Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Psychosocial [Vaashounet :3]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 45 jeudi 07 janvier 2016, 10:37:15

Les deux amants étaient empêtrés dans une danse folle et jouissive, une danse du cul comme on en rêverait pas d’ici des éons. On conterait cette danse, on en ferait des merveilles pour les yeux émerveillés des petits enfants avide de sensations fortes et de chair fraîche. Contre le corps musclé et appétissant de cette femme, Vaas disparaissait, se laissant aller contre les replis tendres et moelleux de sa chair, éclatant son corps contre la paroi vitrée, avant de la sentir également lui répondre, en utilisant pour cela son bassin et ses jambes coincées autour de sa taille. Leur exercice était très physique, usant sur les muscles du brave Vaas, et on ne pouvait que se féliciter que ce dernier soit un guerrier. La chatte de la Duchesse, c’était une autre bataille, où Vaas avait déployé son artillerie, mais aussi des renforts d’infanterie et des régiments de cavalerie pour prendre au mieux la petite et merveilleuse traînée qui se dandinait devant lui comme le premier prix d’une loterie géante. Une fille qui aimait les bad boys, ce qui était parfait, car lui-même aimait les sex girls comme cette petite fleur.

Elle gémissait, elle soupirait, mais lui, tout ce qu’il entendait, c’était : « Baise-mwa, baise-mwa ENCORE ! ». La drogue avait  des effets exceptionnels chez Vaas Montenegro, le faisant planer, et son corps remuait contre celui de Lucrezia, poursuivant leur délicieuse fusion. Il aimait ça, Dieu, que c’était bon ! Putain, ah, ouais, la magnifique sensation de remplir la grotte de cette femme ! La Duchesse se cambrait contre lui, l’eau chaude créait une vapeur qui les entourait, la chaleur locale ne pouvant qu’être renforcée par leurs ébats. Une main sur sa nuque, Vaas se laissait aller, continuant à bourrer la femme, comme s’il s’était transformé en un putain de Panzer à l’assaut de la Place Rouge ! L’homme donnait, donnait... Ou peut-être qu’il se contentait juste de remuer sur place ? Quis ait ? Avec la drogue, Vaas rentrait dans ce qu’il savait faire de mieux : confondre le réel et le rêve, vivre dans une situation onirique qui le faisait plonger à fond dans le domaine de l’hubris. Il était comme ce scientifique dans [James Bond, celui qui gueulait tout le temps qu’il était invincible.

« Haaaa... »

Sa respiration se faisait plus lourde, plus haletante, et notre homme alla enfin se lâcher ! Il jouit avec elle, ou peu de temps après elle, mais il se vida merveilleusement les couilles, son serpent crachant tout son venin, le crachant tellement qu’il dégonfla ensuite comme un ballon de baudruche...

...Et, quand Vaas émergea vraiment, il était couché sur le lit de Lucrezia, à poil, observant le plafond, tandis que la femme était couchée tout contre lui, une main caressant son torse, lui-même caressant, d’une main, son dos, l’autre occupée à tirer sur un joint.

« Merde... Ton lit est agréable ! »

Il lui tendit le joint pour qu’elle fume, puis reprit alors, en se rappelant d’un truc :

« Attends... J’aime bien te baiser, mais... »

Vaas ne se souvenait plus s’il l’avait prise sur le lit. Peut-être ? Il avait de vagues souvenirs, mais, après tout, il se souvenait aussi une fois avoir été sur la Lune en grimpant sur un éléphant rose avec des plumes dans le cul... Ou même avoir enculé une poule, qui frétillait dans tous les sens en faisant virevolter toutes ses plumes, alors... Difficile de dire si c’était vrai ou pas...

« T’avais pas... Euh... Quand je m’suis pointé ici, avec José et Tarkeish... Une sorte de... De... De nana, voilà ! J’ai peur qu’elle s’ennuie si on ne va pas s’occuper d’elle... »

C’était bien Vaas, ça... Toujours aussi désespérant(/i] de galanterie.

Un jour, ça le perdrait !

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 46 vendredi 08 janvier 2016, 15:34:58

Lulu ne ce souvenait pas trop de ce qui c'était passé après son orgasme et, alors qu'elle était lentement entrain d’émerger, elle vit son amant, là, juste à coté d'elle, sur son lit et entrain de fumer un joins, joins que l'homme vint à lui tendre. Mais à peine notre Duchesse avait elle commencée à tirer sur le bedo que, son amant, d'un air songeur ce remit à penser à un truc.

« T’avais pas... Euh... Quand je m’suis pointé ici, avec José et Tarkeish... Une sorte de... De... De nana, voilà ! J’ai peur qu’elle s’ennuie si on ne va pas s’occuper d’elle... »

Là, lulu bugua quelque secondes avec au bout des lèvres le joint de Vaas, avant de cligner des yeux en le regardant… Puis, comme si l'homme venait de faire une révélation à la nostradamus, lulu ce mit a ouvrir les yeux en grand en comprenant que, oui effectivement, à la base départ,elle avait capturée une femme.

« Aaaaaah mais… mais-mais oui ! Le pot de peinture ! »

Et hop, ni une ni deux, Lucrezia sauta du lit avant d'aller chercher dans son bac à linge un tenue car, pour l'heure, la jeune femme était encore à poil et, même si le fait de découper une nana en morceaux nue ne la dérangeait pas, elle préfère quand même le faire avec un minimum de vêtement.
Pour sur que ce type était vraiment extra car, pour faire oublier une telle chose à lulu, faut y aller fort ! Cet alors que là, cul tendus vers les yeux de son amant, lulu fini par enfin dégoter au fond de sa malle, un vieille uniforme d'infirmière qu'elle avait lavé et désinfecté sans pour autant l'avoir mis depuis. La jeune femme le sentit ensuite brièvement avant de le mettre directement sans même prendre la peine d'enfiler des sous-vêtement par dessous.
« Merde… Avec tout tes rodéo là… J'avais complètement zappée cette sale pute ! Ahah ! » Lui répondit alors notre jolie Duchesse en reboutonnant sa veste avant de ce recoiffer brièvement et tout ça, en gardant le joins au bout de ses belles lèvres pulpeuses, joint sur lequel la femme tira plusieurs lattes avant de le passer à son amant. Comme ça, à première vus, Lulu semblait heureuse mais, au fond… « Le faire » avec un homme, est ce que ça ne risquerais pas de « lui » déplaire ?  l'espace d'un  instant, Lucrezia eu un moment d'hésitation avant de lentement lever ses yeux vers son amant… Puis, doucement, alors qu'elle était entrain de ce mordiller la lèvres, lulu vint à esquisser un petit sourire en coin.

« Aller chou… Viens avec moi, je vais te montrer comment ont vide une truie <3 »

Notre charmante infirmière libérale attendit alors que son amant des îles n’enfile lui aussi sa tenue, avant de venir l'embrasser à pleine bouche en ce collant tout contre lui. Puis, lentement, elle l'attrapa par la mains à la manière d'une gamine toute pressée de jouer au docteur avec son meilleur copains ! Et, au fond, n'était-ce pas là ce que notre charmant couple allait faire ? Jouer au docteur ?


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 47 mercredi 13 janvier 2016, 01:02:35

En se redressant légèrement, le corps emmitouflé dans la couverture, il vit la femme se pencher, lui montrant son magnifique cul, en lui donnant une furieuse envie de la prendre, là, encore. Ils avaient tous les deux longuement baisé aujourd’hui, comme une sorte de magnifique coup de foudre entre amants en manque de cul… Puis, maintenant, ils allaient faire une activité commune. Trucider une petite pute. Vaas ne savait même plus trop à quoi cette dernière ressemblait, et ce dans la mesure où ils avaient tellement baisé, tous les deux, qu’il en avait oublié tout le reste. Mais, maintenant, le souvenir lui revenait. La femme enfila donc une robe d’infirmière, blanche, moulante, qui arrivait à hauteur de ses fesses. Vaas sourit, puis s’extirpa du lit, et, à son tour, s’habilla, en enfilant son caleçon, puis ses chaussures.

