Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Bureau de la direction et infirmerie => Discussion démarrée par: Shiro Ishimi le dimanche 10 mai 2015, 13:15:54
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La période de l'année que Shiro préfère, c'est la période des visites médicales obligatoires du lycée. Elles ont lieu deux ou trois fois par an, et les élèves sont obligés de se montrer en sous-vêtements devant les infirmières du lycée. Et cette fois ci, c'est assez particulier parce que, grâce à un arrangement établi plusieurs mois à l'avance, l'infirmière a réussi à s'organiser pour qu'elle ne s'occupe que de la visite médicale des filles. Autant dire que, le nuit de la veille, elle a eu beaucoup de mal à dormir calmement. Avec toutes les pensées perverses qui filaient dans sa tête, c'est déjà un miracle qu'elle n'ait pas passé la nuit à se masturber comme une folle.
Quand le jour tant attendu arrive enfin, Shiro est excitée comme une puce. Les filles arrivent dans l'infirmerie l'une après l'autre, certaines sachant très bien ce qui les attend puisqu'elles sont des patientes régulières de l'infirmière aux oreilles de lapin. Pour chacune d'entre elles, la jeune femme passe toujours par les mêmes étapes : mesure de taille, de poids, et prise des mensurations pour vérifier que leurs corps grandissent normalement ; prélèvement d'urine pour des analyses futures ; tests des réflexes ; et la meilleure partie, quand ses mains glissent accidentellement sur les zones sensibles des lycéennes, leur arrachant de petits gémissements de plaisir. Chacun de ces bruits indiquent à Shiro à quel point la fille entre ses mains peut être sensible, et si elle peut faire une partenaire intéressante. Quant aux patientes déjà régulières, c'est une occasion de plus de les caresser, leur donnant parfois de petits baisers sur les joues ou dans le cou.
Pour certaines filles, la visite se passe sans aucun problème. Pour d'autres, qui ne veulent pas se faire observer, il faut parfois user de mots rassurants ou autoritaires pour les convaincre de se laisser mesurer. Et bizarrement, c'est ce genre de filles que l'infirmière aime avoir entre ses mains, pour le frisson du défi.
Hélas, toutes les bonnes choses ont une fin, et la journée de la visite médicale se termine plus vite que ce que Shiro aurait voulu. C'est avec un peu de peine qu'elle termine de remplir les papiers relatifs à cette journée. Et c'est justement en les remplissant qu'elle se rend compte qu'une fille du lycée manque à l'appel. Une certaine Minerva Ghost, un nom qui ne dit rien à Shiro. Évidemment, la jeune femme ne peut pas laisser passer ça. Même si cette visite peut être déstabilisante ou gênante pour certaines personnes, elle est obligatoire, donc personne ne peut y échapper. Et Shiro compte bien rétablir l'ordre des choses.
Le lendemain du jour de la visite, l'infirmière convoque Minerva. Elle se présente en début de matinée. Comme Shiro s'y attendait, elle découvre un nouveau visage. Celui d'une jeune fille aux cheveux longs et noirs, qui lui cachent l'œil gauche, tandis que le droit montre une belle pupille rouge. Son corps est bien proportionné, et son uniforme scolaire la met bien en valeur. L'infirmière se sent attirée par ce joli brin de fille, mais se cache bien de le montrer. Elle reste professionnel tant que la situation ne passe pas en sa faveur.
« Bonjour Minerva. Je m'appelle Shiro Ishimi, je suis l'une des infirmières du lycée. Je ne me souviens pas t'avoir déjà vu dans mon infirmerie, alors sois la bienvenue.
Tu n'étais pas là le jour de la visite médicale, donc je vais te la faire passer maintenant. Mais avant, je dois te demander pourquoi tu n'étais pas là hier. »
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Minerva arriva au lycée comme d’habitude conduite par Mina en tenue conduisant la limousine. A peine arrivé la jeune fille fut convoqué. Se fut pas une surprise après tout, elle n’était venue en cours hier. Minerva était trop occupé à programmé l’action de ce soir. Par contre elle fut surprise que la convocation concernait l’infirmerie et non la direction de l’établissement. Ce n’est quand rencontrant l’infirmière qu’elle comprit de quoi il s’agissait. Il est vrai que la veille était prévue la visite médicale obligatoire. Bien sûr l’infirmière ne l’avais jamais vue et souhaitait lui faire la visite maintenant. C’était normal qu’elle n’était jamais venue la voir, Minerva était certaine d’avoir plus de connaissance médical qu’elle et si jamais elle ne se sentait pas bien et ne savais pas se soigné elle-même, un coup de téléphone et les meilleurs médecins au monde rappliqué dans l’heure. Elle voulait savoir pourquoi elle n’était pas venue hier. « Je préparais un cambriolage mettant an danger plusieurs être humain, pour voler une œuvre d’art chez un yakuza… » Non elle ne pouvait clairement pas lui dire la vérité.
-J’étais chez moi pour passer un examen en ligne pour mes études.
Miverva attrapa son sac de court et fouilla à l’intérieur pour sortir un document qu’elle tendit à l’infirmière. C’était un document médical légal montrant l’étendue de son état physique parfait. Les résulta d’une visite médicale passée pour prouver ses aptitudes physiques pour pratiquer à sport à haut risque.
-Avec un tel document, vous n’avez pas besoin de faire des examens. Alors à moins que vous souhaitait vérifier par vous-même, j’aimerais retourner en classe.
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« Un examen d'études en ligne ? Je vois... »
Shiro ne croit qu'à moitié à ce que Minerva lui dit. Mais elle ne peut pas la forcer à dire la vérité, donc elle se contente de cette version. Puis la jeune fille fouille dans son sac de cours et en sort un papier qu'elle tend à l'infirmière. C'est un document médical attestant du parfait état de santé de la lycéenne et qui l'autorise à pratiquer n'importe quel type de sport. En temps normal, Shiro ne se fie pas à ce genre de documents. Mais elle reconnaît la signature, celle d'un médecin avec qui elle a travaillé pendant quelques mois à l'hôpital de Seikusu, pour les besoins de ses études. Savoir cela la rend moins inquiète, mais elle ne va pas se contenter de ça.
« Ce document prouve que je n'ai pas besoin de vérifier ton état de santé. Néanmoins, je dois quand même procéder à quelques vérifications supplémentaires : je dois te mesurer, te peser, et prendre tes mensurations, le tout pour m'assurer que ton corps se développe normalement. »
Eh oui ! Toutes les filles de ce lycée doivent, à un moment où un autre, passer entre les mains baladeuses de Shiro, même si ça ne leur fait pas plaisir.
« Je vais te demander de te mettre en sous-vêtements. »
Minerva s'exécute. L'infirmière l'observe avec envie pendant un petit moment. Elle est plutôt bien bâtie, et ses formes sont assez alléchantes. Elle se voit déjà en train de lui faire tendrement l'amour sur un des lits de l'infirmerie...
Non, non, pas tout de suite. D'abord, je remplis son dossier.
Shiro procède aux mesures de taille et de poids. Rien d'anormal à signaler, si ce n'est une peau un peu trop pâle qui n'a pas souvent du voir le soleil. Puis vient le moment qu'elle préfère... la prise des mensurations. L'infirmière sort son ruban à mesures et s'approche de sa patiente.
« Bien. Lève les bras, s'il te plaît. »
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Minerva hocha les épaules quand l’infirmière insista pour quand même lui prendre certaine mesure malgré le document. Le cour qu’elle ratait était un cours d’anglais, en bonne londonienne, elle en avait pas vraiment besoin.
-Très bien si vous insistez. Ce n’est pas pour ce que je rate en cours…
Elle retira donc son uniforme pour se retrouvé en sous vêtement. Ce n’était des dessous qu’on voie souvent sur des lycéenne, pas la culotte blanche de la petite sainte ou la culotte a rayure ou a fraise, non Minerva portait un ensemble noir sexy. Il se composait d’un soutien-gorge et de la culotte avec porte jarretelle assortie (voir le gift 2 en balise dans la signature). Minerva aimait porter de joli vêtements et même si en cours portait un uniforme, ça ne l’empêchait pas de choisir ses sous vêtement. Une fois en tenue exigé, elle remarqua vite le regard d’envie de l’infirmière, elle ne pouvait pas lui en vouloir, ses quelques dernière année avait plutôt bien forgé son corps la rendant attirante. Mais jouant la comédie à la perfection elle garda un air innocent.
L’examen commença, mesuré sa taille, 1m65 elle n’avait pas beaucoup grandi et tant mieux cette taille était l’idéal pour elle. Elle était à la fois suffisamment petite et suffisamment grande. On négligeait souvent l’importance de la taille d’une personne, mais pas Minerva. Après de nombreuse réflexion prenant en compte des calculs de masse, d’endroits, de la force musculaire de sa garde du corps et bien d’autre paramètre, elle en avait conclu avoir la taille idéal et faisait en forte de gardé le poids parfait qui allait avec. Une bonne maitrise de son alimentation, quelque échange d’art martiaux et c’était facile de gardé son corps en forme, pas besoin de régime.
Maintenant venais les mesures des mensurations, écoutant les instructions de l’infirmière elle leva les bras. Elle avait un corps plutôt bien formé, elle trouvait juste sa poitrine un peu trop grosse, mais sa restait raisonnable. Finalement le regard que portait cette femme promettait de rendre cette visite plus intéressante, quelque chose lui disait qu’elle allait bien s’amuser.
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Shiro passe son ruban à mesures autour de la poitrine de Minerva. Elle ne serre pas trop fort pour ne pas lui faire mal, mais juste assez fort pour pouvoir la faire gémir. Un gémissement faible, mais néanmoins présent, qui informe l'infirmière sur la sensibilité de sa patiente.
Hum... Avec des seins comme les siens, et avec quelques minutes de caresses bien placées, je devrais pouvoir en faire une partenaire amusante.
Elle relève les mesures sur le tour de dessous de poitrine, puis sur la taille de bonnet.
« Tour du dessous : 70 cm. Tour du bonnet : 88 cm. Tu fais donc du... 90C. C'est plutôt encourageant pour une fille de ton âge. »
Malgré le compliment, Shiro peut voir une très légère expression de contrariété sur le visage de Minerva. Drôle de réaction.
« Que se passe-t-il ? Tu espérais autre chose ? Qu'ils soient plus gros ? Ou plus petits ? »
La jeune femme enlève le ruban de la poitrine de la lycéenne pour l'amener vers ses hanches. Avant de prendre les mesures, elle n'oublie pas de faire ''glisser'' ses mains sur les fesses de sa patiente, qui gémit à nouveau. Son geste est si léger et si agile qu'elle parvient à écarter les deux fesses l'une de l'autre, comme l'aurait fait une amante, sans que cela passe pour intentionnel.
« Bien, passons à la mesure de tes hanches. »
Shiro enroule le ruban autour des hanches de Minerva, et note les mesures.
« Tour de hanches : 88 cm. Incroyable, la même taille que ton tour de bonnet. »
L'infirmière remballe le ruban et va le ranger dans son placard, puis note les mesures récupérées dans la fiche rapport de la visite de la lycéenne. Elle la laisse ensuite se rhabiller, appréciant une dernière fois la vue de ses sous-vêtements noirs, des dessous plutôt affriolants qui réchauffent le corps de la jeune femme. Elle ne peut d'ailleurs pas s'empêcher de faire une remarque dessus. Avec ses pouvoirs d'E.S.P.er, évidemment.
« Dis moi, tu ne crois pas que ces sous-vêtements sont un peu trop... sexy pour une jeune fille ? Tu cherches à attirer un garçon dans tes filets ? Ou peut-être une fille, qui sait ? »
Avec un peu de maîtrise, la fille séduite, ce sera peut-être Shiro.
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Minerva se laissait mesurer par l’infirmière qui en profitait pour faire la discussion et commenté. Pour s’amusé suite au regard qu’elle avait remarqué sur son corps, quand le ruban passa sur sa poitrine, elle poussa un gémissement timide, parfaitement jouer. La mesure fait de son tour de poitrine l’infirmière lui annonça le résultat et au vue de sa question surement qu’elle n’avait pas vraiment réussi à cacher son dérangement sur la taille de sa poitrine.
-Ils ont encore grossie, il on dépassé l taille idéal que j’aurais souhaité. Sa vas finir par devenir encombrant, heureusement que ça reste utile pour d’autre atout.
Le ruban poursuivi sa descente de mesure sur son corps. Cette fois l’infirmière arriva habilement à jouer avec ses fesses, faisant gémir encore la jeune fille. Bien sûr elle se doutait que c’était intentionnel et qu’elle était habituée à le faire. Minerva lisait ça dans son regard, car son geste lui pouvait parfaitement être accidentelle. La suite des mesures se passa plus normalement sans gémissement mignon, fait pour insister l’infirmière à montrer son visage. Elle imaginait très bien comment la veille elle avait dut se faire plaisir avec toute les autres élèves, surtout que certaine était pas mal innocente, mais d’autre. Fini elle put donc remettre son uniforme, alors que l’infirmière en profita pour commenté ses dessous, étrangement son commentaire la fit rougir légèrement ce qui n’était pas habituel chez elle.
-Euh non pas vraiment, je porte toujours ce genre de vêtements, c’est plus adapté au robe que je porte habituellement.
Les mesure faite, quel allait être la suite ? Vue le comportement de la femme, elle se doutait bien que ça n’allait pas s’arrêtait pas là et professionnellement l’examen ne pouvait s’arrêté à de simple mesure. Une fois de nouveau habillé elle s’approcha donc du bureau.
-Pour la suie vous avez besoin de quoi ?
