléchantes... Alors, ouais, il devrait en toute logique buter cette folle tordue... Mais, de ce qu’il savait, elle avait rencontré une autre salope en tenue moulante, Baltringue-Girl, ou un truc comme ça. Peut-être qu’elle pouvait lui en dire plus sur ceux qui dirigeaient vraiment la ville ? Car le Gros-Tas-De-Merde n’était qu’un pignouf, un ancien maître qui était en train de voir son royaume péricliter lentement, au fur et à mesure que Baltringue-Girl et les autres super-gouines en manque de queue à fourrer continuaient à foutre le bordel, à instaurer un peu de chaos dans un système qui, aux yeux de Vaas, paraissait bien chiant et bien fade.

L’homme réfléchissait donc, quand, retrouvant du poil de la bête, la Duchesse, qui se tortillait sur ses liens (en faisant crisser sa combinaison en latex, et Dieu sait que Vaas aimait bien ça, sentir ce criiiiiiiiissement), finit par lui demander s’il n’avait pas peur d’elle. L’homme, qui lui tournait alors le dos, se retourna soudain, en écarquillant les yeux, et baissa légèrement la tête vers elle.

« Pardon ? demanda-t-il alors. Excuse-moi, tu... Tu peux répéter ? Je crois que j’ai mal entendu. C’est bizarre, mais, tu vois bébé, j’ai cru que, pendant une seconde, oh, une toute petite seconde, infime, ridicule, tu avais insinué que... Que moi, je... Je pourrais a... Avoir... Peur ?! »

Tout en parlant, il s’était lentement rapproché d’elle, puis l’expression de surprise sur son visage laissa place à une lueur de rage, ses yeux se remplissant de fureur. Sa main fusa alors, et attrapa alors la gorge de la femme, l’amenant au silence, tandis que son visage s’approchait du sien, leurs nez venant presque se frôler.

« EST-CE QUE J’AI L’AIR D’AVOIR PEUR ?! HEIN ?!! TU CROIS QUOI, ESPÈCE DE SALOPE ?!! QUE J’AI PEUR DE TOI ?!! PUUTAIN !! Mais de quoi est-ce que je devrais avoir PEUR, hein ? DIS-MOI ! DIS-MOI DE QUOI JE POURRAIS AVOIR FOUTREMENT PEUR, AVEC TON CORPS DE SUPER-PÉTASSE LIGOTÉE COMME UN KILO DE BOEUF PRÊT À FINIR DÉCOUPÉ DANS LE PUTAIN D’ABATTOIR DE MEEERDE !!! TU CROIS QUOI, HEIN ? SALOPE ?!! QUE TU PEUX ME DIRE, AVEC TA PUTAIN DE BOUCHE DE SALOPE DE SUCEUSE DE PINES, QUE J’AI FOUTREMENT PUTAIN DE PEUR ?!!! »

Il continuait à serrer sa nuque, se collant contre elle, et relâcha alors sa gorge... Pour planter son couteau dans le fauteuil, juste à côté de l’épaule de la femme. Le genou de Vaas s’enfonça alors contre le bas du fauteuil, tapant sur le bas-ventre de la femme, enfonçant le fauteuil vers l’arrière.

« Tu te fous de ma gueule, SALOPE, c’est ça ?! J’AI L’AIR ?!! NON, MAIS EST-CE QUE J’AI L’AIR D’AVOIR PEUR, LÀ ?!! »

Vaas crut alors la voir remuer des lèvres, et frappa contre le mur, puis lui hurla alors dessus, sa voix rugissant dans tout le sanatorium :

« FERME TA PUTAIN DE GUEULE !! FERME TA PUTAIN DE GUEULE !! FERME. TA. PUUTAIN. DE. GUEEUUUULLLEEE !! Je vais te buter, SALOPE, tu comprends, ça ?!! JE VAIS TE BUTER, ET J’IRAIS EXPRÈS EN ENFER POUR DÉTERRER TON CADAVRE DE SALOPE, ET JE TE TUERAI ENCORE DANS CE PUTAIN D’ENFER DE MERDE !! Ferme ta gueule. »

Il posa alors une main sur son visage, l’autre venant relâcher le couteau, et il l’approcha de la gorge de la femme. Si simple, si simple... Le bout de la lame caressa sa peau, alors que la respiration de Vaas était lourde, et que son visage, fermé, ne laissait même pas transpirer un sourire de malice. Il enfonça très légèrement la lame. Il suffisait alors à la Duchesse de faire un simple faux mouvement, et le redoutable couteau lui trancherait la gorge.

Puis, alors que le temps sembla se suspendre, Vaas écarta le couteau, et le fit descendre le long de la combinaison de latex. Il ne la trancha pas, mais on pouvait entendre le couteau remuer.

« Est-ce qu’on t’a déjà dit... Quelle était la définition de la folie ? »

Il retira alors sa main de la bouche de la femme, tandis que le couteau arborait sa descente vers son intimité.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 16 septembre 2015, 15:57:28
Sur le coup… Lulu n'avait pas vraiment tout compris (une fois encore) mais alors… Pas du tout !
Elle, elle avait juste voulue faire de l'humour, rigoler quoi mais visiblement, ce type n'avait pas la fibre humoristique. Cet ainsi que ce Vaas vint à bondir sur notre pauvre Duchesse en lui attrapant fermement le cou. Dans un premier temps, Lucrezia écarquilla ses yeux en grand, visualisant ainsi le regard emplie de rage de ce mec tombé de nul part. Mais bien vite, la drogue, l'alcool et la folie (et la peur aussi) eurent vite fait de créer une étrange réactions dans la tête de notre pauvre Lulu qui,  quand elle entendit l'homme hurler sur elle, vint à fermer les yeux en ce crispant et en ce recroquevillant légèrement sur elle.

« EST-CE QUE J’AI L’AIR D’AVOIR PEUR ?! HEIN ?!! TU CROIS QUOI, ESPÈCE DE SALOPE ?!! QUE J’AI PEUR DE TOI ?!! PUUTAIN !! Mais de quoi est-ce que je devrais avoir PEUR, hein ? DIS-MOI ! DIS-MOI DE QUOI JE POURRAIS AVOIR FOUTREMENT PEUR, AVEC TON CORPS DE SUPER-PÉTASSE LIGOTÉE COMME UN KILO DE BOEUF PRÊT À FINIR DÉCOUPÉ DANS LE PUTAIN D’ABATTOIR DE MEEERDE !!! TU CROIS QUOI, HEIN ? SALOPE ?!! QUE TU PEUX ME DIRE, AVEC TA PUTAIN DE BOUCHE DE SALOPE DE SUCEUSE DE PINES, QUE J’AI FOUTREMENT PUTAIN DE PEUR ?!!! »

Chaque haussement de ton faisait légèrement frémir notre Duchesse qui, pour le coup, commençait à ce sentir « mal » mais… Là, ça aller encore. Par contre, c'est quand Vaas commença a approcher sa lame de la gorge de lulu que cette dernière vint vraiment à avoir… Pas peur mais… Une sorte de « Flash » qui la propulsa l'espace d'un instant dans les méandres de son passé… Au moment précis ou le psychopathe qui était en face d'elle, vint à dire ces mots :

« FERME TA PUTAIN DE GUEULE !! FERME TA PUTAIN DE GUEULE !! FERME. TA. PUUTAIN. DE. GUEEUUUULLLEEE !! Je vais te buter, SALOPE, tu comprends, ça ?!! JE VAIS TE BUTER, ET J’IRAIS EXPRÈS EN ENFER POUR DÉTERRER TON CADAVRE DE SALOPE, ET JE TE TUERAI ENCORE DANS CE PUTAIN D’ENFER DE MERDE !! Ferme ta gueule. »


Et bam… La sang de lucrezia ne fit qu'un tour… La femme avait ré-ouvert ses yeux en grand, ne discernant cependant plus qu'une silhouette sombre penchée au dessus d'elle et ce, à cause de la lampe chirurgicale toujours allumée non loin de là. Sauf que… Bas… C'était pas une bonne idée de gueuler sur Lucrezia ce genre de choses en étant dos à une forte source lumineuse. Lulu, à cet instant précis n'avais pas fait qu'entendre la voix de Vaas mais aussi la voix de son père et le fait que ce type la surplombe avec un couteaux ne faisait qu'accentuer cette « sensation » chez Lucrezia.
Aaaah… Oui, les fou c'est magique, c'est comme des kinder surprises ou… Plutôt comme une gros bâtiment plein de portes, le seul soucis avec lulu, c'est que chaque porte renvois à une émotions ou à un souvenirs, susceptible de mener à un autre couloir plein de portes… Enfin, vous voyez le bordel.
Fort heureusement pour Vaas, son coup de gueule avait était suffisamment fort pour ne pas énerver la Duchesse qui, là, pour le coup, était totalement déconnectée, elle était consciente mais… Ailleurs, à telle point qu'elle ne releva même pas la question de l'homme. Elle resta comme ça plusieurs secondes (qui lui parurent une éternité d'ailleurs) avant de lentement reprendre conscience… Oubliant petit à petit l'image de son père tout en restant muette, ce contentant simplement de regarder l'homme faire glisser son couteau sur sa combinaison et, même quand la lame froide dudit couteau vint à effleurer ses lèvres intimes, lulu ne dit rien, pas un soupir, pas un gémissements…

Voilà, il avait tout gagné… Il aurait put avoir une jolie demoiselle chaude pour ce soir, au lieu de ça,  son coup d'éclat avait « sonné » Lucrezia lui faisant perdre sa libido et son désir. Lucrezia esquissa une petite mou vexée puis, sans rien dire elle tourna sa tête sur le coté. Ne prenant même pas la peine de le regarder, au lieu de ça, la femme baissa les yeux en tremblant des lèvres.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le jeudi 17 septembre 2015, 10:03:59
C’est comme si elle avait été déconnectée. Ses yeux fixaient le vide, et elle n’émettait plus aucune réaction, ce qui amena Vaas à froncer les sourcils.

« Hey ? Hey, chica ? Qu’est-ce qui t’arrive, là ? T’as plus de piles ? »

La seule réaction de la femme fit de tourner la tête sur le côté, en fermant les yeux. Toujours assis sur elle, Vaas retira son couteau, restant silencieux pendant quelques secondes.

« C’est parce que j’ai haussé le ton, c’est ça ? Tu es sensible, chica ? » hasarda-t-il alors.

L’homme se mit à sourire, et l’embrassa alors sur la joue, puis posa sa main sur son menton, la forçant à tourner la tête vers lui.

« Regarde-moi, bébé... J’ai l’air d’être le méchant, hum ? j’veux dire... On discute, là, toi et moi... Si je voulais te tuer, je l’aurais déjà fait, on aurait pas cette conversation, tu comprends ? »

Plus rien à voir avec l’homme colérique qui lui hurlait dessus... Vaas adoptait une voix douce, tendre, presque charmante, son visage proche du sien, et il alla alors l’embrasser sur les lèvres. L’homme était maître de la situation, et se redressa alors, posant ses mains sur les épaules, sentant le latex, ce délicieux latex. Il n’avait jamais vraiment goûté à cette texture, et, pourtant, il la trouvait sublime, élégante, moulante, raffinée... Bref, il était fan. Il se releva alors, le couteau dans la main, et sortit alors de sa ceinture un pistolet. Il visa alors le mur, et fit feu. La détonation résonna dans toute la pièce, puis il regarda la femme... Et lui lança l’arme, qui heurta son ventre, et tapa sur ses cuisses.

« Je veux pas qu’on se fâche, bébé... J’veux dire... J’crois pas au destin et à toutes ces conneries, mais... Tu sais, je suis pas venu de bonté de cœur sur cette ville de merde. J’ai eu, comme qui dirait... Un revers professionnel. J’suis condamné à rester ici quelques temps, et... J’suis pas idiot, t’sais. Toi, t’échappes aux flics, aux Yakuzas, et à toute cette merde, depuis des années. Alors, soit t’as une chatte d’enfer, soit tu connais cette ville, et les endroits où on peut se planquer. Bref, j’ai besoin de toi, et, si je voulais savoir pourquoi tu tues des mecs, c’est parce que, mis à part moi, bébé, y a deux autres blaireaux qui sont en bas, et qui attendent mon signal pour savoir s’il faut envoyer la cavalerie ou non... »

Tout en parlant, l’homme s’était rendu dans le dos de la femme, et entreprit alors de la détacher, coupant chacun de ses liens avec son couteau.

« Donc, j’voulais savoir si t’aurais le cran de les buter toi-même, mon cœur, ou, si tu voulais que je le fasse pour toi... T’sais, genre le chevalier servant qui fait plaisir à sa Dame en lui donnant un cadeau, et toutes ces conneries... Mais j’vois que mon engouement heurte ton petit cœur de poète, ma chérie... Car tu es une poète, chica, je le sens en toi, une putain de salope de putain d’artiste... »

Le tueur alla alors se mettre devant la femme, récupéra le pistolet, et le mit dans la main de la femme, puis se mit à genoux devant elle, et bougea sa main de telle sorte que le canon du pistolet ne se trouve sur sa tempe.

« Vas-y, bébé, tire... Abats-moi si tu m’en veux ! Tue-moi, et tue ces deux baltringues, là-bas, dehors ! Tire ! Ou accepte notre flamme commune ! »

La petite subtilité que Vaas avait oublié de dire à Lucrezia, c’est qu’il avait remis le cran de sûreté... Cinglé, peut-être, mais Vaas n’était pas non plus fou !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 17 septembre 2015, 18:50:18
« C’est parce que j’ai haussé le ton, c’est ça ? Tu es sensible, chica ? »

Lulu, une fois encore ne répondue pas à la question de l'homme, mais elle fut cependant surprise de le voir redevenir… Doux ? L'homme embrassa Lucrezia sur la joue puis, vint à tourner  le visage de la belle face au siens, faisait ainsi croiser leur regard, regard que Lulu maintenue cependant assez bas.

« Regarde-moi, bébé... J’ai l’air d’être le méchant, hum ? j’veux dire... On discute, là, toi et moi... Si je voulais te tuer, je l’aurais déjà fait, on aurait pas cette conversation, tu comprends ? » Lui dit il à nouveau avant de lentement approcher ses lèvres de celles de Lucrezia, volant alors un autre baiser à cette dernière qui, lentement, levât ses yeux vers ceux de Vaas tout en ce mordant les lèvres.
Elle ne savait vraiment pas quoi penser de lui. Tantôt il était fou, tantôt normal, tantôt doux… Sérieux, même pour Lulu ça faisait beaucoup de trucs à gérer d'un coup, cependant… Elle ne pouvait nier le fait que ce type soit « attirant » car, bien que fou, il exerçait un certain « poids » sur notre Duchesse, une sorte d'attraction bizarre que Lulu essaya toutefois de rejeter.
Mais à peine eu telle le temps de ce remettre de ses émotions, que l'homme vint à sortir un flingue, flingue avec lequel il vint à tirer dans le mur en faisant légèrement glapir lucrezia qui tressauta d'un coup en fermant les yeux avant… De lentement les ré-ouvrir sur ce type au charme des plus… Bestiale.
Vaas annonça ensuite à Lucrezia qu'il y avait d'autre types dehors attendant apparemment un « signal » de la part de ce grand fou, toutefois, ce dernier ne semblait pas les apprécier plus que ça au vus de la proposition qu'il vint à faire à notre Duchesse tout en la détachant. Suite à, quoi, il revint à faire face à la femme en lui faisant prendre cette fois l'arme à pleine main tout en dirigeant le canon de ladite arme contre sa tempe, surprenant une fois encore Lucrezia qui, toujours aussi silencieuse, observa le mâle qui ce trouvait à genoux devant elle et visiblement à sa merci.

« Vas-y, bébé, tire... Abats-moi si tu m’en veux ! Tue-moi, et tue ces deux baltringues, là-bas, dehors ! Tire ! Ou accepte notre flamme commune ! »

Sans dire un mot, Lucrezia regarda longuement cet homme, arme en main, mains qu'elle avait de légèrement tremblantes d'ailleurs. Que devait elle faire ? Pourquoi diable tout ce cinema ? Enfin… Ok, il avait visiblement le « béguin » pour elle mais merde ! C'était quoi son problème  à ce type !? Il… Il… Il était certes fou mais, pour une obscure raison, Lulu n'avait pas spécialement envie de e tuer… Ni de le laisser en vie… Enfaîte, elle ne savait sa pas quoi faire sur le moment mais alors qu'elle continuait de fixement regarder Vaas dans les yeux, la jeune femme vint à armer le chien… Puis, pendant plusieurs interminable secondes, elle taquina la gâchette avant de de lever l'armes au plafond en lâchant un léger « PchouUUw ! » avec un léger sourire au lèvres.
Puis, elle laissa l'arme tomber au sol en gardant son petit sourire malicieux sur la bouche avant de lentement glisser vers l'homme, enlaçant ensuite ce dernier en l'embrassant, ses lèvres remuant gracieusement sur celle de ce beau mâle, ce prince charmant décadent et glauque, brutale, sauvage, cintrée et terriblement bestial. Il était fou, oooh grand oui, il l'était ! Il l'avait menacé, il l'avait insulté pour ensuite lui faire la court… Nan… Nan ! Depuis le début il lui faisait la court, ce type avait entamée une parade nuptiale de psychopathe pour séduire la plus bombasse des malade mentale de cette ville et lulu, ce qu'elle en pensait ? Bas… Que ça pouvait être au pire drôle, au mieux… Mortel~
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le vendredi 18 septembre 2015, 10:06:05
Avait-il envie qu’elle tire ? Ou qu’elle ne tire pas ? Qui aurait pu le dire ? L’esprit de Vaas était insaisissable, insaisissable pour tout le monde... Éternellement indépendant, l’homme ne semblait véritablement apprécier qu’une seule personne : Citra, sa redoutable sœur. Mais ce n’était pas elle qui allait négocier avec les Guramu, avec la Baleine Échouée, et avec tous les autres gangsters. Ils étaient de la même trempe qu’Hoyt Volker, et, ces gens-là, c’était Vaas qui s’en occupait. Le pistolet était posé contre sa tempe, un métal froid, un métal hurlant. Il sentit le chien remuer, et esquissa un léger sourire.

*Vas-y, tire, poupée, tire, tire, tire, montre-moi, montre-moi !!*

La femme leva alors le bras, relâchant la pression, puis appuya sur la gâchette. L’arme émit un *Clic* silencieux, puis la Duchesse lui sourit. Vaas releva la tête, et se redressa, puis la femme glissa vers lui... Et ils s’embrassèrent à nouveau. Comme dans un putain de film romantique. Vaas posa une main sur sa nuque, et l’autre sur ses jambes, la soulevant, la plaquant contre lui, sa main se déplaçant pour prendre appui sur ses fesses. Ce fut un tendre baiser, qui dura bien de longues secondes. Vaas soupira contre la bouche de la femme, déplaçant sa main sur le bas de son dos, sentant ce corps confortablement enroulé contre le sien.

Par la suite, le baiser se termina, et il posa son front contre le sien.

« J’aime mieux ça, poupée... »

Il l’embrassa encore, et la laissa contre lui, coinçant sa main dans ses longs cheveux bleus, tirant un peu dessus, en profitant pour aller l’embrasser dans le cou, et la poussa. Le corps de la Duchesse vint heurter le mur à côté, ses fesses tapant contre ce dernier, la seconde main de Vaas s’étant déjà déplacée pour se poser sur sa cuisse. Il l’embrassa là, et remonta, pour embrasser sa joue, tout en se disant que ça faisait longtemps, bien trop longtemps, qu’il n’avait pas goûté au corps d’une femme.

Nouveau baiser sur les lèvres, plus fougueux, mais que Vaas finit par rompre au bout de quelques secondes, venant poser ses mains sur les lèvres de la femme.

« Attends, attends, poupée... Il faut d’abord... Tu sais... Qu’on fasse comme ces putains de gosse, là... Une saloperie de pacte d’amour, tu comprends ? Genre... Comme une sorte de promesse, dans le sang, et tout... »

À quoi pensait-il ? Il y avait les seins de cette femme, sa foutue robe en latex, et une envie furieuse de la baiser dans tous les sens... Mais Vaas restait un homme prudent. Plus il traînerait, et plus les deux débiles en bas risquaient de paniquer, de péter les plombs, et de causer des problèmes.

« Il faut s’occuper des deux connards en bas... Alors, bébé... J’en tue un, et tu tues l’autre, hum ? Comme ça... On sera sûrs d’avoir chacun fait couler le sang pour l’autre... »

Un nouveau baiser jaillit, et, peu à peu, on pouvait sentir l’érection de l’homme, sans qu’il soit possible de déterminer si cette érection venait de la singulière beauté de cette femme, ou du fait de tuer ensemble.

« Tu tueras pour moi, poupée, hein ? Parce que, putain... Quand je vois ce qu’on ressent, toi et moi, je me dis que... Merde, qu’on partage, un truc, quoi ! Alors... ‘Faut qu’on vive ce truc intensément, tu saisis ? »

Évidemment qu’elle saisissait !

Il ne l’aurait pas laissé vivre, sinon.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le vendredi 18 septembre 2015, 17:09:10
Ce gars était vraiment pas net et il est clair que quelqu'un de normal aurait prit peur et aurait hurlé et prit ses jambes à son cou depuis longtemps face à un tel taré mais… Voilà, lulu n'était pas normal et bien qu'elle ais encore au font d'elle une certaine méfiance vis à vis de ce Vaas, notre Duchesse le laissa l'embrasser, la câliner, la tripoter comme si elle était sa chose. Elle soufflait discrètement, soupirer contre lui et son torse chaud et viril.
Il était bien bâti comme bonhomme, Lucrezia pouvait le sentir, il était fort, vigoureux et fou… Il savait qui elle était, il projetait de tuer des gens et dieu qu'il était passionné avec elle ! Pendant qu'il lui bécotait le coup, lulu vint a ce mordre des lèvres en fermant les yeux, soufflant légèrement en ce trémoussant sous ce solide inconnu, un main dans le dos de ce dernier et l'autre lui caressant l'arrière de la tête. Lucrezia pouvait sentir son musc bestial remonter dans ses narines, une belle odeur de mâle brute et sensuel à la fois, un « parfum » qui fit frémir notre tendre Duchesse en lui extirpant un autre profond soupir.

Mais voilà, l'homme vint très vite à calmer les choses en expliquant une chose primordial à la femme, posant alors sur les lèvres de cette dernière son index. 

« Attends, attends, poupée... Il faut d’abord... Tu sais... Qu’on fasse comme ces putains de gosse, là... Une saloperie de pacte d’amour, tu comprends ? Genre... Comme une sorte de promesse, dans le sang, et tout... » Lâcha t-il alors. « Il faut s’occuper des deux connards en bas... Alors, bébé... J’en tue un, et tu tues l’autre, hum ? Comme ça... On sera sûrs d’avoir chacun fait couler le sang pour l’autre... »

What ? Il voulait un pacte de quoi ? Lulu fronçât légèrement les sourcils en regardant l'homme, ne comprenant décidément toujours rien à son trip mais… Bien vite, le fait de sentir une bosse dure glisser sur sa cuisse fini par convaincre notre Duchesse de suivre ce grand fou dans son délire de pacte chelou.

« Tu tueras pour moi, poupée, hein ? Parce que, putain... Quand je vois ce qu’on ressent, toi et moi, je me dis que... Merde, qu’on partage, un truc, quoi ! Alors... ‘Faut qu’on vive ce truc intensément, tu saisis ? »

La femme hochât alors la tête avant de l'embrasser à nouveau sur la bouche, un baiser qu'elle rompit ensuite en mordillant légèrement la lèvres inférieur de Vaas.

«Okey jolie coeur… Je marche ! Mais… Comment on s'y prend ? T'as deux pistolets ? Une machette ? »

Là question de Lulu n'était pas vraiment bête car, au fond, ces types là devait êtres armés eux aussi et il fallait donc faire attention, élaborer une stratégie, un moyen de baiser leur attention et leur méfiance pour mieux les zigouiller ensuite.
La femme mit un terme à sa phrase en embrassant Vaas sur la joue tout en glissant l'une de ses mains au niveau des bourses de l'homme, caressant ces dernières au travers du tissu, comme un sorte de motivation en plus.

« Alors mon grand-fou, comment ont fait ? »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le dimanche 20 septembre 2015, 11:05:08
Il ne fallait pas insulter Vaas en disant qu’il était fou... La folie était quelque chose avec laquelle les gens abusaient. Comme elle faisait référence à un domaine encore méconnu des sciences humaines, le cerveau et l’esprit, on disait qu’était fou toute personne ayant un comportement déviant, ou ne correspondant pas aux normes sociétales en vigueur. Selon les époques, le fou, c’était l’homosexuel, le pédé se faisant sauter le cul par son meilleur ami, ou la fille voulant juste sortir en boîte pour enchaîner les bites dans son corps de salope mal baisée… Le fou, c’était différent. Mais la folie, ça consistait pas à être différent. Non, c’était pas un putain d’état d’esprit de merde, ou… Ou une espèce… De passade. La folie, c’était autre chose ; la folie, c’était…

…Clairement pas le fait d’avoir envie de baiser cette Duchesse, cette tueuse qui pleurait comme une petite fille, et qu’il avait vu en train de jouir sur le corps de la ganguro. Elle devait toujours être là, d’ailleurs, avec son téton arraché, en train de pleurer, et de tenter de se libérer, comme si ses maigres bras de poulettes pouvaient faire autre chose que de s’éroder en frottant contre les sangles la retenant. Mais chaque chose en son temps… D’abord, il fallait s’occuper de « Pédé-de-Merde » et de « Pédale-Douce », les deux blaireaux en bas… Et, pour ça, si Vaas pouvait sans problème les tuer tous les deux, il trouvait plus excitant de le faire avec cette femme, cette femme qu’il rêvait de sauter dans tous les sens possibles et inimaginables du terme.

Elle l’embrassa donc, désirant savoir s’il avait un plan, et, en souriant, l’homme l’enlaça, répondant à son baiser par un autre, ses mains caressant le bas de son dos :

« J’ai mes outils, tu as les tiens… »

Difficile de dire ce à quoi il pensait en ce moment, et il s’écarta du corps de la femme.

« Je vais me débrouiller pour faire rentrer Pédale-Douce et Pédé-de-Merde là-dedans, chica. T’en fais pas, bébé, tu es mi Princesa, je ne vais pas risquer ta vie ou ton joli cul. Tout ce que tu as à faire, c’est de choisir la salle d’opérations dans laquelle tu voudras qu’on s’occupe d’eux. »

En tant que galant homme, il comptait bien se charger du reste, soit de neutraliser les deux types qui l’accompagnaient. Un ultime baiser vint sceller leurs lèvres ensemble, et, juste avant de s’écarter, il se permit une ultime remarque :

« Conserve ton look en latex, poupée, tu peux pas savoir à quel point t’es belle là-dedans... »



« Moi, j’dis que c’est une mauvaise idée...
 -  On peut pas rentrer là-dedans, putain ! »

Vaas se retourna vers eux, en devant se retenir de les tuer tout de suite. Ces deux blaireaux étaient tellement exaspérants qu’ils lui en avaient fait perdre cette doucereuse situation entre les cuisses !

« Vous savez que vous commencez à me plaire, les fillettes ? intervint-il alors. Ce. Putain. De. Sanatorium. Est. VIDE. Vide, putain ! Vide comme le cul d’une nonne, vide comme vos putains de cerveaux de merde, ramollis à force de mater des pornos à la con et de branler vos putains de bites aussi molles que le cul flasque d’une grosse putain de salope de connasse de pute de vache à la con de merde ! »

Les deux hommes se regardèrent entre eux, puis hochèrent lentement la tête.

« Okay, Vaas, on te suit...
 -  Là... Là, j’aime mieux ça, ouais... On y va, tous ensemble. Tous ensemble, putain ! »

Vaas marcha vers l’entrée du sanatorium, tandis que les deux tueurs se parlèrent entre eux à voix basse.

« On le tue là-dedans, et y aura jamais de témoins pour parler de ce malade.
 -  J’allais te proposer exactement la même chose... »

Vaas rentra le premier, et les attendit. Les deux hommes rentrèrent également, et il les guida vers la ganguro, avançant le long des marches, jusqu’au couloir où il avait vu la Déesse en Latex. On pouvait entendre les gémissements et les pleurs de la ganguro, ce qui inquiéta les deux Guramu.

« Putain, mais tu lui as fait quoi ? Je te préviens, si elle est abîmée... »

Les deux tueurs rentrèrent, et le premier haussa les sourcils en voyant le sang jaillissant de l’un de ses seins.

« Mais que... ?! »

Il se retourna... Pour se recevoir le pommeau du couteau de chasse de Vaas dans le visage, lui brisant le nez. L’homme hurla en reculant, et Vaas se retourna vers le second, mais ce dernier bondit en arrière, et leva le pied, venant frapper Vaas dans les côtes, avant de l’attraper par sa crête, le balançant sur le sol.

« Espèce de taré... Je savais qu’on aurait dû te buter dès que tu as venu, avec ta tête de taré, venir voir Akihiro-san !
 -  Ne t’inquiète pas, le Gros Lard est le prochain sur le liste...
 -  J’VAIS TE BUTER, FILS DE PUTE !! »

Il dégaina son pistolet, mais Vaas bondit alors sur lui, et le ceintura à hauteur du bassin, le renversant sur le sol. L’homme leva alors ses deux poings, et les abattit d’un seul geste sur le visage de l’homme. Dans son dos, le premier Yakuza lui sauta alors dessus, le renversant sur le sol, et posa ses mains sur sa gorge, cherchant à l’étrangler. Vaas grogna, et posa alors sa main à hauteur du bassin de l’homme, entre ses jambes... Et serra, lui écrabouillant les couilles. Le visage de l’homme se mit à bleuir sur place, et, quand il le relâcha, Vaas le renverse, puis se releva, et envoya son pied s’écraser sur son visage, déjà enlaidi par son nez en morceau.

L’autre tentait de se relever, et Vaas le saisit par le col de sa veste, puis posa chacune de ses mains sur son visage, le leva bien haut... Et l’abattit violemment sur son genou. L’homme se retourna alors vers la ganguro, qui le regardait avec des yeux écarquillés, sortant peu à peu de la situation euphorique dans laquelle les drogues de Lucrezia l’avaient placé. Vaas lui fit un sourire accompagné d’un clin d’œil.

« Ne t’inquiète pas, poupée, je m’occuperais bientôt de toi... »

Très bientôt, même.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 20 septembre 2015, 16:03:33
« Conserve ton look en latex, poupée, tu peux pas savoir à quel point t’es belle là-dedans... »

Oh que ci elle le savait ! Mais… Ce n'était pas vraiment la question, pour l'heure, notre petit couple vint à ce séparer, Vaas allant chercher les deux bonhomme qu'il avait vraisemblablement renommé « pédale-douce » et « pédé de merde », des surnom assez amusants certes mais… Voilà quoi, lulu, tuer des hommes… C'était pas son kiff. Alors ok, elle en a déjà tué mais en règle générale c'est une mort rapide et par conséquent, Lucrezia comptait nullement « torturer » ces deux débiles. La jeune femme s’humectât brièvement les lèvres en regardant son nouvel « homme » partir en directions de la sortit, puis, rapidement, elle vint à légèrement rabaisser sa jupe avant de s'en aller vers l'aile Ouest où ce trouvait ça chambre. L'endroit était pas spécialement glamour mais Lulu avait l'électricité (et au cas où, un groupe électrogène) en plus d'avoir des sanitaires et une douche. Il y avait ici et la plusieurs vêtements plus ou moins bien rangés (et propres), une malle, des cachet et des bouteilles d'alcools de partout. Lucrezia avançat ensuite jusqu'à atteindre sa cabine de douche où elle prit le temps de ce maquiller un peu, passant du bleu à lèvres sur sa bouche, bouche qu'elle pinça avant de faire ressortir ses belles lèvres pulpeuses en mode « duck face » puis, elle fini le tout en ce passant du phare à paupière noir.

« HmMmm… Mon grand fou ténébreux <3 » Souffla t-elle à son propre reflet en ce trémoussant lascivement devant ce dernier avant de ce remettre en route pour l'aile Est (prenant au passage un grand couteau de boucher dans sa malle). Là-bas, elle choisirait la salle d'opération numéros 3, cette dernière ce trouvant non loin de celle où la ganguro était entrain d’agoniser, facilitant ainsi les déplacement des deux tourtereaux. Dans les couloirs sombre du sanatorium, les claquement des talons de Lucrezia résonnaient contre les mur décrépie et sale, Mur que notre Duchesse caressait du bout de ses doigt en marchant gracieusement vers son but. La jeune femme traversa nombre de couloirs sinistre plus ou moins exposés à la lumière lunaire, lumière qui ce répercuta sur le corps lascif et sensuelle de notre tueuse au déhanché provocateur.

Je jeune femme s'empressa donc de rejoindre ladite salle de chirurgie mais, une fois à quelques mètres de cette dernière, elle vint à entendre en provenance de la salle où ce trouvait la ganguro des insulte et des bruits de luttes. Là, la Duchesse ce contenta simplement de rester calme, tapis dans l'ombre… En espérant que son « homme » n'était pas mort.
Puis… Enfin… Le silence. Lucrezia ce pinçât légèrement les lèvres puis, lentement, elle vint à approcher du seuil de la porte en ne laissant dépasser que sa tête, visualisant alors les corps des deux bouffons au sol et celui de son bel inconnue à crête debout.

« Houwf... » c’eut elle dit intérieurement avant de lentement rentrer dans la pièce en ce glissant ensuite dans le dos de Vaas, l'enlaçant tout en lui offrant une petite léchouille sur le lobe d'oreille.

« Alors c'est eux Pédale-de-merde et Pédé-doux ? »

Lucrezia vint ensuite à poser un baiser sur la joue de l'homme puis, elle ce recula afin de ce mettre à coter de lui, juste en-face de l'un de ces mafiomoisies.

« Bon… La salle n'est pas loin, c'est la numéros trois. Je sais pas ce que tu compte leur faire, mais il y a là-bas une table d'opérations ainsi qu'une chaise comme celle sur laquelle tu ma attachée. »

La jeune femme vint une fois encore voler un baiser à ce Grand-fou, avant de lentement prendre l'une des jambes du type qui ce trouvait en face d'elle, tirant alors ce dernier vers la salle en question. Là, elle prit soins de l'attaché à la chaise en marquant ici et là quelque petites pause car, elle devait bien l'avouer, ce type était un peu lourd.

« Pfiuuu… Faut croire que ça paye bien de bosser pour un gros mec parano... » Avait elle dit en s'essuyant le front du revers de sa main.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le jeudi 24 septembre 2015, 10:12:30
Les deux Yakuzas se retrouvèrent attachés... Et nus. Vaas avait regroupé leurs vêtements dans un coin, après les avoir attachés à des fauteuils médicaux, similaires à celui sur lequel Lucrezia avait été ficelée auparavant. L’homme pouvait sentir toute la nervosité de la femme, ou, plutôt, son manque de motivation. Elle n’allait pas les tuer par plaisir, mais par nécessité. Ceci étant dit, Vaas ne comptait pas non plus les tuer pour se marrer, mais bien parce que ces deux mecs en avaient trop vu. La Duchesse et lui les attachèrent, sans réveiller les deux hommes, et, avant de les réveiller, Vaas se rapprocha de la Duchesse, et l’embrassa à nouveau, plaquant sa bouche contre ses belles lèvres pulpeuses. On aurait dit un couple de jeunes amants ne pouvant s’empêcher de se bécoter, et, encore une fois, la Duchesse put sentir son érection taper contre son bassin. Ils s’embrassèrent donc, puis Vaas s’écarta un peu, et caressa l’une des joues de la femme.

« Ne t’en fais pas, mon bébé, je sais que tu n’aimes pas ça... Mais il va falloir qu’on les torture un peu. Tu vois, le plan, il est pas très compliqué... Ces mecs travaillent pour la Grosse-Vache, Akihiro Guramu... Et Akihiro est en guerre avec les Ruskofs. Donc, tu vois, on va les amocher suffisamment pour que leur chef pense que ce sont les Russes qui ont fait le coup... Tu vois ? »

Le plan était simple, mais il allait falloir jouer un peu avec eux. Les deux hommes reprenaient cependant peu à peur leur esprit, et Vaas observait les différents outils dont la femme disposait. L’un des hommes finit par grogner en revenant pour de bon à lui, et tira sur les sangles.

« Putain, c’est quoi ce bordel ?
 -  Hey ! Mi amigo !! Tu es enfin réveillé ? T’as fait une grosse sieste, toi, dis-moi...
 -  Vaas... Espèce de foutu taré, lâche-moi, connard, ou je...
 -  Ou tu... ? Ou tu quoi, hein ? »

L’homme se tut en voyant le poignard de Vaas, un couteau qui se mit à luire. L’homme s’était retourné, et marcha vers lui.

« ’Fais pas ça... Si tu me tues, Akihiro te...
 -  Akihiro par-ci, Akihiro par-là... Tu es quoi, exactement ? La main qui lui sert à se branler ? Tu bois sa putain de pisse, hum ? Sincèrement, qu’est-ce que tu crois que j’en ai à foutre, de ce gros con ?! Mais toi, tu t’es foutu de moi... Tu me prends pour un taré, je le sais, je le renifle... Mais, hey, qui est le plus taré des deux ? Le fou ? Ou celui qui le suit ?
 -  Mais putain, libère-moi !! »

Vaas se contenta d’un sourire, et se rapprocha encore.

« Mais c’est ce que j’ai prévu de faire... »

Il posa sa main sur l’épaule de l’homme, leva le couteau... Puis l’abattit alors sur son torse, le plantant dans sa chair. Le sang jaillit, et l’homme se contorsionna sur place, en se mettant à hurler. Les coups de couteau... Une spécialité des Russes. Vaas avait planté le couteau dans sa chair, et se redressa.

« HAAAAAAAAAAAAA !!! Putain, putain de taré, bordeeelll... !!! »

Des lignes de sang coulèrent le long du torse poilu de l’homme, et Vaas alla récupérer d’autres outils, à savoir une batterie de moteur avec des pinces, et la rapprocha. L’homme tremblait sur place, tandis que son comparse était à son tour en train d’émerger.

« Putain, tu... Tu fais quoi, là ?!
 -  Je me fais mon sapin de Noël en avance...
 -  Non, fais pas ça, ‘fais pas ça !! »

Vaas posa les pinces sur le sexe de l’homme, puis s’écarta, avec un sourire.

« On dit que des stimulations électriques sur le sexe le font bander... T’en penses quoi, bro’ ? Que tu vas bander comme un putain de taureau quand je vais te griller les couilles ? »

Avec le couteau toujours planté en lui, le Yakuza serra les dents, puis lui cracha dessus, balançant un caillot de sang, en continuant à se débattre.

« VA CREVER, CONNARD !! JE TE PISSE À LA GUEULE, SALE ENCULÉ !! JE... HNNNNNNNNNNNNNNNN... !! »

Vaas venait de tourner le commutateur de la batterie, le mettant à fond, et l’électricité ne tarda pas à se répandre, amenant le corps de l’homme à se trémousser sur place.

« Désolé... Mais la dame n’aime pas les hurlements... »

Il n’était cependant pas sûr que l’homme puisse l’entendre. Il continuait à se tortiller sur place, ses hurlements s’étant transformés en borborygmes, tandis que de la salive commençait à dégouliner de ses lèvres. Toute cette agitation avait eu pour effet de réveiller le second larron, qui gesticulait sur place, en peinant à retenir ses larmes. Sans en tenir compte, Vaas retourna vers la femme en latex, et lui glissa dans la main le manche d’un couteau, avant de l’embrasser sur les lèvres.

« À toi, mi Princesa... »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 24 septembre 2015, 18:45:04
Durant toute la séance où vaste tortura le Yakuza, Lucrezia resta murée dans un silence presque religieux, ce contentant simplement de regarder l'homme planter puis électrifier l'un de ces deux types. La jeune femme aurait put avoir peur, elle aurait put êtres dégoutté ou au moins essayer d'arrêter la folie meurtrière de Vaas mais… Nan. Au lieux de ça, Lucrezia resta gentiment derrière ce grand-fou, prête à  lui apporter son aide en cas de besoin, un peu comme avec les chirurgiens à l'époque où notre chère Duchesse travaillait encore à hôpital. Et enfin, quand le premier des deux types claqua sur son siège, Vaas vint à ce retourner vers Lulu en lui donnant le manche d'un couteaux avant de délicatement l'embrasser sur les lèvres, un baiser qui dura plusieurs secondes avant de lentement ce rompre. Sur ce, Lucrezia hocha calmement de la tête en regardant Vaas dans les yeux avant de ce retourner vers le dernier des deux yakuza, ce dernier était apeuré et semblait être moins grande gueule que son copain ce qui, dans un sens, arrangeait Lulu.

« Bon... »

Calmement, sans montrer la moindre émotions, Lucrezia vint à s'approcher de l'homme qui était nu sur sa chaise. Dans un premier temps, la Duchesse dévisagea le yakuza de long en large, voyant alors un homme en somme plutôt banal avec un corps banal et… Une verge qui fit sourire Lucrezia de part sa taille.

« pfff… C'est ça ton attirail ? » demanda t-elle alors en soulevant légèrement la verge du type avec le bout de son couteau.
« C'est pas glorieux… »
Honnêtement, Lucrezia ne savait pas trop quoi faire, torturer des hommes c'était pas vraiment son truc, elle trouvait ça moins amusant, moins… Attractif. Cependant, elle voulait y mettre du cœur et montrer à son nouvel amant toute sa dévotion et, au lieux d'opter pour la manière « forte », Lucrezia opta pour la manière « vicieuse ».
« Mais tu sais ce que l'on dit… La taille ne fait pas tout. Tihihi ! »
L'homme ravala faiblement sa salive en regardant cette sinistre femme de latex dans les yeux, femme de latex qui, en arquant un petit sourire vint lentement poser son arme sur un petit chariot médicale qui ce trouvait à coté du lit.