« Allez, mon bébé, allons-y… »

Ainsi vêtu, l’homme s’empressa de la suivre, et ils traversèrent à nouveau leur étrange château, grimpant des marches, jusqu’à se rapprocher de la chambre de leur invitée… Mais, peu avant de la rejoindre, Vaas saisit plus fermement le poignet de Lucrezia, et, quand cette dernière se retourna, il alla la plaquer contre le mur, venant lui voler un passionnant baiser, plaquant sa bouche contre la sienne. Elle se retrouva contre le mur, et les deux amants partagèrent un torride baiser, la queue en érection de Vaas venant déformer son boxer pour taper contre les cuisses de la femme.

« ’Tain, je… Merde, ma bite est encore toute dure à cause de toi, mi amor »

Sa robe lui allait super bien, il était victime, tout simplement ! Victime de la beauté terrifiante de cette femme ! Il rompit son baiser après quelques secondes, soupirant contre elle, les yeux fous, écarquillés par l’envie de la baiser, encore et encore. Il avait encore envie d’elle… Insatiable ! Son sexe débordait de son caleçon, et il alla la pénétrer, enfonçant sa queue en elle, et, pendant quelques minutes, on n’entendit rien de plus que leurs soupirs rauques, Vaas allant l’embrasser, sentant, contre son torse, les seins de la Duchesse, qui pointaient le long de sa robe, l’absence de sous-vêtements faisant qu’il sentait clairement la présence des tétons. Une présence agréable, très agréable… Tandis qu’il allait à nouveau l’embrasser.

« Hmmm… Haaaa… »

Le brave Vaas soupirait contre elle, avant de finir par s’abandonner, au bout de plusieurs minutes. Il jouit en elle, en la plaquant contre le mur, et soupira.

« Désolé… J’ai pu résister. La manière dont tu dandines ton cul, là… Merde, on dirait que t’es née pour être mon sac à foutre personnel ! »

Il balança avec un sourire cette assertion, qui, bien évidemment, n’était rien de plus qu’un compliment, puis pensa à ranger sa queue dans son caleçon, avant de s’approcher la porte.

« Allez… Allons voir notre chérie… »

Vaas entra le premier, et poussa un petit cri de surprise.

« Woow ! La vache ! Tu nous as ramenés une ganguro, chérie ! Haaa… J’adore ces petites putes bronzées ! »

La lumière s’alluma, et la jeune femme se mit à gémir, en tirant à nouveau sur ses sangles. Elle avait essayé de les arracher, en vain, et les mains de Vaas caressèrent ses jambes, glissant sur sa peau douce et tendre. Il s’en mordilla les lèvres, tout excité.

« Ouais… Elle est bonne, cette pute… »

Très bonne, même !

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 48 mardi 19 janvier 2016, 19:13:05

« Hein que… Whooouaaa Va-Vaas ! Hmmpff ! »

Et hop ! Sans plus de détails, l'homme revint une énième fois besogner notre tueuse, une tueuse qui, bien évidement, ne put rien faire d'autre que d'apprécier cette petite baise contre un mur. Cet ainsi que, durant plusieurs longues minutes, le couple fort atypique que formait Lucrezia et Vaas, ce fit l'amour sauvagement. Cependant, à cause de la drogue, Lulu était encore un peu à l'ouest et… Malheureusement pour elle, elle ne put profiter pleinement de cet instant et puis… Elle avait un peu d'autres envies maintenant.
« Désolé… J’ai  pas pu résister. La manière dont tu dandines ton cul, là… Merde, on dirait que t’es née pour être mon sac à foutre personnel ! »

Sur ce, Lucrezia ce contenta simplement de remettre sa robe en place en ce recoiffant, visualisant ensuite son amant rentrer dans la pièce où la pute était entreposée et… Seigneur ! Quel enthousiasme ! En entendant Vaas, Lucrezia aurait put le croire revenu en enfance, comme un gamin face à un joli sapin de noël tout de maquillage vêtue. Cette réactons fit d'ailleurs sourire notre Duchesse qui, silencieusement, vint à ce glisser dans le dos de son homme avant de ce mettre à lui caresser les abdos en l'embrassant dans le cou et ce, tout en lui murmurant quelque mots.
« Hmmm… Tu verras mon chou… Après, quand on aura tout fini de la zigouiller… Je te montrerais à quel points moi aussi je peut être une pute d’exceptions… hmuhuhu~ <3 »
Le jeune femme vint alors à mordiller le lobe d'oreille de son amant en ce dandinant joyeusement contre lui, toute contente de pouvoir partager un tel « trésor » avec un homme. Et… Pour ce qui est du fait qu'elle soit une « pute d'exceptions »… Oui, Lulu, si elle venait à sortir dehors avec Vaas, enfilerait son costume de prostiputepérépapétislut afin de… Bas de passer incognito au yeux de tous ! Imaginait la couverture, une pute, il y a déjà peu de chance que ce soit la Duchesse mais… Une pute accompagnée d'un bonhomme, ahah ! Là, aucun risque d'être soupçonnée, à elle la liberté ! Et puis… quand Vaas la verra… Pour sur qu'il tombera sous son charme vulgaire et provocateur.

« Allez mon Doc.iroquois ! En piste ! » Lâcha t-elle alors en s'empressant de faire le tour du lit avant de prendre dans l'une de ses mains un scalpel et, dans l'autre, un large couteau de boucher
Alors, tu veux prendre quoi mon coeur ? Hm ? J'ai plein de truc rigolo ! Spéculum vaginal, anal,  j'ai aussi un forcep,  des bistouris, des couteaux de toutes tailles et de toutes formes, j'ai même euh... » La femme ce tourna alors vers sa batterie électrique. « How… ça tu sais déjà que je l'ais, fuhuhu <3 »

Et hop ! Sur ce petit rire enjoué, la tueuse vint à ce pencher légèrement, avant de déposer sur les lèvres de son amant un délicat baiser.
« Je te trouve trop marrant… Ton regard, ton accent… Tes un super mec toi ! »
Et… C'est sur ses belles paroles que notre tueuse vint à ce mettre au dessus de la ganguro, à genoux,  avec les jambes écartée juste au dessus du torse de la pute.
« Alors… voyons voyons… Comment allons nous nous y prendre… Hm ? » Souffla alors la femme en faisant lentement glisser le bout de son scalpel sur le corps de la ganguro, partant de sa joue jusqu'à son nombril en passant par son cou, faisant alors gémir la pauvre pute au regard apeuré.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 49 vendredi 22 janvier 2016, 00:50:11

Le fait que Lucrezia n’ait pas eu envie de sexe n’avait eu aucune incidence aux yeux de Vaas. Il l’avait baisé parce qu’il avait eu envie de le faire, tout comme il avait envie de se faire cette ganguro. La jeune femme saignait de l’un de ses seins, et son mascara avait coulé le long de son visage de pute, en suivant le ruissellement de ses larmes. Elle avait essayé de se libérer en tirant sur ses sangles, ce qui avait aussi légèrement marqué sa peau. Et voir la scène qui se préparait sembla exciter Lucrezia, qui se frotta contre Vaas, renforçant l’érection de ce dernier. « Doc Iroquois » lui sourit, avant de contempler, sur une table, ses instruments, et se plia rapidement à ce jeu de rôle.