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Minerva rougit en répondant à Shiro. Elle dit qu'elle est habituée à ce genre de vêtements parce que c'est plus adaptée aux robes qu'elle porte habituellement. L'infirmière se met alors à imaginer cette jolie fille la retrouvant dans son infirmerie pour un rendez-vous, portant une belle et séduisante robe noire, moulant bien ses seins et ses fesses. Une fois déshabillée et avec ses charmants sous-vêtements noirs, elle deviendrait toute timide, lui dirait ''Je suis un peu nerveuse...'' ''Soyez gentille avec moi, s'il vous plaît...'', et la jeune femme lui ferait l'amour tout en douceur... Elle sort soudain de ses fantasmes quand sa patiente lui demande ce qu'elle va faire pour la suite de la visite.
« Hum, voyons... Après les mesures... Étant donné le papier que tu m'as donné, je crois qu'un test de réflexes ou un dépistage anti drogue ne sera pas nécessaire... Ah, je sais. Je dois tester la sensibilité de tes nerfs. »
Un des tests préférés de Shiro, qui s'en lèche les babines d'avance.
« Je vais vérifier que ton corps réagit bien au contact de mes mains. »
L'infirmière désigne la chaise en face de la sienne.
« Assieds toi, je t'en prie. »
Minerva s'exécute.
« Maintenant, ferme les yeux. Il faut que seul ton toucher entre en jeu. »
Shiro approche sa chaise pour se mettre à moins d'un mètre de sa patiente et pose ses mains sur son visage. Elle attend un peu, puis le caresse tout en douceur.
« Tu sens mes mains sur ton visage ? »
La lycéenne acquiesce. La jeune femme pose ensuite ses mains sur sa nuque pour la caresser du bout des doigts, comme si elle voulait la masser. C'est une zone érogène très importante, là où se rassemble l'activité nerveuse du corps humain, donc il est essentiel de la toucher avec application. Puis elle lui parle à nouveau mais, cette fois, elle le fait en utilisant une petite partie de ses pouvoirs.
« Tu sens mes doigts ? »
Oui, comme prévu. L'infirmière prend ensuite ses mains dans les siennes. Ses pouvoirs sont plus actifs.
« Et maintenant ? »
Elle acquiesce encore. Du coup, Shiro passe à ses jambes. Elle commence par caresser doucement ses pieds, puis fait glisser tout doucement ses mains sur ses chevilles, puis sur ses mollets. La voix de la jeune femme est plus mielleuse et, combinée à ses pouvoirs, a déjà dépassé le stade de la simple séduction innocente.
« Tu les sens, malgré tes collants ? »
Elle répond oui à nouveau, mais avec un léger gémissement dans sa voix. Shiro sourit malicieusement. Confiante dans ses chances de réussite, elle dirige ses mains sur les cuisses de Minerva, dont elle caresse l'intérieur avec beaucoup de sensualité. Les gémissements de la lycéenne se font plus bruyants. Enfin, pour lui donner le coup de grâce, l'infirmière passe ses mains sous la jupe de sa patiente et vient caresser son entrejambe et ses alentours par-dessus ses collants et sa culotte.
« Et là... tu sens mes mains te caresser ? »
Chaque mot de Shiro suinte de perversion et vibre par la puissance de ses pouvoirs. Les chances que Minerva lui résiste sont extrêmement faibles.
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Minerva était plus troublé que d’habitude et ne comprenait pas vraiment pourquoi. La sensibilité des nerfs ? C’était quoi se teste ? Surement un stratagème pour passer à ses actes pervers dissimulés. En cas de problème, elle savait que Mina n’était pas loin et qu’une petite lumière rouge témoin de la visé d’un sniper apparaitrais sur l’infirmière si elle tentait d’aller trop loin. La pauvre ne savait pas à qui elle s’attaquait.
Suivant ses instructions elle prit place sur la chaise et ferma les yeux. Elle sentie rapidement les mains sut son visage.
-Oui…
Elle était sérieuse là ? C’était ça son teste ? Même la plus cruche des élèves ne pouvait pas se faire avoir si facilement…Le cou bien sur, une zone érogène, là encore sa pouvait aller, après tout il fallait un minimum d’expérience pour comprendre ça.
-Oui…
Qu’es qui se passait, elle se sentait de nouveau rougir. Pourtant elle n’était pas si sensible à si peut normalement. Maintenant elle lui tenait les mains, plus elle parlait plus…Oui c’était ça ! Minerva avait senti une note de magie dans sa voie. Depuis qu’elle avait fondé le Cristal Noir, Minerva avait développé une sensibilité à la magie. Ainsi cette Femme se servait de la magie pour troublé ses élève et c’est ainsi qu’elle arrivait à obtenir ce qu’elle voulait. Il était temps de lui donner une bonne leçon.
Son œil cacher par un cache œil noir avec une rose blanche dessus, lui-même dissimilé derrière ses cheveux, s’activa. L’aiguille de l’horloge qui le composait s’arrêta. Ainsi le temps fut figer et seule Minerva était libre de mouvement. C’était un état de stase troublant même pour elle qui était habitué. Aucun mouvement d’aire, pas d’oxygène qui se renouvelait. C’était oppressant et très limité. Le Gel du temps effectuer, Minerva ne bougea pas, se libéré des mains de l’infirmière était difficile et trop couteux pour elle. Pour son idée, elle activa un autre pouvoir de « L’œil de Chronos », elle invoqua un paradoxe. Une autre elle-même, venant d’une dimension différente ou elle ‘avait pris un choix différent à un moment donné de sa vie. La Minerva Paradoxe était en en robe et coiffer de double couette et avait son œil artificiel bien à vue. (Voir premier gift de le la balise spoiler). L’avantage c’était qu’en l’invoquant, elle n’avait pas besoin d’expliqué la situation car tous les souvenir se partageait à l’invocation. La Paradox s’installa sur le bureau de l’infirmière dans son dos les jambes croisé et une de ses armes à la main. Minerva afficha un sourire et désactiva la gel, l’aiguille de son œil caché repris son défilement normal.
-Euh oui, je les sens bien…
Déjà elle ressentait la magie de l’infirmière la replonger dans son hypnose vocal, heureusement la paradoxe était là et veillait au plan. C’est pourquoi elle se laissa volontaire prendre. Les mains de l’infirmière, partirent sur ses jambes. Remontant petite à petit ses caresse n’avait plus rien de professionnel.
-Oh oui…
L’infirmière put sentir un changement dans sa voix, envouté par le pouvoir, Minerva ne jouait plus la comédie et se montrait moins gémissante qu’avant, elle ne jouait plus la petite innocente. Quand elle vient lui toucher la culotte elle poussa un léger gémissement, plus réel et moins mignon qu’avant.
-Hum oui…mais c’est plus..
-Alors c’est comme ça qu’on s’occupe de ses élèves mademoiselle ?
C’est à ce moment-là que La Paradoxe fit enfin remarqué sa présence. En se retournant, Elle put voir la deuxième Minerva affiché un sourire sadique tenant son arme entre les mains, sans pour autant la pointé sur elle.
-Les envouté par la voix pour pouvoir les abusé sans crainte, c’est astucieux. Je curieuse de voir se que vous avez l’intention de me faire.
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Minerva réagit exactement comme Shiro l'attendait. Tout à coup, une voix se fait entendre dans son dos. Elle se retourne en panique. Elle pensait voir une autre élève ou un professeur mais, au lieu de ça, c'est une fille ressemblant étrangement à sa patiente qu'elle voit assise sur son bureau. Sauf que celle ci est habillée en robe rouge, coiffée de telle façon qu'on peut voir son œil gauche, à l'iris jaune, et tenant une arme à la main, qu'elle pointe dans le vide.
L'infirmière s'éloigne lentement de la Minerva qu'elle considère comme l'originale, et recule jusqu'à avoir les deux filles dans son champ de vision. Elle les observe un petit moment et réfléchit à la manière de réagir face à cette situation. A entendre ce que raconte le double, elle est juste curieuse de voir la suite. Mais la jeune femme a quand même un doute.
« Si tu tiens tant que ça à la voir, alors range ton arme. »
Le clone obtempère. Après quoi, Shiro se dirige vers la Minerva originale.
« Tu as compris que je ne suis pas une humaine ordinaire, et que je ne suis pas une innocente infirmière. C'est vrai que j'ai essayé de t'envoûter avec ma voix, mais puisque tu as compris, alors arrêtons de jouer de la sorte et allons directement au plus important : j'ai l'intention de te faire l'amour, mais je ne veux te forcer à rien. Mes pouvoirs m'auraient permis de déterminer si tu nourrissais une quelconque forme d'envie à mon égard mais, puisque tu m'as démasquée, je préfère te poser la question directement : Minerva, acceptes tu de faire l'amour avec moi ? »
L'infirmière n'a encore jamais posé la question à une femme avant aujourd'hui. En général, elle les attire avec sa voix d'E.S.P.er ou avec son physique très avantageux. Mais là, c'est Minerva qui va devoir prendre une décision.
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La paradoxe s’amusa de la situation, cette infirmière n’avait pas froid aux yeux. Elle envoutait ses élève pour les violée ensuite en toute discrétion. Elle pouvait dire se qu’elle voulait, le fait d’utilisé son pouvoir montrait qu’elle n’avait que faire des véritable envie de la Minerva de ce monde. Étrangement dans son monde l’infirmière n’était pas cette femme, elle n’avait donc aucune information sur elle que n’avait pas la Minerva actuellement envouté.
-En m’envoutant ainsi pour me charmé, vous parlez de me demander mon avis ? Se ne rien de plus qu’un viol. J’ai l’impression que vous ne réalisez pas dans quelle situation vous êtes.
Amusé elle rangea son arme, même sans elle se savait en sécurité. La Mina de se monde veillait sur elle. Maintenant ce qu’elle voulait c’était savoir si la magie de cette femme venait d’elle ou d’un objet. Dans le second cas, s’emparé de cette objet deviendrait sa priorité.
-J’ai envie de m’amuser. Montre-moi donc ce que vous alliez me faire. Violé moi comme si je n’étais pas intervenue. Je suis curieuse de voir comment vous vous y prenez, sa pourrait être instructif.
Elle se leva et approcha de la femme un sourire sadique sur les lèvres. Elle parlait de violé la Minerva de ce monde sans le moindre remord. Déjà car elle-même n’aurais pas hésité à faire la même chose et elle savait, qu’elle adhérait à se plan. Après tout l’une était l’autre et inversement, les deux Minerva avaient la même façon de penser. C’est pour ça qu’elle n’hésitait pas à offrir au viol cette autre version d’elle-même pour voir et obtenir ce qu’elle voulait.
-Allez-y, sinon je devrais vous punir au nom de toutes les jeunes filles que vous avez abusé, ou jeune homme ? Mais je ne suis pas une sainte, je sais comment faire disparaitre quelqu’un et je doute que vous vouliez vraiment savoir comment, n’es pas ?
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Shiro voit son pouvoir comme un simple moyen de révéler les sentiments cachés chez les gens. Mais Minerva ne les voit pas de la même façon, et pense qu'ils agissent plus comme un moyen d'hypnose et de soumission envers les personnes affectés.
« Je te promets que je n'aurais jamais rien fait contre ta volonté. Mais puisque tu ne sembles pas vouloir me croire... »
Le double range son arme puis, avec un air amusé, dit à l'infirmière qu'elle peut violer l'original, qu'elle veut observer comment ça se serait passé si elle n'était pas intervenue. Shiro rechigne un peu à l'idée de faire l'amour à sa patiente dans ces conditions mais, d'après ce que la copie lui raconte, elle n'a pas le choix si elle veut s'en sortir. Alors autant jouer le jeu.
« Très bien, comme tu voudras. »
L'infirmière se relève et tend la main à la Minerva originale.
Suis moi. Nous serons mieux installées sur l'un des lits. »
La jeune fille prend sa main et la suit jusqu'au lit le plus proche. La jeune femme tire les rideaux, fait allonger sa patiente et se met à genoux au-dessus d'elle. Mais avant de commencer, elle a une petite chose à régler.
« Minerva, je sais que ton double veut que je te viole, mais je dois quand même te le demander : est ce que toi, ça te convient ? Est ce que tu es d'accord pour faire l'amour avec moi ? »
S'il a bien une chose que Shiro a appris grâce à son pouvoir, c'est de ne jamais l'utiliser à mauvais escient et de toujours s'assurer qu'elle n'en fait pas trop pour ne pas forcer les sentiments de la personne devant elle. Et même si le double lui a dit qu'elle pouvait faire ce qu'elle voulait, elle tient quand même à en être sure.
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Minerva avait encore l’esprit embrumé, mais beaucoup moins. Déjà le temps de stoppé le temps pour invoqué la paradoxe l’avait libéré un peu du pouvoir, mais aussi le partage des souvenir avec cette dernière l’avait un peu plus réveiller. Ainsi le plan de l’autre elle-même était de se servir de son corps pour subir les choses et trouvé l’origine de son pouvoir. Suivant le résultat voir pour s’en emparé. Minerva adhérait parfaitement à cette idée, après tout elle-même n’aurais pas hésité à utiliser la paradoxe de la même manière.
L’infirmière ne semblait pas spécialement perturbée par la situation, preuve que la magie ne lui était vraiment pas inconnue. Elle chercha à se défendre disant qu’elle ne cherchait pas le viol, mais juste révélé les envie de ses victimes. C’était un peu gros, surtout après les attouchements qu’elle lui avait déjà fait. Minerva trouvai la situation amusant. Elle avait limite envie de faire remonter le temps et reprendre avant que l’infirmière soit interrompu, mais c’était bien trop risqué. Puis même si là elle était en victime, elle aimait avoir le pouvoir sur les autres. Avec la pression de la paradoxe, c’était justement le cas.
Docilement, Minerva se laissa conduire sur le lit de l’infirmerie et se laissa coucher dessus. L’infirmière monta à son tour se mettant à genoux au-dessus d’elle. Surement pour se rassuré, elle lui demanda si elle pouvait vraiment faire tout ça.
-Oui, faites-moi ce que vous voulez. Lâchez-vous, profité d’avoir une jeune fille entièrement à votre merci.
