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[FINI] Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

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Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 15 dimanche 06 septembre 2015, 16:30:22

Shenjo poussa un soupir de plaisir aussi. Enfin il sentait la chaleur de la bouche sur son sexe. Ce n'était pas pour lui déplaire car c'est ce qu'il avait attendu. Certes, ses manières étaient assez cavalières et  brutales, mais il était le client. Il avait payé pour du sexe et Shenjo avait l'habitude de ce mode de fonctionnement. Ember avait sans doute raison de se montrer un peu moins rationnelle sur la façon de traiter les choses, elle était novice et frustrée en la matière. Novice de par le fait que c'était sa première et sans doute sa dernière passe. Et frustrée parce que son mariage ne la comblait plus totalement. Ce point de détail, le jeune homme l'ignorait. Et de toute façon, il n'avait pas envie de trop se prendre la tête. Il avait une règle quand il se payait une pute : le sexe et uniquement le sexe.  S'il commençait à s'intéresser aux histoires de ces femmes,  c'était fini. Il n'avait pas le temps ni l'envie de faire cela. Quand il se payait ce service, c'était pour son propre plaisir avant tout. C'était un moyen pour lui de s'échapper un peu d'un quotidien stressant dans lequel il devait toujours etre le meilleur. Avec Ember ce soir, il avait une idée précise : prendre son pîed.  Ce qui ne voulait pas dire qu'il se fichait du plaisir de sa partenaire. Mais il avait aussi autre chose à penser.Et en l'occurence c'était la satisfaction d'avoir ce pourquoi il payait. Quand on achetait une voiture, on voulait qu'elle roule ? Et bien quand on payait une femme, on voulait  qu'elle vous donne du plaisir.

« Hummm plutot pas mal maitresse »

Posant une main sur le haut de son crane, il accompagnait ses mouvements en maintenant une certaine pression. Il n'avait pas besoin de forcer de trop, étant donné qu'elle se débrouillait assez bien. De toute façon, si ce n'était pas le cas, Shenjo ne se serait pas privé de lui dire

« J'espère qu'elle te convient. »

Shenjo le disait pour la forme. Jamais il n'avait rencontré de femme qui eut mis en doute la qualité de son sexe. Il ne disait pas cela pour se le raconter. C'était un fait. Mais de toute façon, ce n'était pas là encore une fois le plus important. Peu importe ce qu'elle pouvait ressentir même s'il aimait le savoir ce qui était paradoxal.

« De toute façon à voir comment tu t'actives je présume qu'elle te goute »

Shenjo ignorait si elle faisait cela pour avoir fini plus vite ou si c'était par réel intérêt. Mais c'était plaisant comme le montrait son souffle court. Alors qu'elle était à genoux, à sa droite, elle avait sa tête sur son entrejambe ce qui offrait une vue assez dégagée sur les fesses d'Ember. Voilà pourquoi il se mit à la caresser, laissant sa main bien les prendre en main par dessus le pantalon. Il donnait même des petites claques dessus, marquant en quelque sorte son territoire.

Laissant pour le moment le corset et ce qu'il contenait tranquille, il n'était pas pressé outre mesure non plus. D'autant qu'il avait de quoi faire avec cette bouche qui s'activait sur son pénis de façon plus qu'adroite.

Venant lui prendre la tête, tirant par la longue chevelure pour qu'elle redresse son visage, il vint l'embrasser sa langue fouillant de nouveau sa bouche à la recherche de sa jumelle. Puis il l'invita à continuer de le sucer, la laissant faire à sa façon. Tandis que de son côté il avait commencé à défaire les boutons de sa chemise............

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 16 mardi 08 septembre 2015, 02:37:11

Ember était en train de prendre son pied. Elle jouait avec la verge de l’homme, et c’était tout ce qu’elle demandait. Bien des femmes n’appréciaient pas la fellation, voyant cela comme une soumission, le corps d’une femme à genoux devant un homme. Si la fellation était l’un des fantasmes privilégiés du sexe masculin, il était loin d’être partagé par le beau sexe, qui voyait avec horreur le fait de prendre cette chose en bouche, et de boire le sperme. Ember pouvait tout à fait le comprendre... Mais elle était l’exception. Ember avait un mari feignant, une limace, et elle, elle portait clairement la culotte au sein du couple. C’était elle qui prenait les initiatives, elle qui agissait, et, dans la fellation, elle avait l’occasion de lutter contre ce que la Nature avait ordonné aux femmes : ouvrir les cuisses pour accueillir la semence des hommes. Le rôle éternellement passif du coït... Mais là, à genoux devant Shenjo, c’était Ember qui agissait, Ember qui héritait du rôle actif, et qui menait donc la danse à son rythme. Voilà toute la différence, et voilà pourquoi, fondamentalement, elle appréciait la fellation... Comme un moyen de rétablir l’équilibre au sein du couple sexuel, en fournissant à la femme l’occasion d’agir. Sur ce point, son mari ne s’était jamais plaint des multiples gâteries que sa femme lui faisait. Respirant par le nez, Ember se concentrait, s’efforçant à enfoncer ce membre le plus loin possible, sans agir trop vite. Shenjo, mine de rien, avait une queue magnifique, très grosse, et très dure. Ember savait donc qu’il fallait prendre son temps, que rien ne pressait, et, tout en déplaçant sa tête, d’avant en arrière, elle aventura sa langue le long de ce sexe, redressant sa langue vers l’intérieur de sa bouche, la soulevant ainsi pour qu’elle épouse la forme de cette queue trépidante. Ce faisant, elle remuait dessus, d’avant en arrière, tout en soupirant, relevant la tête pour voir le visage de l’homme.