« Très bien... Je dirais que... Nous allons pouvoir commencer l’opération... La patiente a l’air en bonne santé, et est, surtout, parfaitement éveillée, ce qui est mieux pour la suite de l’opération.[/color] »

Vaas observa les différents instruments, tandis que la femme se mit à gémir et à grogner, en tirant à nouveau sur les sangles. Elle était nue, magnifique, avec une peau douce et chaude, ce qui ne faisait rien pour arranger l’érection de Vaas. Le tueur finit par attraper un fin scalpel, puis alla se glisser derrière la femme, tout en donnant quelques instructions à son infirmière.

« Prenez l’un de vos godes, et violez cette pute... Il ne sera pas dit que nous sommes des monstres... Pas vrai, chia ? »

Il se pencha vers elle, et lécha sa joue, amenant la femme à gémir. Elle était prisonnière, et sentait que, cette fois, ça allait être  terminé. Tout ce qu’elle pouvait maintenant espérer, c’était éventuellement en finir vite, mais ce n’était pas dans les intentions de Vaas. Et, alors que la Duchesse se mettait un gode, et se préparait à l’enfoncer dans le vagin de la femme, Vaas lui retira son bâillon, et on put l’entendre hurler quand le gode rose s’enfonça d’un coup en elle.

« Hurle, ma beauté... Fais-nous entendre ta symphonie ! »

Le scalpel vint faire une incision à hauteur de l’épaule, et le sang se mit à couler, et la femme hurla encore... Puis Vaas attrapa des écarteurs, et les glissa dans la bouche de la femme, l’empêchant ainsi de refermer cette dernière. Vaas y allait à l’inspiration, en réalité peu habitué à ce genre de plats tout cuits. Généralement, il aimait jouer avec ses proies, les poursuivre, les traquer, et les torturer à petit feu... Mais là, et bien... Et bien, il fallait faire plaisir à la dame, se montrer chevaleresque et cordial.

« Ma chère infirmière... Utilisez donc l’une de vos pinces pour lui arracher l’une de ses belles dents. Je suis sûr que votre doigté si délicat serait infiniment mieux que le mien en la matière ! »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 50 samedi 23 janvier 2016, 18:21:27

Pour le coup, tuer une femme avec Vaas était nouveau pour Lucrezia, c'était assez étrange et grisant à la fois ? D'autant plus que l'homme vint à prendre la place du chef, dictant ses instructions à notre Duchesse. Mais… Vaas avait tout interret à ce méfier et à prendre Lucrezia avec des pincette, pour l'heure, c'était un échauffement, de la gentille torture un brin enfantine mais quand Lulu entrera dans sa phase de « totem » là… Et bien l'intrépide Mr. Montenegro aurait tout interret à ne pas la brusquer, ni la titiller de trop prêt. Lucrezia était peut être une chouette copine de jeu pour un homme comme Vaas (et l'inverse était pareil, Vaas était super cool pour lulu) mais la femme n'en restait pas moins une psychopathe, une tueuse en série qui, comme la plupart de ces confrères, avait un schéma de meurtre en tête, meurtre qui, pour notre belle Duchesse était hautement symbolique et sacré. Et donc... à l'instant même où elle commencerait à avoir un regard vide et que l’émotion viendrait à fuit définitivement son corps et son visage… Vaas devra ce faire prudent, sous peine de violemment ce faire remettre à sa place… Voir pire.
D'un autre coté, l'homme aller avoir un privilège exceptionnel : celui de voir en actions la Duchesse et ce, de A à Z, c'était un cadeau bien rare qu'elle lui offrait là, celui de partageait avec lui un moment qui ne lui appartient qu'à elle et à elle seule. Toutefois, en était il conscient et surtout, aura t-il assez de jugeote pour la laisser tranquille un petit moment après qu'elle ais mis à mort cette pauvre ganguro ? Nous verrons cela.
Pour l'heure, Vaas était donc le Doc et visiblement ce rôle lui plaisait bien. Gaiement, l'homme ce mit à donner des ordres à son infirmière en parlant même un chouilla plus sérieusement que d'habitude et, bien sur, ladite infirmière exécuta assidûment ses ordres comme, par exemple, celui q consistant à prendre un gode rose fushia de bonne taille, de ce le mettre dans la chatte avant de pénétrer la ganguro avec l'autre coté. Un acte délicieux que notre Duchesse avait l'habitude de faire lorsqu'elle était toute seule… Avec ses victimes.

« Hmmmpfff… Haaa ! »

La jeune femme fit alors coulisser le bout de plastique dans l'intimité de la pauvre ganguro en poussant de grand soupir de satisfaction, c'était… C'était vraiment quelque chose que lulu aimait ça… Tirer du plaisir en voyant les autres (et surtout les femmes et les gamines) souffrirent et, au délà du simple fait de torturer et de faire saigner, c'était le concept même de détresse qui la faisait saliver, ce sentir toute puissante face à ses putes… Haaan ! Ça la rendait toute chose notre lulu.
Cet ainsi que, durant plusieurs seconde, la Duchesse ce masturba en baisant de concert la prostituée qui Vaas s'amusait à torturer d'une autre manière, mettant alors dans la bouche de la nippone un écarteur, avant de faire une nouvelle proposition à son amante au cheveux bleus.

« Ma chère infirmière... Utilisez donc l’une de vos pinces pour lui arracher l’une de ses belles dents. Je suis sûr que votre doigté si délicat serait infiniment mieux que le mien en la matière ! »
Lucrezia papillonna légèrement des yeux en soufflant sous l'effet du plaisir, avant de regarder la ganguro qui, de ses yeux exorbité essaya (en vint) de convaincre Lucrezia de ne pas le faire en secouant la tête.
« Hmmm… Je suis plus gynécologue que dentiste chou… Mais je veux bien essayer <3 »

Et hop ! Sur ces belles paroles, notre tueuse vint à prendre en main une solide pince avant de s'avancer à quatre patte vers le visage de la ganguro, caressant d'abord brièvement la joue de cette dernière avec le dos de sa mains en affichant une mine faussement délicate et appétissante.
« Raaan… Je les connais moi les gamine comme toi… ça suce… ça suce tout et n'importe quoi et pour quoi au final ? De vilaine caries et une haleine mélangeant sperme et chupa-chups à la fraise ! Ahahaha ! Fait donc comme moi les soir de tapins, mâche des chewing-gums »
Lucrezia tapota brièvement la joue humide de la jeune femme qui, une ultime fois ce mit à hurler, comme ci quelqu'un aller l'entendre ici, Ah ! La blague ! Elle hurlât d'ailleurs si fort qu'elle avala un glaviot avant de tousser en pleurant à chaude larmes.

« ooooh… la belle voie ! » Lachat elle alors en regardant Vaas avec un sourire amusé « Tu voie, ça, c'est le sirop de corps d'homme, c'est excellent pour les vocalise mon chou, c'est pour ça que j'adore sucer et avaler, ahaha ! » Clotura t-elle ensuite en embrassant son amant sur la bouche, avant d'enfin enfuir la pince dans la bouche de la pauvre ganguro, attrapant fermement l'un de ses molaire (pas les moins douloureuses) et de ce mettre à tirer dessus en activant un mouvement de vas et viens qui fit hurler et couiner la pauvre pute.