« Aller… Je vais te montrer à quel point toi et tes copains vous vous trompaient sur mon compte... » Lachat elle alors en ce crachant dans les mains, avant de les frotter lui contre l'autre.
« Ne… N-ne me faite pas de mal j-je… J'vous jure que je dirais rien… Hein Vaas… T-tes un mec cool, hein… »

Lucrezia poussa un petit gloussement avant de calmement prendre la verge de l'homme en main tout en ce penchant légèrement, montrant légèrement son cul et son intimité a son compagnons de boucherie.

« Voyons… Je ne vais pas te faire de mal, regarde… ça fait mal ça ? » Soufflât t-elle alors en masturbant légèrement le Yakuza, tout en gardant un regard à la fois froid et lubrique.
« Haa… Haaa ! »
Alors, Évidemment, on était en droit de ce demander ce que Lucrezia était entrain de faire et… Et bien elle était tout bonnement entrain de s'amuser  sauf que, voilà, elle s'amuser pas vraiment de la même manière que Vaas pour le coup mais… Que ce dernier ce rassure, Lucrezia comptait nullement offrir de « bon moment » à cette petite fiotte de bas étages. La femme masturba donc le yakuza pendant… Quoi, deux à trois minutes, puis, sans dire un mot, elle grimpa à califourchon sur les jambes du type, maintenant toujours sa verge au niveau de la base. Là, la Duchesse vint a légèrement remuer sur l'homme, découvrant alors son intimité de quelque petits centimètres en remontant sa jupe.

« Hmmm… Tu veux me baiser ? Regarde… Ma grosse chatte en a bien envie elle… Haaa… Regarde... » Lui dit elle alors avant de faire tapoter le gland de l'homme contre ses lèvres baveuses, et ce, dans un bruit de clapotis pervers.
L'homme couina alors en soupirant, il ne comprenait rien à ce qui était entrain de ce passer et, dans le doute (et sûrement à cause de la peur) il resta silencieux, ce contentant simplement de gémir et de soupirer de temps a autre.
« Hmmpfff… A-arrête sale… p-pute… Haa... » Articula t-il faiblement, faisant alors sourire la Duchesse qui, légèrement amusée, vint a approcher sa bouche de l'oreille de l'homme, écrasant sa poitrine contre son torse nu.
« Moi ?… Un pute ? Naaaaa...Moi… Je suis une salope… Fuhuhu... » Lui murmurât alors Lucrezia avant de lui lécher le l'homme d'oreille. Ce sur quoi la Duchesse vint a légèrement lever son bassin au dessus de la queue de l'homme, une queue que sa bouche baveuse vint à engloutir sans mal, faisant alors couiner l'homme au passage. Ce type avait beau bander, il n'était pas du tout enchanter par la situation, pour lui, cette scène était juste atroce et, bien que Lucrezia soit une belle femme, elle n'en restait pas moins une cinglée ce qui, bien évidement ne signifier rien de bon pour ce Yakuza.
« Hmmm… Je ne sent rien baby… rien du tout… Haaa... »

Langoureusement, la femme vint a onduler sur le corps de ce mafieu et ce durant plusieurs longues minutes. Des minutes où, outre le fait d'onduler ses hanches et son cul comme une traînée (sûrement dans le but d'attiser la trique de Vaas), Lucrezia embrassa le corps de l'homme, apposant ici et là de gros suçons bien rouges. Mais… Voilà que Lucrezia attrapa d'une poigne ferme les deux tétons du type, tétons qu'elle tira et pinçât avec force en planquant sa chatte contre le bat ventre dudit type dont la verge était complètement enfouie dans lulu.

« Hmmmmgmm ! Mais merde ! Je sent que-dalle putain ! »
« HaaaAAAaAaA S-salope !!! »
« Voilàààààà baby ! Enfin tu trouve les bons mots ! Ahahahah ! »
« Pfff… S-sale tarée !!! Je… »

Cet alors que lulu vint a rapidement poser son index sur la bouche de l'homme, l'interrompant alors dans son discours.
« Attend… »
Là, lucrezia étendit son bras afin d'attraper le couteau que Vaas lui avait confié plus tôt, attisant alors les craintes de l'homme qui, après un petit moment d’héroïsmes mal placé, vint a écarquiller les yeux en tremblant sur place. Lucrezia ce cambra alors légèrement (tout en ayant la bite de l'homme en elle)
«  J'aime pas torturer les mecs comme toi… Mais même en essayant de trouver un juste milieux, ta petite bite puante ne me satisfait pas… Pfff… Quel piètre sextoys tu fait franchement... »
Cet alors que le visage de l'homme vint à ce contracter de rage, avant que ce dernier ne vienne a cracher au visage de Lucrezia. La femme, en ce recevant le glaviot, ferma les yeux… Avant de lentement les rouvrir pour mieux dévisager l'homme… Et elle le dévisagea, oh que oui ! Les deux êtres ce regardèrent pendant de longue secondes… Puis finalement Lulu vint à lever le couteau au dessus de sa tête puis… L’espace d'un instant, l'homme hurla, un hurlement qui vint alors a disparaître dans un bruit atroce… Celui d'une lame que l'on plante dans un crane, crane surlequel la Duchesse s’acharnât férocement, faisant alors grincer le fauteuil tout en éparpillant du sang partout autour de la scène mais aussi sur son corps, son corps voluptueux qui, petit à petit, vint à ce couvrir du sang de ce type. La femme soufflat et soupirer à chaque coup qu'elle portait au crane maintenant déformé de ce type sans pour autant décrocher une seule parole juste… La hargne et la violence.

« Haaa… Haaa… »

Puis… Après cet intense moment de violence, Lucrezia, qui était toujours sur le cadavre de l'homme, vint à lâcher son couteau don le bruit de la lame qui heurte le sol résonna dans toute la pièce.
« Haaa… Pfiuuu ! » Lâcha t-elle alors en s'étirant tout en passant ses mains couvertes de sang dans ses cheveux avant de finalement ce retirer définitivement de sur le siège en regardant Vaas avec un petit sourire en coin genre… Genre c'était normal.

« Alors bon beau… Tu l'a trouvé comment ta Princesa de la Muerte ? » lui dit elle alors en ce pendant a son coup avant de l'embrasse sur la bouche une nouvelle fois.

Et ouai, Lulu avait de légère notions d'espagnole !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 28 septembre 2015, 10:21:28
« Voilà pourquoi elle me rend folle... Je te comprends, mon frère, je suis victime, moi aussi, tout comme toi ! Elle a le cul en feu, si tu la voyais... Tout le temps à demander qu’on la baise, qu’on lui défonce son petit cul de pute... Merde, mec, par rapport à ton pote, qui est en train de cramer comme une putain de saucisse géante, t’es verni ! »

Il n’était pas sûr que l’homme puisse entendre les commentaires de Vaas, qui s’amusait de la situation. Est-ce que Lucrezia cherchait à le rendre jaloux en se tapant ce pauvre loser ? Difficile à dire... En tout cas, le spectacle était assez sensuel, il fallait bien le reconnaître. La femme vint se dandiner sur lui, s’empalant sur sa verge, mais, avec son collègue dont la peau était en train de noircir, dégageant une atroce odeur de chair brûlé, le Guramu ne semblait guère être à fond dedans. Il grognait, gesticulant sur son fauteuil médical, comme pour se libérer de l’étreinte de cette femme... En vain, bien entendu, car il était prisonnier, fait entre les cuisses de la femme, qui s’empalait longuement sur lui. Elle soupirait de plaisir, et Vaas savait qu’elle ne simulait pas. Cette folle aimait vraiment ce qu’elle était en train de lui faire, et, lui avait fini par s’adosser contre le mur, bras croisés, ne pouvant qu’admirer ce singulier et jouissif spectacle. Il fallait bien admettre que ce spectacle était loin d’être dégueu’.

Lucrezia continuait donc à s’empaler sur cet homme, à l’embrasser, avant de s’énerver, car l’homme avait du mal à prendre son pied, ce qui l’amena à serrer les couilles de l’homme, amenant une grimace de compassion à venir sur les lèvres de Vaas.

« L’amour, ça fait mal... Je compatis, mi hermano, je compatis... »

La Duchesse enfonça cette queue aussi loin que possible dans sa pluvieuse grotte, et continua ensuite à danser, encore et encore, jusqu’à récupérer un couteau. Vaas, de son côté, se déplaça, et coupa la batterie électrique. Mieux valait éviter de provoquer une surtension... De la fumée s’échappait de la carcasse noirâtre de l’homme. Sa peau s’était craquelée à force d’être électrocuté, sans qu’il n’y ait de flammes, mais il y avait clairement une odeur de cramé, et un corps qui n’était pas très attirant... Pas sûr que même sa mère puisse reconnaître ce brave garçon.

Lucrezia avait récupéré un couteau, et mit fin à son petit jeu sexuel en poignardant l’homme. Elle enfonça le couteau dans son crâne, puis le retira, et l’enfonça encore, à nouveau, encore et encore, multipliant les coups et les attaques. Son poignard s’enfonçait rageusement, et l’homme s’agita nerveusement, sa queue toujours plantée en elle. Il s’agitait nerveusement sur le fauteuil, et son sang afflua de sa bouche, éclaboussant le visage de la Duchesse, ainsi que son corps, le sang venant peu à peu s’écouler en abondance sur le sol. Dans un crâne, il y avait énormément de sang, et ce dernier fusa comme une fontaine.

Le corps s’agita encore pendant quelques secondes, puis la Duchesse continua à le poignarder, faisant couler des bouts rosâtres de sa cervelle le long de son visage, son sang venant s’étaler un peu partout. La femme se calma petit à petit, respirant lourdement, et jeta le couteau au sol, un couteau trempé de sang. Elle s’essuya ensuite le visage puis se retourna, délaissant le cadavre affaissé de l’homme. Vaas put ainsi voir son visage... C’était comme si des mains en acier s’étaient plantés au milieu de son crâne, et l’avaient déchiré, l’ouvrant en deux comme une boîte. Des morceaux d’os coulaient sur son torse, et un bout de cervelle avait atterri sur le sexe de l’homme, tandis que son sang continuait à filer. C’était une image atypique : un homme cramé, et un autre ensanglanté...

...Et, face à lui, une femme couverte de sang, qui s’approcha de l’homme, avec une lueur épanouie sur le visage. Elle se rapprocha de lui, et, en souriant, l’homme répondit à son baiser, venant l’embrasser. Le sang de la femme heurta son torse, et elle put à nouveau sentir son érection, alors qu’elle venait requérir son avis. Le baiser dura quelques secondes, et Vaas le rompit, puis posa son front contre le sien, avant de l’embrasser là, et de maintenir ses bras contre son corps.

« Je dirais juste que... Que tu as du charme, et que tu es visiblement en manque d’affection. »

Il caressa ses joues. Les lèvres de la femme étaient encore un peu ensanglantées, et il l’embrassa une nouvelle fois, mordillant sa lèvre inférieure, et se déplaça un peu, venant plaquer Lucrezia contre le mur, le corps de Vaas heurtant le sien, l’une de ses mains venant caresser les hanches de la femme.

« Je vais soulager le feu qui brûle en toi... Car, pour être honnête avec toi, coucher comme ça avec cet homme, c’est... C’est ce que ferait une salope... Alors... Je crois que c’est comme ça que je vais te baiser... Comme si tu étais une salope... »

Sa bouche s’approcha alors de son oreille, et laissa s’échapper quelques mots :

« Tu aimes qu’on t’appelle ainsi pendant le sexe, hein ? Les jurons, les putains de mots sales, et toutes ces conneries bandantes ? »

Et, tandis qu’il parlait, son membre continuait à caresser ses cuisses.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 28 septembre 2015, 17:31:31
« Je dirais juste que... Que tu as du charme, et que tu es visiblement en manque d’affection. »

Suite à ces mots, l'homme vint a tendrement caresser la joue de notre Duchesse en l'embrassant ensuite avec passions, leurs lèvres venant une fois encore à s’entrelacer entre elles. En manque d'affection ou… En manque tout court ? Là question n'était pas vraiment dur à résoudre, Lucrezia étant une éternelle chaude du cul, et ce, même lorsqu'elle avait ses  périodes, périodes où, paradoxalement, notre Duchesse était plus vorace encore mais… Aussi plus irritable, la transformant alors en une espèce de salope hystérique et soupe au lait… euh… Bas en faite, il y avait pas énormément de différence avec l'habituelle Duchesse…
Le femme soupira en fermant les yeux, ondulant alors contre le mur en carrelage blanc qui ce trouvait derrière elle, elle qui était une fois encore contre le corps virile d'un beau mâle bien portant, un homme et un fou délicieux dont la verge solidement bandée venait frotter contre les beles cuisses de Lucrezia.

« Haaa… Hm... »
« Je vais soulager le feu qui brûle en toi... Car, pour être honnête avec toi, coucher comme ça avec cet homme, c’est... C’est ce que ferait une salope... Alors... Je crois que c’est comme ça que je vais te baiser... Comme si tu étais une salope... »

La femme hocha légèrement la tête en ce mordant les lèvres, offrant au yeux de Vass un petit regard mutin et soumis teinté d'une pointe de désir. Dieu que ce type donnais envie à lucrezia, malgré l'odeur de cochon cramé qui régnait dans la pièce et le sang qu'elle avait sur elle… Oui, il y a vraiment que les cinglés pour avoir de telles envies dans de telles circonstance. Mais cet alors que Vaas vint a susurrer quelque mots à l'oreille de Lucrezia qui, tout en plaçant sa main derrière la nuque de l'homme, plaqua la tête de ce dernier dans le creux de son cou.

« Oh oui… Prend moi en m'insultant comme une traînée… Je suis tus putas princesa… haaaa… » Lui murmura t-elle en venant gracieusement lever sa jambe droite le long du corps de Vaas.
« Vas-y… Demande moi ce que tu veux… Je le ferais sans broncher… mi señor~ »

Elle l'embrassa à nouveau en ce tortillant contre lui, répandant sur ses vêtement un peu de sa cyprine avant de carrément bondir sur lui en ce cramponnant a son cou avec ses bras et à son bassin avec ses jambe, en mode Koala.

« Alors mi señor… Où veux tu combler ta princesa ? » Demanda t-elle alors en l'embrassant langoureusement, enfouissant sa langue dans sa bouche en soupirant et en ce dandinant tout contre lui, sa lourde poitrine s'écrasant contre le torse chaud de l'homme.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le mardi 06 octobre 2015, 10:35:53
Cramer un mec avait visiblement réveillé les chaleurs de la Duchesse, qui se frottait contre lui, le corps à moitié en sang... Pas le sien, évidemment, mais celui du mec qu’elle avait violé, avant de le tuer. Il y avait d’ailleurs encore  du sang qui coulait du corps de l’homme, mais qui s’en souciait ? En ce moment, les pensées de Vaas étaient toutes tournées vers cette femme qui se frottait contre lui, en lui suppliant de venir la prendre, de l’insulter... Les mains de l’homme se déplacèrent d’elles-mêmes, venant caresser les cuisses de la femme, sous sa robe en latex. Il buvait son odeur, savourait sa peau, ce contact en latex, le sang ruisselant sur elle, la faisant ressembler à une belle glace à la fraise. Sa respiration devenait plus lourde et plus profonde, puis la femme l’embrassa à nouveau, un baiser auquel le taciturne homme répondit... Avant de soupirer en la sentant appuyer sur sa nuque, pour bondir contre son corps, venant s’y lover amoureusement.

Les mains de Vaas se posèrent sur ses cuisses, remontant, pour sentir l’absence de culotte sous cette robe en latex... Ce qu’il avait déjà pu observer en la voyant coucher avec le Guramu... Mais, maintenant, il y repensait avec un soupçon d’excitation, et remonta l’une de ses mains, s’y cramponnant sur les cheveux de la femme, son autre main allant se rapprocher de ses fesses, en caressant l’ourlet, toujours sous sa robe d’infirmière.

Usant de son buste et de ses muscles, l’homme la déplaça alors, et Lucrezia vint à nouveau heurter le mur. Difficile de comprendre comment ces deux-là avaient fait pour s’entendre, alors que Vaas, s’il avait été un peu plus raisonnable, l’aurait tué dès le début. Comment faire confiance à une telle cinglée ? Mais... C’était plus fort que lui. Les hormones, ça ne se contrôlait pas, et c’était bien eux qui parlaient en ce moment, eux qui lui disaient de la baiser, eux qui le conseillaient sur la marche à suivre, eux qui s’imposaient en lui.

La main sur ses cheveux s’était déplacée, afin d’éviter d’être écrabouillée contre le mur, et il la posa sur l’un des seins de la femme, , venant le faire sortir de sa combinaison ouverte, et embrassa brièvement le téton, le léchant, amenant ainsi ses lèvres à se couvrir de sang, ce sang qui jurait avec la peau très pâle de la femme.

« Tu mouilles tellement, ma chérie, que... Je crois qu’on va sauter les préliminaires... » grogna-t-il.

Il se redressa alors, et décroisa les jambes de la femme.

« Allez, mets-toi à quatre pattes, devant ton œuvre... Comme une sale petite chienne obéissante attendant de se faire fourrer par la putain de queue de son putain de maître... »

Sa voix était lourde, ses propres sifflants. Il la laissa faire, et palpa sa chair à travers la robe de latex, soupirant profondément, tout en jouant avec son pantalon, le faisant tomber sur le sol, révélant son vit. Son haut tomba également, et, en quelques secondes, Vaas se retrouva tout nu, son torse exhibant des cicatrices et des blessures de guerre, résultant de ses années d’exil à Rook Island. Il continua donc à palper cette chair, son membre venant se glisser sous le bord de la robe de latex, caressant la croupe de la femme, qu’il écartait avec ses pouces.

« Je vais te baiser dans tous tes trous, ma salope... Et, pendant que je le fais, tu... Enfin, entre tes hurlements de salope à la chatte en feu... Tu vas me séduire... Ouais, bébé, me séduire, putain... Tu vas me raconter... Tes meilleures fois... Avec les filles... Car j’ai bien vu comment tu bandes, ma chérie, à l’idée de torturer ces sales putes... Alors... On va faire un mélange des genres. »

Vaas sourit à nouveau, puis donna ensuite une gifle sur le cul de la femme... Puis alla ensuite poser sa main sur son sexe, et le rapprocha de sa grotte trempée.

« Oh ouais, bébé, tu vas voir, hum... Ça va être... Super... ! »

Son mandrin alla ensuite se glisser dans son vagin, et il commença à la prendre, en allant poser ses mains sur le latex de sa robe...
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 08 octobre 2015, 19:56:05
« Allez, mets-toi à quatre pattes, devant ton œuvre... Comme une sale petite chienne obéissante attendant de se faire fourrer par la putain de queue de son putain de maître... »

La femme soupirât brièvement lorsque Vaas vint à la reposer sur le sol afin de lui laisser la liberté de… Ce mettre à quatre pattes. Ce que notre Duchesse alla faire, bien évidemment, juste après avoir embrasser son homme sur la bouche tout en caressant le torse de ce dernier. Lucrezia lâcha ensuite un petit rire amusé puis s'en alla d'un pas lascif ce mettre à quatre pattes comme l'homme lui avait demandé, homme qui, rapidement, vint à ce mettre à nu avant de venir attraper notre belle Duchesse par les hanches.

« HmmMMm... »
« Je vais te baiser dans tous tes trous, ma salope... Et, pendant que je le fais, tu... Enfin, entre tes hurlements de salope à la chatte en feu... Tu vas me séduire... Ouais, bébé, me séduire, putain... Tu vas me raconter... Tes meilleures fois... Avec les filles... Car j’ai bien vu comment tu bandes, ma chérie, à l’idée de torturer ces sales putes... Alors... On va faire un mélange des genres. »
« Oh oui… avec plaisir... » Lui répondit t-elle alors en ce mordant les lèvres et en bougeant ses jolies fesses.
Sur ce bref échange, l'homme s'en alla ensuite pénétrer notre charmante tueuse, gratifiant cette dernière avec une jolie petite fessée directement portée sur son jolie cul rebondi. Lucrezia poussa un bref soupir quand, lentement, son amant vint à la pénétrer en palpant continuellement les hanches fortes et amples de la tueuse. Cette dernière, dans un soucis de confort vint alors a sortir son autre sein de sa combinaison avant de doucement aller chercher l'une des mains de Vaas, guidant par ladite ladite main vers l'un de ses seins.

« Mmmh… Haaa… » soupira t-elle brièvement en tournant son regard vers l'homme tout en remuant légèrement son bassin en ce cambrant langoureusement afin de suivre au mieux les mouvement de son amant fou, ses hanches glissant alors sous les doigts dudit fou. Notre Duchesse était en feu ! Et, alors que les premier coup de reins fusèrent, Lucrezia ce mise à table… avec grand appétit ! 

« Hmmmm… haa… Je… Hmmpff… J'ai tuée ma première victimes lorsque j'était Haaancore… hmmpf ! In-firmirmière… haaa… ha… »
La femme marqua une courte pause en ce mordant les lèvres puis, elle reprit.
« Elle… hanwmmm...elle s'appelait Ashley je crois… Elle avait était admise pour un problème pulmonaire…. Haa ! Je...Hmmm… Je l'ai bourrée de drogues et j'ai abusée d'elle m-mais.. hmpff ! Je… Je j'ai commencée à éventrer mes victimes Haa… a-après ma fuite de l’asile, hmmm putain ! »

La femme soupirait lourdement sous les coup de butoir de Vaas, toutefois, cela ne l’empêchait pas de parler ni de ce dandiner joyeusement sur la queue de ce bel homme <3.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le mercredi 14 octobre 2015, 10:21:32
Et c’était parti pour leur rodéo ! Une alchimie classique, une danse ancestrale, un couplet simple, régulier, et ô combien fascinant. Position né dans le dos de cette femme, Vaas n’avait que des raisons de bander. Tout ça, c’était... Dingue ! Et, bon sang, ce qu’il pouvait adorer ça ! Ce sentiment grisant de liberté, de joie, de plaisir exquis... Les gens le prenaient pour un barge, mais, lui, il pensait que c’était ce monde qui était fou, ce monde avec sa logique d’automates, ce monde où tout devait être mécanique, ce monde où, plus généralement, l’être humain appelait à la mécanicité du comportement, au conformisme de la société. C’était un monde chiant, tout simplement, un monde dans lequel Vaas n’avait aucune envie de vivre. Lui voulait se revendiquer libre, et c’était bien ce qu’il faisait. Le brave homme besognait le corps de cette femme, remuant d’avant en arrière, et, quand il sentit l’une des mains de la femme venir saisir la sienne pour la poser sur son sein, sa main se crispa dessus, et il continua à remuer en elle, son membre s’engouffrant dans son corps, disparaissant dans sa peau.

On pouvait l’entendre soupirer lourdement, son corps se perdant contre le sien, et elle se mit ensuite à parler, adhérant à son idée. Lui s’engouffrait en elle, et il fallait bien admettre... Que c’était bon. Vaas n’était guère un homme recommandant la chasteté sexuelle. Rien de tout ça, en réalité. Diable, il adorait baiser ! Défoncer des culs, prendre des femmes, sentir leur beauté, la douceur et les courbes du beau sexe, entendre les gémissements et les soupirs... Ouais, ouais, ça, c’était bon ! Il continuait à se perdre en elle, son sexe disparaissant dans son corps, d’avant en arrière, et il continuait à remuer, là, encore, encore...

« Haaa... »

Cette femme avait un sacré cul ! Il pouvait le sentir à travers ses doigts, et sentir ce plaisir inouï... Ça lui rappelait tant de bons souvenirs... Et, au milieu de ses gémissements, la femme se mit à parler, racontant son premier souvenir... La fois où, en tant qu’infirmière, elle avait violé et tué une patiente, Ashley. Le tableau était intéressant, mais... Il manquait de consistante. Dommage, Vaas aurait aimé en apprendre plus. Il remuait en elle, encore et encore, s’enfonçant dans son sexe, s’unissant, tandis qu’elle continuait à parler.

« Hum... C’est intéressant, ma chérie, mais... »

Il gifla alors ses fesses, tout en pinçant son sein, puis se pencha vers elle, son torse venant heurter son dos, et il mordilla son cou.

« Des détails, ma chérie, des détails... »

Ce n’était pas compliqué à comprendre... Il se redressa ensuite, et recommença alors ses coups de reins, allant toujours plus fort dans ses mouvements...
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 21 octobre 2015, 21:13:37
Et voilà… Une fois encore la machine était lancée, une machine solide et brutal comme lulu les aimaient. Notre tueuse pouvait aisément sentir la verge de cet homme ce perdre en elle dans un rythme délicieux et fort à la fois, un ensemble contradictoire mais c'était ça le sexe, un mélange de plaisir et de violence qui aboutissais toujours (ou presque) à un orgasme. Ce Vaas était plutôt bien bâtit, notre tueuse pouvait le sentir ça aussi et elle ne doutait pas une seule seconde qu'il était capable d'être encore plus brutal. Lucrezia soupirait lourdement sous les coups de butoir de ce bel homme qui la surplombait magnifiquement en la prenant comme un animal.
Notre Duchesse était donc à quatre pattes, légèrement cambrée tendis que sur son visage  l'expression était parfaitement lisible. Lucrezia avait les trait légèrement contractés et elle ce mordait les lèvres de plaisir, son corps avançant légèrement à chaque vas et viens de Vaas en elle,  faisant alors bouger rebondir ses opulents seins.

« Hmmmpfff ! Aaaah ouii ! Hmmm… » Soupira t-elle alors en levant les yeux au ciel avant des les refermer en soufflant de plus belle tout en griffant le sol.
« Hum... C’est intéressant, ma chérie, mais... »
L'homme allât ensuite claquer le cul de Lucrezia, faisant alors vibrer ses chair à la fois molles et ferme dans un claquement parfaitement audible puis… Il reprit.
« Des détails, ma chérie, des détails... »

Il voulait des détail ? Lulu ça la dérangeait pas outre mesure mais… Voilà quoi, c'était pas lui qui était entrain de ce faire ramoner les cuisses alors les détails… Voilà quoi, fallait les sortir. Toutefois, comme lulu est une bonne chienne obéissante, elle ravala bien vite sa salive afin de reprendre là où elle en était.

« Hmpff… Ha-Ha… Je me souviens de.. Hmm-Haa… D-d'une petite… hmm… Haaan… Une petite française je crois… Une touriste, hmmMm… Ouii, c'est bon comme ça… continue à cette cadence ! Hmmpff ! » Soupira t-elle alors en remuant légèrement son bassin avant de ce remettre à parler de sa voix chaude et sensuel. « Haaa… ouii… Hmm ! J-je me souviens qu'elle avaiat perdue son chemin et qui… Hmpff… Que je suis venue à elle assez n-haaaaAAnnnTuuurelemhaaAAAaan oui putain !! Hm ! I-il lui a suffit d'un moment d'inattention pour.. hmmm ! Pour que je l'assomme avec une bouteille de whisky que j'avais bue et avec laquelle je… hmmm putain… Je m'était masturbée avant. Ensuite Hmmm… Je l'ais trainée dans un vieille abattoir désaffecté… hmmmaaa ! Et là… Je l'ai violée longuement en position du ciseaux HaaaAAa-vant de commencer à la mutiler de partout hmmm ! A-avec un scalpel. Une f-f-fouUuuhouaaaaAA que j'eu j-jouie je l'ai suspendue à un vieux crochet de boucherie rouillé et.. ; Hmmhaaan… Je l'ai vidée comme une truie.. hhAAAaaa… j'ai répendue ses boyaux partie et je me suis doigter juste en dessous de son son cadavre qui-qui haaAAAAAAAAaa !!!! Qu-qui… Ha put… Hmmm ! Qui pendait comme une vieille pinata qui aurait crachée ses bonbon fabuleux.. hAAaa oui… C'est ma putain de french pinata… Han-enfin je crois… hmmm... »

Lucrezia éprouvait un immensse plaisir à raconter ses petites saloperie, ce type c'était un peu son confident, un beau confident bien musclé et virile qui pour une fois, ne risquait pas de l'emmenait en taule ! Ce type était juste… Parfait. Oui… Lulu le trouvait super ce mec car pour la première fois, elle avait trouvée quelqu'un avec qui baiser et tuer en même temps…. Enfin… première fois, c'était totalement vrai car lulu avait déjà fait la rencontre d'une autre tueuse, une gamine du nom de chainsaw qui entretenait avec lucrezia une relation étrange car, si Chainsaw de toute évidence semblait aimer lucrezia, lucrezia, elle, en avait un peu… Pas grand-chose à faire. Quand elle avait baisée avec elle, Lucrezia avait eu l'impression de niquer avec un cadavre vivant, sauf qu'il n'y avait plus rien d'amusant à ça, alors ok, il arrive à lulu de refaire l'amour au femme qu'elle vient de tuer mais là, avec chainsaw c'était… Étrange, c'était comme ci il y avait deux aimant dans la tête à lulu, des aimants qui à la fois s'attire et ce repousse, une sorte de puissant paradoxe qui empêchait lulu d'aimer complètement cette jeune tueuse qu'était chainsaw. Alors bon, lulu ne détestait pas chainsaw, hein, c'est juste que… Enfin, c'est Lucrezia quoi.

Pour l'heure, notre Duchesse était bien trop occupée à ce faire labourer pour penser à elle de toute façon. Nan, là, ce qui comptait, c'était lui : Vaas, ce grand fou ténébreux qui,pour sur, allait faire vivre à lulu de bien belles aventures <3.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le mercredi 28 octobre 2015, 17:31:24
Des détails, des détails ! La pauvre... Elle comptait juste se faire tringler joyeusement, et voilà que le salopard dans son dos lui demandait de réfléchir, de se concentrer, de faire appel à des souvenirs... Mais, hey, c’était encore plus excitant comme ça ! L’amour, c’était des mots, après tout. Communiquer, c’était important, et Vaas aimait parler avec ses partenaires. Et, en toute franchise, sur une échelle de 1 à 10, il avait rarement eu des amantes dépassant le 6 ou le 7, mais Lucrezia, là, cette petite beauté bien roulée avec sa combinaison en latex, elle venait d’emblée de taper entre 8 et 9. Le 10 était encore très virtuel, car, après tout, il fallait bien se le dire, la perfection n’était pas de ce monde. Seul le Seigneur pouvait être de niveau 10, et, si Dieu était une femme, nul doute qu’elle serait la plus baisable des nanas. Mais, pour l’heure, Vaas se contenterait volontiers de Lucrezia. Qui aurait cru qu’il aurait pu tomber sur une si belle nana dans ce trou pourri ? Ah, Seikusu était une ville merveilleuse !

Il écouta donc la femme parler. Cette dernière avait du mal à s’exprimer, ce qui était d’autant plus vrai que Vaas ne cherchait guère à la ménager. Elle-même lui avait dit de ne pas diminuer les coups de reins. Sa queue lui faisait atrocement mal, car le cul de cette salope de latex était étroit, bien serré, serré comme le foutu cul d’une nonne, et Vaas avait donc mal... Mais, loin de le restreindre, cette douleur ne faisait que l’exciter davantage, lui donnant envie de la baiser encore plus fort.

« Oh, t’en fais pas, ma chérie, hummm... Pour rien au monde, j’arrêterais la cadence, baby... »

Vaas continuait à la prendre, savourant ce moment. Le sexe... Simple, efficace, puissant, passionnel. Il adorait ça. Ouais, clairement... Et encore plus avec une femme face à qui il se sentait lié. Rien à voir avec ces pisseuses qu’il se farcissait sur Rook Island, qui hurlaient et piaillaient sans arrêt. Elle, elle avait quelque chose... Elle raisonnait sur la même longueur d’onde que lui, et, tandis que l’homme la sodomisait, elle lui racontait la manière dont elle avait violé et torturé une touriste, lui ouvrant les tripes après l’avoir violé. Vaas imaginait un corps suspendu à des crochets, avec son ventre s’ouvrant en deux, vomissant sur le sol ses intestins, comme une sorte de grosse vache qu’on aurait ouverte en deux. L’image ne manquait pas de piquant, et il sourit...

...Puis termina les explications de la femme en administrant sur ses fesses une délicieuse gifle, une belle claque qui résonna dans la pièce.

« Haaaa... J’aime ton... Hummm... Ton sens de la mise en scène, ma chérie... Oh ça oui, putain, haaaa !! »

Il respirait lourdement, ses mains se crispant encore sur sa chair, déformant le latex, et il continua ses coups de reins. La tâche devenait de plus en plus facile, car le cul de la Duchesse se faisait à son sexe, et il continuait à filer en elle.

« Ha-ha-ha-ha, putain, ouais !! »

Vaas se mettait à rire en la prenant, sans qu’il soit vraiment possible d’en comprendre les raisons. C’était l’image, l’image de cette Française ouverte comme une huître. C’est ça qui le faisait marrer, car les Français étaient friands d’huître, et, là, cette image, il imaginait cette Française comme une grosse huître à qui on venait d’ouvrir le ventre pour en extraire tout le jus.

« T’es... T’es une foutue artiste, ma chérie, et... Hum... J’adore ça... ! »

Rien que pour ça, ça méritait bien de la sodomiser. On disait qu’il n’y avait rien de mieux qu’un orgasme anal.

Ce serait l’occasion de vérifier cette théorie.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 01 novembre 2015, 15:55:09
La sodomie… Voilà un acte que lulu adorait profondément et ce, dans tout les sens du terme ! Notre Duchesse aimait sentir au seins de son fondement le sexe d'un homme, mais aussi tout une tas d'autre choses ! Il suffisait de voir le nombre faramineux de plugs et de jouet anaux que lulu posséder pour comprendre que la sodomie était l'un de ses fétiches sexuel les plus poussés.
D'ailleurs, Vaas, à ce moment précis, devait sûrement être entrain d'en prendre conscience, au vus de comment Lucrezia ce trémoussait sur son vit tout en lui lançant d'innombrables regards par dessus son épaules, des regards qui mélangeant douleur et plaisir. Les mains de notre tueuses ce crispaient à chacun des vas et viens de son amant en elle, des vas et viens qui, au fur et à mesure ce faisait deplus en plus intenses et fort, le sexe de l'homme allant alors ce perdre dans les entrailles de Lucrezia en s'enfouissant dans ses belle fesses bien rondes et bien dodues, fesses que Vaas n'hésitait pas une secondes à giflait, faisant alors vibrer la chair de notre tueuse au cheveux bleus. 

« HgmMm ! Haaa ouiii ! Encule moi comme ça… Hmmm ! »

Lulu en avait des frissons ! Et comme pour attiser la flamme de son amant, la duchesse ce mit a ce masturber, suivant alors la cadence donnée par Vaas. Lucrezia alla donc caresser sa fleur du bout de ses doigts gantés de latex, imprimant tout d’abords un geste circulaire au niveau de son clitoris, avant de finalement ce mettre a enfoncer son majeur et son index dans son vagin dégoulinant de cyprine. Et pendant qu'elle faisait ça Lucrezia continuait de bouger son cul sur le mat de l'homme, comme pour l'exciter encore plus, offrant a ce dernier un autre regard fiévreux et suave par dessus son épaule.

« Haaa… HmmMm… HaAaAan ! »

Petit à petit, Lucrezia sentait le plaisir monter en elle, plaisir décuplé par sa masturbation couplée a cette délicieuse et folle sodomie ! Le cul de notre Duchesse était maintenant bien habitué à la queue de son amant, encerclant cette dernière bien comme il faut, ce qui, à n'en pas douter, devait offrir bien du plaisir à l'homme qui, à présent ne ce retenait plus du tout ! Vaas labourait sèchement le cul de notre tueuse qui ce mit à gémir et à couiner de plus en plus sous tout le plaisir qu'offrait ce moment de sexe intense.

« HaaaaaAAaA !! Han ouii ! Ou-oui ! HmmmM !!! Je sent que ça viiii-hmmmpff ! »

Le visage de Lucrezia vint alors a ce crisper tendis qu'elle ce mit a serrer les fesses afin d'offrir plus encore de plaisir à Vaas et… Et à elle, bien sur ! Notre Duchesse ne voulait pas jouir avant lui, elle voulait un belle orgasme simultané, car, après tout, n'était ca pas là leur premier acte sexuel ?   
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le dimanche 08 novembre 2015, 16:28:44
La simple levrette avait mué en sodomie quand Vaas avait retiré son sexe, et l’avait envoyé dans un autre trou. L’homme en avait vaguement pris conscience, car la résistance était devenue d’un coup bien plus forte... Mais, fort heureusement, la Duchesse ayant l’habitude de se sodomiser toute seule, ses parois anales se détendirent et s’écartèrent assez vite. On sous-estimait bien trop les capacités d’adaptation du corps humain, et, peu à peu, les deux amants ne devinrent plus que ça. Plus la peine de séduire l’un ou l’autre, ils se contentaient de baiser, comme deux animaux en rut, en oubliant pendant un temps le reste. Les deux cadavres qui gisaient à côté d’eux, l’odeur de brûlé qui continuait à remplir l’air, ou cette ganguro toujours ligotée, et qui, en tendant l’oreille, pouvait entendre les hurlements de plaisir de Lucrezia, comme une sorte d’ultime provocation envers cette dernière.

Vaas remuait donc dans son cul, mains crispées sur sa robe de latex, et... Ah, diable, c’était si bon ! Il bandait dur, tout en continuant à s’enfoncer en elle, à défoncer ce petit cul de salope. Elle gémissait, couinait, et lui grognait, soupirait, de la sueur glissant le long de son corps. Son membre était endolori par les frottements sur le corps de la femme, mais ce n’était pas pour le déranger.

« Hummm... »

Respiration lourde et profonde, Vaas continuait à jouer en elle, la sodomisant avec énergie. Son corps se courbait lentement vers l’avant, et il savourait ce corps. C’était curieux à dire, mais il n’aurait jamais cru que le latex puisse être si excitant. De base, Lucrezia était déjà d’une grande beauté, avec son corps lourd, ses hanches solides. Elle n’avait pas une taille de guêpe, une taille de mannequin anorexique, mais c’était ça qu’il aimait... Les femmes fortes, qui, tout en étant solides et musclées, continuaient à être d’une grande beauté. Et Lucrezia était dotée d’un magnifique habillage, avec cette tenue noire moulante, brillante et fascinante. Ses mains se crispaient dessus, et, quand il la prenait, quand il l’enculait, il pouvait sentir tout ce latex crisser sous ses doigts, provoquant de délicieux bruits. Une magnifique ambiance sonore.

Tout simplement, Vaas avait rarement eu autant plaisir à sodomiser une femme, ou, plus généralement, à coucher avec une femme. Dieu, cette séance de baise était... Ah, divine ! Il adorait ça, tout simplement, et l’homme continuait à la prendre, encore, encore et encore, avec force, avec rage, la douleur le motivant, ses mains venant régulièrement gifler la femme, ou, plutôt sa croupe.

« Oh ouais, ma chérie, haaa... T’as un de ces culs, ma beauté, hum ! »

Que vive Seikusu ! L’homme était en train de continuer à la prendre, encore et encore, son membre s’enfonçant profondément en elle. Il se perdait jusqu’à la garde, avant de revenir en arrière, puis de repartir en avant, dessinant un mouvement simple et compréhensible. Et lui était aussi excité que la femme. Il y avait bien trop longtemps qu’il n’avait pas eu l’occasion de coucher avec une femme, et, mine de rien, c’était quelque chose de délicieux

Il continuait donc à la prendre, le plaisir croissant, croissant... Jusqu’à atteindre le point de rupture. Vaas ne se fit pas prier longtemps pour jouir, et, après plusieurs minutes à labourer le cul de cette femme, son mandrin se contorsionna, et expulsa en elle des filaments de foutre, l’homme soupirant profondément, en sentant tout son corps se détendre, des pieds à la tête.

« Oh putain !! s’exclama-t-il, tout en inondant le cul de sa dulcinée de son foutre. Ouais ! Ouais ! OUAIS ! »

Ça, ça faisait du bien !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 23 novembre 2015, 14:04:12
Finalement, après plusieurs longues et délicieuses minutes de sexe intense, Vaas vint enfin à jouir dans le cul de notre charmante Duchesse. Un orgasme qui, bien évidement, entraîna celui de Lucrezia avec lui, faisant alors vibrer cette dernière de plaisir. Notre charmant tueuse en série était au anges, cet homme là… C'était comme un prince charmant, son prince charmant à elle, un homme qui ne la jugerais pas et qui s’amuserait avec elle sans jamais risquer de la balancer au autorités.
Ce type était au moins aussi barré qu'elle, voir plus, il était beau gosse et puis, avec son petit accent là, lulu le trouvais drôle et ce, malgré le petit coup de gueule qu’il avait eu. C'est donc dans un grand râle de plaisir que Lulu vint à jouir à son tour, son corps ce cambrant sous le plaisir immense que lui procurait le mandrin de son amant. La jeune femme remua légèrement son bassin, faisant alors crisser le latex de sa robe, robe que Vaas semblait ne pas vouloir lâcher au vus de comment il ce cramponnait au hanche de lucrezia.

« HmmmMM… Haaa... »

Lentement, le corps de notre duchesse vint à ce détendre. Elle était en sueur, sa respiration était forte, lourde mais… Un immense bien-être l'emplissait et, au fond, c'était bien là la seule chose qui comptait. Lucrezia remua légèrement ses jolies fesses rondelettes afin d'extirperla queue de son amant de là, cette dernière glissa rapidement dudit endroit, laissant de son passage une  traîné de foutre sur l'une des miches de la tueuse.

