[FINI] Bloody Fairy Tale

Dans un contexte très christianisé comme pouvait l’être l’Europe des 16^ème et 17^ème siècles, une sodomie n’était pas un acte anodin… Tout comme le fait d’avoir un rapport homosexuel. Par conséquent, ce que Daisy et Minnie s’apprêtaient à faire n’était pas qu’un simple acte de luxure et de perversion, aussi important soit-il. C’était aussi une désobéissance civique, une manière de se moquer des règles sociales, de les tourner en dérision, ou de les tourner en faiblesse... Car, pour Daisy, il n’y avait rien de pervers dans ce qu’ils comptaient faire. Lorsque Minnie l’embrassa, c’est avec plaisir qu’il goûta à ses lèvres, se tortillant contre lui.

« Mmmhmmm... !! »

Daisy goûta aux lèvres de son amant, tout en sentant son sexe caresser le sien. Les deux étaient très excités, ce qui pouvait se comprendre, car, depuis le début de cette soirée, on ne cessait de jouer avec eux, et de les torturer. Maintenant, Daisy espérait bien avoir enfin ce qu’il voulait : du cul. Minnie, après ce bref et sensuel baiser, le retourna donc. Les mains gantées de Daisy se crispèrent sur le sol, et il écarta les jambes, venant bomber son petit cul. Les mains de Minnie s’attardèrent sur sa croupe, le faisant soupirer. On pouvait le voir se mordiller les lèvres, se dandinant sur le sol, et l’accès à sa croupe fut finalement accessible.

Les convives souriaient entre eux, attendant probablement le moment où la « Princesse » viendrait sodomiser l’autre. Minnie releva sa robe, faisant sortir un joli morceau, et finit par le rapprocher du cul de Daisy. Quand ce dernier sentit ce morceau de chair s’approcher de ses fesses, tapant contre sa peau, un couinement s’échappa des lèvres. Ça y est... Enfin ! Il sentit ce membre s’enfoncer dans son corps, et un cri de plaisir, guttural, s’échappa de ses lèvres, remontant dans toute la pièce.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Dans son dos, Minnie se mit à correctement la besogner, et Daisy suivit le mouvement, soupirant, gémissant, yeux clos, joues rouges, tout son corps se tendant sous le plaisir. La douleur, présente, ne faisait que se mélanger à un plaisir terrible et vorace. Daisy gémissait de plaisir, encore et encore...

« Hnnnnnnnnnnnnnnn... Ouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiii... !! »

De longs soupirs, des cris à peine audibles, et le plaisir, lui, qui vint s’imposer... À tel point que Daisy n’arrivait même plus à retenir sa salive, qui coulait sur le sol.

Le moment tant attendu, le dénouement quasi ultime de cette situation qui n’avait que trop duré ! Pour la première fois, Minnie allait faire l’amour ; et en plus, à une personne de son choix. Et ce choix s’était portée sur Daisy, ce garçon qui était dans les mêmes conditions que lui. Depuis qu’il l’avait vu, il y a quelques temps, il avait senti quelque chose. Une attirance presque magnétique, incontrôlable. Et maintenant, après avoir vu qu’il désirait hargneusement son corps, son souhait fut exhaussé. La Comtesse avait enfin décidé à les laisser se faire l’amour, au beau milieu de toute une assemblée qui ne faisait rien d’autre si ce n’était se moquer d’eux. Mais à proprement parlé, Minnie s’en fichait. Tout ce qui importait, était qu’il allait sodomiser son comparse, et qu’il allait lui offrir la même en retour. En somme, les deux Princesses allaient joyeusement se défleurir la rondelle, mutuellement.

Et ce fut Minnie qui ouvrit le bal. Embrassant fougueusement Daisy, jusqu’à en perdre son souffle, il finit par délaisser ses délicieuses lèvres au profit de son arrière-train. Le plus étonnant, était que si les deux garçons n’avaient quasiment aucunes formes, on ne pouvait pas contredire le fait que leurs popotins étaient presque aussi généreux que celui d’une belle femme. Il suffisait de voir celui de Daisy ; il était bien bombé. Un plaisir à l’état pur, surtout quand Minnie posa ses frêles mains dessus, puis commença à pousser son sexe au sein même de ses entrailles. Un soupir s’échappa de ses lèvres, alors que son corps entier tremblait sous le désir et le plaisir. Il n’avait fait, pour le moment, que rentrer sa verge et pourtant, c’était déjà très sensationnel. Entrouvrant les lèvres, il sentit un feu ardent ronger son bas-ventre, le poussant finalement à enchainer.