« Hmmm… je sent que ça viens… Aller… Aller… HMMMMrrrrmmrmrrrAAAAh ! Enfin ! »

Là, pince ruisselante de sang bien en mains, lulu tenait fermement la molaire de la pauvre bougresse complètement en sanglot, hurlant à pleins poumons dans tout le sanatorium sa peine… Bien en vint malheureusement. La Duchesse lachat ensuite molement la dents de la ganguro dans un recipient en aluminium en forme de rein ('fin, tu vois), avant de dire sur un ton un joueur.

« Fuhuhu… C'est marrant de jouer a docteur maboule <3 »

Aaaah… Lulu.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 51 samedi 23 janvier 2016, 22:21:16

« Gynécologue, dentiste, chirurgien… Qu’est-ce qu’on s’en fout, après tout ? C’est fou, n’est-ce pas, cette manie de vouloir cataloguer et catégoriser les individus, hm ? »

Il s’était adressé à la ganguro, mais cette dernière n’était guère en état de répondre, pleurant et gémissant. Vaas s’amusait, nullement impressionné. Si jamais Lucrezia entrait en transe et s’en prenait à lui, il n’en serait que plus ravi, et lui collerait juste une bonne tarte pour l’aider à aller mieux. Ça faisait circuler le sang, et on voyait les choses plus sereinement ensuite. Il vit donc Lucrezia s’avancer à quatre pattes, de manière très sensuelle, et sourit. Le regard de la ganguro s’écarta du visage de Vaas pour se poser vers celui de l’infirmière, et Vaas se déplaça un peu, se mettant sur le côté. Il répondit au baiser de la Duchesse, et, quand cette dernière enfouit la pince dans la bouche de la femme, et tira sur sa dent, Vaas sentit son érection croître. Elle dut s’y prendre à plusieurs reprises, faisant hurler et gesticuler la ganguro, qui pleurait et hurlait, ses cris étouffés par l’écarteur… Mais la dent finit par jaillir, dans une mare de sang. Le sang jaillissait de la bouche de la femme, et Lucrezia exhibait fièrement la molaire, avant de la déposer à côté, et de regarder Vaas, toute contente.

Ce dernier sourit à son tour.

« Ouais… Le fun, y a que ça qui compte, ma beauté ! »

C’était visiblement à lui de jouer, maintenant… Vaas délaissa son scalpel pour sortir son couteau, avec une idée derrière la tête. Il caressa ensuite avec sa main le visage de la femme, qui continuait à pleurer et à gémir, en souriant malicieusement. Sa queue tendue caressait les cheveux de la femme, et il alla détacher l’une de ses mains, en ôtant la sangle… Mais maintint sa main, et l’attacha sur l’accoudoir du fauteuil, puis approcha son couteau.

« Un petit tour que j’adore faire… Si j’étais toi, ma beauté, je ne bougerais pas trop les doigts… »

Se faire arracher une dent, c’était atroce comme souffrance, et il n’était pas sûr que la femme l’entende. Elle avait remué la main, et la remuait encore, mais en vain. La sangle la retenait bien, et Vaas grogna, agacé. Pourquoi est-ce qu’ils refusaient de jouer ? Dieu, que c’était pénible !

« PUTAIN, mais arrête de bouger, SALOPE ! »

Il se redressa, et la gifla violemment, une bonne tarte sur sa joue, qui résonna dans toute la pièce. L’écarteur sauta sur le sol, et la femme se mit à pleurer, avant de les regarder, essayant vainement de parler. Avec sa dent arrachée, et ses lèvres remplies de sang, elle alla surtout cracher du sang sur la blouse de la Duchesse. Vaas, de son côté, posa sa main sur celle de la femme, et planta son couteau entre ses doigts, l’amenant à écarquiller les yeux.

« Allez… Jouons ! »

Le mercenaire se mit alors à relever son couteau, et le planta à côté, jouant à un jeu très prisé chez les mercenaires : la roulette russe avec un couteau ! Son arme filait entre ses doigts, de plus en plus vite.

« Regarde, ma chérie, hey ! J’adore ça ! »

TCHAC-TCHAC-TCHAC !!

Le couteau filait dans tous les sens…

Puis ce fut le drame.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !!
 -  Désolé… La vue de ma chérie me déconcentre… C’est l’amour… »

Il sourit lentement, tandis que la femme avait perdu la moitié de son index.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 52 dimanche 24 janvier 2016, 23:07:47

Suite à l'arrachage de dent, Lucrezia vint à calmement poser sa pince sur le chariot en acier ce trouvant à coté du lit puis, toujours souriante, la femme observa les gestes de son amant. Ce dernier vint alors à attraper la main de la ganguro, fixant par la suite ladite main bien à plat sur l'accoudoir du siège avant de finalement sortir son grand couteau de combat. Silencieusement, toujours à genoux sur le corps de la femme, Lucrezia regardât la scène avec grand intérêts et, pour le coup, notre Duchesse ne fut pas déçus ! Seigneur, qu'il était doué cet homme ! L'espace d'un instant, notre jolie tueuse fut obnubilée par les mouvement vifs et précis de son amant avant qu'il… Ce loupe, tranchant ainsi l'index de la jeune femme. Sur le coup, lulu lâchât un petit gloussement, visiblement très amusée par cette situation fort macabre.

« Attend… Je vais essayer chou... »

Toujours avec un air enjoué au fond des yeux, Lucrezia vint à ce saisir de son grand couteaux de boucher, approchant par la suite la lame de ce dernier de la main de cette pauvre femme en pleure.
Cependant, Lucrezia était loin d'être aussi habile que son chérie, ooooh que non ! Alors, certes, la jeune femme était une excellente chirurgienne qui avait de solide connaissance en anatomie et en médecine mais… Voilà… Là, c'était un chouilla différent et, à d'un geste quelque peut hésitant et maladroit, la jeune femme commença la même rythmique que Vaas.

« Hmmm… Tac… Tac… Tac… Heu… Tac,Tac... »
Au moins, la scène avait de quoi faire sourire ! Voir Lucrezia légèrement tirer la langue en essayant de mimer Vaas était vraiment très drôle ! Sauf pour la ganguro… Bien entendu et, bientôt, cette dernière put à nouveau ce mettre à hurler de vive voix en sentant la lame de Lucrezia s'enfoncer dans sa mains.
«RHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!! »
« Oups je… Hmmpfr ! Je recommence ! »
Et hop ! Sur ce, la jeune femme ce remit à essayer… Avant de lamentablement échouer à nouveau.
« Grrrr ! Je… MERDE ! »
Là, sourcil légèrement froncés, la jeune femme revint une fois encore à l'assault, échouant une fois de plus, plus rapidement encore que les deux autres fois et, face à ce nouvel échec, les joue de la Duchesse ce gonflèrent légèrement, lui donnant un air presque enfantin ;
« Je… RAAAAAH ZUT DE MERDE DE CROTTE ! J’ARRÊTE ! » S'exclama t-elle finalement en envoyant son couteau plein de sang en travers la pièce.

« Grrrmmmh ! »
Lucrezia vint ensuite à bougonner dans son coin, avant de prendre un petit sachet de poudre blanche, sachet qu'elle agita légèrement, rependant ensuite un peu de son contenue sur le ventre de la ganguro. Puis, à l'aide d'une lame de rasoir, la jeune femme ce mit à soigneusement faire une ligne de coke qu'elle siffa ensuite d'un coup sec.
« Snnnfffff… Hmmgmm… Haaaa ! Fiouuuw ! »
Lucrezia renifla bruyamment en ce frottant légèrement le nez puis, avec un petit sourire taquins, elle vint à tendre le pochons de coke à son amant avant de prendre en mains une agrafeuse chirurgicale.
Puis, lentement, la femme ce retourna de sorte à être à quatre pattes au dessus de la pauvre pute, le visage au dessus de l'intimité de cette dernière.

