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Stupre et homonymie [Cata]

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Catalina Taylor

Humain(e)

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    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 15 dimanche 08 avril 2018, 18:38:16

Elle souriait, mutine, alors que son corps semblait ne pas pouvoir se rassasier du contact de celui de Jack. Et plus elle se frottait contre lui, plus elle le sentait réagir, alors même qu’il était au téléphone avec la réceptionniste. Un sourire carnassier se glissa lentement sur les lippes de la veuve tandis qu’elle entendait les réponses du professeur d’anglais. Elle n’entendait pas la voix de la demoiselle de l’accueil, mais la teneur de la conversation était très claire, et l’excitation à cette idée fit frémir Catalina des pieds à la tête. Ce jeu du sort qui les avait conduits dans cette même suite était vraiment une très belle opportunité. Elle n’attendait de ce week-end que relaxation et repos, mais elle avait également décroché du plaisir à ne plus savoir qu’en faire.

Ses tétons étaient toujours fièrement érigés, et ses doigts qui en agaçaient un contribuaient aisément à la montée en flèche de son désir. Sa queue aussi, qu’elle caressait de ses cuisses, de ses fesses, de sa fleur trempée, reprenait sa vigueur, sa raideur, et elle ne pouvait résister à l’envie d’y glisser quelques doigts caressants, appréciant la douceur de la peau sensible et s’attardant même sur son clitoris encore gonflé.

Un soupir s’échappa de ses lèvres, malgré ses dents qui les mordillaient pour ne pas faire de bruit avec la communication téléphonique en cours. Mais elle n’avait pas pu le retenir. Le sentir l’investir ainsi, se frayer un chemin entre ses chairs étroites et bouillantes, c’était trop bon. Elle avait fermé les yeux et rejeté sa tête vers l’arrière, contenant tant bien que mal le petit hoquet de plaisir qui voulait suivre le soupir évadé. Redressant le crâne avant de pencher la tête sur le côté pour venir darder ses prunelles sur son corps parfait, pour venir essayer d’accrocher ses iris dépareillées mais si captivantes, la brunette constata que le téléphone glissait finalement de la main de son amant, et elle laissa libre court à son gémissement, saluant aussi bien la claque délicieuse qui rougissait sa peau pâle que son introduction totale en son sein.

« Oui… Oh oui ! Je vais être… Mmh… Vraiment gentille avec Ian, mon cœur… »

Sa voix était assourdie, alors qu’elle essayait de garder la tête froide un minimum. Ce n’était guère aisé avec cette exquise sensation d’écartèlement, en le sentant chercher à aller plus loin encore, frottant ce point si sensible non loin du col de son utérus. Elle cambrait le dos, pour l’aider dans son entreprise, et elle aurait loupé les trois coups frappés à la porte si Jack n’avait pas, lui, été aux aguets.

Catalina se mordillait la lèvre en voyant apparaître le groom. Elle ne l’avait pas bien aperçu, la première fois, mais elle était très contente de ce qu’elle voyait. Avec des vêtements plus frustes, il aurait presque pu passer pour un de ces redoutables vikings qui peuplaient le nord de la planète. Avec un sourire en coin, elle ne se gênait pas pour l’observer tout en contractant par intermittence les muscles de son intimité, se faisant plaisir en sentant la vigoureuse masse virile qui l’emplissait autant, elle en était sûre, qu’elle apportait satisfaction à son ardent amant.

Quand le groom quitta enfin ses habits de travail, dévoilant un corps massif comme c’était le pêché mignon de la brune, elle sourit. Ses prunelles ne mirent pas longtemps à se fixer sur ses attributs virils. Il était bien pourvu par Dame Nature. Elle se cambra un peu plus, ondulant ses reins contre Jack, avec un désir évident.

« Magnifique, souffla-t-elle en voyant Ian se rapprocher, jusqu’à ce qu’il soit agenouillé face à elle. Catalina. Tout le plaisir est pour moi, glissa-t-elle par la suite, malicieuse, avant qu’une main impatiente ne vienne encercler le sexe dressé de ce nouveau joueur. »

Elle leva un regard mutin, embrasé, vers le blond avant d’arrondir ses lèvres pour happer le gland violacé qu’il lui présentait. De sa langue agile, elle le lubrifiait, l’enfonçant petit à petit entre ses lippes gonflées, au sein de sa gorge qui s’adapta aisément à ce diamètre conséquent. La veuve, bien que célibataire, n’était clairement pas à son coup d’essai. Sa pratique assidue amènerait le jeune groom à passer un très bon moment avec le « couple » Taylor.