Ses mains finirent par se poser sur sa tête, pour accompagner ses mouvements, ses doigts se crispant sur ses cheveux. Oui, il aimait ça... C’était une chose que Mélinda pouvait clairement sentir, une attirance palpable. Il lui avait demandé ce qu’elle pensait de son sexe, si elle aimait ça, mais, pour répondre, elle aurait dû cesser de le sucer... Et, de fait, comme Shenjo le devina ensuite, ce contact était tout simplement trop bon pour qu’elle le repousse.

« Hmmm-mmmhmm... »

Ember continuait à se faire plaisir, remuant sa bouche le long de cette délicieuse hampe de chair, multipliant les mouvements de sa tête, amenant ses cheveux à se déplacer le long de sa tête. Elle s’enfonçait toujours un peu plus loin, respirant par le nez, et sentit soudain Shenjo s’avancer. Son ventre heurta sa tête, sa chemise caressant ses cheveux, et il aventura ses mains vers son pantalon, malaxant ses fesses à travers le tissu de son vêtement.

« Mmmhmmmmmmm... »

Il fallait se visualiser la scène pour l’apprécier. Un tableau magnifique, celui d’une femme agenouillée devant un homme, et en train de le sucer. Une peinture classique, presque banale, mais toujours aussi efficace. Ember le suçait, et frémissait au contact des mains de l’homme sur ses fesses, sur son tendre postérieur en manque d’attention. Ah, que c’était agréable ! Elle s’enfonça encore un peu plus en lui, et laissa ensuite l’homme l’embrasser, Ember gémissant de plaisir, quoique sa bouche était un peu pâteuse... Mais, comme elle sentait une douce chaleur en train de résonner dans son bas-ventre, elle n’avait pas le temps d’y songer.

Les deux amants s’embrassèrent brièvement, suffisamment pour se déclarer leur flamme. Leurs langues se mélangèrent ensemble, puis il écarta ensuite les jambes, relâchant son visage, tout en commençant à se déshabiller. Elle sourit, sentant contre son menton le sexe tendu de l’homme.

« Oui, j’aime bien ta queue... J’adore ça, même... Être ta pute... »

La femme le glissa avec un lent soupir de plaisir, puis retourna le sucer, avant de donner des coups de langue sur sa peau, remontant délicatement dessus. Ensuite, elle le reprit en bouche, d’avant en arrière, longuement, avec un plaisir certain, continuant à le sucer, jusqu’à ce qu’il lui ordonne de faire autrement...

Petit à petit, toutes ses barrières cédaient.

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 17 mardi 08 septembre 2015, 18:24:09

Shenjo avait du mal à cacher le fait qu’il était quelque peu à bout.  Ember s’activait come une folle sur sa verge.  Elle avait l’air de lacher  la pression, d’évacuer une tonne de frustration en une seule fois. Est-ce que tout ceci n’était qu’une mise en scène pour elle ? Est-ce que contrairement à ce qu’il avait pensé , l’argent n’était pas sa motivation première ? Que ce qui primait pour elle c’était de se sortir de ce quotidien barbant et ennuyeux ?  De rompre avec une forme de routine ? Il se posait vraiment la question c’était certain. La façon dont elle gémissait, la façon dont elle gobait son membre, la façon qu’elle avait eu de dire qu’elle aimait sa queue et être sa pute. C’est la première fois qu’il voyait cela et Shenjo était perplexe face à cela

« Du calme »

Il allait fléchir il le sentait. Son bas ventre le tiraillait, il n’allait pas pouvoir se retenir longtemps à ce rythme là. Et sa fierté l’empechait de se résoudre à le faire. Il fallait mettre un terme à cela. Seulement elle lui taillait la pipe parfaite en même temps. Elle avalait son pénis avec un appétit féroce  et il devait bien admettre que c’était un délice. Il n’avait rien à faire hormis en profiter. Mais là c’était même de trop pour lui.


« Attends deux secondes »


Lui faisant libérer sa verge, il fit mine de se déshabiller complètement. Une manière habile de se dégager. Retrouvant un peu son souffle et sa maitrise, il laissa les vetements aux pieds du lit. Il la regardait, ne sachant meme pas quoi dire. Si ce n’est un révélateur

« T’es vraiment étrange toi. Vais finir par croire que tu t’en tapes du fric  et que tu veux juste te faire sauter comme il faut »

Retrouvant rapidement son espèce de trop plein d e confiance en lui, il se mit debout,la verge droite comme un I et plus dure que jamais. Faisant mettre Ember  a genoux sur le lit, il abaissa son pantalon jusqu’aux cheville de la mère de famille en lui laissant ses chaussures. Il fit de même avec la culotte puis vint se placer derrière elle. Il voulait reprendre le dessus sur elle et sur la situation.


« Tu vas avoir ce que tu veux »

Glissant deux doigts dans sa bouche qu’il mouilla de salive, il glissa ensuite ses deux mêmes doigts dans le vagin  d’ Ember pour la préparer.La fouillant adroitement, il l’entendit gémir puis plaça sa verge  l’entrée de la zone ciblée.Puis d’un coup entra en elle, entamant ses mouvements de va et vient dans un puissant soupir  de plaisir et de satisfaction. Il était en elle. La prenant par les cheveux, il allait et venait en elle de manière continue. Sans accoups mais de façon régulière. C’était le meilleur moyen de gérer.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 18 vendredi 11 septembre 2015, 02:15:49

Shenjo comprit rapidement qu’une femme pouvait être variable, et passer d’un extrême à l’autre... Ce qui était très vrai quand il s’agissait d’Ember. Terrifiée au début, la professeur se laissait de plus en plus aller, car elle retrouvait une joie profonde, un plaisir latent qui s’était trop souvent fait frustrer. L’homme fut surpris de cette fellation, sans aucun doute parce que les putes qu’il allait voir n’agissaient jamais par plaisir, et enchaînaient tellement les passes qu’elles n’y trouvaient plus aucun plaisir. Mais Ember, elle, était une novice, et, parfois, ce statut avait du bon, dans la mesure où une novice n’avait pas cette lassitude qui pouvait arriver à force de voir le sexe comme une routine. Chez Ember, le sexe n’était pas pratiqué autant qu’elle le voulait, ce qui, concrètement, se trahissait par la manière dont elle le pompait, enfilant cette queue, de plus en plus loin, jusqu’à surprendre Shenjo, qui la repousse.