« Haaa… On peut dire… Haa… Que tu sais combler une femme toi <3 »

En disant cela, Lucrezia avait tournée son regard vers son amant, avant de langoureusement déplacer l'une de ses mains vers son fondement, enfouissant par la suite trois de ses doigts dans ce dernier afin d'extirper le délicieux nectar que Vaas avait laissé là, nectar qu'elle porta ensuite à sa bouche avec un air gourmand au fond des yeux.
Une fois cela fait, la femme avala le sperme de son amant avec gourmandise en gardant au bout des lèvres un sourire joueur. Elle était impatiente de connaitre la suite du programme, dans ça tête, Lulu avait plusieurs idées mais, comme d'habitude avec un homme, elle aller laissait le choix à son partenaire.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le vendredi 27 novembre 2015, 13:11:01
Vaas était un homme vigoureux et fort, mais ce n’était pas pour autant qu’il n’avait pas connu de panne sexuelle... S’il devait faire un Top de toutes ses prestations sexuelles, celle qu’il venait de faire en ce moment méritait bien de figurer en place numéro deux, tant ça avait été... Bon. Putain, ouais ! Il avait bandé comme un foutu taureau, et avait joui dans le cul de cette salope après l’avoir baisé royalement, en mode grand-seigneur ! Merde, quoi ! Vaas en suait de partout quand il se retira du cul de cette femme. Qui aurait cru que le latex aurait pu autant le faire bander ? Mais il n’y avait pas que ça... C’était tout un ensemble, cette femme dans tout ce qu’elle avait. Une psychopathe, une tueuse, une prédatrice, comme lui, disposant en plus d’un très bel emballage cadeau... Et d’un corps très agréable. Si Vaas n’avait pas réussi à la baiser, c’est qu’il était pédé !

Il la vit alors se masturber le cul, pour boire son foutre, qu’il avait laissé en elle. La Duchesse semblait avoir encore envie de se faire baiser, et, à bien y réfléchir... Même malgré sa fatigue, Vaas avait une belle érection aussi, et, devant cde spectacle insolent, se mit à se masturber légèrement. Il fallait néanmoins bien admettre que sa queue avait bien diminué. Une chose inacceptable... Il reprenait son souffle, tout en voyant la femme le regarder. Elle attendait la suite, dans une posture assez soumise.

*’Va falloir t’y habituer, Vaas, c’est toi l’homme...*

Un couple... L’idée était atypique et amusante. Un couple relativement instantané, car ils n’avaient pas attendu longtemps avant de s’envoyer joyeusement en l’air. D’un autre côté, ensemble, il y avait peu de risques qu’ils finissent par se trahir, car, à bien les regarder, il était difficile de dire lequel des deux était le plus cinglé. Aucun des deux n’avait donc intérêt à aller saisir les flics... Mais, d’un autre côté, de tels individus pouvaient-ils vraiment comprendre ce qu’était l’amour ?

Vaas soupira lentement, et baissa les yeux sur son sexe.

« J’espère que tu ne comptes pas te reposer vite, poupée, car la nuit ne fait que commencer... »

Il désigna sa queue, et reprit :

« Viens me sucer, chica, rends à ma queue la taille qui t’a fait hurler comme la dernière des putes... »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 30 novembre 2015, 14:57:02
« J’espère que tu ne comptes pas te reposer vite, poupée, car la nuit ne fait que commencer... »

Lulu ? Ce reposer ? Alors qu'elle venait juste de ce faire enculer ? Ahah ! C'était là bien mal la connaître notre Duchesse que de croire qu'une simple sodomie pouvait la fatiguer ! Lucrezia était une véritable endurcie du cul, une pervenche qui avait un sacré paquet de kilomètre péniens derrière elle et bien que cette sodomie ais était fort musclée, elle en avait connue des bien plus féroces*.
Mais… Finalement, Vaas, au lieu de remettre directement le couvert, ce mit a pointer sa verge du doigt avant de demander à notre Duchesse de lui rendre sa taille d'origine et ce, à l'aide de sa bouche… Une fellation donc, un domaine dans lequel notre tueuse excellait !

Lucrezia vint alors à ce retourner face à vaas, avant de ce mettre en position accroupie car, avouons le, à genoux, notre pauvre duchesse aurais du mal . D'ailleurs, lulu avait toujours au fond d'elle cette petite anecdote qui est que, un jour, à l'époque où elle était encore une jeune étudiante en médecine, elle c'était lancer le paris de rester toutes une après midi en compagnie de trois jeunes infirmiers (plutôt séduisant) fan de jeu vidéo en ligne. Mais… Les trois  hommes n'était pas dans un bon jours cet après midi là et lulu, en bonne collègue de travaille avait due jouer de ça bouche pour faire redescendre la pression et encourager ces trois valeureux paladins. Malheureusement ? Elle n'avait pas prévus de genouillères et… Avait due vider la moitié d'un tube de crème apaisante le soir même.

Mais bon, bref, revenons en à lulu. Cette dernière, une fois accroupie vint à gracieusement écarter ses cuisse en gardant les yeux rivés sur le mandrin de son amant, puis, délicatement, elle le prit en main, le masturbant alors avec expertise.

« Hmmm… Je pourrais certes sucer cette belle queue mais… Je sais pas… Mes pipes sont une choses qui mine de rien ce mérite et... en générale, j'aime les faire jusqu'au bout. »

Comprenez par là, « je veux m'en prendre plein la gueule », hors, Vaas voulait seulement raffermir son petit soldat, en vus d'une autre baise en bonne et due forme du coup… Lulu opta prudemment pour une autre alternative, après, libre à Vaas de dire ci oui ou non il voulait que ça continue. Cet ainsi que Lucrezia, tout en continuant de branler le mat de son amant, ce mit a lui sucer les bourse, faisant alors tourner sa langue sur celles-ci l'espace d'une petite minute puis, lentement, la jeune femme vint a ce redresser légèrement tout en prenant sa poitrine en mains et hop ! Elle vint a enfouir le sexe de l'Homme entre ses seins, seins qu'elle ce mit alors a faire rouler sur la belle verge de son homme tout en gardant au fond des yeux une lueur espiègle et amusée.

« Hmmm aller… n'est ce pas agréable une bonne cravate ? Hm ? »

La jeune femme esquissa alors un petit sourire, avant de baissait la tête pour venir embrasser le bout du gland de son amant.



* Nous retiendrons notamment son cassage de cul avec nathan et sa sodomie à sec avec ulrik  ::)
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le vendredi 04 décembre 2015, 20:27:43
À côté de leur trophée, les deux amants continuaient à joyeusement s’envoler en l’air, comme s’ils étaient une variante du putain de couple de Bonnie et de la putain de Clyde... Et merde, que c’était bon ! Quand il vit la femme caresser son sexe, Vaas en frémit légèrement. Son esprit était rempli de ce magnifique latex, de cette sensation, de ces délicieux crissements, de ce corps lourd et souple... La Duchesse avait toutes les qualités du monde pour plaire à un homme tel que lui... Pour plaire à n’importe quel homme, en fait ! Aux chiottes, les putes anorexiques ! Les mannequines qui pensaient que la beauté consistait à avoir le moins de kilos possible sur le cul ! Elle, elle était... Juste parfaite !

« Ah, chérie, tu me fais rêver, putain ! Haha ! »

Elle ne voulait pas d’une fellation sans boire de crème, la belle salope ! Mais pourquoi pas... Vaas allait devoir se surpasser pour la contenter, mais... Ladies first, comme on disait chez les mangeurs de Big Mac. Il fallait savoir se forcer pour ces dames, mais, avant de s’attaquer à sa bouche, la femme avait une autre option, et glissa son sexe contre ses lourds seins. Ah, la vache ! Quelle vue ! Madre de Dios ! Il en aurait chié des pendules à voir cette belle femme se dandiner contre sa verge. Ses seins étaient d’une douceur incroyable, son sexe s’y perdant avec délice, sa verge tendue glissant contre ses beaux mamelons, remuant dans tous les sens, soulagée d’être ainsi choyée et câlinée. Cette belle beauté savait y faire, et elle tenait à le lui montrer, agissant avec talent et envie.

Peu à peu, l’érection du brave Vaas s’accrut, ce dernier se mettant à légèrement soupirer, sa main venant caresser les beaux cheveux bleus de cette belle femme sexy... Des soupirs profonds et courts s’échappaient de ses lèvres, son membre regagnant sa dureté et sa raideur naturelle.

« Agréable ? Hey... Sacrément bandante, ouais, mi Princesa... »

Sa respiration devenait plus hachée, au fur et à mesure que l’excitation pointait en lui, et ses mains se crispèrent sur les cheveux de la femme.

« Ouais... Je vais te décorer de ma crème, ma chérie... Puis je te baiserai la gueule, bien profond... Ouais, ouais, ça, ça me branche ! HAAAAA... Ouuuaaaaaiiiis, puuutaaaiiinnnn !! »

Il se mit à crier, la tête penchée en arrière, tout en éclatant de rire en même temps, alors que ses doigts continuaient à se crisper sur les cheveux de la femme, tirant parfois un peu dessus.

Ouais, la nuit était loin d’être finie !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 05 décembre 2015, 12:40:25
Belle ? Ça, pour sur que lulu l'était ! Aussi loin qu'elle s'en souvienne, Lucrezia a toujours sue plaire aux hommes avec ses jolies formes et ses rondeurs bien positionnées et ce, au grand damne des autres femmes qui travaillaient avec elle. C'est simple, à l'époque où notre charmante tueuse était encore une douce infirmière, il ne ce passait pas une journée sans que lulu ne ce fasse troncher et ce, que ce soit par les patient, les internes ou les chirurgiens, sans parler de toutes les petites séances de saphismes avec certaines de ses collègues ou encore les petites pauses frotti-frotta en solo dans les toilettes (mais ça, comme c'est solo, ça compte pas vraiment.). Lucrezia a donc toujours plus ou moins était une salope, d'ailleurs, le mot « salope » ne raisonne plus vraiment comme une insulte dans sa tête mais plus comme un charmant petit surnom, un adorable sobriquet qu'elle aime entendre de la voix de ses amants comme… Ce flic par exemple, celui-là même qui lui avait cassé le cul en miette et qui, avec une certaine malice l'avait appelée « petite salope »… Aaah… Petite salope… Tout en faisant glisser ses seins sur le mat de Vaas, Lucrezia ce rappelât ce surnom, un surnom simple, basique et outrageusement vulgaire mais qui, comme cité plus haut, raisonnait dans la tête à Lulu comme un délicat surnom… Genre, « petite salope » pour Lucrezia, c'est comme « ma puce » ou « ma chérie » pour les femmes normales.

« hmmpfff… Aaahh… j'aime tellement ça, hmmm... branler des queueS avec mes seins, fiooouu ! »

C'est clair… Autant, une simple branlette ne procure pas grand chose à notre Duchesse, autant, quand elle commence à le faire avec ses seins, ça devient tout de suite plus érogène. Lucrezia, comme toutes les femmes, a les seins très sensible et donc, forcement, le fait d'avoir un gros engin calé entre les nibards, ça l'émoustille de partout ! Mais en générale, toucher de la bite, ça fait toujours un petit quelque chose à notre tueuse, c'est comme sucer, ça l'apaise, ça lui procure une sorte de satisfaction étrange qui la pousse à pomper toujours plus ardemment la queue de ses amants jusqu'à ce que ces dernier ne finisse par… enfin, lui offrir son due quoi, un due qu'elle avalera avec gourmandise ou, à défaut, qu'elle ce prendra en pleine face.
Tout en continuant de faire rouler ses seins sur la verge de Vaas, Lucrezia poussait de petits soupir et de petits gémissement tout à fait adorables tout en gardant les yeux rivés sur son grand fou, ce dernier semblait vraiment ravis du traitement que Lucrezia lui offrait.
Puis… Finalement, après plusieurs minutes, Lucrezia revint à reprendre la queue de l'homme en main, enserrant cette dernière au niveau de la base, avant de la lécher et de la faire frotter contre son visage, humant alors avec délice le musc délicieusement puissant de ce beau mâle.

« Hmmm… C'est tout chaud et tout dur… Et cette odeur… ça me rend folle ! Haaa... » Susurrât elle alors en regardant l'homme dans les yeux, tout en faisant glisser le gland de vaas sur sa joue puis sur ses lèvres.
«Je pourrait faire ça pendant des heures… et des heures… et des heures… Haaa… comme quand je suis dans les chiottes de métro… Hmmm… je suce bite sur bites et les gens me laisse ce qu'il veulent tu vois hmmm… C'est tellement dégradant et mystérieux à la fois… haaannn... »

En disant cela, Lulu continuait de faire frotter son visage sur la hampe de son amant, la bouche entre ouverte, avec au fond des yeux un air de chienne en chaleur. Puis… Calmement, elle ferma les yeux en prenant une grande aspiration nasal, emplissant alors ses narines du musc virile que son amant lui offrait, avant de donner un grand coup de langue sur sa verge, verge qu'elle ce remit ensuite à branler avec ses seins tout en lui gobant le gland.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 14 décembre 2015, 11:51:04
Là, debout devant elle, Vaas vibrait de plaisir. Le brave pirate n’avait que des raisons d’être excité, et, quand il entendit la femme lui dire qu’elle aimait enfiler des pipes dans les chiottes d’une rame de métro, l’homme se surprit à rire, en hochant la tête, et posa ensuite sa main sur les cheveux bleus de la belle femme.

« Ha, putain ! J’imagine la légende... La Duchesse, la grande tueuse, en train de sucer des queues pour dix yens de l’heure dans des chiottes merdiques, entre le gars qui pisse et l’autre qui nous balance sa chiée ! Merde, t’es genre totalement givrée, en fait ! Ah, putain ! »

Mais ouais, totalement folle, quoi ! Et on osait dire que c’était lui le cinglé... Juste parce que Vaas pouvait parfois se montrer UN PEU colérique. Alors qu’il débarquait dans un pays où on vous suçait la pine dans le métro, ou dans des cafés, et où on se faisait servir pour des serveuses en tenue de maid ou de neko, soit des fantasmes sexuels ambulants. Et encore, Vaas ne parlait même pas de tous ces clips télévisés complètement psychédéliques, qui semblaient avoir été écrits par des mecs sous LSD... Des gars qui en avaient clairement trop pris ! Et lui ? Merde, mais, en comparaison, Vaas était un modèle de vertu et d’intégrité !

Ah, la bonne blague ! En souriant encore, il se repencha vers la femme, et vit cette dernière prendre son sexe en bouche, ce qui amena son autre main à venir se poser sur son crâne, son corps se mettant lentement à remuer. La femme avait l’air d’aimer qu’on lui dise qu’elle était belle... Comme toutes les femmes, quoi ! Vaas avait beau rire, en réalité, il l’aimait bien. Non, sérieux, cette nana... Elle avait le sens des responsabilités, et, même si elle était un peu tarée, ha, qu’elle suçait bien ! De la sueur commençait à couler le long de son corps, et ses mains se crispaient sur ses cheveux, accompagnant les mouvements buccaux et linguaux de la femme.

« Hannn... Ouais, ma chérie, ouais, suce bien, suuuce bien... Merde, mais c’est vrai que t’es douée ! Avec une copine comme toi... Même pas besoin d’aller aux putes, hey ! On se contente de se servir à domicile ! Haha, ouais, ouuuuaaaiiiis, bébé !! »

C’est que Vaas aimait ça, qu’on lui suce la queue... Et, mine de rien, quand la femme était consentante, c’était... Encore plus excitant ! Tellement excitant que, s’il avait son paquet à la main, Vaas n’aurait pas été contre un petit bedo’ tout en se faisant astiquer le poireau. Peut-être une idée pour une prochaine fois ? Il la laissait donc faire, jusqu’à ce qu’elle enfonce bien ce membre dans sa bouche, sa queue allant taper contre sa gorge, le faisant soupirer.

Elle l’avait bien échauffé. Il avait adoré la voir frotter son visage contre sa queue, comme pour s’asperger de son odeur, avant de le prendre en bouche. Que c’était bon ! Des plaisirs simples, ancestraux, et délicieux à ressentir.

« Hum... ! Ouais, vas-y... Putain, chérie, tu vas me faire balancer la purée, à force ! »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 28 décembre 2015, 12:03:07
Lulu était cinglée, certes, mais ce type l'était tout autant qu'elle et, c'était là la raison de leur attirance mutuelle. Deux fous, un homme et une femme, tout deux plutôt bien gaulés qui plus est… Ouai, pour sur que le courant ne pouvait que passer.

« Hmmm... »

Plus ou moins silencieusement, notre Duchesse continuait à s'occuper de son amant pendant que ce dernier parlait de l'avantage indéniable d'avoir une copine comme lulu chez soi. Cependant, Lucrezia, elle, ne savait pas trop comment tout ceci aller tourner, était elle prête a rester un peu de temps avec lui ? Genre, comme un couple à part entière ? Est ce qu'elle pouvait vraiment faire confiance à ce type ? Et puis… Que ferait elle si jamais il venait par inadvertance à pénétrer dans sa pièce « sacrée », ici, en plein coeur de ce sanatorium ? Aurait elle suffisamment de sang froid pour pas lui sauter dessus et l’étriper ? Enfin… Pour l'heure, tout ceci ne tracassait pas trop notre chère Lulu qui, en bonne petite chienne, s’effarait à pomper le délicieux mandrin de ce psycho-roméo, ses lèvres glissant habilement sur le mat de ce dernier dans un bruit de succions obscènes. Mais, bien vite, Lucrezia vint à extirper cette bonne queue pulsante de sa bouche, afin de la remettre bien au chaud entre ses seins tout en regardant l'homme avec un petit regard espiègle et joueur, s'offrant  même le luxe de lui tirer la langue… Oui, elle s'amusait beaucoup !

« Dit moi… Après… tu pourra me faire une gâterie à moi aussi… Hm ? » Lui demandât elle alors en continuant de faire rouler ses seins sur le mat pulsant et chaud de son homme, une queue que Lucrezia mourait d’envie de sentir une fois encore au fond d'elle… Mais, comme elle venait de finement le demander, Lulu, ensuite, voulait que ce soit au tour de Vaas de la gâter car, pour être tout à fait  honnête, Lulu n'avait pas souvent la chance de ce faire brouter. Mais… Bientôt, Lucrezia sentit la verge de l'homme pulser plus férocement encore entre ses seins et, voyant qu'il s’apprêter à jouir, notre tueuse s'empressa d'ouvrir la bouche en accélérant le mouvement de vas et viens avec ses seins avant de finalement recevoir son due, soit, un bonne grosse éjaculation qui lui éclaboussa le menton, la bouche et le torse.

« Hmaaa… Haaa oui ! …. Hmmm ! »

La femme ferma les yeux tendis que la verge de Vaas balançât son ultime giclée de foutre sur elle, foutre qu'elle avala avec délice et dévotions. Suite à quoi, la tueuse ce recula légèrement, ses seins revenant alors a leurs place en rebondissant fièrement, la semence de Vaas dégoulinant entre et sur ses derniers.

« Haaanw… Regarde, je suis toute cochonne maintenant… Hmmpff… » Glissat elle alors en regardant sa poitrine maculé du foutre de Vaas avant de relever la tête vers son amant en souriant malicieusement pour finalement attraper la verge dudit amant par la base et d'à nouveau la faire glisser sur son visage, recouvrant alors ce dernier de quelque traînées de sperme.

« Hmmm… Dit moi… avant de me lécher le timbre à la cave… Tu aurait le temps pour me faire prendre une petite douchette ? »

Et… Lucrezia esquissa un léger sourire. Oui… Lulu était vraiment folle… Mais bon, c'était pas comme ci on le savait pas déjà, hein. Cependant, que Vaas n'aille pas s'imaginer que Lulu était ouverte à toute les pratiques, la « golden shower » était certes une pratiques qu'elle aimait tester de temps à autres mais… C'est tout, au delà de ça, c'était non ! Alors certains diront « oui mais elle tripote les viscère étou » ouai mais non… Lucrezia avait ses limites et la scatophile ou même la zoophilie ne l'on jamais attirées et ne l'attireront jamais, pour elle, c'était des « tue-l'amour » et puis… Sérieux quoi, pour elle qui était cynophobe, baiser avec un chien… huuu ! Rien que d'y penser, elle en avait la chair de poule !

« Alors mon chou… Tu veux bien faire une petite toilette à ta chienne de casse ? Hm ? Histoire de marquer ton territoire ou je sais pas trop quoi.♥ » Lui demandât elle alors en secouant la queue légèrement flaccide de Vaas.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 28 décembre 2015, 12:42:56
Pour Vaas, il y avait quelque chose qui ne tournait pas droit dans ce monde. Quoi, il n’aurait su le dire avec précision, mais, enfin, et en toute honnêteté, si ce monde était vraiment, comme on le disait, une terre de liberté, on pourrait baiser sans problème, comme on le voulait, et tout... Mais, au lieu de ça, on continuait à s’entre-tuer pour trois dollars, on massacrait à tour de bras, on armait des gosses dans des bidonvilles pour se faire sauter le caisson, on formait des milices, et, pendant ce temps, la jeunesse des pays riches continuait à dilapider son argent et son temps dans des fêtes inutiles en se défonçant à la coke, cette même drogue qui, dans la majorité des cas, servait à financer l’esclavage moderne, les tueries de masse... Et c’était cette même jeunesse, cette même population, qui montait aux créneaux pour dénoncer la pauvreté dans le Tiers-Monde, la guerre, le terrorisme... Vaas ne critiquait même pas les gouvernements, car, pour lui, les gouvernements n’étaient que le reflet de la population. C’était ça, la démocratie, non ? Élire ses propres représentants ? Il n’y avait que les hommes pour trouver à y redire, comme si zéro et zéro, en s’additionnant, pouvaient faire autre chose qu’un zéro pointé. Quand on confiait à des cons le soin de nommer leurs dirigeants, il fallait s’attendre à ce que les dirigeants soient aussi cons que la masse, ou soient suffisamment intelligents pour savoir qu’ils avaient affaire à des cons. Le foutu monde marchait sur la foutue tête ! Vaas n’avait de respect pour aucun de ces hypocrites, aucun de ces enculés de junkies, d’hippies pro-nègres, et de ces merdasses de yuppins bobos-gauchistes, qui défendaient allègrement la paix dans le monde avec le bédo au coin des lèvres, sans savoir que ce qu’ils fumaient réellement, ce n’était pas de l’herbe, mais le sang de l’exploitation moderne.

Et c’était lui le dingue ? Sérieusement ?! Tout ce que Vaas faisait, c’était être le miroir qui mettait les gens face à leurs propres contradictions. Lui était lucide, car il savait qu’il n’y avait qu’une seule chose, véritablement, qui comptait en ce monde : le pouvoir. Oubliez toutes ces conneries sur l’amour, les sentiments, le romantisme, et ces merdes qu’on sortait à des chiards et à des gamins prépubères. L’être humain était génétiquement pensé et encodé pour ne penser qu’à lui, et pour satisfaire ses propres désirs. Alors, pourquoi s’en faire pour les petits nègres de l’Afrique subsaharienne, ou pour les millions de Chinois obligés de faire des pompes Adidas dans des usines où la poussière avait remplacé l’oxygène ? Rien à foutre... Rien à foutre, putain ! Et quoi de plus naturel, suivant cette logique, que de s’envoyer justement en l’air avec une pute aux gros nichons, et sapée comme une Déesse du porno ?

« Hmmm... Pompe bien, ma chérie... »

Et elle pompait ! Ses seins, c’était comme un morceau du Paradis. Doux, gros, amples, généreux, ils emprisonnaient sa queue avec une force incroyable, un magnétisme terrifiant, quelque chose qui vous rappelait que, malgré tous vos efforts, malgré tout ce que l’humanité avait déployé pour tenter de l’oublier, l’Homme restait, fondamentalement, un animal. Et, en tant que tel, l’Homme était soumis à ses plus bas et à ses plus vils instincts... Et Dieu, que c’était bon ! Vaas ne s’en lasserait jamais, surtout avec une femme comme ça. Une femme qui, comme lui, admettait la vacuité de la vie, l’insondable inexistence des valeurs morales et des conceptions philosophiques. Le cul et le meurtre, voilà les seules choses tangibles, car ces deux éléments étaient les colonnes vertébrales du Pouvoir, avec un grand « -P ».

La crème de Vaas sortit généreusement, aspergeant le doux corps de cette femme, et l’homme resta là, face à elle, son mandrin encore chaud, même si son vit avait, du fait de son érection, perdu de sa superbe. Il caressait encore le corps de cette femme, et Vaas la regarda avec envie, lèvres entrouvertes. Le visage de Lucrezia caressa sa queue, comme une sorte de chienne voulant recevoir une caresse de son maître, des traits de sperme glissant le long de son visage.

« Ma chérie, si la sensualité devait avoir un nom... Merde, ce sera sûrement le tien qui serait écrit, tu sais... Avec de grosses lettres roses bien flashy ! »

Elle lui demanda alors... De marquer son territoire. Un sourire amusé éclaira alors les lèvres de Vaas devant cette demande, sans aucun doute inattendue, mais qui l’amusait.

« Marquer mon territoire ? Comme un foutu chien ? Tu me plais, ma chérie... »

Elle était imaginative, il aimait ça. Et, juste après avoir joui, il suffirait de se forcer un peu pour faire sortir la vessie. Vaas ferma donc les yeux, respira lentement, sa queue face au visage de Lucrezia... Puis, après quelques secondes, la douche dorée éclata. Son urine jaillit, et éclaboussa joyeusement le visage de la Duchesse.

« Aaaaah, putain ! »

Il pissait tellement que c’en était presque douloureux, le flux venant grossir pendant quelques secondes, tandis que l’homme continuait à vider. Libre à elle de voir si elle voulait avaler son urine ou non. Il paraît que la pisse a de bonnes valeurs sanitaires.

Ça allait être l’occasion de le vérifier !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 28 décembre 2015, 14:23:24
« Ma chérie, si la sensualité devait avoir un nom... Merde, ce sera sûrement le tien qui serait écrit, tu sais... Avec de grosses lettres roses bien flashy !»

Pour sur qu'un gros (http://zupimages.net/up/15/53/mye3.png) (http://zupimages.net/viewer.php?id=15/53/mye3.png) serait tout à fait indiqué pour décrire la sensualité vulgaire et provocante de notre Duchesse. Lucrezia était une véritable déesse du crime, une femme qui avait ce don d'être à la fois totalement débraillée et sexy à la fois, comme ci le look de pute ultra-chaude avait était fait pour elle. D'ailleurs, quand Lucrezia vas tapiner, elle reviens toujours chez elle avec une bonne liasse de billet et, des fois, avec le ventre bien remplis… dans tout les sens du terme car, généralement, en plus de la semence de ses clients, la belle à parfois la chance de tomber sur un type plus sympa que les autres qui lui aura offert un bigmac ou un kebab et… Lucrezia, en bonne pute, lui aura offert un tour de circuit en plus avec un petit arrêt à la pompe avant.

Mais… Lulu ce souvient aussi de quelque clients un peut ingrat qui, après avoir eu ce qu'il voulait, ce tire en lui payant moins que ce qu'ils doivent. Mais généralement, Lulu les reconnaît ces gars là, ce sont des types de la pègres qui, lassés des gamines squelettiques qui leur servent de gagne pain vienne voir si l'herbe est plus verte ailleurs et… Avec Lulu, autant dire qu'ils sont toujours satisfaits.
Fort heureusement, la discrétion de Lucrezia et le fait qu'elle ne tapine pas tout les soir lui évite de prendre trop d'argent au différente organisation mafieuse oooh, certes, ils savent qu'elle existes, les russes surtout, vus qu'elle traîne en bordure de leur territoire mais… Il la laisse. D'ailleurs ces cher buveur de vodka lui on même donné un surnom à notre Lulu « Mol'ka » ou « Moloka » (Moloko voulant dire lait en russe).
Tiens, il est d'ailleurs intéressant de noter que, les russes sont généralement plus sympa que les Yakuza, alors, certes, il sont pas super tendre quand ils ramones lulu mais… Elle repart toujours avec une petite insulte gentiment grasse et un billet en plus alors que les yakuza c'est… « Je rentre, je sort, je t'envoie balader. » et… Et bien comme cité plus haut, ils ont tendance à mal la payer (mais fort heureusement, les yakuza ne représente même pas la moitié du quart de sa clientèle)

Et puis… Il y a les autres, les bonhommes de passages, les hommes fraîchement largués par leur nana, les macho du dimanche, les flics un peu alcoolos sur les bord en recherche de compagnie enfin… Une armés de queue avide de venir ce réchauffer entre les lèvres de notre Duchesse, Duchesse sous couvert de sa somptueuse tenue de Prostipute édulcorée et sensuellement provocante.
Enfin, pour l'heure, Lulu était Lulu, avec sa belle tenue d'infirmière en latex luisant maculé ici et là du foutre de son homme qui, fièrement, ce dressait devant elle, la verge un peu molle .

« Marquer mon territoire ? Comme un foutu chien ? Tu me plais, ma chérie... »

La femme esquissa un autre petit sourire en position accroupie, les jambe écartée, les deux mains sur les genoux, le torse bombé et les bas des reins légèrement voûté. Lulu avait vraiment des penchant déviant par moment… Et il n'en avait pas vus le quart ! Que ce soit son urophilie (qui est sûrement due au fait que, plus jeune, lulu souffrait d'énurésie et ce, jusqu'à l'age de 14 ans)
que ce soit son amour de la semence, son attrait à la domination face au femme et sa soumissions face au hommes ou encore, son fantasme sodomite, le plaisir qu'elle tire de la souffrances des autres, le fait qu'elle adore ce prendre des claques sur le cul, de ce faire bifler, son attrait pour les glory-hole, pour le gokkun (boire le sperme d'un homme dans un verre ou dans n'importe quel récipient) et… Enfin, Lucrezia est une pure pécheresse, aussi dégradant que soit ses fantasme, elle prend toujours un pied monstre a leur donner vies ! Mais… L'un des plus gros trip sexuel de Lulu, c'est de tout combiner avec non pas un, ni deux mais TROIS Bonhommes ! Ça… Lucrezia le fait rarement voir jamais mais… Quand elle aura enfin l'occasion de rouler des galoches à trois queues en même temps, rien  ne pourrais la rendre plus heureuse. En revanche, l'idée de ce faire gang-banger… Hmmm… ça l'attire moins, enfin, si, le fait d'avoir une foule de queue autour d'elle ça la fait forcement vibrer mais c'est plus le concept de tournante qui la fait douter… Quoi que… En y réfléchissant un peu, si un soir où notre lulu est déguisée en pute et qu'une tripoter de beaux mec venait à lui proposer une baise entre pote… Il y a des chances pour qu'elle dise oui… Mais ils devront ce montrer un minimum respectueux et la payer grassement ensuite.

Mais bon, revenons en à notre charmant petit couples. Lulu, qui était donc bien en place n'eut pas à attendre longtemps pour que Vaas lui pisse dessus sans aucune gène ni aucune forme de honte, comme ci Lulu était son urinoir quoi… Et la réactions de Lucrezia ne fut nullement différente, elle soupira en fermant les yeux en sentant l'urine de son amant venir s’écraser sur son opulente poitrine, avant que le jet ne fasse un petit bon pour venir humidifier son visage et son menton. Et, bientôt, Lucrezia, en parfaite salope dégénérée entrouvris ses lèvres, sortit sa langue et happa au passage l'urine de Vaas à la manière d'une chienne assoiffée, comme pour lui montrer à quel poins la femme qu'il avait en-fasse de lui était une femme faite pour lui, pour lui, l'homme qui grillait des mec et qui, sans aucune forme de peur ni de gène, baisait avec une tueuse en série.

Un véritable Disney-porn-trash-movie ~ ❤
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 28 décembre 2015, 21:54:47
Ça, merde, il aurait dû le filmer ! Un bon vieux snuff movie à l’ancienne, avec tout ce qu’il y avait pour exciter les gamins prépubères qui se branlaient sur Internet devant ce genre de conneries : des mecs cramés, puis du cul à l’ancienne, avec une petite touche de bien dégueulasse quand il lui pissait dessus. Mais il fallait être réaliste. Dès que ça parlait de bite et d’urine, les Américains vous censuraient tout ça en invoquant la liberté de conscience. Le droit de cramer des mecs en les faisant griller comme des saucisses ? Cool, bro’, fais péter la sono’, mais fous-moi une pute qui se fait pisser dessus, et là, tu te reçois toutes les associations féministes sur le dos, toutes ces salopes de gouines-lesbos-frigides qui prétendaient servir la Cause des salopes juste parce qu’elles étaient incapables de se trouver un mec pour leur défoncer leur putain de gros cul à la con ! Il pissa donc contre le visage de cette femme, une douche dorée qui finit en absorption quand sa queue alla se planter contre les lèvres de la femme, et il termina sa course en elle, pendant quelques secondes supplémentaires.

« Haaaa... PUTAIN, ouais !! »

Vaas se retira ensuite, visiblement rassasié, et marcha un peu, rigolant à moitié.

« T’es cinglée, ma salope. Ah, putain, on va faire un malheur, tous les deux ! »

Il frappa joyeusement dans ses mains, comme pour exprimer tout son bonheur à cette idée. Vaas & Lucrezia, comme une version moderne, glauque et trash’ de Bonnie & la putain de Clyde ! De quoi en oublier un peu toute cette tuerie et cette frénésie quotidienne... Vaas avait torturé et massacré ses propres hommes sans aucune hésitation, par amour pour son bébé, pour cette belle femme toute de latex qui était maintenant recouverte de pisse. Il avait marqué son territoire, comme elle l’avait si bien dit. L’homme soupira donc, puis s’étira lentement, faisant craquer les articulations de son dos, puis l’observa encore un peu.

« Allez, ma belle, je vais pas te baiser dans cet état, ce serait pas sain. Tu dois bien avoir une espèce de douche dans ton nid douillet ? Et... J’sais pas, moi, une tenue de rechange ? J’suis pas sûr que le latex et la pisse, ça fasse bon ménage. »

Qu’allaient-ils faire, maintenant ? Pas baiser toute la nuit, tout de même, ça allait vite devenir chiant. Vaas faisait partie de ces gens qui considéraient qu’il ne fallait pas abuser des bonnes choses, sous peine de s’en lasser... Et ouais, ça valait même pour le cul et les massacres.

« Allez, fais-toi belle, ma chérie, qu’on s’éclate ensuite encore un peu... »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mardi 29 décembre 2015, 17:02:19
Hmmmgmm… Haammm….

Lucrezia soupira faiblement par le nez quand son amant vint à enfoncer son gland entre ses lèvres afin d’inonder du reste de son urine la bouche de notre charmante psycho-pute. Et, bien évidemment, cette dernière avala le tout en une ample gorgée sonore. L'urine n'était pas spécialement bon mais… Lulu, pour une raison obscure n'était pas le moins du monde repoussée à l'idée d'avaler ce liquide, au contraire, notre Duchesse du crime trouvait ce petit jeu, fort excitant malgré sa nature dégradante et sale. Mais bientôt, elle vit son homme ce reculer pour ce mettre à faire quelque pas en claquant dans ses mains d'un air enjoué. Il semblait heureux d'être avec elle et, cette constatation amena lucrezia  à sourire tendis qu'elle essuyait du dos de sa main l'urine et le foutre qui maculait sa belle bouche et son menton.

« Allez, ma belle, je vais pas te baiser dans cet état, ce serait pas sain. Tu dois bien avoir une espèce de douche dans ton nid douillet ? Et... J’sais pas, moi, une tenue de rechange ? J’suis pas sûr que le latex et la pisse, ça fasse bon ménage. »

Lucrezia ce redressa lentement en remettant son opulente poitrine en place avant de ce rapprocher de son beau mâle encore en tenue d'Adam. Là, la jeune femme vint a poser ses mains sur ses abdos, abdos qu'elle caressa en le regardant dans les yeux avec un petit sourire taquins et amusé.

« Oui, t'en fait pas chou… J'ai une douche dans mon petit nid d'amour. ❤  »
Le jeune femme vint alors a l'embrasser brièvement sur la bouche avant de lui susurrer à l'oreille ces quelques mots :
« Et tu sais quoi… Tu seras le premier mec a venir dans ma chambre depuis que je suis ici. »

Lucrezia poussa un petit gloussement avant de ce reculer afin de laisser à Vaas le temps de ce rhabiller et, une fois que ceci fut fait, elle l'attrapa avec enthousiasme par la main avant de le guider dans son sanatorium labyrinthique et ce, d'un pas enjoué.
En y repensant, il est vrai que Lucrezia n'avait jamais eu l'occasion d'inviter un homme dans son antre et, encore moins dans sa chambre… Ou plutôt, le taudis qui lui servait de chambre.
Une fois devant la porte de cette dernière, Lucrezia ce tourna brièvement vers vaas et, d'un air un brin anxieuse elle vint à lui dire :

« Je… Tu fera pas gaffe au bazar… J'ai pas vraiment eu le temps de ranger... »

Et, une fois cela dit… Elle ouvrit la porte. Offrant alors au yeux de Vaas une chambre d'hopital pour deux personnes (mais avec un seul lit) « un peu » en bazar avec ici et là des pile de linge propres et sales, des bouteilles d'alcool plus ou moins vide, des seringues usagées, de nombreux jouets féminins, de la drogues… Beaucoup de drogues et, au milieux de touts ça (et d'autre trucs) il y avait un grand lit pour deux personnes (rassemblant enfaîte deux lits une personnes) et, dans le coin droit de la pièce, juste à coté de l'entrée, il y avait la fameuse cabine de salle de bain avec douche intégrée !

« Bon aller… Vus qu'il faut que je me fasse toute belle ❤ . »

Et hop, devant lui, Lucrezia ce mit à ce dévêtir, laissant tomber au sol son uniforme en latex, ses gants puis ses bas, ce retrouvant alors toute nue devant lui ! Là, pour sur que Vaas devait avoir une belle vus d'ensemble ! Lucrezia, visiblement joueuse revint alors auprès de son homme afin de le câliner un peu.

« Mais dite moi monsieur, ça vous tente pas de prendre une petite douche avec moi ? Même si on baise pas, ça peu toujours être bon à faire non ? »

En disant cela, lulu c'était permise de prendre les mains de vaas afin de rediriger celle ci au niveau de ses hanche et de ses fesses, fesses qu'elle dandinait fièrement sous la paume de ce beau mal des îles. La femme ce voulait joueuse, taquine et, au fond de ses yeux brillait une lueur espiègle et tentatrice tendis qu'elle ce mordait les lèvres d'impatiences à l'idée de ce laver avec lui… S'il le voulait, bien entendue.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le samedi 02 janvier 2016, 13:09:58
« Et ouais, désolé les gars... Je sais que vous vous êtes rincés l’œil, que c’était... Super-sexy et tout... Surtout toi, Freddy, t’as l’air d’en avoir une bien dure, mais... Vous avez entendu la dame ? Je suis invité dans sa chambre, un honneur exceptionnel pour le gentleman que je suis. Alors, veuillez nous excuser... Mais un homme doit savoir faire plaisir aux dames quand on lui demande gentiment. »

Freddy sembla lentement hocher de la tête. Bien sûr, le cadavre grillé ne s’appelait pas Freddy, et il n’était pas vraiment en train de bander, mais... Et bien, il fallait bien saluer son public. Vaas s’écarta donc, laissant les deux cadavres là, décidé à s’en occuper après (c’était à l’homme qu’il revenait de sortir les poubelles, après tout), et rejoignit donc la belle Duchesse dans sa loge royale. En l’occurrence, une chambre d’hôpital comprenant de multiples seringues, et pas mal de grains de coke. Il y avait, en fait, un bel assortiment, niveau coke. Vaas ne dit rien. La drogue, il aimait ça. Cette femme avait de bons goûts. De fait, beaucoup de gens disaient que, si Vaas était aussi cinglé, c’était à force de se shooter à Rook Island, en usant de la drogue spéciale qui était cultivée là-bas. D’aucuns disaient aussi que ses facultés exceptionnelles au combat venaient de là, car on disait que certaines plantes de Rook Island avaient des effets hallucinogènes, augmentant le rythme cardiaque, et augmentant donc les performances et les capacités des hommes, au dé&triment de leur santé mentale. Mais bon, aucune étude scientifique n’avait été réalisée sur les plants de Rook Island, et aucune expertise psychiatrique n’avait un jour été réalisée sur la personne de Vaas. Alors, qui pouvait dire qu’il était cinglé ? Et puis, lui, il se trouvait sain... C’est juste le reste du monde qui était hypocrite.

Lucrezia l’arracha à ses pensées en se dirigeant vers la salle de bains, et se déshabilla rapidement. Nue, elle était aussi magnifique qu’avec sa robe... Plus ? Moins ? Difficile à dire... Sérieux, c’était hard, quoi ! Ah, la beauté du beau sexe... Elle dandinait son petit cul comme une salope en manque, et ce alors qu’il venait de lui pisser dessus.

*Merde...*

Il bandait à nouveau. L’homme s’avança alors quand la femme lui proposa de prendre la douche ensemble, sauf qu’il s’agissait d’une douche d’hôpital... Donc, clairement pas une douche « King Size », plutôt un placard à balais. Vaas se déshabilla à son tour, finissant tout nu, avec une belle trique. Cependant, avant de la rejoindre, il attrapa une seringue qui traînait dans un coin, et esquissa un léger sourire.

« Ça, ça a l’air d’être... Pas mal. Parfait, pour planer un coup... »

L’homme la rejoignit ensuite, et se colla contre elle dans la cabine de la douche, refermant la porte derrière lui. Son sexe caressait le corps de la femme, et les seins de Lucrezia caressaient son torse. Souriant, Vaas approcha la seringue du cou de la femme, et l’enfonça lentement en elle.