Elle n’en oubliait par pour autant Jack, arquant son corps pour lui offrir autant de latitude qu’il le désirerait. Ses gémissements s’étouffaient contre le chibre luisant de salive qu’elle dégustait avec ardeur. Sa main, quittant la largeur virile de Ian, s’occupait à présent de ses bijoux délaissés, massant fermement la peau sensible. Elle se résigna toutefois à fermer les yeux. Sollicitée autant par le si sexy professeur d’anglais qui la pénétrait avec vigueur que par le groom qui prenait confiance et qui donnait des coups de reins par intermittence, la brunette sentait le désir réchauffer chaque parcelle de sa peau, électriser chaque nerf qui courrait dans son corps.

Bientôt, les mains de Ian, au lieu d’être ballantes, vinrent enserrer le crâne de la veuve, se mêlant à sa crinière emmêlée et encore humide de sa douche, et de certains fluides ayant atterris inopinément dessus. Il prenait de l’assurance pour le plus grand plaisir de Catalina, qui ne demandait que ça, d’être « baisée » de tous côtés. Ses gémissements s’amplifièrent d’ailleurs, alors que le groom allait plus vite, plus fort, alors que ses reins accueillaient toujours les assauts enflammés de Jack. Ses gémissements s’amplifièrent, et le plaisir également.

Si elle ne parlait pas la bouche pleine, la plantureuse brune communiquait en revanche avec ses mains. L’une d’elle flattait, encourageait Ian à poursuivre sur sa lancée. L’autre, glissant sur le sol pour venir agripper la nuque de Jack par derrière, remerciait ce dernier de cette affriolante initiative. Elle se mêlait à ses cheveux, comme pour le rapprocher plus d’elle alors qu’elle tendait ses fesses contre son aine. Elle était comme insatiable, brûlante de désir et incapable de s’arrêter.
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 16 dimanche 24 février 2019, 20:46:40

Lorsque Catalina glissa sa grosse queue entre ses lèvres entrouvertes, le jeune homme lâcha un long soupir d’aise, ramenant ses mains derrière ses fesses, pour rééquilibrer une position un peu trop précaire. Ses abdominaux ciselés tressaillaient au contact de sa langue sur sa hampe enflée. « Madame Taylor… » souffla-il, médusé. Son énorme chibre disparaissait presque entièrement dans la bouche avide de la brunette, que Jack pilonnait toujours aussi vigoureusement. L’américain avait passé un bras puissant en travers de sa poitrine pour la maintenir fermement contre lui pendant qu’il lui labourait les entrailles de sa grosse queue poisseuse. De sa main gauche, il maintenait ses cuisse fuselées entrouvertes, afin que Ian puisse jouir de la vue. Ce dernier d’ailleurs, s’était enhardi. Aux timides mouvement de bassins qu’il esquissait lorsqu’elle avait commencé à le sucer, avaient succédé des mouvement plus brutaux, d’autant que, délaissant l’équilibre au profit du plaisir, il avait glissé ses gros doigts dans la crinière brune de Catalina, pour les refermer derrière sa tête et lui baiser la bouche avec une hargne à peine contenue.

« Baise-la », Grogna le beau Jack, en embrassant l’épaule de sa dulcinée. « Traite-la comme une pute, c’est ce qu’elle aime. Hein, chienne ? », lui glissa-il tendrement dans le creux de l’oreille, en faisant rouler l’un de ses tétins entre son pouce et son majeur. « Dis-le-lui, mon amour. » Il faut croire que l’innocent, le doux Ian n’attendait que l’autorisation de la veuve pour se lâcher, car sitôt qu’elle la lui donna, il l’insulta copieusement. « Bouffez bien ma grosse queue…. Ahh, Salope ! ». De son côté, voir Catalina gémir son plaisir, les joues déformées par le chibre d’un complet inconnu à quelques centimètres de son propre visage rendait Jack complètement fou. Ivre de luxure. En voyant Ian hoqueter à l’approche de l’orgasme, un long frisson le long de sa colonne vertébrale déclencha le sien. Enfouissant son nez dans la nuque en nage de son amante, il juta puissamment en elle, sans cesser de la bourrer, s’astiquant dans son propre foutre en grognant comme la bête sauvage qu’il était pendant de longues secondes.