Il raffermit son emprise sur les petites fesses de son acolyte, puis commença alors à effectuer ses vas et viens. Son sexe rentrait puis sortait, de plus en plus rapidement. Au final, il était vraisemblablement en train de sodomiser la princesse qui se tenait devant lui. Et les soupirs et gémissements que cette dernière poussait étaient tout simplement magnifique, à ses oreilles. Cela l’excitait encore plus. Minnie labourait vigoureusement Daisy, le faisant agiter en avant et en arrière à chaque coup de butoir. « Ouiiiiiii !!! Hmmmmm c’est boooooon !!!!! » Gémit-il, alors que sa langue se mit à pendre, sans même le vouloir. Sa verge entrait et sortait nerveusement, pilonnant sans relâche cette petite rondelle si étroite et serrée, mais qui faisait tant de bien à Minnie. Plus il tapait, plus il s’enfonçait loin dans ses entrailles ; après tout, sa trique était quand même très conséquente.

Au bout de quelques temps, la pression commença à devenir bien trop forte pour être contenue plus longtemps. Serrant des dents, Minnie enfonça ses doigts dans les belles fesses de Daisy, alors que tous ses muscles se crispèrent. « Haaaaa !!! » Soupira-t-il intensément, sentant l’orgasme pointer son nez. Et il n’avait pas eu tort ; à peine quelques instants après, il sentit son sexe vibrer intensément, avec une puissante et brûlante salve de foutre qui le remontait. « HMMM DAISY !!!! HAAAAA !!! » Cria-t-il une dernière fois, alors qu’il fut foudroyé par l’orgasme pointant. Sa verge explosa littéralement dans son fondement, libérant alors un torrent de foutre qui alla se déverser dans son estomac. Son souffle s’était perdu au même moment que son esprit. L’orgasme avait été si foudroyant qu’il avait presque faillit perdre connaissance. C’était la première fois qu’il pouvait jouir aussi librement, et qui plus était, dans un cul.

Attendant un peu, il finit par se retirer, quittant alors le chaud et accueillant arrière-train de Daisy. Avant de passer à son tour, il se courba puis vint très tendrement déposer un baiser sur l’une de ses fesses, qu’il fit durer un certain temps. « Hmm … » Couina-t-il, alors qu’il embrassait amoureusement cette fesse, qu’il finit malheureusement par quitter. C’était à présent au tour de Daisy de venir prendre plaisir, et Minnie était entièrement prêt à l’accueillir en lui.

Daisy aurait cru que cette sodomie serait douloureuse, il aurait pu craindre de n’y ressentir aucun plaisir... Mais ce fut bien tout le contraire qui se produisit. Une décharge de plaisir le traversa de part en part, remuant dans tout son corps, le faisant frissonner sur place. Un soupir s’échappa de ses lèvres entrouvertes, ses mains venant se crisper sur le sol, tandis que, dans son dos, il pouvait sentir Minnie agir, avec force et avec hargne. Trop longtemps, on avait fait souffrir les deux amants. Trop longtemps, on avait choisi de les frustrer. Maintenant, le plaisir éclatait, furieux, incandescent, irrépressible. Autour d’eux, les convives s’amusaient, se moquaient, gloussaient, mais Daisy s’en fichait. Pour lui, en ce moment, il n’y avait que Minnie qui comptait ! Son amie, sa comparse... Il ne savait plus s’il était un homme ou une femme, mais il savait qu’il adorait les sodomies ! Oui, se faire prendre par Minnie, quelle joie, quel délice ! Tout son corps en frissonnait, en vibrait, remuant au fur et à mesure des mouvements de la Princesse. Douleur et plaisir ne faisaient plus qu’un, et on pouvait l’entendre gémir, soupirer, yeux clos, poussant des petits couinements aigus qui avaient tout de féminin... Et, tandis qu’il était pris avec force, il n’arrivait même plus à retenir sa salive, qui coulait de ses lèvres, au fur et à  mesure que la sodomie se poursuivait.

