Je soupirai doucement, ma main passa à travers ma chevelure à la teinte du brun. Mon œil unique vint d’un côté et de l’autre, je serais les dents, je sentais cet homme-là, il me chassait. Hier j’étais la chasseuse, aujourd’hui j’étais la chassée. Il me fallait un plan, je n’avais pas mes arbalète. Laissez à ma cache, j’avais bien mes dagues, je pouvais tracer mes runes, mais j’étais en terre trop peu connu pour que je puisse prévoir un de mes plans. Mais il me fallait agir, car le dieu de la mort ne m’aurait pas. Je ne laisserais pas la mort me saisir.
Pas aujourd’hui.
Ni demain.
Ni aucun autre jour d’ailleurs…J’étais en ce moment dans les terres d’Ashnard, il fallait que je me dirige vers les terres neutres pour retrouver ma cache, mon chez-moi. Il me fallait donc emprunter diverse chemin pour semer cet assassin. Pour ne pas me faire avoir à mon propre jeu, il fallait que je pense comme lui, il fallait que je rentre dans la peau de l’assassin qui m’en voulait ou qui s’était fait payer pour m’avoir. Rapidement j’effaçais le plan que j’avais tracé dans le sol, je regardais vers la droite puis vers la gauche et je partis rapidement.
Dans l’ombre des ténèbres je voyageais pour couvrir ma fuite…
Mais combien de temps est-ce que je serais rattrapé? Si ce tueur était habile, cela ne prendrais pas de temps… Même une assassin peut être rattrapée, même la plus habille, mais ce qui me différent-ci du reste est l’habileté que j’ai à me sortir de ces situations. Je suis une personne qui va se trouver un plan parfait à la dernière minute, cela est fort étonnant et je remercie ma personne tous les jours pour cette habileté que je possède. J’ai peut-être une personnalité que peu ne peuvent trouver agréable, mais au moins, j’ai un esprit d’intelligence et je suis pas une docile petite personne qui écoute les ordres, si j’ai de quoi à dire…
Vous le saurez…
Mais aujourd’hui ce n’étais pas le temps de montré cet état d’âme.
Tel la gazelle, je fuis le prédateur, à pas de course, discret et rapide. Mais je reste tranquille, je n’ai pas peur du chasseur. Mais des conséquences que cela peut apporter, oui cela peut emporter des problèmes dans tous les cases de ma vie, la mort est le terminus que je ne voudrais pas atteindre, enfin… pas pour le moment. Je prends une grande respirations et je m’enfonçai alors dans une forêt, je courrai pour finalement atteindre le piège que l’assassin m’avait tendu.
Le poignard entra dans la chair de mon épaule droite, je lâchai un grondement de colère, pour répliquer d’un poignard volant vers lui, mais je ne pris pas la peine de vérifier si je l’avais atteint ou non, je courrais, arrachant le poignard de mon épaule pour le garder dans ma main au cas où.
Mais je fus surprise alors que mon regard vagabonda de gauche à droite, que je prit le chemin entre deux imposantes pierres et que je me retrouva quelque part…
De différent…
Où suis-je?
Je regardai vers l’arrière, mais c’était comme si la place que je venais, avais disparue! Le fourbe! Cela devait être un poison que le poignard étais recouvert… Je serai les dents sous la douleur. Ce n’était pas le temps de m’arrêter, hallucination ou pas, je devais continuer! Je râlai fortement et je partis à courir entre les rues de cet endroit si… étrange… Puis j’entendis des voix qui parlais vers ma direction, me demandant de m’arrêter, mais je n’écoutais pas… Je courrais, encore et encore…
Je m’arrêta en voyant que j’étais dans un endroit sans issue, je leva ma tête vers le ciel et vit une fenêtre, je serra les dents et je me résolue à devoir monter ce mur vers cette fenêtre légèrement ouverte. La montée fut… dangereuse et idiote, mais j’atteints cette endroit que je forçai l’ouverture pour entrer dans cette demeure… Je pris une grande respiration et regarda mon épaule en sang, je tremblai un peu et ferma mon œil et puis le rouvris pour regarder où j’étais… Cela ressemblait à une demeure…
Je m’avançai lentement, regardant partout sans voir personne… Heureusement, je regarda dans une direction… Je devais me faire un bandage… J’aperçus un tissu qui devais être un chandail et je le saisis et sans aucun remord je le déchirai et retira ma veste pour dévoiler mes épaules remplie de rune et je me fis un bandage de survie avec le pauvre chandail que je vins de déchirer pour faire arrêter le sang de couler, mon regard se tourna alors vers un objet… C’était étrange… Je n’avais jamais vue cela, d’un geste lent, j’approcha, me pencha et j’appuya sur une touche et j’ai presque tombée en voyant une image avec des sons apparaitre, je retouchais la même touche rapidement pour la fermer.
« Qu’est-ce… que ce bordel… »
Je retoucha la touche pour rouvrir la télévision, mon attention tournée vers cette chose inconnue, alors que je rappliquais le même stratagème. Cliquer pour ouvrir, cliquer pour fermer… Presque hypnotisé par cette boîte à image.