Sa décision de s’offrir entièrement à elle était prise. Elle faisait confiance à Mina et à la paradoxe pour arrêter les choses si cela allait trop loin. Puis prendre un peu de plaisir en ce début de journée de court, plutôt que d’un cours d’anglait japonais donnait à une Londonienne, le choix était vite fait.
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Minerva assure à Shiro qu'elle peut faire ce qu'elle veut avec elle, qu'elle lui est totalement offerte. Le regard de l'infirmière s'éclaire d'une lueur lubrique.
« Dans ce cas, allons y ma belle. »
La jeune femme vient embrasser sa patiente et force le passage avec sa langue pour venir jouer avec la sienne. C'est déjà un contact très excitant, mais Shiro n'en reste pas là. Avec une de ses mains, elle commence à déboutonner le haut de l'uniforme de la lycéenne puis, une fois l'ouverture assez grande, elle glisse ses doigts sous le tissu pour venir jouer avec ses seins par-dessus son soutien-gorge. Le tissu est aussi doux au toucher qu'il était joli à voir pendant l'examen médical. Elle détache ensuite ses lèvres de celle de sa partenaire pour venir embrasser son joli cou tout en écoutant ses gémissements de plaisir.
« Alors, ça te plaît ? Et dis toi que ce n'est que le début. »
Shiro se relève et finit d'enlever le haut de l'uniforme de Minerva. Ses mains viennent caresser la peau nue de ses hanches et la chatouiller un peu. Elle se régale à voir sa partenaire se tortiller sous l'action de ses doigts. Elle rêve de la dévorer sans retenue, mais elle sait que l'autre Minerva veille au grain et qu'il faut donc agir avec prudence.
L'infirmière vient pincer les tétons dressés de sa patiente, visibles à travers son soutien-gorge. La jeune fille couine de plaisir à se faire agacer ses pointes par une femme aussi douée et en demande toujours plus. Du coup, Shiro décide d'utiliser son pouvoir pour la chauffer encore plus.
« Oui, ma belle, gémis encore plus. Fais moi entendre ta voix lubrique, montre moi le plaisir sur ton visage, laisse la chaleur gagner ton corps. »
L'infirmière sait comment s'y prendre pour amener l'envie chez ses partenaires. Mais dans la cas présent, elle sait qu'elle peut-être interrompue à tout instant par le double de Minerva, alors elle reste sur ses gardes. Qui sait ce que ces filles peuvent bien prévoir...
Shiro débarrasse la lycéenne de son soutien-gorge noir avec douceur et sensualité, dévoilant ainsi ses seins récemment mesurés. Alors comme ça, elle les trouvait trop gros ? Eh bien l'infirmière compte bien lui montrer qu'avoir une poitrine généreusement dotée peut être très amusant.
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Minerva se retrouva allonger sur le lit de l’infirmerie avec l’infirmière prête à la dévoré sexuellement. Cette dernière avait commencé par l’embrassé avec une certaine excitation et Minerva se laissa faire, sans la moindre résistance. Alors que leur langue jouait l’une avec l’autre l’infirmière avait commencé à déboutonné son uniforme pour l’ouvrir presque jusqu’au nombril. Elle avait alors glissé sa main dans le chemisier de Minerva pour venir prendre sa poitrine en main par-dessus son soutien-gorge. Finalement leur baiser son rompit alors qu’elle sentait ses lèvres se perdre dans son cou.
-Hum c’est bon début…
Bien sûr c’était plus des parole pour la motivé à continuer que ce qu’elle pensait vraiment. Après tout il ne c’était pas passé grand-chose et puis si Minerva aimer jouer la douceur, elle avait un petit faible pour le côté un peu bestial. En attendant elle ne pouvait pas non plus nié que c’était agréable, l’infirmière lui enlevé complétement le haut de son uniforme. Elle la sentait joué avec, venant même pincé ses tétons. C’est alors qu’elle senti de nouveau la magie l’envahir. L’excitation montée sous les doigts de la femme, poussant des petits gémissements.
La Paradoxe l’avait bien sûr sentie également, cette magie c’était ce qui l’intéressé, ce qu’elle voulait posséder, collectionné. Là elle avait pu la sentir et l’analysé, cette magie n’était pas dû à un objet, mais bien de l’infirmière, ainsi elle n’avait aucune chance de lui volé. Ce qui bien entendu la déçut. Pour le coup elle n’avait plus d’intérêt d’être là, c’est pourquoi elle décida de s’amusé en regardant l’original continué à se faire baiser par son infirmière.
-Vous savez-vous pouvez lâcher plus que ça. Quand je vous ais dit ça, considéré qu’elle votre esclave sexuel, jusqu’à l’heure du prochain cours. Ne vous retenez pas pour moi, je ne fais que regardez.
Elle rigola de façon sadique alors qu’elle voyait l’original avec maintenant la poitrine à l’air.
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Shiro joue avec Minerva comme elle le fait d'habitude avec les lycéennes qui passent entre ses mains expertes : elle prend son temps, ne brusque pas les choses, joue sur la douceur car le moindre geste trop précipité peut l'amener à se refermer. Mais apparemment, avec cette fille-là, il faut y aller directement, ne pas faire de détour et aller à l'essentiel. Elle doit déjà avoir une certaine expérience sexuelle derrière elle, et le double semble d'avis que les choses deviennent plus perverses, alors l'infirmière décide de ne plus considérer sa patiente comme une jeune fleur délicate mais comme une vraie femme qui peut supporter des rapports plus physiques. Elle attrape ses seins entre ses mains, les masse et les pétrit sans retenue, le tout en y allant de ses petites piques ''spéciales''.
« Comme tu l'as dit toi même, il y a une certaine utilité à avoir des seins plus généreux. Et je vais te le montrer maintenant. »
Shiro offre à Minerva son massage spécial poitrine, un massage destiné précisément à augmenter le désir et l'excitation chez les femmes. Le principe est simple : faire tourner les globes en faisant des mouvements les plus amples possibles afin que le plaisir se diffuse en continu, toujours garder un doigt sur chaque téton pour le titiller à part, et ajouter quelques baisers sur la peau entre les deux seins pour augmenter l'exaltation. L'infirmière s'en donne à cœur joie et la patiente couine et gémit comme un animal, prenant visiblement son pied à être piégée entre les mains de cette femme. Quant au double, elle se contente de s'amuser en les regardant. Et même si le voyeurisme n'est pas dans les goûts de Shiro, elle ne trouve rien à redire.
Après lui avoir bien massé la poitrine, la jeune femme laisse Minerva essoufflée, les joues rouges et apparemment désireuse d'aller plus loin. C'est pourquoi, avec un sourire plus que pervers, elle dirige une de ses mains vers la culotte de la jeune fille, encore protégée par ses collants. Elle peut sentir des gouttes de liquide filer à travers le tissu, et il lui suffit d'appuyer un tout petit peu contre ce qu'elle devine être le clitoris de sa patiente pour que cette dernière tressaute de plaisir devant elle.
« Oh oui, je vais te manger toute crue Minerva. »
Cependant, elle veut pousser le vice plus loin et prendre au mot les paroles de la clone. Puisqu'elle se retrouve avec une adolescente ayant déjà de l'expérience, autant en profiter au maximum.
« Ton double m'a dit que je pouvais te traiter comme une esclave sexuelle, donc voici mon premier ordre : enlève le reste de tes vêtements devant mes yeux, et assure toi de le faire de telle façon que ça m'excita assez pour me faire mouiller. Si tu réussis, je te ferai jouir jusqu'à ce que tu en sautes au plafond. Mais si tu échoues, alors je te punirai jusqu'à ce que tu implores ma pitié.
Allez, montre moi comment tu fais un strip-tease. »
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Minerva se retrouva avec la poitrine à l'aire et un massage de professionnel de la poitrine. C'était terriblement bon et excitant. La magie qui agissait sur elle l'excitait bien plus que la situation lui aurait fait au naturel et fallait le reconnaitre se sentir ainsi était agréable. L'infirmière savait clairement ce qu'elle faisait au bout des doigts, doigt qui venait tester sa culotte et la faisait gémir de plaisir. C'est alors qu'elle entendit la Paradoxe poussée l'infirmière a vraiment abusé d'elle. Surement une façon de se venger de l'avoir fait venir pour au final une chance ratée. Si elle n'était pas aussi excitée, elle aurait éliminé cette dernière, mais là elle était prise au piégé par la magie de l'infirmière.
L'infirmière retrouvait un peu plus son rôle, commençant surement à se sentir plus en confiance et accepta de faire d'elle un simple jouet sexuel. Minerva était trop exciter et emporter pour s'y refuser, mais elle se jura que tout ça se payera un jour. Ainsi pour obéir à l'infirmière qui lui réclama un strip-tease, Minerva se leva du lit et se mit face à elle. Aussi surprenant que cela pouvait paraitre, elle se mit à danser et à se défeuillé comme une professionnelle. La raison était simple, elle connaissait bien le milieu. Déjà, elle avait plusieurs prostituées dans son réseau, que ce soit des esclaves sur terra ou des étudiantes en manque d'argent sur terre, elle avait sa collection de néko dans son manoir, puis plus jeune quand elle n'avait pas encore de pouvoir on avait tenté de la prostitué elle-même. Son intelligence l'avait toujours protégé de ça, mais le sexe elle le connaissait depuis toute jeune. Ainsi elle montra une danse qu'elle avait apprise spécialement pour jouer un rôle qui lui avait permis d'infiltré un gang et le détruire de l'intérieure.
Finalement, nue Minerva finit sa danse par une courbette envoyant discrètement un regard noir à la Paradoxe qui lui répondit d'un sourire sadique avant de rire. C'était ironique, mais elle était devenue elle-même son ennemie. Son intelligence et sa cruauté comme adversaire, voilà un défi bien excitant. Et aux milieux de tout ça une infirmière au curieux pouvoir qui était loin de se douter de toute la situation qui l'entourait.
-Cela vous convient?
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En donnant cet ordre à Minerva, Shiro n'espère pas grand chose. Au mieux, elle aura droit à une petite danse un peu excitante qui la chauffera un minimum avant de passer à la suite. Cependant, elle se rend compte de son erreur quand sa patiente commence à se dandiner devant elle et à lui montrer un effeuillage digne d'une professionnelle. Quand elle était étudiante, l'infirmière avait déjà fait des sorties entre copines dans des boîtes lesbiennes où elle pouvait voir des strip-teaseuse se déshabiller et danser sur des barres de pole-dance, et ce qu'elle avait à présent sous les yeux était digne de tout ce qu'elle avait pu voir dans ces mêmes boîtes. Sans doute que la jeune fille a de l'expérience dans le domaine du strip-tease. Il y a tant de mystères qui entoure cette sublime créature, à commencer par ce mystérieux double d'elle même qui ne perd pas une miette du spectacle.
Shiro garde les yeux rivés sur Minerva du début à la fin de sa danse, qu'elle termine complètement nue dans une courbette gracieuse, attendant le verdict de l'infirmière. Cette dernière se montre plus que satisfaite et va même jusqu'à l'applaudir.
« C'était un très bel effeuillage. Bravo. On voit que ce n'est pas la première fois que tu fais ça.
Maintenant, laisse moi honorer ma promesse... et t'honorer par la même occasion. »
La jeune femme prend sa partenaire par les poignets, l'embrasse avec fougue et passion, puis l'envoie directement sur le lit. Elle la laisse ensuite l'observer pendant qu'elle retire sa blouse blanche, révélant des sous-vêtements tout aussi blancs (http://images.asos-media.com/inv/media/5/4/8/1/5451845/white/image1xxl.jpg), faits avec de la dentelle et avec des ouvertures un peu partout pour permettre de voir la belle peau de la jeune femme. Cette dernière vient ensuite se mettre à genoux au-dessus de sa patiente et la chauffe avec sa voix magique.
« Je vais faire exploser le plaisir dans tout ton corps, te faire hurler comme une folle... ma belle petite esclave. »
Shiro embrasse, lèche et mordille la peau du cou de Minerva, fait lentement glisser sa langue le long du corps de sa patiente, passant par ses seins, ses hanches, son nombril, jusqu'à arriver à la meilleure partie de son corps : son sexe. Elle se jette comme une vorace sur cette belle fente déjà bien humide, la dévorant de sa bouche et de sa langue, offrant à la jeune fille un cunnilingus d'experte qui ne pouvait que lui plaire.
L'infirmière s'étonne de ne pas encore entendre son esclave gémir comme une forcenée. Pour intensifier son plaisir, elle pose ses mains sur ses seins et se remet à les masser, tout en prenant de temps en temps des pauses dans son activité buccale pour stimuler la jeune fille grâce à ses pouvoirs.
« Laisse aller ta voix ma belle... Hurle ton plaisir de toutes tes forces... Montre moi que tu aimes ce que je te fais et je te donnerai toujours plus de plaisir... Toujours plus... Je t'enivrerai jusqu'à ce que tu sombres entre ses bras langoureux... »
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Minerva venait de finir sa dance qui avait surement surprise l’infirmière. En tout cas cette dernière semblait l’avoir apprécié tout comme cette fourbe de Paradoxe. Rapidement l’infirmière l’envoya sur le lit et retira sa bouse, montrant des sous-vêtements un peu trop sexy pour une infirmières scolaire. Mais bon son comportement son pouvoir n’était pas non plus très adapté à l’attitude d’une infirmière. Se retrouvant coucher sur le lit, elle regarda la femme s’installer à genoux au-dessus d’elle. Quand cette dernière la traita d’esclave, elle grimaça intérieurement. Elle était une maitresse, la leadeur d’une des plus grandes organisations criminel des deux monde, elle possédait de vrais esclaves, elle était loin d’être une vulgaire esclave sexuel. Mais se pouvoir la perturbait trop son excitation était grande sans parler du fait que la paradoxe l’avais presque offerte d’elle-même. Même si maintenant elles avaient obtenue l’information qu’elles avaient besoin, Minerva pouvait pas marche arrière et devais tenir jusqu’à la fin de l’heure de cours.