« Allez… En piste… Il est temps pour moi de te montrer toute mon expertise. »

Une fois sa phrase dite, Lucrezia la clôtura par un bref coup de langue sur sa cicatrice buccale, un petit geste qui, à première vus, aurait put paraître anodin mais qui en réalité n'était autre qu'un signe avant coureur de la « descente » de lulu dans les limbes de son esprit. Lulu qui, délicatement, ce mit alors à caresser la fleur intime de la ganguro, avant d'attraper l'une de ses petites lèvres, lèvres qu'elle étira au maximum pour ensuite venir la plaquer contre la peau douce et chaude de la femme.

« Aller… On ouvre graaaand… à la une… à la deux… Et à la TROIS ! »
CLIC !
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA » Hurlât alors la pauvre pute en tressautant sous l'intense douleur que venait de lui conférer le coup d’agrafe sur son intimité.
« Hihihi ! Attend, ce n'est que la première ma puce, il faut bien que j'écarte le tout si je veux pouvoir travailler moi, hmmm ! »

La Duchesse, tout en continuant d'ouvrir sauvagement la « voie », dandinait son gros cul joyeusement, offrant à son amant une vus somptueusement érotique ce qui, bien évidement, ne devait rien arranger à sa trique que lulu avait bien évidement remarquée.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 53 lundi 25 janvier 2016, 12:39:21

Le joyeux duo continuait à s’amuser avec leur nouvelle amante. Visiblement impressionnée par le petit tour de Vaas, Lucrezia entreprit de l’imiter. Elle se rapprocha donc de la main de la femme, qui pleurait à chaudes larmes, et Vaas, de son côté, s’écarta un peu, afin de la regarder faire. Le jeu du couteau, c’était l’une de ses spécialités. Avait-il raté ? Ou avait-il sciemment manqué son coup ? C’était à se demander… Mais Lucrezia, elle, ne loupa pas sciemment, et trancha à plusieurs reprises la main de la brave ganguro, la faisant de nouveau hurler et pleurer. Son sang jaillissait sur le sol, et, furieuse d’échouer, la Duchesse balança le couteau, qui rebondit mollement contre le mur, avant de s’écrouler sur le sol, derrière un Vaas silencieux, observateur taciturne et discret.

« Il faut la pardonner, indiqua-t-il à voix basse à la ganguro, c’est une femme pleine de passion… »

La ganguro n’avait toutefois pas trop l’air d’être en état de la pardonner. Lucrezia, après l’échec de ses tentatives avec le couteau, se déplaça à nouveau, et alla chercher une grosse et lourde agrafeuse. Vaas sentit son érection se maintenir, et s’écarta prudemment, sentant bien que la Duchesse avait envie de mener la danse elle-même. Leur cobaye pissait le sang dans tous les sens, mais ce n’était qu’un début. Vaas se mit à l’arrière, et vit la femme s’approcher des lèvres intimes de la ganguro, et…

Ouch ! Ça, ça devait être douloureux ! Vaas aurait presque pitié pour la jeune femme, s’il n’était pas incapable de ressentir la moindre forme d’empathie pour les autres. Au lieu de ça, il voyait le corps sanguinolent de cette femme, et, surtout, le petit cul de Lucrezia, qui se dandinait sous son nez, comme si elle cherchait à le provoquer. Il fallait bien avouer que, depuis qu’il était entré ici, dans ce refuge, le bâton de Vaas avait tendance à rester bien dressé et assoiffé.

« Hmmm… »

Le brave mercenaire se rapprocha à nouveau de la table, et posa ses mains sur les hanches de la femme, son sexe venant caresser son cul.

« Tu sais que tu m’excites, ma chérie ? Non seulement tu tortures cette salope avec une passion incroyable, mais te voir dandiner ton joli petit cul, là, sous mon nez… »

Il alla même jusqu’à gifler son derrière. La drogue que Lucrezia lui avait fait prendre l’amenait à réveiller ses pulsions sexuelles, pulsions qui se manifestaient précisément en ce moment. Devant eux, la pute continuait à gémir et à hurler, et Vaas se pencha vers sa dulcinée, l’embrassant dans le creux du cou.

« Dis-moi… Quel est ton record ? Je veux dire… Combien de temps est-ce que tu as fait tenir l’une de tes patientes avant de la tuer, hm ? Combien de temps tu penses pouvoir faire tenir cette pute ? Car je dois admettre que tu es… Douée. »

Suffisamment douée pour, inlassablement, réveiller le gourdin du brave tueur.

Et il devait bien admettre que sodomiser Lucrezia pendant qu’elle torturait l’autre salope ne lui déplaisait pas.

« Je vais te confier un petit secret, mon amour… J’ai déjà mangé de la chair humaine. De si jolis lots, ça donne nécessairement envie… »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 54 mercredi 27 janvier 2016, 12:51:15

« Dis-moi… Quel est ton record ? Je veux dire… Combien de temps est-ce que tu as fait tenir l’une de tes patientes avant de la tuer, hm ? Combien de temps tu penses pouvoir faire tenir cette pute ? Car je dois admettre que tu es… Douée. »
Avant de dire cela, l'homme c'était calmement rapproché de Lucrezia afin de lui palper ses belles hanches et son jolie cul qui, une fois encore, faisait des ravage dans le futal de ce pauvre Vaas et, la jeune femme, en sentant les mains de l'homme et surtout, en entendant ce dernier lui demander quel était son record, vint à tourner la tête en fronçant ses sourcils d'un air songeur.

« Mon record ? Je… Euh… Je serais… Pas trop te dire enfaite. »
Le regard de lucrezia resta quelque secondes fixé sur celui de Vaas et, durant ce petit laps de temps, elle fit (sans vraiment s'en rendre compte) une fois encore glisser sa langue sur la cicatrice ornant sa lèvres supérieur. Pour être honnête, Lucrezia n'aurait pas sue donner de réponse exacte à Vaas car,  bien souvent, Lucrezia n'est pas assez sobre ni assez lucide pour prendre en compte le temps et puis, il y a aussi le fait que la jeune femme n'a bien souvent aucun repaire chronologique pour s'aider. Mais, elle tachas cependant d'expliquer à Vaas le pourquoi du comment ça ce fait qu'elle n'est aucune réponse claire à lui fournir.

« Euh… Bas… J'ai pas vraiment de moyen de savoir moi… Et puis, il y a toujours un moment où je sais plus où je suis… Je… c'est bizarre… C'est genre… Euh… Je tue la nana mais, c'est pas la même nana qui était là il y a genre deux secondes c'est… Autre chose… C'est plus orgasmique et là, pouf ! Le temps il ce met a devenir chelou et il ralenti, ça me fait mouiller comme une folle pendant que je fait mon truc et après je… Euh... »

Lucrezia ce mit alors à froncer les sourcils en baissant le regard puis, sans en dire plus, elle ce remit a triturer l'intimité sanguinolente de la ganguro, tournant ainsi le dos à Vaas.
Étrangement, là, Lulu avait pas trop envie de dire ce qu'elle ressentait à… Enfin, si, là, tout de suite maintenant, elle ressentait du plaisir et, tout ce qu'elle faisait avec lui était hautement savoureux mais… Son « final », le truc qui lui arrivait quand elle était toute seule… C'était genre tabou, elle avait pas envie d'en parlait et, peut être était-ce tout simplement parce que même elle, elle ne pouvait pas en parler clairement. À la voir comme ça, on aurait put imaginer une petite fille qui chercherait à cacher un truc car, à présent, elle était devenue assez silencieuse et, d'un coup de hanche, elle chercha même à repousser les mains de Vaas. Pauvre homme, c'était à rien y comprendre ! Lui, il avait juste demandé à lucrezia c'était quoi son record et elle, voilà qu'elle ce met à vouloir lui expliquer un truc un peu nébuleusement avant de repousser les douces caresses du mercenaire qui, encore une fois, n'avait rien dit et n'avait rien fait ! Mais… Bien vite, Lulu ce stoppa dans son affaire, avant de ce relever et de regarder Vaas à nouveau en clignant lentement des yeux, affichant ensuite un petit sourire assez mignon. Elle le trouvait… Rigolo… Ho ! Nan, elle ce moquait pas de lui mais… Ce type était vraiment un chouette copain quoi, il avait beau être un peu bizarre et pas vraiment à même de comprendre les petites subtilités qui le différenciait d'elle… Il était vraiment chouette car, avec lui, elle pouvait pleinement s'amuser, ce lâcher, rigoler et tuer une nana en ce droguant et baisant comme une folle. La jeune femme vint alors à légèrement ce pencher vers lui avant de lui faire un petit bisous sur les lèvres en faisant frotter son nez contre le siens.