De son côté, Ian s’était également crispé pour expulser sa semence au plus profond de la gorge de la brunette. Son sperme tiède et épais ne tarda pas à déborder des lèvres de la chienne, dégoulinant sur son joli petit menton, s’engouffrant dans le sillon de ses gros seins. « Ahhhh… » « mpff… »

Les coups de butoirs s’interrompirent enfin, alors que les queues s’amollissaient doucement. Ian se laissa tomber en arrière, pantelant, alors que Jack demeurait au fond des entrailles brûlante de sa femme, qu’il embrassa délicatement sur l’épaule.

« Quelle femme extraordinaire, n’est-ce pas », parvint-il à articuler d’une voix sourde. La tête lui tournait un peu, mais il était ravi de la tournure qu’avait pris cette soirée. Presque à regret, il se retira, emportant avec lui un obscène flot de foutre et de cyprine qui se répandit sur le tapis, sous les yeux écarquillés de Ian, qui avait basculé sur le côté. Ce que Jack voyait dans les yeux du jeune homme, c’était presque de la dévotion. « Madame Taylor je… Je ferai tout ce que vous voudrez », souffla-il d’une voix blanche, en se redressant sur un coude. La vigueur de ses assauts avait eu raison de l’élastique avec lequel il attachait ses cheveux.  Ceux-ci tombaient à présent librement sur ses épaules nues. Caressant distraitement l’échine de l’intéressée, Jack ne put s’empêcher de sourire, avec une certaine bienveillance amusée « Vous n’avez qu’à demander », ajouta Ian, avec davantage d'assurance.

L’américain ne s’attendait pas à ce retournement de situation, mais après tout, Catalina avait bien mérité d’exercer un peu son autorité sur le jeune mâle. Tendant le bras vers le fauteuil pour attraper son paquet de clopes, il se redressa sur son séant et s’en alluma une, Catalina reposant toujours contre son torse musculeux. Jack Taylor lui, ne songeait qu’à enfouir son membre entre les fesses de son homonyme, mais après tout, et considérant les quelques instants de répit don il avait besoin, il pouvait bien attendre un peu.

Catalina Taylor

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 17 lundi 25 février 2019, 22:47:07

Personne n'aurait pu dire, quelques heures plus tôt, que l'élégante femme d'affaire à l'air pincée serait une telle succube en privé. Personne, en dehors de ses amants, bien entendu. Le comité siégeant au conseil d'administration aurait été choqué. Bien que leurs remarques -quand ils croyaient qu'elle ne les entendait pas- soient grivoises, voire franchement obscènes, ils n'imaginaient pas que la belle brune se livrait sans retenue dans un contexte privé. Et pourtant.

Elle suçait Ian avec application. Avec appétit et gourmandise. Les coups de reins de son époux, combinés à ceux du groom, la rendaient folle. Folle de plaisir, de désir. Follement indécente. Ses gémissements avaient beau s'étouffer contre la chair mâle entre ses lèvres, on ne pouvait mal interpréter leur signification. Profitant d'un instant où le chibre vigoureux de Ian se retirait, l'ancienne tueuse à gage approuva vivement les paroles de Jack, se frottant avec toujours autant d'indécence et de désir contre lui.

« Oh oui, j'adore quand on me maltraite. Verbalement et physiquement, ronronne-t-elle en plongeant ses prunelles dans celles du jeune homme, la tête légèrement rejetée en arrière et sa joue caressant celle de Jack. Je suis une vilaine petite salope, continua-t-elle d'une voix volontairement basse et aguicheuse, une très vilaine chienne qu'il faut dresser. »

Vilaine et aguicheuse. Gourmande aussi. Goulue, pourrait-on même ajouter en observant avec quelle dextérité sa gorge s'adaptait pour pouvoir accepter l'intégralité du sexe épais qui la déformait, en constatant l'ardeur qu'elle mettait à flatter les bourses pleines du blond. Catalina ne savait où donner de la tête. Ses deux amants étaient aussi féroces l'un que l'autre. Aussi bestiaux et délicieux. Et c'était tellement bon ! Elle avait certainement les yeux larmoyants, alors qu'elle prenait de brèves inspirations par le nez, occupée à honorer de sa langue la peau veinée de la hampe qui maltraitait sa gorge. On pourrait aussi penser qu'elle puisse avoir mal aux reins, avec la vigueur que mettait Jack à l'ouvrage. Mais non. Elle n'avait pas mal. Elle n'était que plaisir, félicité et lasciveté.