Heureusement l’infirmière savais s’y prendre, elle l’embrassait bien et savais parfaitement l’excité que ce soit par son corps ou sa langue. Finalement elle arriva à lui faire un cunnilingus. Minerva trouva qu’elle s’en sortait super bien. Elle était habituées à en recevoir des néko chéries, et ses dernières en était de vraies expertes et voilà que l’infirmière s’y prenait aussi bien. La femme se faisait plaisir, mais elle lui réclama de plus exprimé son plaisir voulant l’entendre prendre son pied. C’est vrais que Minerva ne montrais pas trop son plaisir d’habitude, alors elle se mis à soupiré de plaisir, puis à gémir, c’était un peu exagéré, mais le plaisir qu’elle ressentait était vraiment là. Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle jouit à la bouche de le femme envoyant un petit jet de plaisir.
-Ah…vous êtes doué.
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Minerva suit la demande de Shiro et se met à gémir et à soupirer d'aise devant elle, mais l'infirmière sent bien que la jeune fille en rajoute un peu. Elle décide de la ''punir'' pour cette surcompensation, et la lèche avec tant d'insistance et de fougue que sa patiente ne met pas longtemps à jouir et à envoyer son liquide intime dans sa bouche. La jeune femme se lèche les babines... le jus de cette fille a un goût particulier...
-Ah…vous êtes doué.
« Et crois moi, tu n'as encore rien vu. »
Tout ceci n'était que l'échauffement, un prélude à toutes les choses que Shiro a prévu pour Minerva, cette lycéenne si singulière qui lui est offerte en tant que soumise pour ses ébats sexuels. En plus, l'enjeu était de taille : si cette fille était capable de se cloner, qui sait ce qu'elle aurait été capable de faire si elle devait mettre ses menaces à exécution et punir la jeune femme pour toutes les lycéennes dont elle a ''abusées''. Du coup, il faut sortir le grand jeu.
De l'autre côté du rideau, la double de Minerva se plaint de s'ennuyer. Elle veut plus d'action, plus de bestialité. Ça tombe bien, Shiro a tout ce qu'il faut pour ça.
« Je vais avoir besoin de quelques accessoires. Je reviens vite, alors ne t'enfuis pas ma puce. »
L'infirmière va faire un tour dans l'une des salles de bains adjacente à l'infirmerie, une pièce généralement utilisée par les infirmières pour se détendre un peu ou pour nettoyer les patients ayant besoin d'aide pour faire leur toilette, mais il arrive aussi qu'elle serve de chambre à plaisir. La jeune femme se souvient encore du jour où elle a initié la gentille surveillante Mai Hawesara aux plaisirs de la chair, et qu'elle a fait d'elle une bonne petite soumise sexuelle en la prenant longuement dans la baignoire... Mais pour l'heure, elle ne veut pas faire l'amour à Minerva dans cette pièce humide, elle y vient seulement pour y récupérer quelques accessoires qu'elle stocke dans le compartiment secret d'un meuble de rangement. Une fois qu'elle a tout ce qu'il lui faut, elle retourne dans l'infirmerie et va vite rejoindre sa patiente.
« Regarde un peu ce que j'ai là... »
Dans ses mains, Shiro tient quatre paires de menottes rembourrées de fourrure rose, un gode vibrant de taille quelque peu massive et un plug anal vibrant. La suite des événements n'est pas difficile à deviner. Pour s'assurer de la coopération de sa partenaire, l'infirmière utilise ses pouvoirs d'E.S.P.er.
« Si tu te laisses gentiment attacher, je te promets que tu ne le regretteras pas. »
Et évidemment, Minerva se laisse faire sans trop protester. Comme quoi, les pouvoirs de Shiro sont vraiment redoutables. Une fois les poignets de la jeune fille attachés aux montants du lit, la jeune femme laisse de côté les deux autres paires de menottes, qui serviront plus tard pour lui attacher les chevilles, et prend dans ses mains le gode et le plug qu'elle met en mode vibreur.
« Avant de les enfoncer dans tes orifices, il va falloir les lubrifier. Et la cyprine est le meilleur des lubrifiants naturels. Cependant, pour avoir assez de cyprine, je vais devoir monstrueusement t'exciter... »
Shiro plaque les deux jouets contre le sexe de Minerva, qui se met immédiatement à couiner, puis vient embrasser la jeune fille et profite du fait qu'elle ait la bouche grande ouverte par le plaisir pour jouer un peu avec sa langue. Déjà, sa mouille coule de son coquillage sur les deux jouets vibrants. Mais il va falloir beaucoup, beaucoup de mouille pour qu'elle puisse recevoir ces deux choses en elle sans avoir mal.
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Minerva venais de jouir pour la première fois de la matinée par la bouche de l’infirmière. Cette femme avait un certain talent incontestable et vue son pouvoir on pouvait facilement comprendre d’où il lui venait. Surtout si elle jouait ainsi avec toutes les élèves qu’elle croisé ici. La paradoxe s’amusait bien à la voir se faire traiter ainsi, surtout que cette dernière étant la même qu’elle-même, comprenait parfaitement ce qu’elle ressentait et s’en amusait surement beaucoup. Comme quoi être sadique avec un tel pouvoir pouvait facilement se retourné contre soi-même.
-Vous n’aller pas vous arrêté là n’es pas ? Je suis sûr que vous pouvez m’offrir mieux !
Forcément il fallait qu’elle rajoute une couche, et l’infirmière ne se fit pas priée pour respecter ce souhait de son double. Elle se leva et partie de la salle pour aller cherché des accessoires. Au moment où l’infirmière quitta la pièce, Minerva se redressa et se tourna vers son double un regard furieux, prête à faire apparaitre son arme et à la tuer. Mais déjà cette dernière la regardait un sourire sadique aux lèvres et son arme pointé sur elle.
-Allons rester sage. D’ici Mina ne peux pas me visé depuis les toits. Laisse toi faire et divertie moi, soit une belle soumise pour une fois.
La paradoxe éclata de rire, alors que Minerva ne pouvait rien faire de plus. Elle était prise au piège, en plus l’excitation l’empêchait de bénéficier de tous ses moyens, et n’arrivait pas à trouver comment se dégager de cette situation. Voilà déjà l’infirmière revenir avec ses accessoires. Des menottes, un plug et un gode. La jeune fille regarda le gode en question, ce dernier était plutôt gros, même un peu trop à son gout. C’était le genre de jouet qui servait sur ses prostituer, sur les filles qui apportait de l’argent à l’organisation, mais pas sur elle. Minerva n’avait reçu en elle quelque chose d’aussi gros.
Se servant de son pouvoir, l’infirmière arriva à la convaincre de se laisser faire, se retrouvant les poignets attacher au lit, par les menottes de fourrures. Son excitation était trop grande, elle n’arrivait pas à résisté à son emprise. Elle comptait vraiment lui rentré ses deux objets. Ce n’était pas très rassurant. Pour en arriver là la femme chercha à la faire mouiller en abondance pour faciliter la lubrification des sex-toy. Vibrant contre son sexe, elle mouillait déjà beaucoup malgré sa crainte de la taille du gode.
-ça ne rentrera jamais…
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Avec deux jouets sexuels contre la vulve de Minerva, Shiro s'attend à ce que cette dernière soit folle d'excitation, mais elle perçoit encore de l'inquiétude dans sa voix. Apparemment, elle pense que le gode qui la titille pour faire couler sa cyprine et ainsi se lubrifier ne pourra jamais rentrer en elle. Sans doute craint elle qu'il soit trop gros. Et si sa crainte fait bien rire son double, toujours bien installé à côté, ce n'est pas le cas de l'infirmière, qui se dépêche de l'apaiser en faisant croître son excitation par sa voix d'E.S.P.er.
« Ne t'inquiète pas Minerva. Ce n'est pas la première fois que j'utilise ce jouet. Fais moi confiance : une fois qu'il sera bien lubrifié, ce gode entrera facilement en toi. Et ensuite, il te fera hurler de plaisir. »
C'est sûr qu'avec un aussi beau jouet, il y a de quoi prendre méchamment son pied.
Shiro continue à passer le gode et le plug le long de la fente de Minerva, qui mouille de plus en plus à mesure que le contact se prolonge. L'infirmière voit le visage de sa patiente se déformer sous l'effet du plaisir. Lentement, ses couinements se transforment en gémissements, puis ces mêmes gémissements deviennent des petits cris. Puis, quand la lycéenne se retrouve au bord de l'orgasme, prête à exploser à la première seconde, la jeune femme retire ses instruments et fait retomber la tension aussi vite, non sans une pointe de tristesse de son côté aussi. Mais maintenant, le gode et le plug ont assez de liquide sur eux pour entrer parfaitement dans les trous de la jeune fille.
« Excellent. On peut enfin passer à la partie amusante. »
Shiro fait signe à Minerva de lever les fesses pour rendre son anus accessible, une manœuvre un peu complexe étant donné qu'elle est attachée au lit. La lycéenne obtempère, et l'infirmière peut alors approcher le plug de sa rondelle. Lentement, sans forcer, elle fait pénétrer le jouet dans ce conduit si serré, revenant un peu en arrière à chaque fois qu'elle avançait pour bien l'habituer. Ainsi, au bout de quelques allers-retours, le plug est complètement enfoncé. Et enfin, pour conclure... le bouton qui enclenche les vibrations. La jeune fille a du mal à retenir un couinement de surprise mêlé à un cri de plaisir, le premier d'une longue série. Une fois le premier orifice rempli, la jeune femme fait écarter les jambes à sa patiente pour pouvoir accéder à sa vulve. Cette fois ci, elle décide d'allumer le gode avant de le faire rentrer, en suivant le même principe d'entrée progressive. Une fois bien en place, les deux jouets vibrants font hurler la lycéenne de plaisir. Une chance que l'infirmerie soit bien insonorisée, sinon les classes proches auraient entendus ces cris.
Une fois Minerva bien installée dans son plaisir, Shiro va prendre une chaise pour s'asseoir à côté du lit, écarte bien les jambes et passe une main sous sa culotte. La lycéenne peut voir que l'intimité de l'infirmière est déjà bien trempée, ce qui a laissé une belle trace sur le tissu de sa culotte. La jeune femme se met alors à se masturber en regardant sa patiente se faire labourer l'intérieur par des jouets vibrants.
« Han... Oh Minerva... Tu es tellement excitante... aahh... »
De son côté, la double jubile.
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Minerva ne tenais plus. Attacher par les poignets à ce lit d’infirmerie alors que l’infirmière s’amusait avec ses sex-toy contre son intimité. Trop excité, trop de plaisir, le cerveau du cristal noir était bien incapable de réfléchir dans une telle situation. Elle gémissait sous les frottements de ses deux jouets et l’infirmière semblait beaucoup s’en amusé comme son double plus loin. Après un temps qu’elle était incapable de jugé, un comble pour elle, elle fut sur le point de jouir. L’infirmière se retira alors l’empêchant d’attendre l’orgasme.
Laissant retombé la chose, Minerva fut contrainte de changer de position, aidé par l’infirmière, elle se retrouva les fesse relevé. Ce n’était pas vraiment confortable comme situation. Elle senti alors le plug se glissé lentement entre ses fesses, s’avançant se retirant légèrement, puis repartant plus profondément. Jusqu’à à être parfaitement caller, puis il fut allumé se mettant vibrés. L’infirmière la recoucha normalement et lui écarta les jambes préparant le gros gode qu’elle alluma avant cette fois. Suivant la même méthode de rentré progressive, Minerva senti le gode s’installer en elle lui arrachant des cris de plaisir. Elle était tellement inondé qu’il n’ut aucun mal à rentrer.
Maintenant installer au gout de l’infirmière cette dernière attrapa une chose et s’installa tranquillement, les jambes écarté dévoilant une culotte humide. La femme était excité ce que n’était pas très surprenant après tout ça. Elle se glissa une main dans son sou vêtement et commença à se masturbé bien à la vue de Minerva, qui ne pouvait rien faire que subir les vibrations de ses jouets.
De son côté le paradoxe regardait la scène avec intérêt sa robe légèrement relevé laissant paraitre d’élégant dessous. Elle-même commençait à être excité et commença à se caressé doucement.
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La vue de Minerva attachée, en train de se faire stimuler par les engins nichés dans son sexe et dans son anus, est une vision délicieuse, qui porte Shiro dans son propre plaisir, se masturbant allègrement devant les yeux de sa patiente, qui soupire et gémit sans jamais pouvoir s'arrêter. Quoi de plus normal quand on a deux gadgets vibrants insérés dans ses orifices les plus érogènes. Quant au double de la jeune fille, elle a elle aussi relevé le bas de sa robe, révélant d'élégants dessous, pour pouvoir se caresser en voyant la version originale prisonnière de sa propre excitation.
« Haann... Minerva... tu es vraiment... très excitante... aahh... »
Shiro a rarement recours à la masturbation, elle trouve toujours une jolie fille pour lui faire des caresses et des léchouilles sur ses parties intimes, que ce soit au lycée ou en dehors. Mais parfois, quand la situation s'y prête, comme maintenant par exemple, elle n'hésite pas à se caresser avec ses propres mains. Comment ne pas en avoir envie en voyant une jeune fille attachée à un lit, qui gémit son plaisir de tout son souffle, avec un gode dans son intimité qui la fait mouiller comme une cochonne, et un plug dans les fesses ? En tout cas, une femme comme l'infirmière ne peut pas s'en empêcher. Et il faut croire que Minerva non plus, puisque son double se touche en se regardant elle-même.
