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Awkward situation | PV : Axis |

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Väria

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Awkward situation | PV : Axis |

dimanche 18 janvier 2015, 05:09:12


Je soupirai doucement, ma main passa à travers ma chevelure à la teinte du brun. Mon œil unique vint d’un côté et de l’autre, je serais les dents, je sentais cet homme-là, il me chassait. Hier j’étais la chasseuse, aujourd’hui j’étais la chassée. Il me fallait un plan, je n’avais pas mes arbalète. Laissez à ma cache, j’avais bien mes dagues, je pouvais tracer mes runes, mais j’étais en terre trop peu connu pour que je puisse prévoir un de mes plans. Mais il me fallait agir, car le dieu de la mort ne m’aurait pas. Je ne laisserais pas la mort me saisir.

Pas aujourd’hui.

Ni demain.

Ni aucun autre jour d’ailleurs…


J’étais en ce moment dans les terres d’Ashnard, il fallait que je me dirige vers les terres neutres pour retrouver ma cache, mon chez-moi. Il me fallait donc emprunter diverse chemin pour semer cet assassin. Pour ne pas me faire avoir à mon propre jeu, il fallait que je pense comme lui, il fallait que je rentre dans la peau de l’assassin qui m’en voulait ou qui s’était fait payer pour m’avoir. Rapidement j’effaçais le plan que j’avais tracé dans le sol, je regardais vers la droite puis vers la gauche et je partis rapidement.

Dans l’ombre des ténèbres je voyageais pour couvrir ma fuite…

Mais combien de temps est-ce que je serais rattrapé? Si ce tueur était habile, cela ne prendrais pas de temps…  Même une assassin peut être rattrapée, même la plus habille, mais ce qui me différent-ci du reste est l’habileté que j’ai à me sortir de ces situations. Je suis une personne qui va se trouver un plan parfait à la dernière minute, cela est fort étonnant et je remercie ma personne tous les jours pour cette habileté que je possède. J’ai peut-être une personnalité que peu ne peuvent trouver agréable, mais au moins, j’ai un esprit d’intelligence et je suis pas une docile petite personne qui écoute les ordres, si j’ai de quoi à dire…

Vous le saurez…

Mais aujourd’hui ce n’étais pas le temps de montré cet état d’âme.

Tel la gazelle, je fuis le prédateur, à pas de course, discret et rapide. Mais je reste tranquille, je n’ai pas peur du chasseur. Mais des conséquences que cela peut apporter, oui cela peut emporter des problèmes dans tous les cases de ma vie, la mort est le terminus que je ne voudrais pas atteindre, enfin… pas pour le moment. Je prends une grande respirations et je m’enfonçai alors dans une forêt, je courrai pour finalement atteindre le piège que l’assassin m’avait tendu.

Le poignard entra dans la chair de mon épaule droite, je lâchai un grondement de colère, pour répliquer d’un poignard volant vers lui, mais je ne pris pas la peine de vérifier si je l’avais atteint ou non, je courrais, arrachant le poignard de mon épaule pour le garder dans ma main au cas où.

Mais je fus surprise alors que mon regard vagabonda de gauche à droite, que je prit le chemin entre deux imposantes pierres et que je me retrouva quelque part…

De différent…

Où suis-je?

Je regardai vers l’arrière, mais c’était comme si la place que je venais, avais disparue! Le fourbe! Cela devait être un poison que le poignard étais recouvert… Je serai les dents sous la douleur. Ce n’était pas le temps de m’arrêter, hallucination ou pas, je devais continuer! Je râlai fortement et je partis à courir entre les rues de cet endroit si… étrange… Puis j’entendis des voix qui parlais vers ma direction, me demandant de m’arrêter, mais je n’écoutais pas… Je courrais, encore et encore…

