Une surprise imprévue. (Princesse Alice)

Il fallait admettre qu’Alice n’était pas une Princesse comme les autres. En tout cas, à Sylvandell, elle était une exception. Tous les Rois et toutes les Reines précédents avaient, dans leur grande majorité, été connues pour leur violence, leurs faits de guerre, leur nature guerrière et belliciste. Ils n’étaient pas des tyrans assoiffés de sang, mais des guerriers qui, avec leurs dragons, attaquaient les royaumes voisins, et participaient activement à l’effort de guerre impérial. Sylvandell s’était ainsi forgée, malgré sa petite taille, la réputation d’être une redoutable nation guerrière, avec l’aide de ses terribles dragons dorés, élite des dragons. C’était un héritage guerrier qui tombait entre les douces mains d’une jeune femme timide et masochiste, Alice Korvander. Pour autant, elle n’était pas juste une petite fille impressionnable. Il y avait aussi, chez elle, un caractère dur comme de l’acier, une volonté de fer qu’on retrouvait bien plus souvent qu’on aurait pu le croire… Un paradoxe qui devait travailler inconsciemment Nanami, qui accepta néanmoins l’idée d’Alice, et reconnut qu’elle ressentait sans doute des « sentiments » pour elle.

Alice lui sourit encore, et se rapprocha d’elle. Nanami demanda si elle avait d’autres coins sympathiques à lui montrer, ce à quoi Alice répondit rapidement :

« Tu as déjà vu ma chambre, c’est le plus bel endroit de Sylvandell, non ? » plaisanta-t-elle.

Elle se dirigea ensuite vers la sortie du Sanctuaire, observant le lac autour d’elle.

« Plus loin, il y a le Territoire des Dragons. Avec moi, ils ne te feront rien, donc… Est-ce que tu veux aller voir des dragons, ma belle ? »

Alice poursuivit :

« Sinon, on peut retourner au château… Après tout, je crois que je dois encore te faire jouir une fois pour que tu acceptes ma proposition de te rapprocher de Mélinda, non ? »

Nanami c’était suffisamment prise la tête à réfléchir et avait décidé de passer à autre chose. Se tourmenté ainsi n’était pas son genre, même si parler comme ça avec Alice lui avait fait du bien dans un sens.
Pour la suite de la visite, sa princesse d’amie, lui proposa d’aller voir un peu plus loin et de rencontré un dragon. Ce n’était pas tous les jours qu’une terrienne pourrais avoir cette chance. L’idée était donc plutôt séduisante.

-Aller vas pour les dragons, j’ai confiance en la protection de la princesse de se royaume.

Elle rigole et la suis donc la laissant se guider, s’amusant de sa seconde proposition. Effectivement il y avait toujours se défis en route pour organiser une rencontre avec Mélinda. Nanami n’avait pas envie et comptait pas faire grand-chose.

-Tu as encore le temps, mais il va falloir être original et surprenant, je me demande se que tu vas trouver.

Pour corsé le jeu, Nanami avait imposé que la condition de la faire jouir soit dans des situation non classique. Simplement faire l’amour entre elle par se qu’elles en avaient envie ne comptait pas. Alice avait réussi le premier en décidant de la soumettre, mais qu’allait t’elle faire pour la suite ?

Alice et Nanami continuaient à doucement se rapprocher. Nanami avait fait preuve envers d’elle une honnêteté impressionnante, lui confiant ses angoisses, ses inquiétudes, les sombres penchants de sa personnalité. Elle lui avait ainsi expliqué ne pas être une bonne personne, avoir des pensées mauvaises, destructrices, ce dont Alice avait eu préalablement l’occasion de se rendre compte. Elle ne jugeait toutefois pas Nanami. Sa meilleure amie était une vampire esclavagiste et elle était la Princesse héritière d’un royaume belliciste connu pour ravager des villes entières avec des dragons lumineux redoutables crachant des jets enflammés mortels pour vaporiser des bataillons entiers.

Alice pouvait donc tout à fait comprendre ce que Nanami ressentait. Elle avait beau être une femme blonde aux yeux bleus, s’habiller en blanc, et avoir en elle une sorte de douceur naturelle, l’époque où elle était une petite fille naïve, croyant que le monde était, soit noir, soit blanc, était révolu. En soi, elle ne recherchait pas des personnes « pures », car elle savait que ce genre d’individus n’existait pas. Ce qu’elle admirait chez Nanami, c’est qu’elle était capable d’accepter sa propre noirceur, et cherchait à la combattre. Rien que pour cela, Alice était prête à l’aider.