« Réfléchis à comment tu veux que je te prenne... Sur le devant... Ou sur le derrière, en te plaquant contre le mur, comme si tu étais une petite pute d’étudiante sortant de ses cours se faisant sodomiser en allant aux chiottes dans le métro... »

Il répandit la moitié du liquide en elle, puis se planta, à son tour, la seringue, se la vidant.

« Aaaahh... Puutain !! »

Il balança ensuite la seringue dans un coin, et sentit son érection s’accroître... Ainsi que sa nervosité, et son envie de baiser.

Que Lucrezia choisisse vite, ou il allait la retourner, et la baiser joyeusement !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 02 janvier 2016, 21:00:15
Lulu regarda son prince quelque seconde, avant de le voir ce mettre à son tour à nue et… diantre, qu'il était vigoureux le bougre ! <3 Il était de nouveau bien dur son bonhomme et, avouons le, là visions de cette belle verge pulsante de désir fit fondre une fois encore le petit cœur de Lulu.
« Ho… » Soupirat elle alors en écarquillant légèrement les yeux, visualisant alors ce mat fièrement dressé, prêt à lui farfouiller le corps comme la première des putes… Enfin, non, comme la « Princesse » des putes. La femme esquissa par la suite un léger sourire en croisant le regard de son homme puis, tout en glissant une caresse sur le gland de Vaas, Lucrezia prit la route de sa cabine, faisant un léger toujours sur elle même avant d'entrer dedans, laissant ensuite sa tête et un peu de son épaule dépasser, la vitre (un peu sale) laissant entrevoir par transparence floutée, le restes des formes de notre Duchesse.

« Aller Vaassoux… Ne fait pas attendre ta princesse~❤ »

Et là, Lulu vit l'homme prendre l'une de ses seringues avant d'enfin la rejoindre dans la petite cabine et… seigneur, qu'ils étaient à l'étroit nos deux tourtereaux ! Lulu pouvait sentir taper contre sa peau le mat de ce psycho-roméo, une sensation oooh combien délicieuse, c'était.. ; tout chaud et dur… La femme ne put que lâcher un soupir en fermant les yeux face à son homme, sentant son parfums, son musc viril et son torse, là, tout contre elle.
Mais… Bientôt, l'homme vint à lentement enfoncer l'aiguille dans le cou de Lucrezia, faisait faiblement couiner cette dernière… Avant de la détendre. C'était… piouf ! Comme ci d'un coup, le corps de Lucrezia venait à ce vaporiser, ne laissant que son esprit, esprit qui  semblait quand à lui flottait, comme un petit papillons mais… Lulu était suffisamment habituée à la drogue pour rester concentrée et, plus ou moins « lucide ».

« Réfléchis à comment tu veux que je te prenne... Sur le devant... Ou sur le derrière, en te plaquant contre le mur, comme si tu étais une petite pute d’étudiante sortant de ses cours se faisant sodomiser en allant aux chiottes dans le métro... »
« Haaaannnw...Vaas~ » Souffla elle alors en ce pendant au coup de l'homme, soufflant faiblement en directions de son visage avec, au fond des yeux, une lueur chaude et sensuelle.
« Je… Je veut que tu me fasse une gateriiiehmmmmbllblblblblbgrmmblll »
Elle fit ensuite une petite mou boudeuse puis… Elle émit un petit sourire coquins, comprenant qu'avec lui, ça ne servait à rien de lutter et, en bonne amante, Lulu vint à lui dire :
« Chope moi les jambes, lève moi au dessus du sol et décalque moi l'minou mon chou~❤ »

Minou que notre Tueuse avait de très joli d'ailleurs, finement rasé et ce, à la manière « ticket de métro » Même ci, généralement, elle aime la garder glabre, notre duchesse ce permettait de temps à autres des petits extra, comme la fois où elle c'était faite une croix médicale, un petit détail fort amusent d'ailleurs <3.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le samedi 02 janvier 2016, 22:42:46
Le corps nu de Vaas s’était fièrement présenté aux yeux de la Duchesse. C’était un corps musclé, un corps de guerrier, avec son lot de cicatrices. Par exemple, sur son torse, il y avait la cicatrice d’un petit trou, là où une balle l’avait atteinte, autrefois, et son corps était aussi parcouru, ici et là, de quelques lignes blanches, souvenir de coups de couteaux, ou de griffures. Rook Island était une île paradisiaque, mais dont la beauté dissimulait la dangerosité. Il fallait y vivre pour le réaliser. Rook Island n’était pas l’une de ces îles à touristes, où tout avait été aseptisé. C’était, au contraire, une zone dangereuse, sauvage, mortelle, où la Nature avait encore tous ses droits, dominant les faibles constructions humaines, à l’image de l’épaisse montagne qui se dressait en son centre. Vaas était donc là, s’exhibant dans toute sa nudité, face à cette femme, cette tueuse, après s’être joyeusement drogué.

La drogue remuait dans ses veines, boostant son adrénaline, ses sens, son excitation... Et la Duchesse, face à lui, ne pouvait guère tergiverser. Qu’elle se décide, putain, ou Vaas irait lui ramoner le cul, en mode « Grand-Seigneur » ! L’homme était impatient, assoiffé, et, comprenant ça, la femme proposa de la prendre contre le mur, à l’ancienne. L’eau leur tombait dessus, et Vaas, la respiration lourde et profonde, chargea.

« Ouais... Viens par là, ma chérie ! »

Et hop ! Vaas la souleva par les hanches, puis sa verge alla se planter en elle, le dos de la Duchesse venant joyeusement taper contre le carrelage, au fond de la cabine. L’eau tomba sur le visage de Vaas, qui alla embrasser la femme, et continua à remuer, son sexe lui faisant un foutu mal de chien... Ah putain !

« Woooww, bordel, ce que t’es bonne, ma chérie !! HAHAHAHAHAHA, puuuuuuutain, c’est d’enfer !! Hummm... Hoooo, ma salooope !! »

La drogue le rendait joyeusement euphorique, d’une humeur légère, et guilleret... Ce qui, chez Vaas, était très particulier. Le brave homme continuait à la prendre, s’enfonçant dans le corps ample, doux, et bien musclé, de la femme, allant également l’embrasser, plaquant ses lèvres contre les siennes. Un tendre et sensuel baiser, au milieu de toute cette débauche de luxure et de sexe.

« Hmmmm... Bébé, haaaa... J’adore te baiser ! »

Vaas continuait à la ramoner, à la pilonner, ayant l’impression d’être une espèce de taureau bourré aux stéroïdes en train de baiser une biche... Mais c’était peut-être la drogue qui lui faisait ça, car il avait l’impression de planer, comme s’il était en train de se doucher dans un arc-en-ciel. D’ailleurs, ça se voyait, parce que le mur carrelé, y devenait rose, et un mur, normalement, ça rosit pas... Sauf si on l’arrose. Rose... Arrose...

Sous l’effet de la drogue, Vaas se faisait poétique !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 03 janvier 2016, 13:13:37
Visiblement, la drogue n'avait pas le même effet sur Lucrezia et sur Vaas, tendis qu'elle faisait « calmement » planer Lulu, Vaas, lui, devenait plus… pimpant… Oui, c'est ça, plus pimpant !
Et diantre, c'est qu'il était pressé le bougre ! À peine notre charmante Duchesse lui avait elle dit comment qu'il devait la prendre que l'homme l'attrapa par la taille, avant d'aller une fois encore lui fourrer sa queue dans l'un de ses trous. L'homme était brutal dans ses mouvement, cela faisait à peine une minute qu'il fourrer notre pauvre lulu, que Vaas était déjà à plein régime, cependant, il prit le temps d'embrasser amoureusement la femme, planquant alors sa bouche contre les belles lèvres pulpeuses de Lucrezia, cette dernière profitant alors de cet instant pour littéralement avaler la langue de l'homme, suçant alors ce qu'elle pouvait dudit appendice avant de finalement le relâcher, laissant un long fil de bave entre les deux bouches.

« HmMmM HaaaaAaa… Ont avaient dit qu'ont baiserais p-phAaaaAa…. Haaanwwwmmm !!! »

Lucrezia était complètement dans la lune à présent et, pendant que l'homme la prenait sèchement contre la faillance blanche de la douche, notre pauvre lulu faisait tourner sa tête en roulant des yeux, bouche entrouverte, poussant de long et profonds soupirs de satisfactions. Puis, lentement et avec une certaine expertise, Lucrezia vint à ce cramponner au bassin de Vaas à l'aide de ses jambes, assurant encore plus l'emprise de Vaas sur elle et ce, dans le seule but de pouvoir encore plus ce faire péter comme une truie. ('fin, une belle truie quoi, dans le genre, peggi la cochonne)

Haaaannnwmmm… HMMM !!! Mon chOoOuUUuW... »

Et hop ! Lulu alla enlacer le coup de Vaas, afin de lui sucer la peau du cou, créant alors un gros suçons bien visible qui, ensuite, fut suivit d'un long coup de langue partant du bas de la gorge de l'homme pour finalement rejoindre son l'obe d'oreille, l'obe que notre Duchesse mordilla ensuite  joyeusement.

Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le dimanche 03 janvier 2016, 17:52:21
La drogue, sur Vaas, avait de curieux effets, et la came de la Duchesse... Ohhh putain, c’était d’enfer ! Le brave contrebandier planait et bandait dur, et n’entendit même pas la Duchesse parler. Tout ce qu’il voyait, c’était une salope en manque de queue, et il lui fourrait ça dans le gosier, enfouissant sa queue, qui semblait s’être transformé en un furieux python prêt à bondir. L’eau bouillonnait autour de lui, et, dans ce trip’, seul le sexe s’implantait. Vaas voulait des sensations fortes, et s’envoyait joyeusement en l’air avec cette femme, flottant dans un espace entre le rêve et le réel.

Elle alla se lover contre lui, mordillant son cou, et lui posa ses mains sur chacun des seins de la femme, et pinça les tétons, tout en continuant ses coups de reins. Rien que pour ça, la drogue était quelque chose de merveilleux, car, après ce que Vaas avait fait, sans cette injection, il n’aurait jamais pu prendre ainsi la Duchesse. Or, Lucrezia méritait un homme galant, un gentleman qui la prendrait bien comme il faut, qui satisferait sa soif et ses ardeurs. Car, après tout, c’est tout ce qu’on attendait d’un homme vis-à-vis d’une femme, non ? Qu’il la baise bien, qu’il la fasse hurler, qu’il la soulage, et qu’il la fasse jouir, bien comme il faut ! Et c’était quelque chose que Vaas comptait faire, en la prenant bien, grognant et soupirant, son corps allant s’aplatir contre celui de Lucrezia.

« Haaaa... Ma salope, huuummmm... Ha !! Si c’est bon, putain !! »

Quoi de mieux que du cul après du meurtre ? L’homme continuait à la baiser, et son poing alla soudain frapper le mur, tandis qu’il continuait à remuer, et le coup fut si fort qu’il en ébrécha un carreau. Vaas retourna alors voracement l’embrasser, goûtant à la longue et juteuse langue de la Duchesse, tandis que son sexe, lui, continuait à se perdre en elle, remontant dans les tréfonds du corps de la Duchesse. Vaas la baisait joyeusement, et se délectait des coups de cul de Lucrezia contre le mur, provoquant des chocs sourds, et ô combien agréables à entendre.

Vaas soupirait lentement, profondément, tout en continuant à jouer avec elle, encore et encore.

« Ouuuaaaiiissss... Whoooo... !! »

La langue de l’homme sortit en plein élan, alors que sa tête partait vers l’arrière, une lueur folle dans les yeux. Même lui était incapable de dire à quoi il pensait en ce moment. Ses pensées étaient comme une bombe au shrapnel qui venait d’éclater, et il fallait donc se rabattre sur la notion la plus simple et la plus compréhensible qui soit.

Baiser cette femme.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 04 janvier 2016, 14:12:13
« Huummmnnpfff ! Haaa… Haaaa Vaas ! HmmM !

Lulu était complètement déboussolée avec tous ça et elle ne savait manifestement plus où donner de la tête. L'homme était brutal, fougueux et visiblement bien décidé à prendre son pied. Mais… Notre Duchesse n'était pas en reste non plus, la drogue, bien que la rendant moins « vive » que d'habitude, décuplait son plaisir et les sensation qu'elle ressentait en son bas ventre. Mais même sans drogue, Lulu aurait sûrement ressentit à peu de chose prêt la même chose… avec une pointe de douleur en plus peut être car, la femme le savait, Vaas était entrain de taper contre son col utérin, le bout de son gland allant même légèrement ouvrir ce dernier !

« HmMmPFF… HaaaAaa ! »


Que c'était délicieux ! Lulu en avait des palpitations, son petit coeur tout mou s'emballant à chacun des coups de reins de son amant.La pauvre haletait comme une chienne en chaleur tout en poussant de petit couinement tout à fait adorables et, c'était d'ailleurs ça la magie avec Lucrezia, même en sachant que c'était une bouchère fini, elle n'en restait pas moins une femme et, quand elle ce retrouvait face à un homme, notre charmante Duchesse devenait plus soumise et incroyablement docile et ce, d'autant plus qu'en l'homme en face d'elle était un beau mal dans la force de l'age <3
La femme roulât fébrilement des yeux en faisant papillonner ses paupières avant de ce mettre à légèrement ventiler, tout ce sexe brutal et toute cette drogue… seigneur ! Que c'était bon ! La femme en avait presque des tournis et, heureusement que Vaas la tenait fermement.
« Haaanw... Vaas je… fiuuUu.. Hmmaa ! »
La poitrine de notre Duchesse s'emplissait et ce vidait rapidement d'air tendis que sa lourde paire de seins remuait au rythme des coup de reins de son Amant, un spectacle vraiment délicieux surtout quand on sais la paire de nibards que Lulu a en sa possessions, de beaux seins bien ronds et bien lourds, de véritable obus que la femme aimait mettre en valeur.

Cet alors que lulu sentit en elle grimper le plaisir, un plaisir au combien délicieux que la femme comptait bien accroître et ce, en ce mettant tout bonnement à bouger son bassin d'une manière fébrile et saccadée tendis qu'elle ce pourlécher les lèvres en faisant tourner sa tête en roulant des yeux.

La drogue, c'est mal m'voyez… Mais des fois, c'est quand même cool !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 04 janvier 2016, 17:08:46
Vaas voyait devant ses yeux les Soeurs-paradis en train de se dandiner et de lui faire de l’œil, là, avec leurs tétons roses... Les seins de la Duchesse remuaient sous ses yeux, et il était enivré par elle, excité par l’odeur de cette femme, par ses formes, par le goût de sa chatte quand son chien allait la perforer. L’homme était un animal préhistorique dans cette douche, laissant parler ses plus simples pulsions, et il se frottait contre ce corps, en oubliant tout le reste, même Diego et José, les deux couillons qui avaient grillé comme des steaks frites sur leurs chaises. Il n’y avait que lui et elle qui comptaient, lui et son bébé, sa Princeza, comme il l’appelait, et qui, en ce moment, était sa puta. Une belle pute qu’il était en train de farcir, la remplissant comme le cul d’une pute de dinde le jour de Thanksgiving. Vaas ne ressentait en ce moment pas spécialement la fatigue, l’adrénaline, boostée par le shoot’, dopant ses veines.

« Hmmm... Hrrrr... »

Il grognait presque, et alla à nouveau l’embrasser, mordillant ses lèvres, puis la déplaça, et l’envoya heurter, non pas le mur, mais l’une des parois de la douche, provoquant un claquement sonore. La vitre, fort heureusement, était solide, et l’eau de la douche aspergea le dos de Vaas, qui continua à la prendre, leurs corps brillant en surbrillance par-delà la vitre enfumée de la douche. Un magnifique spectacle érotique pour quiconque aurait la chance de le voir... Même si débarquer dans la tanière de Lucrezia ne pouvait pas vraiment permettre à quiconque d’être qualifié de « chanceux »... En tout cas, Vaas, lui prenait bien, une main sur ses hanches, et l’autre venant pétrir l’un de ses seins.

Sa queue lui donnait l’impression d’être un organe en feu, comme une sorte de lance à feu, qui s’engouffrait dans la chatte de Lucrezia, qui lui donnait l’impression de la brûler. Elle irradiait ! Sa rougeur se transformait en flamme, et il avait l’impression de niquer une bougie, de s’envoyer en l’air avec un candélabre. L’homme se pencha, et alla saisir son sein, puis embrassa son téton, la soulevant, tout en multipliant les coups, la porte vitrée continuant à ployer sous leurs coups de reins.

Délaissant ses seins, Vaas retourna la prendre par son intimité, encore et encore, multipliant ses bourrades.

« Haaaa... !! »

Son orgasme approchait joyeusement...

Et, Dieu, que tout cela était bon !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 04 janvier 2016, 18:26:00
Visiblement, les seins de Lucrezia plaisait beaucoup à Vaas et, c'est plutôt normal au fond au vus de leur tailles et de leur formes ! Il est vrai qu'elle avait vraiment de jolie formes notre Duchesse, des formes qui, à n'en pas douter, devait jouer beaucoup sur les rentrée d'argent lorsque lucrezia ce prostituait. Car, au fond, il est vrai que des jolie nana comme notre Lulu il n'y en avait pas énormément non plus sur les trottoir, enfin… Si, il y en avait mais généralement (et surtout sur le territoire du Guramu) on pouvait compter plus de gamines que de nana bien en chair.
Et… Là où Lucrezia avait l'habitude de traîner, elle apparaissait souvent comme une Oasis au milieu du désert, généralement, elle était toujours seule, sous un réverbère et, quand un homme ne venait pas à elle, elle s'arrangeait toujours pour lui « pomper » du fric.
Mais encore une fois, ce petit jeu n'était pas quotidiens et, c'est généralement en fin de semaine, le vendredi ou le samedi que notre Duchesse tapine discrètement, en restant loins de ses enfoirée de Yakuza car, eux, même s'ils pouvaient de temps à autres venir la voir, n'aimerait guère la compter sur leur territoires.
Nan, encore une fois, Lulu restait bien au « chaud » sur les doc et leurs alentours et, plus précisément, là où les russe sont implantés.
Ces dernier, bien évidement sont pas non plus super enchanté de voir une nana pointer son cul de temps à autres, mais… Allez savoir pourquoi, il la tolère… Ou alors c'est juste parce que certains de leur membre lui ramone le cul de temps à autres et qu'elle est pas vilaine... en plus d'être plutôt douée.

Enfin bon, pour l'heure, notre sacrée Duchesse était uniquement entrain de ce faire prendre par son Vaas d'amour et… Dieu sais qu'il était doué cet homme ! Enfin, il était surtout dopé là mais, Lucrezia avait encore en elle le souvenir de la sodomie que son amant lui avait fait et, pour sur que cette baise sous héroïne allait elle aussi rester quelque temps dans son esprit. L'homme, visiblement en « fusion » alla prendre en bouche l'un des seins de la femme, avant d'avidement lui pomper le tétons avec dévotions tout en ne ralentissent pas une seule seconde la cadence. D'ailleurs, la porte vitrée allait être pour le coup « bénie » car, lulu était là entrain de faire l'amour dans sa douche pour la première fois ! Une chose magnifique donc… Ou pas, car au fond d'elle même et ce malgré la drogue, lulu espérait que la porte allait tenir bon !

« Hmmm… HaaaAa… V-vaas je crois que je v-vais jouiIiIIir hmmmpff ! »

La jeune femme cambra alors son dos en continuant de donner de petit coup de bassin, avant d'accélerer la cadence à son tour en penchant ça tête en arrière. Là, les yeux clos, la femme ce mit alors à s'empaler d'elle même sur la queue de Vaas, faisant alors dépasser de son col le gland de son amant, un sensation brutal qui cependant faisait vibrer notre Duchesse déjà complètement abasourdit par la drogue.

« HmMmM VAAS JE… HMMMHAAAAAANNN OUI ! OUI ! OUIIIIIII ! HAAAAANW OUIII !!!! »

Et là, à chaque « oui », Lucrezia donna un coup de reins contre son amant et ce de manière croissante jusqu'à ce que finalement, le plaisir éclate en elle avant d'éclabousser l'entrejambe de Vaas en plusieurs jet de cyprines chaotiquement balancer ici et là.

« Haaanw.. Vaas… Haa... 
»

Lucrezia vint ensuite à ce relâcher d'un coup, sa tête allant alors cogner contre la vitre. Elle était tout essoufflée, trempée et chaude comme une bouillotte mais… dieux que c'était bon <3.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le jeudi 07 janvier 2016, 10:37:15
Les deux amants étaient empêtrés dans une danse folle et jouissive, une danse du cul comme on en rêverait pas d’ici des éons. On conterait cette danse, on en ferait des merveilles pour les yeux émerveillés des petits enfants avide de sensations fortes et de chair fraîche. Contre le corps musclé et appétissant de cette femme, Vaas disparaissait, se laissant aller contre les replis tendres et moelleux de sa chair, éclatant son corps contre la paroi vitrée, avant de la sentir également lui répondre, en utilisant pour cela son bassin et ses jambes coincées autour de sa taille. Leur exercice était très physique, usant sur les muscles du brave Vaas, et on ne pouvait que se féliciter que ce dernier soit un guerrier. La chatte de la Duchesse, c’était une autre bataille, où Vaas avait déployé son artillerie, mais aussi des renforts d’infanterie et des régiments de cavalerie pour prendre au mieux la petite et merveilleuse traînée qui se dandinait devant lui comme le premier prix d’une loterie géante. Une fille qui aimait les bad boys, ce qui était parfait, car lui-même aimait les sex girls comme cette petite fleur.

Elle gémissait, elle soupirait, mais lui, tout ce qu’il entendait, c’était : « Baise-mwa, baise-mwa ENCORE ! ». La drogue avait  des effets exceptionnels chez Vaas Montenegro, le faisant planer, et son corps remuait contre celui de Lucrezia, poursuivant leur délicieuse fusion. Il aimait ça, Dieu, que c’était bon ! Putain, ah, ouais, la magnifique sensation de remplir la grotte de cette femme ! La Duchesse se cambrait contre lui, l’eau chaude créait une vapeur qui les entourait, la chaleur locale ne pouvant qu’être renforcée par leurs ébats. Une main sur sa nuque, Vaas se laissait aller, continuant à bourrer la femme, comme s’il s’était transformé en un putain de Panzer à l’assaut de la Place Rouge ! L’homme donnait, donnait... Ou peut-être qu’il se contentait juste de remuer sur place ? Quis ait ? Avec la drogue, Vaas rentrait dans ce qu’il savait faire de mieux : confondre le réel et le rêve, vivre dans une situation onirique qui le faisait plonger à fond dans le domaine de l’hubris. Il était comme ce scientifique dans [James Bond, celui qui gueulait tout le temps qu’il était invincible.

« Haaaa... »

Sa respiration se faisait plus lourde, plus haletante, et notre homme alla enfin se lâcher ! Il jouit avec elle, ou peu de temps après elle, mais il se vida merveilleusement les couilles, son serpent crachant tout son venin, le crachant tellement qu’il dégonfla ensuite comme un ballon de baudruche...

...Et, quand Vaas émergea vraiment, il était couché sur le lit de Lucrezia, à poil, observant le plafond, tandis que la femme était couchée tout contre lui, une main caressant son torse, lui-même caressant, d’une main, son dos, l’autre occupée à tirer sur un joint.

« Merde... Ton lit est agréable ! »

Il lui tendit le joint pour qu’elle fume, puis reprit alors, en se rappelant d’un truc :

« Attends... J’aime bien te baiser, mais... »

Vaas ne se souvenait plus s’il l’avait prise sur le lit. Peut-être ? Il avait de vagues souvenirs, mais, après tout, il se souvenait aussi une fois avoir été sur la Lune en grimpant sur un éléphant rose avec des plumes dans le cul... Ou même avoir enculé une poule, qui frétillait dans tous les sens en faisant virevolter toutes ses plumes, alors... Difficile de dire si c’était vrai ou pas...

« T’avais pas... Euh... Quand je m’suis pointé ici, avec José et Tarkeish... Une sorte de... De... De nana, voilà ! J’ai peur qu’elle s’ennuie si on ne va pas s’occuper d’elle... »

C’était bien Vaas, ça... Toujours aussi désespérant(/i] de galanterie.

Un jour, ça le perdrait !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le vendredi 08 janvier 2016, 15:34:58
Lulu ne ce souvenait pas trop de ce qui c'était passé après son orgasme et, alors qu'elle était lentement entrain d’émerger, elle vit son amant, là, juste à coté d'elle, sur son lit et entrain de fumer un joins, joins que l'homme vint à lui tendre. Mais à peine notre Duchesse avait elle commencée à tirer sur le bedo que, son amant, d'un air songeur ce remit à penser à un truc.

« T’avais pas... Euh... Quand je m’suis pointé ici, avec José et Tarkeish... Une sorte de... De... De nana, voilà ! J’ai peur qu’elle s’ennuie si on ne va pas s’occuper d’elle... »

Là, lulu bugua quelque secondes avec au bout des lèvres le joint de Vaas, avant de cligner des yeux en le regardant… Puis, comme si l'homme venait de faire une révélation à la nostradamus, lulu ce mit a ouvrir les yeux en grand en comprenant que, oui effectivement, à la base départ,elle avait capturée une femme.

« Aaaaaah mais… mais-mais oui ! Le pot de peinture ! »

Et hop, ni une ni deux, Lucrezia sauta du lit avant d'aller chercher dans son bac à linge un tenue car, pour l'heure, la jeune femme était encore à poil et, même si le fait de découper une nana en morceaux nue ne la dérangeait pas, elle préfère quand même le faire avec un minimum de vêtement.
Pour sur que ce type était vraiment extra car, pour faire oublier une telle chose à lulu, faut y aller fort ! Cet alors que là, cul tendus vers les yeux de son amant, lulu fini par enfin dégoter au fond de sa malle, un vieille uniforme d'infirmière (http://vignette3.wikia.nocookie.net/silent/images/1/13/Homecomingnurse.png/revision/latest?cb=20150113120801) qu'elle avait lavé et désinfecté sans pour autant l'avoir mis depuis. La jeune femme le sentit ensuite brièvement avant de le mettre directement sans même prendre la peine d'enfiler des sous-vêtement par dessous.
« Merde… Avec tout tes rodéo là… J'avais complètement zappée cette sale pute ! Ahah ! » Lui répondit alors notre jolie Duchesse en reboutonnant sa veste avant de ce recoiffer brièvement et tout ça, en gardant le joins au bout de ses belles lèvres pulpeuses, joint sur lequel la femme tira plusieurs lattes avant de le passer à son amant. Comme ça, à première vus, Lulu semblait heureuse mais, au fond… « Le faire » avec un homme, est ce que ça ne risquerais pas de « lui » déplaire ?  l'espace d'un  instant, Lucrezia eu un moment d'hésitation avant de lentement lever ses yeux vers son amant… Puis, doucement, alors qu'elle était entrain de ce mordiller la lèvres, lulu vint à esquisser un petit sourire en coin.

« Aller chou… Viens avec moi, je vais te montrer comment ont vide une truie <3 »

Notre charmante infirmière libérale attendit alors que son amant des îles n’enfile lui aussi sa tenue, avant de venir l'embrasser à pleine bouche en ce collant tout contre lui. Puis, lentement, elle l'attrapa par la mains à la manière d'une gamine toute pressée de jouer au docteur avec son meilleur copains ! Et, au fond, n'était-ce pas là ce que notre charmant couple allait faire ? Jouer au docteur ?
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le mercredi 13 janvier 2016, 01:02:35
En se redressant légèrement, le corps emmitouflé dans la couverture, il vit la femme se pencher, lui montrant son magnifique cul, en lui donnant une furieuse envie de la prendre, là, encore. Ils avaient tous les deux longuement baisé aujourd’hui, comme une sorte de magnifique coup de foudre entre amants en manque de cul… Puis, maintenant, ils allaient faire une activité commune. Trucider une petite pute. Vaas ne savait même plus trop à quoi cette dernière ressemblait, et ce dans la mesure où ils avaient tellement baisé, tous les deux, qu’il en avait oublié tout le reste. Mais, maintenant, le souvenir lui revenait. La femme enfila donc une robe d’infirmière, blanche, moulante, qui arrivait à hauteur de ses fesses. Vaas sourit, puis s’extirpa du lit, et, à son tour, s’habilla, en enfilant son caleçon, puis ses chaussures.

« Allez, mon bébé, allons-y… »

Ainsi vêtu, l’homme s’empressa de la suivre, et ils traversèrent à nouveau leur étrange château, grimpant des marches, jusqu’à se rapprocher de la chambre de leur invitée… Mais, peu avant de la rejoindre, Vaas saisit plus fermement le poignet de Lucrezia, et, quand cette dernière se retourna, il alla la plaquer contre le mur, venant lui voler un passionnant baiser, plaquant sa bouche contre la sienne. Elle se retrouva contre le mur, et les deux amants partagèrent un torride baiser, la queue en érection de Vaas venant déformer son boxer pour taper contre les cuisses de la femme.

« ’Tain, je… Merde, ma bite est encore toute dure à cause de toi, mi amor »

Sa robe lui allait super bien, il était victime, tout simplement ! Victime de la beauté terrifiante de cette femme ! Il rompit son baiser après quelques secondes, soupirant contre elle, les yeux fous, écarquillés par l’envie de la baiser, encore et encore. Il avait encore envie d’elle… Insatiable ! Son sexe débordait de son caleçon, et il alla la pénétrer, enfonçant sa queue en elle, et, pendant quelques minutes, on n’entendit rien de plus que leurs soupirs rauques, Vaas allant l’embrasser, sentant, contre son torse, les seins de la Duchesse, qui pointaient le long de sa robe, l’absence de sous-vêtements faisant qu’il sentait clairement la présence des tétons. Une présence agréable, très agréable… Tandis qu’il allait à nouveau l’embrasser.

« Hmmm… Haaaa… »

Le brave Vaas soupirait contre elle, avant de finir par s’abandonner, au bout de plusieurs minutes. Il jouit en elle, en la plaquant contre le mur, et soupira.

« Désolé… J’ai pu résister. La manière dont tu dandines ton cul, là… Merde, on dirait que t’es née pour être mon sac à foutre personnel ! »

Il balança avec un sourire cette assertion, qui, bien évidemment, n’était rien de plus qu’un compliment, puis pensa à ranger sa queue dans son caleçon, avant de s’approcher la porte.

« Allez… Allons voir notre chérie… »

Vaas entra le premier, et poussa un petit cri de surprise.

« Woow ! La vache ! Tu nous as ramenés une ganguro, chérie ! Haaa… J’adore ces petites putes bronzées ! »

La lumière s’alluma, et la jeune femme se mit à gémir, en tirant à nouveau sur ses sangles. Elle avait essayé de les arracher, en vain, et les mains de Vaas caressèrent ses jambes, glissant sur sa peau douce et tendre. Il s’en mordilla les lèvres, tout excité.

« Ouais… Elle est bonne, cette pute… »

Très bonne, même !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mardi 19 janvier 2016, 19:13:05
« Hein que… Whooouaaa Va-Vaas ! Hmmpff ! »

Et hop ! Sans plus de détails, l'homme revint une énième fois besogner notre tueuse, une tueuse qui, bien évidement, ne put rien faire d'autre que d'apprécier cette petite baise contre un mur. Cet ainsi que, durant plusieurs longues minutes, le couple fort atypique que formait Lucrezia et Vaas, ce fit l'amour sauvagement. Cependant, à cause de la drogue, Lulu était encore un peu à l'ouest et… Malheureusement pour elle, elle ne put profiter pleinement de cet instant et puis… Elle avait un peu d'autres envies maintenant.
« Désolé… J’ai  pas pu résister. La manière dont tu dandines ton cul, là… Merde, on dirait que t’es née pour être mon sac à foutre personnel ! »

Sur ce, Lucrezia ce contenta simplement de remettre sa robe en place en ce recoiffant, visualisant ensuite son amant rentrer dans la pièce où la pute était entreposée et… Seigneur ! Quel enthousiasme ! En entendant Vaas, Lucrezia aurait put le croire revenu en enfance, comme un gamin face à un joli sapin de noël tout de maquillage vêtue. Cette réactons fit d'ailleurs sourire notre Duchesse qui, silencieusement, vint à ce glisser dans le dos de son homme avant de ce mettre à lui caresser les abdos en l'embrassant dans le cou et ce, tout en lui murmurant quelque mots.
« Hmmm… Tu verras mon chou… Après, quand on aura tout fini de la zigouiller… Je te montrerais à quel points moi aussi je peut être une pute d’exceptions… hmuhuhu~ <3 »
Le jeune femme vint alors à mordiller le lobe d'oreille de son amant en ce dandinant joyeusement contre lui, toute contente de pouvoir partager un tel « trésor » avec un homme. Et… Pour ce qui est du fait qu'elle soit une « pute d'exceptions »… Oui, Lulu, si elle venait à sortir dehors avec Vaas, enfilerait son costume de prostiputepérépapétislut afin de… Bas de passer incognito au yeux de tous ! Imaginait la couverture, une pute, il y a déjà peu de chance que ce soit la Duchesse mais… Une pute accompagnée d'un bonhomme, ahah ! Là, aucun risque d'être soupçonnée, à elle la liberté ! Et puis… quand Vaas la verra… Pour sur qu'il tombera sous son charme vulgaire et provocateur.

« Allez mon Doc.iroquois ! En piste ! » Lâcha t-elle alors en s'empressant de faire le tour du lit avant de prendre dans l'une de ses mains un scalpel et, dans l'autre, un large couteau de boucher
Alors, tu veux prendre quoi mon coeur ? Hm ? J'ai plein de truc rigolo ! Spéculum vaginal, anal,  j'ai aussi un forcep,  des bistouris, des couteaux de toutes tailles et de toutes formes, j'ai même euh... » La femme ce tourna alors vers sa batterie électrique. « How… ça tu sais déjà que je l'ais, fuhuhu <3 »

Et hop ! Sur ce petit rire enjoué, la tueuse vint à ce pencher légèrement, avant de déposer sur les lèvres de son amant un délicat baiser.
« Je te trouve trop marrant… Ton regard, ton accent… Tes un super mec toi ! »
Et… C'est sur ses belles paroles que notre tueuse vint à ce mettre au dessus de la ganguro, à genoux,  avec les jambes écartée juste au dessus du torse de la pute.
« Alors… voyons voyons… Comment allons nous nous y prendre… Hm ? » Souffla alors la femme en faisant lentement glisser le bout de son scalpel sur le corps de la ganguro, partant de sa joue jusqu'à son nombril en passant par son cou, faisant alors gémir la pauvre pute au regard apeuré.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le vendredi 22 janvier 2016, 00:50:11
Le fait que Lucrezia n’ait pas eu envie de sexe n’avait eu aucune incidence aux yeux de Vaas. Il l’avait baisé parce qu’il avait eu envie de le faire, tout comme il avait envie de se faire cette ganguro. La jeune femme saignait de l’un de ses seins, et son mascara avait coulé le long de son visage de pute, en suivant le ruissellement de ses larmes. Elle avait essayé de se libérer en tirant sur ses sangles, ce qui avait aussi légèrement marqué sa peau. Et voir la scène qui se préparait sembla exciter Lucrezia, qui se frotta contre Vaas, renforçant l’érection de ce dernier. « Doc Iroquois » lui sourit, avant de contempler, sur une table, ses instruments, et se plia rapidement à ce jeu de rôle.

« Très bien... Je dirais que... Nous allons pouvoir commencer l’opération... La patiente a l’air en bonne santé, et est, surtout, parfaitement éveillée, ce qui est mieux pour la suite de l’opération.[/color] »

Vaas observa les différents instruments, tandis que la femme se mit à gémir et à grogner, en tirant à nouveau sur les sangles. Elle était nue, magnifique, avec une peau douce et chaude, ce qui ne faisait rien pour arranger l’érection de Vaas. Le tueur finit par attraper un fin scalpel, puis alla se glisser derrière la femme, tout en donnant quelques instructions à son infirmière.

« Prenez l’un de vos godes, et violez cette pute... Il ne sera pas dit que nous sommes des monstres... Pas vrai, chia ? »

Il se pencha vers elle, et lécha sa joue, amenant la femme à gémir. Elle était prisonnière, et sentait que, cette fois, ça allait être  terminé. Tout ce qu’elle pouvait maintenant espérer, c’était éventuellement en finir vite, mais ce n’était pas dans les intentions de Vaas. Et, alors que la Duchesse se mettait un gode, et se préparait à l’enfoncer dans le vagin de la femme, Vaas lui retira son bâillon, et on put l’entendre hurler quand le gode rose s’enfonça d’un coup en elle.

« Hurle, ma beauté... Fais-nous entendre ta symphonie ! »

Le scalpel vint faire une incision à hauteur de l’épaule, et le sang se mit à couler, et la femme hurla encore... Puis Vaas attrapa des écarteurs, et les glissa dans la bouche de la femme, l’empêchant ainsi de refermer cette dernière. Vaas y allait à l’inspiration, en réalité peu habitué à ce genre de plats tout cuits. Généralement, il aimait jouer avec ses proies, les poursuivre, les traquer, et les torturer à petit feu... Mais là, et bien... Et bien, il fallait faire plaisir à la dame, se montrer chevaleresque et cordial.

« Ma chère infirmière... Utilisez donc l’une de vos pinces pour lui arracher l’une de ses belles dents. Je suis sûr que votre doigté si délicat serait infiniment mieux que le mien en la matière ! »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 23 janvier 2016, 18:21:27
Pour le coup, tuer une femme avec Vaas était nouveau pour Lucrezia, c'était assez étrange et grisant à la fois ? D'autant plus que l'homme vint à prendre la place du chef, dictant ses instructions à notre Duchesse. Mais… Vaas avait tout interret à ce méfier et à prendre Lucrezia avec des pincette, pour l'heure, c'était un échauffement, de la gentille torture un brin enfantine mais quand Lulu entrera dans sa phase de « totem » là… Et bien l'intrépide Mr. Montenegro aurait tout interret à ne pas la brusquer, ni la titiller de trop prêt. Lucrezia était peut être une chouette copine de jeu pour un homme comme Vaas (et l'inverse était pareil, Vaas était super cool pour lulu) mais la femme n'en restait pas moins une psychopathe, une tueuse en série qui, comme la plupart de ces confrères, avait un schéma de meurtre en tête, meurtre qui, pour notre belle Duchesse était hautement symbolique et sacré. Et donc... à l'instant même où elle commencerait à avoir un regard vide et que l’émotion viendrait à fuit définitivement son corps et son visage… Vaas devra ce faire prudent, sous peine de violemment ce faire remettre à sa place… Voir pire.
D'un autre coté, l'homme aller avoir un privilège exceptionnel : celui de voir en actions la Duchesse et ce, de A à Z, c'était un cadeau bien rare qu'elle lui offrait là, celui de partageait avec lui un moment qui ne lui appartient qu'à elle et à elle seule. Toutefois, en était il conscient et surtout, aura t-il assez de jugeote pour la laisser tranquille un petit moment après qu'elle ais mis à mort cette pauvre ganguro ? Nous verrons cela.
Pour l'heure, Vaas était donc le Doc et visiblement ce rôle lui plaisait bien. Gaiement, l'homme ce mit à donner des ordres à son infirmière en parlant même un chouilla plus sérieusement que d'habitude et, bien sur, ladite infirmière exécuta assidûment ses ordres comme, par exemple, celui q consistant à prendre un gode rose fushia de bonne taille, de ce le mettre dans la chatte avant de pénétrer la ganguro avec l'autre coté. Un acte délicieux que notre Duchesse avait l'habitude de faire lorsqu'elle était toute seule… Avec ses victimes.

« Hmmmpfff… Haaa ! »

La jeune femme fit alors coulisser le bout de plastique dans l'intimité de la pauvre ganguro en poussant de grand soupir de satisfaction, c'était… C'était vraiment quelque chose que lulu aimait ça… Tirer du plaisir en voyant les autres (et surtout les femmes et les gamines) souffrirent et, au délà du simple fait de torturer et de faire saigner, c'était le concept même de détresse qui la faisait saliver, ce sentir toute puissante face à ses putes… Haaan ! Ça la rendait toute chose notre lulu.
Cet ainsi que, durant plusieurs seconde, la Duchesse ce masturba en baisant de concert la prostituée qui Vaas s'amusait à torturer d'une autre manière, mettant alors dans la bouche de la nippone un écarteur, avant de faire une nouvelle proposition à son amante au cheveux bleus.

« Ma chère infirmière... Utilisez donc l’une de vos pinces pour lui arracher l’une de ses belles dents. Je suis sûr que votre doigté si délicat serait infiniment mieux que le mien en la matière ! »
Lucrezia papillonna légèrement des yeux en soufflant sous l'effet du plaisir, avant de regarder la ganguro qui, de ses yeux exorbité essaya (en vint) de convaincre Lucrezia de ne pas le faire en secouant la tête.
« Hmmm… Je suis plus gynécologue que dentiste chou… Mais je veux bien essayer <3 »

Et hop ! Sur ces belles paroles, notre tueuse vint à prendre en main une solide pince avant de s'avancer à quatre patte vers le visage de la ganguro, caressant d'abord brièvement la joue de cette dernière avec le dos de sa mains en affichant une mine faussement délicate et appétissante.
« Raaan… Je les connais moi les gamine comme toi… ça suce… ça suce tout et n'importe quoi et pour quoi au final ? De vilaine caries et une haleine mélangeant sperme et chupa-chups à la fraise ! Ahahaha ! Fait donc comme moi les soir de tapins, mâche des chewing-gums »
Lucrezia tapota brièvement la joue humide de la jeune femme qui, une ultime fois ce mit à hurler, comme ci quelqu'un aller l'entendre ici, Ah ! La blague ! Elle hurlât d'ailleurs si fort qu'elle avala un glaviot avant de tousser en pleurant à chaude larmes.