La jouissance -torride- la prit par surprise, alors qu'elle avalait celle du groom autant qu'elle pouvait, alors qu'entre ses cuisses débordait celle de son époux temporaire. La brunette s'arqua contre le professeur d'anglais qui la maintenait fermement contre lui, tremblante, frémissante. Ses lèvres relâchèrent l'étreinte ferme qu'elles imposaient autour du sexe de Ian. Déglutissant avec difficulté, ayant absorbé une grosse part du sperme qui venait d'y être relâché, la veuve put à nouveau vocaliser. Le timbre était presque cassé, alors que le cri jaillissait. Un oui, qui venait du fond du cœur. Du fond de son être. Ses gémissements lui parvenaient assourdis, comme si ses tympans ne parvenaient plus à saisir les sons qui l'entouraient.

Les yeux fermés, le souffle court, la femme d'affaire et de plaisir sourit en redescendant sur terre. Maculée de sperme de sueur et de cyprine, elle ne ressent pourtant pas le besoin de s'essuyer. La chaleur de la pièce, du corps de Jack derrière elle, est agréable pour son être engourdi après l'orgasme. Elle sourit en entendant le groom. Ouvrant doucement les yeux, elle le fixe avec une étincelle lubrique au fond de ses prunelles.

Elle ne répond pas. Pas tout de suite. Elle profite un instant encore de ce bien-être dans lequel la plonge l'orgasme, de cette sensation de flottement alors qu'elle reste dans l'étreinte du professeur d'anglais. Puis un sourire plein de malice étire lentement ses lippes tandis que la fumée de la cigarette flotte dans l'air. Levant une main, elle essuie délicatement le foutre qui orne son visage, venant sucer ensuite la pulpe de ses doigts avec une expression de contentement. Elle penche la tête en arrière, déposant un baiser sur la mâchoire de Jack, puis se libère doucement de son bras, sans oublier d'appuyer légèrement -malicieusement- sa croupe contre l'entrejambe virile.

Elle s'approche de Ian à quatre pattes, féline, joueuse. Lascive. Ses reins ondulent à sa démarche langoureuse, comme pour narguer son cher et tendre. La veuve réussit à avoir l'air à la fois obscène et glamour. Focalisée sur le groom, elle vient donner un coup de langue sur toute la longueur du chibre luisant. Comme un réflexe, il se tend sous la pointe mutine qui suit une veine jusqu'à remonter chatouiller la corolle du gland. Qu'elle délaisse ensuite pour tracer un chemin entre les abdominaux dessinés, puis les pectoraux saillants, pendant que sa poitrine s'écrase contre le blond, qu'elle se frotte contre son sexe qui reprend assez vite de la vigueur. Venant mordiller la lèvre inférieur de l'homme, la brune laisse un petit gémissement satisfait quitter sa gorge.

« Ce que je veux, mmh ? Ronronne-t-elle contre ses lèvres. Ce que je veux, c'est du plaisir. Encore et encore. Toujours plus. Plus loin, plus fort. »

Elle ponctue sa phrase d'un coup de langue contre la peau fine du cou du groom, s'avançant sur lui jusqu'à le chevaucher, enserrant sa taille entre ses cuisses poisseuses. Son intimité, déjà gorgée de nectar, frotte la queue qui se dresse de nouveau. Un petit gémissement s'échappe de sa gorge avant qu'elle ne susurre quelques mots.

« Je veux te sentir me baiser a fond, mon grand. Que tu ne prenne pas plus de gants que mon cher époux, pendant qu'il s'emploiera à me faire me sentir comblée, glousse-t-elle en lançant une œillade équivoque à l'intention de Jack, remuant sa croupe en une invitation claire. »

Reportant son attention sur le blond, elle manœuvre agilement pour capturer son sexe entre ses lèvres intimes. Elle ne fait pas preuve de délicatesse en joignant leurs bassins, et entame quelques mouvements avec un râle satisfait, laissant le jeune homme se remettre de ses émotions. Elle ne tarde pas à sentir ses mains enserrer sa taille. Tout aussi surpris -choqué peut-être ?- et aussi captivé qu'il soit, il rends coups de reins pour coups de reins, s'employant à vigoureusement remplir l'antre chaleureuse de sa présence, à soutirer à la veuve noire de délicieux gémissements.