Les jouets sexuels ont raison de la résistance de la jeune fille qui, dans un ultime gémissement, jouit enfin. Son corps se cambre pour prendre la forme d'un pont, sa mouille est expulsée, ainsi que le gode qui s'agitait dans son intimité, puis elle retombe de tout son poids sur le matelas, le souffle lourd et les joues rouges. En la voyant ainsi, fatiguée après avoir ressenti le plaisir à son paroxysme, Shiro arrête de se masturber. Minerva n'est plus assez excitante, en plus elle a une bien meilleure idée pour se faire jouir. Elle approche de sa patiente haletante, lui donne un petit baiser sur la joue, puis va glisser sa main jusqu'à ses fesses pour retirer le plug.
« C'était un bon échauffement. Maintenant, on passe aux choses sérieuses. »
Shiro sort de sous le lit un gadget qu'elle a récupéré dans la salle de bain un peu plus tôt : un gode-ceinture, c'est à dire un gode à deux extrémités monté sur une ceinture en cuir afin de pouvoir l'enfiler autour du bassin. L'infirmière se rentre la première tête du gode dans son sexe, puis attache la ceinture autour de sa taille. La voilà bien membrée pour pouvoir donner encore plus de plaisir à sa patiente. Mais d'abord, elle détache les menottes retenant cette dernière sur le lit, afin de la laisser libre de ses gestes. A genoux sur le matelas, la jeune femme met son jouet en plastique rose devant le visage de sa partenaire.
« Intéressée Minerva ? Sinon, tu peux toujours t'en aller, je ne t'obligerai pas à faire quoi que ce soit dont tu n'as pas envie. Mais si tu veux aller plus loin, alors viens donc mettre ce joli membre dans ta bouche pour bien le mouiller. Ensuite j'irai mettre ce gros oiseau dans ton petit nid douillet... et tu vas en perdre la tête tellement ce sera bon. »
Et quand il s'agit de sexe, Shiro ne fait jamais de promesses en l'air.
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Minerva attaché au lit de l’infirmerie était en train de prendre son pied avec un jouet dans son intimité et un autre dans son cul. Jamais elle n’aurait imaginé se matin en se levant se trouvé dans une tel situation, encore moins maté par un de ses paradoxe et l’infirmière qui se masturbais en la regardant. Son cerveau plein d’intelligence était perturbé par le plaisir, l’excitation et la magie, elle n’aimait pas ça. Plus que par les menottes qui l’attachait au lit, c’était l’affaiblissement de sa capacité de réflexion ou plutôt de concentration lui donnait le sentiment d’être désarmé. Elle n’aimait vraiment pas ça.
Après un petit moment surement trop court pour l’infirmière qui n’avait pas encore jouit, Minerva, elle qui ne pouvais rien contrôlé finit par le faire. Elle poussa un cri de plaisir tendit qu’elle venait d’expulser le jouet qui était dans son intimité. Finalement, l’infirmière ne se finis pas et viens sur le lit, la détachant et la libérant des sex-toy. Se remettant de son orgasme et profitant d’être libre, Minerva se redressât alors que l’infirmière semblait ne pas en avoir fini. Cette dernière sorti un nouveau jouet un gode ceinture. Maintenant elle avait le choix. Minerva pouvait partir, se venger sur la Paradoxe et peut être même sur l’infirmière et ensuite retourné en cours comme si rien ne c’était passé, ou alors prend ce jouet devant son visage en bouche et continuer dans ce plaisir. L’effet de la magie c’était un peu dissipé et se petit moment de réflexion lui permit de retrouvé un peu de sa concentration.
Après une hésitation, elle décida de profité du moment. L’excitation était toujours là et malgré tout ce n’était pas désagréable, elle avait tout le temps pour se venger après tout. Son choix se porta donc sur le plaisir, alors qu’elle se penchât en avant pour commencer à sucé le jouet. La paradoxe de son côté souriait et se masturbait, elle regarda les deux jouet qui avait servie juste avant. L’envie de venir se mêlé directement à tout ça commençait à la travailler.
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Honnêtement, Shiro ne sait pas à quoi s'attendre. Minerva a bien montré qu'elle était une fille retors, et que ses décisions étaient prises d'une façon qu'elle est la seule à pouvoir comprendre. Du coup, impossible de dire si elle va se laisser aller ou prendre ses jambes à son cou. Finalement, elle opte pour le plaisir et elle penche son visage pour prendre le gode en bouche, ce qui fait très plaisir à l'infirmière.
« C'est bien... écoute l'appel de ton corps. »
La jeune femme se met à remuer le bassin d'avant en arrière pour faciliter le travail de sa patiente, et aussi pour pouvoir sentir l'autre tête du jouet sexuel remuer dans son sexe mouillé. Ainsi, le spectacle donnait l'illusion d'une fellation, avec l'adolescente qui suce la tête qu'elle a en bouche et la jeune femme qui couine de plaisir, toute proche de l'orgasme après s'être masturbée. Absorbée par son plaisir, elle ne fait plus attention à rien. Elle est déjà convaincue que, après tout ce qu'elle a fait, Minerva ne lui veut plus de mal. La preuve, elle a accepté de continuer alors qu'elle avait une chance de partir.
« Haann... Oh que c'est bon... aahh... ma petite Minerva... »
Shiro en vient à appuyer sur la tête de sa patiente pour bien pousser le gode au loin dans sa gorge, la partie nichée en elle remuant ainsi beaucoup plus intensément. L'excitation monte vite, l'infirmière se sent partir loin, et l'orgasme arrive finalement.
« AAAAHHHH !!! OUIIIII !!! »
Shiro mouille encore plus la tête du gode qui remue son intérieur, mais seul quelques gouttes parviennent à passer dehors. Minerva, de son côté, reprend son souffle après que le jouet ait été poussé si loin dans sa gorge. Mais le repos n'est que de courte durée, car la jeune femme en veut encore plus, et elle est persuadée que sa partenaire aussi désire continuer. Mais pour en être sûre, elle utilise ses pouvoirs.
« Je t'ai promis de mettre mon gros oiseau dans ton nid... il est temps d'honorer cette promesse. Mais d'abord, j'aimerais mettre quelque chose au point. »
En effet, l'infirmière a remarqué la façon dont le double assis dans son coin regarde avec insistance les jouets utilisés un peu plus tôt, et n'arrête pas de se masturber. Elle doit sûrement avoir envie de prendre une part plus active dans la fête, et la jeune femme veut tenter de la convaincre de venir grâce à sa voix magique.
« Alors ma grande ? On aime ce qu'on voit ? On veut y prendre part ? »
Shiro tente une attaque frontale, qui semble être la seule chose que Minerva comprend.
« Alors viens vite. Une fois que je t'aurai déshabillée, je trouverais bien un point de ton corps à titiller pour te donner du plaisir. C'est un domaine dans lequel j'excelle. »
Fini la gentille infirmière, place à l'infirmière directe et autoritaire.
« Intéressée ? »
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Minerva était en train de sucé le gode ceinture de l’infirmière, une situation vraiment pas banal pour elle. D’habitude quand ça partait dans le sexe, c’était elle qui avait le contrôle, c’était elle qui écrasait les autres et les soumettait, c’était une première pour elle. Elle vivait ça comme une expérimentation. Après tout souvent les meilleur dominant avait connu la soumission avant comme on dit.
Rapidement son jeu de bouche et le mouvement de bassin de l’infirmière avait fait rapidement jouir cette dernière. Cette femme y était allée un peu fort selon elle, mais elle comprenait bien sa façon de faire. Annonçant que c’était encore loin d’être fini, l’infirmière c’était détourné pour s’adressé à la paradoxe faisant de nouveau raisonné sa voix magique.
La paradoxe jusque-là les regardait avec un sourire pervers et avait commencé à se masturbé, mais quand l’infirmière tenta de l’envouté, elle ut plus de réflexe que la femme. Elle activa son œil de Chronos et stoppa le temps. Minerva possédant également l’objet magique, elle n’était pas affectée. La paradox quitta sa place et viens la rejoindre avec un sourire sadique sur les lèvres.
-Alors tu t’es faites avoir, te voilà en soumise maintenant. Héhé je vais continuer à m’amuser avec toi.
Sans ménagement, la paradoxe venais d’introduire deux de ses doigts dans l’intimité de l’original et la doigté sauvagement.
-Si j’avais ce qu’il faut je t’aurais bien mis une laisse et je t’aurais baisé comme je le fait avec mes belle néko.
Elle finit par retiré ses doigts avec le même sourire.
-Continue à prendre ton pied, je vais en profiter aussi, mais moi je ne vais pas me laisser faire sagement.
La paradoxe se glissa dans le dos de l’infirmière et glissa ses mains sur sa poitrine la prenant à pleine main avant de remettre le court du temps en marche. Ceci fait, elle la tenait ainsi entre ses main et viens lui mordre l’oreille.
-L’ignorance et toujours aussi amusant. Si tu savais vraiment à qui tu t’adresses. Mais reste dans l’ignorance, se serrais pas drôle de te voir tremblé de peur.
Ses mains jouaient joyeusement avec sa poitrine venant pincée ses tétons.
-Je vais me faire une joie de me joindre à vous, mais n’espère pas à me rendre dans un état comme elle. Tu ne me piégé pas deux fois.
-
Dans la seconde qui suit sa proposition, Shiro se retrouve avec la double de Minerva dans son dos, en train de malaxer sa poitrine et de lui mordiller l'oreille. L'infirmière, prise au dépourvu, ne peut que se laisser faire en gémissant de plaisir. Cette fille a une poigne forte, et elle sait comment bien s'en servir sur les seins de la femme. En pinçant ses tétons, elle lui dit qu'elle va se joindre à elles, mais qu'elle ne se fera pas avoir comme l'originale.
« Aahh... Elle ne s'est pas... faite piéger... kyyaahh... tout ce qu'elle a fait... était de son... oohh... plein gré. »
Shiro n'a jamais contrôlé d'esprit avec ses pouvoirs, elle ne fait que révéler ce qui existe déjà dans le cœur de chaque jeune fille qui nourrit du désir pour elle, et le rend si fort qu'il est impossible de l'ignorer par la suite. Elle ne force jamais à rien, elle dévoile ce qui est caché.
Le double de Minerva la pelote avec force, d'abord les seins et ensuite les fesses, léchant et mordillant sa peau, dégustant son corps sans lui laisser une seule chance de pouvoir lui rendre la pareille ou simplement se libérer de son emprise. Mais même si elle ne peut pas bouger, la jeune femme peut encore parler, et c'est son meilleur atout dans ce genre de situation.
« Aahh... oh là là... que tu es puissante Minerva... j'adore... kyahh... sentir tes mains... sur mon corps... »
Son but est de rendre son désir si fort et si brûlant que la simple idée de recevoir une caresse sur sa peau lui provoquera un mini-orgasme au fond de sa culotte. Elle est déjà bien humide après s'être masturbée en matant l'infirmière et sa patiente faire l'amour, alors il ne faudra sans doute pas grand chose pour la faire basculer malgré ce qu'elle peut dire.
La séance de pelotage dure pendant quelques longues minutes, les mains de Minerva s'aventurant dans les moindres recoins du corps de Shiro, puis cette dernière se retrouve couchée à côté de la Minerva originale, en position de faiblesse, avec le clone au-dessus d'elle, qui arbore un air menaçant et autoritaire. On voit dans ses yeux qu'elle est prête à se jeter sur la femme qu'elle surplombe pour la dévorer. Mais à force de se recevoir les pouvoirs de l'infirmière en plein visage, son corps commence à montrer d'évidents signes d'excitation, qu'elle même ne pourrait pas réfuter.
« Oh Minerva, comme tu es vilaine avec moi. J'essaye d'être une gentille infirmière, mais tu te conduis comme la plus vicieuse des patientes. Sois sûre que si je n'étais pas dans cette position délicate, je te donnerais une bonne grosse fessée pour t'apprendre la politesse. »
Pourra-t-elle résister à ça ? Saura-t-elle se contenir malgré cette voix qui lui hurle de se laisser aller ?
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La paradoxe s’amusais bien à tripoté la poitrine de la femme, elle s’en donnait à cœur joie. Bien sûr elle était excitée, après tout ce qu’elle avait vu et commencé à faire. Mais elle savait se maitrisé. Se retenir, la Paradoxe avait beau être la même personne que Minerva, un moment de sa vie avait divergé du sien, ce qui fait que ça personnalité pouvait être différente. S’amusant avec la femme, elle finit par la coucher sur le lit se tenant en dominatrice au-dessus d’elle. Le commentaire de la femme n’eut pour effet que de la faire exploser de rire.
-Ah ah ah, me mettre la fessé ? A moi ? Moi vicieuse, tu oses me dire ça toi ? Avec ce que tu t’amuses à faire ? Je vais te montrais comment je suis vicieuse.
Minerva qui jusque-là était resté passive s’approcha de l‘infirmière affichant un sourire sadique, ou plutôt son vrais sourire. Toutes les deux alors qu’elles ne c’étaient même pas concerté, s’occupèrent d’un bras et d’une jambes. Se servant des menottes qui avait retenue juste avant Minerva, l’infirmière se retrouvait à son tour attaché les membre écarté. Minerva et sa copie d’un autre mode, s’installèrent alors chacune d’un côté de l’infirmière et chacune commencé à léché et mordiller un téton. Puis une apporta une main à l’intimité de l’infirmière et l’autre à son petit trou et chacune y glissèrent deux doigts. Et c’est comme ça qu’elles attaquèrent des vas et viens.
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Minerva réagit à la provocation de Shiro, mais pas de la façon dont cette dernière l'espérait. Elle croyait pouvoir reprendre le dessus, mais voilà que le clone décide de détacher sa version originale et que les deux attachent l'infirmière en utilisant ses propres menottes avant de la débarrasser de son gode-ceinture. A présent, la patiente et sa copie sont en position de force, tandis que la jeune femme est maintenue sur le lit en position de croix. Sans même se concerter, chaque fille se retrouve à lécher et mordiller l'un des tétons de leur prisonnière, puis l'une des deux décide d'aller caresser sa fente mouillée tandis que l'autre va titiller son petit trou. Et la seule chose que peut faire ladite prisonnière, c'est utiliser ses pouvoirs pour attiser le feu de ses bourreaux.
