Senford s'éloigner des cieux, car rejoindre le paradis nécessité une incantation plutôt longue et loin de toute forme de vie, car un petit malin pouvait traverser le portail, avant qu'on est pus le refermer, et que la présence des démons étaient un risque énorme, pouvant très bien s'y engouffrer. Il s’éloigna donc, trop rapide pour les démons ailées, vers les cieux, comptant profiter des nuage pour se cacher et partie sans encombre. Et alors qu'il regarda Syldelna pour voir son état, n'ayant guère eu le temps de le faire, celle-ci ouvrit les yeux et Senford put ressentir l'aura démoniaque qu'elle dégeait, tandis l'effroi s'appara de son esprit, alors qu'il sentant ni plus ni moins sa force vitale être aspirer.
*Ce n'est pas Syldelna !* Réalisa Senford, la peur lisible dans ses yeux.
Il tenta d'invoquer sa puissance magique, sentant sa peau se flétrir, se craqueler, s’arrêtant sur place, cherchant à repousser les maléfices de cette créature démoniaque, avant qu'une lance ne le transperce de par en par, perforant son cœur, son sang giclant sur la fausse Syldelna, souillant son armure de son propre sang. Il expira brusquement, sentant ses ailes perdre de leur puissance, avant de se sentir chuter, lâchant ce qui croyait être sa chef. Il gagna en vitesse, heurtant des démons ailées qui le pourchasser et qui se mettait à le suivre, voulant sans doute se délecter de sa chair. Ne pouvant rien faire pour éviter la mort, inévitable, se sentant partie à chaque seconde, il ferma les yeux et invoqua une dernière fois ses pouvoir pour s'immoler, voulant disparaître plutôt que de servir de repas au démon.
Anglus avait ressentit l'aura de Senford vaciller et ne pus que voir Senford, son compagnons d'arme, se faire transpercer, alors qu'il se retourna le sentant en danger. Il ne perdit pas de temps à pleurer et plongea vers Syldelna pour la rattraper, ne pouvant sauver Senford avant d'être surprit de la voir s’arrêter en pleine chute, puis déboussoler quand il reçu un choc au niveau de l’abdomen, un éclair mauve le frappant de plein fouet, le soufflant en arrière violemment. Invoquant sa magie, il tenta de dresser une barrière d'énergie, mais ne fut pas assez rapide, car un second éclair le frappa, entravant ses ailes, avant de sentir ses forces et sa magie le quitter, ses membres ne répondant presque plus. Puis ils fut enchaîner par des chaînes sortant de toute part et de nul par, sortant de l'air même, le privant de sa mobilité, sans pour autant qu'il tombe, malgrée ses ailes entraver.
Puis il ressentit l'aura démoniaque, et tout son lot d'horreur, d'un démon, l’apparence de Syldelna se brisant, montrant un démon à la puissance terrifiante. Il ne pouvait crier, les mots lui manquant, tandis qu'un colère sourde et un sentiment de honte l'envahit, s'étant fais tromper par des sortilèges. Il parvint à laisser échapper un hurlement de rage, et alors que cette espèce de sorcier vint à sa rencontre, griffant sa joue, Anglus s’apprêta à le maudire et de jurer se venger, mais il ne put rien dire, un sortilège le réduisant au mutisme.
Il finit par apercevoir celui qui avait vaincue Syldelna, fulminant contre sa faiblesse et son incapacité à le tuer. Il ne les écouta pas, trop dégoutter. Le corps de guerre vrilla les tympans d'Anglus, puis les cries des démon lui donna la nausée, plus d'une centaine été morts, sûrement plus, mais la clameur venait de milliers de démon, une force dont il était loin de se douter. Mais il pouvait mourir l'esprit tranquille, ils avaient pus sauver les derniers survivants, sauver des griffes de ces monstres des femmes, des enfants et des hommes, plus d'une vingtaine par miracle, malgré les milliers qui étaient morts.
Il fut menée à cette armée, au côté de la vrai Syldelna, dont les yeux semblaient vide de vie. Forcer à marcher ou se laisser trainer à même le sol, sous les quolibet, insulte et crachat des démons, ainsi que des coups de fouet ou de poing pour les punir de leur stupide et futile tentative d'évasion. La marche fut longue, les minutes semblant être des heures, sans autre vision que les démons les entourant, terrasser par la fatigue, leur multiples blessures leurs arrachant des grimace de douleur, sappant leur force, leur muscles et leur jambe demandant grâce. Des heures s'écoulèrent et des kilomètres furent avaler, avant qu'il n'arrive enfin au repaire des démons, une immense citadelle semblant venir tout droit des enfers. T-elle l'a bouche d'un immense monstre, les menant tout droits dans un cauchemars sans fin, les portes se refermèrent sur eux, les privant des derniers rayons du soleil et d'une dernière vision du ciel. Ils furent séparée, et aux prix de nombreux effort, se débattant férocement, Syldelna parvenant à tue un démon de ses seules mains furent jeter dans des cachots, seul.