« ooooh… la belle voie ! » Lachat elle alors en regardant Vaas avec un sourire amusé « Tu voie, ça, c'est le sirop de corps d'homme, c'est excellent pour les vocalise mon chou, c'est pour ça que j'adore sucer et avaler, ahaha ! » Clotura t-elle ensuite en embrassant son amant sur la bouche, avant d'enfin enfuir la pince dans la bouche de la pauvre ganguro, attrapant fermement l'un de ses molaire (pas les moins douloureuses) et de ce mettre à tirer dessus en activant un mouvement de vas et viens qui fit hurler et couiner la pauvre pute.

« Hmmm… je sent que ça viens… Aller… Aller… HMMMMrrrrmmrmrrrAAAAh ! Enfin ! »

Là, pince ruisselante de sang bien en mains, lulu tenait fermement la molaire de la pauvre bougresse complètement en sanglot, hurlant à pleins poumons dans tout le sanatorium sa peine… Bien en vint malheureusement. La Duchesse lachat ensuite molement la dents de la ganguro dans un recipient en aluminium en forme de rein ('fin, tu vois), avant de dire sur un ton un joueur.

« Fuhuhu… C'est marrant de jouer a docteur maboule <3 »

Aaaah… Lulu.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le samedi 23 janvier 2016, 22:21:16
« Gynécologue, dentiste, chirurgien… Qu’est-ce qu’on s’en fout, après tout ? C’est fou, n’est-ce pas, cette manie de vouloir cataloguer et catégoriser les individus, hm ? »

Il s’était adressé à la ganguro, mais cette dernière n’était guère en état de répondre, pleurant et gémissant. Vaas s’amusait, nullement impressionné. Si jamais Lucrezia entrait en transe et s’en prenait à lui, il n’en serait que plus ravi, et lui collerait juste une bonne tarte pour l’aider à aller mieux. Ça faisait circuler le sang, et on voyait les choses plus sereinement ensuite. Il vit donc Lucrezia s’avancer à quatre pattes, de manière très sensuelle, et sourit. Le regard de la ganguro s’écarta du visage de Vaas pour se poser vers celui de l’infirmière, et Vaas se déplaça un peu, se mettant sur le côté. Il répondit au baiser de la Duchesse, et, quand cette dernière enfouit la pince dans la bouche de la femme, et tira sur sa dent, Vaas sentit son érection croître. Elle dut s’y prendre à plusieurs reprises, faisant hurler et gesticuler la ganguro, qui pleurait et hurlait, ses cris étouffés par l’écarteur… Mais la dent finit par jaillir, dans une mare de sang. Le sang jaillissait de la bouche de la femme, et Lucrezia exhibait fièrement la molaire, avant de la déposer à côté, et de regarder Vaas, toute contente.

Ce dernier sourit à son tour.

« Ouais… Le fun, y a que ça qui compte, ma beauté ! »

C’était visiblement à lui de jouer, maintenant… Vaas délaissa son scalpel pour sortir son couteau, avec une idée derrière la tête. Il caressa ensuite avec sa main le visage de la femme, qui continuait à pleurer et à gémir, en souriant malicieusement. Sa queue tendue caressait les cheveux de la femme, et il alla détacher l’une de ses mains, en ôtant la sangle… Mais maintint sa main, et l’attacha sur l’accoudoir du fauteuil, puis approcha son couteau.

« Un petit tour que j’adore faire… Si j’étais toi, ma beauté, je ne bougerais pas trop les doigts… »

Se faire arracher une dent, c’était atroce comme souffrance, et il n’était pas sûr que la femme l’entende. Elle avait remué la main, et la remuait encore, mais en vain. La sangle la retenait bien, et Vaas grogna, agacé. Pourquoi est-ce qu’ils refusaient de jouer ? Dieu, que c’était pénible !

« PUTAIN, mais arrête de bouger, SALOPE ! »

Il se redressa, et la gifla violemment, une bonne tarte sur sa joue, qui résonna dans toute la pièce. L’écarteur sauta sur le sol, et la femme se mit à pleurer, avant de les regarder, essayant vainement de parler. Avec sa dent arrachée, et ses lèvres remplies de sang, elle alla surtout cracher du sang sur la blouse de la Duchesse. Vaas, de son côté, posa sa main sur celle de la femme, et planta son couteau entre ses doigts, l’amenant à écarquiller les yeux.

« Allez… Jouons ! »

Le mercenaire se mit alors à relever son couteau, et le planta à côté, jouant à un jeu très prisé chez les mercenaires : la roulette russe avec un couteau ! Son arme filait entre ses doigts, de plus en plus vite.

« Regarde, ma chérie, hey ! J’adore ça ! »

TCHAC-TCHAC-TCHAC !!

Le couteau filait dans tous les sens…

Puis ce fut le drame.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !!
 -  Désolé… La vue de ma chérie me déconcentre… C’est l’amour… »

Il sourit lentement, tandis que la femme avait perdu la moitié de son index.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 24 janvier 2016, 23:07:47
Suite à l'arrachage de dent, Lucrezia vint à calmement poser sa pince sur le chariot en acier ce trouvant à coté du lit puis, toujours souriante, la femme observa les gestes de son amant. Ce dernier vint alors à attraper la main de la ganguro, fixant par la suite ladite main bien à plat sur l'accoudoir du siège avant de finalement sortir son grand couteau de combat. Silencieusement, toujours à genoux sur le corps de la femme, Lucrezia regardât la scène avec grand intérêts et, pour le coup, notre Duchesse ne fut pas déçus ! Seigneur, qu'il était doué cet homme ! L'espace d'un instant, notre jolie tueuse fut obnubilée par les mouvement vifs et précis de son amant avant qu'il… Ce loupe, tranchant ainsi l'index de la jeune femme. Sur le coup, lulu lâchât un petit gloussement, visiblement très amusée par cette situation fort macabre.

« Attend… Je vais essayer chou... »

Toujours avec un air enjoué au fond des yeux, Lucrezia vint à ce saisir de son grand couteaux de boucher, approchant par la suite la lame de ce dernier de la main de cette pauvre femme en pleure.
Cependant, Lucrezia était loin d'être aussi habile que son chérie, ooooh que non ! Alors, certes, la jeune femme était une excellente chirurgienne qui avait de solide connaissance en anatomie et en médecine mais… Voilà… Là, c'était un chouilla différent et, à d'un geste quelque peut hésitant et maladroit, la jeune femme commença la même rythmique que Vaas.

« Hmmm… Tac… Tac… Tac… Heu… Tac,Tac... »
Au moins, la scène avait de quoi faire sourire ! Voir Lucrezia légèrement tirer la langue en essayant de mimer Vaas était vraiment très drôle ! Sauf pour la ganguro… Bien entendu et, bientôt, cette dernière put à nouveau ce mettre à hurler de vive voix en sentant la lame de Lucrezia s'enfoncer dans sa mains.
«RHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!! »
« Oups je… Hmmpfr ! Je recommence ! »
Et hop ! Sur ce, la jeune femme ce remit à essayer… Avant de lamentablement échouer à nouveau.
« Grrrr ! Je… MERDE ! »
Là, sourcil légèrement froncés, la jeune femme revint une fois encore à l'assault, échouant une fois de plus, plus rapidement encore que les deux autres fois et, face à ce nouvel échec, les joue de la Duchesse ce gonflèrent légèrement, lui donnant un air presque enfantin ;
« Je… RAAAAAH ZUT DE MERDE DE CROTTE ! J’ARRÊTE ! » S'exclama t-elle finalement en envoyant son couteau plein de sang en travers la pièce.

« Grrrmmmh ! »
Lucrezia vint ensuite à bougonner dans son coin, avant de prendre un petit sachet de poudre blanche, sachet qu'elle agita légèrement, rependant ensuite un peu de son contenue sur le ventre de la ganguro. Puis, à l'aide d'une lame de rasoir, la jeune femme ce mit à soigneusement faire une ligne de coke qu'elle siffa ensuite d'un coup sec.
« Snnnfffff… Hmmgmm… Haaaa ! Fiouuuw ! »
Lucrezia renifla bruyamment en ce frottant légèrement le nez puis, avec un petit sourire taquins, elle vint à tendre le pochons de coke à son amant avant de prendre en mains une agrafeuse chirurgicale.
Puis, lentement, la femme ce retourna de sorte à être à quatre pattes au dessus de la pauvre pute, le visage au dessus de l'intimité de cette dernière.

« Allez… En piste… Il est temps pour moi de te montrer toute mon expertise. »

Une fois sa phrase dite, Lucrezia la clôtura par un bref coup de langue sur sa cicatrice buccale, un petit geste qui, à première vus, aurait put paraître anodin mais qui en réalité n'était autre qu'un signe avant coureur de la « descente » de lulu dans les limbes de son esprit. Lulu qui, délicatement, ce mit alors à caresser la fleur intime de la ganguro, avant d'attraper l'une de ses petites lèvres, lèvres qu'elle étira au maximum pour ensuite venir la plaquer contre la peau douce et chaude de la femme.

« Aller… On ouvre graaaand… à la une… à la deux… Et à la TROIS ! »
CLIC !
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA » Hurlât alors la pauvre pute en tressautant sous l'intense douleur que venait de lui conférer le coup d’agrafe sur son intimité.
« Hihihi ! Attend, ce n'est que la première ma puce, il faut bien que j'écarte le tout si je veux pouvoir travailler moi, hmmm ! »

La Duchesse, tout en continuant d'ouvrir sauvagement la « voie », dandinait son gros cul joyeusement, offrant à son amant une vus somptueusement érotique ce qui, bien évidement, ne devait rien arranger à sa trique que lulu avait bien évidement remarquée.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 25 janvier 2016, 12:39:21
Le joyeux duo continuait à s’amuser avec leur nouvelle amante. Visiblement impressionnée par le petit tour de Vaas, Lucrezia entreprit de l’imiter. Elle se rapprocha donc de la main de la femme, qui pleurait à chaudes larmes, et Vaas, de son côté, s’écarta un peu, afin de la regarder faire. Le jeu du couteau, c’était l’une de ses spécialités. Avait-il raté ? Ou avait-il sciemment manqué son coup ? C’était à se demander… Mais Lucrezia, elle, ne loupa pas sciemment, et trancha à plusieurs reprises la main de la brave ganguro, la faisant de nouveau hurler et pleurer. Son sang jaillissait sur le sol, et, furieuse d’échouer, la Duchesse balança le couteau, qui rebondit mollement contre le mur, avant de s’écrouler sur le sol, derrière un Vaas silencieux, observateur taciturne et discret.

« Il faut la pardonner, indiqua-t-il à voix basse à la ganguro, c’est une femme pleine de passion… »

La ganguro n’avait toutefois pas trop l’air d’être en état de la pardonner. Lucrezia, après l’échec de ses tentatives avec le couteau, se déplaça à nouveau, et alla chercher une grosse et lourde agrafeuse. Vaas sentit son érection se maintenir, et s’écarta prudemment, sentant bien que la Duchesse avait envie de mener la danse elle-même. Leur cobaye pissait le sang dans tous les sens, mais ce n’était qu’un début. Vaas se mit à l’arrière, et vit la femme s’approcher des lèvres intimes de la ganguro, et…

Ouch ! Ça, ça devait être douloureux ! Vaas aurait presque pitié pour la jeune femme, s’il n’était pas incapable de ressentir la moindre forme d’empathie pour les autres. Au lieu de ça, il voyait le corps sanguinolent de cette femme, et, surtout, le petit cul de Lucrezia, qui se dandinait sous son nez, comme si elle cherchait à le provoquer. Il fallait bien avouer que, depuis qu’il était entré ici, dans ce refuge, le bâton de Vaas avait tendance à rester bien dressé et assoiffé.

« Hmmm… »

Le brave mercenaire se rapprocha à nouveau de la table, et posa ses mains sur les hanches de la femme, son sexe venant caresser son cul.

« Tu sais que tu m’excites, ma chérie ? Non seulement tu tortures cette salope avec une passion incroyable, mais te voir dandiner ton joli petit cul, là, sous mon nez… »

Il alla même jusqu’à gifler son derrière. La drogue que Lucrezia lui avait fait prendre l’amenait à réveiller ses pulsions sexuelles, pulsions qui se manifestaient précisément en ce moment. Devant eux, la pute continuait à gémir et à hurler, et Vaas se pencha vers sa dulcinée, l’embrassant dans le creux du cou.

« Dis-moi… Quel est ton record ? Je veux dire… Combien de temps est-ce que tu as fait tenir l’une de tes patientes avant de la tuer, hm ? Combien de temps tu penses pouvoir faire tenir cette pute ? Car je dois admettre que tu es… Douée. »

Suffisamment douée pour, inlassablement, réveiller le gourdin du brave tueur.

Et il devait bien admettre que sodomiser Lucrezia pendant qu’elle torturait l’autre salope ne lui déplaisait pas.

« Je vais te confier un petit secret, mon amour… J’ai déjà mangé de la chair humaine. De si jolis lots, ça donne nécessairement envie… »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 27 janvier 2016, 12:51:15
« Dis-moi… Quel est ton record ? Je veux dire… Combien de temps est-ce que tu as fait tenir l’une de tes patientes avant de la tuer, hm ? Combien de temps tu penses pouvoir faire tenir cette pute ? Car je dois admettre que tu es… Douée. »
Avant de dire cela, l'homme c'était calmement rapproché de Lucrezia afin de lui palper ses belles hanches et son jolie cul qui, une fois encore, faisait des ravage dans le futal de ce pauvre Vaas et, la jeune femme, en sentant les mains de l'homme et surtout, en entendant ce dernier lui demander quel était son record, vint à tourner la tête en fronçant ses sourcils d'un air songeur.

« Mon record ? Je… Euh… Je serais… Pas trop te dire enfaite. »
Le regard de lucrezia resta quelque secondes fixé sur celui de Vaas et, durant ce petit laps de temps, elle fit (sans vraiment s'en rendre compte) une fois encore glisser sa langue sur la cicatrice ornant sa lèvres supérieur. Pour être honnête, Lucrezia n'aurait pas sue donner de réponse exacte à Vaas car,  bien souvent, Lucrezia n'est pas assez sobre ni assez lucide pour prendre en compte le temps et puis, il y a aussi le fait que la jeune femme n'a bien souvent aucun repaire chronologique pour s'aider. Mais, elle tachas cependant d'expliquer à Vaas le pourquoi du comment ça ce fait qu'elle n'est aucune réponse claire à lui fournir.

« Euh… Bas… J'ai pas vraiment de moyen de savoir moi… Et puis, il y a toujours un moment où je sais plus où je suis… Je… c'est bizarre… C'est genre… Euh… Je tue la nana mais, c'est pas la même nana qui était là il y a genre deux secondes c'est… Autre chose… C'est plus orgasmique et là, pouf ! Le temps il ce met a devenir chelou et il ralenti, ça me fait mouiller comme une folle pendant que je fait mon truc et après je… Euh... »

Lucrezia ce mit alors à froncer les sourcils en baissant le regard puis, sans en dire plus, elle ce remit a triturer l'intimité sanguinolente de la ganguro, tournant ainsi le dos à Vaas.
Étrangement, là, Lulu avait pas trop envie de dire ce qu'elle ressentait à… Enfin, si, là, tout de suite maintenant, elle ressentait du plaisir et, tout ce qu'elle faisait avec lui était hautement savoureux mais… Son « final », le truc qui lui arrivait quand elle était toute seule… C'était genre tabou, elle avait pas envie d'en parlait et, peut être était-ce tout simplement parce que même elle, elle ne pouvait pas en parler clairement. À la voir comme ça, on aurait put imaginer une petite fille qui chercherait à cacher un truc car, à présent, elle était devenue assez silencieuse et, d'un coup de hanche, elle chercha même à repousser les mains de Vaas. Pauvre homme, c'était à rien y comprendre ! Lui, il avait juste demandé à lucrezia c'était quoi son record et elle, voilà qu'elle ce met à vouloir lui expliquer un truc un peu nébuleusement avant de repousser les douces caresses du mercenaire qui, encore une fois, n'avait rien dit et n'avait rien fait ! Mais… Bien vite, Lulu ce stoppa dans son affaire, avant de ce relever et de regarder Vaas à nouveau en clignant lentement des yeux, affichant ensuite un petit sourire assez mignon. Elle le trouvait… Rigolo… Ho ! Nan, elle ce moquait pas de lui mais… Ce type était vraiment un chouette copain quoi, il avait beau être un peu bizarre et pas vraiment à même de comprendre les petites subtilités qui le différenciait d'elle… Il était vraiment chouette car, avec lui, elle pouvait pleinement s'amuser, ce lâcher, rigoler et tuer une nana en ce droguant et baisant comme une folle. La jeune femme vint alors à légèrement ce pencher vers lui avant de lui faire un petit bisous sur les lèvres en faisant frotter son nez contre le siens.

« Bouhw… euh… T'as dit quoi déjà ? Que… t'avais déjà croqué des gens ? »
Oui Lulu, c'est ce qu'il avait dit oui… Et… Une fois encore, elle lui sourit en prenant un petit air un peu surpris, genre, avec un léger froncement de sourcils, l'air de dire « quoi ? Que dit tu filou ?».

« Moi… Personnellement, j'ai jamais mangée de viande humaine... 'fin… Pas au sens littérale… Si tu vois ce que je veux dire~♥ »
Et zioup, la jeune femme revint à lui faire un petit baiser sur la bouche avant de ce remettre à lécher sa cicatrice, reprenant ensuite son agrafage chirurgicale.
« Nan… Moi tu vois » Clic ! « J'ai jamais était attirée par ça… Même quand j'avais rien à manger, j'ai jamais eu envie de tailler une bavette sur l'une de mes.. » clic ! « Victimes, hmpff… » Sur ce, la femme revint a légèrement ce remettre en place en dandinant son cul, faisant apparaître une petite flaquounette de cyprine sur le corps de la ganguro. « En revanche, ça m'est arrivé de boire du sang… Je sais pas… J'aime le goût que ça a le sang… » Clic ! « C'est ferreux, suave… Mélangé à la cyprine c'est super chouette comme truc gustatif… Hu,hu ! »

Sur ces paroles, la tueuses revint à ce tourner vers Vaas, avant de porter ses doigts couvert de sang et de cyprine à sa bouche, léchant par la suite sa main sur toute la longueur avant de sucer ses doigts langoureusement en faisant ses incontournables yeux de chienne en chaleur.
« hmmmmmmgmm… Shhhhllrpp… Hmmmgmm… »
Et là, Lulu ce mit a faire circuler le mélange cyprine, sang, salive dans sa bouche, avant d'attraper le visage de vaas et d'enfouir sa langue (avec le mélange) dans la cavité buccale de l'iroquois.

Une sorte de baiser que seul les psychopathes peuvent ce targuer de faire entre eux.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le mercredi 27 janvier 2016, 20:25:13
Cette femme avait un comportement très changeant, puisque son humeur sembla s’assombrir un coup. Elle écarta Vaas, qui se retint d’insister, choisissant de rester sage. Il n’avait pas honte de le dire, cette nana l’impressionnait. Il aimait son charme bestial, sa cruauté, sa sauvagerie, cette passion qui brûlait dans le firmament de ses yeux. Elle était une prédatrice, cruelle et vicieuse, perverse et charmante. Comment ne pas tomber sous son charme ? Vaas était en droit de se sentir amoureux avec une telle femme. Lunatique, elle retrouva rapidement son appétit, en allant lui voler un baiser, amenant sur les lèvres du brave homme un sourire amusé.

Elle n’avait donc jamais mangé de viande humaine ? Fondamentalement, ça n’était pas spécialement différent de la viande animale. L’homme, après tout, était un animal comme les autres, juste un peu plus pervers. Vaas s’était souvent amusé, avec ses prisonniers, à les affamer, et à les faire manger des ragoûts composés à partir des cadavres de leurs anciens amis. C’était comme bander les yeux de quelqu’un en lui faisant manger du pâté pour chats. Si vous ne lui dites pas ce qu’il bouffe, il vous dira que c’est excellent, mais, si vous lui dites, ensuite, ce qu’il a dans l’assiette, il y aura un blocage. L’être humain était ainsi, fait de paradoxes et de contradictions difficiles à concilier.

Lucrezia continua à agrafer le corps de la femme, la faisant gémir, tout en lui expliquant qu’elle n’avait jamais mangé de la chair humaine, mais que, en revanche, elle aimait bien le sang... Ce qui faisait donc qu’ils étaient un cannibale et une vampire. Le couple parfait, non ? En tout cas, il pouvait l’être... La femme se pencha vers lui, et ils s’embrassèrent, le sang commençant à ruisseler des multiples plaies de la ganguro. Le sexe toujours tendu, Vaas l’embrassa joyeusement, posant une main sur ses cheveux, l’autre sur ses hanches, en enfonçant sa langue dans sa bouche, répondant ainsi à celle de la femme.

« Hmmm... ! »

Un baiser très curieux, avec le goût du sang, et les mains de Vaas se crispèrent un peu contre le corps de la femme, sa queue se redressant encore pour caresser sa robe d’infirmière, une robe légèrement ensanglantée, et il déplaça un peu son corps, remuant son bassin d’avant en arrière pour le filer sous la robe. Les deux amants s’embrassèrent donc pendant quelques secondes, puis un sourire se dessina ensuite sur les lèvres du tueur, sa main se déplaçant du corps de Lucrezia pour venir caresser le ventre de la femme.

« Je t’y ferais goûter, alors... Cette ganguro connaîtra une vie sans fin, en finissant logée dans nos estomacs... »

Silencieusement, la ganguro continuait à pleurer, mais criait moins, comme s’il y avait, en elle, une sorte de terrible et silencieuse résignation. Personne ne viendrait la sauver. Quelle que soit sa vie, qu’elles qu’aient pu être ses ambitions et ses rêves, ils étaient maintenant réduits à néant, et son ultime but serait d’être leur repas.

Vaas embrassa donc la femme, continuant à caresser son sexe contre sa peau.

« Mais... J’avoue que tu as bon goût, ma chérie... T’embrasser est... Très bandant. »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 28 janvier 2016, 18:14:10
Lucrezia n'aimait pas spécialement boire du sang… Enfin… Si, si bien sur qu'elle aimait ça mais… à petite dose. Elle n'était sexuellement attirer par le « vampirisme » nan, elle, elle aimait juste le goût et l'odeur du sang, mais ce n'est qu'un détail, un petit plus, elle n'irait pas vider le corps de ses victime juste pour boire leurs sang, le sang faisait partit d'un « tout » pour elle, comme le sel, le sel c'est bon, ça rehausse le goût des aliment mais… Trop de sel, tue le sel ! Cependant, l'homme semblait déterminé à vouloir faire manger de la chair humaine à Lucrezia… Une perspective qui, en soit, de rebutait pas notre Duchesse mais qui… Soyons franc, ne l'attirait pas non plus.
La femme ce pinçât les lèvres brièvement quand leurs baiser vint à ce rompre et, alors que Vaas la complimentât à nouveau en lui disant qu'elle avait bon goût, Lucrezia vint à émettre un petit sourire joueur.

« Toi aussi tu à bon goût Mon chou… Pachups~<3 »

Et hop, la femme vint à voler un autre baiser à son amant avant de reposer son agrafeuse recouverte de sang et,  d'un petit air joyeux, la femme ce mit à déhancher son corps de manière furtive et enfantine. Et.. alors qu'elle cherchait quel nouveau sévices elle allait pouvoir faire à la femme… Lucrezia eut une idée. Une idée qui pourrait s’avérer amusante et... dangereuse… Mais amusante !
La jeune femme ce retourna alors vers son amant qui, toujours entrain de la palpait, semblait bander bien dur et, alors que cette grosse queue joufflue était entrain de glisser sur son corps, Lulu vint à fermement l'attraper en souriant sadiquement à Vaas tout en fixant ce dernier dans les yeux, affichant alors un regard assez sombre, dénué de lumière mais… Un regard chaud aussi, et dominateur… Oui, Lulu était petit à petit entrain de ce transformer mais, bizarrement, cette alchimie entre sexe et meurtre prit une autre dimension du fait de la présence de Vaas.

« Hmmm… Tu veux encore me la mettre vil diablotin que tu es.. t'as pas débandé depuis tout à l'heure... ça en est presque grossier ! »

Bien sur, lucrezia rigolait ! Voir une queue tendue lui faisait toujours plaisir mais… là, la drogue, le sang et le sexe l'avait rendue plus… Dominante et, si pour l'heure Vaas ne devait pas encore s'en rendre compte, Lulu était bel est bien entrain de vouloir le dominer. Le femme émit alors un petit ricanement avant de changer de position sur le corps de la ganguro, une position assise, face à Vaas, Vaas à qui la femme continuait de sourire « gaiement » tout en enlevant ses talons afin d'ensuite lentement faire glisser le bout de son pied droit sur la jambes de l'homme puis, sur son entre jambe, caressant alors ses bourse, avant de remonter lentement sur sa hampe afin d'atteindre son gland.
« Hmmm… j'ai bon goût tu dit ? Alors vas y chou… Goûte moi… Mes pieds son tout à toi... »
Et, sur ceux, la femme ce mit a presser le bout de sexe de Vaas avec son pied, appuyant fortement dessus afin de lui montrer qu'elle aussi pouvait ce montrer dominante.
La tueuse tira alors la langue a son amant, avant de faire passer sa main devant sa bouche afin de faire le signe mimant un cunnilingus soit, celui consistant a faire passer sa langue entre l'index et le majeur forment un V.

« Aller chou… J’attends mes soins pédestre moi… tu ne ferais pas attendre ta princesse… Toi qui est si galant et si gentil avec moi… Fuhuhu ! »
Cependant, malgré son comportement, Lucrezia n'avait pas encore franchie la "limite" et était tout à fait capable de raisonner... Plus ou moins.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le vendredi 29 janvier 2016, 12:46:52
« Oh, je vois plutôt ça comme un honneur envers toi… »

Bander pour une femme, c’était bien la preuve qu’on la trouvait belle, non ? Pour Vaas, en tout cas, c’était bien plus parlant que ces conneries de bouquets de fleurs à la con, de poèmes de merde… Ça, c’était concret, ça parlait, et ça voulait tout dire. Pourquoi s’emmerder à faire un poème de merde pour dire à une femme qu’elle vous faisait bander la nuit ? Autant lui montrer directement son érection, et en tirer toutes les conséquences qu’il y avait à en tirer. C’était simple, efficace, clair… Et c’était la logique choisie par le brave Vaas. Il n’avait pas à rougir de son érection, c’était naturel… Enfin, en l’occurrence, toute la drogue qu’il ingérait y contribuait aussi beaucoup, mais, au-delà de ça, l’homme s’était toujours dit qu’il était un très bon étalon. La preuve en était qu’il avait toujours adoré se taper des nanas en présence de leurs maris, ou, à défaut, amants. Il voulait qu’elles sentent ce qu’était une vraie queue plantée dans leur chatte, ou dans leur cul, ou dans les deux. Avec ses amantes, Vaas était toujours très généreux…

…Mais là, en ce moment, il reconnaissait que Lucrezia avait un charme supplémentaire, quelque chose de merveilleusement bestial. Ouais, il était amoureux d’elle, sincèrement et honnêtement. Il vit alors la femme s’écarter un peu, s’asseyant sur le corps de leur amie, la brave ganguro qui se faisait torturer, et qui voyait son calvaire continuer, la femme ne devenant plus qu’un objet de séduction entre les deux membres de ce couple improbable. Vaas vit la femme retirer son talon, puis son collant, avant de frotter son sexe avec sa queue, l’amenant à serrer les poings.

« Haaa, chica, tu sais comment lui parler, regarde comme ma queue t’aime… »

Si ça, ce n’était pas la plus belle des déclarations d’amour… Néanmoins, Lucrezia avait d’autres désirs derrière la tête, puisqu’elle lui demanda de jouer avec ses pieds, de verser dans le fétichisme. Vaas considéra la proposition avec un sourire, le pied de la Duchesse s’écartant, après avoir appuyé dessus, tant et si bien qu’elle avait un peu écrasé ses couilles contre sa peau, au plus grand bonheur de l’aventurier.

« Une vraie Princesse… Mais je te l’ai dit, amour, je suis ton chevalier servant… »

Comme preuve, Vaas alla ensuite lui faire une belle révérence, puis fléchit les genoux, et commença par caresser la jambe nue de la femme. C’était une jambe belle, bien taillée, solide, à l’image de ce corps puissant et massif. La Duchesse n’était pas une biscotte, c’était une femme bien en chair, exactement comme il le fallait, et Vaas, lui, n’était pas dans l’optique de domination absolue. En fait, il raisonnait sur un autre plan. Un plan qui n’avait pas de nom, un plan ex nihilo, propre à Vaas, situé quelque part entre le fun, la folie, la cruauté, et le sadisme. Dans ce plan, les règles classiques n’étaient pas les mêmes, même s’il y avait quelques bases communes, comme le meurtre, le viol, la torture…

En tout cas, Vaas se mit à embrasser cette jambe, jusqu’à rejoindre le pied, et se mit à le lécher, consciencieusement, avec toute l’affection dont son amour était capable. Ses mains massaient ce joli pied, ses doigts glissant sur les doigts de pied, puis il les prenait ensuite en bouche, allant mordiller le gros orteil, puis lécha les autres orteils, remontant lentement dessus, pour embrasser ensuite la plante du pied de la femme.

« T’aimes ça, hein, amour ? Que ce soit quand je te défonce le cul comme la pire des putes, ou quand je t’embrasse et lèche les pieds comme si tu étais une Déesse, tu mouilles toujours comme une fontaine, hein ? Tu vois, ma chérie… On est faits pour s’aimer ! »

Vaas lui sourit ensuite, et, taquin, alla même lui chatouiller la plante du pied avec ses doigts. Il s’excusa rapidement en l’embrassant sur le pied.

« Tu veux me faire jouir avec tes pieds ? Je suis sûr qu’une spécialiste comme toi en est capable… »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le vendredi 29 janvier 2016, 18:39:46
Calmement et, avec galanterie, Vaas exécutât les ordres de sa dulcinée en s'accroupissant alors devant elle, tel un esclave devant sa reine. Puis, avec dévotion, il ce mit à caresser les longues jambes fuselée de la tueuse, la faisant faiblement frémir sur place en lui donnant même la chair de poule l'espace d'un instant et, en gardant un œil sur lui, la femme soupira longuement, appréciant chaque secondes de ce massage délicat et sensuel, à mille lieux de la violence que les unissait en cette sinistre nuit. Vaas ce fit donc doux et aimant durant ses soins, ne manquant pas d'agrémenter le tout de quelques petits mots doux, pas piqués des hannetons.

« T’aimes ça, hein, amour ? Que ce soit quand je te défonce le cul comme la pire des putes, ou quand je t’embrasse et lèche les pieds comme si tu étais une Déesse, tu mouilles toujours comme une fontaine, hein ? Tu vois, ma chérie… On est faits pour s’aimer ! » Lui dit il alors en allant gentiment lui chatouiller le pied, faisant légèrement tressauter lulu sur le coup. C'est qu'il était taquins en plus le bougre !
« Tu veux me faire jouir avec tes pieds ? Je suis sûr qu’une spécialiste comme toi en est capable… »

Lui masser la queue avec les pieds ? Hmmm… Voilà une proposition qui vint à légèrement faire sourire notre Duchesse qui, tout en penchant sa tête légèrement sur le coté, vint à glisser le bout  de son pied droit sous le menton de son amant avant de poser son gros orteil sur les lèvres dudit amant.
« Hmmm… oui, c'est une possibilité... »
Il y avait très peu de choses que Lucrezia n'avait pas faite, hors mis la zoophilie et la scatophilie, Lucrezia avait plus ou moins tout expérimenté… Enfin, presque tout. Le sexe avec un groupe d'hommes, par exemple, était une chose qui l'excitait beaucoup mais qu'elle n'avait jamais osée faire car trop risqué, même pour elle. Après… Que ce soit le bondage, le BDSM hard, les fétiches divers en passant par quelques une des plus belles positions du kamasutra, Lulu avait derrière elle un très jolie palmarès d'exploits lubriques à en faire pâlir les plus grosses porn'star de seikusu.
Cet ainsi qu'après quelque secondes de réflexions, la jeune femme vint à déplacer son pied gauche vers le torse de Vaas, faisant par la suite légèrement basculer ce dernier vers l'arrière. Puis, lentement, Lucrezia vint à abaisser le caleçons de Vaas, faisant alors apparaître une verge bien droite et bien dure. Cette vision fit légèrement ricaner Lulu qui, toujours aussi fière d'elle, vint à faire glisser le bout de ses orteils sur la hampe de son beau mâle en rut, caressant ce mat de chair de haut en bas avec délicatesse, avant de le saisir entre son gros orteil et l'autre orteil d’à cotés (je sais pas le nom scientifique), Masturbant ensuite son homme de manière lente en pressant fermement cette queue.

« oui Vaas… Je mouille toujours, hmmmm… C'est pour ça que ce soir, si on vas en ballade… Je ne porterais pas de culotte~ »

Et hop, sur ce, la femme vint à fortement tirer sur la queue de Vaas, avant d'ajouter à son petit jeu, son autre pied qui ce mit alors a masser les bourses du mercenaire avec fermeté. Lucrezia ce faisait donc très joueuse, n'hésitant pas une seule seconde à maltraité le service trois pièce de Vaas. Lucrezia était rarement aussi dominante face à un homme mais… un peu de changement de temps à autre ne faisait jamais de mal et, visiblement, ce bel homme des îles ne semblait pas contre ça non plus. Lucrezia, tout en poussant de bref petits soupir continua donc de branler la queue de son amant en le regardant de son air supérieur, passant tantôt sa langue sur sa cicatrice, tantôt ce mordillant la lèvres inférieur sous cette délicieuse sensation, celle d'être là, en position dominante.
Et, il ne faisait aucun doute que le mercenaire devait lui aussi aimer sa position actuelle car, de là où il était, l'homme avait une vus imprenable sur l'intimité baveuse de la duchesse qui, toujours aussi dominatrice déplaçât le pied qui malaxait les bourses du mercenaire afin d'atteindre son gland, gland qu'elle frotta là encore fermement, coinçant ce beau fruit joufflue et chaud entre ses orteil avant de tourner le pied dans tout les sens en continuant de branler fermement la hampe de cette énorme bite bien raide.

« Hmmm… Haaa… Il y a tellement de choses délicieuse que je meurt d'envie de pratiquer avec toi… Mi Conquistador~ »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le dimanche 31 janvier 2016, 12:52:24
Assise sur le corps de la ganguro, Lucrezia avait choisi, tout comme Vaas, de faire parler ses bas-instincts sexuels. Elle masturbait donc sa queue, l’homme étant allongé sur le sol, ses jambes disparaissant sous la table chirurgicale, tandis que son sexe se dressait fièrement, occupé par les jambes de la femme, un pied le masturbant, l’autre glissant sur ses bourses. Il n’aurait, en réalité, jamais cru que Lucrezia puisse être une femme fétichiste, mais ce n’était pas comme si ça le dérangeait. Au lieu de ça, l’homme la laissait faire, en soupirant légèrement, fermant les yeux, appréciant le plaisir intense que les doigts de pied de la femme lui procuraient.

« Haaa, ma petite chérie... »

Ce n’était pas particulièrement violent, mais c’était doux, agréable, et... Original. Très original, en réalité. Les pieds de Lucrezia continuaient à remuer sur son sexe, caressant sa hampe de chair, ce membre dressé et bien raide. Le brave homme soupirait longuement, yeux clos, avant de les rouvrir, et de sourire à l’intention de la femme. C’était moins jouissif que de sentir une main ou une bouche, il fallait bien le reconnaître, mais l’homme pouvait bien se permettre cela pour son amour. Écartant ses orteils, Lucrezia réussit à coincer ce sexe, et l’amena à se tortiller, faisant soupirer l’homme. Une queue, ça aimait bien qu’on la gigote, et il n’avait donc aucune raison de ne pas apprécier cela.

Vaas appréciait donc, pendant que la Duchesse lui confiait toute son inspiration avec lui. L’homme lui sourit, et sa main vint caresser l’une des longues jambes de la femme, en passant par le mollet, griffant légèrement sa peau.

« Ouais, mon bébé... Toi et moi, on va former une romance d’enfer... »

Dernièrement, Vaas était tellement occupé à travailler qu’il en avait négligé les choses les plus élémentaires de la vie : l’amour. Car toute créature était faite de chair et d’amour, et Vaas, donc, aimait bien diluer son amour aux autres. Mais, depuis qu’il avait quitté Rook Island, et était venu, avec sa sœur, à Seikusu, l’homme s’était surtout concentré à affirmer sa position au sein des Guramu, et à se battre contre les Ruskofs. Là, il rattrapait le temps perdu, et ça faisait du bien... Putain, ouais, ça faisait du bien ! Vaas se mit à sourire, la tête en arrière, tirant la langue sous l’effet du plaisir, avant de soupirer encore.

Leur ganguro, elle, comatait à moitié, comme si son corps était à bout de jus, et la mouille de Lucrezia se déposait sur son corps meurtri, témoin silencieux de la passion entre les deux amants. Vaas, fort heureusement, avait déjà la queue bien dure quand Lucrezia avait commencé à jouer avec lui, ce qui fit que l’orgasme vint au bout de quelques minutes.

Son sexe se tendit un peu, puis expulsa joyeusement son foutre, s’étalant sur les doigts de sa beauté. Ne pouvant laisser une telle chose, Vaas prit l’un de ses pieds, et entreprit de le lécher et de le nettoyer, en profitant pour déposer à nouveau une série de baisers.

« Laisse-moi te nettoyer, mi Princeza... Tu dois rester aussi belle que tu le mérites... »

Vaas nettoya donc, puis resta ensuite allongé sur le sol, le buste redressé en avant.

« Alors, mon amour, que faisons-nous, maintenant ? »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 11 février 2016, 17:06:31
Lucrezia masturba donc son amant durant plusieurs longues et délicieuses minutes avant que ce dernier ne finissent par jouir abondement sur ses pieds. Pieds que l'homme ce mit ensuite à nettoyer du bout de sa langue, un acte qui surpris quelque peut Lulu mais qui, avouons le, ne lui déplaisait pas le moins du monde. La femme observât ensuite son amant avec un léger sourire en coin avant de lentement ce laisser glisser le long du siège, ce retrouvant alors au dessus de Vaas, à quatre pattes.
« Hmmm Je sais pas… Monsieur le mercenaire, hmuhu ! »
Et hop ! Voilà que la jeune femme volât un autre baiser à son homme avant de faire frotter son  nez contre le sien. Lucrezia n'avait pas beaucoup plus d'idée que Vaas et, l'espace de quelque secondes, elle observât passionnément son amant avec un regard toujours teinté d'une pointe de domination. Mais… Très vite, les yeux de notre charmante duchesse vinrent à ce lever vers la table de laquelle dépassait le bras de la ganguro, bras que lucrezia ce mit à tapoter légèrement.
« Eyh… Tu vie encore toi ? »


Bien évidement, la pauvre femme n'était pas en état de répondre et, sentant l'heure de cette demoiselle approcher, Lucrezia ne put que délaisser son amant alors même qu'ils étaient tout deux en bonne voie pour un autre coït. Cet ainsi que notre luxurieuse meurtrière vint à ce ré-asseoir à califourchette sur sa victime, palpant ensuite les gros seins de la femme avec acharnement et… curiosité.
« hooo… C'est pas naturel ça… Attend voir... » Et hop !, Lulu mit plusieurs petites tape au deux seins de la ganguro avant de prendre un petite mine faussement boudeuse. « Hmm… Nan… C'est clairement pas naturel. Dit moi tout… C'est les yakuza qui te les ont payés ? »
Sur ce, Lulu vint alors à faire jaillir sa propre poitrine de son uniforme, poitrine quelle massa d'une main tout en continuant de masser l'un des deux seins de la pute qui ce trouvait au dessous d'elle, dans le but de « comparer » un peu.
Et… Oui, cette femme c'était faite refaire ! Et, au fond, c'était pas trop surprenant non plus. Les yakuza avait très souvent recourd à ce genre de choses, pour plusieurs raison d'ailleurs ! Le principale étant bien souvent pour ce mettre une futur pute dans la poche, généralement les guramu (et les autres clans) recherche des nanas un peu paumée et superficiel et leur offre une foule de choses avant de lentement les attirer vers le bas pour qu'elle devienne des putes et, parmi toutes ces « choses », il y les prothèses mammaires… Enfin, pour les nanas qui son un peu trop plates.
Fort heureusement, Lucrezia, elle, jouissait depuis toujours d'une poitrine très opulente ! On peu dire qu'elle en est fière de ses obus notre lulu, oh que oui ! Tellement fière qu'elle ce mit à les soupeser joyeusement quelque seconde, avant de regarder vaas dans les yeux tout en reprenant en main son scalpel.

« t'as déjà vus des prothèses ? C'est… Marrant... »
Une fois encore, Lucrezia fit furtivement passer sa langue sur sa cicatrices puis, avec un dextérité affolante, la tueuse vint à faire une large incision au niveau de la base du seins de la ganguro, avant de plonger sa main dans ladite incision avant d'en extirper une sorte de grosse boule vaguement blanche/transclucide, boule qu'elle agita ensuite devant vaas avec un sourire joueur.