Surpris, l’homme avait bien cracher sa semence, et devait donc reprendre son souffle. Restant assise sur le sol, Ember se contenta de sourire, ses mains sur ses genoux, puis haussa innocemment les épaules devant sa remarque.

« Je me contente de faire mon boulot... »

Si elle s’en tapait du fric ? Oh que non ! Elle avait besoin de cet argent ! Cependant, elle réalisait aussi que ce qu’elle faisait était loin d’être aussi horrible que ce qu’elle avait initialement craint. Partant de là, elle appréciait d’autant plus ce moment. Elle voulait donc le fric... Mais ce n’était pas une raison pour ne passe faire plaisir. Néanmoins, elle ne comptait pas s’épandre sur ses motifs avec Shenjo. S’il pensait qu’elle voulait se trouver un petit copain, l’homme avait tout faux... Fort heureusement, Shenjo semblait avoir envie de rétablir l’équilibre. Il se déshabilla devant elle, révélant un corps musclé, et, somme toute, plutôt bien bâti, avec un sexe bien raide, d’autant plus tendu qu’Ember l’avait bien mastiqué. Une lance de chair qui se dressait sous son nez.

Ember cligna des yeux, puis laissa ensuite l’homme lui retirer son pantalon, avant de la mettre à quatre pattes. Elle restait silencieuse, soupirant parfois quand ses mains s’approchaient de son sexe... Et elle soupira à nouveau quand ses doigts s’enfoncèrent dans son sexe, l’excitant, l’humidifiant.

« Hum ! »

La professeur soupirait longuement, puis l’homme alla dans son dos, et la prit en levrette.

« Haaa... Haaaaannn... Ouuuii... !! »

Yeux clos, Ember gémissait à nouveau, ses poings se crispant sur le sol. L’homme avait une très belle trique, et elle pouvait sentir son excitation, son impatience, son envie de la baiser... Ember se laissait faire sans problème, laissant son con accueillir le sexe de l’homme. Son membre défonçait ses lèvres intimes, et sa mouille jaillissait, venant tomber sur le sol, tandis que la femme continuait à gémir profondément.

« Ouuuii-ouuuiiii... Encooore, haaaannn... !! »

Elle sentit alors sa main tirer sur ses cheveux, lui arrachant un cri de douleur et un frisson de plaisir intense :

« Haaaaaaaaaaaaaa... !! »

Oh, ce que ça pouvait être bon !

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 19 dimanche 13 septembre 2015, 10:04:00

Shenjo était concentré sur sa besogne. Une main tirant les cheveux, l'autre posé sur une fesses sur laquelle il donnait quelques coups, le jeune homme était entrain de la chevaucher comme il se devait. Donnant des mouvements de bassin précis ,réguliers et amples, chaque entrée en elle la faisait soupirer et gémir. Allant le plus loin qu'il pouvait en elle, Shenjo lui même respirait de manière régulière, le souffle haletant, bien décidé à) aller au bout de son effort.

Car pour lui, outre le fait de prendre du plaisir, il y avait toujours ce coté ultra competitif.  Il ne faisait jamais rien pour rien, surtout en matière de sexe.  Il voyait cela comme une epreuve de virilité, comme une énième façon de s'affirmer en tant que mâle dominant. Ne pas assurer serait pour lui comme un désaveu. Voilà pourquoi il avait tant tenu à reprendre le controle de la situation quand il s'était senti sur le point de défaillir

« Putain qu'on est bien la dedans »

On sentait que cela venait du fond du coeur. Il prenait son pied et il avait l'impression que le vagin de Ember était parfait pour accueillir son pénis. Et que chaque fois qu'il se retirait d'elle, il avait la sensation que son vagin le rappelait déjà et se languissait de lui.

La faisant se mettre sur le dos, il lui avait enlévé complètement les chaussures et le bas cette fois. Visiblement las de la position de la levrette, il vint se placer sur elle, la prenant à la gorge. Commençant une nouvelle fois à la limer, il vint l'embrasser, sa langue fouillant sa bouche à la recherche de sa jumelle. Ses yeux plantaient dans ceux de la mère de famille, il la regardait alors qu'il la besognait sans relâche. Il pouvait déceler dans ses yeux une étincelle de plaisir, de satisfaction qui le comblait d'aise forcement. Elle prenait son pied, cela se voyait, cela se sentait. Et surtout, il avaiut désormais le pouvoir , le controle des événements.

Plongeant sa tête dans la poitrine de la mère de famille, il entreprit de défaire le corset de sorte à pouvoir accéder aux seins. Venant les lécher et sucoter chaque teton, il avait quelque peu ralenti le rythme en elle. Il se ménageait quelque peu. Glissant un doigt dans sa bouche, ils emblait occupé pour le moment par cette poitrine plutot généreuse.

