Il était important que tout ça soit public, que cette première relation soit faite aux yeux de tous. Dans les relations entre Elluëndor et Illiändor, les rapports sexuels étaient fondamentaux. Royaume composé exclusivement de mâles d’un côté, et de femelles de l’autre, tous les clichés sexuels avaient eu tendance à s’amplifier. Il était ainsi impensable d’imaginer le souverain d’Elluëndor comme un impuissant ou un éjaculateur précoce, et la virilité n’était pas qu’une simple plaisanterie grivoise, mais clairement une qualité royale, dont l’absence était susceptible de conduire à un empêchement royal. Cette cérémonie publique avait donc pour but de voir les deux amants à l’œuvre, de voir que les traditions étaient respectées, et que les héritiers actuels étaient à la hauteur de la lourde tâche leur incombant.
En voyant la queue de son fils, Myriam n’avait qu’une envie : la sucer, y goûter, la savourer. Sarah se rendait-elle compte de la chance qu’elle avait ? Elle suçait une queue qui n’avait encore jamais goûté au corps d’une femme, une queue qui n’avait jamais été léchée, qui n’avait jamais été caressée, qui n’avait jamais pénétré la moindre femelle... Ce moment était particulièrement émouvant pour la Reine, dont la présence ici attestait des rapports ambivalents existant entre Elluëndor et Illiändor, car le père de Gabriel, lui, n’était pas là. Elle se mordillait les lèvres en observant son fils, son vigoureux fils, qui était enfin, oui, enfin, soulagé ! Myriam savait combien la frustration était difficile à gérer pour les souverains d’Elluëndor, bien plus que pour celles d’Illiändor, qui grandissaient dans un environnement beaucoup moins sexué. Son fils avait grandi avec ses seconds passant leur temps à coucher, à commenter leurs proies du soir, alors que lui était condamné à avoir des érections en série dans une cage. Comment ne pas être heureuse de voir ça ? Son fils et sa fille, se faisant, ensemble, joyeusement l’amour ? Sarah suçait sa queue, en sentant, elle aussi, un feu la brûler, un feu intérieur qui se concentrait sur ses cuisses, tout le long de son sexe. Hélas, elle ne pouvait guère se caresser, car, d’une part, elle n’avait pas le droit de le faire (ce plaisir était réservé à son seul amant), et, d’autre part, elle avait encore sa cage de chasteté. Gabriel s’était tellement empressé qu’il avait oublié de la retirer, ce qui, en soi, n’était pas bien grave. De cette manière, elle sentait ce phallus en elle, et couinait en le sentant s’enfoncer.
*Il est gros, si gros...*
Sarah n’aurait jamais cru qu’un phallus puisse atteindre une telle taille. Ses dents glissaient contre ce membre tendu, et sa langue continuait à le lécher, comme une sorte de glace. Ce contact était vraiment très particulier. Sa mère avait souvent expliqué longuement à Sarah comment les choses marchaient avec le sexe, ce qu’elle devrait faire, et ce qu’elle ressentirait. Elle lui avait dit qu’un sexe masculin était quelque chose de particulier, qui pouvait décontenancer au début, mais qu’elle devait avoir foi en elle, et dans le fait qu’elle faisait ça avant tout pour le royaume... Mais que ça ne l’empêchait pas d’en prendre plaisir. Les joues rouges, elle continuait à le sucer, yeux clos, ne pensant à rien d’autre. Là, en ce moment, même sa mère finit par disparaître. Elle était entièrement concentrée sur ce qu’elle faisait, et, quand elle sentit les mains de l’homme se poser sur sa tête, se crispant sur ses cheveux, elle sursauta, puis rouvrit les yeux, et les releva.
Que faisait-il ? Elle sentit soudain ses mains appuyer sur son crâne. Sarah hoqueta et gémit, puis sentit ce membre s’enfoncer encore en elle, toujours plus profondément.
*Non, pas si loin...*
Impossible de parler, et elle se contenta d’un nouveau gémissement quand l’homme donna soudain un coup de bassin vers l’avant, donnant lieu à de multiples applaudissements, et aux félicitations de Myriam.
« Hnnnghnnnn...