Baisé comme un chien, Daisy couinait et haletait, ses mains gantées se serrant sur le sol, sa queue allant parfois frotter ce dernier... Puis Minnie se vida en elle, remplissant et inondant son cul de son foutre, son sperme abondant qui afflua en elle, se déversant dans son corps.

« Haaaaaaaaaaaa... !! »

Quelle magnifique sensation ! Minnie venait de jouir, et Daisy pouvait sentir son foutre remonter dans son corps ! Des larmes de plaisir (et de souffrance, mais les deux ne formaient alors plus qu’une seule et même sensation) glissaient le long de ses joues rougies, tandis que Daisy sentit la verge de Minnie se retirer de son corps, le faisant trembler. L’air se mit ensuite à caresser son anus ouvert, frottant ses parois, le faisant délicieusement frémir.

« Hnnnnnn... »

Sa respiration était lourde et lente, et Daisy rougit pour de bon, se mordillant les lèvres quand Minnie alla embrasser ses fesses. Le baiser dura de longues secondes, Daisy rougissant de nouveau en voyant tous les gens les regarder. C’était maintenant à lui de sodomiser Minnie, et il se retourna vers elle.  Son amant lui offrait la vue de sa croupe, ce trou étroit et serré, et lui contempla son sexe, rougissant encore. L’homme se mordilla les lèvres, soupirant, et tenta de se redresser, tout en sentant une vive douleur remuer le long du bas de son dos.

« Haa... Minnie... Je... Je vais te sodomiser... Moi aussi... »

La Maîtresse ne disait rien, restant les bras croisés, et, d’une démarche un peu gauche, Daisy marcha vers lui, puis posa ses mains sur ses fesses, venant tendrement les masser. Oh, que c’était bon ! Il redressa la robe de Minnie pour mieux voir son beau petit cul, et ses pouces appuyèrent dessus, se glissant le long de sa croupe, écartant ainsi les deux fesses de Minnie, l’une de l’autre, tout en frottant sa queue contre son corps.

« Haaa... Tu as un si beau cul, Minnie... Tu... Dis-moi... »

La « Princesse » se mordilla les lèvres, essayant de calmer les élancements nerveux et surexcités de son cœur pour parler calmement :

« Dis... Dis-moi que... Que tu veux que... Que je te d-dé... Défonce le... Le cul ! »

Ça y est, il avait réussi à le dire !

Entre les princesses, on aurait presque pu croire qu’un amour fou et irrationnel avait vu le jour. Mais, pour le moment, il était surtout animé par une grande attirance physique. Bien que le fait que les deux garçons soient liés par la même condition, et que cela jouait dans l’affection qu’ils se portaient mutuellement, le sexe et l’attirance physique jouaient un rôle assez proéminent. Quelle ne fut pas leur satisfaction quand leur maitresse finit par accepter qu’ils se fassent enfin l’amour ! C’était tout ce qu’ils avaient demandé, depuis le début ; à pouvoir se serrer mutuellement. Juste pouvoir se câliner, et se sodomiser au passage. Pour le coup, ce fut Minnie qui ouvrit le bal en montant Daisy. Et que dire … La princesse découvrit un plaisir immense ! Rien qu’en enfonçant lentement sa verge dans un trou aussi étroit que cette rondelle était fantastique ! Aucune sensation n’équivalait à celle-ci …

Minnie avait donc bien sodomisé son acolyte, ayant labouré ses petites fesses avec toute la force qu’il avait. Il l’avait tellement bien fait, que l’orgasme en fut sensationnel. En effet, après tout ce temps, il avait joui abondamment en lui, remplissant généreusement ses entrailles de sa crème brûlante. Minnie avait beau être des plus efféminé, il en demeurait pas moins que la Comtesse avait réussi à conserver son sexe. À un tel point qu’il pourrait facilement en faire envier plus d’un. Long, érigé, il avait envoyé une belle cartouche dans les intestins de Daisy. Mais, après une longue et délicieuse sodomie, c’était à présent à son tour de la recevoir. Ainsi, il se mit en position et attendit impatiemment que son amant le labour à son tour … Il en mourrait tellement il attendait cela depuis si longtemps.