« Un corps fait pour le sexe »

complimenta t-il, ce qui dans sa bouche avait toujours une autre saveur. Toujours en elle, le sexe avait repris une certaine allure. Il avait encore faim.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 20 lundi 14 septembre 2015, 09:19:13

L’homme allait de plus en plus vite, grognant et soupirant, maîtrisant la chose... Et Ember, elle, couinait et gémissait. Elle espérait que les murs du studio étaient épais... Le pire, ce serait que des voisins viennent ensuite se plaindre ! La femme se pinçait les lèvres, tentant de retenir ses soupirs, mais... Et bien, le fait est qu’elle n’avait pas été baisée comme ça depuis longtemps, depuis trop longtemps... Et, à chaque coup de reins de l’homme, à chaque fois qu’elle sentait sa queue s’enfoncer profondément en elle, elle soupirait encore, ne parvenant pas à retenir ses gémissements. C’était bon, si bon. Cet homme était monté comme un vrai diable, et prenait la professeur avec force et vigueur. Sa grosse queue labourait son champ, glissant le long de ses parois humides, remuant d’avant en arrière. Le fait de la prendre en levrette permettait à l’homme d’avoir plus d’amplitude, et de donner des coups de reins plus forts que dans une position plus classique, car, par ce biais, il bénéficiait de l’avantage de la hauteur, du fait que sa partenaire était à quatre pattes... Et, plus il la prenait, et plus Ember réalisait ô combien le sexe était bon, et ô combien ça lui avait manqué ! Il n’y avait plus rien à tirer de Paul, son mari, et on ne pouvait que soupirer devant ce gâchis, quand on voyait combien Ember était bien roulée... Ce dont Shenjo, fort heureusement, avait confiance.

Inconsciemment, ce qui se passait ici risquait d’être important pour Ember, Ember, qui avait toujours veillé à avoir une bonne ligne pour plaire à son mari, pour qu’il daigne la regarder, l’embrasser, lui dire qu’elle était belle, et lui glisser qu’il l’aime... À tel point qu’elle avait fini par se demander si le problème ne venait pas d’elle, et si elle ne s’était pas enlaidie. Ember venait d’un milieu populaire, et ce n’était pas le genre de milieu où on apprenait la valorisation de soi. Quand on était fille de paysans, on ne pouvait que jalouser les filles de la ville, qui avaient les derniers produits de beauté, et qui semblaient connaître tant de choses sur les mecs... Comme une sorte de blocage inconscient qui refaisait surface des années plus tard.

*Mais non, je suis belle... Ou il ne me baiserait pas avec autant de forces.*

Pas de quoi sauver son mariage, bien au contraire. Ember n’avait toujours pas divorcé de Paul, parce qu’il y avait les enfants, mais aussi parce qu’elle espérait toujours un sursaut chez son mari... Et, là, elle n’avait rien trouver de mieux que le tromper. Oh, elle se dirait ensuite, sûrement, après, qu’elle faisait ça par nécessité, juste pour offrir un joli cadeau de Noël à ses enfants, et peut-être même arriverait-elle à s’en convaincre le jour... Mais le fait est que le plaisir qu’elle éprouvait était là, et que, en ce moment, elle était bien incapable la moindre culpabilité. Le plaisir sexuel était égoïste et totalitaire, et noyait tout le reste. Plus cet homme remuait en elle, et plus Ember s’abandonnait, dans le sens où elle ne pensait à rien d’autre qu’au sexe, se revoyant lors de ses premières séances, où elle hurlait de joie et se cramponnait à son amant...

Shenjo finit par la relâcher, et elle se retrouva sur le dos, soupirant longuement. L’homme avait continué à la déshabiller, puis elle frémit en le sentant se rapprocher de son corps. Son membre tendu, légèrement humide à cause de la mouille de la femme, et, surtout, surtout, ce regard fiévreux, transi d’envie.

« Haaa... »

Il alla la prendre, et ses mains allèrent se crisper sur ses cheveux. Elle gémit, fermant au début les yeux, avant de les rouvrir... Pour voir que Shenjo l’observait. Il voulait voir le désir dans son regard... Fort heureusement, il n’y avait que ça à lire en ce moment. Tout le reste était retourné au vestiaire, et Ember se laissait prendre par l’homme, qui continua ensuite à la déshabiller, s’attaquant à ses seins, renforçant son désir, ses mains venant parfois se crisper sur les cheveux de Shenjo.

« Haaaa... Ooouuiii-oouuuiii, hummmm... »

Shenjo avait ralenti le rythme, mais Ember ne le sentit pas vraiment. Elle, tout ce qu’elle sentait, c’était une grosse queue, mais ça ne l’empêcha pas de soulever ses jambes, et de les enrouler autour de son bassin, ses talons tapant contre son bassin.

Plus, elle en demandait plus.

« Encore, Shenjo, hummm... E-Encore-haaaaa... »

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 21 lundi 14 septembre 2015, 16:58:40

Shenjo etait perturbé. Il ne faisait plus l'amour à une pute. C'est comme s' il trompait sa fiancée avec une autre femme.Dans sa tête c'est ce qu'il ressentait. Ember n'avait pas l'attitude habituelle qu'il recherchait dans sa compagnie des femmes.Elle agissait plus comem une maitresse que comme une fille dont on achetait la compagnie. C'était neuf pour lui.

Continuant de la pénétrer, toujours placé au dessus de elle, il se partageait entre sa bouche et ses seins. Shenjo ne semblait pas faiblir et pour cause, elle avait le chic pour le mainteniren condition.  Plus vaillant que jamais, il sentait son bas ventre le chatouillait mais pour être franc, il en avait encore dans le moteur comme on disait. A commencer par fierté et orgueil

« Je vais t'en donner moi »

Redoublant d'ardeur,  il avait les yeux dans ceux de sa vis à vis. Il essayait de voir quelque chose qui pourrait l'aider à mieux la cerner.Il voulait essayer de comprendre ce à quoi elle pouvait penser. Jouait elle un role ou etait elle franchement entrain de prendre son pied ? Shenjo penchait pour cette dernière occasion, mais peut être etait-ce son orgueil qui jouait ? Comment présumer d'une telle chose ? Il y avait de quoi se poser mille questions en la matière. Mais pour lui c'était important de savoir.