Toutefois, alors que la jeune tête blonde comptait aller voir les dragons, une autre idée lui traversa l’esprit quand Nanami rappela les engagements qu’elle avait pris, et notamment de devoir lui faire l’amour de façon originale et inattendue. Impossible de se répéter, évidemment ! Alice posa sa main contre son menton, signe qu’elle réfléchissait, jusqu’à ce qu’une petite lueur malicieuse ne vienne illuminer le firmament de ses yeux. Elle sourit alors, et récupéra quelque chose dans ses affaires.

« Bon, tu sais quoi ? On va attendre un peu avant d’aller voir les dragons… Je vais m’occuper de ton cas, Nanami-chan ! » glissa-t-elle à la japonaise.

Qu’avait-elle prévu ? Alice avait récupéré une gélule rose, qu’elle avala rapidement, tout en se rapprochant de Nanami. Elle soupira ensuite, et ferma les yeux, avant de sentir plusieurs frissons la traverser de manière incontrôlable, et sentit une forte chaleur pointer entre ses cuisses. Son pantalon se mit à la serrer, et elle se dépêcha de le déboutonner… Et, quand le pantalon glissa le long de ses cuisses, Alice gémit encore, avant qu’un phallus ne vienne déformer sa culotte blanche, une queue remontant pour ressortir de la culotte, bien dressée.

Alice sentait son cœur battre la chamade, et observa ensuite Nanami, tremblant nerveusement.

« Je… Je vais te baiser sur cet autel, Nanami ! » indiqua-t-elle alors d’une voix forte.

Si ça, ce n’était pas original… Elle se rapprocha de la femme, et l’embrassa fortement, son membre turgescent venant caresser les cuisses de la jeune femme…

C’était donc décidé Nanami allait rencontrer des dragons avec Alice, enfin ce qu’elle crut, car soudainement la blonde s’arrêta après à peine quelque pas. Intrigué, Nana la regarda se demandant ce qui lui arrivait. Alice semblait en pleine réflexion et finalement se mis à fouiller pour chercher un truc. L’expression que Nanami vue sur son visage à ce moment-là, en dit longs sur ce qu’elle préparait. Elle devina que les dragons allaient devoir les attendre.

Ce que la princesse ne tarda pas de confirmer en lui disant qu’elle allait s’occupé de son cas et à la façon d’on elle avait ça c’était d’une façon sacrée comme le lieu où elle se trouvait. Alice après avoir avaler quelque chose s’approcha faisant tombé son pantalon dévoila une jolie culotte qui fut rapidement déformé par l’apparition d’un pénis. Nanami la regarda avec une certaine surprise, surement une touche de magie, mais voir Alice avec une bite…c’était quand même un choc pour elle.

-Mais comment tu fais pour arriver à me surprendre toujours d’avantage ?

Evidement pour avoir vue ça, Nana comprit facilement ce qui l’attendait, elle ne c’était pas pousser un sexe pour faire joli. Alice voulait donc la prendre sur l’autel…ce n’était pas une sorte de sacrilège ? C’était quand même lieux sacré non ? Enfin Alice savait mieux qu’elle les règles de leurs religions après tout. Alice s’approcha venant l’embrassé avec énergie, bien sur Nanami répondit à se baiser. Même si elle était surprise par la situation, elle avait envie de voir comment Alice allait s’en sortir avec ce sexe qui n’était pas du sien. Elle en profita pour défaire son propre pantalon, histoire de gagner du temps et facilité à Alice la chose.

-Hum, je vois que j’ai encore beaucoup à apprendre sur se monde.

Alice sourit doucement. Elle avait franchi le pas en utilisant l’une des pilules spéciales que ses amies lui donnaient. La jeune Princesse n’était pas spécialement habituée à porter un phallus, mais... Et bien, il fallait parfois se laisser aller ! Sur Terra, la magie aidant, l’hermaphrodisme était une chose très fréquente, surtout sur Tekhos. Dans le reste de Terra, il fallait grimper dans l’aristocratie et dans la bourgeoisie pour retrouver les pilules d’hermaphrodisme, des potions que le commun des mortels n’avait pas l’habitude d’utiliser, faute de moyens. Alice frémit donc, serrant les poings, déstabilisée par cette membrane, par cet organe chaud et musclé. Son sexe se redressait tandis qu’elle se rapprochait de Nanami, voyant sur le visage de cette dernière sa surprise. La jeune femme ne pouvait donc qu’en sourire, amusée par la situation, et ses mains caressèrent ses hanches, glissant sur sa peau.

