Que fais tu là Gradius ? Je pense qu'elle est prête. Je peux l'emmener ?
Dieu merci, il a compris ce que j'essayais de lui dire, par mes gestes et mes réactions. L'intervention de Marcus m'a très légèrement rassuré, mais ça ne veut pas dire que j'étais de nouveau calme, non plus. Avec l'autre garde pervers à côté de moi, chuis pas tranquille...
Bin? C'est la procédure M'sieur !
J'ai aussitôt arcqué un sourcil.
*De quoi il parle, là ?*
Oh putain ! Le regard qu'il vient de me jeter m'a donné des frissons de dégoût dans tout le corps, ce qui s'est vu, au niveau de mes queues.
Je dois consciencieusement fouiller toute marchandise avant qu'elle ne puisse quitter le quartier de rétention et entrer dans la demeure. Il faut que je vérifie qu'il n'y ai aucune trace de maladie et m'assurer de l'absence de toute éventuelle arme dissimulée. D'autant plus qu'elle va rencontrer le maitre.
Que... Oh bon sang ! J'avais oublié ça !!! En même temps, à l'époque où je suis devenue une esclave, j'étais encore trop jeune, pour savoir me servir d'une quelconque arme, et d'un seul coup d'oeuil, on pouvait voir que j'étais en bonne santé. Donc les chasseurs d'esclaves ne m'ont jamais fouillé. Mais je fus surpris, et sortie de mes pensées, lorsque Marcus s'approcha de son employé, et lui attrapa les poignets.
Attend, mon grand ! C'est toi qui va lui refiler une maladie ! Tu as vu tes mains grasses qui sentent le poisson ? Va te les laver immédiatement !
Et sans ménagement, il éjecta littéralement Gradius de la cellule, avant de prendre sa place. Maintenant, je suis plus rassurée. D'ailleurs, j'étais déjà plus détendue, et je ne tramblais plus. En tout cas, son comportement actuel prouve bien que Marcus est un vrai bourgeois. Oh mais la tronche que l'autre tire, c'est mémorable !!!
Que cela soit bien clair, dorénavant, tu apprendras à ne plus jamais toucher la marchandise de sa la sorte. Est ce bien compris gros beta ? Par conséquent, je vais devoir me charger de cette tâche ingrate par ta faute !
Et lorsque le jeune homme se retourna vers moi, avec un sourire des plus charmeur et charmant, ça a fini de me détendre.
Tu m'excusera cette petite comédie mais pour donner le change, je vais devoir te fouiller.
Je lui rendis alors son sourire, avant de prendre la parole, en chuchottant.
Pas de soucis, je comprends. Et je préfère largement que ce soit toi, qui le fasse, plutôt que lui.
Y a pas photo. Entre Gradius et Marcus, je préfère largement ce dernier. Il s'est alors agenouillé lentement, tout en me regardant droit dans les yeux.
Il y a des charges plus désagréable que cela.
Je m'en doute, oui...
Ouais, y en a un certains nombre, mais je vais pas les lister maintenant. Il commença alors à m'osculter, en commençant par mes chevilles, et en remontant lentenant mes jambes. Et je dois dire que ses gestes, calme, doux et précis, ne me gênent pas, bien au contraire. Je trouve ça des plus agréhable, et à vrai dire, ça commence à m'exciter doucement. Et lorsque les mains du jeune noble arrivèrent à mes cuisses, je n'ai pas pus retenir un frisson, signe que le contact de nos deux peaux était très argéhable.
N'oubliez rien monsieur! Ces petites canailles sont douées pour cacher des objets là où l'on s'y attendrait le moins.