Gémissant, le souffle haletant, il bascula sur le dos, la laissant venir sur lui. Il avait besoin de retrouver une certaine quiétude et cette position lui permettrait de recouvrer une certaine forme de calme.Il allait reprendre des forces tout en continuant de l'honorer

« elle est à toi fais en ce que tu veux »

Il n'y avait pas mieux comme invitation. Et puis, cela permettrait de la jauger une fois de plus et de tenter de la cerner et la comprendre.Shenjo cherchait des réponses à ses questions, comme dit plus haut le comportement de Ember le rendait nerveux, il n'était pas habitué à cela. C'était une nouvelle expérience dans l'inconnue qui ne l'enchantait guère.Car il aimait les choses claires dans lesquelles il savait dans quoi il s'engageait. Or là ce n'était pas le cas et cela commençait fortement à l'ennuyer, ce qui pouvait aisément se comprendre aussi. Il était un homme de pouvoir, de maitrise et pour le moment, il n'avait pas vraiment cela. Surtout, il sentait que cette relation sensée etre pré payée pouvait grandement le perturber dans son rapport à sa fiancée. Et le danger était là.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 22 mercredi 16 septembre 2015, 11:08:22

Est-ce que son comportement était normal pour une prostituée ? Ce n’est pas comme si Ember avait des amies dans ce milieu, et elle avait toujours tendance à se méfier des reportages. Si elle était d’accord pour considérer que bien des prostituées étaient forcées de devoir vendre leurs corps, parce qu’elles étaient issues de filières clandestines, et étaient exploitées comme des esclaves, elle avait plus de mal à accepter cette histoire larmoyante et moralisatrice de la part d’étudiantes « obligées » de se prostituer pour financer leurs études. Ça, pour elle, ça avait toujours été l’excuse parfaite typiquement française : la « Malgré-Nous » du 21ème siècle. Elle s’en était toujours gaussée, car elle-même avait eu du mal à financer ses études supérieures, et avait dû travailler au McDo, ou accepter les petits boulots de la fac’. La France, ce n’était pas le Bengladesh ; il y avait toujours moyen de trouver un autre boulot, quand on était étudiant, qu’en s’envoyant en l’air... Elle ? C’était différent. Elle avait un emploi fixe, qui lui bouffait la plupart du temps, et elle n’avait clairement plus la force d’empiler des Big Mac, et d’essuyer la fureur des clients quand, sous l’effet de la fatigue, elle oubliait la sauce moutarde. Mais est-ce qu’elle disait ça par sincérité, ou pour se convaincre elle-même ?

Shenjo remuait sur elle, fougueux, nerveux, la baisant bien comme il fallait, et comme Ember le demandait. Leurs corps remuaient à l’unisson, en harmonie, et Ember était heureuse, oui, si heureuse... Elle sortait du simple rôle de la professionnelle pour devenir celle d’une femme en manque heureuse de se faire prendre. C’était horrible à dire, mais, plus cet homme la baisait, avec sa fougue, en le regardant, en soupirant et en grognant, et plus Ember réalisait à quel point elle se faisait chier avec Paul, à quel point Paul était un piètre amant, et à quel point le sexe était bon, intense... Et merveilleux.

« Hnnnnnn... Hmmmmm !! »

Les mains d’Ember se crispaient contre les cheveux de l’homme, et elle l’embrassait goulûment, ce qui ne manquait pas de surprendre Shenjo... Mais, honnêtement, qu’est-ce qu’Ember en savait ? Elle ne devait quand même pas être la seule pute de Paris à apprécier ça, non ? Difficile de dire ce que Shenjo pensait, mais elle, elle ne simulait pas. Sa mouille était réelle, tout comme son plaisir, tout comme ses seins tendus et douloureux, tout comme les soupirs et les gémissements lascifs qu’elle poussait avec envie.

Shenjo inversa alors les rôles, et Ember, en gémissant, se retrouva au-dessus de lui, et commença à soupirer longuement.

« Oui... Haaaaannn... »

Les mains d’Ember se posèrent sur son torse, se crispant dessus, et elle commença à onduler le long de sa queue, s’empalant dessus... S’y empalant joyeusement.

Ah, que c’était bon !

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 23 mercredi 16 septembre 2015, 15:53:55

Forcément, il arrivait un moment où un homme restait un homme. Ember avait reussi à pousser Shenjo à bout de forces et de souffle. Il avait beau avoir une certaine expérience, il avait de nouveau le feu dans son bas ventre. Il avait le visage marqué et déformé par l'effort physique intense.Elle était cette fois sur lui et même cette position ne l'aidait pas vraiment.Elle allait et venait sur lui d'une manière ultra rapide.Elle semblait complètement hors de controle, ce qui n'aidait pas à récupérer. L'espace d'un moment il avait pensé pouvoir profiter de cette position pour s'en sortir mais désormais c'était peine perdue. Il savait qu'il allait finir par abdiquer et ne pas pouvoir  honorer sa partenaire comme il le voulait. Il se connaissait assez pour cela

« Je vais je vais »


Il n'arrivait pas à le dire. Mais elle avait certainement compris le message. Il suffisait de l'entendre avec son souffle court qui n'augurait rien de bon pour lui. Car il s'en voulait de deja faiblir de la sorte lui qui se considérait comme un bon coup.  Mais Ember avait ce quelque chose qui depuis un mompent le faisait déjouer. Et il n'arrivait toujours pas à trouver finalement la raison de toute cette situation perturbante pour lui. Mais ce n'était pas comme d'habitude c'était clair et net