« Disons que je suis naturellement douée pour ça, ma chérie », répliqua-t-elle quand Nanami lui demanda comment elle faisait pour la surprendre à chaque fois.

La tête blonde se rapprocha d’elle, et l’embrassa sur les lèvres, tandis que Nanami avait retiré son pantalon. Le sexe d’Alice frotta ainsi sa culotte, et la tête blonde se pinça alors les lèvres, blottissant son corps contre le sien. Ce fut l’occasion d’un nouveau baiser. Nanami était désormais coincée entre le corps d’Alice et l’autel, contre lequel Alice la posa, avant de la rejoindre à son tour. Le fait qu’il s’agissait d’un autel religieux ne signifiait nullement qu’elles n’avaient pas le droit de faire l’amour. La jeune Princesse se redressa alors, et retira la culotte de Nanami.

Du fait de son érection, la jeune femme agissait précipitamment, nerveusement. Son corps tremblait nerveusement, et elle frémit sur place, se pinçant encore les lèvres, sentant de nouveaux frissons la parcourir.

« Allez, Nanami... Mets-toi à quatre pattes. Ou, plutôt... Mettez-vous à quatre pattes, Maîtresse ! Je vais vous baiser devant mes Dieux ! Comme ça, ils verront combien vous êtes précieuse à mes yeux ! »

Le Patriarche de Sylvandell n’était pas le Dieu de l’Ordre Immaculé. Les mœurs sexuelles de cette religion étaient donc bien moins lourdes que dans d’autres pays, car le Patriarche ne proscrivait pas les relations sexuelles, même si le culte sylvandin limitait malgré tout les rapports sexuels. Nanami se mit donc en position, et Alice posa ses mains sur ses hanches. Elle soupira encore, et déplaça sa main, agrippant son sexe, puis l’orienta vers la chatte de Nanami.

Retenant son soupir, Alice la pénétra alors, et gémit doucement en sentant son membre improvisé se faufiler difficilement un passage dans le corps de Nanami. La femme gémit encore, puis reposa sa main sur le bassin de Nanami, y prenant appui... Et commença à la pénétrer longuement, accélérant progressivement le rythme...

Nanami se trouvait face à Alice qui s’approchait d’elle en bandant de plus en plus. Se sexe masculin apparut par magie l’avait pas mal surprise. C’est vrai que sur Terra la magie permettait bien des choses qu’on s’imaginait pas vraiment sur Terre. Alice arriva contre elle l’embrassant, alors que Nana faisait tombé son pantalon. La suite n’était pas difficile à imaginer. La princesse blonde lui demanda de monter à quatre pattes sur l’autel sacré. Elle venait de lui retirer sa culotte avec empressement, Nanami connaissait bien cet empressement d’un mec qui a fortement envie de passé à l’action. Elle sourit et se mit donc en place comme demandé. Même si ce n’était pas vraiment sa position préférée du moins pas à cette place.

Alice se glissa alors en elle et commença donc à la pénétré et à faire des mouvements de vas et viens. Nanami était loin d’être vierge, elle c’était déjà fait prendre par pas mal de mec, par un zombi même et même une demie-succube, mais une Princesse qui semblait venais de se faire pousser un sexe si soudainement c’était une première. Alice allait et venait en elle, les sensations n’étaient pas vraiment différentes qu’avec un mec normal.

-Hum…bon je pense qu’avec ça…je vais devoir accepter ta journée avec Mélinda…

Alice n’avait pas forcément l’habitude de se doter d’un tel appareil, mais, quand elle le faisait, elle le faisait bien ! Elle sourit donc en se glissant dans le dos de Nanami. Les deux jeunes femmes s’étaient déshabillées, et, avec ce membre sur elle, la Princesse sentait une sorte de vitalité nouvelle s’emparer d’elle, une puissante énergie qui remontait dans son corps, agissant tel un puissant coup de fouet. Elle posa ses douces mains gantées sur les hanches de sa Maîtresse, puis la pénétra ensuite, déplaçant sa main pour tenir son sexe. Sa verge chaude tressautait entre ses doigts, lui arrachant quelques couinements, et elle la planta dans la chatte de Nanami. Un frisson la traversa ensuite, et elle commença à remuer, donnant une série de coups de reins, agenouillée sur le rebord de l’autel. Fort heureusement, l’autel était plutôt grand, suffisamment pour contenir les deux femmes. D’aucuns auraient pu crier au scandale ou au blasphème, mais...