Tournant la tête à nouveau, ses mains agrippant le tapis sous le corps du groom, Catalina adresse un regard brûlant à son mari improvisé.

« Il reste une place rien que pour toi, mon amour, quand tu aur-Aah ! Mh... Finis ta cigarette..., chantonne-t-elle entre deux gémissements licencieux. »
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 18 samedi 02 mars 2019, 12:41:18

Confortablement adossé contre un fauteuil, son corps athlétique en nage sa queue débandée encore suintante de foutre, l’agent Taylor expire des volutes de fumées blanches, à travers lesquelles il observe Catalina, un léger sourire aux lèvres. L’audacieuse catin se coule vers le jeune Ian qui frémit, stupéfié par l’appétit sexuel de la brunette. Ses yeux s’écarquillent alors qu’elle lape sa queue souillée, ses doigts se crispant dans la laine du tapis. « Oh m’dame Taylor, vous êtes tellement bonne… » , balbutie le beau jeune homme en soupirant.

L’intéressée le nargue, l’aguiche, ondulant son petit cul bien ferme et, sans crier gare, s’empale comme une grande sur son gros chibre veineux, à nouveau turgescent. Elle se baise, remuant ses hanches d’avant en arrière. Un instant médusé, le jeune homme enfonce ses doigts dans la chair tendre de ses hanches, envoie une belle claque rougir son cul, alors que sa vulve trempée s’écrase contre ses couilles. « Mhh… » Son bassin s’agite bientôt, propulsant brutalement sa queue au fond de ses entrailles. L’une de ses mains se referme sur la nuque de Catalina, alors que la second raffermit sa prise sur ses hanches. Il la serre fort, presque trop, faisant tressauter le corps brûlant de la jolie brune sous ses coups de butoir. « Baise cette pute, Ian. C’est tout ce qu’elle mérite », l’encourage Jack, dont le sexe enfle à vue d’œil. Voir sa femme du jour se comporter comme une pute avec un parfait inconnu a quelque chose de grisant. Se redressant sur les genoux, la cigarette entre les deux, il observe cette monumentale queue disparaître en elle, comme happée par sa vulve. Puis Catalina se retourne, renouvelant son invitation, son beau visage couvert de foutre. « Tu la veux dans le cul hm ? », grogne-il d’un ton badin, envoyant une grosse claque sur son cul déjà bien rouge. Ses doigts se sont refermés sur sa queue, qu’il branle lentement, les yeux rivés sur sa croupe. Il adresse un léger signe de tête à Ian, qui tempère momentanément ses assauts, glissant sa langue entre les lèvres entrouvertes de la diablesse qui le chevauche. 

L’agent Taylor écarte fermement les fesses de la brunette, dévoilant la corolle palpitante de son anus, encore scellé. « T’as l’air bien serrée ma puce. On va arranger ça. » Un délicieux frisson lui vrille les reins, sa respiration s’alourdit. L’idée d’enfoncer son braquemart dans un orifice aussi étroit l’enivre. Il a envie de la remplir, de lui casser le cul. Il se penche, écrase ses lèvres contre sa rondelle, crache dessus, y darde sa langue avec délicatesse, puis avec davantage d’insistance lorsqu’elle s’ouvre, la glissant éhontément dans son rectum. Lorsqu’enfin il se recule, pour reprendre sa respiration, c’est son majeur et son annulaire qu’il lui fourre dans le cul. Il sent la queue de son acolyte déformer les entrailles de la jolie brune, la limant avec une rage encore contenue. Fort heureusement pour lui, Ian va bientôt pouvoir se lâcher à nouveau. « Mais si tu veux que je t’encule, il va falloir réclamer. Mieux que ça », grogne-il, en écartant ses sphincters du bout des doigts. Il la sente prête. Lorsqu’elle s’exécute, il se redresse, écrase son gland contre son anus entrouvert, et pousse. Sa queue s’arque un court instant, puis s’enfonce, déformant la corolle de sa femme, lui arrachant un râle rauque. Le cœur battant, il referme ses doigts sur ses hanches et s’enfonce lentement en elle, jusqu’à ce que finalement ses bourses ne s’écrasent contre anus. « Ohh...putain… ‘chienne… » Appréciant un court instant la délicieuse sensation de l’avoir entièrement investie, il tend le bras, passe délicatement ses doigts dans sa chevelure, pour finalement l’enrouler dans son poing, et la tirer brusquement en arrière pour la forcer à se cambrer. « Là, là ma chérie. »