« Aahh... oh là là... vous êtes de loin... les patientes les plus... hhmm... vilaines que j'ai eu... oohh... mais vous êtes si excitantes à deux... AAHH ! »
Shiro sent que toutes les zones érogènes de son corps sont prises d'assaut en même temps, et cela l'excite diablement, tout comme de se sentir restreinte et dominée par Minerva et sa copie. Même si ce n'est pas le rôle qu'elle a l'habitude d'occuper, il n'y a rien de mal à être placée en-dessous de plus fort que soi. Et là, l'infirmière est bien obligée de reconnaître que ces filles ont l'ascendant sur elle. Autant la première s'était gentiment laissée faire, autant la deuxième a clairement montré qu'elle ne comptait pas rester calmement allongée à se faire tripoter. Et maintenant, elle et la version originale tiennent la jeune femme en respect et s'amusent avec son corps comme elles le veulent. Cependant, l'infirmière garde espoir que, à force d'entendre sa voix magique, au moins l'une des deux se désolidarisera du groupe et voudra se satisfaire à n'importe quel prix, que ce soit en libérant sa prisonnière ou en s'attaquant à la deuxième. Mais vu le self-contrôle que la copie s'impose, il y a peu de chances qu'elle soit la première à craquer. Il faut donc tout miser sur l'originale.
« Aahh... dis moi Minerva... est tu vraiment du même avis... kyyaahh... que ton double ? Ne ressens-tu vraiment... oohh... aucune envie à combler... oohh oui... Comme avoir ma petite langue... ou mes doigts agiles... haann... sur ton corps. Sans compter... qu'il me reste... une promesse... aahh... à honorer. Mon gros oiseau... hhaann... dans ton nid douillet... »
Minerva n'a pas pu occulter en un instant le plaisir qu'elle a ressenti entre les mains de Shiro, il y a donc possibilité que son excitation encore fraîche remonte à la surface, et qu'elle sente le besoin de la combler, en dépit de la volonté de son double.
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Les deux Minerva avaient finalement repris le dessus sur la situation. L’infirmière était maintenant attaché au quatre coin du lit et chacune de leur côté s’occuper à la fois d’un sien et l’un de ses trous. La femme semblait apprécier la situation, même si il était évidant que l’infirmière aimait surtout s’occuper elle-même des autres. La preuve alors qu’elle se faisait doigté par les deux trous elle cherchait encore à les excitée d’avantage et à convaincre Minerva de se laisser porter par son plaisir.
Toutes les deux avec une synchronisation parfaite, relever la tête arrêtant de joué avec leurs langue, elles lui firent un sourire sadique avant de répondre.
-Si tu tien tant que ça a participé.
De nouveau le temps se stoppa. L’excitation était là chez les deux jeunes filles, mais l’idée même de perturbé leur prisonnier les excitait encore plus. Ainsi chacune s’amusèrent à déplacé les rideaux autour du lit pour cacher la scène. Le but était aussi de rendre le lit plus confiné ce qui augmentait l’impression de captivité dans l’espace réduit. La paradoxe récupéra le gode ceinture qui avait était enlevé à l’infirmière et le mit à sa place. Minerva se mit à genoux au-dessus du visage d’infirmière.
Ainsi quand le temps repris son court, Shiro ut une grosse surprise. D’une elle n’était plus pénétré par des doigts, ses sien n’était plus mordillé, puis il y avait les rideaux qui l’entourait cachant la vue de tout le reste de l’infirmerie. Il y avait une des Minerva placé au-dessus de son visage son sexe bien à vue et l’autre portant le gode ceinture qui s’approchait d’elle. Pour elle pourtant il ne c’était même pas passé une micro seconde.
-Si tu te servais plutôt de ta langue pour me donner du plaisir hein ?
Minerva vient alors plaquer ses lèvres intime contre sa bouche, alors que la Paradoxe commença à fourré doucement le gode recouvert de lubrifiant dans le cul de l’infirmière.
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Le jeu de Shiro n'a pas tout à fait les conséquences qu'elle espérait : en un clin d’œil, elle se retrouve avec la Minerva originale au-dessus d'elle, son sexe à portée de sa bouche, et le clone hors de son champ de vision. Elle remarque également que les rideaux autour du lit avaient été tirés de façon à complètement cacher la vue du reste de l'infirmerie, donnant une impression inquiétante d'emprisonnement. Heureusement, l'infirmière ne panique pas, elle préfère s'employer à la demande de sa patiente, et se met à lui lécher avidement l'entrejambe. Quelques secondes après, elle retrouve enfin la paradoxe : cette dernière a enfilé le gode-ceinture qu'elle a utilisé un peu plus tôt, et s'apprête à la pénétrer avec, en passant par la petite porte. La femme veut couiner, mais sa voix est étouffée par le contact proche des lèvres intimes de la lycéenne.
« Mmhh... mmmhhh ! »
Shiro sent tout son corps vibrer au moment où le jouet entre en elle, glissant avec une étonnante facilité. Les premiers allés et venues se font doucement, sans trop forcer, puis le rythme augmente au fur et à mesure que le temps passe. L'infirmière est dans une position de dominée, mais elle ne se plaint pas. Cette fille est clairement plus forte et plus méchante qu'elle, alors tant qu'elle lui donne du plaisir, il n'y a pas de quoi être mécontente. Elle est même satisfaite de la façon dont elle se fait prendre, et le montre bien en léchant goulûment la fente mouillée de Minerva, se délectant de ses petits gémissements de plaisir. Elle a beau dire qu'elle ne se fait pas piéger, elle est quand même en train de se laisser aller au plaisir. Ce n'est pas exactement ce que l'infirmière essayait d'accomplir, mais c'est déjà bien.
Le temps semble défiler au ralenti entre les rideaux qui cachent le lit de l'infirmerie. Portée par son plaisir, Shiro ne sait plus depuis combien de temps elle est ici, mais elle voudrait pouvoir y rester encore longtemps, à se faire prendre par le cul tout en léchant le sexe de Minerva. Elle parvient d'ailleurs à la faire jouir une fois, et avale toute la cyprine qui sort de cette fente humide en réponse au plaisir de la jeune fille. Quant à elle, elle a également joui une fois du plaisir reçu par la sodomie que lui offre le clone. Finalement, les deux filles décident de faire un petite pause pour laisser à leur prisonnière le temps de reprendre son souffle. Cette dernière en profite pour user de ses pouvoirs.
« Hé le clone, si tu venais prendre la place de Minerva, que je puisse te donner du plaisir à toi aussi ? Laisse donc le gode à ta version originale, je suis sûre qu'elle saura s'en servir. »
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Finalement les trois finir par obtenir leur moment de plaisir. Après ça une petite pause s’installer, le temps de se remettre, mais les deux Minerva n’avaient pas détaché pour autant l’infirmière. Cette dernière ne s’en plaint pas au contraire elle avait envie de continué, mais que les deux jeunes filles inverse les rôles. La paradoxe se met à sourire défaisant le gode ceinture pour le faire passer.
-C’est une bonne idée, mais je ne suis pas un clone, je suis aussi vrais qu’elle. Je viens juste d’un autre monde. Un autre monde où une autre toi existe et que je vais surement m’amuser à chercher à mon retour.
La paradoxe, ne lui laissa pas répondre et viens s’assoir sur son visage pour avoir son tour de plaisir. Minversa c’était placé entre les jambes de l’infirmière pour la pénétré plus sauvagement. Après tout elle était maintenant plus préparée. Les mouvements de Minerva, montrais une certaine expérience, qui montrai à l’infirmière qu’elle n’était une de ses jeunes filles innocentes qui connaissait pas plus que la masturbation ou une première fois avec un petit copain. À force de jouer avec sa collection d’esclave néko, elle savait comment s’y prendre.
Après un moment de jeu ainsi, Minerva remarqua que l’heure du prochain cours arrivé. Déjà pour une visite médicale, c’était bien long. C’est pourquoi une idée lui vient. Alors qu’elle venait de finir de faire jouir l’infirmière. La paradox se retira. Cette dernière c’était rhabillé et était repartie dans son monde. Ainsi il ne restait plus que Minerva et l’infirmière.
-Je vais devoir repartir en cours. Mais j’ai bien envie de vous laisser comme ça…
Elle regarda autour d’elle et ramassa sa propre culotte et un le gode que l’infirmière avait utilisé sur elle plus tôt. Elle lui enfonça le gode, lui mit aussi le plug et les mit en marche. Elle approcha sa culotte et la fourra dans la bouche de l’infirmière et attrapa un tissue à coté pour lui faire un baillions.
-Je vais vous laisser comme ça avec un petit papier ne pas déranger sur le rideau. Je viendrais vous libéré à la pause. Voilà se que je propose, si vous accepté de subir ça à mon retour je m’offrirais à vous, si vous refusé, je vous libère et on en restera là. Vous pouvez bouger la tête pour répondre.
Il ne lui restait plus qu’a repartir en cour une fois la décision prise.
-
A force de jouer le jeu de la provocation, Shiro sait qu'elle finira par obtenir des résultats. Déjà, elle a pu convaincre les deux Minerva d'échanger leurs places, et la clone lui explique qu'elle n'est pas un clone mais une autre version d'elle venue d'un monde parallèle. Un monde où il existe aussi une autre Shiro. L'infirmière voulait répondre mais elle n'en a pas le temps car la paradoxe s'assoit sur son visage pour avoir droit à son cunni tandis que l'originale se place pour la pénétrer. L'infirmière sent l'expérience et la sauvagerie qui animent la jeune fille, ce n'est sans doute pas la première fois qu'elle fait ça, et elle espère que ça ne sera pas la dernière.
« Hhmm... hhmm... »
Shiro ne peut pas utiliser ses pouvoirs pour chauffer encore l'ambiance, sa bouche étant complètement bloquée par la fente humide de Minerva paradoxe, qui ne se prive pas de gémir en sentant le petit muscle rose de l'infirmière passer de long en large sur son sexe. Si elle lui donne suffisamment de plaisir, la jeune femme espère bien créer un lien qui la fera revenir dans leur monde, et que ce lien se changera peu à peu en soumission. Bien plus qu'une simple envie, c'est aussi un défi à relever.
Comme d'habitude, l'infirmière perd la notion du temps, jusqu'à réaliser que sa patiente va rater sa prochaine heure de cours si la ''visite médicale'' ne se termine pas. Mais comment avoir envie d'arrêter alors que les choses se passent si bien ? Après que la paradoxe se soit rhabillée et qu'elle soit repartie dans son monde, la Minerva de ce monde propose un petit jeu à son amante en lui mettant le gode et le plug anal utilisés plus tôt sur elle, et en lui enfonçant sa culotte dans la bouche ; si elle parvient à tenir jusqu'à son retour, elle s'offrira à elle. Pas d'hésitation possible, la jeune femme hoche la tête pour répondre oui. Elle regarde ensuite la jeune fille s'en aller en laissant le panneau NE PAS DERANGER et se contente de laisser le plaisir l'envahir encore et encore, enchaînant les orgasmes pendant encore une demi-heure jusqu'à ce que la liberté arrive : la visite quotidienne de Tessia, qui semble très contente de trouver son amante ainsi attachée. Elle la libère juste pour avoir des explications.
« Une patiente que j'ai vu ce matin a décidé de jouer les dominantes avec moi. Elle a des pouvoirs incroyables, elle m'a fait l'amour pendant une heure avec un clone venu d'une autre dimension. Et là, j'ai accepté de me prêter à son petit jeu le temps qu'elle revienne. On peut s'amuser un peu si tu veux, mais il va falloir faire vite. »
La succube, amusée de la situation de Shiro, la remet dans la même position et lui fait l'amour pendant une vingtaine de minutes avant de s'éclipser, non sans jeter un petit sort de charme sur son amante préférée, la rendant plus attirante et désirable pour toutes les femmes. D'ici quelques minutes, Minerva allait revenir, et les choses sérieuses commenceraient.
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A peine sortie de l’infirmerie, Minerva sortie son téléphone portable et donna des instructions à Mina. Dans le lycée, elle ne craignait pas grand-chose, rien que son œil ne pouvait encaisser. Donc elle pouvait se passé de sa couverture et protection une bonne heure. Ainsi elle confia à Mina de resté en surveillance à l’infirmerie. La belle blonde resta donc au jumelle à surveiller le rideau de l’infirmerie, ce n’était pas très pratique pour vraiment voir ce qu’il se passait à l’intérieur. Pour autant, elle put noter le passage d’une femme dans l’infirmerie et qui ne s’était pas contenté de faire un tour. Faisant un rapport, elle nota à travers un message à Minerva, que l’infirmière avait ut droit à se faire prendre pendant un bon moment.
Pendant ce temps Minerva c’était rendu au court suivant un court de math, une matière qui était facile, enfin pour géni comme elle, tous les court de se lycée était facile. Sa présence ici n’était qu’un jeu pour elle, une illutions d’une vie normal derrière ses activité criminel. Alors que ses camarade se concentré sur le cours pensé à comment séduire la personne qui l’attirais ou simplement à la fin du cours où ils pourraient enfin fumer un peu, Mnerva elle, pensait à plan pour un cambriolage cette nuit. Chacun avait ses préoccupations.
Un cours classique donc, l’heure terminée, il était temps d’une pause pour les élèves et l’heur d’aller voir comment c’était passé les choses pour l’infirmière. Se dirigeant à l’infirmerie, elle lut le rapport de Mina et fut surprise d’apprendre ce qui c’était passé. Qui était cette mystérieuse femme qui était passé et qui n’avait fait que profiter de l’infirmière avant de la remettre en condition. Finalement arrivée, elle ferma l’infirmerie, pour être tranquille et ouvrit le rideau et commença à détacher l’infirmière et récupéra sa culotte qu’elle avait gardé en bouche.
