Surprise en début de soirée [Drucila]

Bleiz n'avait qu'une envie, boire une biere. Il avait passé 2 mois à traquer un spécimen rarissime de terranide dans les contrées du chaos. La jeune fille était très douée pour lui filer entre les doigts. Et quand finalement il avait retrouvé sa trace, s'était pour découvrir son cadavre déchiqueté par une horde de créature bestial que Bleiz n'avait pas pus identifié.  Il n'avait d'ailleurs pas cherché à la faire, il était tellement frustré d'avoir manqué sa cible qu'il les avait massacré jusqu'au dernier. Encore énervé il décida de prendre le portail qu'il connaissais pour le mener à Seikuzu et de se détendre. Il décida d'aller au quartier de la Toussaint qui recelait 2-3 bar qu'il affectionnais.

Pour beaucoup le quartier de la Toussaint était un endroit effrayant pour moi c'était juste un quartier comme un autre, il fut un temps ou je n'aurais pas osé venir ici mais à présent ça m'étais égal, totalement égal, depuis quelques temps ce qui pouvait m'arriver ne m'interessait plus. Je n'irais pas jusqu'a dire que j'étais déprimée non mais disons que pas mal de chose m'étaient désormais parfaitement égal. Enfin bref j'avais envie d'un verre et physiquement je faisais assez vieille pour qu'on ne me pose pas de question et puis c'est incroyable comme tout parait plus simple quand on est une jolie fille. Un beau sourire, une tenue moulante et hop on obtient tout ce qu'on veut.

Je portais une jupe plutôt courte, enfin bien trop courte pour ce quartier et un petit haut qui dévoilait mon ventre, je me fichais qu'on me regarde, j'étais assez grande pour me défendre toute seule, enfin ça c'est ce que je me disais. Je me baladais tranquillement dans les rues je sentais par moment des regards sur moi mais je les ignoraient. J'étais presque arrivé à ma destination quand une main sur mon épaule me fit stoppé, je m'étais fait abordé par un mec qui voulait sois disant faire connaissance, je lui répondit un "pas interessé" d'une voix sèche sans même réellement le regarder avant de reprendre mon chemin.

Seulement le mec en question ne semblait pas voir les choses comme ça il me tira en arrière et me colla au mur, c'est là que je vis qu'il n'était pas eul, trois mecs décidément c'était pas mon jour, pas plus impressionné que ça je lachais un soupire ennuyé.

"Et si vous me foutiez la paix ?"

Ce baladant dans la ruelle Bleiz remarqua une charmante jeune fille aux cheveux roses et en tenue assez sexy qui marchai un peu devant lui. Ses formes bien développée étaient plus appétissante et Bleiz se dit que si elle allait dans un bar il tenterai au moins de lui offrir un verre. Il vit un homme tenter de l'aborder dans la rue. Apparemment la demoiselle lui mit un vent car elle semblait repartir. L'homme ne devait pas l'entendre de cette oreille, car il la tira et la bloqua contre un mur. L'homme fut vite rejoint par deux compères à lui qui encerclèrent le jeune femme. Cette dernière ne semblait nullement impressionnée par la situation et continuait à leur afficher un regard méprisant.
Le trio était prêt à passer à l'acte quand bleiz dit d'une voix très tranquille.
-Je doute fort qu'elle apprécie ce que vous lui faites messieurs.

Ils se retournèrent et semblèrent un peu moins sur d'eux. C'est vrai que dans un pays ou la taille moyenne avoisine le 1m60, se retrouver face à un mec de 1m90 vétu de noir et avec un long manteau est surprenant. Ils avaient du se rappeller qu'ils étaient trois car l'un d'entre eux dit:

-Casse toi! C'est pas ton problème.

-J'ai une meilleur idée. Vous allez partir en vous excusant auprès de la demoiselle, et en échange, vous vous éviterez la peine de devoir raconter a vos mamans comment vous vous êtes fait autant de fractures.

Sans rien dire les deux types qui ne tenaient pas la demoiselle foncèrent sur Bleiz. Bleiz n'eus qu'as faire un vif mouvement de coté pour les évites et les regarder se prendre le mur qui était derrière lui. Le premier se releva et voulu frapper Bleiz à la tête. Bleiz l'arretta d'un coup de pied dans l'estomac puis lui prit le poignet et le tordi dans l'autre sens. Le second, visiblement fâché par ce qui était arrivé à son ami, fouilla dans sa poche pour en sortir un couteau et s'élança dans l'idée de l'enfoncer dans son ventre. Bleiz esquiva sur le coté, attrapa la main qui tenait la lame, et en lui tordant le bras, lui enfonça son propre couteau dans la cuisse.

Les deux hommes à terre, il se retourna vers le troisième hébété et s'approcha de lui.

-Alors on disait quoi déjà ? tu fait tes excuses et tu te casse ?

L'homme lâcha la fille et dit :

-E...Excusez-moi mademoiselle

La jeune fille qui ne conservais son visage impassible lui fit un vicieux coup de genoux dans l'entrejambe. L'homme se plia en deux, mais loin d'etre en colère il s'en alla le plus vite qu'il le put.

Une fille avec du caractère ? Sexy! pensa Bleiz. Il regarda la fille droit dans ses beaux yeux bleus et lui dit:

Bonsoir mademoiselle. Je vous pris de m'excuser de m'être mêlé de quelque chose qui ne me regardait pas. Ce n'est pas que je vous prenais pour une faible femme sans défence, mais j'ai toujours eus ce genre d'individus en horreur et il se trouve que ce soir j'avais besoin de me calmer les nerfs.

Il s'inclina respectueusement avant de dire.

Mon nom est Bleiz. A qui ai-je l'honneur ?