Je m’arrêta en voyant que j’étais dans un endroit sans issue, je leva ma tête vers le ciel et vit une fenêtre, je serra les dents et je me résolue à devoir monter ce mur vers cette fenêtre légèrement ouverte. La montée fut… dangereuse et idiote, mais j’atteints cette endroit que je forçai l’ouverture pour entrer dans cette demeure… Je pris une grande respiration et regarda mon épaule en sang, je tremblai un peu et ferma mon œil et puis le rouvris pour regarder où j’étais… Cela ressemblait à une demeure…

Je m’avançai lentement, regardant partout sans voir personne… Heureusement, je regarda dans une direction… Je devais me faire un bandage…  J’aperçus un tissu qui devais être un chandail et je le saisis et sans aucun remord je le déchirai et retira ma veste pour dévoiler mes épaules remplie de rune et je me fis un bandage de survie avec le pauvre chandail que je vins de déchirer pour faire arrêter le sang de couler, mon regard se tourna alors vers un objet…  C’était étrange… Je n’avais jamais vue cela, d’un geste lent, j’approcha, me pencha et j’appuya sur une touche et j’ai presque tombée en voyant une image avec des sons apparaitre, je retouchais la même touche rapidement pour la fermer.

« Qu’est-ce… que ce bordel… »

Je retoucha la touche pour rouvrir la télévision, mon attention tournée vers cette chose inconnue, alors que je rappliquais le même stratagème. Cliquer pour ouvrir, cliquer pour fermer… Presque hypnotisé par cette boîte à image.

Axis Lestuaire

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Re : Awkward situation | PV : Axis |

Réponse 1 mardi 20 janvier 2015, 16:39:39

Oh, putain, vendredi midi. Ce que j'aime les vendredis, cette année. Si mes débuts de semaine sont chargés, je taffe que deux heures, le vendredi, de dix heures à midi. Là, je suis en week-end. Il fait bon, je suis bien réveillé, et j'ai à peine 17 copies à corriger sur un simple paragraphe d'invention. Et comme le soleil est haut dans le ciel, que je suis en pleine forme et que j'ai le reste de la journée devant moi... Je vais certainement m'enfermer chez moi devant mon pc. Putain que j'aime pas ça, le soleil.

Je rentre du lycée, serviette en main. Là, je sors du tram' bondé de monde et de gens pressés qui se précipitent tous vers la porte avant l'ouverture comme si leur vie en dépendait. Ils n'ont que vingt minutes pour bouffer et retourner au turbin. Leurs foulées sont vives. Vu du dessus, on doit ressembler à une marée de fourmis. Moi, la tête haute, l'air penaud du type qui a fini sa semaine avant tous les autres, je marche à mon rythme. Le casque audio que j'ai mis autour de mon cou à peine sorti du bahut m'envoie une douce musique jusqu'aux oreilles, ma chanson préférée, mon hymne au rejet total de l'existence matérielle et de ses contraintes. Depuis des années, j'ai l'impression de flotter chaque fois que je me laisse bercer par ces sons. De quitter mon corps, je me sens libre. Une véritable extase lorsque la fin de semaine débute.
J'emprunte machinalement le chemin jusqu'à la maison, mais mon esprit est ailleurs. J'ai cessé de penser, tout simplement. Je chemine sur le trottoir et mon regard se perd sur les ombres des feuillages qui se meuvent sur le sol. Mes sens s'aiguisent, je ne suis plus qu'instinct. La musique a ce genre de pouvoir sur moi. Vous avez déjà eu l'impression que votre corps marchait de lui-même, aussi naturellement que vous respirez? C'était mon cas.
J'arrivais à la Sakura house, et montait les escaliers en ayant vaguement salué de la main un voisin. Arrivé devant la porte, j'ai déjà tiré ma clé de la poche, et...