Était t-il loin dans le sol ? Peut être. Elle n'avait vue que des murs, des torches, des démons, des portes de fers, de la pierre et toujours de la pierre. Aucune fenêtre, aucun souffle d'air, aucun signe ne montrant si ils étaient dans le sols, en enfer ou quelque part sur Terra. Rien qui ne donne un indice sur l'espace, si sur le temps. Elle était dans sa cellule que depuis quelque minute, mais Syldelna avait l’impression que cela fessait déjà des heures qu'elle était dans ce cagibi, juste assez grand pour lui permettre de se coucher sur le sol, en pliant au maximun ses jambes. Elle n'avait aucune lumière, sa porte faite de fer, ne possédant qu'une petite lucarne avec des barreaux, ne créant qu'un petit faisceau de lumière heurtant le mur opposer, ne dissipant qu'en partie les ténèbres de sa cellule.
Peu après qu'elle est trouver une position assise et que c'est yeux purent s'habituer à la quasi pénombre de sa cellule, des cries d'une douleur inconcevable retentirent dans les cachots, jusqu'à elle, brisant le silence oppressant dans le qu'elle était plonger.
-Anglus ! Cria Syldelna en se jetant contre sa porte.
Il était loin, mais ses cries avaler facilement la distance les séparant et les murs. Ça ne servait à rien de crier, mais elle tenta d'enfoncer sa porte, donnant des coups violemment, cherchant à la briser par sa force, elle ne pouvait pas rester là et ne rien faire ! Mais la porte était trop résistante et épaisse, seule sa magie pouvait la percer, mais les chaînes mauves de maudit sorcier bloquer ses pouvoirs. Elle voulait l'aider, mais elle ne pouvait l'aider. Elle se colla au mur, et glissa par terre. Les larmes lui vint au yeux, se mettant à pleurer, priant le nom de son seigneur et les siens, priant pour de l'aide, priant pour vienne les sauver, elle et Anglus.
Elle n'allait pas rester là, les autres aller venir les sauver, c'était obliger ! S'accrochant à cette espoir illusoire, Syldelna put supporter les hurlements de souffrance pure d'Anglus, priant pour lui, pour que le Seigneur l'aide dans cette épreuve. Durant les heures qui suivirent, deux jours s'écoulèrent en réalité, Syldelna pria accompagner par les cries d'Anglus, n'osant imaginer ce qu'il subissait ni ce qu'il pouvait subir. Bercer par ses pières et son espoir, elle parvint à oublier les cries d'Anglus, mais elle ne trouvait pas le sommeille, de peur que les démons ne viennent lui rendre visite. Mais de visite il y'en eu aucune, ni même de bruit témoignant la présence de démon dans le coin.
Elle semblait seule, isole de tout, sans aucune notion du temps, rien ne pouvant l'aider, s’imaginant que des années s'était écouler, ou qu'au contraire quelque heures la séparer de son entré dans cette citadelle. Mais des jours et des jours s'étaient écouler, la résistance de Syldelna mis à bat, au même rythme que son espoir vacilla, que la peur, le désespoir s'empara d'elle, venant à croire qu'on les avaient oublier, qu'on les avaient abandonner, que son Seigneur l'avait.... renier. Ces immonde pensées corrompaient son esprit, de même que des souvenirs de la bataille, remémorant sa défaite, les meurtres de siens, son crime envers Brajos, s'accablant de reproche, se sentant faible, la colère se joignant à son esprit. Ses forces l'avaient abandonner, ses blessures, même si guérie grâce à sa nature, l'élancer encore, les cries d'Anglus devenant de plus en plus désespérer et douloureux, gagnant en désespoirs, le manque de sommeille, la faim et la soif même, la fessait sombrer lentement dans une démence. Son esprit, sa résistance mentale, ne pouvait supporter un t-elle poids et tant de chose.
Ses cheveux autrefois d'un blanc argenté, scintillant et soyeux, avait perdue de leur éclat, gris et terne, la saleté ayant eu raison de leur beauté, son corps était endoloris par le manque de confort et par certaine positions inconfortables. Elle avait griffer les murs, la porte, cogner la tête contre les murs, tout ce qu'elle subissait la fessait devenir folle, voulant en finir de cette torture. Mais elle subissait sans pouvoir s'en protéger, pleurant, criant, frappant, sans trouver le moyen de s'en libérer.