« Haaaa »

Il n'en avait plus pour  longtemps dans cette position. C'était impossible à tenir. Elle allait et venait avec toujours plus d'appétit et il n'arrivait pas à la ralentir. Elle était affamée de sexe, de luxure , bien plus que la moyenne. Il n'y avait plus de doute possible pour lui, elle ne faisait pas cela que pour le fric. Il y avait autre chose de bien plus évident : le sexe et le plaisir de le pratiquer

« HMMMMM »

il avait fini par se repandre en elle. D'abord via un premier jet puissant, ensuite un second, un troisième et un quatrième.Le sperme encore chaud s'écoulait le long de sa verge, du moins pour ce qui n'avait pas pu inonder le vagin de Ember.Reprenant son souffle, il n'avait pas forcement l'air le plus fier en ce moment. Lui qui avait annoncé vouloir payer pour la nuit s'était déjà repandu une première fois. Et il n'en tirait aucune satisfaction. Bien sur il avait joui mais il restait frustré d'avoir perdu le controle comme cela.
« Modifié: mercredi 16 septembre 2015, 16:02:11 par Alex Sanderson »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 24 vendredi 18 septembre 2015, 10:09:24

La relation entre eux restait-elle juste un rapport purement professionnel ? Un client venant demander à une « professionnelle » une prestation sexuelle ? On aurait pu le croire... Mais Ember n’était pas si dupe. Son plaisir était bien sexuel, lui, intense et passionné. Elle ondulait sur le sexe de l’homme, sentant son membre se perdre en elle, remuant dans les entrailles de son corps. C’était une situation particulièrement agréable, magnifique et intense. Tout son corps ondulait contre le sien, en harmonie avec sa queue, nichée en elle. Elle la sentait remuer en elle, et cette sensation... Haaa, cette sensation... Elle avait le sentiment d’être complète, d’être remplie, et, et... C’était tout simplement trop bon ! Elle mouillait encore plus, et, avant que Shenjo ne jouisse, elle-même avait eu un orgasme, poussant de longs soupirs, répandant sa mouille sur le corps de l’homme, en se pinçant les lèvres, retenant ses cris. Néanmoins, au moment de l’orgasme, quand le voile blanc la traversa, un long soupir s’échappa de ses lèvres.

« Haaaaaaaaaaaaaa... »

La respiration lourde et profonde, Ember se calma progressivement. Shenjo venait de jouir en elle à son tour, et respirait bruyamment, visiblement surpris par le talent de la femme. En souriant, elle le regarda assise sur lui, sentant son membre en elle... Et elle caressa son ventre, excitée à l’idée de sentir son sperme en elle. Ember s’en pinça les lèvres, ressentant de multiples frissons de plaisir qui traversaient tout son corps.

Néanmoins, le regard de l’homme ne mentait pas, et elle se pencha vers lui, avant de l’embrasser, ses mains se posant sur ses épaules.

« J’en déduis que j’ai mérité mon salaire, n’est-ce pas ? »

Ember ne put que sourire après ces quelques mots, et se redressa, restant toujours assise sur l’homme.

« Notre contrat ne prévoyait pas vraiment de clauses d’arrêt après un premier orgasme, alors... Je suppose que le client est roi. Tu veux partir ? Ou tu veux te reposer avant de reprendre ? Il... Il faut bien que je fidélise ma clientèle, après tout... »

Elle s’arrêta immédiatement, en venant de comprendre l’énormité de ce qu’elle venait de dire... Fidéliser ! Venait-elle d’insinuer qu’elle comptait réitérer cette expérience ?

*Non, non, non, ce n’est pas du tout ça que je voulais dire ! Pas du tout !!*

Mais... Vraiment ? Elle n’aurait jamais cru qu’il puisse être si facile de se faire de l’argent... Et surtout que ce puisse être si agréable... Et ça, qu’elle le veuille ou non, elle ne pouvait pas nier ce que son corps ressentait.

Et son corps adorait ça.

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 25 vendredi 18 septembre 2015, 23:34:37

L'espace d'un moment Shenjo avait perdu de sa superbe. Le temps pour lui de retrouver ses esprits.  Cela n'avaitpas duré longtemps mais assez que pour se rendre compte du changement chez lui. Il était humain et n'était pas que controle et maitrise. Ember toujours sur lui, il lui avait rendu son baiser et n'avait rien dit dans un premier temps. Elle était toujours sur lui et du sperme coulait toujours le long de son sexe et du vagin.

C'est à ce moment là que son sourire apparut. Le genre de sourire qui annonce quelque chose de malicieux,  quelque chose indiquant que maintenant une limite avait été  franchie. Shenjo avait repris cette attitude arrogante et pleine d'assurance qu'il avait au début

« Le client est roi en effet et j'ai payé pour cela »

Elle portait toujours son corset. Glissant un doigt dans sa bouche pour qu'elle le suce ; il avait donné un petit coup de bassin pour qu'elle sache qu'il était toujours en elle et qu'il pouvait donc faire ce qu'il désirait.

« Je vais continuer à te limer et à te baiser comme tu le veux mais avant tu vas répondr à  quelques questions. »

Il lui ssaisit un sein sans ménagement. Il le malaxait, pinçait le téton en ayant aucun autre but que la stimuler et l'exciter

« La plupart des putes sont rodées et prennent pas leur pied comme cela. Elles font cela comme un boulot. Tandis que toi tu as vraiment aimé que je te prenne. Et c'est pas uniquement parce que c'est ta première fois. J'en ai vu des plus stressées que toi »

Lui faisant toujours sucer son doigt, il lui caressa de la même façon l'autre sein

« T'as peut être besoin d 'argent, mais t'as surtout besoin d'un mec pour te donner ce que tu veux. Alors t'as un mec, t'es mariée ? Pourquoi il te baise plus cet abruti ? »

Il voulait des réponses à ses questions. Et comme pour la convaincre il donna un autre léger coup de bassin.