En réalité, cet autel était à la base conçu pour le sexe, pour procréer sous le regard bienveillant des dragons. Mais tout ça, Alice ne l’avait évidemment pas trop expliqué à Nanami, préférant laisser la jeune femme, bercée d’une culture chrétienne terrienne, se poser des questions sur la dépravation de la Princesse. La réalité, c’était surtout que Sylvandell ne partageait pas les mêmes mœurs sexuelles que la Terre, ce que Nanami avait probablement déjà pu remarquer. Alice gémit donc, sentant avec plaisir sa virilité s’enfoncer dans son corps. Un long gémissement s’échappa de ses lèvres, et elle continua à la prendre.

La jeune femme aimait beaucoup ce contact, la sensation de sa verge se perdant dans les entrailles de sa partenaire, ce sentiment d’être compressée, serrée... Han, que c’était bon ! Et, soudain, Nanami lui arracha un sourire en indiquant qu’elle se sentait désormais prête à aller voir Mélinda. Cet aveu conduisit aussi à une autre réaction : une gifle ! La main d’Alice s’abattit brusquement sur la croupe de la femme, venant la gifler, puis Alice poursuivit ses coups de reins.

« Voilà une excellente résolution, Maî-Maîtresse, hmmm... Je ne peux que vous encourager... Haaaa... Dans ce sens ! »

Et, toujours aussi insolente, elle la gifla encore. Comme quoi, Alice pouvait parfois se montrer une esclave très indisciplinée ! Mais, après tout, elle était ici chez elle, à Sylvandell, où elle était la Princesse de ce royaume ! Et puis, elle portait un chibre, ce qui avait souvent tendance à amener les porteuses à se montrer... Plus entreprenantes ! Et c’était typiquement le cas d’Alice en ce moment...

Nanami se tenais à quatre patte sur l’autel, alors qu’Alice était monté dans son dos. La princesse c’était installer et commençait à la prendre avec son nouveau sexe. Elle ne sentait pas trop de différence qu’avec un mec, à par peut être un peu moins d’assurance dans le geste. Mais après tout c’était logique, son sexe n’était pas une partie naturelle de son corps, elle ne pouvait la maitriser aussi bien. En attendant ses gémissements témoignait que ce n’était pas qu’un gode ceinture plus réaliste. Nanami ne pouvait que s’avouer vaincu et accepté l’invitation d’Alice de passé une journée avec elle et Mélinda. Pour autant, Nana n’en perdait pas sa méfiance envers cette fille.

La blonde contente surement de l’apprendre commença en s’emporté venant la giflé sur ses fesses. La princesse pouvait se montrer bien déchainé parfois. Nanami la laissa faire pour l’instant, mais si l’envie de lui rendre par son pouvoir était bien là. Mais cette facette de ses pouvoirs ne lui avait pas encore était révélé et pour le moment, elle ne comptait pas encore le faire. Encore une fois ça montrais qu’Alice était spécial à ses yeux pour la laisser agir ainsi sans même s’emporté. Jusqu’où Alice était capable de la changer ?

-C’est pour toi que je le fais par ce que j’ai accepté et perdu ton petit jeu. Ça ne change rien de ce que je pense d’elle.

La Princesse souriait doucement. Elle était une femme douce et aimante, d’un tempérament calme et posé, le fruit d’une éducation passée derrière les livres, en étant la fille d’un père colérique à la voix bourrue. Non pas que son père l’ait battu, mais, avec sa voix caverneuse, il savait s’imposer, et Alice avait donc grandi, inconsciemment, par opposition à lui. Pour autant, quand il s’agissait de faire l’amour, c’était une autre personnalité qui émergeait progressivement. Ce n’était pas de la schizophrénie, mais une sorte de dédoublement de la personnalité, comme si le rapport sexuel réveillait en elle une femme plus mâture, plus sûre d’elle-même, comme si le sexe déclenchait chez elle des réactifs inconscients qui la stimulaient progressivement.

