Le jeu de Shiro n'a pas tout à fait les conséquences qu'elle espérait : en un clin d’œil, elle se retrouve avec la Minerva originale au-dessus d'elle, son sexe à portée de sa bouche, et le clone hors de son champ de vision. Elle remarque également que les rideaux autour du lit avaient été tirés de façon à complètement cacher la vue du reste de l'infirmerie, donnant une impression inquiétante d'emprisonnement. Heureusement, l'infirmière ne panique pas, elle préfère s'employer à la demande de sa patiente, et se met à lui lécher avidement l'entrejambe. Quelques secondes après, elle retrouve enfin la paradoxe : cette dernière a enfilé le gode-ceinture qu'elle a utilisé un peu plus tôt, et s'apprête à la pénétrer avec, en passant par la petite porte. La femme veut couiner, mais sa voix est étouffée par le contact proche des lèvres intimes de la lycéenne.
« Mmhh... mmmhhh ! »
Shiro sent tout son corps vibrer au moment où le jouet entre en elle, glissant avec une étonnante facilité. Les premiers allés et venues se font doucement, sans trop forcer, puis le rythme augmente au fur et à mesure que le temps passe. L'infirmière est dans une position de dominée, mais elle ne se plaint pas. Cette fille est clairement plus forte et plus méchante qu'elle, alors tant qu'elle lui donne du plaisir, il n'y a pas de quoi être mécontente. Elle est même satisfaite de la façon dont elle se fait prendre, et le montre bien en léchant goulûment la fente mouillée de Minerva, se délectant de ses petits gémissements de plaisir. Elle a beau dire qu'elle ne se fait pas piéger, elle est quand même en train de se laisser aller au plaisir. Ce n'est pas exactement ce que l'infirmière essayait d'accomplir, mais c'est déjà bien.
Le temps semble défiler au ralenti entre les rideaux qui cachent le lit de l'infirmerie. Portée par son plaisir, Shiro ne sait plus depuis combien de temps elle est ici, mais elle voudrait pouvoir y rester encore longtemps, à se faire prendre par le cul tout en léchant le sexe de Minerva. Elle parvient d'ailleurs à la faire jouir une fois, et avale toute la cyprine qui sort de cette fente humide en réponse au plaisir de la jeune fille. Quant à elle, elle a également joui une fois du plaisir reçu par la sodomie que lui offre le clone. Finalement, les deux filles décident de faire un petite pause pour laisser à leur prisonnière le temps de reprendre son souffle. Cette dernière en profite pour user de ses pouvoirs.
« Hé le clone, si tu venais prendre la place de Minerva, que je puisse te donner du plaisir à toi aussi ? Laisse donc le gode à ta version originale, je suis sûre qu'elle saura s'en servir. »