-Alors comme ça, on se fait prendre pendant mon absence ? Hum je ne sais pas si vous avez vraiment respecté cotre part du contrat…Mais surtout après tant de temps de sexe, vous pensez encore avoir la force de profité de votre récompense ? C’est-à-dire moi ?
-
Quand Minerva revient, Shiro est surprise de l'entendre dire qu'elle est au courant de la petite visite de Tessia pendant son absence. Sans doute un autre de ses étranges pouvoirs.
« Le marché disait que je devais rester attaché pendant une heure, et la personne qui est venue me rendre visite n'a pas eu besoin de me libérer pour faire ce qu'elle a fait. Et crois moi, j'ai encore la force de m'amuser avec toi. »
Merci à Tessia, qui avait usé de sa magie pour lui rendre de l'énergie. Maintenant, elle est prête à profiter à fond de sa récompense. En guise de prémisse, elle prend sa récompense dans ses bras et lui murmure à l'oreille de sa voix magique.
« Maintenant que tu t'es offerte à moi... je vais bien m'amuser. »
Shiro s'assoit sur le lit de l'infirmerie et retire sa chaussure à son pied droit.
« Si nous commencions par quelque chose de simple ? Comme un petit bisou sur mon pied, suivi de quelques massages et léchouilles. »
Minerva fait de la protestation, jugeant que ce genre d'activité est avilissante pour elle.
« Que je me souvienne, tu as promis de t'offrir à moi. Pour moi, ça ne veut pas juste dire que je peux profiter de ton corps. Si tu es toute à moi, ça inclut que tu fais ce que je veux. Je compte respecter les limites de la décence, mais ne crois pas que je vais te laisser t'en sortir facilement après la façon dont tu m'as traité. »
Elle remue à nouveau son pied devant ses yeux.
« Allez, un petit effort. Si tu acceptes de faire ça pour moi, je m'engage à réaliser un de tes fantasmes, à condition qu'il ne requiert pas que je sois ta soumise. »
Maintenant que Shiro reprend les choses en main, la situation va devenir très intéressante.
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Minerva venais de détacher l’infirmière impressionné par l’endurance d’on elle faisait preuve. Après une heure de sexe avec deux jeunes filles, après une heure attaché avec des sexetoy et une visite imprévue qui l’avais aussi demandé de l’effort, sexuelle, la voilà toujours en forme. L’infirmière faisait preuve d’une endurance inhumaine, soit elle avait subi en entrainement intensif d’esclave sexuel soit elle n’était pas humaine. La première option ne correspondait pas à sa personnalité, ainsi Minerva penchait plus pour l’autre. Quoi qu’il en soit elle restait impressionnée par cette performance.
Déjà l’infirmière réclamais sa récompense lui demandant de s’occuper de l’un de ses pieds. C’était quelque chose qu’elle appréciait, mais quand c’était d’autre qui lui faisait, écrasé quelqu’un et lui faire léché ses c’était un plaisir, mais se soumettre à quelqu’un pour lui faire ça elle n’appréciait pas. La femme perçut son hésitation lui rappelant que c’était elle qui lui avait promis de se soumettre si elle tenais le coup.
-Je suis quelqu’un de parole. Je vais me soumettre à ta volonté pour une heure. Le court suivant ne m’intéresse pas de toute façon. Mais soyons claire ce n’est que par se que j’ai mal exprimé ses intention et je ne louperais une occasion de ma venger de ça.
Il y avait tant de façon de faire, bien sûr elle pouvait la faire supprimer, mais tout ça n’était qu’un jeu après tout. Elle n’avait pas besoin d’aller aussi loin dans sa vengeance. Elle décala son cache œil laissant paraitre son œil d’or avec son cadrant et ferma son œil naturel de rubis. A travers l’espace-temps, elle chercha si l’une des paradoxes n’aurait pas ce genre de penchant, mais bien sur toute comme elle était des filles fière et dominante. Elle n’avait pas de moyen de se soustraire sans briser sa parole. Ce soir, elle partira sur terra et se défoulera sur ses esclaves pour se calmé. Elle remit son cache œil et ouvrit les yeux normalement.
-Réalisé mes fantasme c’est hors de votre porté, bon allons s’y.
Minerva s’avança vers l’infirmière, mais aux lieux de s’abaisser comme elle devait s’attendre pour lui baiser le pied, Minerva la fit bousculer en arrière sur le lit. Elle saisit alors la jambe déchaussé et lui releva pour venir la tendre à se porté et déposé un baiser sur le dessous. De par cette positon, la jambe de la femme était endu et coller entre la poitrine de Minerva qui l’enserrant ainsi l’empêchait de changer de position facilement. Elle commença alors à lui lécher massant le pied de la main qui lui tenait ainsi. Après tout elle n’avait pas précisé comment s’y prendre pour ça demande. Après tout il n’y avait pas qu’un façon de lécher des pieds et il n’y avait pas les soumis qui avait le fétichisme des pieds.
-
Minerva affirme que ses fantasmes sont hors de portée de Shiro, et même si l'infirmière est persuadée du contraire, elle s'estime déjà heureuse d'avoir pu convaincre sa patiente de se soumettre.
« Ok, alors approche. »
Elle s'attend à voir la lycéenne s'agenouiller devant elle, mais à la place, cette dernière la pousse contre le lit pour la forcer à s'allonger, attrape sa jambe pour la relever et commence à embrasser son pied nu. Dans cette position, la jambe de la jeune femme est serrée contre la poitrine de son amante, elle peut sentir ses seins contre sa peau, et elle a beau tenter de s'agiter pour récupérer un peu de liberté, il n'y a rien à faire : cette fille fait tout pour garder le contrôle, même quand elle doit agir comme une soumise.
« Oh Minerva... je dois dire que tu ne manques pas d'ingéniosité... mais tu gâches un peu mon plaisir de te dominer. »
Ça n'ôte pas le plaisir, mais ça le réduit. Malgré ça, Shiro se sent toujours en position de maîtresse, et elle sait que Minerva devra obéir à ses requêtes pendant une heure, du moment qu'elle n'abuse pas de ses droits.
« Hhmm... tu lèches bien mes pieds... ma petite puce... »
L'infirmière laisse le jeu durer quelques minutes, faisant alterner d'une jambe à l'autre de temps en temps, puis la fait s'arrêter pour passer à un autre de ses fantasmes de dominatrice, quelque chose qu'elle n'a pas pu faire tout à l'heure à cause de la paradoxe qui était venu s'incruster dans leur petite fête.
« Tu te souviens il y a une heure, quand je disais que tu étais la plus vilaine patiente que j'ai jamais eu ? »
Elle s'assoit sur le lit et tape ses cuisses avec ses mains et en appelle à ses pouvoirs.
« Il est temps que tu sois punie pour ton mauvais comportement. Allez, approche. »
Shiro sait bien qu'il y a peu de chances que Minerva se prête au jeu, il est même possible qu'elle décide tout simplement de s'en aller ou de se rebeller, mais peut-être que grâce aux magies combinées de Tessia et de l'infirmière, cette jeune fille acceptera de se décoincer et d'être un peu moins rigide sur la façon dont elle prend son pied.
-
Minerva resta quelque minutes ainsi à s’occupé des pieds de l’infirmière. Elle changea de jambe pour alterner ensuite entre les deux. Passé sa langue comme ça dessus, les massés, elle s’y prenait plutôt bien, même si d’habitude c’était plutôt à elle qu’on faisait ça. Même l’infirmière confirma qu’elle s’y prenait bien, mais là c’était peut-être plus pour la plonger dans son rôle de soumise.
Après plusieurs minutes, l’infirmière sortie ses jambe et s’installa différemment sur le lit. Une position assise, puis elle lui réclama d’approché lui disant qu’il était temps d’être punie pour se qu’elle avait fait. Si elle devait respecter sa parole, elle n’avait pas trop le choix.
-Très bien et comment je dois m’installer ?
Elle s’approcha pas très motive, mais décidé à quand même le faire. Mais il fallait savoir, elle devait se coucher sur ses jambe ou s’y assoir ? Une fois renseigné, elle s'installa prête à recevoir cette punition que l’infirmière voulait lui faire subir.
-
Contre toute attente de la part de Shiro, Minerva accepte de se prêter au jeu, et demande comment elle doit s'installer.
« Voyons, tu n'as jamais reçu de fessée quand tu étais petite ? Tu dois t'allonger en posant ton ventre sur mes jambes et en bombant l'arrière-train pour que je puisse le battre facilement. »
La patiente s'installe puis l'infirmière caresse son beau petit derrière, aux proportions dans la moyenne du reste de son corps.
« Délicieuses petites fesses… vous allez souffrir pour votre maîtresse. »
Et paf ! Une première claque sur sa fesse droite. La jeune femme retire ensuite la jupe d'uniforme et les collants de la demoiselle, ne lui laissant que sa culotte autour de la taille. Elle pince les deux bosses de la lycéenne et tire un peu sur la ceinture élastique de sa culotte pour l'exciter en prévision de la suite. Elle ponctue ce jeu avec une petite phrase murmurée à son oreille avec sa voix magique.
« D'abord avec ta culotte… et ensuite fesses nues. »
Shiro se met à enchaîner les fessées sur le cul de Minerva, se délectant du bruit d'air fouetté, des rougeurs sur sa peau et de ses petits couinements mêlés de douleur et de plaisir. Car oui, qu'on le veuille ou non, une fessée bien exécutée est toujours un plaisir. Les claques font vibrer l'eau sous la chair, et cette eau répand des vibrations jusqu'à l'appareil génital, qui renvoie un signal de plaisir au cerveau. Et en plus de ce plaisir, l'infirmière à aussi ses pouvoirs d'E.S.P.er.
« Oh oui... tu aimes ça n'est ce pas ? N'aies pas honte de le dire, c'est normal que tu y prennes goût. Après tout, tu es une très vilaine fille, et les filles comme toi doivent être punies. »
Elle stoppe ses fessées un moment...
« Allez, dis le moi... »
… puis met une bonne grosse claque sans prévenir.
« Dis moi que tu aimes ça ! »
Aux yeux de Shiro, Minerva n'est clairement pas le genre de fille à admettre qu'elle prend du plaisir à recevoir une fessée, elle serait plutôt du genre à en distribuer sur le cul de pauvres soumises. Mais le plaisir peut faire faire des choses incroyables à un être humaine, et son corps ne peut pas mentir sur ce qu'elle ressent vraiment.
-
Minerva regarda les jambes de l’infirmière commençant à comprendre ce qu’elle voulait, quelque chose qu’elle était loin d’avoir envie. Mais elle s’installa malgré tout sur ses genoux les fesses relever pour se faire fessé. Minerva connaissant le procédé sexuel de la fessé et le maitrisait parfaitement bien, pour autant c’était pas pour ça qu’elle aimer en recevoir.
-Évitons mon passé, j’ai déjà suffisamment de pensée en tête.
Pensée à ses parent avait don à l’énervé et vue ce qu’elle était en train de faire, ce n’était pas vraiment la meilleur chose à faire. Elle ut déjà droits à une première fessé qui lui arracha une grimace. Ce n’était vraiment pas quelque chose qu’elle appréciait. L’infirmière lui défit sa jupe, venant lui retiré, ainsi que ses collants. Comme depuis le début, la femme se montra joueuse venant joué avec sa culotte, le seul vêtement qu’elle lui avait laissé pour l’instant. Après annoncé qu’elle comptait la fessée encore, avec et sans sa culotte, Minerva commençait déjà à regretter d’avoir tenue parole.
Les fessées arrivèrent alors, encore et encore. Au moins le femme maitrisé le sujet, faisant ça à la perfection, arrivant à rendre ça plus agréable que ça devrais l’être. Et comme Minerva pouvait s’y attendre, l’infirmière lui demanda d’avoué qu’elle aimait ça. Oh que non, elle n’aimait pas, même si elle en reconnaissait le côté agréable, son cerveaux ne fonctionnait pas comme ça. Elle était maitresse de son corps et non pas l’inverse. L’éventuel plaisir que ressentait se dernier, ne dépassait pas ses conviction personnel et l’idée même de se faire ainsi humilier était loin d’être agréable à ses yeux.
-Oh oui je suis une vilaine fille, à n’en pas douté. Je n’aime pas ça non, pas dans se sent en tout cas.
Il faudrait bien plus que ça pour lui faire dire se genre de chose, sa fierté était bien trop forte pour ça. Le fait d’avoir accepté de se laisser faire était déjà un miracle en soi, il ne fallait pas trop lui en demandé non plus.
-
Minerva admet volontiers être une vilaine fille, mais pas qu'elle aime se faire fesser. La fierté de cette fille semble être plus forte que les besoins de son corps. Pour la première fois depuis des années, Shiro se sent désemparée face à une partenaire, mais elle est loin de se laisser abattre.
« Oh, alors tu n'aimes pas ça ? Très bien… »
L'infirmière arrête de punir sa vilaine patiente et la change de position pour la coucher sur le lit, le ventre contre le matelas, le postérieur bombé et les poignets attachés au lit par des menottes en fourrure. Elle lui enlève sa culotte et se met à lui lécher la peau des fesses.
« Et ça, ça te plaît ? »
La jeune femme se régale de la peau lisse et douce de la lycéenne, légèrement chauffée par les fessées, alterne parfois en passant sa langue sur son intimité.
« Moi en tout cas j'aime beaucoup. »
Puisque Minerva ne veut pas se laisser dominer gentiment, Shiro préfère lui donner des choses qu'elle aime plus que les punitions, afin de la faire monter dans le plaisir et ainsi la convaincre plus facilement de se laisser aller. De temps en temps, elle vient aussi titiller son petit trou arrière, sans réelle intention de la prendre par là pour le moment, juste pour l'agiter un peu.
Après quelques minutes, elle sent que l'antre de la jeune fille est terriblement humide. Elle se saisit alors du gode-ceinture utilisé plus tôt, ainsi que de sa culotte.