Mais Ian n’en peut plus. La sodomie a rendu la catin encore plus étroite par devant, et Jack le sent s’agiter nerveusement en elle, puis reprendre un rythme plus bestial en grognant, les yeux rivés sur l’orgueilleuse poitrine de Catalina, qui tressaute à chaque coup de bite. Quant à Jack, il a refermé ses doigts sur le cou de la belle brune, la maintenant fermement contre son torse musculeux. Il commence à bouger, approche ses lèvres de l’oreille de sa pute. « Ça te plait ma chérie ? Deux queues en même temps ? » Entre les deux corps puissants des deux hommes, Catalina paraît fragile, prisonnière. Piégée. Et ça l’excite. Alors il l’encule. Doucement, avec une certaine délicatesse dans un premier temps. Mais bientôt il s’oublie, agitant le bassin de plus en plus vivement, martelant son cul avec brutalité. Sa langue trouve le chemin de ses lèvres entrouvertes. Il s’enivre de sa salive, de ses soupirs, sans s’offusquer du goût salé de Ian. Les deux hommes finissent par s’accorder, s’écrasant de concert le corps mince et musclé de leur amante, secoué d’avant en arrière et de haut en bas sans le moindre égard, haletant comme deux animaux en rut.

Catalina Taylor

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 19 samedi 23 mars 2019, 13:51:38

C'était si bon, de s'empaler de la sorte, de sentir toute l'épaisseur du sexe rigide écarter ses chairs encore sensibles, encore frémissantes de plaisir, que la veuve gémissait de nouveau. Elle se cambra soudainement entre les doigts de Ian alors qu'une claque rougissait sa peau pâle. Elle adore ça, et elle ondule de plus belle pour le prouver, compressant le mandrin tendu entre ses muscles intimes. Catalina apprécie beaucoup de sentir la force de ses amants et elle se livre d'autant plus sous l'attitude du groom. Elle est électrisée par les paroles de Jack, qui encouragent le jeune homme, et gémit sourdement, maltraitant ses lèvres déjà rougies.

« Oh oui, souffle-t-elle au professeur, lascive, gémissant de plus belle sous la fessée. »

Alors que Ian semble modérer ses coups de reins, qu'il vient l'embrasser, la veuve frémit en sentant se poser sur sa croupe les mains de son époux selon l'hôtel. Elle ne peut pas empêcher ses muscles de réagir, se contractant et se détendant alternativement, mettant la patience et le contrôle du blond à rude épreuve. Elle l'embrassa avec joie, avec un appétit non dissimulé, poussant même l'audace jusqu'à aspirer sa langue comme si c'était un chibre. Le groom grogna contre ses lèvres, et elle laissa échapper un petit rire satisfait en le sentant tressaillir en elle. Petit rire vite suivi d'un gémissement lascif, alors qu'elle se cambrait un peu plus, s'offrant et s'ouvrant sous les attentions de son époux du jour. Elle obtempéra d'ailleurs bien facilement, suppliant d'une voix lascive que Jack vienne l'enculer. Elle lui souffla qu'elle était sa chienne, après tout, qu'elle ne méritait que ça. Qu'elle n'attendait que ça.

Ses ongles s'enfoncèrent malgré elle dans le torse de Ian, lorsque le brun lui offrit ce qu'elle attendait, qu'il la pourfendait de tout sa longueur, de son épaisseur si délectable. Un petit cri lui échappa. Un couinement, plutôt, vite suivi d'un soupir satisfait. Elle se retrouva presque à ronronner lorsqu'elle se sentit tirée en arrière, lorsque sa chevelure servit de prise à son amant.

Elle gémit à nouveau. La terrible Veuve Noire, dont l'identité restait inconnue du grand public, était comblée, malmenée divinement par deux hommes qui savait apprécier ses charmes. Son dos se frotta contre le torse du professeur, ses fesses se pressant contre son bas-ventre, alors que le groom reprenait ses assauts en tirant ainsi un petit cri de volupté à l'ancienne tueuse à gage.

« Oh... Oh oui ! Répondit-elle d'une voix hachée. C'est... Mh... Exactement ce que j'apprécie, mon amour. »

Ils semblaient la comprendre, sans un mot, et les assauts brutaux l'enivrèrent de plus belle. Elle se livre sans retenue, ses ongles griffant parfois le torse de Ian, ou venant s'agripper sans douceur à la nuque de Jack. Elle embrassait d'ailleurs ce dernier avec ferveur, sa langue joueuse et indécente cherchant la sienne, ses dents mordillant les lèvres avec désir, écrasant ses cris contre elles.