« éhéh… C'est tellement bidon comme truc...beuark… T’imagine si ça éclate à l'intérieur ? Genre… J'ai déjà crever un de ses truc et… il y a une sorte de gel tu vois… Ahaha ! C'est fou la médecine ! »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le jeudi 11 février 2016, 19:09:24
Qui oserait nier de toute la galanterie de Vaas, maintenant ? N’était-il pas, à sa manière, un homme charmant, aimant, et dévoué ? Il avait léché et embrassé les pieds de Lucrezia comme si elle était sa princeza… Car c’est ce qu’elle était, tout simplement. Vaas se redressa ensuite, en constatant que la Duchesse était retournée s’occuper de la femme, et ne put s’empêcher de faire une grimace quand elle la mutila à nouveau, arrachant aux silencieuses lèvres de la femme un vain soupir de douleur. Elle avait retiré la silicone, et le sang ruisselait le long de la poitrine de la femme.

« Ouw, ça a dû faire mal, ça… »

Elle lui montra le bout de plastique, une sorte de gelée blanche sanguinolente, et Vaas s’approcha lentement, se glissant dans le dos de la femme. Ses yeux étaient terrorisés, et semblaient supplier qu’on mette fin à son calvaire.

« Ouais… Y a pas à dire, bébé, t’es douée avec ton bistouri… »

Vaas se rapprocha à nouveau d’elle, et déposa un baiser sur ses lèvres, soupirant contre elle, serrant son doux et chaud corps contre le sien. C’était plus fort que lui, cette femme l’excitait à la folie, réveillant dans le corps de Vaas des élans d’amour et d’affection.

« Y a pas à dire, c’est vraiment dégueu… Regarde-moi, chérie, t’es beaucoup moins baisable, maintenant… On a fait des folies sur ton corps, mais il faut nous pardonner, c’est la passion et la folie des gens heureux qui fait ça ! »

Le mercenaire offrit à la ganguro souffrante un sourire particulièrement moqueur, comme s’il venait de dire une bonne blague, puis planta soudain son couteau dans le corps de la femme, pile entre les deux seins. La ganguro écarquilla les yeux, et cracha du sang supplémentaire depuis ses lèvres tuméfiées, puis Vaas  retira le couteau, et la planta à nouveau, à quelques centimètres du corps de Lucrezia, soit à hauteur du ventre, puis le sang jaillit à nouveau, et il entreprit ensuite de poursuivre l’incision. Le sang affluait dans tous les sens, et on put voir le corps de la ganguro se tortiller, se débattre.

Et, pendant que Vaas l’ouvrait en deux comme un gigot, il y allait de ses petites anecdotes :

« T’sais, bébé… J’viens d’une île… Une île avec un volcan très élevé, et… Pas mal de grottes. Une fois, j’ai été coincé dans un éboulement avec… Un type. La grotte était instable, on est restés plusieurs jours coincés là-dedans, à attendre que les secours viennent nous libérer. C’est là, bébé, que… Que j’ai compris que je serais un… Un survivant. C’était lui ou moi, ma chérie. On s’est battus, je lui ai fracassé le crâne avec un caillou, j’ai frotté des pierres pour faire un feu, puis je l’ai ouvert, comme les biches, et j’ai cherché ce qui était bon ou pas… »

Tout en parlant, Vaas torturait la femme, et réussit à l’ouvrir, provoquant une large incision, puis usa de ses mains pour écarter un peu la longue ligne rouge qu’il avait tracé, jusqu’à la base de son cou, faisant vomir du liquide rouge un peu partout. Il glissa ensuite ses mains à l’intérieur, peinant à s’y enfoncer, à cause de tous les trucs qui s’y trouvaient, et de la quantité incroyable de sang qui sortait.

« Qu’est-ce que tu dirais que… Hum… Je me charge du dîner ce soir ? »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le vendredi 12 février 2016, 19:24:12
« Qu’est-ce que tu dirais que… Hum… Je me charge du dîner ce soir ? »
« … Qu…  »
Lulu était d'un seul coup devenue beaucoup plus silencieuse… en faite, Vaas ne l'avait peut être pas remarqué mais, depuis qu'il avait commencé à éventrer la ganguro. Sur le coup, le visage de la duchesse c'était lentement déconfit mais… Elle resta calme durant les premières secondes… Puis là Vaas lui expliqua son histoire, histoire que Lucrezia n'avait par ailleurs aucunement écouter car trop absorbée par la vision de Vaas éventrer sa victime. La jeune femme tenta bien de parler mais… Nan, mise à par quelque petits hoquetement sourds, Lulu n'arrivait pas à sortir le moindre mots… Avant de finalement voir l'homme plonger ses mains dans les entrailles de sa victime.
Là… à ce moment précis, Lucrezia eu un déclic et, comme piquée par une mouche, Lulu vite a bondir de sa place avant de violemment repousser Vaas sur le sol en s'écriant alors :
« ARRETE ! »

Sur ce, la femme observa alors son amant avec un regard à la fois colérique et déçus. Lourdement, la poitrine de la meurtrière s'abaissait et ce soulevait, preuve d'une forte stimulation cardiaque et pulmonaire. Lucrezia était elle entrain de perdre les pédales ? Vaas aurait il eu tort d'éventrer lui même ce beau gigot ? Et bien… Peut être car, peu après ces quelque secondes de battement, Lulu ce mit à légèrement paniquer sur place, retournant alors au chevet de la femme afin de voir son état.
Lulu tapota d'abord les joue de la femme… puis elle essaya des claque plus forte.. puis encore plus forte, le son de sa main raisonnant alors dans toute la pièce tendis que Lulu, en voyant que la pute était visiblement morte, ce mordit les lèvres en poussant un lourd soupir… Soupir que lucrezia ponctua d'un « front-à-front » avec la ganguro.
« Bordel… Aller… ALLER !!!! »

L'espace d'un instant, Lucrezia resta figée dans cette position en marmonna des trucs incompréhensibles, puis… Elle ce redressa rapidement en grognant et en soufflant de colère, plongeant alors ses mains dans les entrailles fumantes de la ganguro, arrachant et balançant le foie, le coeur, éclatant la vessie de la femme entre ses mains sanguinolentes tout en continuant de marmonner toute seule d'un ton colérique et paniqué. Entre ses mains, Lucrezia fit ensuite glisser les 9 mètre d’intestin, les balançant ensuite sur le sol. Une fois le contenue de ventre de la ganguro éparpillé partout, la duchesse vint enfin à ce relever en tournant toujours le dos à Vaas, puis, lentement, elle attrapa son scalpel et, d'un mains hésitante, elle essaya de ce masturber en tranchant « quelque-chose » dans la pauvre pute… Mais en vain, après une dizaine de caresse et un grognement d’insatisfaction Lucrezia ce mit à hurler d'un coup, hurlement qui fut suivie de plusieurs coup de scalpel dans le crane de la pute.

« CONNARD ! CONNARD ! CONNARD!!!CONNAAAAAAARD ! »

Et bam ! Lucrezia descendit ensuite maladroitement de sa table en faisant violemment basculer sa victime sur le sol. Apparemment, Vaas avait fait une boulette en éventrant lui même cette pauvre femme… C'est ça le soucis avec le fait d'avoir une tueuse en série comme copine, on peut lui pisser dessus MAIS ! Pas touche à ses jouets. Nan… Enfaite, la réalité était tout autre, si Lucrezia réagissait ainsi, il y avait forcement une raison… Pas claire, certes, mais il y avait une raison. L'éviscération d'une victime, c'était le « truc » de lulu, c'était son truc rien qu'a ELLE et lui, lui là, avec son iroquois, il avait tout gaché ! Et pour faire quoi en plus ? Des bouchée à la reine de ganguro ! Lulu était donc hors d'elle et, en ce retournant vers vaas, le femme ce mit à le pointer silencieusement du doigt, un doigt accusateur accompagné par un regard noir et emplie de colère.

« t'avais… PAS LE DROIT PUTAIN ! T'AVAIS PAS LE DROIT !!! » s'exclama t-elle alors en avançant d'un pas sec vers son amant qui, à peine quelque minutes plus tot était pour elle le plus chouette des copains. Une fois face à l'homme Lucrezia ce mit à faire taper son index contre le torse du mercenaire en le regardant fixement dans les yeux.

« Ta pas à faire ça ! T'a pas le droit ! C'ETAIT A « ELLE » ! TA PAS LE DROIT PUTAIN !
Sur ceux, la jeune femme vint à faire un tour sur elle même en crispant ses mains sur sa propre tête, visiblement complètement paumée et énervée par le geste pourtant si « galant » de son amant. Lucrezia était lunatique, ça, même Vaas devait l'avoir compris depuis le début de leur rencontre.
Mais ce lunatisme ne date pas d'hier. Aussi loin qu'elle s'en souvienne, Lucrezia a toujours eu de brusque sauts d'humeur, passant de la joie à la colère (ou la déprime) en un éclair ! Sauf que… Bas voilà, là, c'était pas un mec « normal » qu'elle avait en face d'elle… Mais ça, lulu semblait l'avoir oubliée et alors qu'elle était toujours en proie à une violent frustration, elle envoya une forte gifle dans la tronche a Vaas avant de ce stopper net, laissant un long silence s'interposer dans las scène.
La femme ce tut alors en ce mordant les lèvres, affichant une mou à la fois colérique et apeurée.
Là… Lulu était entrain de ce dire « meuf, t'as peut être fait une boulette… » tendis qu'une autre partit de son cerveau lui hurlait « mais frappe putain ! Ce mec a tout pété ton « offrande », créant alors au fond de notre duchesse un mélange d'émotions contradictoire qui vinrent à ce mélanger et à exploser quand le regard de l'homme recroisa celui de la femme.

« Heu… T'avais… »
Sur ce, Lucrezia recula de quelque pas en ravalant fébrilement sa salive avant de commencer à renifler en sentant des petites larmes lui monter au yeux. Puis, rapidement, elle essuya ses yeux larmoyant d'un revers de son bras droit avant de fuir à toute allure cette pièce en manquant de tomber à plusieurs reprise. Et elle courra notre lulu, elle courra vite ! Car, elle le savait, ce coup de sang n'avait pas plus à Vaas et, sans ce retourner, sans réfléchir, la femme s’élançât à bride perdue dans les interminables couloirs de son « château », elle devait le semer ! Le fuir ! Même ci… Elle ignorait si l'homme l'avait suivit.
« Haa… Haa… Haaa !  L-LAAAISSE MOOOIIII !!! » hurlât elle alors en manquant un fois encore de tomber avant de repartir de plus belle, tournant à toutes les intersections possible, passant de pièces en pièces (reliées les pièces, bien sur) dans l'espoir de pouvoir ce débarrasser de ce « possible » poursuivant.
Et… Ce fut au bout d'une petite dizaine de minutes que Lucrezia commença à vraiment ce sentir mal, l'obligeant alors à s'arrêter dans un placard à balai (the best cachette) pour reprendre son souffle. Notre Duchesse écoutât attentivement les alentours et, n'entendant pas les pas de l'homme, la tueuse eu la sensation qu'une boule c'était crevée dans son ventre. C'est donc plus ou moins « rassuré » qu'elle ré-ouvrit timidement la porte de placard en prenant tout de même soins de regarder si, par hasard, Vaas n'était pas là et… Nan, il n'était pas là. Ouf !

Sur ce, Lucrezia ravala une fois encore sa salive en reniflant timidement à cause de ce trop-plein d’émissions et, prudemment, elle rejoignit le seule endroit où elle pouvait ce réconforter : Son « sanctuaire ». Sanctuaire qui n'était autre que la morgue du sanatorium, une pièce sinistre que Lucrezia stockait tous ses secret et tous ses trophée, pièce que la jeune femme avait par ailleurs scellée avec une chaîne et un lourd cadenas dont elle seule avait les clés. Une fois devant les porte de la morgue, Lucrezia sentit une fois encore son cœur fondre mais… Elle ce retint de pleurer et, rapidement, en gardant un œil sur les alentours, la jeune femme farfouilla brièvement sur le rebord qui ce trouvait en haut de la porte, attrapant ainsi l'une des deux précieuse clé.

« je suis désolée… Je suis tellement désolée... » murmura t-elle alors en ouvrant maladroitement le cadenas qui, ensuite, tombas mollement au sol avec la lourde chaîne et ce, dans un bruit de tout les diables. Une fois cela fait, Lucrezia ouvrit la porte de la morgue et… Et… Et d'abord, dans un premier temps, elle ce contenta simplement de garder le silence en écoutant une fois encore si, par hasard, son amant fou était pas loin. Là, oreille contre l'une des deux lourde porte à hublot, la jeune femme restât silencieuse pendant plusieurs seconde, avant de lentement fermer les yeux en lâchant un long soupir. Puis… Elle ce retourna, offrant alors à ses yeux bleus la vision d'une pièce recouverte d'écritures sanglantes, de dessins, de photos, une pièce sombre et malodorante au milieux de laquelle trônait un squelette de femme aux membres légèrement pas de la même taille, habillé d'une robe usée par le temps. Tout autours du squelette (et dans la pièce en générale d'ailleurs), il y avait des hortensias… Des centaines d'hortensia fanées tendis que, tout au fond de la pièce, juste derrière le squelette, il y avait deux grandes armoires en fer, là aussi mise sous scellée.
Lucrezia eut ensuite un petit soubresaut en voyant son « sanctuaire »… Puis un autre… Puis elle reniflât à plusieurs reprise en s'essuyant les yeux avant de… Fondre en larmes comme la gamine immature qu'elle était au fond.
Notre Lulu pleura donc, là, contre un mur, recroquevillée sur elle même, sa tête entre ses genoux.
Visiblement, Vaas avait déclenché un petit truc chez Lucrezia… Un truc qui, théoriquement, ce serait produit d'une manière ou d'un autre mais… Là, la duchesse n'avait pas eu sa phase dite de « totem », tout son « cycle » avait était foiré alors… Pourquoi est ce qu'elle pleurniche ? Bas… ça, faut demander à docteur Freud… Ou a Hannibal Lecter.

En tout cas, c'est pas  ce cher Vaas qu'il faudra demander… Et d'ailleurs… Il est où lui ?
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 15 février 2016, 07:33:39
Elle n’aimait pas le ragoût d’humain ? Salé et épicé, c’était pourtant merveilleux.

Au lieu de ça, il se retrouva sur le sol, surpris dans un premier temps, puis se redressa ensuite. Le problème était que, si Lucrezia était lunatique, Vaas était loin d’être un exemple de stabilité mentale, et, en la voyant s’exciter sur le cadavre, il se demandait quelle mouche avait bien pu la piquer. Elle massacra le corps, faisant pleuvoir du sang et des organes, en mode totalement hystérique, le sang venant éclabousser le corps déjà sanguinolent de Vaas, puis, comme si ça ne suffisait pas, elle l’insulta, et se rapprocha de lui. Elle fit mine de le gifler, mais Vaas avait déjà perdu quand elle l’avait insulté.

Elle.

L’avait.

Traité.

De.

« Connard ».

Connard. Connard. Connard. Connard. Le mot rebondissait dans sa tête, avec des insinuations moqueuses, malsaines, comme si, malgré tout ce qu’il faisait, il était toujours ce jeune enfant à qui on pouvait manquer de respect. Et c’était bien de ça, dont il était question. Le respect. Mais on en avait rien à foutre, du respect, dans une société capitaliste. Non, chacun pensait qu’à sa gueule, et on ne pensait pas à respecter les autres. Tout ça pour quoi ? Parce qu’il s’était montré un peu créatif ? Aurait-elle été jusqu’à le frapper ou non que ça n’aurait pas changé grand-chose. Les yeux rieurs de Vaas étaient devenus sombres, et une lueur froide et malsaine s’échappait de son corps. Or, et malgré toute la férocité de Lucrezia, c’est lui qui restait l’homme, doté de muscles, originaire d’une île où il avait grandi en chassant des tigres et des ours.

Un déclic sembla se faire dans l’esprit de la femme, qui se mit à décamper à toute allure. Vaas resta là, pendant un temps qui semblait interminable, puis entendit un gros choc sourd, en contrebas, qui résonna dans tout l’immeuble... Et l’homme se retourna alors vers le cadavre de la ganguro. Il gisait sur le sol, et elle ne ressemblait plus à rien. Il observa sa tête, massacrée par les coups de Lucrezia, puis soupira.

« Tant de viande de gâchée... Et tout ça pour quoi ? Ah, je sais on doit te sembler ridicule... Les histoires de couples, tu vois, c’est jamais très simple... Mais t’inquiètes pas, bébé, je vais pas te laisser tomber, oh ça non, ma petite dinde... »

Vaas se pencha vers le cadavre, et l’embrassa sur le crâne, en notant que la cervelle de la femme suintait des plaies qu’elle avait reçue.

Dans tout l’immeuble, on put ensuite entendre le son d’un corps qui glissait sur le sol, en laissant derrière lui une fine traînée liquide. On entendit ensuite quelque chose dégringoler le long des escaliers, chaque son étant amplifié dans cet immeuble, poussiéreux, vétuste, et mal isolé. Que faisait Vaas ? Difficile à dire...

Toujours est-il que, au bout d’un moment, la porte de la morgue finit par s’ouvrir, puis claqua quand Vaas la referma, plongeant la pièce dans l’obscurité.

Quelques secondes passèrent.

La porte s’ouvrit ensuite de nouveau, tandis qu’une lueur brûlait devant la porte. Une petite bougie avait été posée sur un objet.

La bougie avait comme socle un crâne, avec un trou dans ce dernier, et, en retirant la bougie, on pouvait voir qu’un petit mot était niché à l’intérieur :

Citer
« J’ai préparé la bouffe. »

Il s’était renseigné dans les cuisines du réfectoire. Le réfectoire était plongé dans la pénombre, avec quelques bougies autour d’une table au centre, où on pouvait voir plusieurs morceaux de viande.

Vaas avait remis ses vêtements, et, sur la table, il y avait deux objets.

À sa gauche, un gode.

À sa droite, un pistolet.

Prometteur.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 17 février 2016, 01:05:25
Lucrezia pleura un petit moment avant d'entendre du bruit en provenance de la porte de la morgue. Dans un premier temps, la jeune femme craignant que ce soit Vaas et, par reflexe elle attrapa un bout de verre qui ce trouver à coté d'elle mais… Nan… personne n'entra. Cependant lulu avait entendue les étrange frottement qui c'était produit avant cela et commença à ce poser des question sur ce que son amant était entrain de faire.
Mais, bientôt, la fine lueur d'une bougie vint à attirer l'attention de notre duchesse qui, curieuse (et légèrement calmée) vint a prudemment ce lever en tenant, par sécurité, son bout de verre.
Lucrezia ouvrit ensuite la porte et, avec un certain étonnement, elle put voir à ses pied un crane avec une bougie et… un petit message… Serait ce un mot doux ?

« hm ? »

Citer
« J’ai préparé la bouffe. »


à la vus de ce petit mot, le sang de Lucrezia ne fit qu'un tour. Mais… La jeune femme était curieuse… Peut être ne lui en voulait il plus, peut être avait il compris qu'elle avait eu un simple coup de sang et que ça n'était pas grave, que ce genre de choses arrivait de temps à autre.
Mais la femme resta prudente et, par acquis de conscience, elle garda son bout de verre, avant de s’avancer dans le couloirs, visualisant rapidement une longue traîné de sang. Sur ceux, notre duchesse n’eut cas suivre a longue trace, à la manière d'une petite poucette, une trace qui, bien évidement, l'emmena jusqu'au réfectoire du sanatorium. Une fois devant la porte de ce dernier, Lulu hésitat un peu, son coeur battant fort dans sa poitrine mais… Par on ne sait qu'elle envie, elle poussa timidement l'une des deux portes battante avant de dire ces quelques mots :

« V-vaas ? Tu es là chou ? Je… Tu sais mec… J'ai un peu craquée tout à l'heure et… Enfin, si tu veux, je te suce, hein ? Ça te dit la « pipe du pardon » ou, la « pompe de l'amitié » ou… « La gorge-profonde de la réconciliation »… c'est toi qui choise'… VaaaAaaAs ? »
en disant cela, la jeune femme c'était mise à marcher d'un pas malassuré, son regard scrutant prudement et nerveusement chaque recoins du refectoire qui, avouons le, était très mal éclairé. Puis, la femme ce stoppa net, l'orsqu'elle vit un peu plus loin, la luer de plusieur bougie autour d'une table.
« Ah… Ahah… Vaas… écoute mec… Euh… C'est cool la viande humaine, mais tu sais, moi, ça me botte pas, hein… Je tu suce, tu m'encule ? Et… Et c'est déjà pas mal uesh… Sérieux, c'est cool déjà ça comme façon de ce faire pardonner, nan? »

La jeune femme marqua alors une pose dans l'espoir de l'entendre revenir, joyeux, la bite en main pour la lui mettre… Mais… Nan. Au lieux de ça, lulu entendit le bruit du vent qui s'engouffrait dans les fissures et les porte de sanatorium, la faisant frissonner légèrement.
« aller lulu… Te démonte pas, ce type ne peut pas te tuer… Quand bien même il le ferait, ça changerait quoi ? Hein ? Ta vie est déjà complétement en ruine, tu vas perdre quoi à mourir ce soir ? »
La femme marqua alors une paude dans ses pensé, avant de dire a voix haute :
« Merde… Je pourrait plus vivre quoi… ça me ferait bien chier... »
Et… sur cette belle phrase pleine de philosophie, notre tueuse s'avança vers la table d'un pas un peu plus sur, visualisant alors un gode… et un flingue. Cet vision amenât lucrezia à légèrement reculer d'un pas puis… Elle hésita. Avant de finalement ce remettre à regarder autour d'elle une dernière fois.

« V-Vaas… Sérieux… C'est pas cool ça… »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le mercredi 17 février 2016, 13:57:57
La fourchette se planta dans le morceau, et le couteau trancha, découpant la chair, tendre et agréable. Tandis que la femme parlait et déblatérait des conneries, Vaas avala plusieurs morceaux. Il maintenait un silence troublant, et il était difficile de savoir ce qu’il pensait, ni à quoi rimait cette petite mise en scène, une mise en scène se voulant romantique, mais qui, en réalité, était d’un romantisme glauque et macabre. Que pensait-il ? Qu’avait-il en tête ? Toutes ces questions, Lucrezia se les posait, avant de finir par se rapprocher de la table, et de noter la présence du flingue et du gode. Elle lui signala ensuite que c’était pas cool, et, lentement, Vaas se redressa, levant la tête.

« Assieds-toi. »

Aucune intonation, juste un regard serré, et un visage fermé. Le reflet des flammes des bougies dansait autour de lui.

« Ça, ça symbolise le boulot, fit-il, en désignant de la main le pistolet, et même en le soulevant un peu, avant de le reposer. Et ça, c’est le plaisir... »

Vaas indiqua le gode, puis laissa planer quelques secondes, toujours aussi froid, avant de reprendre.

« Tu vois, bébé, y a des lois dans la Nature, et dans la profession que je fais. On mélange pas le privé et le boulot. C’est simple, c’est clair, c’est... C’est la ligne, la putain de frontière. Et, tu sais, si les gens ont inventé des frontières, c’est pas pour rien, c’est pour... Pour l’ordre. Tu vois ? Que les choses... Que les choses soient droites, et que tout aille bien dans un ensemble, que l’ensemble fasse partie du tout, et toutes ces conneries. »

Il n’était pas sûr qu’on comprenne ce qu’il disait dans le détail, mais, tant qu’on saisissait l’idée, c’était l’essentiel. Vaas reprit donc rapidement, en récupérant le pistolet, et en se relevant, écartant bruyamment la chaise.

« C’est la règle, Lucrezia, et elle n’est pas très compliquée. Et, chaque fois qu’on s’en éloigne, chaque fois qu’on s’en écarte, même d’une seule petite seconde, même un tout petit écart à la con, qui serait, genre, plus petit que la bite d’un nouveau-né, ça finit par nous péter en pleine gueule. Et je peux pas me permettre de prendre un tel risque, poupée... »

Vaas se rapprocha d’elle, et s’assit sur le rebord de la table, à côté d’elle, le pistolet rivé sur sa tempe. Il était là, prêt à tirer, prêt à lui exploser la cervelle.

« Alors, crois bien que je sois désolé, poupée, mais... Notre romance va devoir s’arrêter là. »

Et il tira.

Le coup partit, aussi violent qu’un coup de tonnerre.

*FWOOSH !!*

Un jet d’eau...

Un jet d’eau venait d’atterrir sur son visage, et Vaas se mit alors à sourire, avant de se mettre à rire.

« Oh PUTAIN, PUTAIN, mais PUTAIN, QUOI, la TRONCHE ! Hahahaha !! Putain, la vache !! Hooooooo, putain... !! »

Vaas en avait même du mal à respirer, tant il riait, et il dut même s’essuyer les yeux.

« Oh putain, je savais que ça marcherait, mais, là, quand même... Merde, t’aurais vu ta tronche, putain... Ouw, putain... ! »

Il sourit encore, en respirant lourdement, avant de sortir sa langue, et balança le pistolet sur les genoux de la femme.

C’était un vulgaire pistolet à eau.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 18 février 2016, 15:32:10
« Assieds-toi. »

Silencieusement, Lulu acquiesça et pose son cul sur la vieille chaise en fixant son amant, quelque peu circonspecte. Puis, toujours sans dire un mots, la femme écoutât son amant lui expliquer le fond de sa pensé. L'homme était calme, froid, un comportement qui fit légèrement frissonner notre duchesse. s'asseoir sur la table en prenant le pistolet en mains. La duchesse suivait tout du de ses grand yeux légèrement noircie et dégoulinant de maquillage, ce demandant avec crainte ce qu'était entrain de faire l'homme avec son pistolet et surtout, qu'est-ce qu'il avait en tête.
« C’est la règle, Lucrezia, et elle n’est pas très compliquée. Et, chaque fois qu’on s’en éloigne, chaque fois qu’on s’en écarte, même d’une seule petite seconde, même un tout petit écart à la con, qui serait, genre, plus petit que la bite d’un nouveau-né, ça finit par nous péter en pleine gueule. Et je peux pas me permettre de prendre un tel risque, poupée... »
« Vaas je… que… ? »
Lorsque l'homme vint à poser le canon de l'arme contre sa tempe, le visage de Lucrezia vint à ce déconfire d'un coup, ses grands yeux bleus s'écarquillant alors en grand sous l'action de la peur et de l'incompréhension. Lulu aurait aimée lui dire d'arrêter, elle aurait aimé lui hurlait un grand « STOP3 bien sonore et bien audible mais… nan, là, la bouche entrouverte, la jeune femme ne put rien dire d'autre que… Bas que rien du tout enfaîte, elle ne put qu’emmètre quelque petit hoquetements, tendis qu'au fond d'elle même, son coeur battait la chamade, la faisant même légèrement ventiler, sa poitrine ce levant et s'abaissant alors lourdement.

« Aaaah… V-vaas... »
« Alors, crois bien que je sois désolé, poupée, mais... Notre romance va devoir s’arrêter là. »
et la… Lulu fermât les yeux en ce crispant d'un coup… Avant de sentir un liquide froid éclabousser son visage, ruisselant ensuite dans le creux de sa poitrine.
« que... »
Sur ce, la femme écarquilla une fois encore ses grand yeux, avant de regarder ses seins, ses mains puis vaas d'un air surpris… Très surpris même !
Puis, voyant l'homme ce bidoner comme un gosse, Lucrezia vint à sentir le rouge lui monter au joue, joues qu'elle gonflât légèrement sous l'effet de la colère et de la peur, avant de ce lever en attrapant le gode pour en donner un coup sur l'épaule de son amant… puis un autre… Puis encore un autre et ce en ce mettant a crier légèrement !
Raaaah sale… sale ! Sale ! Grrrr ! T-t-tu…
La femme ce crispa alors sur place, tenant toujours le gode entre ses mains, visiblement peu amusée par cette farce de très mauvais goût.
« tu.. rrrhmmpffr ! »
Et là… Le regard de la duchesse vint à recroiser celui de l'homme et… Comme dans les films disney, le visage sévère de lulu s’effaça au profit d'une petite mou à la fois triste et confuse puis… Elle alla ce coller au torse de l'homme, pleurant alors à chaude larmes contre ce dernier.
Tout ceci en était un peu trop pour notre Lulu qui était à présent entrain de sangloter contre son amant, victime malgré elle de cette mauvaise farce.

Aaah… Sacré Vaas.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le samedi 27 février 2016, 12:53:53
Vaas avait-il vraiment fait une blague ? Oui, indéniablement... Mais on pouvait autant dire qu’il faisait une blague à quelqu’un quand il le lâchait face à deux tigres affamés, à poil. Vaas avait, tout simplement, une morale très atypique. Point de Bien ou de Mal chez lui, il ne se définissait même pas comme un agent du Mal. Il était la preuve que la folie prenait bien des formes. Aucun besoin d’accomplir des meurtres rituels chez lui, il faisait juste partie de ces gens qui ne respectaient rien, qui ne croyaient en rien, des individus purement et totalement nihilistes, sans aucune once de moralité. Il était totalement amoral, en ce sens que, pour lui, manger une glace, exploser la cervelle d’un mec, découper une nana en tronches, lui pisser dessus, puis bouffer son cadavre, c’était du pareil au même.

Lucrezia n’avait visiblement pas rigolé à sa plaisanterie, puisqu’elle le tapa à l’épaule avec son gode.

Elle se mit ensuite à pleurer contre son épaule, et la main de Vaas alla se poser sur ses cheveux, une autre vint caresser ses épaules.

« Allons, allons, ma douce colombe, pourquoi te mettre dans tous tes états ? Okay, tu m’en as collé une, mais, tu vois, je l’ai pris avec le sourire. Mais évite de recommencer. Tu sais ce qu’on dit... L’erreur est humaine, la répétition est diabolique. Alors, peut-être bien que la prochaine fois, je te tirerai une balle dans la tête qui enverra ta cervelle décorer un mur, mais, pour l’heure... Relaaaaaaaaaaaaax’, take it easy, baby ! C’est cool ! Franchement, c’est cool ! »

En souriant de nouveau, il posa l’une de ses mains sur le menton de la femme, et souleva un peu son visage, puis alla ensuite doucement l’embrasser, plaquant ses lèvres contre les siennes.

« Tu vois ? C’est cool... Allez, sèche tes larmes, ma donzelle, ‘faut qu’on cause business... »

Vaas lui fit une petite tape sur les fesses, puis retourna sur le sol, et, tout en déambulant, se mit à parler :

« J’ai compris que ton domaine réservé, c’était de torturer et buter des nanas, et ça tombe bien... Parce que, pour te la faire courte, je suis en pleine expansion dans des mafias organisées... Et toi, ma petite cocotte, t’es le petit cheveu sur la soupe. Tu touches aux putes, et j’crois bien que c’est la foutue Divine Providence qui nous a réussi... Tôt ou tard, les Yakuzas t’auraient mis le grappin dessus, et... *BANG !* Enfin, tu m’as compris, hein ? Ouais, tu m’as compris... Tout ça pour te dire, mi amor, que... Là-dessus, j’peux t’couvrir. Nickel, no souci. Mais, en retour, ‘va falloir que tu m’aides un peu. »

Il se rapprocha ensuite d’elle.

« ’Va falloir que m’tues des putes... Avec tout ton talent. »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 28 février 2016, 15:29:27
Calmement, l'homme ce mit à caresser l'épaule de sa « colombe » en lui avouant que sa petite giflette n'avait, pour ce coup ci, rien de bien grave mais, il lui ajouta par la suite que, la prochaine fois… Bas… La prochaine fois, Lulu risquerait bien de mourir. Ce sur quoi la femme ce reprit rapidement en mains en reculant légèrement, essuyant de sa main droite ses larmes en hochant la tête. Puis, finalement, l'homme vint une fois encore à expliquer des choses à lulu, choses que notre jeune femme ne compris plus où moins qu'à moitié d'ailleurs.

« J’ai compris que ton domaine réservé, c’était de torturer et buter des nanas, et ça tombe bien... Parce que, pour te la faire courte, je suis en pleine expansion dans des mafias organisées... Et toi, ma petite cocotte, t’es le petit cheveu sur la soupe. Tu touches aux putes, et j’crois bien que c’est la foutue Divine Providence qui nous a réussi... Tôt ou tard, les Yakuzas t’auraient mis le grappin dessus, et... *BANG !* Enfin, tu m’as compris, hein ? Ouais, tu m’as compris... Tout ça pour te dire, mi amor, que... Là-dessus, j’peux t’couvrir. Nickel, no souci. Mais, en retour, ‘va falloir que tu m’aides un peu. »

Lâcha t-il alors en ce rapprochant de notre Duchesse avant de… Lui dire ces quelques mots :
« ’Va falloir que m’tues des putes... Avec tout ton talent. »

La femme fronçât alors légèrement ses sourcils en ce grattouillant l'arrière du crane d'un air quelque peu… interrogatif. Ce type était chelou quand même, un coup il dit « tuer des putes, c'est dangereux » et après, v'la qui dit « faut que tu tues des putes » Faut ce mettre à sa place aussi… C'est confus comme plan. Mais bon, bien vite, notre tueuse ce remit à légèrement sourire, avant d'embrasser gaiement son amant sur les lèvres en l’enlaçant par le cou.

« Mouiii… Tout ce que tu voudras. Mais, avant, j'aimerais qu'on sortes de là tout les deux… Ont a une voiture, j'ai de quoi me changer et me mettre incognito alors… Oui, je tuerais toutes les nanas que tu veux mais sortons d'ici non de dieu ! Je veux m'éclater ce soir, j'en ais ENFIN les moyens !

La femme embrassa a nouveau son amant avant de lui attraper les mains, les faisant ensuite valdinguer de gauche à droite en gardant au fond des yeux son amant.

Je t'ais toi mon Vaas… Tu es la couverture idéal ! Une pute et un homme, quoi de plus banal à Seikusu ? Et puis, surtout, tu sera là pour me protéger Vaas… Je vais pouvoir enfin sortir et vivre, vivre, VIIIVRE !!!!

Et hop, sur ces belles paroles, la femme leva ses bras au ciel en lâchant les mains du pirate, avant de joyeusement tourner sur elle même d'un air enjouée  et rêveur. Et oui… C'était bien la vie de tueuse, mais ça avait plusieurs inconvénient et, même ci les gens la croyais presque tous morte, Lulu ne pouvait désâment pas sortir dehors comme elle le voulait. Et puis… Lorsqu'elle était habillée en pute, ça pouvait le faire, oui mais… Voilà… La couverture était fragile. Alors qu'avec Vaas, qui donc viendrait l'enquiquiner ? Qui donc irait ce dire « diantre, cette nana, c'est la Duchesse ! » alors qu'elle est accompagné d'un homme ? Hm ? Personne. Lucrezia aller, et depuis longtemps, pouvoir enfin vivre et respirer… Car c'était tout ce qui comptait à ses yeux, l'éclate !

« Roooh… Attend moi ici mon chou à la crème de marron, je vais te faire une surprise <3 »

Et hop ! Aussitôt, la femme alla à toute allure vers sa chambre…  Avant de revenir une bonne trentaines de minutes plus tard… Habillée en tenue de femme qui travaille tard le soir. (http://www.zupimages.net/up/16/03/9je0.jpg)

« taaaaaadaaaaa ! Tu me trouve comment mon chou ? » Lui demanda t-elle alors en prenant le pose.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le dimanche 28 février 2016, 22:02:53
La crise au sein du couple était passée, et il était temps de passer à la suite. Vaas voyait en effet Lucrezia, non seulement comme une distraction très agréable, mais aussi comme une excellente alliée en devenir. Cependant, la jeune femme ne donnait pas l’impression d’avoir tout compris, et ce n’était pas grave. Ils auraient largement le temps de revenir là-dessus par la suite. Pour l’heure, l’idée de sortir sembla l’exciter, surprenant un peu l’homme. N’avait-elle pas dû sortir pour aller ramasser sa ganguro ? Il resta néanmoins silencieux, et la femme lui glissa qu’elle devait enfiler une tenue « discrète ». Toute guillerette, et à mille lieux de l’état émotionnel dans lequel elle se trouvait suite à la plaisanterie de Vaas, elle fila donc, ses talons claquant sur le sol, laissant au brave mercenaire l’occasion d’observer son délicieux cul.

« Ouais... Cool... »

Il sortit un joint, et tira dessus, tout en s’asseyant sur le rebord de la table, et laissa le temps passer. Il tira sur sa clope, puis la jeta dans un coin, et explora ensuite un peu le coin. L’endroit, à n’en pas douter, était franchement flippant. Noir, sombre, avec du carrelage à l’ancienne, comme dans ces vieux films sur les asiles. Il imaginait sans peine les moribonds en train de se faire exploser la cervelle par les bistouris et les scalpels de médecins dégénérés travaillant pour le gouvernement. Nul doute que cet endroit avait dû connaître son heure de gloire pendant la Seconde Guerre Mondiale, et que des petits Chinois avaient dû servir sur place.

Vaas se déplaça un peu, et finit par entendre des bruits de pas. Lucrezia revenait, et la Duchesse s’était comme métamorphosée, ce qui ne manqua pas d’étonner Vaas. Il en était alors à son quatrième joint, et la fumée lui sortait des narines... Ce qui ne l’empêcha pas d’émettre un sifflement admiratif en voyant Lucrezia transformée en « pute-vachette », avec un collier autour du cou,e t une petite clochette qui tintait à chacun de ses déplacements.

« Et ben... »

Elle tourna devant lui, et il admira, tout naturellement, son boule, superbement bien moulé dans sa tenue de super-pute ayant envie de se faire super-baiser. Il se rapprocha, venant tout naturellement enlacer la femme de ses puissants bras, posant chacune de ses mains sur son petit cul de salope, et se pencha vers elle, venant l’embrasser. Pour lui répondre, sa queue était réveillée, et caressait les cuisses de la femme.

« Ta tenue discrète, hein... Tu te fous de moi ? Ma chérie, j’ai eu l’impression de voir un défilé de dix putes condensé en un seul corps... »

Sa langue fila le long de la joue de la femme, remontant jusqu’à son oreille, et il soupira contre elle, appuyant de ses mains sur les fesses de la femme, plaquant ainsi davantage le corps de la Duchesse contre le sien.

« Mais t’es pas déguisée en pute, hein ? T’es en vachette... Une belle petite vachette rien que pour moi... Et, tu sais, j’connais bien les vaches... Si on les trait pas, ça leur fait mal. Le lait, t’vois, y reste coincé dans les mamelles, et... Humm... C’est douloureux. »

Il souriait, et l’embrassa encore, sans pour autant relâcher son emprise sur ses fesses, si ce n’est pour donner quelques gifles dessus.

« On va sortir, ouais... Je serais ton berger, toi ma petite vache toute belle... Mais j’veux pas lancer sur le marché un lait de mauvaise qualité, alors... ‘Va falloir que je m’assure que tu sois de la bonne vachette, t’saisis, d’la vachette de luxe... »

Récupérant son joint, qu’il avait mis dans une poche, il le glissa dans les lèvres de la Duchesse, l’invitant à tirer une bouffée, avant de tirer la sienne à son tour, puis donna alors une gifle un peu plus forte.

« Allez... Mets-toi à quatre pattes, ma chérie, je vais te péter le cul, et tu vas meugler comme une folle devant le bâton de ton fermier rentrera dans ton verger. »

Tout en finesse, tout en poésie...

Vive le cul.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 05 mars 2016, 17:59:27
Visiblement, Vaas aimait beaucoup la tenue de notre Lulu et… Comme toujours, il y allait de son petit mot de poésie et de sa note d'humour ! Sans déconner… Une vachette. Même Lucrezia émit un petit gloussement quand l'homme lui avait dit ça. Et puis…

« Allez... Mets-toi à quatre pattes, ma chérie, je vais te péter le cul, et tu vas meugler comme une folle devant le bâton de ton fermier rentrera dans ton verger. »

En entendant ces mots, Lucrezia vint à rouler des yeux en baissant les bras, lachant ou passage un petit soupir.
« Rooooh Vaashoux… Je veux aller me promener moiiiiii ! J'aime bien me faire péter le cul mais sérieux… ça peut pas attendre là, hm ?

En disant cela, la jeune femme avait prit soin d'esquisser une petite mou légèrement mécontente et boudeuse à la fois dans l'espoir d'attendrir son amant mais… Voilà quoi, Lulu commençait à connaître son nouvelle amant et elle savait que l'homme était du genre soupe-au-lait donc au bout de quelque secondes de silence passée à le regarder dans les yeux, Lulu lachat un autre soupir avant d'elle ce mettre prêt d'une table où elle posa ses mains et son sac en cambrant légèrement son dos, ponctuant le tout d'un petit remuage de popotin très aguichant.

« Bon allez mon Vaassoux.. pète moi le roudoudoux vite fait et après on sort <3 »

C'est qu'elle en avait envie notre lulu ! Depuis le temps, elle allait enfin pouvoir s'amuser comme une ado, aller en boite, manger au  KFC tranquille sans risque de ce faire enquiquiner par des flics ou des lourdingues à la con. Toujours en tendant son gros cul moulé de latex, lulu continuait de frétiller devant Vaas, en prenant un grand plaisir à remuer outrageusement ses deux masses de chairs devant lui. C'est qu'elle avait un sacré cul lulu quand même… Un beau cul bien rond et bien modelé. Aaaah… Elle ce rappelle encore des rire moqueur de certaines collègues un peu jalouse qui, part dépit l'appellait « gros cul » mais, au fond, ce gros cul, c'était lui qui lui avait permis d'avoir facilement 50 000 yens de plus par mois dans son porte monnaie, ahah !