- Mes félicitations, Gabriel... Quelle belle gorge profonde, quelle queue ! Même ton père n’était pas aussi bien membré que toi... »
Et ce n’était pas peu dire, car le père de Gabriel avait été, au lit, un homme terrible, un amant presque inépuisable, dont la queue était comme un marteau-piqueur. La première fois qu’il avait pris Myriam, il avait été aussi énergique que Gabriel, aussi terrible, aussi... Brutal. Une brutalité qui avait fini par profondément attirer la Reine. Alors qu’elle le voyait en train de prendre le contrôle de la situation, elle se mordillait les lèvres, se masturbant lentement en caressant sa culotte noire.
« Mmmh-hhhhmmmm... Hnnnnnn... !! »
Alors qu’elle commençait à s’habituer à ça, et à adopter son rythme, elle sentit soudain les mains de Gabriel se crisper sur elle, puis le Prince d’Elluëndor se mit alors à remuer, sa queue filant d’avant en arrière. Sarah se mit à gémir, les joues encore plus rouges, incapable de se retirer, en sentant ce sexe remuer en elle, encore et encore, sans relâche. Quel amant terrible ! Il la prenait avec une force terrifiante, prouvant bien le redoutable guerrier qu’il était, et cette queue... Ah, cette queue ! Si grosse, si lourde, elle n’arrivait plus à la contenir, en la sentant s’enfoncer dans sa gorge. Myriam lui avait parlé de ça. Sa Maman lui avait dit que c’était une bonne chose, qu’il fallait que la queue tape dans la gorge, et, pendant des années, elle avait entraîné sa fille à lutter contre cette sensation de haut-le-cœur qui vous traversait en sentant quelque chose taper contre votre gorge. Elle avait bu des potions et suivi des exercices réguliers, ce qui fit qu’elle ne se mit à pas vomir, mais, en revanche, elle sentait sa respiration se couper à chaque fois que l’homme s’enfonçait. Gabriel prenait visiblement un grand plaisir à la prendre ainsi, à la traiter comme un vulgaire objet... Et, alors que Sarah était toute perturbée, elle pouvait sentir, filant le long de sa cage, venant s’étaler sur le lit, sa délicieuse mouille, un nectar tendre et agréable.
À la recherche d’un appui pour faciliter les mouvements de Gabriel, les mains gantées de Sarah finirent par se redresser, et elle les posa sur chacune de ses fesses, s’y crispant en sentant l’homme la prendre. Devant cette scène, le public était en haleine, certains se masturbant volontiers, tandis que Sarah sentait les testicules fouetter son menton, son nez allant même toucher le torse en sueur de l’homme. Elle pouvait entendre la respiration saccadée de Gabriel, et sa mère, à côté, qui les observait avec délice.
« Nnnnnngggnnn... »
Et, soudain, alors que Sarah continuait à sentir sa tête remuer dans tous les sens, Gabriel se mit... Il se mit à faire ce dont sa mère lui avait parlé.
Il jouit.
Une jouissance incroyable, et Myriam lui avait bien dit que, peu importe le goût, elle devait tout avaler, et c’était précisément ce qu’elle comptait faire en ce moment. Elle but donc, au fur et à mesure que l’homme se vidait en elle, même si c’était difficile, car il jouissait énormément, ce qui fit gonfler ses joues. La femme soupirait donc, jusqu’à finir par la sentir se repérer, sa bouche restant pleine. Elle sentit soudain une main gantée noire se poser sur sa gorge.
« Bois tout, ma chérie... Jusqu’à la moindre petite goutte... »
En déglutissant, Sarah releva la tête. Ce liquide... Il était... Il était affreusement gluant et collant, et pas spécialement bon. Il fallait bien le reconnaître, elle avait goûté à des liquides meilleurs ! Elle avala néanmoins tout, et soupira. Myriam sourit alors, et s’écarta, se mordillant les lèvres, tandis que l’un des chevaliers venait d’apporter la potion de fécondité. Sarah observa la fiole, devant elle, puis hocha la tête, après quelques secondes.
« O-Oui... Oui, bien sûr... »
Sa main tremblotante vint se saisir de la fiole, et elle l’avala rapidement, le goût venant chasser celui du sperme. Elle la but d’une traite, puis la rendit au chevalier, qui louchait sur ses seins volumineux, et redressa la tête vers Gabriel.
« À vous, mon Prince... Ôtez ma cage, et prenez-moi toute entière... »
Sa voix était sourde, gonflée par le désir, et, en regardant sa cage, on pourrait voir qu’elle était en train de mouiller.
Et prête à se faire fourrer.