« Alors tu veux que je reste ou que je parte ? Réponds moi. Et surtout montre le moi en faisant en sorte que je redevienne dur »

Il avait le controle maintenant. Et il ne le perdrait plus jamais il se l'était promis.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 26 dimanche 20 septembre 2015, 11:01:43

Le corset d’Ember avait été abaissé, révélant l’accès à sa généreuse poitrine. Le souffle court, les joues légèrement rouges, la professeur reprenait ses esprits, mais sans la nervosité initiale, cette peur à l’idée de coucher avec un individu, et de craindre qu’il puisse vous faire mal. Maintenant que les deux avaient joui, et que la semence de Shenjo avait filé dans son corps, cette inquiétude n’avait plus de raisons d’être, et Ember abordait donc plus sereinement la situation... Tout en sachant bien qu’ils ne formaient pas un couple, mais une relation client/professionnelle. Une relation particulière, condamnable sur le plan moral, mais qui n’était, fondamentalement, qu’un simple échange de services entre deux personnes consentantes. Ember n’était même pas sûre d’être dans l’illégalité en faisant ça. L’homme se redressa assez rapidement, et vint jouer avec les seins d’Ember, qui en ressentit quelques nouveaux frissons. Pour éviter de tomber, elle posa une main sur les cheveux de l’homme, en appui, et le laissa jouer avec son corps, Shenjo ayant promis de continuer à la « baiser » et à la « limer », des mots crus, indécents, mais qui provoquaient chez Ember de multiples frissons d’excitation supplémentaires.

Shenjo voulait en savoir plus sur elle, et Ember poussa des soupirs, se mordant les lèvres quand il pinça ses tétons. Cet homme avait l’habitude des corps féminins, l’habitude de jouer avec eux, et savait comment faire plaisir à une femme. Ember devait bien reconnaître ça ; si tous les clients de putes étaient comme lui, la prostitution serait le meilleur métier du monde. Le plaisir d’Ember n’avait rien d’étonnant, en soi, si on partait du principe que le corps d’une femme se devait d’être honoré. C’était la Nature qui voulait ça. Il lui parla de Paul, le qualifiant d’un terme flatteur, mais non moins vrai, et Ember baissa la tête vers lui.

*Le voilà bien curieux, tout d’un coup...*

La femme le regarda donc, et esquissa un léger sourire, en posant ses mains sur ses épaules.

« Je crois que ça sort du cadre de nos obligations contractuelles réciproques, non ? »

Elle enchaîna rapidement, sans vraiment laisser le temps de pouvoir objecter quoi que ce soit :

« Mais oui... Tu m’as fait jouir, alors je suppose que je peux bien te répondre. Je suis mariée, oui... J’ai retiré mon alliance pour... En fait, je pensais que ça aurait fait fuir les clients, même si coucher avec une femme mariée est souvent un fantasme... Mais ne va pas croire que je recherche un amant, Shenjo. Tout ce que je souhaitais, c’était avoir de l’argent. Il n’est pas prévu que je recommence ça. »

Même si elle venait d’en dire un peu, elle ne comptait pas non plus raconter sa vie. La femme resta sur lui, et approcha ses lèvres des siennes, venant l’embrasser tendrement.

« Mais je dois bien admettre que... Je ne m’attendais pas à prendre mon pied à ce point. Pour ça, je pense que je peux te remercier, Shenjo. »
« Modifié: mercredi 23 septembre 2015, 13:13:50 par Princesse Alice Korvander »

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 27 lundi 21 septembre 2015, 09:43:16

Pour Shenjo il n'y avait pas de surprise dans la réponse d'Ember. C'était conforme à ce qu'il avait cru deviner sur elle. Elle était effectivement mariée et en manque d'argent. Surtout elle avait avoué avoir pris son pied comme jamais, ce qui laissait à penser que le coté frsutré de la mère de famille n'était pas non plus un erreur d'interprétation.  C'est bienc e qu'elle était

« Tu es donc bien mariée »

Toujours sur le dos, il attendait qu'elle fasse ce qu'il lui avait demandé, à savoir le rendre plus dur. En attendant, il avait tout le temps de récupérer et de penser à ce qu'il venait d'apprendre. Qu'elle soit mariée ne changeait pas grand chose finalement de son point de vue. Il n'avait pas vraiment de cas de conscience vis à vis de cela. Il avait de toute façon payé cette femme et il n'avait rien exigé qu'elle ne veuille lui donner.  Non, il était à son aise et ne voyait pas vraiment ce qu'il pouvait faire de plus  ou de moins.  Les etats d'âme n'étaient pas pour lui de toute façon

Sentant peu à peu son sexe retrouver toute sa vigeur sous l'effet de ses caresses, il avait désormais un avantage sur elle ceci dit. Elle était en manque de sexe et elle cherchait des moyens de combler cela. Ce n'était pas qu'une affaire d'argent pour elle. Elle avait fini par dévoiler un peu plus d'informations privées à son sujet.Il n'allait pas lui demander mais il était tout aussi envisageable qu'elle soit mère de famille.  Ce qui là aussi ne lui posait pas plus de soucis éthiques que le reste

« Continue comme cela »