D’abord, il sentit les mains, les délicieuses mains de Daisy se poser sur sa croupe pour la caresser. Il poussa un petit soupir de délice face à cela, adorant ces caresses. Mais il adora ceci encore plus quand Daisy passa ses pouces de manière à écarter chacune de ses fesses, tout en les malaxant. Il se faisait plaisir, et faisait plaisir aussi. Minnie s’en mordillait nerveusement les lèvres, sentant sa petite rondelle s’agiter sous l’anticipation de cette sodomie. Il pouvait aussi sentir la queue de son acolyte frotter contre son corps et ça … C’était sans doute la plus délicieuse des sensations qu’il ressentait à ce moment. Malgré tout, il rougit encore plus quand il entendit Daisy lui demander de dire quelque chose. Il voulait l’entendre dire une phrase, un mot bien précis.

Le cœur de la princesse palpita fortement, ne sachant pas s’il en avait le droit. Mais … À vrai dire, maintenant qu’il appartenait corps et âme à son amant, il n’allait pas lui refuser cela. Couinant, Minnie se mordilla la lèvre puis s’exprima. « Oui … Oui Daisy, je – je veux que tu me défonce le cul ! Vas ... Vas-y, je t’en prie ! Détruis m-ma petite rondelle, par pitié … » Dit-il, à bout de nerf. Finalement, après son aveu, il sentit enfin les mains de son ami se poser fermement sur sa croupe, alors qu’il sentit son gros morceau de chair tendu frotter entre ses fesses. Enfin, enfin ! Il tressaillait d’avantage au moment où … Le gland tout chaud de Daisy vint taper contre sa rondelle, pour la forcer tout en s’enfonçant en elle.

Il prit une grande inspiration, comme surpris par autant de plaisir, et de douleur. Ses doigts se crispèrent autant que ses dents, avant qu’il ne lâche ses premiers gémissements. « Haaaaannn ! » Gémit-il, plaisir et douleur fusionnant pour donner une sensation des plus délicieuses au monde !

La sodomie se poursuivit donc, au milieu d’une assemblée ravie. Un magnifique coup de publicité pour la Comtesse, qui voyait là l’occasion de montrer à tous ses amis et connaissances l’efficacité de ses techniques et méthodes pour briser les esprits, et ainsi amener les hommes à se comporter comme de petites fiottes impudiques et soumises. Au milieu de l’assemblée, Daisy ne tarda pas à enfoncer sa verge dans le cul de Minnie, et les deux « Princesses » firent donc, à nouveau, vigoureusement l’amour. Le mandrin de Daisy remuait vigoureusement, donnant de grands coups de reins, tandis que ses mains gantées se crispèrent sur les fesses de Minnie. Daisy poussait de longs soupirs joyeux, excités et fiévreux, en se laissant joyeusement aller.

« HHHHHAAAANNNNNNNN... !! »

Les joues rougies par l’effort, les yeux clos, Daisy se laissait enfin aller. Oui, il pouvait enfin pénétrer la belle Minnie, il pouvait enfin se laisser aller joyeusement en elle, et... Et c’était tellement bonqu’il en pleurait même ! Des larmes ruisselaient le long de ses joues, alors que le plaisir explosait en lui. Des semaines de frustration avaient fini par aboutir à ce moment, les dernières minutes ayant servi de terrible catalyseur à une (très) longue frustration, qui pouvait enfin se relâcher. Enfin, oui, enfin, il la prenait ! Daisy était comblé, totalement surexcité. Le petit cul de Minnie le faisait joyeusement souffrir, une souffrance qui n’avait rien à voir avec celle engendrée par la frustration, une souffrance... Une souffrance bienvenue ! Oui, cette souffrance-là, Daisy l’accueillait à bras ouverts, et il s’absorbait dedans, remuant de plus en plus, sa salive venant parfois dégouliner de ses lèvres pour tomber sur son justaucorps rose... Un justaucorps joli et sexy, mais qui, avec la sueur, le sperme, et maintenant la salive, ne devait plus ressembler à grand-chose... Mais ça, Daisy, en toute honnêteté, s’en moquait !

Poussant un grognement, il posa ses mains sur le cul de Minnie, se crispant dessus, banda les muscles... Et multiplia les coups de reins, y allant plus vite, plus fort. Soupirant et haletant, Daisy arqua son corps vers le bas, et continua à remuer, pilonnant joyeusement le merveilleux petit cul de son amante.

