Assise devant Tomoe, Mélinda regardait cette douce jeune fille se faire sodomiser par Ayumi. Comme à son habitude, Ayumi était brutale et rapide. Mélinda savait que l’un de ses petits passe-temps favoris, sur Terre, ou même dans certains quartiers de la capitale ashnardienne, était d’aller violer des jeunes filles. Elle les traquait dans l’obscurité des ruelles ou dans les squares, et les prenait contre les arbres, s’aidant de drogues conçues sur Terra pour les envoûter et les faire mouiller. De fait, le harem de Mélinda comprenait différentes personnalités, et Ayumi faisait partie des «
dominantes », ce groupe d’esclaves qui, tout en étant des prostituées, faisaient aussi office de formatrices pour les autres esclaves. Ayumi avait un style brutal et franc, qui lui posait parfois problème, mais elle n’était pas la plus bourrine de ses esclaves. Parfois, Mélinda était trop laxiste... Mais, là, elle laissait filer. Difficilement, Tomoe aboyait... Des petits jappements de chiots, qui faisaient rire Ayumi, qui en profitait pour la gifler.
«
C’est tout ce que tu peux faire comme cri, ma salope ?! Pas terrible, pour une chienne ! Hun... »
Le cul de Tomoe était étroit, ce qui amenait Ayumi à devoir se retirer pour donner de puissants coups de reins, afin de dilater ce trou. Si Tomoe n’hurlait pas à la mort, c’est qu’elle n’était pas vierge... Mélinda ignorait qui avait envoyé cette petite, mais elle savait reconnaître la marque d’un être puissant quand elle le voyait. Soit c’était un puissant magicien qui s’amusait avec une fille de son cercle, soit une divinité... C’était bien le style des Dieux d’agir ainsi, en s’amusant de la souffrance qu’ils infligeaient à leurs fidèles, en profitant également pour éprouver leur dévotion.
Ayumi y allait de plus en plus vite, et de plus en plus fort. Elle aimait ça... Ce cul étroit, qui ne demandait qu’à se faire défoncer. Elle le labourait, remuant d’avant en arrière, sentant sa verge émettre des couinements de douleur quand elle heurtait les parois sèches et fermées de Tomoe. Progressivement, l’esclave aux cheveux roses s’y enfonçait, gémissant et soupirant. Mélinda, elle, sentait l’excitation mutuelle de ces deux jeunes femmes, grâce à ce sixième sens vampirique qui lui permettait de percevoir le sang autour d’elle, ainsi que l’intensité de la circulation sanguine. Elle sentait ainsi une concentration sanguine chez Tomoe à hauteur de son intimité, et il était très tentant d’y participer...
*
Mais pas tout de suite... Pas encore.*
Dans sa tête, la vampire avait encore d’autres projets. Se mordillant les lèvres, elle but ensuite un peu de son sang, et claqua dans les doigts. Une silhouette apparut alors dans l’ombre, se rapprochant lentement :
Bran Warren, le beau grand-frère de Mélinda. Il avait un teint asiatique, et était torse nu, portant un simple pantalon en cuir, exhibant un torse glabre et bien bâti, avec, ici et là, quelques cicatrices rappelant les griffures et les zébrures de Mélinda.
«
Bran... Puisque Tomoe est trop timide pour parler, veille à ce que sa bouche ne soit pas inutile... Que notre invitée soit pleinement comblée... »
Bran ne dit rien, et s’approcha de Tomoe. Mélinda, elle, s’était relevée, et marcha un peu. Face à Tomoe, Bran abaissa les lacets de son pantalon, faisant ensuite sortir sa verge de son boxer. La tenant d’une main, il agrippa les cheveux de Tomoe, tirant dessus, relevant ainsi le visage de la femme, puis, sans guère attendre plus longtemps, il enfonça sa queue dans sa bouche.
«
Hunnn... »
Ce faisant, Bran agrippa les cheveux de la femme, et commença à remuer d’avant en arrière, donnant le tempo en même temps qu’Ayumi.
«
Quel beau tableau vous formez, mes mignons... Je te souhaite la bienvenue au Manoir Warren, petite chienne... »
Bran remuait sa verge en elle, l’enfonçant de plus en plus profondément dans sa bouche.
C’était une belle initiation, non ?