« Par contre met une capote chou… ça glisse mieux et ça évitera de tout salir ma tenue... »


Et hop, sur ce, la jeune femme farfouilla dans son sac et sortit un préservatif qu'elle tendis à son amant avec un sourire en coin.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le mercredi 09 mars 2016, 22:31:31
Vaas sentit bien la résistance de la jeune femme à l’idée cette séance de sexe. Il en était même surpris. Qu’attendait-elle, à se pavaner devant lui en étant habillée comme la dernière des putes ? Vaas était un homme, il était sensible à la beauté féminine ! La femme aurait, au contraire, dû se sentir flattée qu’il bande encore en pensant à elle, tout comme lui se sentait flatté de susciter tant de passion chez elle. La Duchesse était, indéniablement, une femme très belle, très talentueuse, qui remplissait toutes les qualités d’une femme parfaite. Vaas était en love, mode high tendance, désireux à 500% de s’envoyer en l’air avec Lulu-La-Vachette. Merde, ce surnom lui allait quand même franchement bien !

Sa vachette finit par se mettre contre une table, en se cambrant, remuant un peu son cul. Vaas avait l’impression de voir une pute gavée de foutre de la tête aux pieds remuer son cul flasque devant son quinzième amant de la journée. Ce manque de passion, c’était terrible… Mais il voyait ça comme un défi personnel, et s’avança vers elle, obnubilé par la vue de son fessier. Lucrezia avait, effectivement, un joli cul, qui ressortait bien sous sa minijupe noire brillante. Mais est-ce que ça le dérangerait vraiment ? Non, au contraire. Il aimait les femmes charpentées, solides. Les biscottes, elle se craquait trop facilement, et, partant de là, Lucrezia était tout simplement parfaite.

Il se rapprocha donc quand elle lui tendit une capote. Fronçant les sourcils, Vaas s’arrêta, et ses lèvres s’entrouvrirent légèrement, pour finir par former un sourire.

« Chica… Sérieusement, tu t’attendais à ce qu’on baise dans un sac plastique ? »

Vaas secoua la tête à nouveau, et donna une grosse claque sur les fesses de la femme, la faisant rebondir.

« J’aime ton putain de cul, ma chérie… Et, tu me connais, t’vois, je suis quelqu’un qui… Qui aime le contact. C’est important, le contact. »

Tout en disant cela, le tueur s’était glissé dans le dos de la femme, et cette dernière pout sentir qu’il avait enlevé son pantalon et son boxer, son sexe caressant sa minijupe en latex. L’une de ses mains massait l’un des opulents seins de la femme, et l’autre caressait le bas de son ventre. Il mordilla son cou, son corps puissant s’aplatissant contre le sien. Vaas témoignait de sa musculature, car il maintenait Lucrezia, embrassant et mordillant son cou, avant de le lécher, sa langue remontant le long de sa douce peau, pour gober quelques-unes de ses mèches de cheveux.

Puis sa main défit la ceinture de sa minijupe, et elle tomba sur le sol. Ensuite, il remua un peu, puis s’enfonça en elle, écartant la ficelle de son string rouge, et soupira contre son oreille. Les mouvements de Vaas, du fait de la position respective des deux amants, furent lents et appuyés. Sa main serra le sein de la femme, pinçant le téton, et l’autre s’appuya sur ses hanches, puis il remua, encore et encore. En réalité, que la Duchesse soit consentante ou non, pour lui, ne changeait absolument rien. Elle était la femme, il était l’homme. Autant il pouvait tolérer certaines excentricités, mais il ne fallait pas non plus pousser le bouchon trop loin. Vaas estimait être quelqu’un de très tolérant avec les femmes, mais la tolérance se devait d’être réciproque

« Hmmm… »

Ses coups de reins déplaçaient le corps de Lucrezia d’avant en arrière, et, au bout de quelques instants, l’orgasme vint, à nouveau. Vaas se vida en elle, et, dans un ultime soupir, la retourna ensuite, avant de la tenir par les épaules, serrant un peu.

« Je suis l’homme, chica. Et j’ai bien compris que tu veux sortir pour bénéficier de ma protection. Avec moi, tu crains rien, et je te fais rien payer. J’suis gentil et tout, alors, ‘me fais pas des caprices de gonzesse. D’accord, hm ? D’accord ?! »

Il posa un doigt sur les lèvres de la femme, comme pour se laisser le temps de conclure :

« Tu portes une nouvelle tenue, c’est à moi de l’inaugurer, c’est tout, c’est aussi simple que ça. »

Sa main se déplaça ensuite pour caresser son cou, et on aurait presque pu craindre qu’il ne vienne à serrer.

« Mais ‘te fous pas de moi, okay, chica ? T’as beau être mi princeza, je suis pas le larbin de service. Okay ? Bien… »

Vaas l’embrassa ensuite sur les lèvres avant de lui sourire.

« Allez… Dis-moi où tu veux aller ce soir, bébé, et je t’y emmène. »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 17 avril 2016, 16:39:42
« Je suis l’homme, chica. Et j’ai bien compris que tu veux sortir pour bénéficier de ma protection. Avec moi, tu crains rien, et je te fais rien payer. J’suis gentil et tout, alors, ‘me fais pas des caprices de gonzesse. D’accord, hm ? D’accord ?! »
« Oui, oui ! »
Comme ci c'était son habitude de faire des caprices... Mais bon, Vaas avait raison de mettre un point là dessus car lulu était une femme au fond et... Enfin, les femmes quoi... toujours à demander ceci ou cela.
Tout en remettant sa jupette et sa culotte bien en place, Lulu se retourna v ers son amant, ce dernier l'embrassant alors fougueusement, avant de lui donner d'autres instructions.

« Allez… Dis-moi où tu veux aller ce soir, bébé, et je t’y emmène. »

En entendant cela, Lulu ce recula brièvement, avant de ce grattouiller légèrement la tête en fronçant les sourcils. Il y avait une tonnes d'endroits que Lulu voulait visiter, enfin, pas « des tonnes » au sens littérale mais… Enfin bref, Pour l'heure lulu n'avait pas vraiment d'idée en tête et vint simplement ce blottir contre Vaas en caressant les abdos de son homme en le regardant d'un air joueur.

« Moouh je sais pas, j'irais bien manger un morceaux d'abord  puis après… Hmmm je sais pas, on pourrais aller ce promener <3 »

Et hop, sur cette petite phrase, Lucrezia vint à voler un autre baiser à son amant, avant de ce reculer légèrement. Une fois tout ceci mis au clair, le « charmant » petit couple ce mit en route pour rejoindre la voiture des deux trou-duc, un espèce de gros SUV assez coûteux mais qui fort heureusement restait assez discret et passe partout. La jeune femme grimpa par la suite à l'intérieur dudit véhicule, avant de dire sur un ton amusé ces quelques mots :
« C'est marrant, généralement quand je grimpe dans une voiture c'est toujours dans cette tenue, huhu <3 »
au fond… c'est un peu normal… D'ailleurs, en y repensant bien, Lucrezia n'avait pas conduit depuis  fort longtemps… La dernière fois remontant à l'époque de son évasion puis ensuite… Bas… Plus rien, juste sa BM-double pieds quoi.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 18 avril 2016, 01:05:47
Une rencontre hors-normes, celle entre Vaas et Lucrezia, la Duchesse. Vaas et elle venaient de joyeusement copuler ensemble, et ils allaient maintenant... Faire une virée ensemble, tout simplement, comme des amoureux. L’image était touchante, non ? Le duo retourna vers le SUV, et la voiture fila, tandis que Lucrezia indiqua avoir envie de manger.

« Ouais... Bouffer, c’est une bonne idée, on s’est beaucoup dépensés, après tout. »

Vaas fila rapidement. Ils étaient dans un quartier assez pauvre de la ville, peuplé de magasin qui avaient fermé sans jamais être repris, exhibant ainsi des endroits vides, encore recouverts par les portails abattus sur les devantures des magasins.

« Toujours dans cette tenue, hum ? Ma foi, elle te va bien... »

L’homme posa une main sur sa cuisse, la tapotant légèrement, en lui faisant ensuite un doux petit sourire, puis continua à rouler. C’est ainsi qu’ils s’éloignèrent de ce quartier, pour se rapprocher de quartiers un peu plus vivants, où Vaas s’arrêta près d’un vendeur ambulant, un petit snack vendant des hot dogs, des barquettes de frites, ou des ramen, le tout à l’orée d’une série de rues piétonnes. Jadis, cet endroit avait été un coin sympa de la Toussaint, un petit centre-ville local. Maintenant, c’était un endroit sinistre, envahi par les toxicomanes, les squatteurs, et les putes. La grosse majorité des clients de ce snack étaient, soit des macs, soit des toxicos’.

Vaas trouvait l’endroit parfait, et arrêta la grosse voiture, puis sortit, tenant ensuite Lucrezia par la main. L’improbable duo se rendit ainsi vers le snack, et Vaas commanda une barquette de frites avec un hot dog, tout en laissant Lucrezia choisir. Les hommes présents reluquèrent immédiatement son corps, surtout son petit cul. Et, naturellement, ils regardèrent ensuite Vaas, oscillant à nouveau sur le cul de Lucrezia.

« Sympa, ta gonzesse.
 -  Elle s’entretient, j’ai pas de mérite là-dessus », répondit modestement Vaas en haussant les épaules.

Ce n’était clairement pas l’endroit prévu pour une soirée romantique... Du moins, pour des gens qui ne seraient pas Vaas Montenegro ou Lucrezia H. Nietzsche. Vaas avait sa vachette.

Il était normal qu’il l’expose fièrement auprès d’autres mâles en rut, non ?
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mardi 19 avril 2016, 09:23:39
Après quelques minutes de route, nos charmants tourtereaux vinrent à s'arrêter devant un snack ambulant un peu miteux. Cet ainsi que la jeune femme vint à parcourir la liste des trucs en vente et… Son choix ce tourna vers un hamburger au poulet et au curry accompagnée par un grand soda.
Mais alors qu'elle faisait son choix, la jeune femme vint à attirer sur elle le regard de plusieurs, ses dernier reluquant alors son petit (enfin, gros plutôt) cul qui ce dandinait fièrement, moulée à l’extrême dans sa jupette en latex.
« Sympa, ta gonzesse » lâchât alors l'un de ces messieurs, visiblement très attiré par le popotin dodu et bien rond de mademoiselle la duchesse. Visiblement, Vaas était fier d'exposer sa concubine au cheveux turquoises et il avait de quoi ! Lulu étant une femme très belle, il est normal d'être fier de l'exposer comme un jolie trophée tout de latex vêtue.
C'est donc tout naturellement qu'au bout de quelques minutes, notre charmante lulu vint à sentir une main bien indiscrète lui tripoter les fesses, ce qui la fit légèrement sursauter sur place, poussant un petit « ouh ! » au passage, juste avant de venir ce coller à son amant en regardant l'homme avec un regard un peu farouche.

« Meh !  Vaassoux… Dit un truc… Il me tripote... »


En disant cela, Lucrezia gonfla ses joues légèrement en fronçant les sourcils, visiblement impatiente de voir Vaas dire un truc à cet indiscret bonhomme. Mais… Rapidement, le regard de Lulu devint moins froncé et, discrètement (ou pas) elle ce mit à regarder l'homme de haut en bas avant de ce blottir encore plus contre Vaas, son gros cul venait de lui même ce trémousser contre la main du mercenaire, comme pour l’incitait à… On sais pas trop quoi… 'fin bref.

« Vaas… viens... »
Lachat elle alors en prenant la main de son amant en croisant son regard. « Ont prend nos sandwich et… »[/i] Et c'est alors que Lulu vint, d'un coup d'un seul et sans aucune raison apparente à avoir une idée qui, depuis trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès longtemps, lui trottait en tête… Mais genre vraiment longtemps, tellement longtemps que c'était presque invraisemblable que cette dernière y repense là, ce soir et à ce moment précis.
« Et ont vas chez un tattoueur <3 Je veux me faire un truc depuis longtemps mon choupidou <3 ça vas te plaire en plus, j'en suis sur ! »
*
En disant cela, notre duchesse affichât un grand sourire avant de tirer la langue à son amant, langue qu'elle pointa comme un serpent en la faisant gigoter à quelque millimètre de la bouche du pirate.
Au fond… Cette « chose » n'était peut être pas revenue sans « aucune raisons » car, l'un des hommes qui attendait leur collassions avait un piercing au nez… Oui, Lulu voulait ce faire percer et depuis longtemps, mais jamais elle n'avait eu le courage ou la motivation de le faire auparavant, mais là, avec Vaas, elle avait vraiment, VRAIMENT, envie de le faire.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le mardi 19 avril 2016, 12:52:50
Leur voisin ne tarda pas à peloter le cul de Lucrezia, ce qui semble quelque peu indisposer cette dernière, puisqu’elle demanda à son amant d’intervenir. Vaas se contenta de décapsuler une cannette, et, tout en l’avalant, tourna la tête vers la femme. Difficiel de voir en elle la Duchesse, cette psychopathe redoutable qui défrayait la chronique de Seikusu. On aurait presque dit un couple normal, si ce n’est qu’elle était habillée comme la pire des putes, et que lui avait encore quelques traces de sang sur ses vêtements. Cependant, comme elle avait demandé à Vaas de faire parler son esprit galant, celui-ci intervint donc, en hochant la tête à destination du voisin :

« Tu le sens, hein, comme il est ferme ? Crois-moi, mi hermano, c’est un cul qui a roulé sa bosse, ça. »

À quoi fallait-il s’attendre d’autre ? Qu’il se lève pour défendre la « vertu » et la « pureté » de Lucrezia ? De qui se moquait-on ? Habillée comme ça, impossible de se tromper, et Vaas n’était pas homme à mentir sur les évidences. C’est ce qui amena Lucrezia à se coller contre l’homme, et ce dernier vint, de nouveau, palper ce délicieux cul, qu’il avait déjà sodomisé à bien des reprises, et sur lequel il avait le sentiment qu’il reviendrait à bien des occasions encore. Tout contre lui, Lucrezia roucoulait de plaisir, et vint finalement à lui faire une proposition, en demandant à aller… Se faire tatouer.

Interloqué, Vaas la regarda, sans trop savoir quoi en penser. Pour le coup, vu le mystère de la femme, il s’était attendu à quelque chose d’un peu plus… Glamour. Quelques secondes s’écoulèrent donc, avant que Vaas ne haussa les épaules, allant embrasser la femme.

« Si tu veux… Te faire tatouer, pourquoi pas ? On ne refuse rien à sa femme, après tout ! »

Vaas sourit ensuite, maintenant ses deux mains sur les fesses de la femme.

« Et puis, quoi de plus normal, pour une vachette comme toi, que de se faire marquer ? »

C’est vrai, c’était dans la logique des choses ! Fort de cette idée, Vaas se retourna, et fila le long du trottoir, enfilant rapidement son hot-dog. Le duo s’aventura dans les rues piétonnes, comme une sorte d’étrange couple, avançant dans un étrange lieu romantique. Des salons de tatouage, il y en avait plusieurs dans le coin. Des bâtiments aux murs délavés, qui sentaient la pisse, mais qui abritaient les salons de tatouage et autres.

Il y avait ici de tout pour rendre une Duchesse heureuse.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 23 avril 2016, 11:51:48
« Et puis, quoi de plus normal, pour une vachette comme toi, que de se faire marquer ? »
« Chuuuuuuuut... » lâchât alors la jeune femme en posant son index sur les lèvres de son amant avant de lui soutirer un autre baiser sulfureux.
« tu verras »

Sur ce, la jeune femme prit son sandwich et, avec un grand sourire radieux et légèrement joueur, elle suivie son amant jusqu'à un salon de tattouage lambda, comme il pouvait en fleurir des dizaines dans ce quartier pourris. L'endroit était pas forcément super propre, le tatoueur avait la gueule percer de partout et, au milieux dans l'arrière boutique, on pouvait sans mal voir le fauteuil d'opération illuminé par des néons rouges qui ce trouvait aussi dans la boutique.
Lulu avait entre-temps engloutie son sandwich et, alors qu'elle observait d'un œil curieux l'établissement, ledit tattoueur vint à la rencontre du petit couple.

« Hola compagnas, bienvenue au « rusty needle's » qu'est ce que ce sera, hm ? »
« C'est pour moi ! » S’exclamât alors lulu, toute joyeuse, en ce frottant contre le bras de son amant.
« Ha ? Et ce sera quoi pour la demoiselle, un jolie tattouage sur les fesses ? L'avant bras ? »
« Nan... » Répondit elle alors avant de regarder Vaas dans les yeux. « Je voudrait un piercing à la langue… »
« Hoho ! Mademoiselle est… Joueuse, hm ?  Et bien… Oui, je peut faire ça là, il y a pas de soucis. »

L'homme c'était alors mis à regarder vaas avec un sourire amusé, lui avouant alors ceci :

« Et ben mon pote… On peut dire que tu as de la chance… Le piercing à la langue, c'est le pied, éhéh » Lâchât il alors en indiquant à la Duchesse la salle d'opération, la laissant entrer la première pour ensuite la voir s'installer sur le fauteuil en regardant Vaas d'un air joueur, lui faisant même un petit clin d’œil au passage tout en tirant, une dernière fois, sa langue vierge de tout artifice.
Puis… Le tatoueur, ce lavât brièvement les mains à l'alcool, avant d'enfiler des gants en latex et amena prêt du fauteuil un petit chariot en inox, un peu comme celui de Lulu… Sauf que ce brave type ne devait sûrement pas tuer de pauvres jeunes femmes.

« Alors misstinguette… Une idée en tête pourla forme du bijoux ? Hm ? »
« Hmmm… Une perle noire… Enfin, un truc à surface lisse… Huhu ! »
« Hmm… Je vois... » Murmura l'homme en préparant son matériel, regardant une fois encore Vaas d'un air amusé.
« On a aussi des piercings lumineux… Ou vibrant... »
« Hmmm… Nan, juste un piercings normal pour l'instant… Un truc qui reste relativement discret. »

L'homme hochât de la tête puis sortit une seringue jetable de son pochons, avec dedans une dose anesthésiant.

« Heu… Par contre, si vous pouviez mettre seulement la moitié de la dose anesthésiant… J'aimerais bien pouvoir parler sans trop zozoter... »
Le tatoueur fronçât alors les sourcils en affichant une mine assez curieuse puis… Hochât de la tête.
« Ok… je vais voir ce que je peut faire."
« l'homme souria puis, calmement, il attrapât les joue de lucrezia en lui demandant de tirer la langue, ce que le a jeune femme fit avant de sentir une petite pointe de douleur lui traverser la langue… Puis… L'homme fit ce qu'il avait à faire.

Environs une petite dizaines de minutes plus tard

«  et voilà choupette… Normalement, là ou il est, il devrait pas trop gêner, bien ce voir et qui plus est, sa saignera pas trop normalement… juste, évite de manger des truc acide ou épicé, mange des esquimaux et- »sucer des bites, ze peux ? »
« Euh... »

L'homme haussa un sourcils, avant de ce gratter l'arrière de son crane rasé

« Bas… Paradoxalement, la langue est l'endroit où il y a le moins de risque d'infections, grâce à la salive… Mais bon… Sans vouloir rentrer dans les détail, je vais te filer deux flacons de bains de bouche spécial, au cas où... même-ci c'est pas conseillé, hein… Je pense que tu peut le faire sans « trop »  risques… Juste t'auras un peu mal… hum ! »

Sur ce, l'homme ce retira et laissa lulu ce relever de son siège, cette dernière fit plusieurs mou assez étrange, avant d'approcher de Vaas en souriant silencieusement.

« ... »

Puis elle fit frotter son pouce, son index et son majeur entre eux, signe que Vaas devait passer à la caisse, cependant… Ce petit bijoux était aussi un cadeaux pour lui… Dans un sens.
Lulu, elle, sentait plus trop sa langue… Mais bon, vus qu'elle avait l'habitude des calmant et autres produit dans le genre et vus que l'homme lui avait mis qu'une demi-dose, Lulu pouvait encore sentir les rebord de son appendis buccal… enfin, un peu.

« On y vas mon ssoux… Hmmpffr ! »

Ah ça par contre… Le zozotage… Pas moyen de l’atténuer.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 25 avril 2016, 01:20:04
Non, Lucrezia ne voulait pas se faire tatouer, mais se faire... Percer. C’était une fascination très étrange. Autant Vaas pouvait comprendre les tatouages, qui étaient fréquents chez les Rakyats, mais les piercings... Il y avait encore bien des choses qu’il ne comprenait pas chez les gens du monde, mais il laissait néanmoins l’étonnante Duchesse se faire percer, en l’attendant dehors. Il en profita pour observer les gens qui passaient. Il y avait des prostituées, des dealers... L’éclairage public fonctionnait difficilement ici. La police venait très rarement dans ce coin, qui se composait de ruelles et de rues piétonnes. Bras croisés, Vaas observait. Ce n’était pas la jungle de Rook Island, mais celle de Seikusu avait des points communs.

Vaas entendit alors du bruit, et, en se retournant, vit Lucrezia débarquer... Avec un piercing sur les lèvres, ce qui la fit zozoter. Le mercenaire la regarda silencieusement, sans trop savoir quoi en penser.

« Tu sais, bébé, sur mon île, j’ai souvent rencontré des mecs qui aimaient se faire percer... J’&adorais arracher leurs anneaux avec des pinces, ils pleuraient , et le sang coulait comme vache qui pisse, c’était fendard ! »

Il sourit alors, comme s’il trouvait sa blague drôle., puis se mit à marcher. Il y avait quelque chose d’irréel, là-dedans, et il en avait bien conscience. Vaas savait ce que c’était... Cette ville, cette pollution, tous ces gens, gras, gros, moches, qui vivaient dans des taudis, toute cette ville, ce gris, ce béton... Rook Island lui manquait. C’était son île, son refuge, son sanctuaire, un sanctuaire pour lui et sa sœur. Ensemble, ils avaient terrassé les narcotrafiquants, et, si Vaas était venu ici, c’était bien pour poursuivre cet objectif, parce qu’il savait que l’homme ayant envoyé Hoyt Volker sur son île y retournerait. Vaas avait pris les devants.

L’homme était venu à Seikusu pour y apporter la guerre qui avait ensanglanté son île. Cependant, depuis qu’il était là, il prenait conscience de la dangerosité de Seikusu. Protéger son île ne serait pas aussi facile que ça. Et puis, il y avait la Duchesse. Ce coup-là, il ne l’avait pas vu venir, et il se demandait quoi faire d’elle, surtout si elle se mettait à se percer et à agir comme toutes ces pisseuses qui venaient sur son île en le prenant pour un autochtone local.

Vaas réfléchit très sérieusement à l’hypothèse de l’abattre sur place, avant de mettre ça de côté. Pas encore... Cette femme était encore assez utile pour le moment. Et puis, malgré son côté chieuse et gamine écervelée, elle était... Plutôt cool, en réalité. Un peu bizarre, mais qui, en toute honnêteté, ne l’était pas ?

« Bon... Et maintenant, darling, on fait quoi ? Qu’est-ce que tu as envie que ton chevalier servant te fasse ? Profite-en, ce n’est pas tous les jours qu’on a un Vaas comme guide ! »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 25 avril 2016, 15:30:33
« Bon... Et maintenant, darling, on fait quoi ? Qu’est-ce que tu as envie que ton chevalier servant te fasse ? Profite-en, ce n’est pas tous les jours qu’on a un Vaas comme guide ! »

à cette question, Lulu vint à réfléchir quelques secondes, avant de regarder Vaas en lui souriant avec amusement. C'est vrai, que faire ? La ville était vaste, ma la nuit n'était pas éternelle, elle. Cependant, Lulu sentait que son amant commençait à « douter » d'elle (intuition féminine, cherche pas ! èé) et, avant de recommencer quoi que ce soit, elle voulue le rassurer.

« Ze serait bien tenté de te dire qu'on pourrait repartir en Ssasse, toi et moi, main dans la main… mais, t'as du voir que z'ai des « phasses »… Hm ? Ze veux dire… C'est pas vraiment à la demande quand je tue… C'est plus complexesse que ça tu vois… Me regarde pas comme ci z'était une merdeuse vaas… Tu t'en mordrais les doigts, car j'ai beau être soumise au hommes, z'en suis pas moins une tueuse qui est mondialement connue, MOI ! » Alors… Ok… C'est vrai, ze me suis faite faire un piercingz… Mais ! C'est juste que z'aime bien ssa… Et puis il y a le coté finanssier derrière… Tu sais… »

Et là, lulu ce mit à mimer un fellation, en ouvrant la bouche en rond, avant de remuer son poignet de concert avec sa langue, langue qu'elle faisait taper contre l'intérieur de sa joue.

« Un client satisfait, c'est un client qui reviens… c'est KSD. »

Lulu regardât enssuite les alentours et, ne voyant personne, elle ouvrit son sac à mains pour montrer son contenue à son amant, continue qui n'était autre qu'un grand couteau, son scalpel, des seringue, du formole et… Deux trois autres petites choses.

« Allez… On vas en découper des minettes… Tout plein même ~
 
C'est vrai, Lucrezia était une femme curieuse et, à la voir ainsi, on pouvait aisément croire qu'elle n'était qu'une bête pute un peu greluche… Mais Vaas semblait ne pas savoir ce qu'était une vrai tueuse en série. Beaucoup de tueur ce créait un masque de normalité pour cacher leur véritable visage et, si même Vaas commençait à avoir un doute sur lulu, c'est que ce masque était donc bien fait ! D'un coté la sinistre Duchesse… De l'autre une pute en manque de bite et gamine… Hmmm Ok, Il n'y avait pas beaucoup de différence entre les deux, mais toujours est il, ça marchait !
Et puis… C'est vrai, Lulu tuait par « pulsions » elle, Vaas c'était peut être par amusement, mais Lulu, elle, c'était différent, poins.


« En attendant mon sous… Ze suis peut être pas dissposée à tuer mais… Z'ai une grosse envie de baizer !… Et… ze zouait les prude toute à l'heure, pour faire zenre mais vrai… ça te tente un Gangbang toi ? Hm ? »


Lulu souriat légèrement en ce dandinant devant vaas, tout en se mordillant les lèvres, son regard ce voulant alors légèrement jouer et enfantin à la fois. Genre (ou Zenre) comme une gamine qui demanderait un truc à son poupaw <3
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le mardi 26 avril 2016, 19:51:47
Lucrezia essaya de rassurer Vaas sur sa dangerosité, mais, avec son affreux zozotement, il avait l’impression de voir un paon essayant de rugir comme un tigre. Pour autant, loin, bien loin de lui l’idée de sous-estimer la Duchesse. Vaas avait beau être cinglé, instable, il n’en était pas moins intelligent. À sa manière, il était un vrai stratège, et il s’était renseigné sur cette ville. Il savait qu’il y avait des justiciers dedans, des individus qui se prenaient pour des auxiliaires de justice, et qui étaient certainement bien plus dérangés que lui. Il le savait d’autant plus que ces individus, qui étaient hors du système, étaient aussi hors de la mainmise d’Akihiro Guramu, ce qui avait le don d’énerver profondément la Baleine. Ces individus menaçaient son affaire, son business, et ça, c’était quelque chose que la Grosse Vache ne pouvait pas tolérer. Vaas savait qu’un excellent moyen de se faire mousser serait de parvenir à vaincre l’une de ces Batgirls qui le menaçaient, et qui, en agissant ainsi, amenaient la police à sortir, peu à peu, des griffes du « seigneur de Seikusu » autoproclamé.

Mais il fallait bien admettre que, sur le coup, il était difficile d’associer cette fille à la Duchesse. C’était… Hum… Vaas n’était peut-être pas le plus grand psychologue qui soit, mais il y avait en elle une sorte de relent schizophrénique, comme si deux personnalités se battaient en elle. Une « gamine » d’un côté, et une « tueuse » de l’autre. Lucrezia et la Duchesse ? Comme le putain de Janus, le Dieu à deux têtes.

Schizophrénique, Vaas l’était également, assurément, mais sa psychose s’exprimait de manière bien différente de celle de Lucrezia. Il était juste… Profondément instable. Moins que psychopathe, Vaas tenait plutôt du sociopathe. Indifférent aux normes sociales, instable, et fortement impulsif, il ne supportait pas l’ennui, avait toujours besoin de stimulation, et son indifférence totale à la morale le rangeait plutôt dans cette catégorie… Mais ça, honnêtement, Vaas ne se posait pas la question. Lui n’était pas fou, ça n’était pas ça, la folie, il en avait sa propre définition.

En attendant, Lucrezia lui proposa un peu de sexe, comme pour les dérider, et faire oublier à Vaas l’ennui mortel de cette soirée. Ouais… Très clairement, l’homme n’aimait pas se faire chier, et, quand il ne savait pas quoi faire, c’était toujours les autres qui finissaient par trinquer. Contrairement à ce qu’on pouvait croire, torturer et massacrer son prochain pouvaient prodiguer en vous des sources d’énergie sans commune mesure, stimulant follement votre imagination. Autant dire que Vaas s’était bien éclaté à Rook Island, et, ça, ça, ça faisait des souvenirs impérissables.

Lucrezia n’avait pas envie de tuer, mais avait tout de même envie de s’amuser. Vaas considéra donc silencieusement sa proposition, puis caressa alors son visage, et l’embrassa.

« Je te l’ai dit, Lucrezia, tu es mi Princeza, je t’aime de cœur, je te ferais jamais rien de mal. »

Et c’était vrai. La seule chose, c’était que le cœur de Vaas était froid comme la glace, et ne battait que pour lui. Ce qu’il disait à Lucrezia, il aurait pu le dire avec la même intensité à un steak haché qu’il allait enfourner par la suite. Néanmoins, l’idée de baiser Vaas ne manqua pas de stimuler en lui un certain regain, mais poireauter comme ça l’amenait à devoir sortir de la longue léthargie dans laquelle il avait été plongé.

« Je crois qu’il est temps que tu visites ma demeure, Lucrezia… Là, tu pourras te faire péter le cul bien comme il faut… Mais pas avant que tu te prennes un bain de bouche pour tes zozotements de pucelle. »

Ça, non, elle ne pourrait guère espérer y échapper !

Il ne restait plus qu’à trouver une petite ruelle pour faire leur affaire…
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 27 avril 2016, 16:20:03
« Je crois qu’il est temps que tu visites ma demeure, Lucrezia… Là, tu pourras te faire péter le cul bien comme il faut… Mais pas avant que tu te prennes un bain de bouche pour tes zozotements de pucelle. »
« Neuneuneuh ! »

En disant cela, lulu avait tirée la langue en grimaçant légèrement, exhibant alors  une jolie perle noire et luisante, qui trônait au bout de son appendice linguale, taquinant du bout dudit appendice son amant foufou en dandinant ses grosses fesses puis, sur ceux, elle vint à voler un autre baiser à Vaas en faisant par la frotter son nez contre le siens.

« Tu veux que ze te suce mon gros vilain ? Hm ? »
Cette affirmation fit légèrement rire lulu qui, en ce déplaçant, faisait claquer ses talons sur le sol.
« Avoue, ça te plaît mon piercingz, hmhm ! »
Et hop ! Sur cette nouvelle affirmation, Lulu vint à se pendre au cou du mercenaire en faisant tinter ses innombrables bracelets entre-eux tout en collant ses gros obus bien ronds contre le torse de l'homme, homme qu'elle regarda longuement avec ardeur et passions, visiblement désireuse de sexe… à nouveau. La femme se dandinait outrageusement contre lui, en lui faisant comprendre qu'elle était dispo à lui faire tout ce qu'il voulait !

Avec Lulu, sexe et meurtre étaient grossomodo les mêmes choses, un moyens d'assouvir des envies, des pulsions. Aussi dépravée était sa vie, aussi sinistre était son passé, tout était lié au sexe et au sang, lucrezia était la version féminine d'un Jeffrey dahmer ou d'un Edmund Kemper, le sexe était son motif ! le frissons, l'orgasme, ses fantasmes omniprésent dans sa tête, tout ça, c'était ce qui la poussait à tuer et, entre chaque meurtre, Lucrezia baisait comme une pute ou se masturbait abondement… Une « lust killer » à l'état pur, une tueuse de luxure, voilà ce qu'était lucrezia.

Cependant, son coté « pimpant » et adolescent, lui, était du a sa mauvaise « structure » familiale et au manque d'affection qu'elle eu envers ses parents adoptifs une fois sa mère décédée. Adolescente, Lucrezia avait creusée les sillons de sa folie et de sa dépravations en usant très jeune des stupéfiants mais aussi en ayant très vite prit goût au sexe. Turbulente, rebelle, violente, fugueuse, à 15/16 ans Lulu était une vrai saloperie, devenant un échec profond pour ses parents adoptifs qui, une fois la jeune femme partit pour ses études de médecine, n'eurent plus jamais de nouvelles… Hors-mis lorsque cette dernière eu essayée de mettre fin à ses jours, quelques mois avant de… Commettre son premier meurtre.

Mais maintenant, tout ceci était du passé et, pour l'heure, Lulu s'affaira à suivre Vaas dans les ruelles sombre et puante du quartier de la Toussaint, sous le regard de quelques autres putes et de certains mac.

« Regarde là celle là… Un vrai cagot ! Ahah ! » Dit alors l'une des putes, visiblement avec une pointe de jalousie.
« Tu parle de toi là, Kazumi ? »
« Du calme mes bitche's, au lieux de regarder les copines, faite donc votre boulot. »

Kazumi, hein ? Tout en suivant Vaas, lulu c'était brièvement retournée en faisant un petit coucou à la jeune femme… Mais genre le petit coucou de pétasse avec le sourire de peste.
Un sourire qui voulait dire, au fond, un truc comme « tu vas finir dans un sac poubelle, tas de foutre. » Mais ça, kazumi le savait pas.
Suite à cette petite scène, le petit couple vint enfin à se retrouver au bout d'une ruelle, dans une impasse bien tranquille.

« Bon alors… Se sera quoi pour se monsieur, hm ? »

langoureusement, Lulu vint alors à glisser ses mains sous le débardeur de Vaas, éprouvant ainsi les beau muscles de l'homme puis, en ne le quittant pas du regard, elle s'accroupit puis, toujours aussi calmement, elle attrapa du bout des lèvres la braguette du pirate, la faisant alors descendre de manière sulfureuse et aguicheuse en regardant toujours son amant avec gourmandise. Puis, calmement, elle enfouis sa main dans la prison de tissue, extirpant ensuite la verge de l'homme de là, verge qu'elle masturba quelque peut pour finalement ce mettre à la faire tapoter contre sa joue.

C'est clair, les sandwich poulet/curry, ça remet lulu d'applomb !
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le jeudi 28 avril 2016, 12:49:45
En voyant la fille lui tirer la langue, Vaas dut résister à l’envie, fugace mais forte, de lui arracher ce morceau noir qui dépassait avec une pince. Ce n’était pas… Harmonieux. Et puis, ça la faisait zozoter ; c’était insupportable. Franchement. Elle se colla contre lui, plaquant ses lourds seins contre son torse, et Vaas sentit la pointe d’excitation le traverser, entrouvrant légèrement les lèvres quand la femme lui demanda si son piercing lui plaisait. Pour toute réponse, il posa ses mains sur les fesses de la femme, et rajouta ensuite, essayant de noyer le poisson :

« Tant que tu continues à être de qualité, ma chérie, je peux aller avec quelques excentricités. Il faut bien que tu te singularises… »

Néanmoins, c’était bizarre, cette obsession pour les piercings. Les tatouages, Vaas n’avait rien contre, mais se faire trouer la peau… Lui avait bien un trou dans ses oreilles, certes, mais, de là à se mettre l’une de ces saloperies en métal sur la langue. Même pour lui, c’était un peu hard. Il devait toutefois admettre que ça lui donnerait des idées vraiment fun à essayer. En attendant, il avait une envie de plus en plus furieuse d’aller baiser la belle Lucrezia, qui se dandinait contre lui, l’émoustillant en frottant ses seins, son envie de sexe semblant revenir en force.

Le duo se déplaça donc, jusqu’à croiser quelques prostituées. C’était le coin. Ce quartier appartenait aux Guramu. Il était situé dans le quartier traditionnel de la Toussaint, entièrement sous contrôle yakuza. Les prostituées portaient des tenues moulantes en latex (http://static.giantbomb.com/uploads/original/5/58994/1882427-2011_09_07_00001.jpg), qui brillaient légèrement, amplifiant leurs formes. Il en vit une avec une agréable robe argentée (http://img110.xooimage.com/files/d/9/0/maxresdefault-4f37a56.jpg), mais continua à suivre la Duchesse.

Il est vrai que, avec son corps aux formes généreuses et lourdes, elle s’éloignait des biscottes, qui caractérisaient généralement les putes asiatiques. Plusieurs commentèrent ainsi son apparence. Vaas, lui, en-dehors du crêpage de chignons, attendait surtout de voir les macs leur tomber dessus, à l’idée d’une concurrence non voulue. Le duo rejoignit donc une ruelle isolée, une petite impasse, et, rapidement, la Duchesse passa à l’action, avec cette sensualité et cette bestialité qui avaient su attirer l’attention  de Vaas.

« Ah, bébé, là, tu me parles… »

Vaas caressa ses cheveux, et soupira lentement en sentant son sexe sortir à l’air libre, sa hampe de chair venant se poser sur le visage de la femme, caressant doucement ce dernier.

« Vas-y, vas-y, mon cœur, commence par me mettre en jambe… Ensuite… Ensuite, je crois que j’irais visiter le petit cul de ma vachette adorée… »

Tout d’un coup, l’envie de tuer Lucrezia s’était totalement éclipsée. Ainsi raisonnait et fonctionnait Vaas, tuer quelqu’un était pour lui similaire à se faire sucer, ou à aller manger un hamburger.

Un individu totalement amoral, mais qui, en sentant la bouche de Lucrezia, se mit à bander joyeusement…
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mardi 04 octobre 2016, 20:11:25
« Vas-y, vas-y, mon cœur, commence par me mettre en jambe… Ensuite… Ensuite, je crois que j’irais visiter le petit cul de ma vachette adorée… »

Lulu continua de regarder Vaas dans les yeux en faisant allégrement glisser la queue de l'homme sur son visage et ses lèvres, avant de lécher la hampe de ce dernier dans toute sa longueur, son piercing glissant habilement sur la peau, avant que notre duchesse ne vienne embrasser sa cerise qu'elle happât ensuite goulûment, pompa ainsi son gland avec avidité en ne quittant pas l'homme des yeux.

« hmmmmgmmm… Hmmmaammm.. « 

Lucrezia aimait faire du bruit en suçant. Elle avait appris au fil du temps que cela plaisait beaucoup à ses partenaire. Gémir, soupirer, couiner et aspirer bruyamment la queue joufflue de l'amant en question. Tout en continuant de pomper ardemment Vaas, Lulu vint à légèrement tirer sur son haut en latex, faisant alors jaillir ses gros seins de leurs étreinte noire et luisante puis retira l'espace de quelque secondes, le sexe du mercenaire de sa bouche, afin d'ensuite le prendre d'une main pour faire glisser son gland contre l'un de ses tétons tout en regardant l'homme avec envie.

«hmmm z'aime la bite <3 » Lui dit elle alors avant de tirer la langue en décalant le sexe de l'homme de son seins, pour le faire taper contre ladite langue, langue qu'elle passa ensuite dans chaque interstice de cette queue avant de la ravaler goulûment en aspirant fermement ce morceaux de chair juteux, tachant de l'enfoncer de plus en plus loin dans sa gorge
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le vendredi 07 octobre 2016, 02:16:07
Des putes, Vaas en avait souvent vu au cours de son existence pleine de vie et de joyeusetés, mais il fallait rendre à César ce qui lui appartenait. Lucrezia était d’une catégorie au-dessus de toutes ces salopes qu’il avait eu l’occasion de fourrer. Avec elle, Vaas sentait un truc, un lien, et le fait que la Duchesse soit encore en vie en était la plus belle illustration. Vaas l’aimait bien, cette folle aux gros nibards. Elle était tarée, cruelle, avec une absence totale d’empathie, et se payait le luxe d’être aussi perverse que bonne. La baiser, c’était divin, comme se taper une star de luxe 4 étoiles, et se l’enfiler sec en sentant son corps vibrer en harmonie. Vaas bandait dur, flottant comme Mario dans les étoiles quand sa Princesse-Pute lui suçait la pine. Car c’était bien ça que Lucrezia faisait en ce moment : elle suçait la queue de son guerrier, son chevalier chevaleresque qu’elle récompensait pour ses efforts. Ils étaient venus ici pour prostituer Lucrezia, parce que c’était son kif’, mais Vaas ne serait pas un bon marchand, s’il ne s’assurait pas de la qualité du produit avant...

Alors, elle le suçait, et les mains de Vaas se crispaient sur sa tête. Elle filait sur sa queue, ce membre qu’elle devait maintenant commencer à plutôt bien connaître, à force de s’empaler dessus. Hey, il fallait bien avouer que, ensemble, ils avaient déjà fait les quatre cent coups. Tout ça augurait d’une fantastique relation pour la suite ! Elle finit par s’arrêter brièvement, juste le temps de lui dire qu’elle aimait ça, ce qui ne manqua pas de faire sourire Vaas, qui la regardait silencieusement.

« Vu la manière dont tu gémis, ma salope, j’ai eu l’occasion de le réaliser, héhé... Vas-y, suce, suce bien, fais-toi plaisir, c’est ton gâteau ! »

Lui-même commençait à avoir un rôle plus actif, crispant ses mains sur la chevelure de la Duchesse. Il s’en servit alors pour remuer plus nerveusement en elle, d’avant en arrière, donnant des coups de reins qui gagnaient progressivement en force et en intensité. L’homme ne la ménageait pas, car il savait que c’était ce que Lucrezia aimait. Soupirant longuement, Vaas se laissait ainsi aller, son membre tapant contre la gorge de la femme, glissant en elle.