« Allez ma belle, ouvre grand. »
Elle met le sous-vêtement dans la bouche de sa patiente, la bâillonnant comme cette dernière l'avait fait plus tôt avec elle, puis enfila le gode-ceinture en enfonçant le gode intérieur dans son propre sexe.
« J'ai tenu comme ça pendant une heure... toi tu y auras juste droit pendant quelques minutes. »
Sur ces mots, Shiro enfonce le phallus en plastique dans le corps de Minerva, puis ajoute une dernière phrase en utilisant sa voix d'E.S.P.er.
« Oh, et surtout ne te prive pas de lécher ma culotte pour boire ma mouille. »
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L’infirmière comprit rapidement que la fessée n’était pas la meilleure façon de la conduire dans son jeu. La femme changea donc de stratégie pour venir la coucher sur le ventre sur le lit. Minerva se laissa attacher les poignets aux pieds du lit, si ses filles la voyaient ainsi, elles seraient bien surprises. L’infirmière vient alors là lécher, passant sa langue sur ses fesses, venant gouté au plus près son intimité. En passant le fait qu’elle était attachée, ça s’avérait bien plus efficace pour l’excité. Remarquant que cela fonctionnait la femme décida de passé à l’étape suivante.
L’infirmière attrapa sa culotte et lui demanda d’ouvrir la bouche avant de venir lui fourré à l’intérieur. C’était de bonne guerre, après tout elle lui avait fait la même chose toute l’heure précédente. Le sous-vêtement de la femme était trempé par l’excitation de cette dernière. Puis viens le jouet de Shiro qui la pénétra sans trop de difficulté, l’infirmière et son gode ceinture était en train de la prendre ainsi attaché.
Minerva ne pouvait que se laisser porter par le plaisir que lui donnais ses vas et viens en elle. Elle ferma les yeux pour se plonger dans un scénario moins déradant pour elle, une bonne façon de savouré et de s’évadé, le tout en prenant du plaisir.
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Dans cette nouvelle position, Shiro prend son plus gros pied depuis le début de cette séance de sexe avec Minerva, si on oublie l’heure qu’elle a passé enchaînée avec une culotte dans la bouche. Là, au moins, elle peut prendre son pied avec une autre personne. Elle balance des hanches frénétiquement en écoutant les couinements étouffés de sa patiente menottée au lit, les crissements des ressorts du lit, tous ces petits bruits synonymes de plaisir.
« Aaahhh… hhhmmm… ce que tu es bonne… Minerva… »
L’infirmière n’arrive pas à se lasser de la satisfaction qu’elle tire à faire plier à sa volonté une fille qui n’arrête pas de vouloir commander. Même si elle n’est pas encore parvenue à la faire obéir, elle ne désespère pas pour autant. Il lui reste encore quelques minutes, et elle a plus d’un tour dans son sac pour parvenir à ses fins.
Shiro tient le rythme avec son gode-ceinture jusqu’à sentir Minerva s’abandonner à la jouissance. Elle ne s’arrête pas en si bon chemin et continue à pilonner sa petite chatte jusqu’à jouir à son tour grâce à son gode.
« AAAAAHHHHH ! »
Après avoir bien envoyé sa mouille, l’infirmière se déloge du corps de la lycéenne pour la changer de position : elle la met sur le dos, les poignets toujours menottés, et attache son soutien-gorge autour de ses yeux pour la rendre aveugle.
« Est ce que tu savais que, lorsqu’un de nos sens est inactif, les autres sont plus sensibles ? Par exemple, maintenant que tu es aveuglée par les bonnets de ton soutien-gorge, ton toucher est beaucoup plus réceptif. »
Elle passe sa langue sur sa joue et dans son cou.
« C’est bon n’est ce pas ? »
Et ce n’était que le début. Shiro compte bien la lécher et la caresser dans tous les recoins de sa peau, sans oublier de lui refaire goûter à son gode-ceinture. La fin de l’heure approche, elle veut être sûre de lui donner un final qu’elle n’oubliera pas de sitôt.
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Minerva ne pouvais pas faire grand-chose attacher au lit par les poignets avec une culotte dans la bouche. Oh bien sûr, pouvait utiliser son œil appeler une paradox ou tenté un signe à Mina. Mais tout ça n’aurais pas grand intérêt, si elle se laissait prendre ainsi par l’infirmière c’était qu’elle l’avait accepté. Même si elle n’appréciait pas sa position, le plaisir que lui donnait le gode de la femme était bien réelle. Si bien qu’elle finit même par jouir ses gémissements étouffés par cette culotte dans sa bouche. Pour autant l’infirmière ne ralentie continuant au même rythme jusqu’à jouir elle-même après.
La femme se retira, mais sembla pas en avoir fini. Après sa culotte en bouche, voilà qu’elle lui bandait les yeux avec son soutien-gorge. Ce n’était pas le plus efficace pour ça, mais ça avait un effet humiliant plus important. L’infirmière lui expliqua alors que privé de sa vue elle serrait plus sensible au touché. Elle la prenait pour qui ? Bien sûr qu’elle savait ça, elle n’avait pas des notes si proches de la perfection sans raison. Puis sa façon de la dire était faux, il est vrais qu’une personne qui à perdu un sens développé un autre en compensation, mais ce n’était pas si rapide, il fallait des mois pour un vrais résulta. Ici ce n’était que ça concentration qui se développé, ne plus voir crée une peu naturel, une peur qui engendrais une meilleur concentration sur les sons pour chercher ce qui pouvait se passé et que l’on ne voyait pas. Si le touché pouvait paraitre plus sensible si vite, c’était uniquement car aveugle on n’anticipait pas le touché à l’avance et la surprise provoquai cette effet. Un sens plus développé était d’un tout autre niveau de sensibilité que ça. Minerva lui en aurais bien fait la leçon, mais elle avait une culotte dans la bouche et était attacher…
Elle sentait cette langue passé sur sa peau la faisant frissonné, bien sur elle n’e l’avait pas vu venir, et ça combiné à l’excitation que provoquai tout se sexe, ne pouvait que lui fait plus d’effet. Le cerveau est vraiment particulier.
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Shiro attaque le corps de Minerva à grands coups de léchouilles et de coups de dents légers, le but étant avant tout de lui faire plaisir et pas de lui faire mal. Elle commence par son visage, puis descend dans son cou, s'attarde un peu sur sa poitrine pour bien la faire gémir, puis glisse jusqu'à son nombril, tournant autour pendant quelques secondes avant d'aller vers la zone la plus plaisante, son entrecuisse. Mais au lieu de l'attaquer tout de suite, elle la contourne juste pour descendre vers ses jambes, les léchant de la cuisse au pied, malmenant et suçant ses orteils. Au bout de quelques minutes de cette délicieuse frustration, elle accorde finalement à sa patiente le plaisir de sentir sa langue contre sa vulve trempée.
« Hhmm... »
Shiro se régale de cette délicieuse friandise, broutant littéralement ce sexe imberbe avec une gourmandise non dissimulé, et sa plus belle récompense est le bruit étouffé des gémissements de plaisirs incontrôlés de Minerva. Elle récolte toute la mouille qui coule dans sa bouche et l'avale goulûment en faisant des bruits humides. En parallèle, ses mains s'aventurent le long de la peau de son amante, la faisant frissonner et trembler sous ses doigts.
Au bout de quelques minutes, l'infirmière sent sa patiente au bord de la rupture, et décide de venir l'achever avec son magnifique gode-ceinture. Elle attrape les hanches de la jeune fille et enfonce son sexe de plastique dans son corps.
« Aaahhh ! Hhmm... toujours aussi accueillante... petite chaudasse... »
Shiro se permet une petite pique avec ses pouvoirs puisque Minerva est censée être sa soumise, et qu'elle ne peut de toute façon pas se plaindre. De plus, son ouïe n'étant pas obstruée, autant en profiter.
L'infirmière se met à onduler frénétiquement du bassin, allant et venant dans le sexe de sa patiente avec son faux phallus, tirant son plaisir du phallus logé dans sa propre intimité. Elle met toutes ses forces dans cette pénétration car il y a de grandes chances que ce soit la dernière de l'heure, et que la lycéenne ne doive repartir après.
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Minerva toujours allonger sur le lit de l’infirmerie attacher par les poignets et avec une culote pour l’empêché de parler et soutien-gorge pour l’empêché de voir. Une situation plutôt humiliante pour une personne comme elle. Mais Minerva se laissait pourtant faire, alors que l’infirmière passait sa langue gourmande sur son corps.
Tout ça avait quand même l’avantage de l’avoir suffisamment excité pour le supporté. L’infirmière jouait même de ça esquivant les zones les plus sensible pour la frustré. Minerva ne pouvait que lui reconnaitre une bonne maitrise du sexe, il était évidant qu’elle n’était à sa première fois avec une élève. Le pouvoir dans sa voie l’aidait également à faire bien fonctionner l’ensemble. Finalement, après avoir sentie ses oreilles se faire sucé, elle sentie cette langue baladeuse venir rejoindre son intimité. Minerva poussait des gémissements étouffé par le tissu du sous-vêtement. C’était plutôt bon comme sensations et après quelques minutes alors que le plaisir montait, la femme se retira. Minerva pouvait pas le voir, mais elle commençait à comprendre la logique de cette femme et ne fut donc pas surprise de sentir un gode s’enfoncé en elle.
Elle sentait les allers retour du jouet, les frottements de leurs jambes, les sueurs de l’effort, tout ça approchait de la conclusion de ses moments de plaisir et de frustration. Minarva senti le frisson de la jouissance la parcourir.
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En tenant Minerva dans sa position actuelle, Shiro était très excitée. Son instinct de dominatrice est en ébullition, surtout avec une personne qu'il avait été aussi dur de dompter. Même si la jeune fille ne restait docile que par choix, et pouvait se rebeller en une seconde, c'est quand même agréable de l'avoir à sa botte. Il faut juste éviter de trop en faire sur la domination.
L'infirmière va et vient joyeusement dans l'intimité de sa patiente avec son gode-ceinture, se régalant de ses couinements étouffés et de voir son corps tortiller sur place sans réussir à se libérer de la ''prison'' crée avec ses propres sous-vêtements.
« Hhhmmm... aaahhh... oui... oui... haaannn... »
Les mouvements du jouet, le frottement de leurs jambes, la sueur ruisselant le long de leur peau, tout leur montre qu'elles s'approchent de la conclusion de leur baise. L'infirmière fait durer le plaisir au maximum, mais quand elle sent le dernier orgasme approcher, elle augment le rythme de ses pénétrations jusqu'à les rendre totalement frénétiques.
« Aaagghh ! Ooouuuiii ! Tu sens... comme c'est bon ? Le plaisir... qui nous envahit ! Hhhmmm... ça vient... OOOUUUIII !!! »
L'infirmière crispe tout son corps quand elle sent l'orgasme la parcourir. Sa mouille sort de son intimité comme un geyser, elle crie de toute sa voix et serre ses mains contre les hanches de Minerva jusqu'à marquer sa peau. Il lui faut environ trente secondes pour que son corps se relâche et qu'elle se décide à sortir son membre en plastique du corps de sa patiente. Ensuite, elle dénoue le soutien-gorge autour de ses poignets et lui ôte la culotte qu'elle a dans la bouche.
« Et voilà Minerva. L'heure est terminée, tu es libre maintenant. »
En effet, elle doit retourner en cours, et Shiro doit se remettre au travail.
« Je dois dire que je me suis beaucoup amusée avec toi. Même si je sais que tu as jouée les soumises un peu contre ton gré, j'espère que ça t'a quand même donné du plaisir. Et si jamais tu veux revenir me voir, sache que tu seras la bienvenue. »
Elle ne lui dit rien à propos de la condition comme quoi il faut donner ses sous-vêtements à partir de la deuxième visite, elle en a déjà assez fait pour aujourd'hui. Elle lui donne un dernier baiser pour lui dire au revoir et la raccompagne à la sortie.
« A bientôt ma grande. »
Et voilà, une nouvelle demoiselle à ajouter au palmarès déjà bien épais de l'infirmière. Et cette visite sera probablement la dernière de la journée, car après autant d'efforts, la jeune femme va avoir besoin d'une bonne sieste avant de reprendre le travail.
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Minerva venais de jouir, alors que l’infirmière continuait ses mouvements intense de vas et viens. Biens sur elle aussi voulait prendre son pieds. Vue l’accélération des mouvements, elle en concluait que l’infirmière n’était pas loin de venir à son tour. Et comme prévue après quelque mouvement encore plus frénétique, Minerva sentie les mains de la femme se resserré sur ses chevilles pendant quelques seconde alors que les mouvements du jouet c’était figer en elle.
Une fois l’infirmière remit de son orgasme, elle s’occupa enfin de libéré sa prisonnière. Minerva était soulager que ce soit enfin terminé, même si elle n’avouera pas avoir quand pris du plaisir à tout ça. Maintenant libre de ses mouvement, la jeune fille commença par se rhabiller correctement. Après tout elle tenait à garder une certaine image. L’infirmière lui expliqua qu’elle c’était bien amusé et ne serais pas contre une prochaine fois.
-J’y réfléchirais, je ne viens jamais à l’infirmerie d’habitude. Je connais suffisamment la médecine pour me soigner moi-même et dans le pire des cas j’ai en contacte les meilleurs spécialiste du monde.
Une jeune fille riche, intelligente et avec un réseau à la fois de célébrité est de criminelle, avait de quoi rendre arrogant et sûr de soi.
-Il ne faudrait que ce soit soudainement suspect.
L’infirmière l’embrassa avant de la libéré et lui dire à bientôt.
-Au revoir.
Minerva sortie de la salle et se rendit à son prochain court à contre cœur. L’envie de séché était forte, mais elle avait déjà cumulé trop d’absence ce moi si. Elle profita du trajet pour envoyer un message au manoir. « Qu’on me prépare Yumi, j’ai besoin de me défoulé et ça participera à sa formation »