Coordonnés, leurs charges viriles se coordonnèrent, et tirèrent d'autres mélodies à la succube humaine qui ondulait entre eux. D'autres cris, étouffés, d'autres gémissements, d'autres suppliques. Plus fort, plus vite, Oh oui, encore ! Ses encouragements se mêlaient à des phrases crues, à des j'adore comment vous me baisez, et autres joyeusetés.

La chaleur, entre eux, est présente. Intense. Ardente. Catalina se montre aussi insatiable qu'une démone baignant dans le stupre. Elle donne l'impression de se nourrir de ces sensations étourdissantes, de ces offensives brutales livrées à coups de reins tout aussi brusques, exquis. Le groom s'est redressé légèrement, se soutenant d'une main, alors que l'autre s'accroche fermement la hanche de la veuve, meurtrissant sa peau brûlante. Parfois, sans perdre le rythme, il vient aspirer un téton, le mordillant, imprimant la marque de ses dents sur la chair pâle. Et la brune leur offre un cri plus puissant, plus rauque, enivrée par cette pointe de douleur qui ne fait que rendre le plaisir plus intense.

Haletante, la tueuse repentie sent son esprit se relâcher. Son corps tremble, autant sous l'agression furieuse des bassins mâles que sous l'ivresse qui possède son corps, son cœur. Elle griffe la nuque de Jack en se cambrant de plus belle, manquant peut-être d'étourdir Ian lorsque sa poitrine se dresse brusquement. Tout se corps se raidit par moments, jusqu'à ses muscles intimes qui emprisonnent le blond, jusqu'à son sphincter qui se resserre autour du brun. Des perles de sueur coulent délicatement sur sa peau échauffée, se mêlant à celles de ses amants, alors que son corps tremblant leur annonce l'imminence de l'extase qui la menace.

« Oh Jack... Mon chéri... Ian... Mh.. Je-Aah ! Articule-t-elle difficilement, incapable d'ordonner ses pensées de manière cohérente. »

Ce dernier gémissement se perds alors qu'elle tourne la tête, cherchant les lèvres du professeur pour les meurtrir de ses dents, pour les écraser contre les siennes. Elle se raidit, se contracte, brusquement. Son corps souple est agité de tressaillement révélateurs tandis qu'elle étouffe son cri, qu'elle maltraite la nuque du groom en le relevant vers elle. L'orgasme est foudroyant. Comme si elle n'en avait pas déjà eu, ce soir. Il pulvérise toute notion de réel, la laissant à la merci des affres du plaisir.
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"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

<3 <3

2eab41 - Paroles de Catalina.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 20 mercredi 12 juin 2019, 15:38:59

La scène irréelle s’était poursuivie. Les deux musculeux bassins s’étaient écrasés entre les cuisses et contre la croupe rebondie de la jeune femme pendant de longues minutes, ponctuée par des râles, des insultes indicibles. Cramponnée à ses hanches, Jack avait enculée la jeune veuve avec une tendre férocité, alors qu’un Ian abasourdi se perdait dans son intimité ruisselante de foutre et de cyprine. Séparées par une fine membrane, leurs queues s’était frôlées, percutées, même sans pour autant entamer le plaisir qu’ils prenaient à la défoncer, à la souiller comme la dernière des putains.  Lorsqu’elle avait atteint l’orgasme, c’est presque ensemble qu’ils s’étaient raidis, avant de remplir son corps arqué de leur semence, ne cessant de la besogner que lorsque leurs grosses queues avaient commencées à s’amollir. Ses lèvres scellées à celles de sa femme, Jack l’avait longuement cajolée, sa « petite pute adorée » jusqu’à ce que son corps brûlant cesse de tressaillir et qu’il ne se retire de son anus béant avec douceur. Foudroyés par l’orgasme, peu soucieux des fluides dont leurs corps en nage étaient couverts, les trois amants étaient restés longtemps entrelacés, badinant avec délice.