L'encourageant à continuer de s'occuper de sa verge, Shenjo était pour le moment relativement passif. Quand il jugera le moment opportun, il recommencerait à la labourer et à la faire gémir de plaisir. Pensif, il se disait que cette femme allait après retrouver son mari et ses enfants comme sid e rien était. Est-ce qu'ils se douteraient de quelque chose ? Il avait comme un doute ; les femmes étaient expertes dans l'art de dissimuler les choses.Le pauvre homme ne saurait sans doute rien de tout cela de même que les enfants. Est-ce que Shenjo pourrait lui se rendre compte de quelque chose dans pareille situation ? Il aimait à penser que oui.  Mais sans doute etait il aveuglé par son orgueil. Car malgré tout ce qu'il pouvait penser, nul n'était à l'abri d'une situation comme celle-ci. Un jour tout était parfait et le lendemain, sa femme faisait le tapin. S'il refusait de se considérer comme en danger, il gardait à l'esprit que lui même devait pouvoir se prémunir de cela. Car il ne pourrait jamais l'encaisser.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 28 jeudi 24 septembre 2015, 09:51:58

Ember, d’ici quelques années, ferait partie de ce genre de femmes qui adoraient lire Cinquante Nuances de Grey, y retrouvant la saveur qui manquait dans leur vie : l’excitation sexuelle, le frisson d’un homme qui pourrait les faire jouir, et non leurs maris mous et flasques. On pouvait en sourire devant le côté assez grivois de l’image, mais elle était aussi tragique et sinistre. Quoi qu’il en soit, Ember était maintenant devant l’homme, et ils avaient visiblement fini de se confier l’un à l’autre. La femme le masturbait tendrement, tout en se demandant si, dans le futur, elle allait réitérer l’expérience. Quand elle s’était décidée à faire ça, à vraiment le tenter, après des semaines d’hésitation, elle s’était jurée que ce ne serait qu’une seule fois, juste une fois... Mais, maintenant qu’elle avait pris son pied... C’était horrible à dire, mais, dans sa tête, une voix était en train de venir, en disant des choses simples : c’était bon... C’était bon, et elle n’avait pas eu droit à un vrai orgasme avant ce soir depuis... Depuis bien longtemps. Qu’est-ce qui la poussait à le masturber de nouveau ? Elle aurait pu se dire que c’était juste par professionnalisme... Mais ça aurait été un fieffé mensonge.

Elle le masturbait donc, assis à côté de lui, sa main jouant avec son membre ;, allongée à côté de lui. Sa main glissait de haut en bas, mais, en ce moment, Ember était libérée de ses inhibitions, et elle alla prendre le sexe de l’homme en bouche. Elle se déplaça le long de son corps, et l’embrassa tendrement, sa bouche glissant le long de sa peau, se rapprochant peu à peu de son sexe. Elle voulait l’exciter, bien comme il faut, et, en sentant le bord du lit se rapprocher, Ember rabattit ses genoux sous son ventre, et elle se retrouva à quatre pattes, entre les jambes de Shenjo, et posa sa main sur son sexe. Il était légèrement trempé, et elle souffla lentement dessus, le sentant grossir et enfler.

Ember lécha ensuite le bout, puis, en levant brièvement les yeux, recommença à le sucer. Elle voulait voir le plaisir remonter le long du corps de l’homme.

« Hummmm... »

Ah, que c’était bon ! Ember sentait bien qu’elle n’arriverait pas à se lasser de ça... Sucer une queue, sentir le plaisir sexuel, ce désir qu’elle avait si longtemps refoulé. Il déferlait maintenant en elle, s’insinuant dans tout son corps. La femme le suçait donc, afin de réveiller son excitation, en soupirant de plaisir.

Ember espérait bien qu’il apprécierait son traitement...

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Les soirées parisiennes [Alex Sanderson]

Réponse 29 jeudi 24 septembre 2015, 19:33:20

Shenjo appréciait grandement. Le contraire serait étonnant ceci dit. D'abord, on pouvait l'entendre gémir déjà. Il ne s eprivait pas de montrer son accord et sa satisfaction via cela. Et puis il y avait aussi son sexe. Il ,était de nouveau dur et bien ferme. C'était tout le mérite de Ember

« Excellente technique »

Il avait appuyé sur sa tete pour qu'elle le prenne plus dans sa bouche encore.il ne se souciait pas vraiment de ce qu'elle pourrait dire ou faire, il partait du principe que c'était agréable pour elle comme pour lui. De toute façon elle voulait du sexe non ? Et bien il allait lui donner ce qu'elle voulait, ni plus ni moins. Rassemblant ses cheveux en une poignée de main, comme pour en faire une queue, il relachait par moment l'étreinte avant de faire la même chose une nouvelle fois. Il ne lui laissait que peu de répit

« Je vais t'embaucher à plein temps ? Je serai ton unique client et te donnerai ce qu'il faut pour t'entretenir. »

Il avait dit cela mais le pensait-Il ? En tout cas l'idée avait germé en lui.Il avait les moyens de le faire mais ce serait rompre avec ses regles de base en la matière. Et il savait que cela n'était jamais bon signe de rompre une regle comme cela

« Ca te plairait de pouvoir la sucer comme bon te semble ? »

A la manière dont elle s'activait certainement. La laissant donc profiter un moment encore  et par la même occasion lui même aussi, il décida enfin de la pénétrer de nouveau. Il en avait une envie folle

« Mets toi à 4 pattes sur le lit »

 la traitant toujours de la même façon, il vint se placer derrière elle, à genoux sur le bord du lit.Sans aucune hésitation, il la prit, connaissant désormais le chemin. La prenant de nouveaux aux hanches, il entama une série de va et vient. Comme on pouvait s'en douter, il ne mettait pas vraiment de douceur dans ses gestes. C'était brutal, bestial, animal. Et c'est ce qui rendait ceci meilleur.


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