« Oh, chica, chica, chica, putain de sa mère... ! »

Dieu, qu’elle était bonne, cette salope ! C’était avec plaisir que Vaas s’enfonçait en elle, jusqu’à lui balancer, une fois n’est pas coutume, sa doucereuse crème, qui éclata dans sa bouche. La récompense des justes... Le divin cadeau blanc rien que pour elle !

N’était-elle pas chanceuse ?
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 12 octobre 2016, 18:57:19
« Vu la manière dont tu gémis, ma salope, j’ai eu l’occasion de le réaliser, héhé... Vas-y, suce, suce bien, fais-toi plaisir, c’est ton gâteau ! »

Et quel délicieux gâteaux ! Une fois encore lulu se régalait à sucer ce beau mat veineux et char,ue, passant allégrement ses lèvres dessus en aspirant le plus goulûment possible ce morceaux de viande chaud et palpitant de désir. Notre tueuse prenait comme à son habitude un grand soin à astiquer et à lustrer la queue de son nouvelle amant, alternant entre gorge profonde, suçage de gland et malaxage de couille, prenant de temps à autre des petite pause pour branler vigoureusement le mat de Vaas, avant de l'étreindre une nouvelle fois entre ses lèvres pulpeuse et luisante de pré-sperme et de salive.

« Gmmmhh… Shhllrpphmm <3 »

Mais alors qu'elle prenait de plus en plus de plaisir à sucer son amant, tout en le regardant dans les yeux de temps à autre, notre tueuse vint à sentir l'homme se crisper avant de jurer un bon coup, ce qui marquât alors le début de son orgasme. Là, bien au chaud dans la bouche de Lucrezia, Vaas fini donc par copieusement éjaculer, envoyant avec vigueur une énième rasade de sperme qui alla directement dans l’œsophage de la tueuse, tueuse qui, bien entendue, avala bruyamment chaque gorgée de ce délicieux miel, avant d'attraper la queue de Vaas par la base pour l'extirper de sa bouche à la quelle un ou deux filet de sperme dégoulinait encore. Sur ce, la femme prit ensuite un malin plaisir à nettoyer de long en large la queue du mercenaire en le dévorant de ses yeux de chiennes, racla du bout de sa langue chaque petit centimètres afin d'y récolter le sperme encore présent et ce en poussant de long soupir lascif et provocateur.

« Et zoilà, ce monsieur est servit, ça fera 3000 yens <3 » Dit elle alors en posant un petit baiser sur le gland de son amant, avant, une fois encore, de faire glisser la bite de Vaas sur son visage.

Lucrezia donna ensuite un ultime coup de langue sur toute la hampe de cette magnifique verge, puis se releva afin d'embrasser son amant sur le bord de ses lèvres, un baiser rapide et un brin enfantin, qui fit glousser Lulu de plus belle.

« Bon… Maintenant tu veux me faire quoi, vilain cosson <3 »


En réalité… Lucrezia le savait déjà plus ou moins et, sans attendre, elle prit position contre un mur, dos à Vaas, remuant ardemment devant ce dernier son gros popoton qui débordait outrageusement de sa jupette de latex.

« Tu zveux me refaire les fessessss ? <3 » Lui demanda t-elle alors en le regardant par dessus son épaule d'un air joueur.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 17 octobre 2016, 02:29:24
Vaas ne saurait expliquer concrètement tout le charme que cette femme opérait sur lui. Avec elle, il n’arrivait pas à débander, et, les rares fois où sa queue finissait au repos, c’était pour mieux économiser ses forces avant de repartir. Il fallait être honnête : cette salope avait un putain de sex appeal, comme si quinze putes de luxe avaient décidé de se réunir en un corps. Le mercenaire ne pouvait que reconnaître que cette nana avait du talent. Un sacré talent, en fait. Dieu, il en était fan ! Elle le suçait avec énergie, avec cet insatiable appétit qui était la marque des amoureuses. Ses mains se posaient sur sa tête, se crispant sur ses cheveux, fonçant dessus, d’avant en arrière, en lui baisant bien la bouche, exactement comme il le fallait. Elle n’aurait pas aimé qu’il agisse tendrement. Là, dans cette ruelle sinistre, à peine plus glamour que l’entrepôt froid et poussiéreux où ils étaient tantôt, il était comme le Chevalier honorant sa Duchesse par son foutre. Vaas lui offrit donc ce cadeau qu’elle cherchait tant, ce sperme chaud et intense, et se retira. Sa queue avait dégrossi, mais l’homme pouvait encore sentir qu’il n’était pas à court de jus. Était-ce l’un des effets secondaires de tout ce rakyat qu’il prenait depuis des années ? Ou le superbe cul de Lucrezia ? Ou le mélange des deux ?

Elle lui expliqua qu’il lui devait 3 000 yens, ce qui l’amena à renâcler brièvement, comme pour contester ce prix :

« Ne te mésestime pas autant, ma chérie. Le mufle qui te donnera 3 000 pauvres yens de merde pour ta bouche mérite que je l’émascule, et que je lui fasse bouffer ses propres couilles. »

Aucune fausse note dans sa voix, comme si Vaas ne faisait que dire la vérité. 3 000 yens, ça faisait à peine plus de vingt euros... C’était le prix qu’on donnait pour des putes désespérées et droguées dans les caveaux de Bangkok. Pour la Duchesse, il fallait bien rajouter un zéro. Et ça, c’était le rôle de Vaas. Mais, pour l’heure, il en était encore au test de la marchandise. Respirant lourdement, il vit Lucrezia se redresser, filant contre le mur, en bombant de la manière la plus insolente son petit cul, parfaitement moulé dans sa minijupe serrée en latex. On voyait également la ficelle rose de son string, qui passait par-dessus, tandis qu’elle l’invitait à se rapprocher.

Soupirant à nouveau, il se rapprocha alors.

« Seul le plus parfait des goujats refusera une telle proposition, ma colombe... »

Vaas n’était pas venu à Seikusu pour ça, mais, pour autant, il n’arrivait pas, ce soir, à penser à autre chose. L’amour était un concept assez creux pour le mercenaire, pour ne pas dire inexistant. Difficile, en conséquence, d’expliquer l’attraction qu’il ressentait pour cette femme, car, ce soif, Vaas la kiffait à fond. C’était sa meuf, et il avait une furieuse envie de la sauter, encore et encore, de l’exhiber auprès de ces autres putes dégrossies, pour mieux s’en vanter.

Notre homme rejoignit donc Lucrezia, et posa ses mains sur ses fesses. Venant de jouir, sa queue était encore un peu trop molle pour honorer sa salope comme il le fallait, mais Vaas, fort heureusement, avait à sa disposition quelques techniques efficaces. Il se pressa donc contre le corps de Lucrezia, sa bouche venant mordiller le creux de son cou, quelques propositions salaces ne tardant pas, ensuite, à s’échapper de ses lèvres :

« Tu aimes ça, hein ? Tu es déjà la Reine des putes avant même d’avoir commencé, Lucrezia... Dieu, ce que t’es bonne, ma chérie ! »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 12 janvier 2017, 18:41:45
Vaas était un curieux personnage... C'était... Un sociopathe et Lulu était bien consciente que leur relation était pas vraiment une relation d'amour sincère comme celle des autres couples mais... Il y avait un truc, une sorte de drôle d'alchimie tordue qui commençait à apparaître, un atome de paradoxe étrange que seule deux psychopathe comme eux pouvait pleinement appréhender. Quand le demoiselle toute de latex lui avait dit qu'une pipe valait 3000 yens, l'homme avait surenchérie en disant qu'elle valait mieux que ça... Et ouai, elle valait mieux que ça mais en général, quand lulu demandait 3000 yens (ou plus) il y avait un autre trucs à ajouter à la balance... C'est que lulu, en bonne petite salope désireuse d'avoir de quoi se remplir le ventre (autre qu'avec du foutre) avait tendance, parfois, avec les clients peu attentif, a voler durant la fellation quelque billets en plus... Voir même carrément la totalité du porte monnaie ! Au fond, elle se débrouillait tellement bien la bougresse que bien souvent ça passait crème au yeux du clients qui ne remarquait la chose qu'une fois la belle déjà loin de lui... ça lui apprendra a ce taper la mauvaise pute ! Mais bon, encore une fois, notre charmante Duchesse ne faisait ça qu'au client peu habitués au prostitués, ceux qui venait là par désespoir ou juste pour voir un peu ce que ça valait une pute... Avec un tel coup, le type devait plus trop avoir envie de revenir ce faire beurrer la biscotte dans la Toussaint après.

Enfin, toujours est il, notre charmante duchesse avait pour l'heure une tout autre soif que celle de l'argent car, en elle, le brasier du sexe brûlait toujours ! Est c'est toujours dos à son amant des îles qu'elle vint à nouveau a dandiner son jolie popotin en regardant l'homme avec des yeux fiévreux et amusé. L'homme fini donc par tout naturellement ce rapprocher d'elle avant de lui dire ces quelque mots qui... Dans une autre situation aurait put être poétiques.

« Seul le plus parfait des goujats refusera une telle proposition, ma colombe... »

Un vrai roméo ! Lucresia en entendant cela se mordit à nouveau les lèvres en continuant de faire bouger son imposante et exquise paire de fesses, caressant ainsi le mat de son amant dans le noble but de lui faire retrouver sa vigueur.
Quand Vaas vint à lui caresser les fesses tout en lui mordillant le cou, notre plantureuse Duchesse laissa échapper un petit couinement faussement plaintif, elle était désireuse de poursuivre cette soirée en sa compagnie car, depuis l'époque ou elle était encore une femme «normale » notre belle tueuse n'avait jamais rencontrée d'homme qui a ce point était en accords avec ses principes de vie assez... bordeline.

« Hgmmmfff... VaaAaas... » souffla t-elle alors avant de légèrement retourner ça tête vers l'homme pour lui voler un long et langoureux baiser, sa langue s'enfouissant alors dans la bouche dudit amant afin d'un faire une belle valse linguale qui se répit ensuite avant que Lucrezia ne vienne à férocement remuer ses fesses contre le bat ventre de l'homme, de belles fesses qui rebondirent et vibrèrent joyeusement.
« Z'ai envie de faire tout plein de trucs dégoûtants ce zoir... en ta compagnie <3 »

C'était encore une fois une bien curieuse relation qui était entrain de se tisse là.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le dimanche 15 janvier 2017, 23:04:36
La verge de Vaas ne tarda pas à se dessiner un passage dans l’étroit cul de la Duchesse. Étroit... En réalité, vu le nombre de fois où, ce soir, Vaas avait exploré le fessier de la psychopathe, il n’eut aucune difficulté à se glisser encore en elle. Si elle avait désespérément envie de sexe, c’était aussi le cas pour lui, qui ressentait une inexplicable alchimie envers cette femme, une attirance aussi forte que mystérieuse. C’était une tueuse, une folle, aussi belle que meurtrière. Vaas le savait, bien entendu, mais, loin d’en avoir peur, il en était, au contraire, profondément excité, convaincu d’être devant une pair, une égale. Il la sodomisa donc dans cette ruelle, se régalant de ses soupirs. Le fait qu’elle ait encore choisi de zozoter (ce qu’il avait horreur, en réalité) ne l’avait, fort heureusement, pas réfréné au point d’oublier de la prendre.

Vaas l’encula donc, avec tendresse (pour ainsi dire). Il remuait lentement en elle, soupirant et grognant, pinçant ses fesses, avant d’accélérer petit à petit le rythme. Le mercenaire la prit donc par là, pendant plusieurs minutes, grognant et soupirant. Ils n’étaient plus dans l’entrepôt, et, parfois, des gens passaient devant eux, jetant des regards surpris, mais filant rapidement. Dans ce quartier, ce n’était pas si inhabituel que ça. Le Japon aussi avait ses zones d’ombre, ses quartiers dangereux, craignos... Et, quand Vaas était dans le coin, on avait généralement tendance à filer droit.

Notre homme la prit donc pendant un certain moment, giflant parfois ses belles fesses, et finit par agripper les cheveux de Lucrezia d’une main, les tirant en arrière, soulevant un peu son massif corps, tout en sentant sa queue durcir, croître, devenir plus insistante, plus assoiffée.

« Hmmm... Sa-Salope, putain... Putain de bordel, ouais... ! T’as... T’as un de ces p’tains de cul, ma salope... !! »

Il soupira encore, ferma les yeux, puis se vida encore une fois en elle, venant remplir ses belles fesses, pour la relâcher. Lucrezia tomba sur le sol, reprenant ses forces. Toutefois, Vaas finit par se pencher vers elle, et posa doucement une main sur son épaule, la retournant, venant la coucher sur le dos, puis se dressa ensuite au-dessus d’elle, avant de s’allonger à son tour. Et là, à même le sol, il se coucha contre elle, et enfonça sa queue dans son vagin. Le rakyat, que Vaas prenait depuis son enfance, ou presque, avait visiblement eu des effets secondaires très impressionnants sur sa libido. Il la pénétra donc, et l’embrassa.

« Ma Princesse... glissa-t-il une première fois, juste après le premier baiser. Je t’aime, ma magnifique pute... »

Fin séducteur, homme galant et plein de romantisme, il commença à remuer en elle, étouffant des grognements, tout en retournant régulièrement l’embrasser, fourrant sa langue dans sa bouche.

« Ça... Ça te dit, un restaurant, a-après... ? » demanda-t-il soudain.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 26 février 2017, 12:11:10
Aaaaah, quel homme fabuleux ce Vaas...

Malgré les multiple coït que nos deux tourtereaux avaient partagés, il était encore en mesure de baiser sa « Princessa » avec fougue et courage , tel un chevalier servant plein de charme et de charisme, jamais en reste pour explorer les tunnels de notre Duchesse à l'aide de sa lance de chair, faisant soupirer la femme sans fin. Et, Lucrezia avait beau avoir le cul tellement ouvert par les sodomies répétitive de son amant, elle continuait de prendre un plaisir fou à baiser avec lui... Elle pourrait le faire encore pendant des heures et des heures, jusqu'à ne plus sentir que la bite et le sperme et même là, elle continuerai de s'offrir à lui avec grand plaisir car, Vaas était à lui seul un condenté de toutes les plus belles conquètes que la Duchesse avait pue faire depuis des années.

« hmmmgmmm Vaas... Hanw... Tu est tellement hmmpfff... Vigoureux.. » Lui lacha t-elle alors avant de l'embrasser à nouveau sur le bouche en lui roulant un beau patin.

Oui... Il était vigoureux et, au delà de ça, il était fou... Il était comme elle, un homme qui ne risquerait pas de la dénoncer ou de la juger, un amant parfait avec qui elle pouvait baiser sans se retenir, sans se cacher derrière sa tenue de pute en brandissant son pseudonyme de « lulu » afin d'éviter tout soupçons. Et puis... Il pouvait la protéger aussi, bien que Lucrezia soit une femme forte et en mesure de dessouder bien des gens, elle avait ses limites, face à des policier ou à des malfrat un brin entraînés, la Duchesse savait qu'elle ne ferait pas le poids, mais avec Vaas a ses coté, elle pouvait se targuer d'avoir un garde du corps en quelque sorte, fort et virile qui n'avait pas peur de se salir les mains pour elle.
L'homme la baisa donc férocement contre le bitume, à même le sol, avec comme unique matelas un vieux cartons crasseux et gras. La scène était assez glauque au fond, celui d'un homme en rûte entrain de ce farcir une nana entre deux conteneurs à poubelles mais... Cet scène sale et profondément déviante attisait plus encore le désir de la Duchesse, sans compter le risque de ce faire prendre... Bien que, dans la Toussaint, ce genre de chose soit relativement courante au final, l'idée qu'un intrus les voie entrain de baiser comme deux chiens en pleine rue avait vraiment de quoi faire mouiller la Duchesse à flot.

La femme enroula alors ses jambes autours de la taille de son amant en poussant de nombreux cris et soupir à chaque coup de butoir que ce dernier déniait lui offrir, faisant tressauter la lourde poitrine de la femme par la même occasion.

« Hmmmf V-Vaas p-p-plus fort ouii ! Haaaaaanww ! J'vais putain d'j-jouir ! Aaaah ! Oui ! Oui ! Vas y bourre moi ! HAAAAAAAAAW ! »

La femme ce mit alors à rouler des yeux en tirant la langue comme un chienne sous ce torrent de fougue et de sexe, enfonçant ses ongles dans la chair de son amant, griffant se dernier par la même occasion. Elle n'en pouvait plus ! C'était tellement bon ! Son corps étant parcourut par une multitude de frissons délicieux qui finirent par la faire hurler en pleine rue, avant de finir par jouir, éclaboussant le bas-ventre de son amant avec sa cyprine.

« AAAAAAAHHHHHHH VAAAAAAS !!!! »


Une fois la tempête fini... Lulu se laissa aller sur le sol, tendis que Vaas continuait de la bourrer sans vergogne, voulant lui aussi finir son affaire, toutefois, lucrezia, d'une voix éreinté lui demanda une petite faveur.

« Haaanw oui... emmène moi dans... Haa... Hmmff... Un restaurant de luxe... Mais a-avant... Balance ton jus sur ma gueule... encore... hmmmpff.. »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le lundi 06 mars 2017, 00:53:31
Quand on était amoureux comme lui, n’était-il pas normal de vouloir offrir à sa dulcinée le meilleur du meilleur ? Quoi de mieux qu’une soirée en amoureux dans l’un des restaurants de luxe de la ville ? Vaas savait où ils se trouvaient, et il ne voyait aucun meilleur endroit pour poursuivre cette soirée en compagnie de la Duchesse. Il n’irait pas jusqu’à dire qu’il était fan d’elle, mais, ; indéniablement, le mercenaire aimait le style de cette femme. Lorsqu’il était arrivé à Seikusu, il avait entendu parler d’elle, et avait, instinctivement, ressenti comme une sorte de connexion, de lien... Comme s’ils étaient destinés à être ensemble. Qui sait ce qu’une telle association pourrait donner ? Deviendraient-ils les Bonnie & Clyde de Seikusu ? L’hypothèse était séduisante, en réalité, et amusait beaucoup Vaas.

Mais, pour l’heure, il avait une priorité autrement plus importante à remplir. Libérant son membre du corps de Lucrezia, il l’approcha rapidement à nouveau. Son vit turgescent se positionna devant le visage de la femme, et il commença à se masturber rapidement. Sa queue était recouverte de la mouille de la Duchesse, qui glissa le long des doigts, huilant cette queue, permettant d’amplifier les mouvements qu’il faisait sur son vit.

« Hmmm... T-Tout pour.. Pour te servir, ma chérie ! »

Quel homme ! Galant, et tout ce qu’il fallait avec, charmant au possible. Sa main continuait à glisser sur son membre, de plus en plus fortement, jusqu’à l’approcher du point de rupture, qui était imminent, au vu de son excitation. Il tremblait sur place, et continua à pomper son dard, jusqu’à expulser d’épais filaments de foutre. Le sperme afflua depuis sa queue, et éclaboussa le visage de la jeune femme, se répandant sur elle par à-coups. Le corps de Vaas sembla se plier, tandis qu’une vague de plaisir le traversait. Il balança son foutre chaud, éclaboussant le visage de la jeune femme.

« Voilà... Oui, voilà... »

Autant dire que ça faisait du bien ! Le visage de Lucrezia était recouvert de son foutre, de sa semence chaude, qui avait fusé sur tout son visage, maculant ses joues, son front, son menton, son nez, et, bien entendu, ses lèvres. Reprenant son souffle, Vaas l’observait, sans rien dire, avec une sorte de curieuse fascination sur le visage. Quelques secondes passèrent même, avant que le mercenaire ne finisse par réagir.

« Un restaurant de luxe, donc ? Mais, pour ça, il va falloir qu’on se change, ma belle... On ne peut pas se rendre chez les fricards en étant habillés comme des clodos ! »

Et Vaas n’avait pas de smoking chez lui...

Il allait donc falloir qu’il en emprunte un, car rien n’était trop beau pour sa dulcinée, sa douce et belle Lucrezia.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mardi 14 mars 2017, 06:38:46
Une fois que son amant avait jouit sur elle, lulu vint à ce reposer un peu contre le sol, légèrement éreintée par cette énième galipette sauvage en compagnie de ce fier et beau mercenaire. La tueuse se pourlécha les lèvres avant de finalement se relever maladroitement en se tenant au mur derrière elle, remontant ensuite son string, le foutre continuant de dégouliner le long de ses belles cuisses.

« Un restaurant de luxe, donc ? Mais, pour ça, il va falloir qu’on se change, ma belle... On ne peut pas se rendre chez les fricards en étant habillés comme des clodos ! »

Il est clair que dans de tels accoutrements, nos deux tourtereaux ne pourraient jamais entrer dans un seul restaurant et, le temps de voler un petit baiser à son grand fou des iles, lulu vint à lui glisser ses quelques mots :
« Heureusement, c'est pas les con endimanchés qui manque ici, suffit de savoir où chercher <3. »

Sur ce, nos deux amis vinrent alors à s’éclipser de cette ruelle sombre pour finalement rejoindre un endroit moins glauques où, bien souvent, des con de mafiosi et leur nana de luxe venait pas moment traîner. Là, cachés 'ans l'ombre, les deux amants fous attendirent plusieurs minutes, avant de finalement voir arriver un autre couples constitué d'un homme en costard et d'une jolie brune moulée dans une somptueuse robe de latex, une belle robe de soirée qui par ailleurs irait comme un gant à lulu.

« aaah... Elle est rudement chouette sa robe... Par contre pour toi, vas falloir que tu fasse vite et propre... »

Bah oui, autant le latex (rouge de surcroît) était relativement simple à laver en cas de jet de sang, autant pour le costard, Vaas aller devoir être vif et précis afin de pas entacher le joli costard du bonhomme.
Ce fut donc après quelque secondes à regarder le couple ce galocher que nos deux amants vinrent à surgir, Lucrezia s'occupant de la femme et Vaas de l'homme. L'attaque fut rapide, discrète et efficace, Lulu ce contentant simplement d'un bon coup de bouteille à l'arrière de crane de la femme, faisant chuter cette dernière sur le coup. Une fois les deux zouave hors d'état de nuire, Lucrezia s'empressa de déshabiller la femme puis, en lançant un petit regard à son amant, s'en allat dans des toilette publiques se trouvant non  loin de là.

« Je vais me re-pouponner Vaassoux... Fait en sorte de cacher les macabés dans la benne <3 »

Et hop ! Sur ce, la femme s’éclipsa dans les toilette afin de ce faire la plus belle possible pour son fabuleux amant des îles. Rapidement (mais pas trop, c'est une femme, hein) elle enlevât sa tenue de pute avant d'enfiler la belle robe en latex rouge qu'elle venait de dérober à la pauvre femme... Constatant alors un léger soucis de proportions... Lulu étant particulièrement bien gâtée en terme de courbes et de formes, elle remarquât que ça débordait un peut au niveau de ses seins et pour ce qui était de son cul et de ses hanche... ça moulait vraiment, vraiment bien le tout.

« Ouch... J'en connais un il vas bander dur... » dit elle en réajustant la robe de soirée un peu dans le style de celle d'une certaine jessica rabbit.

Une fois cela fait, la tueuse prit soins de se démaquiller tout en enlevant le foutre qu'il lui restait ici et là sur la tronche, puis devant le miroir, elle se remaquilla et se recoiffa de sorte à ce qu'elle ne ressemble pas trop à... Bah à la Duchesse quoi, masquant alors ses cicatrices en souriant à l'idée d'aller dans un restaurant de luxe, sans même avoir peur d'être démasquée car, il faut bien l'avouer, qui imaginerait une seule seconde que la Duchesse ce pointerait dans un restaurant, de luxe, avec un homme ? Personne.

Une fois toute belle, la femme rangeât consciencieusement son matériel avant de sortir un petit pochons de coke afin de faire une courte ligne sur le rebord du lavabo, ligne qu'elle sniffa d'un coup, avant de se remettre à regarder son reflet dans le miroir crasseux, dandinant son gros cul et ses forme avec entrain.

« Hmmm... j'vais tellement me faire troncher moi <3 » Lâcha t-elle alors avec un petit sourire, avant de sortir, tombant alors sur Vaas qui l'attendait de pied ferme.


« Woow... ça change didonc... ça me donnerait presque envie d'avoir une vie équilibrée tiens <3 »
Lui avoua t-elle alors avec humour en dandinant du fion et des hanches pour lui offrir un en spectacle son corps ainsi moulé par la robe de latex (http://zupimages.net/up/17/09/0kpf.jpg).
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le dimanche 19 mars 2017, 18:22:40
Vaas et Lucrezia allaient donc quitter l’hôpital abandonné pour une soirée luxueuse dans un restaurant. Le contrebandier connaissait des adresses, et le duo s’approcha donc des quartiers plus aisés de la ville. Il leur fallut ainsi marcher un bon quart d’heure, ce qui permit aussi à Vaas de se calmer un peu. Depuis qu’il avait croisé la Duchesse, l’homme était en ébullition perpétuelle. Cette femme agissait sur lui comme un aimant incroyable, dopant son excitation, le stimulant comme jamais. Il ne saurait dire ce qu’il ressentait précisément envers elle, mais c’était fort, plus fort que tout ce qu’il avait jamais ressenti avec une autre femme.

*Soit je la tue, soit je l’épouse, mais il n’y a pas de juste milieu...*

Le duo s’approcha donc, et enjamba un grillage, les amenant directement dans un coin d’un parking longeant un restaurant. Là, ils attendirent que les bons pigeons viennent, ce qui finit par se faire en la présence d’un élégant couple. Vaas vit un costume qui semblait bien lui aller, et la nana portait une robe rouge en latex brillante, éblouissante. Lucrezia lui indiqua qu’il allait devoir y aller vite et proprement, et il sourit.

« Tout le contraire de ce que je fais quand je m’occupe de toi, alors, bébé... »

Fort heureusement, Vaas n’était pas qu’un amant exceptionnel, c’était aussi (et surtout) un tueur impitoyable. Évidemment, mieux valait éviter d’entrer avec un smoking tacheté de sang. Il s’approcha rapidement de sa proie, et posa une main sur sa bouche. Surpris, l’homme écarquilla des yeux, en formulant une vaine plainte. On entendit ensuite un craquement sec quand Vaas lui brisa la nuque, et il s’écroula mollement sur le sol, sans une seule trace de sang. Rapidement, pour éviter qu’on ne les remarque, le duo traîna le couple dans la ruelle d’où ils venaient. Lucrezia le laissa se débarrasser des ordures, tout en allant se changer, ce que l’homme fit avec un léger sourire, en la regardant partir.

Il commença par se déshabiller, puis déshabilla l’homme, et le jeta dans la benne. Il s’intéressa ensuite à la femme, et, pour éviter tout souci, la tua également en plantant son couteau dans son crâne. Le corps remua, un peu de sang éclata sur son torse, puis il l’envoya rejoindre son compagnon, et referma la benne, tout en les dissimulant derrière plusieurs sacs plastiques, au cas où un serveur, en allant mettre des poubelles, verrait les corps. Ce soir, Vaas ne voulait pas être dérangé. Il jeta également ses propres affaires, puis enfila le smoking. La tenue, fort heureusement, lui allait plutôt bien, et, même s’il n’avait pas de miroir pour s’observer, il sut rapidement que la tenue avait été bien mise.

Vaas entendit alors des bruits de pas, et se tourna vers les toilettes... Et crut bien se dessécher en voyant Lucrezia, sa Lucrezia, approcher. Sur la nana qu’ils avaient tué, la robe faisait sac, mais, sur elle...

*Rien que pour ça, elle méritait de mourir. Merde...*

Vaas se rapprocha de la psychopathe, qui se mit à plaisanter. Il sourit, et posa nonchalamment une main sur les fesses de la femme, puis l’embrassa, frottant son corps contre elle, lui permettant de sentir son érection, sa queue remontant dans son pantalon serré pour taper contre elle.

« Tu vas tout déchirer ce soir, amor... »
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le vendredi 12 mai 2017, 16:57:06
« Tu vas tout déchirer ce soir, amor... »
« Grrmmmmh toi aussi, bogosse <3. »

Et hop, sur ce, la belle tueuse vint à voler un autre baiser à son amant avant de ce reculer pour le suivre. Notre charmant petit couple, une fois cette courte pause terminée, s'en allèrent vers ledit restaurant, un luxueux palace 4 étoiles tout en marbre et en dorure, typiquement le genre d'endroit dans lequel notre tueuse avait toujours eu envie de mettre les pieds.

« Haaanww Vaas... Regarde comme c'est chouette ! » Dit elle en ce blottissant contre son amant, à la manière d'une femme riche et amoureuse de son businessman de mari... C'est qu'il savait drôlement bien jouer la comédie tout les deux ! En entrant, un espèce de pingouins  vint à leur ouvrir la porte, faisant au passage une belle courbette qui... fit légèrement glousser lucrezia. Après cela, le charmant couple que formait nos deux comparse vint à faire leur entrée dans une vaste salle, où, là encore, ils vinrent à ce faire accoster par un homme élégamment vétue qui leur demandat :

« Bonsoir messieurs dames... Vous aviez reservez ? »

Mince... La tuile ! Ils n'avaient pas penssez à ça, fort heureusement, lulu, qui était un chouilla plus civilisée que Vaas, vint à prendre la parole.

« Hmm.. Nan, nous nous promenions et en sortant nous n'avions pas vraiment  d'idées fixe en tête quant à l'endroit où nous désirions manger ce soir et... En voyant votre luxueuse endroit, nous nous sommes dit qu'il serait parfait. »
« Hm... Je vois. » répondit alors l'homme d'un hochement de tête, avant de sortir une petite tablette de son costume.
« Je pense que nous pouvons vous trouver une petite table, ce soir n'est pas un soir de forte influence et... Il y en a une juste là, suivaient moi je vous prit. »

Et hop ! Le tour était jouait ! Lucrezia avait beau avoir tout d'une sinistre pute dépravée, elle n'en restait pas moins une femme intelligente qui, rappelons le, avait suivie un cursus en médecine avant de sombrer dans la folie, elle savait donc, avec un peu d'effort, parler un brin plus intelligemment que la normale... Quand elle le voulait.
C'est donc sous les regards de certains clients, que notre couple suivit Mr Pinguoins. Il faut dire que lulu était sacrément bien gaulée et cela ne manqua pas d'attirer les yeux de plusieurs hommes dans l'assemblée, faisant froncer les sourcils à bien des dames qui d'un petit coup de pied sous la table firent redescendre l'ardeur de leur mari.

Une fois prêt de ladite table, le serveur s'empressa de reculer la chaise de Lucrezia très respectueusement avant de faire de même pour Vaas, les invitant tout deux à s'asseoir.

« Désirez un apéritif ? hm ? Nous avons d'excellent vin français, ainsi que du champagne tout aussi délectable.»
« Oh oui... Volontié. »
« Un préférence en matière de boissons peut être ? »

Arf... Le genre de question qu'il fallait pas poser à Lulu qui, avec un aimable sourire aussi faux que charmeur retorqua.

« Du Don Pérignon... Ce soir est un soir très particulier pour mon compagnon et moi. »
« Hmmm... je vois, je vais vous apporter cela, ainsi que la carte. »

Une fois l'homme partit, Lucrezia farfouilla dans son sac, sortant une jolie liasse de billets.

« Eyh, Vaas... Ta combiens toi ? Genre... Financièrement... On ce permet la total ? Hm ? »

En disant cela, Lucrezia avait presque une lueur enfantine dans les yeux et... En réalité, ce soir, c'était la première fois qu'elle venait dans un vrai restaurant alors... C'était compréhensible.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le dimanche 14 mai 2017, 23:03:21
C’était un couple détonant. Lui, avec sa barbe de plusieurs jours sur le visage, sa crête en iroquois, jurant avec le smoking très élégant qu’ils portaient. Et elle, surtout, avec cette robe rouge brillante qui fit se tourner tous les regards. Un parfait subterfuge pour dissimuler sa barbe, ou cette odeur de sueur qui l’accompagnait, et qui allait sûrement imprégner le smoking. Ce qui serait plutôt dommage, car la tenue lui allait plutôt bien. Peut-être bien la conserverait-il après ? Vaas n’avait jamais été très fan des vêtements comme ça, qui étouffaient et qui emprisonnaient, mais, quand on sortait dans la haute société, il était important de bien se vêtir. Le duo s’aventurait donc dans un élégant restaurant gastronomique.=, très riche, très lumineux.

« Ils ont un putain d’aquarium… Et une salle d’orchestre ! »

L’aquarium flottait au fond de la pièce, montrant de multiples poissons, ainsi que quelques homards qui avançaient misérablement, devant de jeunes enfants béats d’admiration. Au centre du restaurant, il y avait une estrade, et des instruments étaient là, en attente des musiciens. Vaas hocha lentement la tête. Lui qui était habitué aux fast food ou aux bols de rāmen à la sauvette sur un coin de comptoir dans une rue, était assez surpris par cet étalage de luxure et de dorures. Finalement, le serveur les amena à une table à deux, dans un angle, et Vaas, toujours aussi galant, s’apprêta à tirer la chaise de Lucrezia, mais le serveur le devança, ne notant probablement pas le regard courroucé de Vaas… Qui s’imagina sortir son couteau, et l’égorger sur place.

*C’est moi l’homme galant, muchacho, pas toi !*

Fort heureusement, il n’en fit rien, conscient que cette soirée était importante pour Lucrezia.

La belle femme posa ses fesses sur le fauteuil, faisant délicieusement crisser sa combinaison. Pour autant, Vaas avait pu noter, lors de sa progression, que ce restaurant, aussi luxueux soit-il, était fidèle à la norme de Seikusu. Il y avait d’autres filles dans des tenues très moulantes, avec des décolletés très ouverts, portant des robes en cuir, des gants noirs, et qui semblaient clairement être là pour jouer les dames de compagnie d’hommes ou de femmes riches et âgés. Vaas avait même cru reconnaître un ou plusieurs conseillers municipaux. Il était convaincu que cet endroit devait regorger de la crème de Seikusu : avocats, hommes d’affaires, propriétaires terrains, juges… Tout le gratin de la ville, en somme.

Vaas avait même pu voir, dans des coins, des femmes disparaître sous les tables, probablement pour satisfaire leurs clients. Ici régnait l’hypocrisie habituelle des puissants. S’il n’était pas en si galante compagnie, Vaas aurait probablement dégoupillé une grenade, ou fait quelque chose. Allez savoir pourquoi, mais tous ces gus lui tapaient sur le système.

Collant au possible, le serveur leur demanda s’ils souhaitaient des apéritifs, ce à quoi Vaas répondit rapidement :

« Une Heineken. »

Le serveur le regarda pendant quelques secondes, s’attendant plutôt à du champagne, mais acquiesça malgré tout, et les laissa enfin. Vaas put soupirer, et se calma en observant quelque chose de plus motivant que tous les hurluberlus qui l’accompagnaient : le décolleté plongeant de Lucrezia. Il mata donc sa belle paire de seins, puis la regarda encore. Les yeux de la jeune femme brillaient d’une étrange lueur, une profonde admiration pour ce qu’elle vivait, comme une petite princesse vivant un conte de fées.

Lucrezia l’arracha à ses pensées en lui demandant combien il avait sur lui. La réponse fusa rapidement, accompagnée d’un haussement d’épaules :

« Que dalle. Je compte pas payer. »

S’ils venaient l’emmerder ensuite, ils les buteraient, et règleraient très facilement le problème. En fait, il espérait presque que, au moment de partir, l’un des serveurs vienne lui demander de payer. Ça serait le prétexte parfait pour en égorger un. Néanmoins, il n’oubliait pas qu’il était surtout en rendez-vous galant, et ne voulait pas que sa petite tulipe rouge ne se mette à paniquer. Sa main se saisit donc de la sienne, et il fit quelques précisions :

« Ne t’en fais pas pour ça, ma chérie, profite de ta soirée, c’est moi qui régale. »

La preuve : sur les cartes données, Lucrezia avait une carte n’affichant pas les prix, contrairement à Vaas.

« Je m’occupe de tous les détails, l’assura-t-il. Toi, contente-toi de profiter et de crisser du cul, ça m’aide à profiter. »

Jusqu’au bout, Vaas resterait un grand poète…
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 10 septembre 2017, 13:08:09
« Je m’occupe de tous les détails, l’assura-t-il. Toi, contente-toi de profiter et de crisser du cul, ça m’aide à profiter. »

Sur ces charmantes parole, Lulu vint alors à se dandiner sur place, faisant ainsi crisser le latex de sa robe et ce, tout en regardant la carte des menu. Certes, la femme n'avait pas connaissance des prix, cependant, tout ce qui était affiché était clairement des produits de luxes... Il y avait même des plat français dans le lots, comme des escargots par exemple. Lucrezia n'avait que l’embarra du choix et, si il n'y avait pas de sandwich poulet/curry, la demoiselle de pus résister à son second pécher culinaire : les fruits de mer. Alors certes, les fruits de mer, en générale ça n'est pas vraiment quelque chose de très difficile à trouver, mais Lucrezia est prudente et la raison pour laquelle elle n'en mange jamais, c'est tout bonnement parce que ça ne se mange pas n'importe comment et n'importe où se genre de chose, ayant fait un curcusse de médecine, Lucrezia était bien placée pour savoir à quoi s'en tenir vis à vis des produits marins.

La demoiselle se racla alors la gorge puis, en regardant Vaas, elle vint à dire avec un petit sourire.

« Je vais prendre un homard bleu avec mayonaise maison, accompagné par sa fricassée de saint-jacque sur son lit de beurre blanc et... hmmm... Du vin blanc aussi et puis... euh... » Dit elle dans un premier temps avant de tourner la page plastifiée. «  je pense que déjà avec ça ça sera pas mal... à le rigueur, en dessert, je dit pas non à... hmmm... »

La femme regardât alors Vaas en se mordant les lèvres d'un air taquins, puis, discrètement, elle hota l'un de ses talons pour venir frotter son pied contre l'entre-jambe du mercenaire. 

« Une bonne grosse bite... Avec tout plein de chantilly. »

En disant cela, Lucrezia haussa les sourcils d'un air joueur, avant de poser la carte.

"Et toi, hors mis mon gros cul, tu désire prendre quoi, hm ?"
Enchaînât t'elle en continuant de presser son pied contre l'entre-jambe de son amant et ce tout en le regardant dans les yeux, la tête supportée par ses deux bras, accoudés sur la table, un position qui, bien évidement, mettait bien en évidence les deux obus de la femme.
Titre: Re : Psychosocial [Vaashounet :3]
Posté par: Vaas Montenegro le dimanche 10 septembre 2017, 21:12:56
Une scène surréaliste, tout simplement. Vaas et Lucrezia, deux tueurs impitoyables, en train de prendre un dîner dans un restaurant gastronomique. Elle, dans une robe rouge en latex tellement éblouissante que la moitié du restaurant était occupé à la reluquer. Lui, dans un costume qui le serrait comme pas permis. Le costume, pourtant, lui allait plutôt bien, mais le contrebandier n’y était vraiment pas habitué, ayant davantage pour habitude de porter des débardeurs, des vêtements souples et amples pour crapahuter dans la jungle. Mais bon, pour sa dulcinée, il fallait bien se sacrifier, n’est-ce pas ? C’était ce que le pirate faisait, et sourit quand elle commanda un homard... En proposant pour le dessert une « gonne grosse bite avec tout plein de chantilly ». Vaas sourit légèrement.

« Sympathique... »

Il réussit à murmurer cela, déjà subjugué par la vue des magnifiques seins de la femme, qui les exhibait bien, et en profitait pour le masturber avec son pied. Vaas écarta instinctivement les jambes. Il avait perdu le compte du nombre de fois qu’il avait joui de la journée avec elle. La Duchesse était une femme sacrément exceptionnelle, et elle put constater que sa trique était revenue, formant une solide bosse dans son pantalon.

Elle lui demanda ce qu’il voulait prendre, et une lueur malicieuse brilla dans les yeux de Vaas, qui ne se gênait pas pour lorgner sur les seins de la femme.

« Prendre quoi ? Hmmm... Tout. »

Vaas se releva alors brusquement, manquant renverser sa table. Le serveur le regarda, surpris, et il se rapprocha de Lucrezia, posant sa main sur son épaule, puis se pencha vers elle, et murmura quelques mots dans le creux de son oreille :

« Les toilettes. Rejoins-moi. »

Il se dirigea ensuite vers les toilettes. À restaurant de luxe, chiottes de luxe. Il s’agissait d’une belle cabine privative avec un lavabo, et une deuxième porte menant droit au trône. Vaas entra à l’intérieur de la cabine, et s’observa devant le miroir. Les toilettes se trouvaient le long d’un couloir reculé, et il constata rapidement que sa trique ne débandait pas. En même temps, son amante avait tout fait pour, que ce soit en portant cette tenue, ou en le titillant. Autant dire que le couple allait fréquemment utiliser les toilettes de ce restaurant !

Vaas n’eut fort heureusement pas trop à attendre avant que la porte ne s’ouvre. Lucrezia entra alors, et, dès qu’elle referma la porte, Vaas se rua sur elle, la plaquant contre la porte, et l’embrassa goulûment, remontant sa main sous sa robe, et enfonça rapidement sa queue en elle, grognant de plaisir.

« Chica, chica... Tu me rends... Tu me rends dingue, bordel! Mi princeza, j’ai jamais vu une fille aussi bonne que toi, bordel... ! »

Le contrebandier grogna, faisant crisser la robe de la femme dans tous les sens, et retourna l’embrasser, sa grosse queue labourant avec envie sa chatte, le cul de Lucrezia rebondissant contre la porte. Il n’y avait plus qu’à espérer que les murs du restaurant soient insonorisés...