Je coupe la musique. J'entends du bruit, entrecoupé, à l'intérieur. La télé? Je regarde jamais la télé. Elle me sert juste d'écran, pour les consoles, je capte les chaînes seulement parce que toute la résidence les a. Alors pourquoi est-elle allumée? Elle déconne? J'ai une pensée vagabonde vers la NES que j'avais étant gosse, qui était super chiante à démarrer, et qui ne cessait de s'allumer et de s'éteindre. toute seule quand on la mettait en route. Ma paranoïa habituelle reprend le dessus. Et si c'est un intrus? On n'est jamais trop prudent. J'enfonce lentement ma clé dans la serrure, et je la tourne avec la patience d'un horloger. Pas un bruit. Pas un seul son. Je clenche en douceur, et je pousse la porte extrêmement vite vite pour que les gonds ne me trahissent pas. Je baisse les yeux vers le seuil, et n'y voit aucune paire de chaussures étrangère. Malgré tout, la télé continue de couper par intermittence. Pourquoi? C'est quoi le délire? C'est un gamin? Comment un gamin serait entré? La porte était bel et bien verrouillée.
Je me déchausse avec minutie, pose mes chaussures en silence, et avance chez moi comme si j'étais en terrain dangereux. Si j'ai une sacrée tendance à attirer l'attention, je sais aussi être discret comme un ombre. Si vous aviez vécu avec ma mère, vous comprendriez pourquoi. J'avance sur la pointe des pieds, les talons que très légèrement levés du sol. J'effleure le mur de la main pour pouvoir m'amortir si je venais à m'y coller soudainement. Chacune de mes inspirations et expirations se fait de plus en plus longue et de plus en plus faible, pour que même le bruit de mon souffle ne me trahisse pas. Je suis un véritable fantôme.

Au bout de quelques pas, j'ai enfin un angle pour voir l'entièreté de mon salon: j'y vois une fille brune, debout devant la télé, en train de s'amuser avec la télécommande. Rapidement, mon regard balaie la pièce pour savoir comment elle est entrée. La fenêtre? Putain, on est peut-être qu'au premier, mais c'est pas si facile d'accès! Mon regard revient sur elle: une tenue assez atypique, on dirait une cosplayeuse. Et les dagues qu'elle porte, on dirait des vraies. Les quelques armes que j'ai emmenées au Japon avec moi sont dans ma chambre, derrière la porte à ma droite. Mes yeux remontent sur son épaule, un bout de tissu semble couvrir une blessure par laquelle du sang a coulé. A vue de nez, c'était superficiel mais l'hémorragie semblait assez importante. Je distingue comme un motif sur ce bandage de fortune, ça me rappelle...
Je regarde le dossier du canapé. Un de mes T-shirt est déchiré. Un putain de super T-shirt avec le Ginosaji, que j'avais acheté quand j'étais lycéen, et que j'aimais beaucoup. Non mais quelle salope! Si t'avais mal, tu pouvais pas chercher mon armoire à pharmacie? A cet instant précis, une seule réaction s'impose à mon esprit. C'est certainement la plus conne des choses que je peux faire, mais cette squatteuse m'a foutu en rogne. Et après avoir vu Kung Pow, une dizaine de fois, comment résister?


"T'AS DÉCHIRÉ MON CHANDAIL!"

Si je ne me trompe pas, et vu que les muscles de ses épaules ne s'étaient pas raidis un seul instant, j'en déduis qu'elle n'avait pas noté ma présence, et que ce cri l'aura sans doute surprise. La réaction logique voudrait qu'elle se retourne. Et à ce moment là, elle prendra mon poing en pleine gueule.

Le cours est terminé, rangez vos cahiers, profitez de la soirée, et allez vous faire enc...