Nanami voyait désormais le résultat. Alice la pénétrait de plus en plus fort, enfonçant sa trique dans son con, et n’hésitait pas à accompagner cela de gifles, de belles claques qui résonnaient sur le cul de Nanami, de sa Maîtresse... De quoi sans doute justifier ensuite une punition, perspective qui, en réalité, ne faisait qu’exciter davantage la jeune Princesse. Elle continuait donc à prendre sa partenaire, soupirant de plaisir au fur et à mesure que sa trique s’enfonçait en elle, coulissait dans son corps. Alice était aussi ravie d’avoir obtenu gain de cause, d’avoir su convaincre Nanami de voir Mélinda, de la rencontrer... Car Alice était sûre que cette rencontre permettrait à Nanami de comprendre qu’elle faisait fausse route sur son amie !

« Ne soyez pas si négative... Hmmm... Maîtresse. »

Elle avait bien entendu ce que celle-ci venait de dire sur Mélinda, comme quoi ce rapprochement ne changerait rien à ce qu’elle pensait d’elle. Alice se devait néanmoins d’essayer, de tenter le coup.

« Sans Mélinda... On ne se serait jamais rencontrées, et... Hmmm... Je ne serai pas en train de... Haaaa... De te besogner là, hmmm... Et puis... Haaaa... Si tu veux aller à Nexus, hmmm... Mélinda est ta meilleure solution, car... Hnnn... Elle dispose d’un établissement... Hmmmm... À Ne-Nexus, haaaa... »

Parler devenait de plus en plus difficile, et les mots d’Alice étaient entrecoupés de soupirs, de moments où elle reprenait sa respiration. Son sexe lui faisait de plus en plus mal, tandis qu’une vague de désir remontait puissamment dans son corps. Autrement dit, elle approchait de l’orgasme !

Nanami se faisait prendre par son amie, par Alice sa camarade, sa princesse, sa soumise. Sans trop que Nana ne comprennent comment, elle c’était fait poussé un sexe d’homme et la pénétrait maintenant sur l’autel. A l’endroit où il y encore quelque minute elle lui avait confier des choses avec qui elle n’avait jamais encore partager. Tout ça par excitation peut-être, mais surtout pour valider le défi qui avait pour but de la faire passer du temps avec Mélinda. Alors qu’elle avait accepté Alice tentait de lui faire changer son avis sur cette femme en précisant que sans elle, elles ne se connaitraient pas. C’était surement vrais, mais sufisant pour changer d’avis.

-Si tu pouvais évité de parler d’elle pendant que me donne du plaisir, sa serrais bien Alice.

le fait qu’Alice se permettait de la giflé était loin de lui déplaire, bien au contraire. Mais gâché se moment en débâtant sur leur avis sur cette femme était bien plus dérangeant. Elle sentait dans les mouvement d’Alice son excitation, c’était un peu différent qu’avec un vrai mec, mais certaine chose était similaire. Elle se souvenait encore de comment ça se passait avec Tinath. Son empressement se faisait sentir et Alice n’arrivait pas loin de jouir. Nanami se mit alors à bouger pour changer de position et se mettre assise.

-Aller viens finir ça de face.

Alice sourit doucement devant la remarque de Nanami. Ne pas parler de Mélinda... Visiblement, il y avait un contentieux entre elles, ce qui était d’autant plus surprenant que Mélinda ne la connaissait pas. Était-ce de la jalousie ? Alice n’en savait rien, et elle n’était d’ailleurs pas vraiment en état de se poser la question. Elle se contentait de prendre la femme, et Nanami finit d’ailleurs par se retourner, lui faisant face. Assise sur l’autel, sa Maîtresse était magnifique. Alice se pinça doucement les lèvres en l’observant, ses joues se mettant à doucement rougir sur place.

« À vos ordres, Maîtresse... »

La Princesse retourna vers elle, et posa une main sur ses cheveux. Leurs seins se heurtèrent, se frottant mutuellement, puis elle la pénétra, se collant contre elle. Effectivement, Alice n’avait pas la corpulence d’un homme, mais qui aurait, pour autant, osé se plaindre de cette situation ? La femme l’embrassa à nouveau, et, pendant ce baiser, son sexe fusionna de nouveau avec le sien. Elle la pénétra donc, et gémit doucement, mordillant ses lèvres en ayant un spasme de plaisir, puis déplaça son autre main. Elle s’appuya sur les cuisses de Nanami, et accéléra le rythme, continuant à la prendre.