« Bouhw… euh… T'as dit quoi déjà ? Que… t'avais déjà croqué des gens ? »
Oui Lulu, c'est ce qu'il avait dit oui… Et… Une fois encore, elle lui sourit en prenant un petit air un peu surpris, genre, avec un léger froncement de sourcils, l'air de dire « quoi ? Que dit tu filou ?».

« Moi… Personnellement, j'ai jamais mangée de viande humaine... 'fin… Pas au sens littérale… Si tu vois ce que je veux dire~♥ »
Et zioup, la jeune femme revint à lui faire un petit baiser sur la bouche avant de ce remettre à lécher sa cicatrice, reprenant ensuite son agrafage chirurgicale.
« Nan… Moi tu vois » Clic ! « J'ai jamais était attirée par ça… Même quand j'avais rien à manger, j'ai jamais eu envie de tailler une bavette sur l'une de mes.. » clic ! « Victimes, hmpff… » Sur ce, la femme revint a légèrement ce remettre en place en dandinant son cul, faisant apparaître une petite flaquounette de cyprine sur le corps de la ganguro. « En revanche, ça m'est arrivé de boire du sang… Je sais pas… J'aime le goût que ça a le sang… » Clic ! « C'est ferreux, suave… Mélangé à la cyprine c'est super chouette comme truc gustatif… Hu,hu ! »

Sur ces paroles, la tueuses revint à ce tourner vers Vaas, avant de porter ses doigts couvert de sang et de cyprine à sa bouche, léchant par la suite sa main sur toute la longueur avant de sucer ses doigts langoureusement en faisant ses incontournables yeux de chienne en chaleur.
« hmmmmmmgmm… Shhhhllrpp… Hmmmgmm… »
Et là, Lulu ce mit a faire circuler le mélange cyprine, sang, salive dans sa bouche, avant d'attraper le visage de vaas et d'enfouir sa langue (avec le mélange) dans la cavité buccale de l'iroquois.

Une sorte de baiser que seul les psychopathes peuvent ce targuer de faire entre eux.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 55 mercredi 27 janvier 2016, 20:25:13

Cette femme avait un comportement très changeant, puisque son humeur sembla s’assombrir un coup. Elle écarta Vaas, qui se retint d’insister, choisissant de rester sage. Il n’avait pas honte de le dire, cette nana l’impressionnait. Il aimait son charme bestial, sa cruauté, sa sauvagerie, cette passion qui brûlait dans le firmament de ses yeux. Elle était une prédatrice, cruelle et vicieuse, perverse et charmante. Comment ne pas tomber sous son charme ? Vaas était en droit de se sentir amoureux avec une telle femme. Lunatique, elle retrouva rapidement son appétit, en allant lui voler un baiser, amenant sur les lèvres du brave homme un sourire amusé.

Elle n’avait donc jamais mangé de viande humaine ? Fondamentalement, ça n’était pas spécialement différent de la viande animale. L’homme, après tout, était un animal comme les autres, juste un peu plus pervers. Vaas s’était souvent amusé, avec ses prisonniers, à les affamer, et à les faire manger des ragoûts composés à partir des cadavres de leurs anciens amis. C’était comme bander les yeux de quelqu’un en lui faisant manger du pâté pour chats. Si vous ne lui dites pas ce qu’il bouffe, il vous dira que c’est excellent, mais, si vous lui dites, ensuite, ce qu’il a dans l’assiette, il y aura un blocage. L’être humain était ainsi, fait de paradoxes et de contradictions difficiles à concilier.

Lucrezia continua à agrafer le corps de la femme, la faisant gémir, tout en lui expliquant qu’elle n’avait jamais mangé de la chair humaine, mais que, en revanche, elle aimait bien le sang... Ce qui faisait donc qu’ils étaient un cannibale et une vampire. Le couple parfait, non ? En tout cas, il pouvait l’être... La femme se pencha vers lui, et ils s’embrassèrent, le sang commençant à ruisseler des multiples plaies de la ganguro. Le sexe toujours tendu, Vaas l’embrassa joyeusement, posant une main sur ses cheveux, l’autre sur ses hanches, en enfonçant sa langue dans sa bouche, répondant ainsi à celle de la femme.

« Hmmm... ! »

Un baiser très curieux, avec le goût du sang, et les mains de Vaas se crispèrent un peu contre le corps de la femme, sa queue se redressant encore pour caresser sa robe d’infirmière, une robe légèrement ensanglantée, et il déplaça un peu son corps, remuant son bassin d’avant en arrière pour le filer sous la robe. Les deux amants s’embrassèrent donc pendant quelques secondes, puis un sourire se dessina ensuite sur les lèvres du tueur, sa main se déplaçant du corps de Lucrezia pour venir caresser le ventre de la femme.

« Je t’y ferais goûter, alors... Cette ganguro connaîtra une vie sans fin, en finissant logée dans nos estomacs... »

Silencieusement, la ganguro continuait à pleurer, mais criait moins, comme s’il y avait, en elle, une sorte de terrible et silencieuse résignation. Personne ne viendrait la sauver. Quelle que soit sa vie, qu’elles qu’aient pu être ses ambitions et ses rêves, ils étaient maintenant réduits à néant, et son ultime but serait d’être leur repas.

Vaas embrassa donc la femme, continuant à caresser son sexe contre sa peau.

« Mais... J’avoue que tu as bon goût, ma chérie... T’embrasser est... Très bandant. »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 56 jeudi 28 janvier 2016, 18:14:10

Lucrezia n'aimait pas spécialement boire du sang… Enfin… Si, si bien sur qu'elle aimait ça mais… à petite dose. Elle n'était sexuellement attirer par le « vampirisme » nan, elle, elle aimait juste le goût et l'odeur du sang, mais ce n'est qu'un détail, un petit plus, elle n'irait pas vider le corps de ses victime juste pour boire leurs sang, le sang faisait partit d'un « tout » pour elle, comme le sel, le sel c'est bon, ça rehausse le goût des aliment mais… Trop de sel, tue le sel ! Cependant, l'homme semblait déterminé à vouloir faire manger de la chair humaine à Lucrezia… Une perspective qui, en soit, de rebutait pas notre Duchesse mais qui… Soyons franc, ne l'attirait pas non plus.
La femme ce pinçât les lèvres brièvement quand leurs baiser vint à ce rompre et, alors que Vaas la complimentât à nouveau en lui disant qu'elle avait bon goût, Lucrezia vint à émettre un petit sourire joueur.