Väria

Créature

Re : Awkward situation | PV : Axis |

Réponse 2 lundi 09 février 2015, 13:21:49

Mes doigts sur cette touche.  J’ouvre, je ferme… Ce processus ce répète encore et encore, mais c’était quoi ce bordel, c’est un mécaniste, une chose que je n’avais jamais vue! C’est étrange, perturbant et surtout impensable pour moi que sa puisse exister! Cette boite à image montre diverse scène, elle varie à chaque fois que j’ouvre et je ferme, les personnages change d’endroit ou d’expression ou même change de personnage totalement. J’étais déroutée, dans qu’elle village j’étais? Était-je vraiment dans un village ou simplement tombée dans l’inconscience et je vivais un de ses rêves complètement loufoque?

Je devais être rendue folle et divaguée, cela ne pouvait être que cela… Ou bien j’étais tombée dans un portail interdimentionatruc chose… Non mais ça, ça serait trop fou pour être vrai! Arriver dans un autre monde, il faut vraiment être idiot pour croire à de telle bêtise. Mais en même temps pour être là où je suis-je devais être coupé de mon corps et devait être dans un sacré coma… Ou bien j’étais morte enfaite et je me suis retrouver dans une sorte de monde qu’on surnomme le paradis… Non, je ne devais pas être dans le paradis. Je dois être en enfer sans doute, oué l’enfer c’est plus classe pour moi,  ça me représente.

Mais je crois que je divague, je ne peux être morte.

Mon regard reste fixe sur cette boîte à image, je cligne les yeux, j’entends un léger son, mais je continue à agir comme je le faisais. Je ne sentais pas cette forme menaçante et semblait relativement faible, donc aucun danger.  Je regardais vers la boîte, mon doigts continuant à toucher la touche à répétition, je restais tout de même émerveiller de voir cela, sa serait classe que sa existe vraiment, je crois que j’aurais sa à mon chez moi, mais c’est que mon imagination trop fertile qui imagine de tel chose.

Alors la personne qui venait d’entrer était un homme, humain… Environ près des 30 ans, bien qu’il est l’air d’un gamin en fait… Je regardai légèrement derrière moi du coin de l’œil, ne laissant rien présager que j’avais vue ou sentit sa présence et je retournai mon regard sur la boite à Image, me demandant alors comment la magie pouvait fonctionner en cet objet, c’était sans doute de la magie qui traversait cette boite, sa devait être que cela! Lentement je sentis l’homme se placer un peu plus près, je me demandais si je ne devais pas lui envoyer simplement un poignard droit vers le front…

À réfléchir…

« T’AS DÉCHIRÉ MON CHANDAIL! »

Je confirme dès à présent que celui dans mon dos est le pire des idiots et des incompétents que ce monde est donné vie. Il voulait m’attaquer en tentant de me faire sursauter, mais je l’avais déjà remarqué, je savais que dès je tournerais le visage il essayerait de me frapper de son petit poing droit dans mon visage, hélas je ne crois pas que ça se dérouleras comme cela se déroule dans sa petite tête, loin de là l’idée de vouloir l’assassiner, mais j’allais lui remettre les idées en place, ce chandail comme il dit, miteux à mon avis, faisait un bon bandage.

Lentement son poing fonça vers mon visage, ce ne serait pas un coup puissant, je savais, mais je leva mon poing pour intercepter sa main, j’agrippa rapidement sa main, la douleur amplifiant à mon épaule, mais il allait voir ce qu’il méritait, je lui fis une passe pour le faire écraser au sol, mon genou contre son ventre, son poing lever, mon autre jambe contre son autre bas pour le bloquer, je le fixais avec colère. Mon œil unique observait chaque détail du visage de l’homme, mon visage montrait malgré la colère dans mon regard, aucune émotion. Je poussa un peu plus mon genou contre son ventre et son torse, ma main serrant un peu plus la main d’Axis.

« Cela vous arrive souvent de vous attaquer aux gens blessé pour un minable bout de tissu? »

J’étais sérieuse, je le fixais et trouver ses vêtements trop étrange. Il y avait des choses qui ne fonctionnait pas dans ma tête, je regardais l’homme que je tenais au sol avec force, malgré mon corps qui bien qu’il semblait fragile, j’avais une grande force physique, surement dû à mes runes sur mes épaules qui augmentait cette force. Je serrais un peu plus les dents et je le fixais encore avec frustration et visage neutre.