« Hnnnnnnnnnn... !! »

Ne pas se retenir, ne pas se retenir, Daisy suivait cette idée, en se lâchant joyeusement contre le corps de Minnie. Entremêlés, les deux amants n’en faisaient plus qu’un, et Daisy enculait fièrement et profondément son ami princier. Toute cette frustration accumulée le rendait nettement plus agressif, et il griffait le cul de Minnie, allant parfois le gifler, le prenant, encore et encore... Sous le regard ravi et amusé des convives, qui étaient conquis par ce magnifique spectacle.

Et comment auraient-ils pu ne pas l’être ?

Un spectacle haut en couleur, et pas qu’à cause des robes des deux princesses. Minnie avait prodigué une merveilleuse et intense sodomie à son acolyte, le faisant hurler et couiner au moins tout autant que lui. Ce fut si magnifique et puissant car Minnie avait accumulé tant de frustrations, tant de souffrances et bien d’autres choses, qu’il s’en était donné à cœur joie. En plus que Daisy l’attirait … C’était la petite cerise sur le gâteau. Pouvoir coucher avec lui, le sodomiser et l’embrasser avait été l’un des meilleurs moments dans sa vie d’esclave sexuel. Il aimerait tant que cette expérience soit réitérée, que ça soit en conscience de la Comtesse … Ou dans son dos. Il s’imaginait bien faire des sorties de nuit, en toute discrétion, pour rejoindre son amant afin de lui faire vigoureusement l’amour, de le câliner et de, tout simplement, passer un bon moment.

Tout ceci lui revint en tête au moment où Daisy, lorsque ce fut à son tour, se mit à enfoncer son énorme et juteuse trique en lui. Poussant un gros hoquet, Minnie se laissa complètement faire, sentant ses muscles se faire stimuler d’eux-mêmes. Il sentit aussi ses entrailles se contracter tout autour du mandrin de Daisy, le comprimant grandement alors qu’il était en train de le labourer. La sensation devait être incroyablement bonne ! La princesse l’avait elle-même sentie quelques minutes auparavant, et elle ne pouvait que s’imaginer à quel point son amant était en train de prendre son pied.

Sauf que Daisy était plus vorace, plus vif ! Non content de bien sodomiser Minnie comme il se devait, il se mit à grogner à et griffer ses petites fesses toute roses. Des sensations accueillies à bras ouverts par l’intéressé, qui couina à chaque gifle que lui mettait son amant. « Haaa ! » Couinait-il, ses mains se crispant nerveusement sur le sol. Il sentait cette lourde verge le pilonner avec force, tapant contre le fond de ses entrailles. Il perdait la tête de seconde en seconde, et pour preuve, sa langue pendouillait en l’air et ses yeux se braquaient haut vers le ciel. Minnie soupirait grandement, et commença même à ressentir des frissons en lui ; signe que sa propre verge commençait à reprendre en vigueur. Cela atteignit un tel point que lorsque sa queue balbutia d’avant et d’arrière à chaque coup de rein de son ami, le bout de celle-ci frotta le sol, tellement sa trique était redevenue massive.

Minnie ne mit pas longtemps à voir son intimité commence à juter, à ce rythme. En effet, il finit par laisser couler un peu de sa semence, qui alla lentement s’écouler sur le sol. Tout son corps remuait sous les terribles coups de son amant, et il ne cessait de gémir, de couiner, tout en se retenant d’hurler de plaisir. Mais le coup de grâce finit par arriver quand la princesse à la robe rose finit par craquer, et que dans un ultime coup de burin, il balança sa brûlante crème en lui, gémissant comme jamais auparavant. « HAAAAAAAANNNNN OUIIIII !!! » Gémit-il, griffant littéralement le sol avec ses ongles. Sa rondelle se contracta au maximum, écrabouillant la verge de Daisy afin d’encore plus stimuler son orgasme à lui. Minnie se mit à jouir abondamment sur le sol, aspergeant celui-ci d’une marée blanche, en un grand jet continue.