Puis après un mois, mais pour elle mille ans ou une éternité, les cries cessèrent, le silence reprenant ses droits apportant le seule réconfort depuis longtemps à Syldelna, les crie avaient cesser, la joie vint orner son visage, ses oreilles pouvant à nouveau entendre le vide, pouvant enfin trouver le sommeille, ce silence libérateur mettant fin à ses tourment, occultant tout son esprit, le laissant tomber dans le vide. Le sommeille, chose oublier et tend désirer. Elle oublia que c'était Anglus qui avait cesser de crier, commençant à s'endormir.
Mais à peine qu'elle ferma les yeux, la porte fut ouverte brutalement, la fessant sursauté, la lumière des torches venant à lui brûler les yeux, avant qu'elle puisse voir à nouveau. Deux démon de taille et de carrure imposante étaient dans elle, venant pour elle. La peur vint habiter son esprit, mais elle ne fit rien, se laissant attraper puis traîner par les démons. Elle ne dit rien et ne fit rien, plus de force nécessaire, et de toute façon, ses chênes mauves qui l'avait tenue compagnie bloquer ses pouvoirs et ses mouvements. Les démons l'amenèrent dans un immense endroit noir, sûrement une pièce au proportion gigantesque, si grande qu'on ne voyait pas le plafond et les murs, malgrés les torches, seule source de lumière auprès du trône imposant et d'aspect démoniaque.
Avançant dans le noir, jusqu'au trône, Syldelna ne put que regarder l'imposante carrure du seigneur des lieux, le responsable de sa chute. Elle fut jeter à ses pieds, avec assez de force pour qu'elle glisse sur quelque centimètre, une dizaine de centimètre de ses pieds. Elle ne regarda les démons partir, restant face contre terre, ne voulant pas regarde ce monstre, lui aspirant crainte et peur. Les ténèbres les entourant semblait les isoler de tout ce qui pouvait exister, t-elle le néant, ne laissant qu'un îlot de lumière. Syldelna pouvait sentir le regard de ce démon sur elle, le sentant aussi bien regarder son esprit que son âme ou que son corps.
Elle fut saisit au cou, la forçant à regarder son geôlier, lui inspirant un bouffé de crainte, avant qu'il ne la délivre de ses chaînes, sentant un poids s'enlever d'elle, bougeant avec délicatesse ses membres engourdit. Comme si quelque chose venait de rallumer la flamme de celle qu'elle fut jadis, Syldelna sentit sa peur, ses craintes, cette démence, la douleur, tout ce qui l'avait tourmenter disparurent. Syldelna l'Archange était revenue, mais c'est pouvoir demeurer encore bloquer, ne pouvant se libérer de son emprise, la colère emplit son cœur et son esprit.
- Tant de colère... tant de fierté Syldelna ! Et pourtant tu n'as rien su faire... tu n'as pu sauver tes compagnons !
Son sourire lui donna envie de vomir, ses paroles lui donna des envies de meurtres de masses et son rire ne lui présager rien de bon, avant qu'il ne la jette à terre, en bas de son trône. À la vue de ses yeux s'illuminant, elle crut qu'il allait la tuer ou lui jeter un maléfice, mais cela ne fit que produire de la fumer et d’amplifier son rire, résonnant en un puissant échos dans cette étrange et vaste pièce. Et tandis que ce rire revenait en échos, l'Archange réalissa que ce monstre connaissait son prénom. Comment ? Comme pour répondre à cette question muette, le démon lui expliqua.
- Anglus... à beaucoup parlé ! Enfin... hurlé serait plus exacte, mais Présage sait déchiffrer la vérité dans la souffrance... aussi, nous avons une petite surprise.
-Espèce de pourriture ! Clama Syldelna.
Mais son insulte fut étouffer par le rire immonde du démon. Un rire démoniaque à vous remplir de terreur, où ne pouvez qu’imaginer le pire. Syldelna sentit des sueurs froides couler dans son dos, ses poils se dressant et la peur tenaillant son ventre. Puis les torches gagnèrent en intensité, devenant plus volumineuse, éclairant une plus grande zone. Lentement, la lumière éclaira d'autre personnes, formant un demie cercle autour de Syldelna, qui tourner la tête dans tout les sens, ne sachant pas à quoi s'attendre. Puis elle finit par voir qui s'était, des humains, mort, femmes, enfants, vieillards, mutilé, couverts de blessure faîte pour faire souffrir le plus possible. Il lui était impossible de ne pas savoir qui c'était, mais elle refusait de l'admettre
La détresse, l'imcomphrension, la peur et l'horreur envahir son esprit, son rythme cardiaque s'accéléra, ses yeux étaient habitée par une lueur d'une peur profonde. Surtout quand elle aperçue le corps ravager d'Anglus, ses ailes arracher, des lambeaux de peau arracher, ses yeux injecter de sang démontrant l'horreur qu'il avait vécue, tout en étant remplit de honte et d'une supplication : celle de l'achever. Elle comprit alors, qu'Anglus avait été torturé pour savoir où furent envoyer les survivants de ce massacre, le pire étant que le village qui avait été choisit comme refuge devait avoir été raser.