Non mais... Il veut que je planque une arme à quel endroit, sur moi, l'autre abruti ?! Dans ma chatte ?!!! Nan mais je vous jure, y a des tartes qui se perdent... WHOU !!! En parlant de chatte, Marcus vient d'effleurer les lèvres de la mienne, ce qui m'a fait sursauter, et commencer à devenir rouge. D'ailleurs, il a dû remarquer que j'avais légèrement mouillé. Oups... Je crois qu'il a cessé de chercher quoi que ce soit, là. Non maintenant, il est surtout parti à la découverte de mes formes, et j'aime bien l'idée. Le jeune homme s'est alors redressé, les joues dans un état similaire aux miennes. Et lorsqu'il posa ses mains sur mes hanches, j'avais la tête baissée, et je pus voir qu'il commençait à bander. Oh... Je crois qu'on a, tout les deux, les même réactions corporelles, à quelques différences près, bien sûr. Mes joues ont un peu plus rosies, lorsqu'il posa ses mains sur mes fesses, commençant à faire poiter mes tétons, et le fait qu'il effleure la base de mes queues n'a rien arrangé. Je l'ai regardé tourné autour de moi, avant d'avoir une bouffée de chaleur, alors que mon visage est devenu rouge tomate, et que je me suis mordue la lèvres inférieure. En effet, il venait de commencer à caresser, chacune leur tour et de façon à prolonger l'action, chacune de mes queues. Il doit pas être au courant, que ces dernières sont ultra-sensibles.
*Nepasgémir, nepasgémir, nepasgémir, nepasgémir, nepasgémir, nepasgémir, nepasgémir...*
Oui, je répété ça pour, justement, ne pas le faire. Mais alors... QU'EST-CE QUE C'EST BON !!! Ah non, au contraire, j'adore qu'on me fasse ce genre de chose. Mais à cause (ou grace, à voir) de cette situation, je n'ai pas écouté ce que disait l'autre gros lard, mais je me doute que c'était encore une remarque déplacé. C'est alors que Marcus arrêta l'oscultation de mes queues, pour poser délicatement ses mains attentionnées sur mes épaules, me tirant un nouveau frisson. Y a pas à dire, il sait y faire, pour les fouilles. Il descendit doucement ses mains sur mes bras, passant par dessus les manches de ma tenue. Je crois qu'il a gardé la dernière zone pour ce moment, vu comme il écarte mes mèches.
Bien entendu, le meilleur pour la fin!
J'aime quand on me parle de cette façon. Y a pas photo, même en étant fils d'un grand marchant d'esclave, il est vraiment respectueux envers les filles. J'ai alors tourné la tête vers lui, et uje lui ai fais un petit souris aguicheur.
Hihi, grand coquin...
Et sans prévenir, il glissa délicatement ses mains dans mon décolleté, ce qui secoua la ficelle fixée au bord de mon bustier, sur la quelle était accroché le grelot, ce qui a encore moins arrangé mon état. J'ai alors joins mes deux mains, avant de fermer les yeux, de lancer ma tête en arrière et de faire un petit gémissement, que seul Marcus pouvait entendre, à cause du bruit que faisait le grelot. D'ailleurs, mes tétons pointaient bien, et étaient maintenant visibles au pravers du tissus, et j'avais mouillé un peu plus. Si il continue, je vais jouir, là. J'ai alors fais tomber, devant moi, deux queues, pour obstruer la vue de Gradius, avant d'enrouler deux autres queues autour des avant-bras de Marcus, et de le faire arrêter. Je lui ai alors chuchotté à l'oreille, sur un ton quelque peu aguicheur :
Garde s'en un peu pour tout à l'heure...
Je lui ai alors fais retirer ses mains, certes baladeuses mais sans que ça me gêne, de ma poitrine, avant de remettre mes queues dans leur position par défaut, à savoir en évantaille derrière moi, et de me tourner légèrement face à lui.
Suis-je à votre goût, Monsieur ?
Bah quoi, c'est une réaction normal, dans ce genre de situation. Plus qu'à attendre la réaction de Marcus, ainsi que celle de Gradius, maintenant. Ouh... J'ai chaud d'un coup, moi...