Alice commençait à avoir l’habitude de porter un sexe masculin, car il était récurrent que Mélinda, ou même les sœurs Karistal, utilisent des potions d’hermaphrodisme. La Princesse était heureuse de partager cela avec Nanami, et continuait donc à la pénétrer, gémissant encore. Elle rompit leur baiser pour déposer ses lèvres dans son cou, mordillant sa chair, et se planta encore en elle. Nanami était là, contre elle, sa belle Maîtresse. La scène était assez intime, et très excitante pour Alice, qui voyait sur le visage de Nanami le plaisir s’exprimer en elle.

« Oh, ma belle Maîtresse... »

Heureuse de cette situation, Alice accéléra encore ses coups de reins, sa queue se perdant dans la mouille de la jeune femme. C’était très excitant, et elle continuait donc à prendre Nanami, jusqu’à pouvoir se relâcher en elle...

Nanami se retrouva assise sur l’autel, face à Alice et son sexe d’homme. Ce changement de position était là pour varier le plaisir, mais aussi pour la regardé prendre du plaisir de prés. Ce qui semblait ne pas déplaire à son amie.  Alice approcha donc de nouveau pour prendre de face cette fois, alors que Nana refermais ses jambes autour d’elle et passa ses bras autour de son cou. Leurs seins étaient coller les uns aux autres. Elles s’échangèrent des baiser, des caresses, des griffures, des mots, mais surtout du plaisir. Plusieurs fois les deux amies avaient coucher ensemble, mais pour Nanami cette fois si était différente, plus intense, non pas par son sexe d’homme, non elle se sentait plus proche d’Alice que jamais. Comme si ses aveux l’avaient rapproché encore plus d’elle. Peut-être qu’Alice n’avait pas tort quand elle avait dit qu’elle était peut-être amoureuse.

Le plaisir montait petit à petit, le visage D’Alice était terriblement excitant. Nanami sentait la jouissance approchée et espérait qu’il en était de même pour Alice. Elle était impatiente de voir comment elle allait faire. Heureusement elle ne craignait rien en théorie pour un accident se protégeant comme il faut. Puis elle doutait qu’Alice prendrais ce genre de risque.

-Hum, ça vient…Alice c’est trop bon.

Il n’y avait rien à craindre pour la suite. Il était presque impossible qu’Alice engrosse Nanami, non seulement parce que le sexe hermaphrodite ne fonctionnait pas aussi bien que le sexe hétérosexuel ordinaire, mais aussi parce qu’elle avait l’habitude de prendre des pilules contraceptives, et que, même si elle n’en avait pas pris ce matin, il fallait quand même attendre un peu pour qu’elles cessent de produire effet. Autrement dit, tout ce qu’il y avait à faire, c’était de savourer pleinement, et c’était très précisément ce que la tête blonde faisait en ce moment. Elle pénétrait ainsi énergiquement la femme, sans relâche, sentant son membre s’enfoncer en elle, disparaissant dans son corps.

« Hmmm... Maî-Maîtresse, haaaa... »

Alice l’embrassa à nouveau, sa main se cramponnant sur ses cheveux. L’autel était en pierre, fort heureusement, ne remuant donc pas sous leurs mouvements. La tête blonde continua à la prendre, et gémit encore. Si Nanami approchait de l’orgasme, c’était clairement aussi le cas pour Alice. La jeune femme couina encore, les joues rouges, et ferma les yeux. Ses mains se crispèrent encore contre celui de Nanami, et, dans un soupir, elle se relâcha enfin.

Sa queue tressauta sur place, et l’orgasme fusa. Dans un long soupir, yeux clos, Alice balança des filaments de foutre dans le corps de la femme. Elle se relâcha copieusement en elle, crachant ses filaments de foutre, et se calma ensuite progressivement. Son corps restait blotti contre le sien, et, de la main, elle caressa tendrement les fesses de Nanami, restant lovée à elle.

« Oh, Maîtresse, ce fut... Très agréable. Jouir en vous comme ça, vous saillir... Vous êtes mienne, maintenant ! »

La jeune Princesse flirtait dangereusement avec l’insubordination...

...Mais elle pouvait bien le faire en ce moment, non ?