- Je n'avais assez de place pour tous te les présenter ! Les autres amusent mes troupes...
-Q... quoi ? Gémit Syldelna, la détresse et la panique dans la voix.
À ce moment là, les corps prirent feu, dont Anglus, ses cries de douleurs résonnant dans les oreille de Syldelna, qui paralysée par l'horreur, la panique, la peur, la terreur et son impuissance total la paralysant, contemplant sans rien faire la combustion de son dernier élève, oubliant le reste. Puis la lumière vint illuminer entièrement cette salle, dévoilant en réalité le centre d'une arène, les murs haut de plusieurs mètre dévoilant des gradins remplit de plusieurs millier de démon, hurlant de toute leur force, une clameur à en réveiller les morts et à rendre l'ouïe à un sourd. Comment avait elle put ne rien entendre ? Une vision de cauchemars, une vision de l'enfer, debout, paralysé, son regard fixant un point inexistant, son esprit ayant du mal à réaliser ce qu'elle voyait.
L'horreur qui l'acheva, qui la fit tomber à genoux, la forçant à bégayer, sans articuler un mots, étant que ces démons abusaient de femmes et de filles, indubitablement les survivantes. Elle pouvait entre leur supplication, si elles n’étaient pas étouffer par une verge, elle pouvait voir les démons les ravager, jouir en elles, avant de céder leur place à un autre, elle pouvait sentir d'ici l'odeur des fluides. Elle avait échouer, elle avait perdue, elle avait faillit. Elle ne méritait pas d'être un ange, Dieu l'avait renier.
Quand elle put retrouver l'usage de ses mouvements, elle se releva en titubant, avançant vers Anglus qui hurler encore, alors que le feu le consumer. Elle devait le sauver, elle devait les sauver ! Elle tendit la main, mais un mur invisible bloqua son mouvement à quelque centimètre d'Anglus. elle s'y colla et frappa ce mur du poing, avant de hurler, aussi bien de rage, de désespoir que d'impuissance. Elle ne pouvait rien faire, elle recula de deux pas, regarda ce qui fut son élève mourir et devenir de la cendre, pleurant à chaude larme.
Elle fut violemment attraper par les cheveux, le réalisant bien tard, juste avant qu'elle ne soit cogner contre le sol, son front heurtant violemment le sol, provoquant une légère blessure. Le rire du démon résonna dans sa tête, redoublant ses pleures. Elle sentit son armure se faire arracher, ses vêtements et ses sous vêtements être déchirer, la mettant complètement à nue, ne lui laissant que sa tenue d’Ève, dévoilant ses formes, tentant de cacher ses attribues, rouge de honte et se sentant humilier au plus profond de son être.
- Tous ceci m'a mit en appétit, qu'en penses tu, misérable putain...
-Soit maudit démon ! Fulmina Syldelna. Je jure de me venger !
Et alors qu'elle serait les dents, elle put apercevoir le membre imposant du démon, ne réalisant avec mal ses dimensions, devenant livide. Elle resta paralysé pendant quelque seconde, avant de se débattre refusant de se faire souiller, mais elle ne pouvait rien faire et sera les dents jusqu'à les briser, se préparant au pire, la détresse dans les yeux, en sentant le gland de ce monstre ce coller contre son anus. Elle gémit de douleur, laissant parfois un crie s'échapper alors que la verge du monstre écarta ses parois, les raclant les déchirant presque, un peu de sang coulant servant presque de lubrifiant. Chaque seconde était une mer de souffrance, au fur et à mesure que le chibre du démon s'enfonçait en elle, ses oreille martyriser par ses rugissement.
Après de longue minute de souffrance, le démon s'arréta, avant de retirer son énorme trique, avant de recommencer, commençant les vas et viens, coulissant avec plus de facilité, commençant le viol dure et sauvage de l'ange, pilonnant son fondement. Syldelna hurla de toute ses force, hurla la douleur la plus profonde, hurla sa rage et son impuissance, tendit que son fondement était ramoner avec fureur.
Le souffle chaud et puissant de son violeur, la fessait frémir, tendit que ses boyaux étaient remuer avec force. Elle pleurait et prier pour un miracle, alors que son violeur, l'attrapa par les cheveux, le relevant du sol, la forçant à regarder son échec, tout ces innocents mourir ou se faire violer. Elle pleura chaudement, tandis que le démon enfonça plus loin sa verge, fessant hurler Syldelna, constatant avec effroi son ventre se déformer sous les coups, alors que son cul devint rouge sous les coups, le sang coulant par intermittence, ses parois déchirer par endroit.