« Toi aussi tu à bon goût Mon chou… Pachups~<3 »

Et hop, la femme vint à voler un autre baiser à son amant avant de reposer son agrafeuse recouverte de sang et,  d'un petit air joyeux, la femme ce mit à déhancher son corps de manière furtive et enfantine. Et.. alors qu'elle cherchait quel nouveau sévices elle allait pouvoir faire à la femme… Lucrezia eut une idée. Une idée qui pourrait s’avérer amusante et... dangereuse… Mais amusante !
La jeune femme ce retourna alors vers son amant qui, toujours entrain de la palpait, semblait bander bien dur et, alors que cette grosse queue joufflue était entrain de glisser sur son corps, Lulu vint à fermement l'attraper en souriant sadiquement à Vaas tout en fixant ce dernier dans les yeux, affichant alors un regard assez sombre, dénué de lumière mais… Un regard chaud aussi, et dominateur… Oui, Lulu était petit à petit entrain de ce transformer mais, bizarrement, cette alchimie entre sexe et meurtre prit une autre dimension du fait de la présence de Vaas.

« Hmmm… Tu veux encore me la mettre vil diablotin que tu es.. t'as pas débandé depuis tout à l'heure... ça en est presque grossier ! »

Bien sur, lucrezia rigolait ! Voir une queue tendue lui faisait toujours plaisir mais… là, la drogue, le sang et le sexe l'avait rendue plus… Dominante et, si pour l'heure Vaas ne devait pas encore s'en rendre compte, Lulu était bel est bien entrain de vouloir le dominer. Le femme émit alors un petit ricanement avant de changer de position sur le corps de la ganguro, une position assise, face à Vaas, Vaas à qui la femme continuait de sourire « gaiement » tout en enlevant ses talons afin d'ensuite lentement faire glisser le bout de son pied droit sur la jambes de l'homme puis, sur son entre jambe, caressant alors ses bourse, avant de remonter lentement sur sa hampe afin d'atteindre son gland.
« Hmmm… j'ai bon goût tu dit ? Alors vas y chou… Goûte moi… Mes pieds son tout à toi... »
Et, sur ceux, la femme ce mit a presser le bout de sexe de Vaas avec son pied, appuyant fortement dessus afin de lui montrer qu'elle aussi pouvait ce montrer dominante.
La tueuse tira alors la langue a son amant, avant de faire passer sa main devant sa bouche afin de faire le signe mimant un cunnilingus soit, celui consistant a faire passer sa langue entre l'index et le majeur forment un V.

« Aller chou… J’attends mes soins pédestre moi… tu ne ferais pas attendre ta princesse… Toi qui est si galant et si gentil avec moi… Fuhuhu ! »
Cependant, malgré son comportement, Lucrezia n'avait pas encore franchie la "limite" et était tout à fait capable de raisonner... Plus ou moins.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 57 vendredi 29 janvier 2016, 12:46:52

« Oh, je vois plutôt ça comme un honneur envers toi… »

Bander pour une femme, c’était bien la preuve qu’on la trouvait belle, non ? Pour Vaas, en tout cas, c’était bien plus parlant que ces conneries de bouquets de fleurs à la con, de poèmes de merde… Ça, c’était concret, ça parlait, et ça voulait tout dire. Pourquoi s’emmerder à faire un poème de merde pour dire à une femme qu’elle vous faisait bander la nuit ? Autant lui montrer directement son érection, et en tirer toutes les conséquences qu’il y avait à en tirer. C’était simple, efficace, clair… Et c’était la logique choisie par le brave Vaas. Il n’avait pas à rougir de son érection, c’était naturel… Enfin, en l’occurrence, toute la drogue qu’il ingérait y contribuait aussi beaucoup, mais, au-delà de ça, l’homme s’était toujours dit qu’il était un très bon étalon. La preuve en était qu’il avait toujours adoré se taper des nanas en présence de leurs maris, ou, à défaut, amants. Il voulait qu’elles sentent ce qu’était une vraie queue plantée dans leur chatte, ou dans leur cul, ou dans les deux. Avec ses amantes, Vaas était toujours très généreux…

…Mais là, en ce moment, il reconnaissait que Lucrezia avait un charme supplémentaire, quelque chose de merveilleusement bestial. Ouais, il était amoureux d’elle, sincèrement et honnêtement. Il vit alors la femme s’écarter un peu, s’asseyant sur le corps de leur amie, la brave ganguro qui se faisait torturer, et qui voyait son calvaire continuer, la femme ne devenant plus qu’un objet de séduction entre les deux membres de ce couple improbable. Vaas vit la femme retirer son talon, puis son collant, avant de frotter son sexe avec sa queue, l’amenant à serrer les poings.

« Haaa, chica, tu sais comment lui parler, regarde comme ma queue t’aime… »

Si ça, ce n’était pas la plus belle des déclarations d’amour… Néanmoins, Lucrezia avait d’autres désirs derrière la tête, puisqu’elle lui demanda de jouer avec ses pieds, de verser dans le fétichisme. Vaas considéra la proposition avec un sourire, le pied de la Duchesse s’écartant, après avoir appuyé dessus, tant et si bien qu’elle avait un peu écrasé ses couilles contre sa peau, au plus grand bonheur de l’aventurier.

« Une vraie Princesse… Mais je te l’ai dit, amour, je suis ton chevalier servant… »

Comme preuve, Vaas alla ensuite lui faire une belle révérence, puis fléchit les genoux, et commença par caresser la jambe nue de la femme. C’était une jambe belle, bien taillée, solide, à l’image de ce corps puissant et massif. La Duchesse n’était pas une biscotte, c’était une femme bien en chair, exactement comme il le fallait, et Vaas, lui, n’était pas dans l’optique de domination absolue. En fait, il raisonnait sur un autre plan. Un plan qui n’avait pas de nom, un plan ex nihilo, propre à Vaas, situé quelque part entre le fun, la folie, la cruauté, et le sadisme. Dans ce plan, les règles classiques n’étaient pas les mêmes, même s’il y avait quelques bases communes, comme le meurtre, le viol, la torture…

En tout cas, Vaas se mit à embrasser cette jambe, jusqu’à rejoindre le pied, et se mit à le lécher, consciencieusement, avec toute l’affection dont son amour était capable. Ses mains massaient ce joli pied, ses doigts glissant sur les doigts de pied, puis il les prenait ensuite en bouche, allant mordiller le gros orteil, puis lécha les autres orteils, remontant lentement dessus, pour embrasser ensuite la plante du pied de la femme.

« T’aimes ça, hein, amour ? Que ce soit quand je te défonce le cul comme la pire des putes, ou quand je t’embrasse et lèche les pieds comme si tu étais une Déesse, tu mouilles toujours comme une fontaine, hein ? Tu vois, ma chérie… On est faits pour s’aimer ! »

Vaas lui sourit ensuite, et, taquin, alla même lui chatouiller la plante du pied avec ses doigts. Il s’excusa rapidement en l’embrassant sur le pied.

« Tu veux me faire jouir avec tes pieds ? Je suis sûr qu’une spécialiste comme toi en est capable… »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 58 vendredi 29 janvier 2016, 18:39:46

Calmement et, avec galanterie, Vaas exécutât les ordres de sa dulcinée en s'accroupissant alors devant elle, tel un esclave devant sa reine. Puis, avec dévotion, il ce mit à caresser les longues jambes fuselée de la tueuse, la faisant faiblement frémir sur place en lui donnant même la chair de poule l'espace d'un instant et, en gardant un œil sur lui, la femme soupira longuement, appréciant chaque secondes de ce massage délicat et sensuel, à mille lieux de la violence que les unissait en cette sinistre nuit. Vaas ce fit donc doux et aimant durant ses soins, ne manquant pas d'agrémenter le tout de quelques petits mots doux, pas piqués des hannetons.