« Maintenant dit moi où je suis! Et ne me ment pas! »

Axis Lestuaire

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Re : Awkward situation | PV : Axis |

Réponse 3 jeudi 12 février 2015, 21:34:01

Si la rapidité de son blocage m'a surpris, il demeurait parmi les possibilités que j'avais naturellement pris en compte. Un coup de paume de mon autre main, dirigé vers son abdomen, a été ma seule réponse. Dommage qu'il n'ait pas atteint sa cible à temps, et que je me retrouve à présent au sol en un tournemain. Mes vieux réflexes m'ont empêché de me cogner la tête contre le sol en tatami, mais son genou sur mon ventre entrave mon souffle, et sa prise et plutôt solide. Son expression est froide, mais mon regard soutient le sien avec autant de hargne. Je n'ai qu'une seule chose à l'esprit: cette morue a gardé ses bottes sur MON tatami. Je suis pas super matérialiste hein, mais ces trucs coutent cher, et j'ai attendu assez longtemps pour en avoir, c'est pas pour qu'elle me les pourrisse avec ses pompes.
J'ai fait du judo, il fut un temps. Je sais immobiliser et sortir d'une immobilisation. Plus jeune, il avait fallu cinq personnes pour me maîtriser complètement au sol. J'ai de l'expérience, et de la combativité à revendre. Je ne me laisserai pas avoir si facilement.
Je frappe le sol du pied une première fois, et envoie mes jambes le plus haut possible. Sous elle, mon corps a bougé, sensiblement. C'est la clé de ma sortie. Lorsque mon pied rencontre le sol à nouveau, je fais rebondir la pointe avec force, faisant mouvoir tout le bas de mon corps de concert pour décoller mes hanches du sol. Sur le coup, mon "invitée" s'est penchée vers l'avant. Victoire. J'arrondis mon dos le plus possible, et me sert de mon bassin comme d'une bascule pour me redresser d'un coup d'un seul, la faisant pencher en arrière. A peine mon bras est-il décollé du sol que je fais un tour pour me libérer de sa poigne, et lui décoche une bonne manchette dans la tempe au passage. Je me retrouve donc assis par terre, elle est allongée sur mes jambes, et la sienne, qui appuyait sur mon ventre, est maintenant bloquée, repliée contre mon abdomen. La situation est assez confortable, j'ai en tête pas mal de mecs qui me l'enviraient. C'est moi qui ait l'ascendant, désormais:


"Ça se voit pas? T'es chez moi connasse, ici c'est mon sanctuaire, mon territoire, et tes godasses n'ont rien à y foutre!"

Je pose l'extrémité de mes cinq doigts sur son bas-ventre -comme sur un ballon de basket, en fait- pour l'empêcher de se relever, alors que mon bras se prépare à bloquer toute éventuelle taloche qui pourrait m'arriver dans la gueule. Mes yeux n'ont de cesse que de surveiller ses bras, histoire de voir venir. Je conditionne le moindre de mes gestes au quotidien à améliorer mes réflexes défensifs (par pure paranoïa, surtout), mais je sais d'ores et déjà que je ne peux pas me permettre de négliger la rapidité de ses mouvements.

"Et puis il est pas minable, ce T-shirt! Il est rempli d'epicness et de bons souvenirs, bordel de culs!"

... Oui, j'apprends ce genre d'expressions à mes élèves. J'suis un bon prof. Mais avec ça, les chaussures et mon vendredi gâché -surtout qu'avec ces conneries je suis pas près de bouffer-, j'ai bien envie de lui arracher les yeux. Tiens d'ailleurs, pourquoi elle se trimballe un cache-œil, cette tarée?

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