La scène avait tourné au désastre lorsque le Directeur de l’établissement, surpris de l’indisponibilité de sa nouvelle recrue était rentré dans la suite accompagné d’un agent de sécurité, craignant que le beau Ian soit en train de cambrioler le couple Taylor. Il avait pourtant téléphoné – mais Jack avait débranché l’appareil – puis cogné plusieurs fois contre le bois de la porte, mais n’avait pas reçu de réponse. Ian avait été sommé de déguerpir, et le couple Taylor sévèrement sermonné pour leur immoralité dans un établissement aussi respectable. Partagé entre le rire et l’agacement, Catalina et Jack avaient pris la défense du pauvre groom, et le Directeur avait fini par promettre de réfléchir à son cas. Ce que Jack ignorait, c'est qu'il serait licencié immédiatement.

Le couple avait tenté de remettre le couvert, mais le cœur n’y était plus vraiment et, après s’être douchés, ils s’étaient endormis paisiblement dans les bras l’un de l’autre. Le lendemain, Jack avait dû s’esquiver bien vite qu’il ne l’aurait souhaité ; ses services étaient requis ailleurs. Catalina et lui avait bien entendu échangé leurs coordonnées et prévu de se revoir très bientôt. Sans être excessivement attaché à la superbe brune, il avait passé un moment extraordinaire – et terriblement obscène – en sa compagnie et avait pour elle une certaine tendresse. Pour autant, il ne l’avait pas recontactée, des semaines durant. D’abord parce qu’il avait très occupé, ensuite parce qu’un élément imprévu était venu entacher l’affection qu’il avait pour elle. Par acquis de conscience, et sans vraiment y accorder d’importance, il avait demandé à Scott Wilder, un de ses amis du bureau de valider la jeune femme, c’est-à-dire concrètement de fouiller son dossier pour y vérifier s’il n’y trouvait rien de suspect. Et en vérité, il s’était avéré que le dossier de la jolie brune était plutôt gratiné. Certaines informations étaient inaccessibles, mais visiblement quelqu’un au FBI avait enquêté sur elle. En croisant les informations, Wilder avait découvert que, sous plusieurs identités différentes, elle avait très proches d’hommes riches et puissants qui étaient décédés dans des circonstances étranges. Toutefois, l’enquête sur la jeune femme avait été subitement interrompue deux ans plus tôt, et le dossier classé, ce qui laissait penser qu’elle avait des employeurs plutôt influents.

Jack avait longtemps hésité sur la conduite à adopter. En vérité, il était tiraillé entre plusieurs sentiments contradictoires. En premier lieu, il en voulait de lui avoir menti – par omission. Ensuite il avait envie de la punir, pour ce qu’elle avait fait. Pour être une aussi mauvaise fille. En dernier lieu enfin, une partie de lui s’en défiait. L’onctueux corps tiède qu’il avait caressé, puis molesté avait donné la mort. A plusieurs reprises. Avait-elle eu l’intention de le supprimer, comme ses précédentes conquêtes ? Finalement, il lui avait envoyé un texto assez sobre, dans lequel il lui avait proposé qu’ils se revoient. En réponse, la brunette lui avait proposé de lui rendre visite un soir de semaine, ce qu’il avait immédiatement accepté. Il avait bien l’intention d’entendre la vérité de sa jolie petite bouche de fieffée menteuse.

« Fiouh. »

C’est une chose de savoir que le joli petit cul de Catalina est assis sur une petite fortune, c’en est une autre de le constater. Cigarette au coin des lèvres, l’agent contemple le luxueux Penthouse de la brunette. Est-ce son élégante silhouette qu’il croit distinguer à la fenêtre ? Dans le doute, il lui fait signe, pousse le portillon remonte la courte allée et traverse le patio d’un pas alerte. En dépit d’une certaine rancœur, il est impatient de revoir l’insatiable brunette. Ses lèvres pulpeuses, ses cuisses galbée, son cul serré se ramènent à son souvenir alors que de la pulpe de l’index, il appuie sur le bouton de la sonnette. Comme d’accoutumé, Jack estd’une élégance désinvolte. Il porte un costume bleu nuit, assorti d’une chemise blanche ouverte sur son torse et une paire de bottine en cuir marron. Une eau de toilette hors de prix rehausse son odeur mâle et musquée. Dans sa main droite, un bouquet de fleur un peu trop bon marché, acheté en catastrophe sur le chemin, pour faire bonne figure.

Il n’a pas encore décidé de ce qu’il fera si ses soupçons s’avèrent fondés. La coffrer ? La corriger ? Les deux ? Il n’a pas amené d’arme, estimant ne pas en avoir besoin.


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