L’orgasme dura au moins une bonne dizaine de second, pendant lesquelles il sentit Daisy remplir à ras bord ses entrailles ; à un tel point que son ventre se mit à gonfler à l’œil nu. Il aurait tant voulu recevoir tout ce foutre non pas dans son cul, mais ailleurs. En d’autres termes, il aurait tant voulu que Daisy se vide autan dans sa gorge ! Mais ce qui était fait, était fait. Finalement, les deux traps soupirèrent, leur force les quittant petit à petit. Les deux avaient abondement jouit, ayant même finit par inonder le sol, du moins là où ils étaient, par la délicieuse composition de leur foutre respectif. Quand Daisy se retira, Minnie se redressa puis se retourna … Avant de se jeter comme un fauve sur la princesse, la forçant à s’allonger au sol le piégeant en dessous de lui. Comme un véritable assoiffé, il se serra contre lui, puis captura ses mains avec les siennes, croisant ses doigts avec pour les ramener au-dessus de sa tête, sur le sol … Avant de l’embrasser voracement.

C’était qu’il avait le béguin !

Les deux Princesses venaient enfin de s’unir, chacune venant de jouir dans le cul de l’autre. Pour Daisy, jouir fut comme une libération, la fin d’une terrible souffrance, à tel point qu’il jouit avec une force terrible... Du moins, ça semblait terrible pour lui ! L’homme s’abandonna en effet avec force contre Minnie, en sentant son sperme jaillir, à tel point que ça en était douloureux, et son corps s’arcque-bouta même sur celui de Minnie, ses mains se crispant sur ses fesses. Daisy jouit furieusement en Minnie, balançant des filaments de foutre, ayant l’impression d’en balancer des litres entiers... Le sexe vous faisait toujours tout embellir et tout exagérer, surtout quand vous en étiez au point de l’orgasme. L’orgasmes explosa donc, et Daisy se vida en lui, soupirant longuement.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Sa bouche s’ouvrit en grand, dans une posture un peu ridicule pendant quelques secondes, avant qu’il ne se sente, enfin, vidé. C’était bien simple : Daisy n’aurait pu être aussi heureux en ce moment. Le plaisir qu’il ressentait avait atteint des sommets, et Minnie et lui allèrent joyeusement s’embrasser... Jusqu’à ce que des mains les saisissent par le col, venant les écarter l’un de l’autre. Deux gardes, et Maîtresse était entre les deux, en esquissant un léger sourire.

« Et bien, mes chéries... Votre ardeur fait plaisir à voir ! »

Elle esquissa un nouveau sourire, toujours aussi belle et terrible, pendant que Daisy continuait à rougir de plaisir, mais aussi un peu de honte, à l’idée de ce qu’ils venaient de faire, lui et Minnie. Au moins, son érection avait enfin diminué, mais il redoutait maintenant le courroux de sa Maîtresse. Qu’allait-elle leur faire subir ?

Cette dernière réfléchit lentement, puis sourit légèrement.

« Je pense que vous aviez bien mérité de vous reposer, mes petites... Ensemble et dans le même lit. »

Le visage de Daisy s’éclaira de bonheur, puis leur Maîtresse pencha vers elles, et caressa leurs visages, en les rapprochant l’un de l’autre, pour venir parler à voix basse :

« Vous êtes mes petites putes princières... Maintenant, et à jamais. »

À jamais... C’était tout ce que Daisy voulait entendre, et ceci fit bondir son propre cœur dans sa poitrine.

À jamais !

« Je... Je serais toujours avec Minnie, alors, Maîtresse ?
 -  Jusqu’à votre mort, oui... Car je pense que vous êtes comme des inséparables. Si je sépare l’une de l’autre, vous allez dépérir toutes les deux, mes salopes... Et je ne vais pas vous vendre non plus, vous divertissez mes amies... Attendez-vous donc à joyeusement baiser ensemble, toutes les deux... »

Daisy en aurait pleuré de joie, et un beau sourire illumina ses lèvres.

« M-Merci, Maîtresse... »

Cette dernière se redressa alors, guère habituée à montrer ses sentiments, puis s’adressa à ses gardes.

« Conduisez-leurs à leur chambre... Désormais, ils ne se sépareront plus. »

Et c’était tout ce que Daisy voulait entendre, car, ce que sa Maîtresse venait de dire, c’était que, à jamais, elle resterait une belle pute princière !

FIN