Elle se laissa pénétré avec plaisir par Alice qui semblait tout autant apprécier qu’elle se moment. Inattendu et sur un coup de tête, le tout dans un lieu insolite pour elle, il faut dire qu’il y avait pas mal de paramètre pour rentre tout ça vraiment très excitant. Les gémissements des deux femmes combiné au plaisir qu’elles se donnaient finirent par les faire jouir toute les deux.

Les paroles d’Alice n’était désagréable à entendre, même si c’était Alice la soumise.

-C’est pas désagréable d’être tienne, mais c’est surtout toi qui est à moi. Ma princesse soumise.

Elle la garda ainsi contre elle un moment. Cette journée allait surement rester en mémoire pour elle. Tout ce qu’elle venait d’apprendre sur Alice et vivre avec elle, venait de renforcer leur amitié et peut être même la faire évolué du point de vue de Nanami.

-Que décide tu pour la suite Alice ? Après tout je suis pour l’instant chez toi et a toi.

Es qu’elles allaient poursuivre la visite, rencontré un dragon comme elle lui avait dit ? Ou encore rentré au château ? Tout ça c’était à la princesse de le choisir, elle avait plus de pouvoir qu’elle sur se territoire.

Quand Nanami rappela à Alice qu’elle était sa « princesse soumise », l’intéressée gloussa légèrement, comme si cette situation lui avait échappé... Ou comme si elle avait volontairement feint de l’ignorer. C’était un peu de la provocation, mais c’était aussi le rôle d’une soumise. Il fallait bien tendre le dos pour se faire battre, mais, ici, l’autorité de Nanami semblait être court-circuitée, comme si elle craignait de porter la main sur le corps de la Princesse. C’était, somme toute, compréhensible, surtout ici, au Sanctuaire des Dragons. D’ailleurs, Nanami ne tarda pas à rappeler qu’elle était pour l’heure « à » Alice, ce qui la fit sourire. Elle s’écarta doucement d’elle. La magie rose cessant de faire effet, son corps retrouva une apparence plus féminine, et elle commença par se rhabiller.

« Et bien, nous pouvons retourner au Château pour que tu me punisses... Mais j’ai promis de te montrer un dragon, non ? »

Alice enfila ses gants pour terminer de se rhabiller, puis glissa sa main dans le creux de celle de Nanami. Elle l’embrassa encore, brièvement, puis les deux femmes sortirent. Dehors, il y avait toujours le lac autour du sanctuaire, avec quelques nénuphars, et l’impression diffuse que ce lac n’était pas un simple lac. Il suintait de magie, une magie profonde et diffuse qui ne demandait qu’à émerger. Alice traversa le sentier jusqu’à revenir à la berge, puis tapota l’artefact qu’elle portait le long de son collier, une élégante croix dorée avec des rebords recourbés évoquant les ailes de dragon. Elle appuya dessus, et la croix se mit alors à briller, luisant de manière impressionnante.

Devant la curiosité légitimé de Nanami, Alice la renseigna rapidement sur cet objet :

« C’est un artefact sylvandin, la Croix De Sylvandell. Quand un Korvander appuie dessus... »

Un rugissement lointain se fit entendre... Puis plus proche, ainsi qu’un battement d’ailes. Une masse énorme apparut alors dans le ciel, jaillissant depuis les montagnes. Un épais dragon doré qui tournoya en cercles autour des deux femmes, et se laissa ensuite tomber. Il atterrit brutalement sur le sol, soulevant des mottes de poussière, à quelques mètres devant les deux femmes, et rugit alors. Un rugissement terrifiant qui souleva en arrière les cheveux de la Princesse.

Le dragon souffla ensuite dangereusement en se rapprochant, sa gueule s’entrouvrant pour laisser apparaître une rangé&e de dents triangulaires, monstrueusement pointues.

« Nanami, je te présente Glaedr, le dragon qui répond le plus souvent à mon appel. »

Glaedr nota les mains jointes entre Nanami et Alice, puis Alice se rapprocha alors de lui. Elle semblait minuscule face à ce dragon colossal, et caressa son museau, déposant un baiser sur son visage. Glaedr gronda alors en remuant des ailes, puis se pencha vers Nanami, son visage à quelques centimètres de son corps.

« Caresse-lui le museau, Nanami, et présente-toi. Les dragons ne sont pas de simples animaux, tu sais, et Glaedr est facilement susceptible ! »

Une telle phrase à propos d'un dragon aussi impressionnant semblait surréaliste, mais il ne fallait pas oublier qu'Alice avait toujours grandi avec des dragons.