« T’aimes ça, hein, amour ? Que ce soit quand je te défonce le cul comme la pire des putes, ou quand je t’embrasse et lèche les pieds comme si tu étais une Déesse, tu mouilles toujours comme une fontaine, hein ? Tu vois, ma chérie… On est faits pour s’aimer ! » Lui dit il alors en allant gentiment lui chatouiller le pied, faisant légèrement tressauter lulu sur le coup. C'est qu'il était taquins en plus le bougre !
« Tu veux me faire jouir avec tes pieds ? Je suis sûr qu’une spécialiste comme toi en est capable… »

Lui masser la queue avec les pieds ? Hmmm… Voilà une proposition qui vint à légèrement faire sourire notre Duchesse qui, tout en penchant sa tête légèrement sur le coté, vint à glisser le bout  de son pied droit sous le menton de son amant avant de poser son gros orteil sur les lèvres dudit amant.
« Hmmm… oui, c'est une possibilité... »
Il y avait très peu de choses que Lucrezia n'avait pas faite, hors mis la zoophilie et la scatophilie, Lucrezia avait plus ou moins tout expérimenté… Enfin, presque tout. Le sexe avec un groupe d'hommes, par exemple, était une chose qui l'excitait beaucoup mais qu'elle n'avait jamais osée faire car trop risqué, même pour elle. Après… Que ce soit le bondage, le BDSM hard, les fétiches divers en passant par quelques une des plus belles positions du kamasutra, Lulu avait derrière elle un très jolie palmarès d'exploits lubriques à en faire pâlir les plus grosses porn'star de seikusu.
Cet ainsi qu'après quelque secondes de réflexions, la jeune femme vint à déplacer son pied gauche vers le torse de Vaas, faisant par la suite légèrement basculer ce dernier vers l'arrière. Puis, lentement, Lucrezia vint à abaisser le caleçons de Vaas, faisant alors apparaître une verge bien droite et bien dure. Cette vision fit légèrement ricaner Lulu qui, toujours aussi fière d'elle, vint à faire glisser le bout de ses orteils sur la hampe de son beau mâle en rut, caressant ce mat de chair de haut en bas avec délicatesse, avant de le saisir entre son gros orteil et l'autre orteil d’à cotés (je sais pas le nom scientifique), Masturbant ensuite son homme de manière lente en pressant fermement cette queue.

« oui Vaas… Je mouille toujours, hmmmm… C'est pour ça que ce soir, si on vas en ballade… Je ne porterais pas de culotte~ »

Et hop, sur ce, la femme vint à fortement tirer sur la queue de Vaas, avant d'ajouter à son petit jeu, son autre pied qui ce mit alors a masser les bourses du mercenaire avec fermeté. Lucrezia ce faisait donc très joueuse, n'hésitant pas une seule seconde à maltraité le service trois pièce de Vaas. Lucrezia était rarement aussi dominante face à un homme mais… un peu de changement de temps à autre ne faisait jamais de mal et, visiblement, ce bel homme des îles ne semblait pas contre ça non plus. Lucrezia, tout en poussant de bref petits soupir continua donc de branler la queue de son amant en le regardant de son air supérieur, passant tantôt sa langue sur sa cicatrice, tantôt ce mordillant la lèvres inférieur sous cette délicieuse sensation, celle d'être là, en position dominante.
Et, il ne faisait aucun doute que le mercenaire devait lui aussi aimer sa position actuelle car, de là où il était, l'homme avait une vus imprenable sur l'intimité baveuse de la duchesse qui, toujours aussi dominatrice déplaçât le pied qui malaxait les bourses du mercenaire afin d'atteindre son gland, gland qu'elle frotta là encore fermement, coinçant ce beau fruit joufflue et chaud entre ses orteil avant de tourner le pied dans tout les sens en continuant de branler fermement la hampe de cette énorme bite bien raide.

« Hmmm… Haaa… Il y a tellement de choses délicieuse que je meurt d'envie de pratiquer avec toi… Mi Conquistador~ »


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 59 dimanche 31 janvier 2016, 12:52:24

Assise sur le corps de la ganguro, Lucrezia avait choisi, tout comme Vaas, de faire parler ses bas-instincts sexuels. Elle masturbait donc sa queue, l’homme étant allongé sur le sol, ses jambes disparaissant sous la table chirurgicale, tandis que son sexe se dressait fièrement, occupé par les jambes de la femme, un pied le masturbant, l’autre glissant sur ses bourses. Il n’aurait, en réalité, jamais cru que Lucrezia puisse être une femme fétichiste, mais ce n’était pas comme si ça le dérangeait. Au lieu de ça, l’homme la laissait faire, en soupirant légèrement, fermant les yeux, appréciant le plaisir intense que les doigts de pied de la femme lui procuraient.

« Haaa, ma petite chérie... »

Ce n’était pas particulièrement violent, mais c’était doux, agréable, et... Original. Très original, en réalité. Les pieds de Lucrezia continuaient à remuer sur son sexe, caressant sa hampe de chair, ce membre dressé et bien raide. Le brave homme soupirait longuement, yeux clos, avant de les rouvrir, et de sourire à l’intention de la femme. C’était moins jouissif que de sentir une main ou une bouche, il fallait bien le reconnaître, mais l’homme pouvait bien se permettre cela pour son amour. Écartant ses orteils, Lucrezia réussit à coincer ce sexe, et l’amena à se tortiller, faisant soupirer l’homme. Une queue, ça aimait bien qu’on la gigote, et il n’avait donc aucune raison de ne pas apprécier cela.

Vaas appréciait donc, pendant que la Duchesse lui confiait toute son inspiration avec lui. L’homme lui sourit, et sa main vint caresser l’une des longues jambes de la femme, en passant par le mollet, griffant légèrement sa peau.

« Ouais, mon bébé... Toi et moi, on va former une romance d’enfer... »

Dernièrement, Vaas était tellement occupé à travailler qu’il en avait négligé les choses les plus élémentaires de la vie : l’amour. Car toute créature était faite de chair et d’amour, et Vaas, donc, aimait bien diluer son amour aux autres. Mais, depuis qu’il avait quitté Rook Island, et était venu, avec sa sœur, à Seikusu, l’homme s’était surtout concentré à affirmer sa position au sein des Guramu, et à se battre contre les Ruskofs. Là, il rattrapait le temps perdu, et ça faisait du bien... Putain, ouais, ça faisait du bien ! Vaas se mit à sourire, la tête en arrière, tirant la langue sous l’effet du plaisir, avant de soupirer encore.

Leur ganguro, elle, comatait à moitié, comme si son corps était à bout de jus, et la mouille de Lucrezia se déposait sur son corps meurtri, témoin silencieux de la passion entre les deux amants. Vaas, fort heureusement, avait déjà la queue bien dure quand Lucrezia avait commencé à jouer avec lui, ce qui fit que l’orgasme vint au bout de quelques minutes.

Son sexe se tendit un peu, puis expulsa joyeusement son foutre, s’étalant sur les doigts de sa beauté. Ne pouvant laisser une telle chose, Vaas prit l’un de ses pieds, et entreprit de le lécher et de le nettoyer, en profitant pour déposer à nouveau une série de baisers.

« Laisse-moi te nettoyer, mi Princeza... Tu dois rester aussi belle que tu le mérites... »

Vaas nettoya donc, puis resta ensuite allongé sur le sol, le buste redressé en avant.

« Alors, mon amour, que faisons-nous, maintenant ? »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal


Répondre
Tags : torture psychopathe