Autant commencer par le morceau du Roi, Ulrik n’était pas venu ici pour enfiler des perles. Il voulait se taper cette gamine, tout simplement. C’était aussi simple que ça. Pas de faux-sentiments à la con, rien d’autre qu’une envie de baiser. Et il savait que ce plaisir était réciproque... Il était suffisamment clairvoyant pour savoir que, souvent, une prostituée ne faisant pas volontairement l’amour, même quand elle n’avait pas de proxénète pour la pousser aux fesses. Là, cette nana était une indépendante, et elle allait aimer le baiser... En revanche, il ne savait pas si elle aimerait toujours cette nuit le lendemain, quand elle aurait affreusement mal au cul, et ne pourrait pas s’asseoir dans sa cuisine sans avoir une furieuse douleur remontant dans ses entrailles et la tiraillant comme si elle venait de s’asseoir sur des morceaux de verre pilé. Quand on couchait avec un Gordanien, il fallait s’attendre à le ressentir...
Elle commença doucement, explorant le corps de l’homme, concentrée, passionnée. Son cou, d’abord, puis ses pectoraux, sur lesquels elle s’attarda longuement, non seulement pour les embrasser et les lécher, mais aussi pour les sentir avec ses doigts. Ulrik, effectivement, était bien bâti. C’était ce qui arrivait, après des milliers d’heures de musculation dans les bases et les casernes gordaniennes, et les innombrables combats urbains et en entraînement qu’il avait mené. Elle sentait ce beau corps, parcourait parfois, avec ses doigts, quelques discrètes cicatrices, souvenirs lointains d’une existence passée à se battre et à frapper sur les crânes des autres. On n’en sortait pas sans quelques bleus, parfois indélébiles, et il la laissait parcourir son corps. Qu’elle en profite, cette môme, elle n’avait pas dû goûter à un tel torse depuis longtemps. Ulrik savait que les Terriens étaient des mous du genoux et des gras du bide, ou, pire encore, des culturistes. Pas de vrais sportifs, juste de la gonflette pour impressionner les nanas. Lui s’estimait bien proportionné, bien taillé, et bien charpenté. Il était né massif, et cette puissance, il l’avait entraîné, amélioré, afin de rejoindre l’armée gordanienne, puis de rester continuellement à la hauteur. La belle prostituée glissait donc le long de son corps, de plus en plus bas, appuyant sur sa peau, et lui, de son côté, en profitait pour palper son cul. Il appuya sur cette chair agréable, à travers sa minijupe, pressant cette chair. Un beau petit cul, qu’il palpa, massant l’une de ses fesses, comme une promesse silencieuse pour tout ce qui, ensuite, allait arriver.
Sa main se retira ensuite de son popotin quand elle se baissa suffisamment, pour approcher de sa ceinture. Quelques baisers filèrent sur son nombril, et elle titilla son sexe à travers son short. Hum... Que cette femme était bonne ! Elle le frotta ensuite avec son nez, le caressant, comme une espèce de jeune fille se frottant à son doudou... L’image le marqua, l’amusant légèrement.
« Putain, ma salope, tu es douée... »
Il cligna des yeux à plusieurs reprises, et la laissa faire glisser son short. Il se tint ainsi en boxer, la ceinture tombant avec le short, et Ulrik soupira lentement. Son sexe avait encore durci, son mandrin coincé par le boxer. Elle aurait pu retirer son sous-vêtement, mais, plutôt que de faire ça, elle choisit de lécher son sexe, et, surtout, de le mordiller. Ses dents glissèrent sur son boxer, atteignant sa verge. Sa main se crispa sur les cheveux de la femme, et il soupira profondément, en la laissant faire. Elle titilla ainsi son vit, préparant sa queue, astiquant son sexe, jusqu’à pouvoir tirer sur le sous-vêtement, le retirant totalement.
Son sous-vêtement glissa sur le sol, et son sexe se dressait devant lui, caressant les joues et les boucles de cheveux de la femme.
« Ouais, ma belle... Tu es très prometteuse, comme pute... »
Si toutes les nanas étaient comme elle, lui-même dépenserait tout son or chez les putes. Ils n’avaient commencé que depuis quelques minutes, et, déjà, elle faisait montre, non seulement d’une expertise formidable, mais aussi d’une soif innée... La joyeuseté de la jeunesse mélangée à l’expérience des prostituées... Que demander de plus ? Plutôt que de directement sucer sa queue, elle la masturba, sa bouche venant lécher ses testicules, glissant le long de ses poils pubiens. Sa main se crispa un peu plus fort sur les cheveux de la femme. Même si elle avait mordu son sexe à travers le fin tissu du boxer, des traces rouges, ici et là, marquaient la présence de ses dents. Sa main remuait le long de son sexe, le pressant parfois, fermement, avant de le relâcher, et de continuer ainsi son geste, sa douce masturbation.
« Hmmmm... ! »
De profonds soupirs, rauques et caverneux, s’échappaient de sa bouche, et ses doigts serraient un peu plus fort les cheveux de la femme, avant de les caresser. Sa petite langue filait le long de sa peau...
« Hum... Là, ma belle, là... Ma queue te fait plaisir, hein ? Savoure-là bien, tu l’auras toute la nuit, rien que pour toi... »